D.146 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-1

 

CINQUIÈME PARTIE

(1)

La logique

« Venez maintenant, dit l’Eternel, et débattons nos droits »

(Ésaïe 1:18)

En voici une pour vous, mes amis : supposons, pour le plaisir de la chose, que les deux déclarations suivantes sont vraies :

—    La Terre tourne.

—    La Terre ne tourne pas.

Or, où pouvez-vous aller avec cette paire de déclarations ? « À l’asile ?! » me direz-vous. C’est à peu près cela. Le cerveau disjoncte avec ce genre de contradiction flagrante. L’une d’elle doit être VRAIE et l’autre doit être FAUSSE. Les deux ne peuvent être vraies en même temps, ni être fausses en même temps. Maintenant, qu’arrive-t-il lorsque celle qui est vraie est qualifiée de fausse et, en même temps, celle qui est fausse est qualifiée de vraie ?

Réfléchissez-y un instant : durant une portion majeure de l’histoire, on a cru que la Terre était plate. Cette croyance constitua la vérité même pour à peu près tout le monde sur Terre pendant un grand bout de temps. Puis, Colomb et Magellan prouvèrent que l’idée d’une Terre plate n’était pas vraie, mais que c’était plutôt un mensonge, une séduction. (Incidemment, la Bible enseignait que la Terre était une sphère, mais la majorité des gens croyait autre chose jusqu’à ce qu’une preuve indéniable mette fin à la controverse.)

Et, en un sens, l’idée d’une Terre qui tourne est similaire à l’idée d’une Terre plate. En fin de compte, pendant un long moment, l’on croyait que la Terre ne tourne pas. Une Terre immobile constitua la vérité pour une majorité de gens qui y crurent pendant des siècles. C’est alors que survinrent Copernic, Kepler, Galilée, Newton et le reste, déclarant, par le biais d’un certain genre de mathématiques, qu’elle tournait, et que la « science » avait abattu encore une autre croyance superstitieuse comme l’idée que la Terre est plate…

Mais le problème, c’est que PERSONNE n’a jamais produit de preuve, une preuve solide et réelle, que la Terre tourne, comme on produisit pour se débarrasser de l’idée d’une Terre plate. Pourtant, l’establishment scientifique atteignit, au 16e et 17e siècles, le même but sans preuve concrète, sans aucune évidence réelle et solide d’aucune sorte. Ça leur a pris du temps et, comme nous l’avons vu, il y eut, et il y a encore, un tas d’obstacles. Mais, fondamentalement, ils se sont débarrassé de la croyance d’une Terre immobile aussi efficacement que s’ils avaient vraiment prouvé quelque chose, comme le voyage de Magellan prouva réellement que la Terre n’était pas plate.

Mais dire que quelque chose est vrai et croire que cette chose est vraie ne rendent pas la chose vraie pour autant, si elle est fausse. Ce ne serait pas LOGIQUE. C’est un peu comme la tendance actuelle dans beaucoup de productions cinématographique et de bouquins publiés qui véhiculent les idées nouvel-âgistes de l’humanisme. On y proclame souvent que si une personne croit très fort que quelque chose est possible, ça va arriver ; qu’il suffit de croire pour que tout puisse se produire, dans le fond. Mes amis, la création à partir de rien appartient à Dieu et à personne d’autre !

Les gens crurent que la Terre était plate et ils considéraient logique que si quelqu’un allait assez loin, il finirait par arriver au bord et tomber. Évidemment, si la Terre eut été plate, alors cela aurait été logique, et ils crurent donc qu’elle était plate. Mais, du même souffle, les gens disaient que la Terre est immobile parce qu’il était logique que tout sur Terre volerait en éclats si elle tournait à la vitesse qu’elle devait atteindre dans le Système copernicien. C’est le même genre de logique.

En surface, oui. Or, ce n’est pas la logique qui faisait défaut dans le cas d’une Terre plate ! Si la Terre était plate, elle aurait une bordure et l’on tomberait si l’on dépassait cette bordure. La logique était bonne ; c’était la Vérité qui était mal perçue ! Quand la vérité d’une Terre ronde fut prouvée, la logique soutenant une Terre plate se flétrit et mourut très rapidement.

Ainsi, la logique voulant que toutes choses voleraient en éclats si la Terre voyageait à diverses vitesses, jusqu’à un demi-million de MPH [800 000 km/h], n’est donc pas la fausse logique que les coperniciens ont convaincu le monde de croire ? Bien sûr que ce n’est pas une fausse logique ! Toutes choses voleraient bel et bien en éclats si la Terre se déplaçait comme les coperniciens l’exigent ! Examinons une couple de leurs tours de passe-passe pseudo-scientifiques en ce qui a trait à ce problème de vitesse. Voyons d’abord la question de l’éther.

Rappelez-vous qu’Einstein et tous les relativistes qui contrôlent la physique et l’astronomie depuis des siècles ont dit que l’éther n’existe plus… Mais que disaient les scientistes avant Einstein ? Ne disaient-ils pas que l’éther existe ? C’est exactement ce qu’ils disaient et que les dictionnaires disent encore, c’est-à-dire : « éther : les régions supérieures de l’espace, ou les éléments raréfiés supposées remplir ces régions. »

On définit donc l’éther comme un « élément raréfié » que l’on suppose exister dans tout l’espace entre les étoiles, les planètes, les comètes et ainsi de suite. C’était cela jusqu’à ce que le Sieur Einstein déclare, sur son tableau noir, qu’il était disparu. Voilà où les contradictions logiques commencent à s’empiler. Notez ceci :

« Ici, Einstein fit sa seconde hypothèse… qu’il n’y a pas d’éther… »[1]
Mais :

« …c’était en contradiction directe avec l’axiome de base de Maxwell qu’il existe un éther… »[2]

Ce défi à Maxwell est…

« …d’une importance fondamentale, car la Théorie Spéciale de la Relativité d’Einstein, destinée à sauver les équations de Maxwell, ne pouvait le faire qu’en sacrifiant l’éther qui constituait le fondement de la théorie de Maxwell… »[3] (emphase ajoutée)

Alors, nous voyons qu’Einstein trouva une manière de sauver les équations et :

« …seules les équations avaient besoin d’être sauvées (…) on devait se passer de la partie physique de la Théorie [sa base, l’éther]. »[4]

Parlez-moi de pareilles mathématiques élastiques ! Et nous avons déjà vu pourquoi Einstein avait désespérément besoin de se débarrasser de l’éther. C’était parce que…

« …l’éther pouvait servir de standard absolu de repos [immobilité. Et Einstein ne voulait rien voir en repos dans l’univers]. »[5] (emphase ajoutée)

Tout, dans « son » univers, devait bouger et c’est la base fondamentale de la « relativité » et la véritable raison pour laquelle Einstein refila ce tour de passe-passe logique au monde. Il lui fallait se débarrasser de l’idée que quoi que ce soit demeure en repos dans l’univers, que quoi que ce soit reste stationnaire, sans mouvement, même l’éther… ! Cela afin que l’homme ne considère plus, ne croit plus et ne vienne même plus à concevoir une Terre qui est « …affermie, tellement qu’elle ne sera point ébranlée » comme le dit la Bible.

L’expérience de Michelson-Morley a démontré que, si l’éther existe, la Terre ne peut donc pas bouger. Einstein déclara l’éther nulle et non avenue, et, ce qui est plus important, déclarant sans le dire que la Terre tournait puisqu’il n’y avait rien dans l’univers qui ne bougeât pas.

Et, pour que la Terre tourne à 1 000 MPH [1 600 km/h] sur elle-même, qu’elle file à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] d’un sens et à 500 000 MPH [800 000 km/h] dans un autre sens, et cela sans que tout ce qu’elle renferme ne s’éparpille en morceaux, ou froisse un seul cheveu, cela signifie qu’il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit dans l’espace, aucun éther ; car s’il y en avait, il se créerait de la friction à ces vitesses ; cette friction ferait exploser l’atmosphère terrestre et, donc, votre maison et toute la surface du sol… !

Or, de crainte d’avoir l’air trop durs envers le Dr Einstein, dans ce cas-ci et ailleurs, rappelons-nous immédiatement que nous ne sommes pas les seuls à avoir amené ces choses sur le tapis concernant notre cher bonhomme. Certaines des personnes que nous avons déjà citées ont été assez dures à son endroit, mais personne n’en a entendu parler, évidemment. C’est comme ça que ça fonctionne ! Cela ne fait que témoigner de la puissance du réseau de contrôle qu’exerce dans le monde cette séduction dans les publications, les médias, etc., voulant que tout ceux qui avancent un enseignement anti-biblique sont encouragés et quiconque avance un enseignement vraiment biblique est réprimé, même, dans bien des cas, dans les églises et les maisons d’édition faisant censément honneur à la Bible. Il est clair que l’Éternel Dieu a permis qu’il en soit ainsi pour que cette séduction atteigne son plus haut niveau avant qu’Il ne sonne la fin de la récréation. Mais les gens peuvent lire des appréciations comme celle qui suit, lorsqu’elles creusent un peu autour d’elles :

« Peu d’hommes se sont autant moqués de la sémantique [signification des mots] qu’Albert Einstein. Il a fait fi de la signification séculaire du mot “espace” (…) mais continua d’employer le même mot avec une signification radicalement unique à lui (…) confondant ainsi la plupart des gens à leur plus grand désespoir. L’ironie de l’affaire, c’est que ce fut Einstein lui-même qui fut le plus confus, mais (…) il fut capable de cacher sa confusion (…) au moyen de l’écran de fumée de ce qui est considéré comme des mathématiques ésotériques… »[6] (emphase ajoutée)

Assez tranchant, n’est-ce pas ? Essayez celle-là :

« Il n’est possible de parler utilement d’une courbe qu’en référence avec quelque chose qui est droit (…) Mais par sa manière absurde de parler d’espace courbe ou d’espace-temps courbé, Einstein devint le grand-prêtre de la Crétinerie Absconse (…) Parler d’espace courbe est, en soi, un non-sens inimitable et de la pseudo-science, s’il en est. »[7]

Grand-prêtre des crétins… Ho ! Voilà de dures paroles sur Einstein, le Cerveau, dont le nom est pratiquement synonyme « d’extrêmement brillant », dans le monde ! Mais cela cadre parfaitement avec les Écritures qui nous disent que :

« …la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu » (1 Corinthiens 3:19).

Mais qu’en est-il de tous les autres physiciens et scientistes qui accompagnèrent Einstein ? Ils n’étaient quand même pas tous des hommes de pailles prêts à lui lécher la main, non ? À cette question, lisez cette réponse tirée d’un livre préparé par plusieurs scientistes et philosophes de la science :

« Le public a fait confiance aux physiciens, probablement plus qu’à tout autre groupe d’hommes. Mais, éventuellement, le public apprendra que ces physiciens ne sont pas plus immunisés contre les tendances aux motifs pervers de l’époque que toutes autres personnes professionnelles. Les scientistes ont les plus énormes intérêts à protéger leurs théories (…) Et l’adhésion servile et paresseuse de nombreux physiciens aux dogmes pompeux et conventionnels en font les leaders de la tendance à la baisse de la civilisation (…) Pendant soixante-deux ans, l’humanité a été intimidée par une portion incomparablement effrontée de la pseudo-science [Einsteinisme] parce que ses auteurs l’ont défendue en utilisant des mathématiques qui, quoique valides en elles-mêmes, ne sont pas appliquées en rapport avec les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. Une sorte de mathématiques supérieures absconses [abstruses] a été employée de manière fausse pour créer un langage ésotérique impressionnant par lequel l’élite initiée s’est séparée du monde et qualifie tout dissident de charlatan. »[8]

Et les « charlatans » ne se font jamais entendre parce que l’establishment y voit. Le même genre de censure est en contrôle presque total de tous les domaines de la connaissance ; toutes les Sciences Naturelles ; toutes les Sciences Sociales ; tous les Arts et les Humanités ; tout ce sur quoi l’homme possède quelque connaissance a été placé dans sa tête de manière à contredire ce que nous venons de lire, c’est-à-dire :

« … les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. »[9]

Les faits réels, la vraie logique, le monde réel, tout ce qui confirme un Créateur dirigeant lentement une Création éternelle ; pas les faits de contrefaçon, la logique contrefaite destinée à promouvoir une accidentelle explosion de matière, sans signification, sans but !

Comment pourrait-il en être autrement ? Si nous faisons marcher un instant notre cerveau, nous savons qu’un million de sortes d’yeux, de cerveaux, d’appareils reproductifs, et toute la nourriture, les racines et les fleurs, et cetera, et cetera, ad infinitum ne pourraient jamais fabriquer une explosion de matière ! NOUS LE SAVONS ! Et quand nous nous servons un peu de notre tête, nous savons que la Terre ne peut pas voyager dans l’espace à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un sens (autour du soleil) et à plus de 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans un autre sens (autour du cosmos) ! NOUS LE SAVONS !

(En passant, si la Terre allait à de pareilles vitesses, que l’éther existe ou pas, imaginez le moteur qu’il faudrait à une fusée, ou à une navette spatiale quelconque, pour la rattraper une fois qu’elle est sortie de son attraction ! Quel appareil possède un moteur assez puissant et assez de carburant pour aller plus vite que ce que l’on suppose être la vitesse de la Terre autour du Cosmos ?! C’est absurde !)

Lorsque nous utilisons un peu notre jugeote, nous savons, à partir de ce que nous avons vu dans ces pages, que l’humanité a été trompée par une fausse science employant des mathématiques de fous pour nier la Création de Dieu qui s’étale sous nos yeux, exactement comme il est stipulé dans la Bible. En vérité, à peu près tous les habitants du monde se sont dit…

« …être sages [mais] ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Finalement, si nous nous faisons encore un peu aller la cervelle, nous ne pouvons que savoir que Dieu, qui a expliqué clairement toute la Vérité, de la Création jusqu’aux Cieux, dénoncera et détruira l’idole de la fausse science du monde érigée sur le copernicisme et l’évolutionnisme parce qu’ils ont fait de la matière un dieu et Il ne permettra pas à ce mensonge de continuer ! Il ne permettra pas à de faux dieux de voler SA gloire ! Jamais ! Qui pourra ignorer que le Dieu Tout-Puissant, qui a tout créé de A à Z, a déjà déterminé que A — la Création — sera reconnu comme la Vérité par tout le système du monde (Apocalypse 14:6-7) avant qu’Il ne continue avec Z — le Ciel ?

Donc, il y a une « logique » fondée sur le dieu/matière et son accident (ou un quelconque dieu faible et anti-biblique, parti déjeuner) et il y a la logique fondée sur le Dieu Créateur de la Bible qui a également créé un paradis céleste et éternel qui viendra s’installer sur une nouvelle Terre et sous de nouveaux cieux. Deux logiques. Une biblique et l’autre anti-biblique. L’une confirmée par la moindre parcelle du gros bon sens, tous les faits testés (ou science véritable), toute observation faite par quiconque ; l’autre ne reposant que sur le « langage ésotérique impressionnant » des mathématiques sans le moindre iota de fait ou de bon sens pour la soutenir nulle part.

Regardons rapidement une illustration qui vaut mille mots contre le copernicisme.

GLOBE EN LÉVITATION

Voici un coup d’œil rapide sur le truc d’Einstein. Il a déclaré que rien ne peut être immobile dans l’univers (exceptés les « observateurs » arbitraires qu’il fait ressortir partout dans l’univers pour illustrer ses théories). L’idée que tout dans l’univers devait être en mouvement fut le fondement de sa Théorie de la Relativité, comme nous l’avons souligné plusieurs fois.

Or, lorsque l’épouse et la fille de Marshal Hall lui montrèrent l’annonce illustrée plus bas, il trouva que c’était bien de valeur qu’Einstein n’ait pu avoir l’un de ces Globes Terrestres en Lévitation (Ill. XII).

Sans doute, si ce gadget fabriqué par quelque personne ordinaire et détaillé à 150,00 $ peut faire flotter dans les airs par un champ magnétique une Terre immobile simulée, donc Dieu le Créateur, qui a dit qu’« il suspend la terre sur le néant … tellement qu’elle ne sera point ébranlée » (Job 26:7 ; Psaume 93:1), peut certainement faire de même avec la vraie Terre, n’est-ce pas ?

Cent cinquante dollars pour renvoyer Einstein et tous ses disciples à leur planche de travail ? J’en prend une douzaine !!

Illustration B : Maintenu en place par une technologie magnétique avancée, le Globe Terrestre en Lévitation de 23 cm de diamètre flotte dans l’air sans effort. Touchez-y, faites le tourner et voyez comme il demeure dans le champ magnétique créé par son support haute technologie. Cartographie récente et précise, avec montagnes en relief tridimensionnel et océans antiques aux couleurs de parchemin. Fera beaucoup jaser !

#86529-3 46 cm de haut             150,00 $

 LES CONTREFAÇONS

La Terre ne peut pas être immobile et en mouvement. C’est l’un ou l’autre. Il y a deux explications pour l’existence des saisons sur Terre et toute autre chose que nous constatons sur sa surface. L’une de ces explications est basée sur une Terre qui tourne ; l’autre explication est fondée sur une Terre immobile.

Une de ces explications est donc vraie. L’autre est fausse.

La fausse explication ne peut pas être parfaite. Si elle était parfaite, elle serait vraie. Elle n’est pas vraie. Elle est imparfaite.

Ce qui est imparfait comporte des défauts. Un faux billet de 20 $ peut être si bien fabriqué que seuls des experts entraînés peuvent en découvrir les défauts. Mais les défauts sont toujours là. Lorsqu’ils sont découverts et révélés, la tricherie est élucidée. La contrefaçon peut avoir été très, très trompeuse. Elle peut avoir été prise pour la chose réelle et s’être promenée dans les banques et autres commerces à plusieurs reprises. Néanmoins, elle possédait des défauts qui prouvaient que c’était un faux, une fraude des plus trompeuses et rien de plus.

Alors, logiquement, toutes les contrefaçons possèdent des défauts que l’on peut découvrir. Toujours selon la logique, quand on n’a que deux choses à comparer et que l’une doit être vraie (comme avec l’héliocentrisme et le géocentrisme), alors, la découverte de défauts dans l’une prouve, non seulement que c’est une contrefaçon, mais prouve également et en même temps que l’autre est à la fois sans défaut et la chose réelle, l’article véritable, la Vérité. N’importe qui peut saisir ce principe.

Mais c’est le prétendu « génie » qui a un problème de logique ! Et cela n’est guère étonnant ; à peu près tout ce qu’on a appelé « éducation » lors des quelques dernières générations a été fondé ou dérive des contrefaçons de l’homme face aux Vérités bibliques impliquant la Création. Si les « vérités » que tout le monde apprend, concernant l’origine et la nature de l’Univers, de la Terre et tout ce qu’elle renferme, s’avèrent un tissu de mensonges, est-il alors étonnant que la logique du gros bon sens soit enterrée et méprisée, considérée comme quelque chose d’inférieur à la théorisation abstraite ?

Donc, s’il y a toujours des défauts observables dans tout ce qui est une contrefaçon, cela ne signifie-t-il pas qu’il y a de ces défauts observables dans le Système copernicien que l’on enseigne aujourd’hui dans le monde entier comme étant un fait scientifique ? C’est exactement ce que ça veut dire ! Voilà l’essentiel du copernicisme : ce n’est que défauts sur défauts ! Comme l’Évolutionnisme, il n’y a rien de vrai dans ça ! Toutes les déclarations qu’on y fait ne sont que des hypothèses qui violent les faits observables. Personne n’a jamais vu la Terre tourner. Personne. Aucun test, ou photo prise de l’espace, ou quoi que ce soit d’autre ne l’a jamais montré en rotation.

Nous croyons que la Terre tourne parce qu’il y a eu 400 ans d’endoctrinement incroyablement sophistiqué, motivé par Satan, provenant de l’establishment de la science qui nous dit qu’elle tourne. Personne (sauf au jour de Josué !) n’a jamais observé le soleil se maintenir immobile. Nous croyons que le soleil est immobile parce qu’il doit être immobile dans le système copernicien, et nous devons croire au système copernicien parce que s’il n’est pas vrai, alors, cela prouve de manière véritable que la Bible a raison et que 400 ans de la « sagesse » de l’homme tourne en eau de boudin !

Et la contrefaçon sera dénoncée et les gens partout dans le monde seront estomaqués de constater qu’ils ont été si terriblement trompés. Et ils seront en colère ! Un paquet de gens, peut-être tout le monde, seront, au mieux ennuyés, au pire furibonds, lorsqu’ils découvriront qu’ils se sont fait avoir en regard de quelque chose d’aussi énorme !

Quand vous accouplez le choc et la colère que causeront cette dénonciation avec le choc et la colère que provoqueront la dénonciation de l’Évolutionnisme, vous verrez clairement qu’il est raisonnable de pouvoir nous attendre à ce que ces émotions se traduisent précisément par le genre de destruction des systèmes du monde que nous voyons dans l’Apocalypse, au chapitre 18, où est décrite la Chute de Babylone.

Donc, personne n’a jamais, jamais, JAMAIS vu ou senti la Terre bouger à quelque vitesse que ce soit, encore moins les fantastiques vitesses dont nous allons discuter dans cette section, vitesses exigées par le Système copernicien. Personne n’a vu le soleil faire autre chose que se lever, traverser le ciel d’est en ouest et se coucher. Personne n’a jamais vu la lune aller vers l’est, comme il se doit dans le Système copernicien. Elle se lève toujours en est, comme le soleil, va en direction ouest et se couche en ouest. Si nous croyons autre chose, c’est qu’on nous a enseigné autre chose, comme les gens de toutes les époques de l’histoire ont cru à toutes sortes de séductions en les qualifiant de vérités.

Oui, mais, les gens ne pensent-ils pas qu’il soit impossible que le monde moderne de l’ère spatial et des ordinateurs puisse être floué si magistralement à propos de ces deux pierres de touche de leurs connaissances, c’est-à-dire, l’origine et la nature de la Terre et tout ce qu’il y a au-delà et sur elle ?! Les gens ne croiront jamais avoir été trompés à ce point ! Et s’ils ont été trompés à ce sujet, sur quoi d’autre l’ont-ils été aussi ? Pratiquement tout ce à quoi les gens croient doit alors être suspecté de séduction !

Déduction parfaitement logique, non ? Et les plus suspectes de toutes les croyances doivent être celles concernant Dieu. Logiquement, les gens vont dire : « Y a-t-il une façon de savoir quelle religion est véritable et laquelle est contrefaite ? » Et, toujours selon la logique, la seule réponse est « Oui ! ». Il n’y a qu’un seul assortiment de vérités concernant Dieu et Son Plan. Seulement un. L’islam, le christianisme, le bouddhisme, l’hindouisme, le judaïsme, etc., clament tous posséder la vérité au sujet de Dieu. Logiquement, une seule est véritable et les autres sont fausses, ou bien toutes sont fausses et la vérité est ailleurs. En quelque part, il y a la vérité concernant Dieu, et toutes les autres réclamations sont des séductions, des contrefaçons, ayant fraudé les multitudes depuis des années et des années.

Ce que nous disons et démontrons donc, c’est que toute Vérité sur tous les sujets se trouve dans la Bible ; elle peut être (et sera) identifiée et séparée des tromperies concernant tous les sujets. C’est ce qu’enseigne la Bible et c’est là que cette question du copernicisme nous conduit !

C’est parfaitement logique. Lorsque le copernicisme commencera à tomber et que la condamnation de l’Évolutionnisme se verra à l’horizon, la Bible sera considérée comme la seule véritable source de la Vérité que Dieu utilisera pour libérer et séparer tout Son peuple et l’amener dans « l’unité de la foi » (Éphésiens 4:13). Jésus, Pièce maîtresse de la Bible et du Plan de Dieu pour l’humanité, sera pris pour ce qu’Il est et sera, soit rejeté, soit adoré. Les séductions doctrinales vont disparaître très rapidement. Ceux qui aiment la vérité seront libérés par elle. Ils ne formeront « qu’un seul esprit ». Ils sortiront des systèmes du monde — i.e., Babylone (Apocalypse 18:4). Le reste des prophéties sur la fin des temps, dépouillé des séductions, sera compris de tous ceux qui seront scellés par Dieu en tant que les Siens. Le pouvoir surnaturel et la protection de Dieu sur Son peuple (les deux Témoins et les 144 000) seront évidents à tout moment aux yeux de tous (Apocalypse 9:4). Nous pourrions continuer ainsi longtemps, en donnant les raisons scripturaires des détails de la fin des temps qui suivront la destruction du mensonge copernicien face à la Parole de Dieu. Oui, tout cela est parfaitement logique.

Si l’on concède que le copernicisme peut et sera détruit, c’est parfaitement logique. Donc, la grande question est de savoir s’il est logique qu’il tombe ou non. Le temps nous le dira, bien sûr. Pour nous, il nous apparaît scripturairement exact et, de ce fait, d’une inévitable logique que Dieu exposera et détruira l’idole de la fausse science qui a fait en sorte que soient rejetées Ses Vérités fondamentales sur la Création biblique et ce, virtuellement par tout le monde un tant soit peu lettré. Et aucun homme ne peut arguer que la destruction du Copernicisme et de l’Évolutionnisme ne puisse discréditer totalement le faux establishment scientifique. Personne ne pourra arguer que cette destruction n’amènera pas des millions de gens à se tourner vers une Bible prouvée comme étant le seul espoir des gens de trouver la mine logique de toute Vérité.

Chose certaine, il faudra un geste de Dieu Lui-même pour soulever la question, exposer et détruire le copernicisme et l’évolutionnisme. Que les gens y croient ou non, ils peuvent lire et savoir que la Bible dit que Dieu anéantira toutes les œuvres du Diable (1 Jean 3:8). Qui peut arguer qu’il n’est pas logique que cette destruction débute avec les deux plus grandes et plus fondamentales séductions sur lesquelles repose l’empire de Satan aujourd’hui, c’est-à-dire, le copernicisme et l’évolutionnisme ??

Notre but est de fournir un survol du genre de preuves qui peuvent — grâce à l’aide des autres pouvant les polir et les étendre — mettre la séduction copernicienne à découvert et ainsi amener toute supercherie à plier l’échine devant la Parole de Dieu qu’elle a violée.

D’accord pour la Logique. Regardons quelques défauts de la contrefaçon.

LA PANSE

Laissons l’astronome Fred Hoyle définir « la panse » pour nous. Il a dit :

« Il est bien connu qu’en conséquence de sa rotation, le diamètre équatorial de la Terre excède le diamètre polaire d’environ 27 milles [43,2 km] — en d’autres mots, la Terre est légèrement aplatie à ses pôles. »[10]

Donc, la supposée rotation de la Terre a balayé la poussière au milieu et lui a donné une bedaine de bière de 27 milles [43,2 km]… ! C’est ce que disent tous les livres, ainsi que toute une série de théorisations fantastiques avançant comment la « panse » s’ajuste elle-même pour empêcher que la Terre ne se renverse, ainsi de suite. Ce ne sont que des extrêmes hallucinants de théorisations insensées qui sont requises pour conserver le mensonge de la Terre qui tourne ! Incroyable…

Tentons de bien comprendre. Imaginons une photographie de la Terre prise de la lune, ou même d’un satellite géosynchrone. Nous avons déjà vu de ces belles images. Maintenant, si la Terre est 27 milles [43,2 km] plus épaisse à la « taille » (à l’équateur), cela veut dire environ 142 000 pieds [432 000 cm] en dehors du rond. Ou environ 3/8 de un pour cent. Ou, vu d’une autre façon, environ cinq fois la hauteur du Mont Everest, la plus haute montagne de la Terre ! Voyez-vous où je veux en arriver ?

Trois huitième de un pour cent, c’est quand même pas mal ! Ce devrait certainement être une distance décelable ! Bien sûr ! Nous pourrions ressortir deux douzaines de citations de « scientistes » proclamant qu’ils ont détecté des distances sur la lune établies de quelques pouces à un pied ou deux au plus… Donc, s’ils peuvent détecter un pied de déviation en utilisant des photographies de la lune prises de la Terre, pourquoi ne pourraient-ils pas détecter plus de 142 000 pieds [432 000 cm] en utilisant des photographies prises de la lune ou de satellites géosynchrones ? Ce serait une preuve factuelle et rigoureuse de l’existence d’une panse s’ils pouvaient seulement la mesurer et la confirmer. Et une panse ou renflement soutiendrait assurément et tendrait à confirmer la théorie d’une Terre qui tourne… Si elle tourne, elle doit aussi orbiter autour du soleil et le copernicisme serait approuvé et la Bible désapprouvée.

C’est ainsi que cela pourrait être. Mais ça marche dans l’autre sens aussi, voyez-vous ? Faisons prendre les mesures et confirmons-les (nous-mêmes, car nous n’avons pas vraiment confiance en ces bozos, n’est-ce pas ?). Ces mesures démontreront que la Terre est d’une rondeur plus parfaite qu’une bille de roulement finement machinée, étant donné son diamètre de 8 000 milles [12 800 km] ! Il n’y aura pas de panse, ce qui signifie pas de rotation, ce qui veut dire pas d’orbite, ce qui sous-entend que le copernicisme est déclaré faux et la Bible déclarée vraie !

Oui, vous, les fendants, mesurez-la ! Et ne mentez pas sur les résultats, car il y a des milliers d’astronomes amateurs dans le monde qui peuvent aussi prendre les mesures ! Ça commence à nous enrager, et il est plus que temps de prouver, prouver, i.e., P-R-O-U-V-E-R que le copernicisme n’est rien d’autre qu’une supercherie monstrueuse. Ce qui inclut Einstein et sa « relativité » ! Autre trompeur, autre tromperie ! La Vérité de Dieu n’est relative à rien ! Elle est absolue et ne peut être altérée. On ne peut faire de compromis avec elle. Et, en ce qui concerne cette histoire de Terre-qui-tourne, la Vérité dit qu’il y a différentes sortes de preuves incontestables que la Terre est immobile et ne peut être remuée, tel que l’enseigne la Parole de Dieu.

Ça n’a tout simplement pas de bon sens que la technologie moderne ne puisse déterminer si la Terre fait un embonpoint de 27 milles [43,2 km] au niveau de l’équateur ou si ce n’est pas le cas ! Pas de sens du tout ! Utiliser certaines des photos de la Terre prises de l’espace et en mesurer la panse (qu’elle n’a pas !) nous fera un excellent début ! Référez-vous à l’Illustration XIII.)

Illustration XIII

Une des premières photographies prises par satellite — enregistrée par le VISSR, le 8 septembre 1977. Remarquez l’Australie au bas de la photo et un typhon sur la côte de la Chine, en haut à gauche. Vous noterez que les circonférences de l’Équateur et des Pôles ne révèlent aucune « panse », aucun renflement, mais sont identiques sur cette photo à petite échelle. De parfaites photos tirées au format 8’ et 10” [269 cm] de diamètre devraient montrer un renflement de 3/8 de pouce [1 cm] au niveau de l’Équateur, s’il y a une panse. Vous voulez gagez ?!

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[1] Herbert Dingle, La science à la croisée des chemins, (Londres : Martin Brian & O’Keefe, 1972), p. 155.

[2] Ibidem.

[3] Ibidem, p. 133.

[4] Ibidem, p. 155.

[5] Ibidem, p. 133.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe d’Einstein et les papiers d’Ives, (Old Greenwich, Conn., Devin-Adair Cie, 1979), p. 31.

[7] Ibidem, p. 30.

[8] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, pp. 90-91.

[9] Ibidem, p. 91.

[10] Fred Hoyle, Les frontières de l’astronomie, (Harper & Brothers, éd., New York, 1955), p. 13.




D.145 – La Terre ne bouge pas – Partie 4

 

QUATRIÈME PARTIE

SUPPOSÉE PREUVE DE L’HÉLIOCENTRISME :

LA BLAGUE CORIOLIS

 

Gaspard Coriolis (1792-1843)

Il y avait un Français, mathématicien et ingénieur, nommé Gaspard Coriolis, qui vécut de 1782 à 1843. Ce fut lui qui…

« …découvrit le premier la force Coriolis, effet du mouvement d’un corps en rotation… »[1]

Alors, qu’était-ce, une force ou un effet ? Un article du Smithsonian déclare catégoriquement :

« …Le phénomène Coriolis … est un effet, pas une force. »[2]

Ayant affirmé cela, l’article continue de l’appeler force. Voici un exemple pris du même article :

« La force Coriolis est environ 30 millions de fois inférieure à la force de la gravité aux latitudes médianes… »[3]

Plutôt faible, n’est-ce pas ? La gravité exerce une force d’à peu près quarante livres point quelque au pouce [env. 8 kg/cm], au plus fort. Trente millions de fois plus faible que cela serait une force trop petite pour être détectée ou mesurée. Cette force ne peut donc exister que mathématiquement

Mais qu’en est-il de l’effet ? Est-ce réel ou encore un mythe mathématique ? L’effet est réel, mais son application à une Terre qui tourne est aussi factice qu’un billet de trois dollars. Mais comment est-il réel ? Regardez l’Illustration VII.

Illustration VII

En 1835, Coriolis écrivit un traité intitulé Théorie mathématique du jeu de billard. L’Illustration VII est une image du concept central de l’écrit. Nous avons ici un plancher rotatif, une table de billard tournant sur le plancher et une bille du joueur lancée à travers la table en mouvement sur le plancher tournant, laquelle bille ne roule pas tout droit, mais courbe. La table se dérobe sous la bille de sorte que celle-ci manque sa cible. Cette dérobade au-dessus de la surface de quelque chose se trouvant en mouvement est l’essence du soi-disant Effet Coriolis. Et l’utilisation de ce concept pour déclarer que c’est une preuve de la rotation de la Terre est une blague de haut niveau, mais néanmoins une blague. Pourquoi ?

Il y a tellement de raisons qu’il est difficile de savoir par où commencer, mais examinons soigneusement la table de billard de l’Illustration du Smithsonian et reprenons au départ. Maintenant, gardez bien en tête, pendant que nous allons procéder, que tout ce dont nous allons parler constitue la seule et unique soi-disant « preuve » de la supposée rotation de la Terre. Le principe de Coriolis est au cœur du Pendule de Foucault qui déclare que c’est la preuve d’une Terre qui tourne. Nous examinerons d’ailleurs cette déclaration et la dénoncerons comme étant une fraude évidente dans le chapitre suivant. Mais, pour l’instant, veuillez noter une petite chose à propos de l’exemple de la table de billard qui fait en sorte de l’éliminer absolument comme source de « preuve » d’une Terre qui tourne : Nous savons que le plancher tourne !

…or, cela ne prouve nullement que la Terre tourne ! En fait, il serait ardu de trouver une plus frauduleuse démonstration de « preuve » en faveur d’une Terre qui tourne que ce plancher rotatif mu par une machine ! Cette « expérience » prouve qu’une telle surface se déroberait effectivement sous un tir de « missile » voyageant au-dessus. Bien. Appelons-le l’Effet Coriolis. Bien. Mais où est donc la preuve, dans cette démonstration, que la Terre tourne ?

Voyez-vous où je veux en venir ? Elle n’est tout simplement pas là. Mais quelqu’un s’écriera, comme le fait l’article, qu’un missile tiré du Pôle Nord vers Eureka, en Californie…

« …(sans son propre système de guidage) il tomberait dans l’océan environ 100 milles à l’ouest [160 km]. »[4]

Ensuite, l’article se fait plus clair :

« …mais si vous regardiez le projectile à partir d’une station spatiale, il vous semblerait voyager sur une trajectoire parfaitement rectiligne… »[5]

Et cette déclaration contredit l’exemple de la bille du joueur que l’on voit courber ! Et, en outre, des tirs de missile à longue portée comme celui-ci sont basés sur une Terre immobile, comme nous pouvons le lire dans cet aveu donné sous le titre de Balistique extérieure :

« … Pour les missiles à très longue portée, on utilise l’approche de la mécanique céleste avec coordonnées centrées sur une Terre immobile. »[6]

De toute façon, on propose de pareilles déclarations comme preuves que la Terre tourne alors qu’elles ne prouvent rien de tel. S’il était vrai qu’un missile comme celui-ci tombait dans l’océan, tel que déclaré, alors il y aurait une preuve que la Terre tourne. Mais nulle part dans cet article, ni dans aucun autre dans le monde, donne-t-on une seule preuve que cette déclaration est vraie, parce qu’elles ne sont que des déclarations soutenues par aucune preuve. Ce ne sont tout simplement que des suppositions basées sur une croyance préconçue et présumée que la Terre tourne. Voilà tout ce que c’est. Comme nous l’avons déjà vu :

« …la physique et les équations employées par la NASA pour lancer ses satellites sont identiques aux équations dérivant de l’univers géocentrique… »[7]

Cela est aussi vrai des équations et de la physique employées pour guider les missiles ou les jets, ou encore les obus d’artillerie. Si les missiles, les jets ou les obus d’artillerie étaient corrigés en vol à cause d’une Terre qui tourne, ils ne toucheraient jamais leur cible ou ne rejoindraient jamais l’aéroport ! Qui peut calculer les millions de milles que l’aviation a parcourus avant que n’existent les système de guidage par ordinateur, alors que les pilotes naviguaient grâce à des cartes et à des tableaux, sans penser aux vitesses mythiques de rotation variant constamment sous eux ? Lindbergh n’aurait jamais réussi, ni personne d’autre, d’ailleurs, s’il avait eu à naviguer en tenant compte de l’Effet Coriolis !

Rappelons-nous que l’article nous dit que si nous regardions à partir d’une station spatiale, nous verrions que le missile tiré du Pôle Nord « voyagerait sur une trajectoire parfaitement rectiligne ». Ouf ! Quel genre de station spatiale est-ce ? Une sorte de station immobile imaginaire ? Si c’est le cas, comme ce serait mignon dans notre supposé univers relativiste où il a été déclaré que rien ne peut être immobile ! Ou bien, est-ce une station spatiale qui fait une orbite complète autour de la Terre en une heure et demi ? Si c’est le cas, comment peut-on observer la trajectoire rectiligne d’un tir en provenance du Pôle Nord vers Eureka si notre poste d’observation est à une couple de centaines de milles [320 km] et se déplace à plus de 18 000 MPH [28 800 km/h] ? Ou alors, est-ce une station « géosynchronisée », le seul genre qui puisse permettre de percevoir une trajectoire rectiligne ? Si c’est le cas, alors, attention ! Ce type-là montrera bien le missile voyageant en ligne droite, mais il montrera également ce que nous voyons jour et nuit dans nos reportages météos télévisés, i.e., une Terre stationnaire en-dessous des nuages mouvants, des pluies se déplaçant, des ouragans tourbillonnants et des missiles lancés !

Les preuves d’une Terre immobile sont tout autour de nous, tout le temps ! Nous ne les voyons pas parce que nous avons accepté depuis longtemps une contrefaçon habile au lieu de la réalité, et nous ne recherchons tout simplement pas la réalité parce que nous croyons déjà l’avoir ! Mais si l’on recherche la sorte de preuve que peut démontrer l’Effet Coriolis, lançons un missile de façon longitudinale là où une station géostationnaire peut le retracer et regardons-le s’en aller droit à sa destination pendant que nous voyons la Terre demeurer parfaitement immobile sous lui alors qu’il est dans les airs. Voyons l’Illustration VIII. Elle est tirée du Smithsonian. Étendons-nous un peu sur cette image et sur ce qu’elle nous dit.

« Lorsque La Grosse Bertha bombarda Paris, durant la Première Guerre Mondiale, l’Effet Coriolis aurait dû dévier le tir d’un kilomètre et demi. » Illustration VIII

En plus de ce qui était imprimé sous le dessin (et qui était un mensonge), l’article ajouta ceci à propos de la Grosse Bertha :

« En 1918, les tirs de La Grosse bertha étaient en transit dans les airs pendant trois minutes, temps suffisant pour que Paris se soit déplacé d’environ un kilomètre et demi. »[8]

À un autre endroit, nous en lisons un peu plus au sujet du même compte-rendu :

« Lors de la Première Guerre Mondiale, les canonniers allemands manipulant La Grosse Bertha bombardèrent Paris à environ 120 km de là. À la portée et à la vélocité que voyageaient les tirs, l’Effet Coriolis aurait dû les faire dévier à environ 1,6 km à la droite. Toutefois, l’énorme canon était si peu précis qu’il fut simplement braqué en direction générale de Paris et les canonniers ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis… »[9]

Trois minutes dans les airs… Hummm ! Si la Terre tournait, jusqu’où Paris se déplacerait-il en trois minutes ? Eh bien, à cette latitude, il se déplacerait à 680 MPH [1 088 km/h], soit juste un peu plus de onze milles à la minute [17,6 km/m]. Disons donc 34 milles en trois minutes [52,8 km]. Ainsi, vu que le canon était à 76 milles [121,6 km] plein nord de Paris, sa rampe de lancement sur rail aurait été située à 1º de latitude plus près du Pôle Nord et se serait déplacé (selon le mythe héliocentrique) 14 MPH [22,4 km/h] plus lentement que Paris. Par conséquent, Paris se serait écarté de 34 milles [52,8 km] vers l’est, et la situation de la rampe de lancement sur rail, ainsi que le tir lancé à partir de là auraient manqué leur cible d’un mille [1,6 km]. C’est ce qu’exige le concept. Et le même principe s’applique si le canon avait été situé plein sud.

Mais si le canon avait été placé plein ouest ou plein est de Paris, l’Effet Coriolis ne serait-il pas annulé ? Oui. Examinons ce point. Dans une encyclopédie, nous lisons ceci :

« Sur Terre (…) un objet qui se déplace du nord au sud, ou sur une ligne longitudinale, subira une déviation apparente vers la droite dans l’hémisphère nord, et vers la gauche dans l’hémisphère sud (…) Ainsi donc, si un canon tirait vers le nord à partir d’un point situé sur l’Équateur, le projectile tomberait à l’est de sa trajectoire plein nord. Cette variation surviendrait parce que le projectile se serait déplacé vers l’est plus rapidement à l’Équateur que sa cible plus au nord. De même, si le projectile était tiré en direction de l’Équateur à partir du Pôle Nord, il tomberait à la droite de sa trajectoire véritable. Dans ce cas-ci, la région ciblée se serait déplacée vers l’est avant que le tir ne l’atteigne à cause de sa plus grande vélocité en direction est (…) La dérive Coriolis est donc reliée au mouvement de l’objet, le mouvement de la Terre et la latitude. »[10]

Donc, si la Terre tournait, la dérive ne surviendrait que sur une base longitudinale nord-sud, et il n’y aurait pas de dérive sur une base latitudinale est-ouest. Enfin… c’est ce que dit le livre. Et les Allemands « ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis » ?? Tout ce qu’ils avaient à faire pour contourner le « problème Coriolis » était de ramener la trajectoire de la Grosse Bertha vers l’est de Paris et déguerpir ! Mais le fait est qu’ils n’accordèrent aucune attention à ce non-sens parce qu’ils s’y connaissaient en canon et savaient qu’en réalité, la latitude où ils se situaient n’importait pas ! Il y eut tout un paquet de facteurs réels qui rendirent le tir d’un si gros calibre si inefficace et ils furent compris et acceptés. Mais corriger l’Effet Coriolis parce que Paris allait se déplacer de quelque 25 milles [40 km] dans les trois minutes séparant le tir de l’impact ne fut pas un des facteurs dont ils se préoccupèrent. Et pour la meilleure des raisons : ils savaient que ce n’était pas un facteur !

Pourquoi ne pas tout simplement diriger une expérience contrôlée avec un projectile précis, aujourd’hui, sans appareil de guidage par ordinateur ? Installons un canon à longue portée en quelque part et tirons plein nord ou plein sud en une trajectoire qui gardera les airs le plus longtemps possible et regardons si la cible a changé de place de quelques kilomètres une fois atteinte. Vous savez que la cible ne bougera pas ; je sais que la cible ne bougera pas ; l’armée sait que la cible ne bougera pas. Pourquoi ne pas le faire savoir au monde ? Pas de tricherie ! Sans suite d’ordres frénétiques provenant de Washington ou de n’importe où ailleurs pour manipuler l’expérience ! Faisons-le comme il faut et c’en sera fait du copernicisme !

Pourquoi pas ? Après tout, nous avons ici affaire avec une supercherie au potentiel apocalyptique si bien exposée ! L’Effet Coriolis est une réalité démontrable qui a des résultats lorsque quelque chose est en mouvement sur une base rotative. Bien sûr que oui ! Mais appliquer cette réalité démontrable à la Terre que l’on n’a jamais démontrée en mouvement (sauf par des mathématiques et la philosophie !) revient à une falsification non-scientifique ! Ce qu’il y a de beau, dans cet Effet Coriolis, c’est que — grâce à un canon ou un missile contrôlé — on peut l’utiliser pour prouver que la Terre ne tourne pas. Le reste n’est que pure séduction fondée sur une pure supposition traduite d’un pur bluff.

Alors, sautons à pieds joints dans le fonctionnement du Pendule de Foucault, supposé démontrer l’Effet Coriolis en opération sur une Terre qui tourne.

Le Pendule de Foucault

Jean-Bernard-Léon Foucault (1819-1868)

Ce « pendule » — comme tous les autres Pendules de Foucault partout ailleurs — est suspendu à un support pivotant…

« …de manière à pouvoir balancer sur n’importe quel d’une infinité de plans verticaux… »[11]

Ce support pivotant peut tourner librement pendant que le pendule se balance. Aucun autre pendule n’est monté de cette façon. Ce pendule ne fut conçu et produit que pour un unique dessein : « prouver » la rotation de la Terre. Il est assurément clair dès le départ qu’un support qui permet au plomb de frétiller de quelques degrés en quelques heures est déjà suspect.

L’anneau par lequel descend le câble détermine les limites de l’arc que le plomb peut balayer en bas. Le câble passant au-travers de l’anneau était visiblement décentré de trois centimètres ou plus à l’Institut Franklin de Philadelphie, de même que celui du Smithsonian à Washington. (Une série de contretemps empêchèrent de voir l’anneau et le reste de l’appareil à Paris, en France, où le dispositif avait été réinstallé.)

Plus souvent qu’autrement, lorsque le pendule a presque atteint son minimum, son balancement maximum est renouvelé en tirant le câble sur le bord de l’anneau le plus loin possible de son point décentré. Après avoir été redémarré, le câble traverse jusqu’au côté rapproché de l’anneau et frappe cette partie de l’anneau de manière visible. Il revient ensuite vers l’autre côté de l’anneau, mais ne le touche plus. Il retourne encore pour frapper à la même place. Et ainsi de suite.

Donc il frappe un côté mais pas l’autre. Et lorsqu’il perd de sa force, il cesse aussi de frapper le côté rapproché. Toutefois, quand il frappe ce côté rapproché, cela cause une secousse et un balancement visible du câble qui soutient le plomb. Pendant ce temps, lorsqu’on le regarde attentivement, on peut voir le plomb se balancer d’un côté et de l’autre, à l’image d’une balançoire de terrain de jeu que l’on pousserait et que l’on laisserait aller, qui reviendrait dans l’autre sens et qui retournerait, etc., jusqu’à ce qu’elle s’arrête.

Après une observation minutieuse, nous suggérons que la position décentrée, en apparence inoffensive et à peine décelable, du câble au travers de l’anneau contrôlant l’arc est tout probablement une caractéristique nécessaire dans la conception du Pendule de Foucault causant ainsi une déviation au départ qui se perpétue vers la droite du premier balancement au dernier.

Chaque fois que le Pendule décolle et atteint son balancement maximum, il va plus vite qu’à n’importe quel autre moment (contrairement à tout autre pendule). En effet, chaque retour vers le point le plus bas de l’arc est juste un petit peu plus lent que le retour précédent. Ce mouvement ralenti, couplé à (ou même indépendamment de !) la résultante de la frappe contre un des côtés de l’anneau ne peuvent sûrement pas être ignorés en tant que facteurs possibles contribuant au comportement général de la démonstration.

Non seulement tout le bidule donne-t-il l’impression distincte aux observateurs qu’ils sont en train de regarder un procédé qui prouve que la Terre est en rotation, mais les signes leurs disent catégoriquement que tel est le cas. Les observateurs assument (tout comme ils assument dans les musées que les fossiles et le matériel qu’ils y voient prouvent l’évolution) que ce Pendule fournit une preuve observable que la Terre tourne. On leur dit, sur les panneaux, qu’ils regardent une démonstration scientifique qui prouve que la Terre tourne. Tout le monde « sait » (parce qu’on leur a enseigné tout le temps de leurs études que c’est un fait scientifique prouvé) que la Terre effectue une rotation sur un axe et orbite autour du soleil. Or, ils en voient la confirmation devant leurs yeux. Qui peut donc maintenant douter du « dieu science de vérité » ?! Qui peut oser prétendre que la Bible est sans erreur ?! Les gens regardent pendant une minute ou deux, lisent le petit message, et se déplacent ensuite vers un autre étalage de démonstration « éducatif » payé de nos taxes et qui leur dit que la vie sur Terre évolue depuis trois milliards d’années et qu’ils sont le résultat final de ce processus évolutionniste. Et qu’est-ce que c’est que cette espèce de mythe biblique à propos d’Adam et Ève… ? Et ainsi de suite.

Ce que cette horde de gens voient, en réalité, c’est une fraude pseudo-scientifique, une supercherie astucieusement imaginée destinée à persuader le monde que la « science » a prouvé que la Terre révolutionne autour d’un axe (et, à partir de là, orbite autour du soleil, etc.).

Mais soyez assurés que le « Pendule » de Foucault ne prouve rien de tel ! Non seulement le Pendule se déplace-t-il plus lentement à chaque coup, mais la distance parcourue est toujours plus courte. (Le pendule de votre horloge grand-père parcourt la même distance à la même vitesse, à chaque coup. Mais rappelez-vous que ces pendules ne sont pas des Pendules de Foucault. Ils sont fermement attachés — ils ne ballottent pas dans tous les sens au travers d’une cavité lâche — et ils couvrent la même distance, à la même vitesse, à chaque balancier.)

Or, ce que cela nous amène à comprendre, ici, c’est que le Pendule de Foucault est la contrefaçon d’un vrai pendule ! CE N’EST PAS UN VRAI PENDULE ! Ce n’est rien de plus qu’une invention diaboliquement ingénieuse s’appuyant sur l’excellente réputation des véritables pendules pour asseoir sa crédibilité et prétendre démontrer une Terre qui tourne (et la Bible prise en défaut !).

Examinons le fait précédemment mentionné à propos du plomb parcourant une distance toujours plus courte, d’un balancement à l’autre…

Plus courte de combien ? La distance exacte doit sûrement être mesurable (même si c’est un peu ennuyant). Mais elle est là, et observable plutôt facilement aux différents niveaux de l’échelle, à l’Institut Franklin ainsi qu’au Smithsonian. De plus, ce n’est que gros bon sens que le « Pendule » ralentisse parce qu’il ne monte pas aussi haut (et ne va pas aussi loin) que la fois précédente et il a moins de temps pour prendre de la vitesse gravitationnelle dans son mouvement vers le bas. Si on le laissait aller assez longtemps, il s’arrêterait tout simplement et demeurerait là, immobile comme un sac de patate…

Et, en fait, c’est ce qui arrive jusqu’à ce qu’on le remonte à l’intention des spectateurs, à 10h00 chaque jour. (Il pend là, sans le moindre mouvement ! Cela nous fait penser à la description biblique de la Terre, n’est-ce pas ?) Mais revenons-en au fait qu’il perd un peu de distance à chaque balancement. Imaginons un chiffre quelconque pour mesurer la distance perdue au second balancement. Disons 1/30 de centimètre plus court, cette fois-ci, que le premier balancement (du côté où le pendule ne frappe pas l’anneau !). À chaque balancement subséquent, le trajet sera plus court de presque 1/30 de centimètre. Maintenant, regardez la distance entre les broches que cogne le « doigt » ressortant du bout inférieur du plomb (Ill. IX).

Illustration IX

Cette distance est-elle en corrélation avec celle perdue par le nombre de balancements que cela prend avant de frapper la dernière broche ? Gageons que oui. Cela nous dit-il que le résultat des faits mécaniques impliqués dans le ralentissement et le raccourcissement, à chaque fois, de la distance est la mesure précise de balancement requis pour frapper l’autre broche ? Ou alors, est-il plus facile de lire la petite pancarte qui dit que c’est le résultat du mouvement de la Terre ? (Ai-je entendu quelqu’un dire : « On s’en fiche ! » ? Demandez à Dieu… C’est Lui et Sa Parole que le « Pendule » de Foucault qualifie de menteur !)

En outre, mes amis (retenez bien ceci !), la vitesse de rotation supposée à Philadelphie serait de 1 100 pieds [338 m] à la seconde, pas de trois à quatre pouces [10 à 12 cm] au quart d’heure ou à peu près ! À la vitesse où l’on suppose que tourne la Terre, le plomb manquerait toutes les broches et ferait un trou dans le mur dès le premier balancement !!

Nous le répétons : le « Pendule » de Foucault n’est qu’une parodie du véritable pendule. Ce n’est pas un vrai pendule. Il a été fabriqué pour faire ce qu’il fait. C’est un pendule de contrefaçon soutenant une théorie de contrefaçon et les deux sont plein de trous ! Même en remontant à 1898 :

« …un physicien allemand, nommé Garber, démontre qu’un univers en rotation entraînerait le plomb du pendule comme si l’univers ne bougeait pas lors même que la terre tournerait. Et, ainsi, à partir d’une perspective relativiste comme d’une perspective non-relativiste, la conclusion demeure la même : le Pendule de Foucault ne peut ni prouver la rotation de la Terre ni la désapprouver… »[12]

J’aimerais bien inscrire cela sur un écriteau et le déposer au Smithsonian et tout autre endroit dans le monde où des milliers de gens, tous les jours, se laissent tromper à croire que ce bidule prouve que la Terre tourne…

SATELLITES GÉOSYNCHRONES

Tous les faits pertinents en rapport avec ces satellites spéciaux se retrouveront sous cinq différents traitements de ce sujet à la conclusion de la Partie V.

La raisons pour laquelle nous énumérons ce sujet ici, c’est pour bien laisser entendre que nous sommes parfaitement au courant que ces satellites sont utilisés comme preuves d’une Terre en mouvement.

La pensée secrète se cachant derrière cette « preuve » sera clarifiée, et annulée, dans la Partie V.

LA PLANÈTE BLEUE

(Cinéma Spacedome : PLANÈTE BLEUE — Explorez l’environnement au travers des yeux des astronautes de la navette spatiale. Le cinéma loge un système spectaculaire de film Omnimax® 70 mm qui vous amènera tout autour de la Terre et dans les étoiles.)

Les deux lettres de Marshal Hall reproduites ci-après donnent des éléments de base sur un intéressant bluff proféré à la télévision nationale, il y a quelque temps.

Illustration X

  (Traduction de la lettre de l’Illustration X)

Archives de la NBC                                          3/5/91

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

Cher archiviste,

Le 26 ou le 27 novembre 1990, il y a eu un reportage au sujet d’un nouveau film dans un segment de l’émission Today.

Le titre du film abordé est La Planète Bleue.

(Je crois que l’une de ces dates est la bonne !)

Ci-joint 10,00 $ tel que demandé. Si vous pouvez trouver le segment, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me l’envoyer à l’adresse que voici :

The Fair Education Foundation, inc.

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall, président

FEF, inc.

 

Illustration XI

(Traduction de la lettre de l’Illustration XI)

Archives de la NBC                                          4/20/91

a/s Natalie

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

 

Chère Natalie,

 

Vous trouverez ci-joint la requête que je vous ai formulée par téléphone en date d’hier, le 19 du mois courant, au moment où vous m’avez mis en « attente »…

Également ci-joint, vous trouverez une référence au film IMAX La Planète Bleue (celui visionné dans le programme Today) montré au Space Center d’Huntsville, en Alabama.

Peut-être avez-vous déjà trouvé et envoyé la transcription que je recherche. Si tel est le cas, merci beaucoup. Si non, et je suis certain que vous pouvez le trouver, j’en ai besoin pour compléter un projet, et j’apprécierais que vous puissiez me l’expédier dans les meilleurs délais.

Si vous n’arrivez pas à le retrouver, j’aimerais que vous me le fassiez savoir.

 

Merci,

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall

a/s de FEF, inc.

Hwy, 441 Nord

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

 

Lors d’une de ces dates de novembre 1990, un interviewé déclara que — parmi tous les merveilleux attributs de ce nouveau film — il y avait quelques séquences prises à partir de l’espace qui montraient la Terre dans sa rotation.

Sachant que cette déclaration était une ineptie de plus provenant de l’implacable machine d’endoctrinement par les médias qui fait la promotion de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme, Marshal Hall voulait toutefois savoir quelle sorte de séduction avait été employée dans ce cas particulier, mais il essaya sans succès d’obtenir une transcription de l’interview. (En fin de compte, la NBC retourna le chèque en disant que l’on ne possédait aucun enregistrement du segment programmé.)

Étant un film IMAX, les critiques sont difficiles à se procurer. Cependant, il y eut une critique dans un organisme de propagande évolutionniste du plus haut niveau, le Smithsonian. Dedans, à part les oh ! et les ah ! qui y fusent, nous apprenons que nous pouvons tous remercier pour cela…

« …le plus ambitieux, le plus spécialisé, le plus imaginatif, le plus réfléchi (…) des films grand format selon le Smithsonian [ce qu’on peut être modeste !], la Corporation Lockheed et la Corporation de la NASA… »[13]

Mais l’article ne disait rien à propos de ce que l’on pouvait voir la Terre tourner. Le Smithsonian n’aurait jamais (soulignez jamais) laissé passer une telle opportunité en or de mettre l’accent sur le copernicisme SI le film comportait des séquences qui montraient visiblement une Terre en mouvement. Alors, était-ce bien dans le film, oui ou non ?

Ayant finalement localisé un endroit où l’on pouvait visionner ce film spécial, Marshal Hall et son épouse se tapèrent 5½ heures de route vers Huntsville, en Alabama, au Centre U.S. Space & Rocket. Indubitablement, cette production montrait de nombreuses reproductions photographiques et auditives habiles de plusieurs merveilleux aspects de notre Terre vraiment magnifique. L’art de Dieu nous coupe le souffle réellement et aurait pu être apprécié pour ce qu’il est par la technologie cinématographique dernier cri qui y fut employée.

Je dis bien « aurait pu être apprécié » parce qu’il n’y avait pas le moindre indice que Dieu fut pour quelque chose dans l’existence de cette belle Terre bleue ou ce qu’elle renferme. Bien au contraire, le film contient deux messages caractéristiques destinés aux millions de spectateurs qui le voient dans tous les emplacements d’Amérique du Nord. Ces deux messages sont : 1) l’Évolutionnisme explique l’homme et tout ce qui vit sur Terre ; et 2) Un Nouvel Âge, un Nouvel Ordre Mondial est nécessaire pour empêcher les abus environnementaux qui détruiront la Terre.

L’Évolutionnisme et le prochain Nouvel Ordre Mondial revêtus des habits de l’Agence de Protection de l’Environnement… Voilà le film !

Mais il n’y avait rien sur la rotation de la Terre. Rien ! Ils s’attendaient à quelque « simulation améliorée par ordinateur » et de haute qualité à propos d’une Terre en rotation laquelle simulation on aurait fait passer pour réelle ; mais non, il n’y avait rien. Peut-être y était-ce et qu’on l’a coupé parce que trop risqué. Qui sait ? Puisque l’appareil spatial d’où furent prises les photos n’était qu’à une altitude de 200 milles [320 km] (¼ de pouce [6 mm] d’un globe d’un pied [30 cm] de diamètre) et voyageait à une vitesse de 18 000 MPH [28 800 km/h], ils savaient peut-être que toute tentative de montrer la rotation passerait pour une fabrication aux yeux de trop de gens, et ceux-ci commenceraient à se poser la question : « Pourquoi font-ils cela ? Pourquoi couler le bateau ? »

En tout cas, le film évite entièrement le sujet du copernicisme et concentre ses efforts d’endoctrinement à cimenter l’Évolutionnisme dans l’esprit des gens et à promouvoir le Nouvel Ordre Mondial.

Néanmoins, Dieu réserve une surprise merveilleuse pour tout le monde, une surprise fondée sur la technologie spatiale et en rapport avec le copernicisme. Avec toute la parfaite ironie dont on peu s’attendre, Il est prêt à ouvrir les yeux du monde sur la preuve inévitable, dure et indéniable d’une Terre immobile dont sont journellement témoins des centaines de millions de gens devant leurs téléviseurs par le truchement d’images photographiques envoyées par de soi-disant satellites géosynchrones. (Voyez Satellites Géosynchrones dans la Partie V.)

L’espace n’est pas la dernière frontière de l’homme ; c’est le Ciel ! La Vérité touchant l’origine et la nature inamovible de cette belle Terre bleue, au centre de l’univers, est entièrement décrite dans les Écritures. Cette Vérité, ainsi que celle concernant la création de l’homme et le reste, est sur le point de déclencher la dénonciation et la destruction de toutes les séductions de Satan. Le mensonge du copernicisme sera le premier à s’en aller. Ensuite, l’évolutionnisme. C’est d’une logique implacable. Vous êtes invités à continuer votre lecture et à savoir pourquoi il en est ainsi…

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[1] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Gustave-Gaspard Coriolis, (Chicago, etc., 1976), Vol. III, p. 151.

[2] Allan Linn, Oh, dans quel tourbillon sommes-nous, merci à l’effet Coriolis, Smithsonian, Février 1983, Vol. 13, No 1, p. 68.

[3] Ibidem, p. 71.

[4] Ibidem, p. 67.

[5] Ibidem, p. 68.

[6] Encyclopédie de Science et de Technologie concise, (McGraw-Hill, 1984), p. 700.

[7] G. W. Bouw, Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Cleveland, Ohio, No. 53, p. 28.

[8] Linn, Spinn, Smithsonian, février 1983, p. 68.

[9] Ibidem, p. 67.

[10] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. iii, p. 152.

[11] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. III, p. 152.

[12] Gerardous D. Bouw, Dr en physique, Le Pendule Foucault en question, publié par la Société tychonienne, Cleveland, Ohio, p.2.

[13] Edward Park, Autour et au-delà du mail, Smithsonian, novembre 1990, p. 25.




D.144 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-6

 

TROISIÈME PARTIE

(6)

Voyons maintenant ce qu’ont a dire de pertinent les prêtres-scientistes d’aujourd’hui.

Carl Sagan (1934-1996) et les autres

« Nos ancêtres adoraient le soleil et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. » — Carl Sagan

SAGAN (Carl), astrophysicien américain (New York 1934). Spécialiste de planétologie et d’exobiologie, il a joué un rôle majeur dans la mise au point des programmes américains de sondes planétaires. Il est aussi l’auteur d’ouvrages de vulgarisation.

Dictionnaire encyclopédique Larousse, Éditions Larousse 1994, Vol II, p. 1650.

Vous n’êtes pas sans savoir que l’idée de Relativité d’Einstein a continué de fournir les lignes de démarcation de l’astronomie jusqu’à ce jour. Or, de nouveaux concepts avec de drôles de noms sont sortis depuis la mort d’Albert, en 1955, mais sans la moindre mutinerie dans les rangs contre son principe cardinal de Relativité.

Le fait que la Relativité soit un concept insensé, seulement supporté par des mathématiques fumeuses, est connu d’un paquet de gens, comme nous l’avons constaté. Ces gens-là ne sont pas en charge des établissements de l’astronomie et de la physique, toutefois, donc le mythe de la Relativité continue à y être maître. Tout concept extravagant mis de l’avant complimentant la Relativité (et l’Évolutionnisme !) grâce à ses trappes matérialistes est appelé science et immédiatement mis en exergue dans les journaux, sur la liste des best-sellers et mis en ondes à la télévision. Pendant ce temps, la censure sur le point de vue contraire est totale. Son accès au public par l’intermédiaire des médias normaux est pratiquement inexistant. Le bâillon est tenu serré.

Qu’en est-il du camarade Sagan ? Il a souvent fait la manchette à la télévision au fil des ans. Dans un article à son propos intitulé La superstar scientifique, on rapportait que…

« …Sagan était si souvent au Tonight Show que ses étudiants commencèrent à dire : “Voiciiiiii Carl !” quand il entrait dans sa classe, à l’Université Cornell. »[1]

Carl Sagan a vendu des millions de livres et s’est amassée une fortune. Quel était son trip ? L’évolution. « Mais n’était-il pas astronome ou physicien ? » me demanderez-vous. Oui, mais il faisait dans l’extra-terrestre ! La vie dans l’outre espace… à la E.T. ou comme les apparitions à grandes oreilles pointues et gros sourcils que l’on voit dans Star Trek !

Oh, Sagan parlait de quasars, de pulsars, de trous noirs, de naines blanches, de géantes rouges et autres concepts mythologiques du vocabulaire de l’astronome moderne, mais son principal jeu fut de si bien établir une certaine idée que personne ne pourrait la défaire. Et cette idée, c’était l’évolution.

Le lien est simple. Si les gens sont convaincus qu’il y a de la vie partout dans l’univers et qu’on leur dise sans cesse que c’est de la vie qui a évolué, cela renforce grandement l’enseignement que toute vie sur Terre a aussi évolué. Et cela va dans les deux sens. Car si nous croyons que nous avons évolué sur Terre, nous pouvons donc croire aussi que d’autres formes de vie ont évolué dans l’outre espace !

Sagan a fait une grande et brillante carrière en accomplissant ses buts d’expansion et d’instillation du concept évolutionniste dans l’esprit des gens. Selon sa propre estimation, sa grande série télévisée, Cosmos, atteint 150 millions de gens. Ce n’était que pure propagande évolutionniste, comme tout ce qu’il a écrit et promu. De son livre sur l’évolution du cerveau humain à tout son matériel télévisuel, en passant par tout son travail à la NASA, tout le bataclan n’est purement et simplement qu’un blitz d’endoctrinement évolutionniste bien coordonné et à peine déguisé. Bien coordonné ?

Bien sûr ! Avez-vous entendu parler de J. Gould, le biologiste d’Harvard qui est depuis quelques années, maintenant, le principal porte-parole de l’évolutionnisme aux Etats-Unis et dans le monde ? Ni lui ni personne d’autre n’a jamais trouvé de chaînon manquant évolutionniste là où il aurait dû y en avoir un train complet tout au long de la « chaîne de l’évolution » ; donc, Gould vola à Goldschmidt la vieille idée monstrueuse d’une évolution accélérée. Cette idée sauvage et non-scientifique est un refuge de dernier espoir pour une théorie sans mécanisme qui dit qu’un oiseau sortit d’un œuf de reptile, un beau matin, et qu’un amphibien donna naissance à un mammifère et ce genre de chose.

On appelle cela « l’équilibre ponctuel ». Mon œil ! À côté de ce non-sens, Mary Poppins et Blanche-neige représentent de la science pure ! Mais ne vous y trompez pas, « l’équilibre ponctuel » est la raison d’être de l’évolutionnisme d’aujourd’hui. Or, Gould et Sagan étaient de bons amis.

Donc, l’un fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur la Terre et l’autre fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur tout ce qui est extérieur à la Terre, dans l’outre espace… ! L’évolution dans l’espace galactique s’est vu octroyer un drôle de nom, comme s’il s’agissait d’une science véritable et qu’elle décrivait quelque chose qui existe. Notez ceci tiré du Science Digest :

« Les spécialités académiques du Dr Sagan sont la chimie et la physique planétaires, mais il s’est également beaucoup impliqué dans la recherche de vie étrangère. Ce domaine, connu sous le nom d’exobiologie, est parfois qualifié de science sans information. Aucune preuve évidente n’a encore été trouvée montrant que la vie existe sur d’autres planètes. Néanmoins, la grande majorité des astronomes sont presque certains que toutes sortes de bestiaux galactiques peuplent l’univers. »[2]

Bon filon ! Une « science » sans information, ni preuve ! Et ils y croient, et ils l’enseignent, et ils le prêchent quand même ! Il n’y a pas un seul enfant âgé de six ans et ayant accès à un téléviseur qui n’ait été soigneusement endoctriné au moyen de dessins animés et autres chevaux de Troie pour gosses afin qu’ils considèrent normal tout un tas d’extra-terrestres exécutant les choses les plus insensées et surnaturelles.

Et ainsi le message évolutionniste est implanté dans l’esprit des enfants de manière subtile par ce blitz de propagande à la Sagan impliquant des « étrangers » (aliens) alors qu’il n’y a pas la moindre preuve d’une quelconque forme de vie ayant évolué dans l’espace. Et nous sommes tous des enfants de six ans, face à ce blitz. Le E.T. de Spielberg en est un bon exemple. Jouant avec un art consommé avec les émotions des gens, ce chef-d’œuvre satanique brisa les records d’entrées au guichet et est devenu un classique parmi un camion plein de films, de livres, d’animations « documentaires », etc., avec le même message… la vie — même la plus intelligente — a évolué dans l’espace en des milliers de formes et d’endroits ! Notez ce qui suit :

« Comme ses collègues dans le domaine, Carl Sagan croit que la vie étrangère est probablement basée sur le carbone, construite de composants similaires à ceux de notre propre corps. »[3]

« …similaires à ceux de notre propre corps… » Il soulignait et renforçait le lien avec la supposée évolution sur Terre grâce à toutes sortes d’exemples imaginaires de l’outre espace. Et c’est un deux-pièces. Notez ce qu’ajoute encore Sagan :

« Les organismes sur Terre font partie de l’aspect stochastique [aléatoire] du processus évolutionniste. Recommencez la Terre à nouveau et laissez les facteurs de hasard opérer, et il est tout probable que vous n’en verrez pas sortir quelque chose qui ressemble à un être humain… Ce sera phénoménalement différent… »[4]

Comme E.T. ! Vous savez, beaucoup de gens feront entorse à toute critique envers l’idée d’un syndrome d’alien. Les gens croient en une vie dans l’espace ! Ils pensent que c’est un fait scientifique ! C’est logique à leurs yeux ; ils se font le raisonnement que, si la vie a évolué sur Terre, elle doit également avoir évolué ailleurs, sous une forme ou une autre ! Il fut un temps où je serais tombé d’accord de tout cœur avec Sagan et ses disciples lorsqu’il disait :

« Le cosmos est tout ce qu’il y a, tout ce qu’il y a jamais eu et tout ce qu’il y aura jamais. C’est l’univers qui nous a faits et nous sommes des créatures du cosmos. »[5]

C’est de la religion sans Dieu, ça, purement et simplement ! Sagan, en tant que l’un des Grands Prêtres de l’establishment scientifique, donna certains avis sur le culte :

« Nos ancêtres adoraient le soleil, et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. »[6]

Et ces soleils dans l’espace créèrent, non seulement les être humains et les autres formes de vie sur Terre, mais ils ont créé une innombrable multitude d’autres formes de vie sur une infinité d’autres planètes dans d’incalculables galaxies… ! Voilà ! C’est la matière et non pas Dieu qui aurait créé la vie, selon Sagan et les autres. C’est le message se cachant derrière tout le matériel à la E.T. et ce n’est destiné qu’à un but unique : recouvrir et celer pour toujours, bafouer, railler pour l’éternité, discréditer et détruire de façon permanente le récit biblique de la Création et, à partir de là, diffamer le reste des Écritures en général et plus spécialement la Nouvelle Alliance, ou Testament de Jésus-Christ.

Cela nous amène à soulever un point. Il y a bon nombre de scientistes et de laïcs qualifiés, énergiques et qui soutiennent le récit biblique de la Création, ici et ailleurs, qui ont mis sur pied la louable bataille contre l’évolution depuis maintenant quelques années. Ils amenèrent la question du monopole de l’évolution dans les écoles devant la Cour Suprême, en Arkansas et en Louisiane et devant la Cour Suprême des Etats-Unis, dans les années 80. Ils ont forcé les évolutionnistes à revenir sur certains textes de livres, dans un état ou deux.

Le mouvement anti-évolution peut ne pas avoir remporté de victoires majeures, mais vers la fin des années 70 et au début des années 80, et même au-delà jusqu’à la défaite devant la Cour Suprême des Etats-Unis, à la fin des années 80, il y avait un véritable esprit de vainqueur au sein du mouvement qui commençait à attirer l’attention de bien des gens.

Mais le mouvement chancela et, aujourd’hui, on en entend plus parler, du moins de manière à croire qu’il puisse jamais remporter la victoire contre le mythe contre-scientifique de l’évolutionnisme. Pourquoi ? Qu’est-il arrivé ? 80 % de la population américaine favorisait un genre de défi au monopole de l’évolution dans les écoles. De nombreux signes semblaient démontrer que le grand mythe était sur le point de subir une attaque sérieuse. Or, les créationnistes — au lieu de frapper aux portes des Cours suprêmes et avancer vers une enquête fédérale sur l’évolutionnisme et faire reculer les administrations scolaires et les comités de rédaction de bouquins scolaires — en sont réduits à faire circuler leur matériel parmi eux, en essayant d’empêcher l’État de la Californie de faire fermer les portes du seul collège créationniste reconnu des Etats-Unis, et tenter d’obtenir un don pour être sous les feux de la rampe en quelque part. Mais qu’est-il donc arrivé ?

Voilà bien une illustration précise de la situation. S’il y a un exemple de puissant mouvement en faveur de la Vérité prenant forme pour ensuite être battu et soumis, c’est bien le fiasco créationniste que nous venons de décrire. Oh, le mouvement n’est pas mort et ne le sera jamais, c’est sûr, et il possède encore un impact très positif, quoiqu’à un bas niveau, dans de petites poches de résistance dans le monde. En un sens, il est devenu clandestin. Il s’est enfoui pour fourbir ses armes, préparer une attaque ultérieure, changer de stratégie…

Voilà la clé : changer de stratégie ! C’est là où a échoué le mouvement et c’est ce que l’on doit ajuster à la Parole de Dieu avant que Celui-ci ne fasse honneur au mouvement. À cause du compromis ! Le mouvement fut contrôlé par une mentalité de compromission. « Un temps égal » pour une approche à « deux modèles » entre la création et l’évolution dans les écoles. C’était la stratégie principale.

Mais le compromis n’est-il pas une voie démocratique ? Ça chatouille les oreilles, et cela a une résonance « démocratique », mais c’est néanmoins une séduction. Soit que l’évolution s’est réalisée, soit qu’elle ne s’est pas réalisée. Sans piger dans la Bible, ou même la mentionner, des preuves scientifiques, pures et dures, démontrent sans l’ombre d’un doute que l’évolution constitue un mensonge sans aucune preuve pour la soutenir et qu’elle n’est tout simplement pas arrivée. Cependant, il ne s’agit pas de n’attaquer que l’évolutionnisme sans essayer de promouvoir le créationnisme.

La NOUVELLE stratégie n’oublie pas le créationnisme ; bien au contraire, elle garantit son succès ! Si l’évolutionnisme peut être totalement anéanti strictement avec des preuves scientifiques, et cela se peut, alors que reste-t-il pour expliquer l’origine de l’homme et tout le reste, si ce n’est un Créateur Dieu ? Une fois les millions et les milliards d’années évolutionnistes réduites en poussière dans le processus, on ne peut faire autrement que d’assimiler le Créateur Dieu au Créateur de la Bible, n’est-ce pas ?

Donc, ce qui est arrivé, c’est que la mentalité de compromis a mené à une mauvaise stratégie. Les évolutionnistes ont martelé l’idée que les créationnistes ne faisaient qu’essayer d’enseigner la Bible dans les écoles et que cela entrait en violation de la séparation de l’église et de l’état, bla-bla-bla, et ce faisant, les évolutionnistes n’avaient jamais à faire face aux preuves scientifiques qui aurait pu les tuer. Et cette tactique a parfaitement bien marché pour les évolutionnistes.

Les créationnistes sont aussi tombés dans la trappe de la Relativité. En se faisant champions d’un plan de « temps égal/deux modèles » pour l’éducation, ils présentaient comme équitable, bon et juste un plan qui disait, en substance : « Voici deux idées au sujet de l’origine de la vie. Certains disent que la première est vraie, d’autres disent que c’est la deuxième qui est vraie. Aucune ne peut être reprise, vérifiée et prouvée, donc, on ne pourra jamais vraiment savoir la Vérité. Nous croyons que les preuves s’accordent bien avec le modèle de la Création et ils croient qu’elles s’harmonisent avec le modèle de l’Évolution, ainsi nous vous donnerons un temps égal pour choisir entre ces deux “vérités”. Votre choix est relatif à ce que vous préférez, alors choisissez ! » Ou quelque chose du genre…

Et même si cette sorte de compromis semblerait, à première vue, promettre un certain gain en faveur du créationnisme, en réalité, il n’aurait pour seul résultat que d’ensevelir l’idée que la Vérité est l’objectif, la visée, le but de l’apprentissage, spécialement dans les sujets qui concernent la relation de l’homme avec Dieu. À la place, l’approche du « temps égal » insinuera la croyance qu’une « vérité » en regard des origines est aussi valable que « l’autre vérité » ; que, par conséquent, il n’y a pas de Vérité absolue en la matière ; que, en fait, la Vérité n’est relative qu’au fait que l’on prenne la tangente « scientifique » (i.e., évolutionnisme) ou que l’on prenne la tangente « religieuse » (i.e., créationnisme) concernant ce sujet.

Bien sûr, ce que voient les étudiants sur la balance de l’approche du « temps égal », c’est, d’un côté, le poids énorme de l’Établissement de l’éducation (des enseignants jusqu’en haut de l’échelle), le monde séculier (des scientistes jusqu’aux musées et les médias) et, de l’autre côté de la balance, une poignée de bigots bibliques stéréotypés criant au feu de l’enfer sur à peu près n’importe quoi. Ces enfants et ces jeunes gens n’ont pas à réfléchir longtemps pour constater de quel côté la majorité se ralliera. Et il ne faut pas grande jugeote pour voir que même les enfants qui entretiennent certains doutes seront intimidés afin qu’ils se tiennent coi ou deviennent des évolutionnistes théistes par compromission qui seront amenés à dire : « D’accord. Je vais croire que Dieu a tout créé par le moyen d’un quelconque processus d’évolution au cours de milliards d’années, comme disent les scientistes et tout le monde (sauf quelques fêlés de la Bible) et oublions ça ! »

C’est comme ça que ça marche, mes amis. Aucun doute là-dessus. Donc, le mieux qui puisse résulter de l’adoption d’un compromis en regard de cette approche de « temps égal » face à la question des origines est qu’un bon pourcentage — sauf quelques étudiants qui verront la lumière et rejetteront l’évolutionnisme en totalité —ne tomberont pas complètement en amour avec l’évolutionnisme pour devenir athées, mais accepteront un compromis et deviendront des évolutionnistes théistes.

Ça a pour résultat final que le récit biblique de la Création devient un mythe non-scientifique que les gens « éduqués » ne doivent pas croire. Ainsi, Adam et Ève, le Jardin d’Éden, Satan, sa séduction envers Ève, Adam acceptant ce mensonge, la séparation de l’humanité de son Dieu de Vérité et le début de sa servitude sous la main du dieu des mensonges jusqu’à ce que le Dieu de Vérité vienne sur Terre et forge un moyen pour l’homme de revenir à Lui… tout cela doit être chassé de l’esprit des étudiants pour toujours. Et cela peut s’accomplir tout aussi efficacement en faisant qu’une personne croit en Dieu et en l’évolution que cela peut s’accomplir en faisant un athée d’une autre personne.

Parce qu’il est impossible de croire en l’évolution d’une molécule à un homme et croire, en même temps, à la Création de six jours de la Bible et à Adam et Ève en tant que premiers et uniques parents de l’humanité. Les deux croyances s’excluent mutuellement.

Ainsi donc, en résumé, l’approche d’un compromis de temps égal pour présenter Dieu et Sa Création n’est pas adéquate pour amener les gens à réaliser que seule Sa Parole contient la Vérité sur le sujet. Aussi, cette stratégie de compromis ne pourrait obtenir l’aval enthousiaste de Dieu.

La Vérité de Dieu est absolue. Il ne permettra pas que l’on transige avec elle, aussi bien intentionnés et convaincants ses défenseurs soient-ils. Il n’y a jamais eu la moindre parcelle de preuve en faveur de l’évolutionnisme et il n’y en a pas plus aujourd’hui. Zéro ! Rien ! Le néant ! En conséquence, la stratégie contre l’évolutionnisme aurait dû être de concentrer tous les efforts et les ressources à élever le débat à un niveau mondial avec un seul but en tête : exposer scientifiquement toutes les déclarations majeures des évolutionnistes, prouver que l’évolution est une fraude contre-scientifique et la réduire au statut de mythe religieux, ce qu’elle est, d’ailleurs.

La présentation d’une série télévisée de qualité, cinq à dix heures de grande écoute, aurait fait le travail et le ferait encore. Une Enquête du Congrès sur la théorie de l’évolution pourvoirait à ce niveau mondial. Après tout, un gros montant de l’argent de nos taxes soutient directement ou indirectement l’évolutionnisme sur notre continent et il est tout à fait légitime de rechercher une enquête du Congrès sur tout ce que cet argent supporte dans les musées, les bibliothèques, les « merveilles naturelles », et surtout les écoles.

Mais la Cour Suprême n’était-elle pas de niveau mondial ? Cette course était condamnée d’avance. On ne traita jamais du sujet de manière à permettre une exposition systématique du fait que l’évolutionnisme est une fraude anti-scientifique. Tout ce que dit la Cour, c’est que le créationnisme est une religion et ne peut être enseigné dans les écoles parce que cela violerait le Premier Amendement de la Constitution. S’il y avait eu insistance à déterminer si les déclarations de l’évolutionnisme sont scientifiques ou pas, ils auraient vite trouvé que ces déclarations ne sont pas du tout scientifiques et les évolutionnistes aurait pu être dépeints comme étant ceux qui tentaient de faire avaler aux étudiants un système de croyance déguisé en science.

Ils auraient pu alors démontrer aux Etats-Unis et au monde que l’évolutionnisme est la clé de voûte de la religion humaniste que l’on enseigne de la maternelle à l’université en violation du Premier Amendement ! L’Humanisme a été reconnu par la Cour Suprême (Tarasco vs Watkins) comme étant une religion. Le credo mis de l’avant dans le Manifeste humaniste I et le Manifeste humaniste II déclare avec emphase que l’évolutionnisme est la croyance fondamentale de la religion humaniste.

L’Amérique et le monde entier ont été entraînés à croire le dogme principal d’une religion anti-biblique appelée « humanisme » et à la financer avec les gros sous des payeurs de taxe ! Vous parlez d’une séduction !

Mais c’est à peine la moitié de la trame. Pendant que les créationnistes s’affaissent dans le coin du ring, sauvés par la cloche, sérieusement amochés à la tête et au corps, le camp évolutionniste s’en tire admirablement, prêts à étendre ses adversaires pour le compte. En effet, le but est de mettre K.O. l’opposition à l’évolution au même degré que le camp Copernic/Newton/Einstein mit K.O. toute opposition de la part des tenants de l’évidence géocentrique d’une Terre immobile.

Et c’est là qu’entrent en scène Sagan et tous les autres astronomes coperniciens évolutionnistes avec leurs deux chef-d’œuvres de séduction destinés à détruire la crédibilité de la Bible. Si la « science » détruit la crédibilité du compte rendu de la Bible d’une Terre immobile, d’une création de six jours, du déluge de Noé (comme explication divine de tous les fossiles, etc.), alors quelle crédibilité la Bible peut-elle avoir quand elle parle de Jésus né d’une vierge et Fils ressuscité de Dieu ?

Examinons deux ou trois réalités d’importance mondiale que l’on peut remarquer derrière toute cette couverture. La première réalité cachée devrait nous apparaître visiblement, maintenant : l’interdépendance de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme.

Ce n’est pas vraiment compliqué : de Copernic à Einstein et Sagan, l’héliocentrisme a systématiquement, et de manière régulière et spectaculaire, étendu la dimension de l’univers à des distances que l’on mesure aujourd’hui en milliards d’années lumière. Cela a amené à relier la vitesse de la lumière (qui fut acceptée avant Darwin) à ces vastes distances et à conclure qu’il fallut des millions d’années à la lumière pour nous atteindre à partir de ces si lointaines étoiles. L’estimation standard hasardée est de 15 à 20 milliards d’années (quoique certains Russes la recule à 50 milliards).

Et voilà donc le truc ! Les évolutionnistes ont besoin de tous ces milliards d’années pour crédibiliser l’évolution de la façon qu’ils l’expliquent et les astronomes y pourvoient ! Et cela marche également dans l’autre sens ! Parce que les évolutionnistes fournissent aussi aux astronomes des milliards d’années. L’image courante donnée à l’évolution de la Terre, dans les livres modernes, est un chiffre qui sonne très bien et qui se donne un air d’exactitude : 4,6 milliards d’années. C’est par cette voie que l’on présente le Big Bang dans le mythe, voyez-vous ? Celui-ci — « l’œuf cosmique » — était au commencement au centre de l’univers, selon le mythe. Il explosa en morceaux, il y a environ 15 à 20 milliards d’années, et les morceaux et les gaz qui formèrent la Terre, la lune, le soleil, Vénus, etc., furent pris au piège par les forces gravitationnelles quelque 4,6 milliards d’années auparavant, toujours selon cette fable chimérique.

Et les morceaux qui sont censément vieux de 15 à 20 milliards d’années prirent un autre 10 à 15 milliards d’années pour atteindre leur emplacement présent après qu’ils eurent passé comme un éclair près d’où s’est arrêté la Terre. Enfin… c’est ce qu’ils disent. Et cette mitraille s’est si bien éloignée qu’il faut que la lumière voyage à 186 000 milles à la seconde [297 600 km/s] pendant des millions d’années pour nous atteindre. D’accord ? Donc, à partir de la perspective qu’un temps phénoménal est essentiel à la fois à l’évolutionnisme et à l’héliocentrisme, on voit que les deux théories se supportent et vivent l’une de l’autre…

C’est comme ça que ça marche. Ce qui nous amène à la seconde réalité qui est un point sensible, mais évident et que l’on doit traiter avec tout l’amour chrétien possible. Les scientistes créationnistes ne voudront pas toucher à la question de l’héliocentrisme/géocentrisme, même du bout d’une pôle à rideau. D’ailleurs, beaucoup d’entre eux deviennent carrément grincheux devant toute allusion les enjoignant à combattre le copernicisme. En fait, leur attitude démontre très clairement que, sauf une poignée d’exceptions, non seulement croient-ils que le système copernicien d’une Terre qui tourne est scientifiquement prouvé et véritable, mais ils estiment vigoureusement que, si les créationnistes commencent à attaquer le copernicisme, ils vont être la risée de la communauté scientifique, ce qui ferait terriblement mal au mouvement créationniste.

Quelle sorte de mouvement créationniste ça fait-il ?! C’est une blague ! Ils n’ont sans doute pas saisi le lien vital entre les deux théories (hypothèses) concernant leurs millions et leurs milliards d’années… Mais, les pauvres, il est temps pour eux d’oublier leurs objections, de voir la lumière et d’entrer dans l’arène. Leur stratégie a échoué. Celle que Dieu va utiliser pour démasquer et détruire l’évolutionnisme ne comportera aucun compromis ! Aucun faible cri insignifiant et inefficace, au profil bas, en attente, clandestin et plaidant un temps égal pour SA VÉRITÉ n’y fera ! Dieu va ravager tout Babylone (les mensonges de Satan) et Il va prouver que Sa Parole est la Vérité absolue. La reddition sans condition. Pas de compromis. Il va commencer par anéantir le copernicisme et l’einsteinisme ; ensuite, l’évolutionnisme ; puis, toutes les doctrines de démons qui aveuglent les églises chrétiennes d’aujourd’hui. C’est assurément un travail réservé aux 144 000 d’Apocalypse 7 qui aideront la multitude de laodicéens à sortir de Babylone, dans toutes les sphères qu’elle a envahi. Et cela ne prendra pas beaucoup de temps ! En effet, Apocalypse 18 dit clairement que Babylone (la confusion) va s’écrouler si rapidement que les gens en seront étourdis dans le monde entier.

Qu’ont donc à faire les scientistes créationnistes pour voir la lumière ? Eh bien, tout d’abord, ils doivent très bien se rappeler d’être absolument convaincus que la Terre n’est âgée que de six mille ans. (Très peu d’autres personnes croient à cela dans le monde, et ils sont donc déjà la risée du monde réel des scientistes séculiers, etc.). Ils doivent se rappeler qu’ils possèdent les preuves scientifiques inéluctables qui établissent que la Terre n’a que six mille ans et que tous les fossiles et les roches que les évolutionnistes utilisent pour étaler leurs millions et leurs milliards d’années furent déposés et formés par le Déluge mondial du temps de Noé, il y a moins de 4 500 ans.

Et ils peuvent le prouver, c’est certain ! Nous en avons vu les preuves tout au fil des ans. Ce sont des scientistes qualifiés dans tous les domaines, qui sont des créationnistes ayant produit des livres et des vidéos qui détruisent parfaitement la position évolutionniste de millions et de milliards d’années de mutations et de sélections naturelles transformant le néant en toute chose. Les cérationnistes possèdent toutes les bombes de vérité scientifique dont ils ont besoin pour faire exploser l’évolutionnisme en mille morceaux. Point.

Et ce n’est qu’une question de temps avant que Dieu ne coupe les amarres avec toute cette puissance de feu et n’abatte l’Humanisme mondial, l’establishment nouvel-âgiste qui repose carrément sur le mensonge de l’évolution (qui s’assoit, lui, sur le copernicisme !). Mais, en tout premier lieu, ce que doivent voir les créationnistes et où ils doivent s’ajuster rapidement, c’est a) que toute cette attaque maximum contre l’évolutionnisme doit suivre et se mêler à l’attaque maximum contre le copernicisme ; et b) que les créationnistes — à moins qu’ils ne soient charlatans (2 Corinthiens 11:13-15) — doivent tirer l’Épée contre le copernicisme aussitôt que le Saint-Esprit les aura convaincus qu’il s’agit d’une énorme duperie, comme l’évolutionnisme (conviction qui, en toute modestie, devrait leur être donnée au cours de la lecture de ce livre).

Or, qu’est-ce qui pourra persuader les créationnistes honnêtes de se joindre à la bataille contre le copernicisme et diriger leur feu sur cette cible comme moyen détourné qui les mettra offensivement en première ligne d’attaque contre l’évolutionnisme ? Deux choses persuaderont ces honnêtes gens (et nous parlons « d’honnêtes » créationnistes parce que Satan possède des agents-doubles haut placés protégeant sa séduction vitale de l’évolution !).

Premièrement : les créationnistes se sont déjà engagés à soutenir une Terre âgée d’environ 6 000 ans. C’est ce que leurs preuves démontrent et ils peuvent en illustrer la véracité par des preuves scientifiques à elles seules. Mais, que ce soit bien compris, toutes ces attestations prouvent aussi le récit de la Bible au sujet de la Création que l’on retrouve dans la première page de la Genèse. Il n’y a pas moyen d’y échapper et, sauf pour quelques agents doubles évidents infiltrés dans leurs rangs, les créationnistes soutiennent fièrement, correctement, avec ténacité et font la promotion du compte-rendu littéral de la Création de la Genèse. Voilà où conduit la preuve scientifique et où elle démontre de manière logique que le récit biblique de la Création de la Genèse est la Vérité avec un grand V. Magnifique ! Merveilleux ! Plus aucun problème ! La plupart des créationnistes seront d’accord avec cela.

Mais voici le problème que j’aimerais souligner vis-à-vis des créationnistes. La page même qui affirme avec exactitude que Dieu a créé les plantes, les animaux, et l’humanité, dit également que Dieu a créé les cieux, y compris les étoiles, dans la même période de temps (Genèse 1:14-18). Donc, si ce délai dura une semaine au début des 6 000 ans, comme le croient tous les créationnistes littéraux, alors comment se fait-il qu’ils croient en même temps au copernicisme et à l’einsteinisme qui exigent que ces étoiles (et la Terre et tout le reste) soient âgées de milliards d’années ???

Personne ne peut réconcilier ces deux opposés, et personne ne devrait se tracasser à essayer. La lumière d’étoile de Genèse 1 fut créée pour briller au-dessus d’Adam et Ève dès la première semaine où furent créés la Terre et tout ce qui existe dans l’univers. La lumière était là où sont les étoiles et elle se trouvait en même temps dans le Jardin d’Éden où étaient Adam et Ève. Il ne lui fallut pas des centaines, des milliers, des millions d’années pour voyager jusqu’ici. Tout créationniste qui croit à ses propres preuves doit ipso facto s’opposer à l’héliocentrisme copernicien parce que cette théorie n’existe pas et ne peut pas exister sans ces millions et ces milliards d’années. Point à la ligne.

Donc, personne — et certainement pas un scientiste créationniste — ne devrait tenter de réconcilier les preuves scientifiques, ni le créationnisme littéral de la Bible avec le copernicisme, parce que cela ne se fait pas. À la place, les créationnistes devraient réfléchir à la façon de sortir de ce terrain logiquement et scripturairement intenable où ils se sont enfouis en s’opposant activement ou passivement à une attaque contre le copernicisme.

Comment faire ? La première chose qu’ils doivent faire, c’est de lever bien haut la tête, en tant que les guerriers ensanglantés qu’ils sont, dans la grande bataille spirituelle. Ils ont été mis sur la ligne de front de la guerre spirituelle à un endroit où Satan doit prévenir toute percée à tout prix. Toute menace contre sa contrefaçon évolutionniste de la Création de Dieu, telle qu’enregistrée dans Genèse 1, doit être détournée et mise en échec ; Satan ne le sait que trop bien. Car ce front, cette question, cette stratégie pour détruire la crédibilité de la Bible en est venu à s’appuyer sur des siècles d’astucieuse planification surnaturelle. Tous les créationnistes, si grande ou si petite soit leur implication dans la bataille, écouteront sûrement ces paroles bénies : « Cela est bien, bon et fidèle serviteur. » Donc, en premier lieu, que les créationnistes prennent leur arc et lèvent la tête bien haut.

Deuxièmement : La préparation de tous les créationnistes n’a pas été en vain. Pas du tout ! Bien au contraire, la capacité qu’ils se sont maintenant acquise de pouvoir briser les défenses de Satan et dénoncer l’évolutionnisme au monde entier comme étant un mensonge contre-scientifique n’a souffert que d’un contretemps tactique. En se débarrassant des compromis, de la stratégie d’un « temps égal », et en revêtant une mentalité d’abandon sans compromis et inconditionnel (convenant aux champions de la Vérité Absolue de Dieu !), ils peuvent dès lors se préparer à mener l’offensive contre la Babylone de Satan et servir d’instruments dans la mise en œuvre de la victoire totale de la Vérité de Dieu sur la Création et tout ce que cela sous-entend dans la validation de toutes les Écritures.

Troisièmement : Tous les créationnistes, partout dans le Corps de Christ, laïcs ou scientifiques, doivent reconnaître qu’une Terre géocentrique et immuable est une doctrine biblique tout aussi vitale que le créationnisme. En fait, elles sont fondamentalement inséparables ! Et, vu qu’une personne prend fait et cause pour un de ces domaines vitaux de la Vérité biblique, lequel domaine est, à la base, intimement et inséparablement lié à la Création, elle doit aussi prendre fait et cause bibliquement pour cet autre chaînon vital. Pour être conséquents et, donc, crédibles, les créationnistes qui s’élèvent contre l’évolutionnisme doivent également s’élever contre le copernicisme héliocentrique.

En dernier : Que Dieu les conduise ou non à se spécialiser et à s’entraîner dans une ou plusieurs sphères de dénonciation du copernicisme, les créationnistes doivent joindre les mains aux créationnistes anti-coperniciens dont le nombre va bientôt s’accroître de façon spectaculaire, ou — à tout le moins — leur donner leur support passif de peur de révéler leur véritable fonction dans le combat anti-évolution. Car, assurément, ce doit être très clair, à la lumière de ce qui a déjà été démontré (et de ce qui s’en vient) et même de ce qui est évident à tous que a) le copernicisme est une duperie qui dure depuis plus longtemps que l’évolutionnisme et a remporté un plus grand succès ; b) de ce fait — ainsi que de l’autre fait également important que la partie héliocentrique de la bataille n’a donné aucune crainte à Satan depuis des générations et est sans défense — la stratégie des créationnistes (et de tout amoureux de la Bible) devrait être concentrée à percer une brèche contre le mensonge de l’héliocentrisme d’abord et tout de suite après amener l’artillerie lourde anti-évolutionniste ; c) le créationnisme anti-évolution a battu en retraite et ne menacera pas l’empire de Satan sans une nouvelle stratégie.

Le renforcement viendra par ceux qui auront de la joie à voir exposer le mensonge copernicien et qui seront également très en colère et galvanisés à renverser cette idole de fausse science ainsi que la structure humaniste érigée dessus. (L’esprit de crainte qui conseilla le peuple de Dieu de ne pas chercher à dénoncer le copernicisme, de peur qu’ils ne discréditent le créationnisme, est un esprit que Dieu dit ne pas venir de Lui : « Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité, mais de force, de charité et de prudence » (2 Timothée 1:7). L’Esprit de Dieu est plutôt l’Esprit d’amour, de puissance et d’intelligence. Voilà l’Esprit que tous les chrétiens — pas juste les créationnistes d’aujourd’hui — auront pendant cette bataille stratégique, car c’est une stratégie sans compromis, sans quartier, destinée à démarrer une réaction en chaîne qui conduira à la dénonciation de toutes les séductions de Satan dans le monde, et qui préparera celui-ci aux temps de la fin, au retour de Jésus-Christ et à l’installation de Son Royaume sur Terre.

Nous nous sommes un peu éloignés du sujet de ce chapitre, mais revenons-y. Il est facile de bifurquer et partir sur une envolée… Le dernier chapitre n’en sera sans doute que plus court.

Si quelqu’un a suscité l’adulation et l’exaltation à un titre presque aussi élevé que Sagan, après Einstein, dans le monde de la science, c’est bien Andreï Dmitrievitch Sakharov, né en 1921 et décédé en décembre 1989, à l’âge de 68 ans, au moment même où le régime communiste qui l’avait harassé toute sa vie, vint à s’écrouler.

Sakharov est mis au rang de…

« …scientiste de classe mondiale … dont l’œuvre fut une prescription de la future direction de la physique. »[7]

Il publia un article, en 1967, qui le rendit célèbre du jour au lendemain. Le Time Magazine, dans une rubrique de 17 pages à son sujet, dit que son fameux article…

« …traitait de la question à savoir pourquoi il y a de la matière dans l’univers. »[8]

Comment Sakharov répondit-il à sa propre question ? Dit-il que Dieu en était le Créateur ? Bien sûr que non, il n’aurait pas eu droit à une seule ligne du Time Magazine. Non, rien d’aussi simple. En fait ses réponses furent calculées de manière à renforcer la cause du Big Bang contre la Bible, comme on peut se l’imaginer, compte rendu de la grande estime qu’on lui accorda de la part de l’establishment scientifique.

Toute cette question de la matière dans l’univers s’avère cruciale en regard du copernicisme et de la relativité. C’est encore sur le tapis. C’est la base de toute idée anti-biblique tout simplement parce que l’on ne peut ignorer sa présence et qu’on doit l’expliquer « scientifiquement » d’une manière qui nie l’interprétation des Écritures. Donc, Sakharov, peu importe son mérite, fait partie d’une longue liste de « scientistes » qui, pour une raison ou une autre, ont contribué à perpétuer l’idée anti-biblique que tout ce qui existe a été créé à partir d’un Big Bang, quelque 20 milliards d’années auparavant. Spécifiquement, Sakharov a, en quelque sorte, rescapé les gars du Big Bang d’un problème qu’ils avaient parce que…

« …le Big Bang aurait dû produire des masses égales de matières et d’anti-matière. »[9]

Cela ne se pouvait pas, semblerait-il, car les conditions sur lesquelles tout le monde tombe d’accord à savoir qu’elles auraient dû être présentes lors d’une situation de Big Bang n’auraient pas fonctionné, parce que :

« …alors que l’univers s’étendait et se refroidissait, il arrêterait de produire des particules, et la matière restante, ainsi que l’anti-matière, se détruiraient l’un l’autre. [Par conséquent] l’univers d’aujourd’hui devrait être vide. »[10]

Nous voyons comment cela pouvait faire exploser la théorie du Big Bang… sans jeu de mots ![11] Apparemment, cela constitua un réel problème au sein de la communauté scientifique pendant un certain temps. (Évidemment, le commun des mortels ne connait rien de ces « problèmes ». S’ils comprenaient ce qui se passe dans ce cercle intime, ils y passeraient tout le monde au goudron et à la plume…)

Mais Sakharov vint à la rescousse. Sa solution —purement mathématique, bien sûr — fut sensationnelle. Voici sa théorie : a) certaines forces opérèrent juste après le Big Bang

« …qui créèrent la matière ou l’anti-matière indépendamment l’une de l’autre, en violation de ce qui avait été … une loi stricte reconnue comme la conservation du nombre baryon… »[12]

  1. b) Sakharov déclara que les particules de matière et les particules d’anti-matière se désintègrent à un taux différent. Ces deux idées, dit-il…

« …ainsi que l’expansion et le refroidissement de l’univers se combinèrent en une chaîne de réactions complexe favorisant légèrement la production de matière … mais ce fut suffisant. Des vestiges de ce qui avait existé alors surgit toutes les formes cristallines et des étoiles étincelantes des galaxies. »[13]

Et nous avons vu que :

« …l’œuvre de Sakharov fut une prescription de la future direction de la physique … [et] à la fin des années 70, les physiciens ne firent essentiellement que retracer les calculs de Sakharov… »[14]

…et ont conclu que dans à peine 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 d’années, toute la matière dans l’univers aura disparu et il sera aussi vide qu’un seau avec un trou au milieu.

« Jusqu’ici, [du moins, comme on l’a admis en 1990] il n’y a pas de preuve expérimentale de la désintégration des protons. »[15]

Je le redis : la « science » est merveilleuse ! La matière est dieu et quiconque soutient ce dieu est un grand ponte dans le camp de la « science » ! Personne ne semble se soucier ou se contester le moindrement que des lois de la science testées, véritables et inflexibles soient violées et écartées. Personne ne semble s’inquiéter ou s’objecter un tant soit peu que les fruits d’une imagination tordue et de chiffres inintelligibles soient combinés en « calculs » qui donnent les résultats pour lesquels ils ont été inventés. Personne ne semble s’alarmer ou s’opposer une seconde lorsqu’une idée folle crée simplement le besoin d’une autre idée folle qui dure pendant quelques années et doit être suivie d’une autre idée folle provenant encore de quelque autre génie du jour. Il y a de quoi nous faire dégobiller… !

C’est une réaction que l’on trouverait compréhensible devant les mensonges sans fin diffusés par les soi-disant établissements « éducatifs » et « scientifiques » ! Tout ce qu’ils cherchent à faire, c’est d’enterrer la Vérité pour toujours ! Après tout, qui a besoin de la Vérité ?! Un mensonge n’est-il pas aussi bon que la Vérité si les gens croient que c’est la vérité ? Qui se soucie de savoir si Dieu a créé l’homme et tout le reste, y compris une Terre qui ne tourne pas ? Quelle différence cela fait-il si toutes les écoles dans le monde, de la maternelle aux programmes de doctorat, endoctrinent et initient les enfants à la religion humaniste grâce aux montants d’argent provenant de nos taxes ? Et alors, si tout cet endoctrinement fait qu’ils se moquent de la Bible et de Jésus-Christ encore plus que le faisaient leurs parents, qui s’en soucie, de toute manière ?

Vous, chers amis lecteurs. Vous vous en souciez du fait même que vous avez entrepris la lecture de ce recueil. Je m’en soucie aussi. Et je parierais que — comme le prophète Élie — si nous pouvions voir avec des yeux spirituels, nous apercevrions sept mille anges en ordre de bataille, prêts à entrer en action !

Et, surtout, Dieu S’en soucie, et Il est prêt depuis toujours. Après tout, c’est SON PLAN ! Il désire certainement mettre fin à cette partie de l’histoire pour que nous entrions enfin dans la Réalité éternelle ! Nous sommes donc en majorité, une majorité écrasante ! Mais, sans blague, une personne qui peut voir au-travers de toute cette séduction s’aperçoit que le Dieu Créateur en a plus qu’assez de ceux…

« … qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature [ou toute chose créée], en abandonnant le Créateur… » (Romains 1:25).

Adorer la matière, c’est ce que fait l’establishment humaniste mené par la « science ». Cinq minutes de réflexion suffiront à quiconque n’a pas perdu l’esprit qu’il s’avère insensé au-delà de toute parole de dire que la matière s’est créée elle-même, a explosé et s’est transformée en… vous et moi, et les arbres, et un millions d’autres choses !

« Se disant être sages ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Parfaitement approprié ! Et il est fort probable que nous tous, lecteurs comme auteurs, nous nous sommes rendus coupables d’avoir cru et même d’avoir promu tout ce mensonge non-scientifique. Folie humaniste. Nous avons tous été trompés, séduits et coincés par le Diable dans cette histoire de Terre qui tourne ! Nous tous ! Le monde entier ! Pensez-y ! Et la plupart d’entre nous avons été trompés tout aussi à fond par les foutaises évolutionnistes ! Je sais que je l’ai été. Mais Dieu m’a fourni un moyen de me dépêtrer de la toile d’araignée de Satan, comme des milliers d’autres, et Il a le moyen de faire sortir tout ceux qui, dans le monde, peuvent recevoir « l’amour de la vérité » (2 Thessaloniciens 2:10).

Pour certains d’entre vous, le processus est en cours. Mais d’abord, les membres des églises qui proclament que Jésus est leur Fondement vont devoir admettre avoir été séduits et se repentir de leurs péchés en ayant accepté le copernicisme au détriment de la Parole de Dieu. Ensuite, s’ils ont fait des compromis au sujet de la création en six jours et le Déluge du temps de Noé dans la Parole de Dieu en acceptant une forme quelconque de l’évolution mensongère, ils doivent à nouveau reconnaître qu’on les a dupés, puis se repentir et purger leurs rangs de tous ceux qui n’accueilleront pas la Vérité démontrée dans la Parole de Dieu, peu importe le sujet traité. Les chrétiens qui professent que Jésus-Christ est leur Seigneur doivent alors pleinement réaliser que c’est Lui, Jésus, qui a créé cette Terre et tout ce qui y habite, y compris l’homme et la femme, ainsi que tous les corps célestes dans l’univers. Comme nous l’avons vu, les Écritures sont parfaitement claires là-dessus (Colossiens 1:16 ; Éphésiens 3:9 ; Hébreux 1:2, 10 ; Jean 1:3, 10).

En fait, l’heure approche où les chrétiens de toutes les églises qui se disent chrétiennes doivent se repentir de leurs hérésies coperniciennes et darwinistes et adorer Jésus en tant que Créateur autant que Sauveur et Rédempteur. Il y a peu d’espoir, sinon aucun, que les hiérarchies de ces églises où se trouvent encore bon nombre de chrétiens véritables changent leur vision tordue dans ces domaines. Et ce ne sont pas les membres qui feront changer d’avis les pasteurs et les prêtres. Ceux-ci ont beaucoup à perdre et ont été si bien endoctrinés par les hautes sphères du pouvoir qu’il ne restera qu’une solution aux membres du Corps de Christ qui ont reçu l’amour de la Vérité : sortir du milieu d’elles ! Notre Seigneur Dieu travaille directement avec Ses enfants, pas avec les hiérarchies ecclésiastiques, et même Il travaille malgré ces hiérarchies. Les églises, à l’heure actuelle, sont truffées de fausses doctrines et y faire le ménage est inutile. Il faut tout simplement s’en séparer et les laisser composer ce qui sera la Grande Prostituée des temps de la fin. Lorsqu’il n’y aura plus un seul membre du Corps de Christ dans les églises du monde, que seront-elles ? Lisez attentivement le 34e chapitre du livre d’Ézéchiel où Dieu parle des pasteurs des églises modernes ! Il n’y a pas à s’y tromper. Dieu Lui-même va sortir Ses enfants du milieu de la Grande Babylone !

Toute la Parole affronte les églises et débute avec la partie qui détruit le copernicisme suivie de la partie qui détruit l’évolutionnisme. Alors, toutes les fausses doctrines tomberont l’une après l’autre comme dans un jeu de dominos. La Parole de Dieu triomphera de toutes les séductions ! Toutes ! Cela devient sérieux. Et il n’y a aucune façon d’arrêter ce processus. Tout est en place pour que Dieu ouvre le rideau sur la Première Scène du Premier Acte du Drame de la Fin des Temps qu’Il a Lui-même décrit dans l’Apocalypse et ailleurs dans la Bible. La Première Scène sera La Chute de Babylone. Toute fausse doctrine et tout mensonge séduisant qui maintient le monde en esclavage dans la main du père du mensonge sera dénoncé et détruit bibliquement par la Vérité de Dieu annoncée par Ses fidèles témoins et serviteurs.

Il y a des préliminaires à cette chute prochaine. Il y aura des calamités mondiales — presque certainement une catastrophe économique globale entraînant la panique — suivies de l’émergence du « Messie » talmudiste et nouvel âgiste que les descendants du pharisaïsme et toutes les sociétés secrètes espèrent amener le plus rapidement possible au pouvoir du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.). (Voir à cet effet, Les Protocoles des Sages de Sion.)

Il n’y a pas à douter que le N.O.M. constituera probablement la « Bête » (Apocalypse 13:2) que chevauchera la Grande Prostituée (Apocalypse 17:3) : le pouvoir ecclésiastique chevauchant le pouvoir séculier. L’Antichrist (2 Thessaloniciens 2:3-10) sera à la tête de ces pouvoirs et sera conseillé par le Faux Prophète (Apocalypse 13:11) qui poussera tout d’abord les gens à adorer la première Bête et fera que l’Antichrist détruise la Grande Prostituée.

La Bête n’est pas qu’un individu, mais tout un système impérial. L’Antichrist n’est pas la Bête, mais il est à sa tête. Le Faux Prophète n’est pas le pape, mais fera en sorte que l’on adore l’Antichrist en le faisant passer pour le Messie attendu par les kabbalistes et les nouvel-âgistes. Ensuite, le Faux Prophète fera détruire le christianisme, catholicisme en tête, pour instaurer la religion à Mystères descendant directement de l’Ancienne Babylone. La Bible est dans son chemin et il doit l’écarter.

Peut-on connaître ces personnages actuellement ? Ils sont peut-être déjà connus de quelques-uns qui travaillent à l’instauration du N.O.M. et du Plan nouvel-âgiste visant à « secourir » le village global et à sceller la condamnation de la Bible en tant que LA source de la Vérité. Les leaders séduits de ce monde suivront cet « homme de perdition » qui promet un nouveau système mondial unique et utopique. Ces promesses ne sont qu’une couverture pour cacher la stratégie ambitionnant de mettre la Bible sur un même pied d’égalité que les autres écrits « religieux » et ériger une religion « humaniste » mondiale où Jésus ne serait plus qualifié que de bon homme et non de Fils de Dieu incarné, Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Nous voyons, dans Apocalypse 17:10-17, que le règne du Nouvel Ordre Mondial ne durera que « un peu de temps » avant que l’Agneau de Dieu ne vienne y mettre un terme abrupt. Ce règne de trois ans et demi prend fin à l’arrivée en gloire de Jésus-Christ et de Ses armées, les Élus ressuscités, ce qui débutera la Colère de Dieu.

Les membres du Corps de Christ qui connaissent leur Bible peuvent, par ces références, reconstituer la preuve de la supercherie universelle exposée dans ce livre et commencer à voir où cela va nous mener. Et ils peuvent également commencer à constater que l’heure de cette guerre contre l’Agneau et Sa Parole, qui atteindra son apogée lors de la Chute de Babylone, ainsi que tout ce qui va suivre sera à notre porte lorsqu’ils commenceront à être jugés selon leur acceptation ou leur rejet du copernicisme et de l’évolutionnisme.

Ce sera le dernier chapitre de l’histoire des gouvernements de Satan. Donc, pour y être bien préparés, creusons davantage la question du MONSTRUEUX mensonge du copernicisme pour savoir réellement ce qu’il en est. Examinons une couple de supposées preuves en faveur de l’héliocentrisme et passons-les à la logique stricte.

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[1] Robert F. Moss, La superstar scientifique, Saturday Review, août 1980, p. 25.

[2] Dennis Meredith, La correction “cosmique” et le souhait d’une vie extra-terrestre de Carl Sagan, Science Digest, juin 1979, p. 35.

[3] Ibidem, p. 36.

[4] Ibidem.

[5] Richard A. Baer, jr., Ils enseignent la religion dans les écoles, Christianity Today, 17 février 1984, p. 12.

[6] Bidem, p. 13.

[7] Dennis Overbye, Pourquoi est-il au rang des scientistes de classe mondiale, Time, 14 mai 1990, p. 64.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 65.

[11] Des rapports se multiplient chaque jours déclarant que la théorie du Big Bang est morte. Il y a même un livre lancé par Eric Lerner intitulé Il n’y a jamais eu de Big Bang. Le Service des Nouvelles Garnett annonce « Le Big Bang est tombé en poussière ». Les mensonges que la fausse science a perpétués sur le monde ont fait leur temps. La Vérité de la Parole de Dieu avance de tous les côtés !

[12] Ibidem.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 64.

[15] Ibidem, p. 65.