Si l’IRS veut trouver les dollars de taxe perdue, elle doit regarder vers l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

25 août 2022

Je commencerai par une citation de mon bon ami Thomas DiLorenzo qui a écrit un article remarquable qui apparaît dans LewRockwell.com :

La « Loi sur la Réduction de l’Inflation » de l’administration Biden va accroître l’inflation de centaines de milliards de dollars en dépenses gouvernementales additionnelles et en création d’argent par la Réserve Fédérale tout en faisant en sorte que les chaînes d’approvisionnement empireront grâce aux nouvelles et onéreuses taxes d’entreprise, particulièrement dans le domaine de l’énergie, et une myriade de nouvelles règles environnementales de la « Nouvelle Entente Verte ». L’accroissement des dépenses gouvernementales et la réduction de la production vont faire hausser les prix, pas les abaisser.

Pour collecter toutes ces nouvelles taxes pour ce dernier excès de dépenses en année électorale, l’administration Biden propose de dépenser quelques 80 milliards $ pour plus que doubler le nombre d’agents de l’IRS, en engageant plus de 87 000 nouvelles personnes, dont on rapporte que 70 000 d’entre elles seront armées. Le Parti démocrate veut qu’une armée de collecteurs de taxe armés fasse appliquer sa volonté.

Les Américains ont jadis fait une révolution contre de tels actes de tyrannie.

Oui, en vérité.

Et en même temps que les prétendus tyrans de Washington, D.C., se préparent à aller de porte en porte avec une armée d’agents fédéraux ayant pour tâche d’arracher la dernière vache ou le dernier poulet des paysans comme taxe de César, ils ont envoyé des milliards de dollars de nos taxes durement gagnés à un autre prétendu tyran : le petit néonazi Volodymyr Zelensky d’Ukraine.

Mon ami Ron Paul écrit :

Il y a un clip vidéo qui fait le tour, montrant le Président Biden prenant la parole à un récent sommet de l’OTAN à propos des sept milliards de dollars que le gouvernement américain avait – à ce moment-là – fourni à l’Ukraine. Rattaché à cela, il y avait un autre clip montrant l’état horrifiant de plusieurs villes majeures des États-Unis, dont certaines en Pennsylvanie, en Californie et en Ohio. La vidéo sur les villes américaines est choquante : des paysages sans fin de saletés, d’ordures, de personnes sans domicile fixe, de feux à ciel ouvert dans les rues, de zombies accrocs aux drogues. Cela ne ressemble pas à l’Amérique dont la plupart d’entre nous nous rappelons.

Regarder Biden se vanter d’avoir envoyé des milliards de dollars à des leaders corrompus d’outremer pendant que des villes américaines ont l’air de l’Irak ou du Lyban bombardés, cela résume toute la politique étrangère américaine.

Ce qu’on demande rarement, c’est qu’en ont à retirer ces Américains qui souffrent d’avoir à payer pour notre politique étrangère interventionniste ? Pensent-ils vraiment qu’un travailleur américain de l’Ohio ou de la Pennsylvanie s’en trouve mieux ou se sent plus en sécurité parce que nous protégeons soi-disant les frontières de l’Ukraine ? Je pense que la plupart des Américains se demandent pourquoi ils ne se préoccupent pas de protéger nos propres frontières.

On rapporte qu’environ 200 000 illégaux ont traversé la frontières des États-Unis seulement en juillet. Veuillez croire qu’ils apprennent rapidement que le gouvernement américain fourni de l’argent gratuit aux illégaux. Ils obtiendront probablement aussi une carte de vote.

Vendredi passé, le Pentagone a annoncé qu’il enverrait encore 775 millions $ en Ukraine. Comme l’a rapporté Antiwar,com, ce fut le dix-huitième envoi de munitions à l’Ukraine en six mois. Y a-t-il jamais eu une intervention américaine plus stupide dans l’histoire ?

Les supporteurs de cette guerre par intermédiaire peuvent bien célébrer encore plus d’aide à l’Ukraine, mais en réalité, cela ne vient pas du tout en aide à l’Ukraine. Ce n’est pas ainsi que fonctionne le système. Il s’agit d’argent créé à partir de rien par la Fed et dont s’est approprié le Congrès et dépensé à renflouer le complexe militaro-industriel relié à la politique. C’est un gros chèque signé par l’Américain moyen aux gens riches qui dirigent Raytheon et Lockheed Martin. Les Américains voient leurs budgets s’étirer à la limite pendant que les gros richards de la Beltway se desserrent la ceinture afin de continuer à jouir du bon filon.

Bloomberg a rapporté plus tôt cet été que l’inflation coûte à chaque foyer américain moyen plus de 5 200 $ cette année. L’inflation est une taxe sur la classe moyenne et les Américains pauvres. Les riches – comme ceux qui dirigent Raytheon et Lockheed Martin – obtiennent toujours en premier l’argent nouveau, avant que les prix grimpent. Le reste d’entre nous regardons pendant que le dollar achète de moins en moins de choses.

Alors que Washington salive à la vue de la Russie allant se battre en Ukraine, le reste de l’Amérique a l’impression de devenir comme le Zimbabwe. Combien de temps encore avant que la miche de pain coûte un trillion de dollars ? Y aura-t-il une course de brouette ?

Il y a une issue. Cela s’appelle le « non-interventionnisme ». La guerre en Ukraine a été causée par le changement de régime américain de 2014 et par l’insistance des néoconservateurs pour que l’Ukraine rejoigne l’OTAN. Le Département d’État et la CIA ont cru qu’il s’agissait d’une grande victoire que de renverser le gouvernement élu, mais entre-temps, le reste d’entre nous devons en payer la facture. Plus d’OTAN, et plus un sou à l’Ukraine !

Non seulement Washington dépense-t-il des milliards outremer dans une autre tentative de changement de régime et en support à quelques-uns des pires gangsters de la planète, mais l’argent – comme d’habitude – est totalement gaspillé.

Paul Craig Roberts fait une excellente analyse du déroulement exact de la guerre qui se passe en Ukraine – une analyse fidèle que la propagande médiatique de l’Occident ne dévoilera JAMAIS. Plusieurs personnes l’ont répété, mais il semble que ce soit l’ancien écrivain et poète grec Eschyle que l’on connaisse pour avoir dit : « Dans la guerre, la vérité est la première victime. »

Les médias américains voudraient vous faire croire que tous ces milliards de dollars en armement et en munitions que nos taxes ont envoyés en Ukraine aident vraiment à « restaurer la démocratie » en Europe et contribuent à vaincre le Gros Méchant Ours.

Mes amis, on nous dupe encore !

Voici le rapport du Dr Roberts (je vous encourage à lire le rapport en entier) sur ce qui advient réellement de tout notre support militaire au gangster Zelensky et sa bande de néonazis, de criminels et de mercenaires :

Contrairement aux médias prostitués d’Occident, William Schryver illustre de manière exacte la destruction russe de l’armée ukrainienne entraînée par l’Ouest :

La mentalité russe en Ukraine est précisément la « démilitarisation » de l’Ukraine. Leur plus grand objectif dès le commencement, tel qu’exprimé explicitement par le Président Vladimir Poutine dans son discours historique du 24 février 2022, a été de « démilitariser » l’Ukraine – détruire son armée.

Quand la guerre a débuté, les forces ukrainiennes les plus capables, les plus expérimentées, les mieux armées et les mieux positionnées n’étaient PAS à Kiev, mais elles se trouvaient au Donbass et à Marioupol. Elles s’y positionnaient depuis des mois avec comme objectif final de reprendre le Donbass et la Crimée – un but qui trotte toujours dans la tête des leaders idéologiques et politiques de l’Ukraine.

En vérité, ils en parlent ouvertement et sans restrictions. Ils croyaient fermement que la puissance de leurs forces armées, après huit ans de préparation, était arrivée au point où elle était capable d’atteindre réellement son objectif.

Leurs bienfaiteurs à l’OTAN les ont encouragés à y croire – car c’était aussi le rêve le plus cher de l’OTAN d’élever ses bannières sur la base navale de Sébastopol et ainsi exercer sa domination sur toute la Mer Noire et le Bosphore.

Suivant cela et d’autres objectifs géostratégiques – dont une des plus importante était d’entraver la résurgence russe – l’OTAN fournit des armes à l’Ukraine depuis des années, et ces expéditions d’armes se sont étendues et accélérées dramatiquement vers la fin de 2021.

Des dizaines de milliers de soldats ukrainiens ont été entraînés à utiliser ces armements de l’OTAN. Et, tel que reconnu par quiconque y porte la moindre attention, des milliers d’agents secrets occidentaux, des forces spéciales et des entrepreneurs mercenaires (à prédominance américaine, britannique et française – en grand nombre) étaient enchâssés aux forces ukrainiennes de première ligne, dont plusieurs ont été depuis lors tués ou capturés, et dont un contingent substantiel demeure toujours.

Un bon nombre de ces soldats occidentaux y sont premièrement pour coordonner la réception, l’interprétation et l’utilisation « recevable » des données hautement prisées et top secrètes du « RSR » de l’USA/OTAN (Renseignements, Surveillance et Reconnaissance).

L’armée de l’USA/OTAN construite en Ukraine, au début de 2022, s’est accrue jusqu’à devenir la force terrestre la plus grosse et la mieux armée de l’Europe. Dans presque chaque mesure, elle est plus puissante que les armées d’Allemagne, de France et d’Italie combinées.

L’armée ukrainienne a été bâtie afin de servir les intérêts de l’Empire américain dans le but depuis longtemps établi de bloquer la Russie et l’empêcher d’exercer à nouveau son influence mondiale ; de procéder à son démembrement final et la réduire à un faible fragment de son ancien statut et de son ancienne gloire – de réaliser l’objectif politique exprimé dans le jeu de société RISK de l’époque de la guerre froide qui effaçait la Russie de la surface du monde.

La décision russe d’envahir l’Ukraine à la fin de février 2022 fut motivée et fondée sur tous ces facteurs dans leur ensemble, et fut hâtée par les frappes répandues de l’artillerie ukrainienne sur la région du Donbass et qui avaient débuté quelques semaines auparavant.

Le résultat de cette… opération fut que, au cours de plusieurs semaines, les Russes « fixèrent » plus de 100 000 soldats ukrainiens et leur équipement dans les environs de Kiev, contrôlèrent les noeuds et les corridors clés de transport entre Kiev et le Donbass, et menèrent simultanément une offensive majeure pour encercler et annihiler un groupe armé ukrainien de 20 000 hommes à Marioupol, port civil hautement stratégique sur la côte de la Mer d’Azov.

Les forces de Marioupol comprenaient entre autres le notoire « Bataillon Azov » néonazi dont l’armement et l’entraînement est depuis longtemps la priorité de l’OTAN, et il était considéré comme une des plus formidables composantes de l’armée ukrainienne.

Les forces de Marioupol incluaient également plusieurs douzaines de « conseillers » de l’OTAN (CIA, forces spéciales et soi-disant « entrepreneurs »). Il y avait aussi environ 2 500 mercenaires étrangers, dont la plupart étaient des vétérans de l’OTAN des guerres d’Irak et d’Afghanistan.

Pendant que les renforts potentiels demeuraient inactifs et immobiles à Kiev et dans les environs, la puissante force de Marioupol était méthodiquement encerclée et systématiquement annihilée dans une opération qui, j’en suis persuadé, sera étudiée dans les collèges militaires pendant des générations comme une des poursuites les plus impressionnantes jamais exécutées dans une guerre urbaine.

Comme vont les choses ici, au début de juillet, il est maintenant irréfutable que l’opération russe dans le Donbass s’est avérée une victoire écrasante. Selon mon estimation, ce fut une des gestions les plus impressionnantes d’un champ de bataille quasi-urbain de l’histoire moderne. La force originale, consistant en plus de 60 000  des soldats les mieux entraînés et les mieus équipés de de l’armée ukrainienne, a effectivement été détruite. Elle a subi les pertes catastrophiques de ses cadres professionnels expérimentés et formés par l’OTAN. Ses pertes massives de personnel ont été en partie renouvelées par des soldats de la milice territoriale pauvrement entraînés, mais ses pertes encore plus massives d’armement lourd ne peuvent être remplacées.

Lisez aussi l’analyse excellente de Scott Ritter qui ajoute au rapport du Dr Roberts.

En d’autres mots, les milliards de dollars des payeurs de taxe américains investis dans le gouvernement ukrainien soutenu par les États-Unis ont été tout aussi gaspillés que les milliards de dollars des payeurs de taxe inve0stis dans le gouvernement afghan soutenu par les États-Unis.

Tous les conflits militaires dans lesquels se sont engagés les États-Unis n’ont servi qu’à enrichir les profiteurs de la guerre mentionnés par le Dr Paul et à asservir davantage les citoyens de notre pays par une épuisante inflation monétaire, la récession, la fermeture d’entreprises, la perte d’emplois, etc., ainsi qu’à bâtir encore plus un État policier quasi-militaire, ici, dans ce qui était jadis une Amérique libre, comme le fait remarquer le Dr DiLorenzo.

Si l’IRS était réellement intéressée à trouver les dollars perdus en taxe – lesquels ne le sont PAS – elle devrait regarder en Ukraine, ET en Afghanistan, en Bosnie, en Haïti, en Iran, en Irak, au Kenya, au Kosovo, au Koweït, au Liban, en Lybie, au Nicaragua, au Pakistan, en Somalie, en Syrie, en Ouganda, au Yémen, ad infinitum

Mais ce n’est pas le but. Le but des maoïstes de Washington, D.C., c’est d’employer l’IRS pour manipuler, intimider, démoraliser et terroriser LE PEUPLE DES ÉTATS-UNIS.

La vraie question demeure : Jusqu’à quand le peuple américain va-t-il tolérer cela ?




Les deux plus grandes menaces contre nos Libertés

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

30 juin 2022

Non ! La Russie n’est pas une des deux plus grandes menaces contre nos libertés. En fait, la menace russe n’est pas dans les dix premiers – ni même les vingt premiers. Si cela se trouve, la manière que le Parti Guerrier de Washington, D.C., et d’autres capitales occidentales exacerbent et étendent le conflit en Ukraine, ce sont eux que nous devons remercier pour le risque d’un conflit global.

Les deux plus graves menaces contre nos libertés sont aujourd’hui 1) la Tyrannie Covid, et 2) les lois Red Flag de confiscation d’armes à feu.

Les attaques les plus sérieuses contre nos libertés proviennent TOUJOURS de l’intérieur de notre gouvernement.

J’ai parlé et j’ai écrit en long et en large de ce qui a trait à la tyrannie Covid. Cette fois-ci, je me consacre aux lois Red Flag en plein essor sur la confiscation de nos armes à feu.

Alors que la Cour Suprême américaine a rendu la semaine dernière deux décisions louables – et constitutionnellement puissantes – annulant Roe vs Wade et affirmant le droit absolu du peuple à conserver et porter des armes en annulant la loi tyrannique de contrôle des armes à feu de l’État de New York interdisant aux New Yorkais de porter des armes, le Sénat américain, grâce à l’aide de 15 républicains néoconservateurs, adopta le projet de loi le plus draconien des dernières décennies sur le contrôle des armes : un projet de loi qui, en effet, crée une loi Red Flag nationale sur la confiscation des armes.

Non seulement le projet de loi empiète-t-il sur la liberté des jeunes de 18 à 20 ans d’acheter et de posséder des armes sans une restriction gouvernementale excessive, mais il fournit des millions de dollars des payeurs de taxes pour ACHETER les états afin qu’ils promulguent les lois Red Flag.

Ne vous y trompez pas : c’est un contrôle d’armes déguisé du genre le plus vil.

Cette loi permet au personnel policier de faire irruption dans votre maison et de saisir vos armes à feu sans que vous soyez accusé de crime, sans que vous menaciez de commettre un crime, sans que vous ayez commis un crime, sans enquête à savoir pourquoi l’on vous confisque vos armes, sans représentation légale et sans procès.

Tout ce dont on a besoin pour précipiter la confiscation des armes de quelqu’un, c’est une ACCUSATION. Une ACCUSATION non vérifiée, non prouvée, non confirmée, par presque quiconque ne vous aime pas – ou n’aime pas vos fusils. Et une fois que vos armes sont saisies par l’État, vous aurez plus de chances de gagner à la loterie que de revoir vos armes. Et si elles vous reviennent, ne vous attendez pas à ce qu’elles soient dans la même condition ou dans le même état de marche qu’elles étaient avant que des agents du gouvernement ne vous les volent.

Comprenez, s’il vous plaît, que ce dont il est question dans cette loi, c’est BIEN PLUS que les armes. Cette loi empiète sur la Charte des Droits. Il est question d’un procès équitable. Cela concerne le droit au conseil légal. Cela concerne l’homme qui est innocent tant qu’on n’a pas prouvé sa culpabilité. Ce projet de loi attaque le cœur même de la Liberté et de la Jurisprudence américaines et c’est le début d’une société orwellienne à pré-crime où un homme est présumé coupable jusqu’à ce que l’on prouve qu’il est innocent.

Et n’oubliez jamais que, puisque cette loi autorise la police à faire irruption chez les gens innocents et à confisquer leurs armes, le critère déterminant un pareil raid est totalement sujet à la discrétion des autorités locales qui donnent leur aval au raid.

Cela veut dire que le critère peut être n’importe quoi. Ce pourrait être un genre de « pointage » de média sociaux pour avoir exprimé des idées politiquement incorrectes ; ce pourrait être votre association avec un groupement ou une organisation impopulaire ; ce pourrait être les penchants personnels anti-arme de juges ou d’officiers de police locaux ; ce pourrait être des vendettas personnelles ou politiques.

Prenez le cas de Gary Willis, un homme dans la soixantaine du Comté Anne Arundel, au Maryland, qui fut accusé d’être instable par un membre de sa famille. Cela incita à envoyer la police confisquer ses armes à feu en vertu d’une loi Red Flag – malgré le fait que l’homme n’avait commis aucun crime, qu’il n’avait menacé personne et n’avait jamais été accusé d’un crime et, au dire de tous, ne représentait un danger pour personne – et quand cet homme résista au fait que l’on saisisse ses armes (sans intention de blesser un officier) la police tira sur lui à cinq reprises et le tua.

Si Gary Willis avait tort de résister au raid tyrannique contre son foyer par des autorités visant à saisir ses armes à feu, alors aussi les hommes de Lexington Green.

Et les flics assassins ne furent évidemment pas accusés de crime et ne furent même pas réprimandés.

Voici les quinze sénateurs républicains communistes ayant donné licence aux flics inspirés par la Gestapo de surgir dans vos maisons et de saisir vos armes sans que vous n’ayez rien fait de mal :

  1. Mitch McConnell du Kentucky, leader de la minorité au Sénat
  2. Roy Blunt du Missouri (qui se retirera à la fin de son terme)
  3. Richard Burr de la Caroline du Nord (qui se retirera à la fin de son terme)
  4. Shelley Moore Capito de la Virginie occidentale
  5. Bill Cassidy de la Louisiane
  6. Susan Collins du Maine
  7. John Cornyn du Texas
  8. Joni Ernst de l’Iowa
  9. Lindsey Graham de la Caroline du Sud
  10. Lisa Murkowsky de l’Alaska (en lice pour sa réelction en novembre)
  11. Rob Portman de l’Ohio (qui se retirera à la fin de son terme)
  12. Mitt Romney de l’Utah
  13. Thom Tillis de la Caroline du Nord
  14. Pat Toomey de la Pennsylvanie (qui se retirera à la fin de son terme)
  15. Todd Young de l’Indiana (en lice pour sa réélection en novembre)

Voici les 19 états qui ont djà adopté les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu, en partie grâce à l’endossement enthousiaste du Président Donald Trump pour ces lois tyranniques :

Californie, Colorado, Connecticut, Delaware, Floride, Hawaï, Illinois, Indiana, Maryland, Massachusetts, Nevada, New Jersey, Nouveau-Mexique, New York, Oregon, Rhode Island, Vermont, Virginie et Washington.

Or, l’on va acheter le reste des états grâce aux millions de dollars des Washington, D.C., pour qu’ils promulguent leurs propres lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Tous les citoyens qui aiment la liberté et qui demeurent dans les 31 états qui n’ont pas encore adopté les lois Red Flag doivent faire savoir à leurs législateurs, leurs sénateurs et leurs gouverneurs du GOP, en termes sans équivoque, qu’ils ne TOLÉRERONT AUCUNE tentative de faire passer dans leur État une loi Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Si nous avons à défendre notre liberté UNE MAISON À LA FOIS, nos politiciens – en particulier le personnel local de mise en vigueur de la loi – doivent savoir que c’est exactement ce que nous allons faire.

Et si votre sénateur du GOP – ou, dans le cas de la Caroline du Nord, les deux sénateurs – se trouve dans la liste ci-haut de ceux qui ont voté pour ce projet de loi tyrannique, vous devez avoir comme partie de votre mission de vous assurer que ce sénateur ne soit jamais réélu à un poste politique.

Voici une vidéo YouTube de sept minutes concernant mon évaluation et mon avertissement contre ce projet de loi monstrueusement tyrannique sur la confiscation des armes à feu. S’il vous plaît, partagez cette vidéo avec le plus de gens possible. Pendant que les conservateurs sont occupés à se réjouir de la décision Roe, ils sont pour la plupart inconscients du danger de ce nouveau projet de loi de confiscation des armes adopté par le Sénat et bientôt signé comme loi par Joe Biden.

À quoi bon une loi qui « protège » votre droit de posséder et de porter des armes si le gouvernement peut les confisquer – même si vous n’avez rien fait de mal – n’importe quand il est sournoisement enclin à le faire ?

Je vous le dis : avec la tyrannie Covid (qui est encore très active), cette loi Red Flag nationale de confiscation des armes à feu est une des menaces les plus graves contre nos libertés – de tout notre vivant !

 




Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Les bellicistes en politique, les loups en chaire

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 mai 2022

Combien de fois m’avez-vous entendu dire qu’il n’y a véritablement qu’un seul parti à Washington, D.C., et c’est le Parti de la Guerre ? Eh bien, je le redis encore.

Dans la Chambre américaine, le vote fut de 368 – 57 en faveur d’envoyer un 40 milliards $ additionnel à l’Ukraine afin de prolonger et d’augmenter la guerre américaine par procuration contre la Russie en Ukraine.

Parmi les votes négatifs, il y a eu Marjorie Taylor Greene (R) de la Géorgie. Selon Greene, les 40 milliards $ de corruption des payeurs de taxe américains ressemblent à « un plan de blanchiment d’argent ».

Voici le rapport :

Le soutien financier que l’Amérique fournit à l’Ukraine ressemble beaucoup à « un plan de blanchiment d’argent ». a dit la représentante Marjorie Taylor Greene (R-GA) au podcast The Truth With Lisa Boothe, ce lundi. L’argent censément destiné aux Ukrainiens finit par aboutir dans les poches des « ONG à but non lucratif » qui sont souvent dirigées par des proches des politiciens de Washington, a déclaré Greene.

« Ils veulent donner 40 milliards $ à l’Ukraine, et ces 40 milliards s’ajoutent à l’argent qui a déjà été donné. Ce qui fait un montant de 53 milliards $. C’est plus des deux-tiers de tout le budget du Département d’État pour l’année », a dit la représentante, faisant référence au dernier montant d’aide qui est présentement soumis au Sénat américain.

D’après Greene, les fonctionnaires américains le font dans l’éventualité de financer les ONG opérées par « leurs familles et leurs amis ». « Il s’agit fondamentalement d’un plan de blanchiment d’argent, » dit-elle.

Au Sénat américain, le vote s’établit à 81 – 11 en faveur de l’approbation des 40 milliards $ de programme d’aide à l’Ukraine. Voici les onze sénateurs républicains qui ont gardé leur serment à la Constitution et ont mis l’Amérique et la paix au-dessus de la soif des globalistes pour la guerre et le fric :

Blackburn, Tennessee

Boozman, Arizona

Braun, Indiana

Crapo, Idaho

Hagerty, Tennessee

Hawley, Missouri

Lee, Utah

Lummis, Wyoming

Marshall, Kansas

Paul, Kentucky

Turberville, Alabama

Si votre sénateur (ou vos sénateurs) n’est pas dans cette liste, sachez qu’il ou elle est un lèche-bottes acheté et payé par les bellicistes pour le complexe militaro-industriel et leurs maîtres globalistes. Républicains ou démocrates, ils ne devraient plus jamais recevoir votre vote. Et vous devriez leur écrire ou les appeler pour le leur dire.

Le Parti de la Guerre est probablement en train de conduire l’Amérique directement vers une guerre nucléaire. Et même si d’aventure l’on évite la guerre nucléaire (ce ne sera pas parce que les politiciens démoniaques de Washington n’auront pas essayé), ils ont déjà mené le pays dans une inflation paralysante et probablement vers une récession majeure.

Et pendant que nous avons des bellicistes en politique, nous avons aussi des loups en chaire :

La culture américaine s’effiloche. Peu de gens pourraient dire autrement. Que vous soyez à droite ou à gauche de la fosse politique, nous semblons tous nous accorder sur un point : il y a quelque chose qui va terriblement mal.

Les États-Unis sont devenus les états séparés. « E pluribus unum » est devenu « ex uno plures ». Alors que nous étions jadis un peuple diversifié se rassemblant pour une cause commune, nous avons maintenant l’air d’un pays fracturé sans liement social et moral pour nous lier ensemble.

Un pays qui, encore hier, enseignait à sa progéniture la valeur d’axiomes comme « donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », réagit maintenant, face à une « crise » au taux de survie de plus de 99 %, en s’écriant « J’ai peur de la mort, donc tout le monde doit perdre sa liberté ».

Nous nous réfutons nous-mêmes à chaque tournant. Ceux qui se déclarent tolérants hurlent qu’ils ne peuvent tolérer l’intolérance de tous les autres. Les gens qui brandissent la bannière de « l’amour bat la haine » déclarent qu’ils détestent absolument ceux qu’ils considèrent comme haineux. Les professeurs enseignent que la vérité n’existe pas. Les prédicateurs prêchent qu’ils savent que rien ne peu être connu. Les politiciens jurent d’honorer et de défendre une Constitution qu’ils déprécient ensuite comme étant un document antique de racisme systémique, intersectionnel et de privilège blanc.

Les féministes nient le fait biologie de la femelle. Des misogynes marchent avec MeToo. Des défenseurs de l’enfant préconisent le droit de tuer des enfants. Les partisans de la santé prénatale se font maintenant les apologistes de la mort périnatale.

Comment sommes-nous entrés dans ce gâchis ?

Le Dr Len Munsil, président de l’Université de l’Arizona, a récemment partagé ceci : « Une grande majorité des pasteurs américains ne possèdent pas une vision biblique du monde, selon les dernières découvertes, d’après l’Inventaire 2022 de la Vision Mondiale Américaine conduit par le Centre de Recherches Culturelles de l’ACU. En effet, à peine un peu plus du tiers (37 %) possède une vision biblique du monde, et la majorité – 62 % – adopte une vision mondiale hybride que l’on appelle Syncrétisme. »

Et ces chiffres sont encore pires en ce qui concerne les organisations parareligieuses comme les collèges et les universités reliés à une église.

L’infaillibilité, l’authenticité et l’autorité de la Bible, de même que le corollaire des vérités évidentes enracinées dans la loi naturelle (i.e., l’objectivité de la révélation de Dieu à l’homme) sont maintenant encadrés comme étant du racisme et de la bigoterie dans votre église locale et dans vos écoles chrétiennes locales. Ces gens-là « adorent la créature plutôt que le Créateur » depuis si longtemps qu’ils sont devenus complètement nuls. Ils ont « changé la vérité de Dieu en un mensonge » et ils ont vraiment été « livrés à un esprit dépourvu de tout jugement ». Dans l’esprit du péché originel, ils se sont déclarés « comme Dieu » et, en retour, « Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera ».

Il a été dit que les loups en habits de brebis sont dangereux, mais les loups en habits de berger sont carrément mortels. Les leaders ecclésiastiques de l’Amérique sont devenus des loups déguisés en pasteurs. Nos pasteurs et nos facultés chrétiennes, qui sont censés être le sel et la lumière au sein d’une culture mourante et d’un monde ténébreux, sont à peine du pain blanc grillé insipide pour une nation au besoin désespéré du puissant breuvage de l’Évangile. Christ a dit Lui-même qu’Il recracherait ce genre de personne de Sa bouche.

Comment en sommes-nous rendus là ? Ne regardez pas plus loin que votre église locale et son école chrétienne. Il y a environ 60 % de chances que le gars qui se tient derrière le lutrin sur le podium soit un « berger » aux dents bien acérées et dégoulinantes de sang. [Emphase ajoutée]

Amen !

Je le dirai sans ambages : Tout pasteur qui s’est soumis d’un air penaud aux confinements et aux vaccins Covid est un ennemi de la liberté, un ennemi de l’Amérique et un ami de la Bête. Et les personnes qui s’assoient au pied de ces loups en habit de brebis sont des co-conspirateurs dans l’effusion de sang innocent et la ruine de notre pays.

Idem pour les bellicistes chrétiens qui soutiennent la guerre par procuration, inconstitutionnelle et immorale, en Ukraine.

Des bellicistes en politique et des loups en chaire ; c’est la combinaison la plus dévastatrice connue de l’homme, et l’Amérique en est dévorée.




Où sont les hippies anti-guerre quand on a besoin d’eux ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

5 mai 2022

Certains d’entre nous sommes assez âgés pour nous rappeler l’époque de Woodstock et du mouvement hippie. Je parle des années 1960. La guerre au Vietnam battait son plein et la sous-culture hippie anti-guerre sortait en force pour protester contre la guerre.

Ils brûlaient leurs ordres d’incorporation ; certains fuyaient au Canada ; ils marchaient dans les rues par centaines de milliers ; ils organisaient des sit-ins devant les buildings gouvernementaux et les bâtisses d’administration collégiale ; ils peignaient des slogans anti-guerre aux couleurs brillantes sur leurs vans Beetle ; on voyait leur slogan « LBJ, LBJ, combien de jeunes as-tu tué aujourd’hui ? » sur des pancartes dans tout le pays ; et ils contribuèrent éventuellement à mettre fin à une guerre dans laquelle l’Amérique n’aurait jamais dû entrer.

À l’époque, j’étais la quintessence du gars qui fonce vers la guerre. Mon père fit tout en son pouvoir pour me convaincre de ne pas abandonner mes études et joindre la Marine et combattre au Vietnam. Je lui en suis très reconnaissant.

Les hippies avaient tort concernant leur style de vie de promiscuité sexuelle infestée de drogues (même si la « guerre contre la drogue » du gouvernement avait été un fiasco constitutionnel) `et ce style de vie erroné leur a apporté beaucoup de chagrin et beaucoup de sottises, à eux et au pays pendant les nombreuses années qui ont suivi. Mais leur croisade anti-guerre était juste. (Il m’a fallu du temps avant d’arriver à le comprendre.)

À coup sûr, bon nombre d’organisateurs de ce mouvement anti-guerre à ce moment-là n’avaient pas les motifs les plus purs. Ils n’étaient pas nécessairement aussi anti-guerre qu’ils étaient procommunistes. Ces radicaux s’opposaient à la guerre pour des raisons de politique de gauche, pas pour la promotion de la paix. Beaucoup des radicaux des années 1960, au sein de la génération hippie, sont devenus certains des politiciens les plus pro-guerre d’Amérique.

Toutefois, des millions d’hippies ordinaires étaient véritablement pro-paix et anti-guerre pour les bonnes raisons.

Pour ceux d’entre vous qui êtes trop jeunes pour vous rappeler l’époque dont je parle, vous seriez sous le choc de savoir que même les médias de nouvelles de ce temps-là étaient anti-guerre. Chaque soir, dans les émissions de nouvelles des trois principaux réseaux, on nous soumettait des vidéos successifs sur les résultats monstrueux de la guerre : des corps morts et mutilés jonchant les rues des villages, des enfants sans parents et errant nus ça et là en cherchant quelque chose à manger, les visages émaciés et affamés des vieillards, etc.

Il s’agissait de l’époque avant que les lobbys israéliens deviennent la force dominante et déterminante qu’elle est aujourd’hui dans les médias de nouvelles et au sein du gouvernement américain.

Donc, où sont les activistes pacifistes et anti-guerre, aujourd’hui ?

On ne les trouve certainement pas dans nos églises. Plusieurs évangéliques sont, dans le monde, parmi les meneuses de claques les plus enragées en faveur de la guerre. On ne les trouve pas dans les salles de nouvelles des journaux et des magazines d’Amérique. On ne les trouve pas dans les studios de nouvelles télévisées. On ne les trouve pas dans les facultés des établissements d’enseignement d’Amérique.

Où sont les hippies anti-guerres quand on a besoin d’eux ?

Oh ! Comme tous ceux qui proclament être anti-guerre – jusqu’à ce que la guerre éclate. Alors, soudainement, ils deviennent zélés pour la guerre.

Caitlin Johnstone a écrit un superbe article expliquant ce phénomène :

Personne ne se pense belliciste, mais ensuite la machine se met en marche et, avant que vous le sachiez, ils sortent les slogans qu’ils sont programmés à sortir et brandissent les drapeaux qu’ils sont programmés à brandir et consentent à tout ce que la machine de guerre impériale veut à ce moment-là.

Quand on le demande, pratiquement tout le monde vous dira qu’il est pour la paix et déteste la guerre ; la guerre est la pire chose au monde et personne de sain d’esprit ne s’en délecte. Mais lorsque les roues touchent la route et qu’il est temps de s’opposer à la guerre et à revendiquer la paix, ceux qui, précédemment, se proclamaient « anti-guerre », se retrouvent de l’autre côté en hurlant pour déverser encore plus d’armes dans une guerre par procuration que leur gouvernement a délibérément provoquée.

C’est parce que la théorie d’être anti-guerre est bien différente de la pratique. En théorie, les gens sont tout simplement opposés à l’idée de faire exploser d’autres gens sans aucune bonne raison. En pratique, ils sont toujours frappés par un barrage très intense de messages médiatiques leur donnant ce qui semble de très bonnes raisons disant pourquoi ces gens-là doivent exploser.

Être véritablement anti-guerre n’est pas chose facile. Cela ne ressemble pas à ce que les gens s’imaginent. Cela ressemble plus au fait de se faire écraser par un déluge d’information destinée à manipuler et à confondre, et à l’assumer pendant que l’on se fait crier après par ceux qui ont subi le lavage de cerveau. Ce n’est pas joli. Ce n’est pas plaisant. Ce n’est pas l’époque de bien-être du flower power que les gens ressentaient intuitivement quand ils voyaient en eux-mêmes la part où ils cherchaient la paix. C’est se dresser contre la machine de propagande la plus sophistiquée qui ait jamais existée quand on nous offre toutes les raisons de ne pas le faire.

Lorsque les gens se pensent « anti-guerre », ils s’imaginent habituellement comme anti autre guerre en Irak, ou théoriquement anti quelqu’autre président à la Hitler débutant une guerre parce qu’il aime tuer des gens. Ils ne s’illustrent pas réellement ce que c’est en pratique que d’être réellement anti-guerre.

Parce que vendre la guerre au public est un élément inné de toute la stratégie guerrière, la guerre aura toujours l’air nécessaire du point de vue du courant dominant, et elle ne ressemblera pas à ces autres guerres qui, nous le savons maintenant en rétrospective, étaient des erreurs. Elle est toujours conçue pour être attirante. Il y aura toujours une propagande d’atrocité. Il y aura toujours des raisons dont on vous nourrira pour vous vendre cette intervention militaire comme étant spéciale et complètement nécessaire. Ce sera le cas à toutes les fois parce que c’est ainsi que les guerres modernes sont emballées et présentées.

Voilà pourquoi vous allez toujours voir un certain nombre de gens se décrivant gauchistes et anti-impérialistes acclamant le dernier projet de guerre américain. Ils sont idéologiquement opposés à l’idée de guerre en théorie, mais la manière de le démontrer en pratique est toujours différente de ce qu’ils dépeignent.

Notre civilisation entière est formée par la propagande domestique.

La propagande est l’aspect le plus négligé et le plus sous-évalué de notre société. Elle a beaucoup plus d’influence sur la façon de penser, de voter et d’agir du public que tout autre mécanisme officiel pour ce faire, et pourtant, on n’en discute que rarement, on ne l’enseigne pas à l’école, et même les meilleures idéologies politiques y touchent à peine, comparée aux autres domaines sur lesquels elles se concentrent.

La propagande ne fonctionne que sur ceux qui ne savent pas qu’ils sont soumis à la propagande. La capacité de l’empire centralisé aux États-Unis à cacher sa machine de propagande est un élément fondamental de son éclat brillant.

Il faut beaucoup de travail afin de voir assez clair pour se former un point de vue réellement basé sur la vérité. Mais si vous ne le faites pas, il est impossible d’être véritablement anti-guerre, parce que vous ne pouvez vous opposer intelligemment à quelque chose que vous ne comprenez pas. Pour combattre la machine de guerre impériale, il faut combattre la machine de propagande impériale.

Amen, Caitlin !

Et n’oubliez jamais que la « machine de propagande » inclut au moins 80 % des églises évangéliques américaines. Comme les églises évangéliques ont fait partie de la propagande Covid, de même maintenant font-elles parties de la propagande de guerre en Ukraine – même au point de ramasser des millions de dollars des poches des chrétiens crédules pour le boucher sanguinaire et dépravé qui se fait appeler président de l’Ukraine.

Cela ne cesse jamais de m’étonner de voir que les évangéliques peuvent posséder des convictions pro-vie si fortes en ce qui concerne l’avortement (ce qui est admirable) et pourtant posséder des convictions tellement pro-mort quant aux guerres injustes (ce qui est déplorable).

Et vous seriez peut-être surpris d’apprendre que la vaste majorité du monde est du côté de la Russie contre les États-Unis en Ukraine. « Sur 195 pays, seulement 30 ont honoré les sanctions des États-Unis contre la Russie. Cela signifie qu’environ 165 pays dans le monde ont refusé de se joindre aux sanctions. Ces pays représentent de loin la majorité de la population mondiale. »

Que Biden réprimande la Russie pour crimes de guerre est de la plus haute hypocrisie. Depuis que G. W. Bush a lancé son homicide horrifiant de la « guerre contre le terrorisme », les États-Unis (sous Bush, Obama, Trump et maintenant Biden) ont assassiné 6 millions d’innocentes personnes (y compris des bébés) et cela n’inclut pas les 5 millions et plus de Palestiniens que les États-Unis ont aidé Israël à tuer depuis 1948.

Deux fois (2008, 2012) l’Amérique a eu l’opportunité d’élire un véritable président chrétien constitutionnaliste, un vrai homme de paix : le Dr Ron Paul. Et par deux fois, les soi-disant conservateurs et chrétiens républicains ont rejeté la candidature du Dr Paul et ont proposé des bellicistes de l’establishment.

Et voici encore une autre incroyable ironie en ce qui concerne la façon que les conservateurs chrétiens ont rejeté Ron Paul : Si la rumeur s’avère que la Cour Suprême a décidé de renverser Roe vs Wade [le droit à l’avortement], les chrétiens conservateurs de partout vont danser dans les rues – comme moi aussi.

Mais voilà le hic : Pendant des années, le Dr Ron Paul a présenté la Loi sur l’Inviolabilité de la Vie à la Chambre américaine des Représentants, et par laquelle les Présidents et les congressistes républicains auraient pu renverser Roe vs Wade. Et à chaque année, les conservateurs chrétiens bâillaient et l’ignoraient totalement – allant même, dans certains cas, jusqu’à le rejeter carrément.

Si nous pouvons nous fier à l’histoire du Politico disant que la Cour Suprême a voté pour renverser Roe vs Wade, la décision sera probablement une copie carbone du projet de loi sur l’Inviolabilité de la Vie du Dr Paul – ou le projet de loi de Ron aurait en réalité été plus fort. Si les chrétiens pro-vie avaient été derrière le projet de loi de Paul et avaient poussé le GOP à adopter la loi, il y a bien des années, des millions de bébés non-nés auraient été sauvés.

Or, maintenant, ils applaudiront une décision de la Cour Suprême qui reproduit un projet de loi proposé il y a quelques décennies et qui fut sponsorisé par Ron Paul – un projet de loi contre lequel les évangéliques s’opposaient ouvertement.

Et pourquoi s’opposaient-ils au Dr Paul ? Parce qu’il n’était ni belliciste ni un lèche-bottes sioniste. Les évangéliques aiment que leurs politiciens soient des Faucons de la Guerre et des sionistes. Mais alors, les deux vont ensemble.

Considérant la manière que les évangéliques rejetèrent Ron Paul, et considérant le fait qu’ils acclament et applaudissent la mort et la destruction à l’échelle globale par des guerres injustes, il semble clair que de nombreux évangéliques ne sont pro-vie que lorsque cela s’avère politiquement opportun.

Comme je l’ai dit, où sont les hippies anti-guerres quand on en a besoin ?




« La guerre est un racket », et cela inclut la guerre en Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

28 avril 2022

Le toujours consistent champion de la paix, Ron Paul, est dans sa bonne forme habituelle dans son récent article La guerre en Ukraine est un racket :

« La guerre est un racket, » écrivit le major-général américain Smedley Butler, en 1935. Il explique : « Un racket est, je crois, le mieux décrit comme étant quelque chose qui n’est pas ce qu’il semble pour la majorité des gens. Seul un petit groupe à “l’interne” sait de quoi il s’agit. Il est mené au bénéfice d’un très petit nombre, au dépend de beaucoup d’autres. Un petit nombre de gens soutirent une énorme fortune de la guerre. »

L’observation du général Butler décrit parfaitement la réaction US/OTAN dans la guerre en Ukraine.

La propagande continue d’illustrer la guerre en Ukraine comme celle d’un Goliath non provoqué en route pour décimer un innocent David à moins que nous, les USA et l’OTAN, contribuions par des quantités massives d’équipement militaire afin que l’Ukraine vainque la Russie. Comme c’est toujours le cas de la propagande, cette version des événements est manipulée afin de susciter une réaction émotive au bénéfice d’intérêts spéciaux.

Un de ces groupes d’intérêts spéciaux qui profite énormément de la guerre, c’est le complexe militaro-industriel américain. Le PDG de Raytheon, Greg Hayes, a dit récemment dans une rencontre d’actionnaires : « Tout ce qui est expédié aujourd’hui en Ukraine provient, bien sûr, des stocks de réserve, soit du DOD, soit de nos alliés de l’OTAN, et ce sont de très bonnes nouvelles. Éventuellement, nous devrons nous réapprovisionner et nous verrons le commerce faire du bénéfice. »

Il ne mentait pas. Raytheon, ainsi que Lockheed Martin et d’innombrables autres manufacturiers d’armement profitent d’une manne qu’ils n’avaient pas eue depuis des années. Les États-Unis ont engagé plus de trois milliards de dollars dans l’aide militaire à l’Ukraine. Ils appellent cela de l’aide, mais c’est en réalité du bien-être d’entreprise : Washington qui envoie des milliards de dollars aux manufacturiers d’armement pour des armes expédiées outremer.

Au dire de beaucoup de gens, ces expéditions d’armes, comme le missile antitank Javelin (conjointement manufacturé par Raytheon et Lockheed Martin) se font exploser aussitôt qu’ils arrivent en Ukraine. Cela ne dérange pas Raytheon du tout. Plus les Russes font exploser d’armes en Ukraine, plus de nouvelles commandes viennent du Pentagone.

Les anciens pays du Pacte de Varsovie, maintenant membres de l’OTAN, font aussi partie de l’ARNAQUE. Ils ont découvert comment disposer de leurs armes de fabrication soviétique et vieilles de plus de trente ans, et recevoir du remplacement moderne des États-Unis et d’autres pays occidentaux de l’OTAN.

Bien qu’un grand nombre de gens qui sympathisent avec l’Ukraine applaudissent, ce paquet d’armes de plusieurs milliards de dollars ne fera pas une grosse différence. Comme l’a dit un ancien officier des renseignements de la Marine américaine, Scott Ritter, dans un Liberty Report de Ron Paul, la semaine dernière : « Je puis dire avec une certitude absolue que, même si cette aide se rend jusqu’au champ de bataille, cela n’aura aucun impact sur le combat. Et Joe Biden le sait bien ! »

Nous voyons les Russes s’emparer à la tonne des armes modernes des États-Unis et de l’OTAN et même les employer à tuer encore plus d’Ukrainiens. Quelle ironie. Aussi, quel genre d’opportunités ne sera-t-il pas fourni aux terroristes avec ces milliers de tonnes d’armement mortel de haute technologie circulant en Europe ? Washington a admit qu’il n’y a pas moyen de retracer les armes que l’on envoie en Ukraine et aucune façon d’empêcher qu’elles tombent dans les mains de méchants garçons.

La guerre est un racket, c’est sûr. Les États-Unis s’ingèrent en Ukraine depuis la fin de la Guerre Froide, allant jusqu’à renverser le gouvernement en 2014 et semant les graines de la guerre dont nous sommes aujourd’hui témoins. La seule manière de sortir du trou, c’est d’arrêter de creuser. N’espérez pas cela pour bientôt. La guerre est trop profitable.

Amen et amen !

Zerohedge.com cite la remarquable analyse de GLOBAL INTEL HUB sur les sinistres plans économiques à l’œuvre et impliquant le conflit en Ukraine.

  1. Manque de refuge sûr – La Fed américaine a saisi plus de 800 milliards de dollars en Russie et dans les atouts associés. Si vous êtes un investisseur qui ne vient pas des États-Unis, vous devrez y penser à deux fois avant de conserver des fonds en « sécurité » aux États-Unis. Il y a de nombreuses alternatives, comme Singapour, la Suisse, Dubaï, les îles Caïman, pour n’en nommer que quelques-unes. Disons-le autrement, la « fuite vers la sécurité » n’est plus « d’acheter des dollars » – peu importe ce qui remplacera le dollar américain, il importe qu’il soit remplacé.
  2. Manque de pétrodollar – Sanctionner le plus gros producteur de pétrole au monde a fait en sorte que la Russie exige que l’on paie le pétrole en rouble, de manière à ce que la nouvelle devise globale pour le pétrole soit le rouble. En parallèle, la Russie fixe le cours du rouble sur l’or, de telle sorte que le rouble est maintenant appuyé sur le pétrole et l’or. Soit que la plupart des pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) en fassent autant ou qu’ils soient d’accord pour faire le commerce du pétrole en yuan ou en rouble. Le blocage de l’administration Biden de la production de pétrole américaine n’a pas aidé, et ce n’était pas non plus un signal des leaders américains qu’ils allaient combattre l’inflation par plus d’inflation. La Chine a été d’accord pour transiger le pétrole avec le yuan ou le rouble pour sa base manufacturière assoiffée, établissant un précédent par son puissant refus du dollar américain.
  3. Changement de la SWIFT au SPFS-CIPS – Le bannissement de la Russie de la SWIFT [Société de télécommunication financière interbancaire mondiale] a forcé ceux qui étaient bannis à chercher une alternative. La Russie et la Chine possédaient une alternative à la SWIFT, qu’elles développent depuis des années, comme le CIPS [China International Payments System – Système de paiement interbancaire transfrontalier] et le Nium basé à Singapour.
  4. Déménagement vers le yuan – Avant les événements entourant le conflit russo-ukrainien, la Chine était perçue comme un château de cartes toxique. Cela a drastiquement changé avec des milliards affluant en yuan, non seulement de la Russie, mais aussi de partenaires de la Russie qui vont joyeusement régler leurs transactions en yuan, et voient en la Chine une superpuissance moins agressive et plus compréhensive (alors que la Chine fait les frais de l’hégémonie américaine).
  5. Statut de réserve mondiale abandonné – Durant une crise, la Fed fournit les Dollars au besoin via des accords d’échanges et le gouvernement américain supplée à l’aide par l’intermédiaire d’entités contrôlées par les ONG et DC, comme le Fonds Monétaire International, la Banque Mondiale, etc. Les actions prises contre la Russie sont sans précédent. Tout en jouant à la superpuissance militaire globale, les États-Unis ont toujours conservé en sûreté entre leurs mains les fonds des ennemis, même s’il s’agissait d’Adolf Hitler ou de Saddam Hussein. En effet, la Banque de la Réserve Fédérale a même fondu l’or nazi pour ensuite l’engraver de nouveau – vous parlez d’un service aux gants blancs. Cela a permis à la guerre de se poursuivre, sans mentionner les milliards en financement fournis par les banquiers américains pour financer l’autre côté (les Nazis), souventes fois directement à Hitler lui-même.
  6. Hypersoniques – Le dollar américain n’est « supporté par rien », comme beaucoup le déclarent. En réalité, il est soutenu par les bombes – ou, en d’autres mots, la Supériorité militaire américaine. La Marine protège les routes commerciales, les Forces aériennes protègent les communications, etc. La Russie a utilisé un missile hypersonique pour descendre une base secrète de l’OTAN à l’intérieur de l’Ukraine. Le message envoyé à l’Occident était évident – les missiles hypersoniques n’ont pas de parade ni d’avertissement, et parce qu’ils sont tellement rapides, l’on n’a même pas besoin de les armer (avec une bombe nucléaire, par exemple). Bien que les États-Unis ne soient pas officiellement impliqués dans la guerre (même si l’on a vu de nombreux Américains combattre les Russes en Ukraine), il s’agit d’une victoire de la Russie dans la guerre cinétique. En employant des armes hypersoniques, les Russes pourraient descendre la Marine américaine et les bases militaires en une période de temps relativement courte. Bien sûr, les États-Unis pourraient réagir en « vitrifiant Moscou », mais là n’est pas la question. La guerre est une partie d’échec, et la Supériorité de l’armée américaine a fait en sorte que le dollar américain règne sans partage depuis que les Britanniques ont passé le flambeau aux Américains, il y a quelques générations. La politique étrangère américaine se compose de 80 % d’Orgueil démesuré et de 20 % de Supériorité technologique – la Supériorité qui demeure se limite à l’Espace. L’unique endroit où les États-Unis possèdent un avantage massif sur la Russie et la Chine, c’est l’Espace. De toute façon, ici, le contexte se situe dans le sort du Dollar US comme devise de réserve mondiale.
  7. Les BRICs et l’OPEC cherchent des alternatives – Maintenant qu’un grand nombre est forcé de se convertir au rouble et au yuan pour acheter du pétrole, beaucoup cherchent des réseaux de paiement alternatifs. Ce n’est pas une voie à sens unique – la Russie a imposé des contrôles de capital et des ressortissants russes ont pris environ trente jours pour installer des compagnies au Kazakhstan, en Chine, à Hong-Kong, à Singapour et dans d’autres endroits pour circonvenir les règles. Cela a fait affluer davantage de centres de capital alternatifs (autres que NY/Londres) et ces endroits sont littéralement inondés de nouvelles entreprises.
  8. Les États-Unis, importateurs nets – Puisque 80 % des biens sont manufacturés en Chine, les acteurs économiques américains doivent payer pour les mêmes matériaux avec leurs dollars hyper gonflés. En d’autres mots, la valeur du Dollar US en décroissance se voit à la pompe et au marché d’alimentation.

Pourquoi détruire votre propre devise ? Pour le profit !

Nous devrions tous nous poser la question à savoir pourquoi les faiseurs de politiques [occidentales] veulent ruiner leur propre devise. Il n’y a pas de réponse courte à cela, sauf un seul mot : le Profit. C’est le modèle économique du tueur à gages Soros appliqué à tout le pays qui a créé cela. Les frères Dulles, Kermit Roosevelt et William Stephenson (l’intrépide) ont créé un modèle économique d’Impérialisme mêlé au Capitalisme marchand (monopole de politique canonnière) exactement quand les Britanniques passèrent le flambeau aux Muricans. Les Yankees en retirèrent tout le crédit, mais nous savons tous qui tire encore les ficelles à partir de Londres – le même groupe qui contrôle le marché de l’or et la moitié des finances du monde.

Le modèle est tout simple. Premièrement, vous financez l’activisme et soutenez un candidat politique controversé comme Zelensky (un acteur est tout indiqué parce que c’est ce que le rôle demande). Ses points de vue et ses politiques n’ont pas de rapport, il n’a qu’un seul travail à faire et vous l’avez assez graissé avec des appartements à Miami et de la drogue, et des femmes (et des garçons, pour le goût) qu’il est littéralement votre pantin. Un seul appel téléphonique et toutes les photos de lui en train de faire le vilain se retrouvent partout. Mais ça ne l’inquiète pas, il est payé des dizaines de millions de dollars pour ne faire qu’une seule chose : accepter les 20 % d’intérêt sur un prêt du FMI [Fonds Monétaire International]. Il n’y a aucune façon de le rembourser. Lorsqu’arrivera le défaut de paiement, le pays donnera finalement ses matières les plus précieuses, quelles qu’elles soient.

Les États-Unis sont évidemment un peu plus compliqués parce que la plupart de ces prêts et de ces programmes proviennent des États-Unis – mais le modèle est le même. Cela implique toujours une dévaluation de la devise, de l’agitation civile et parfois une « révolution » sanglante qui ressemble plus à un coup de tueurs à gages. Biden est à vendre, de même que les États-Unis, et leur plan est de briser l’Amérique en petits morceaux et de la revendre aux plus offrants (elle a plus de valeur ainsi).

Et n’oubliez pas que l’inflation est bonne pour le riche et mauvaise pour le pauvre. En d’autres termes, c’est une guerre entre ceux qui ont et ceux qui n’ont pas. Voyez comme les portefeuilles de la classe à la valeur nette ultra élevée ont gonflé durant le Covid, pendant que les classes moyenne et inférieure ont souffert.

Rappelons-nous que la Fed peut créer autant de Dollars US qu’elle veut, le système fonctionnant en donnant le pouvoir aux banques membres qui possèdent la Fed. La guerre est toujours précédée ou suivie d’une dévaluation de devise. 25 % est un bond énorme pour ce que l’on appelait la Devise de Réserve Globale. Si vous pensez que ce chiffre n’est pas exact, vérifiez votre reçu à la station d’essence, au marché d’alimentation, ou chez Lowes pour des achats de bois. Tout monte, et ce n’est pas seulement à cause du pétrole. Voici quelques autres facteurs techniques qui surviennent, tels que la diminution des exigences de la Trésorerie américaine.

Maintenant, lisez soigneusement ce dernier paragraphe :

Dans les six prochains mois, nous allons certainement voir une détérioration supplémentaire de la valeur du Dollar US, mais la réaction du public demeure incertaine. Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas. Quand on montre des sondages dans les médias, c’est afin de changer l’opinion publique. Des études montrent que si vous exposez des études avec un certain penchant, ou qu’elles étudient la mauvaise chose, cela affectera la conscience de masse. Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

S’il vous plaît, lisez ce dernier paragraphe jusqu’à ce qu’il soit bien ancré dans votre esprit.

Les Élites qui mènent la barque dans la guerre d’Ukraine utilisent ce conflit pour leur propre bénéfice financier. C’est ce qu’ils font toujours. Cette guerre n’a PAS de rapport avec la survie de la « démocratie » en Europe, ou la défense de la liberté – ni dans sa forme, ni dans sa manière. L’implication de l’Occident dans cette guerre se rapporte à l’ARGENT pour les Profiteurs de la Guerre, comme l’a dit le général Butler en 1935.

L’analyse citée ci-haut décrit parfaitement comment les Élites occidentales planifient employer la guerre en Ukraine pour contribuer à détruire le Dollar US (qui coule de toute manière) et concevoir une nouvelle devise – sans doute digitale – qui, comme expliqué plus haut, dévaluerait les comptes de banques de tout le monde et anéantirait pratiquement toute la classe moyenne, en rendant la classe des milliardaires encore plus riches que ce qu’on peut imaginer.

Les leaders occidentaux ne font PAS la guerre à la Russie (excepté qu’ils détestent Poutine qui résiste aux Changeurs d’argent à Londres, à New York et à Tel-Aviv) ; ils font la guerre à la sécurité financière et au bien-être de leurs propres peuples – et cela compte double pour Biden et les États-Unis.

Mais comme le déclare le dernier paragraphe cité plus haut :

Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas … Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

En d’autres mots, nous, le peuple, allons déterminer le résultat final de cette attaque contre notre Liberté et notre Prospérité. Les plans de l’Élite vont tourner court si nous, le peuple, ne nous permettons plus d’être manipulés par eux.

Cela requiert que nous rejetions la propagande perpétuelle des médias en ce qui concerne l’Ukraine et que nous commencions à exiger que les États-Unis ne se mêlent pas de ce conflit (ce qui mettrait presque immédiatement fin au dit-conflit) et commencent à rectifier les folles habitudes de dépense du gouvernement américain – ce qui est un présage d’inflation galopante et de ruine financière éventuelle pour le peuple américain – et retournent à de sains principes financiers.

Les criminels de D.C. espèrent que, à mesure que l’inflation continue d’escalader, à mesure que vos revenus chutent sous le niveau du coût de la vie, à mesure que plonge le marché boursier, à mesure que la nourriture et autres nécessités deviennent de plus en plus difficiles à trouver, vous fixerez tellement vos regards sur le combat dans une fausse guerre à la défense d’un comédien ukrainien qui se fait appeler président que vous ne remarquerez pas que les mécréants machiavéliques qui dirigent ce plan à la Ponzi sont sur le point de vous dépouiller de vos libertés ainsi que de votre stabilité financière, et nous amènent dans un système féodal où ils sont les maîtres et nous les serfs.

Ce que feront les Américains dans les prochains six mois déterminera probablement notre avenir pour les six prochaines générations.

[« Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses… » 1 Timothée 6:10) « Or maintenant, vous riches, pleurez, et poussez de grands cris à cause des malheurs, qui s’en vont tomber sur vous » (Jacques 5:1).]




D’autres mythes (de la CIA) concernant l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 avril 2022

Nous pourrions appeler le conflit en Ukraine Covid-22, parce que les mêmes propagandistes qui ont créé la fausse narration Covid-19 créent maintenant la fausse narration Ukraine.

Je m’en vais directement à l’excellent traité de Lew Rockwell :

Tout Américain raisonnable convient que nous ne devrions pas nous impliquer dans la guerre Russe-Ukraine. Les bellicistes néoconservateurs, avec un Joe Biden sans cervelle comme figure de proue, veulent détruire la Russie, et ils sont prêts à risquer une guerre nucléaire pour ce faire. Mais cela n’annule pas ce que je viens de dire. Ces monstres sont tout sauf raisonnables. Mais, parlant de monstres, cela nous amène à une autre question. Tout le monde connaît la position de John Quincy Adams : « L’Amérique ne va pas à l’étranger à la recherche de monstres à détruire. » Est-ce la raison pour laquelle nous devrions nous tenir loin de la guerre en Ukraine ? Poutine est-il un monstre n’amenant que la mort et la destruction à un peuple innocent, ou quelqu’un dont nous devons ignorer les actions parce qu’il est trop dangereux d’agir contre lui ? Les gens qui disent cela ignorent ce qui arrive. Poutine est un homme d’état raisonnable, aux intérêts de sécurité légitimes, et le prétendu héro Zelensky est un personnage douteux.

Pourquoi les gens pensent-ils autrement ? Une des raisons, c’est les accusations d’atrocité attribuées aux Russes à Bucha. Ces accusations ne sont que cela, des « accusations ». Les fausses déclarations d’atrocité sont souvent la façon prise pour enflammer les gens dans le but qu’ils soutiennent la guerre, et les accusations de Bucha en sont le dernier exemple. Christopher Roche, qui n’est pas pro-Poutine, explique pourquoi nous ne devrions pas nous laisser avoir par cela : « Les reportages et les photographies montrant un apparent massacre à Bucha, en Ukraine, sont vraiment terribles. Ils nous rappellent les atrocités utilisées pour galvaniser l’opinion occidentale durant les Guerre yougoslaves des années 1990, quand le massacre de Srebrenica et le siège de Sarajevo furent imprégnés dans la conscience occidentale. »

Évidemment, les photos ne racontent pas toujours toute l’histoire. Par exemple, pour déterminer si un crime de guerre a eu lieu, nous devons savoir qui a exécuté la tuerie, pourquoi et comment. Après tout, les États-Unis ont tué de nombreux milliers d’Irakiens et d’Afghans, souvent par accident, au cours de ces guerres. Peu de gens, aux États-Unis ou en Europe, appelleraient ces actions des crimes de guerre. Tout est devenu apparent après que les États-Unis se disculpèrent d’avoir annihilé une famille afghane par une frappe de missile durant le retrait des forces américaines l’été dernier. Oups.

Si des civils ont été tirés et tués à dessein à Bucha, c’est sans aucun doute un crime de guerre et une chose horrible. Mais il y a de bonnes raisons de croire que le soi-disant Massacre de Bucha ne fut pas le fait des Forces russes, mais plutôt des Ukrainiens – soit la milice locale, soit le SBU, ou encore une combinaison des deux – comme faisant partie des représailles brutales contre les « saboteurs » et les « collaborateurs russes ».

Premièrement, cela s’accorde avec le modèle des Forces ukrainiennes qui violent les règles de la guerre, comme le prouvent de nombreuses vidéos montrant les fusillades de prisonniers, la torture de civils et autres choses du même genre. Contrairement aux photos figées de Bucha, les vidéos montrent le déroulement des actions elles-mêmes, comme d’ailleurs les auteurs, ce qu’a même reconnu récemment le New York Times.

Deuxièmement, le Président ukrainien Voldomir Zelenskyy a donné un grand nombre de discours appelant à la punition des « saboteurs » et des « traîtres » en disant que la guerre se terminera finalement par la « dé-russification » de l’Ukraine. Ce sont des paroles dures qui tendent clairement à enflammer et à encourager les éléments les plus extrêmes.

Troisièmement, l’atmosphère en Ukraine est mûre pour les crimes de guerre. Alors que les supporteurs du Deuxième Amendement américain étaient naturellement encouragés par le cadeau d’armes du gouvernement ukrainien, certaines de ces armes finirent entre les mains de criminels et de personnages indisciplinés. Ce n’était pas par mégarde ; l’Ukraine a délibérément libéré des prisonniers avec expérience de combat afin de leur permettre de se battre. On ne peut attendre des membres de ce groupe qu’ils deviennent de scrupuleux adhérents aux lois de la guerre.

Il y a également beaucoup de récits documentés au sujet d’Ukrainiens se tuant les uns les autres par paranoïa à cause des espions et des saboteurs. Il est assez facile de voir pourquoi. Il y a un cheveu de différence entre les Ukrainiens et les Russes et un grand nombre dans l’Est ne parlent que le russe, ont soutenu les Russes, ou à tout le moins n’ont qu’une attitude peu enthousiaste envers le régime ukrainien. Cela attise la possibilité de violence intestine, ce qui sera rationalisé après coup comme le nettoyage de traîtres et de membres de la cinquième colonne.

Quatrièmement, le moment de la sortie des rapports a créé des doutes réels à savoir si les Russes avaient perpétré le Massacre de Bucha. Il est largement reconnu que les Forces russes ont quitté Bucha le 30 mars. Ensuite, le maire de Bucha a joyeusement annoncé leur retrait le 31 mars, sans aucune mention de massacres, de cadavres dans les rues et autres crimes de guerre. Finalement, le SBU ukrainien dit qu’il avait emménagé à Bucha le 2 avril afin de diriger une opération de « nettoyage » contre les saboteurs et les traîtres.

Les photos de cadavres ne sont apparues que le 2 avril et puis Zelenskyy s’est présenté afin de faire la tournée avec les journalistes internationaux. Reuters et le New York Times ont aussi posté des images satellites Maxar montrant apparemment des corps dans les rues, plus tôt, le 19 mars, Ce n’est pas aussi convaincant que ce pourrait l’être ; des cadavres laissés dehors pendant deux semaines ne seraient pas dans la condition de ceux montrés dans les photos du 2 avril, mais ils seraient plutôt décomposés de manière significative. S’il y avait eu des cadavres dans les rues plus tôt en mars – que ce soit des combattants ou des civils – ce serait des gens différents que les civils décédés et montrés le 2 avril.

Au lieu de cela, il est question de savoir si les récits d’atrocités conduiront à l’implication des États-Unis dans une autre guerre qui ne fait rien pour mettre de l’avant les intérêts nationaux américains. Que ce soit le Viol de la Belgique allégué dans la Première Guerre Mondiale, le génocide au Kosovo, ou les soldats irakiens « enlevant des bébés des incubateurs » au Koweït, les horribles et faux récits d’atrocité ont été utilisé auparavant pour encourager l’implication occidentale dans des guerres inutiles. Quant aux enquêtes criminelles ordinaires, il vaut toujours la peine de se demander si la source a motif de mentir à propos de la culpabilité.

La Russie a demandé une enquête indépendante sur ces événements par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, mais la présidence actuelle, le Royaume-Uni, a apparemment refusé de convoquer le Conseil. Pourquoi ? Une enquête indépendante n’aurait-elle pas été le meilleur moyen de déterminer ce qui s’est passé ? Bien sûr, ici, la vérité est secondaire, et ni l’Ukraine ni l’Occident n’auraient d’intérêt à découvrir l’étendue des crimes de guerre ukrainiens. À la place, les États-Unis et l’Union européenne se consacrent à prolonger la guerre afin d’affaiblir et de punir la Russie, même si la prochaine étape pourrait probablement être bien pire pour toutes les parties impliquées, avec un gouvernement de Kiev demandant, dans ses plus récentes communications, l’évacuation en masse de l’Est.

Malgré tout l’encre coulé pour condamner ce qu’on appelle le Massacre de Bucha, on se demande si les appels à des procès pour crimes de guerre et les déclarations disant que le gouvernement responsable de cela est illégitime seront retirés s’il se trouve que, non pas Vladimir Poutine et la Russie, mais Voldomyr Zelenskyy et l’Ukraine sont responsables de ce qui est arrivé à Bucha. Poser la question, c’est y répondre.

Les vraies atrocités se commettent par les Forces de Zelnskyy, ce qui comprend des néo-nazis. Les Russes se rappellent des horreurs de l’invasion allemande lors de la Deuxième Guerre Mondiale et ils ne veulent pas que cela se répète. D’où l’exigence de Poutine à ce que le gouvernement ukrainien purge les éléments nazis de son gouvernement, particulièrement ceux que l’on trouve dans le régiment Azov. Comme le dit Joe Lauria : « Le Président ukrainien Volodimyr Zelensky a fait une tournée mondiale virtuelle avec relais vidéos vers les parlements autour du monde, ainsi qu’aux Grammy Awards et au Conseil de Sécurité des Nations Unies, parfois avec des résultats pénibles. »

Jugeons de la sagesse du grand Dr Ron Paul qui nous a mis en garde contre le fait d’aller en guerre par l’intermédiaire des faussetés de la CIA concernant des atrocités commises : « La semaine dernière, un article extraordinaire est apparu, entre autres endroits, dans les Nouvelles NBC, rapportant que la communauté des renseignements américains alimente sciemment de l’information, qu’elle ne croit pas exacte, au grand courant médiatique américain pour la faire consommer à l’auditoire américain. »

En d’autres mots, l’article rapporte que « l’état profond » américain admet s’engager activement à mentir au peuple américain dans l’espoir de pouvoir manipuler l’opinion publique.

J’ai creusé le sujet des mensonges de la CIA – y compris l’admission d’NBC – dans mon bulletin de la semaine dernière.

Pourquoi le gouvernement américain insiste-t-il pour prolonger et exacerber ce conflit ? Je crois que Rockwell a raison : les profiteurs de la guerre à Washington, D.C., VEULENT une guerre contre la Russie. En premier lieu, il n’y a jamais eu de guerre que le Parti de la Guerre, bien installé à D.C. n’ait pas aimée – et contribué à déclencher.

En second lieu, Joe Biden et le reste des criminels au sein de la Périphérie savent que l’économie américaine s’enfonce dans une spirale « mauvaise et plus mauvaise » – et ils savent qu’ils en sont responsables. La guerre est la distraction parfaite pour détourner l’attention du peuple américain de leurs propres malheurs économiques causés par leurs propres leaders politiques et ceux-ci leur fournissent un « monstre étranger » à haïr.

Je vais répéter ce que je dis depuis plus de vingt-cinq ans : Nous avons plus à craindre de la part des misérables mécréants de Washington, D.C., que de n’importe qui d’autre. Si vous voulez trouver des monstres, vous n’avez pas à regarder outremer pour les trouver ; vous n’avez qu’à jeter un coup d’œil sur le putride marais au bord du Potomac, et vous en trouverez des centaines.

Les demandes de Poutine sont raisonnables. L’Ukraine n’a pas d’affaire dans l’OTAN. En plus, les néo-nazis de la milice militaire ukrainienne Azov sont les vrais criminels de guerre. Cela fait des années qu’ils commettent des meurtres de masse et des génocides contre le peuple russophone du Donbass. La défense russe de ces victimes innocentes contre les oppresseurs nazis ukrainiens est plus que justifiée – particulièrement après que le peuple du Donbass se soit séparé légalement du gouvernement ukrainien et ait fait appel à la protection de la Russie.

La terre des Khazars (Ukraine) est remplie de corruption, de barbarie, de meurtre et de guerre depuis le 6e siècle. C’est une terre qui n’a jamais compris ou apprécié la civilité ni la loi. Les dirigeants sans foi ni loi de l’Ukraine ont rejoint presque tous les tyrans et les despotes (et les brutes et les gangsters) qui se sont présentés – incluant particulièrement Hitler. Qualifier de « héros » Zelenskyy et sa bande assoiffée de sang de mercenaires nazis et risquer une Troisième Guerre Mondiale pour défendre ces adeptes d’Hitler, c’est le sommet de la démence.

S’il vous plaît, lisez ce rapport-ci à propos d’un infâme mercenaire nazi ukrainien.

Les mythes créés par la CIA ont conduit l’Amérique dans pratiquement toutes les guerres dans lesquelles nous nous sommes engagés depuis que l’agence a été créée en 1947 : de la Corée au Vietnam, à la Guerre du Golfe, à la Somalie, à Haïti, à la Bosnie, au Kosovo, au Liban à l’Afghanistan, à l’Irak, au Yémen, au Pakistan, au Kenya, en Lybie, en Ouganda et en Syrie.

Et il semble maintenant que les mythes de la CIA amènent l’Amérique dans une guerre contre la Russie.

Pendant combien de temps Dieu laissera-t-Il les États-Unis survivre à leur propre stupidité ?




Vous croyez sérieusement que les mêmes médias qui mentaient à propos du Covid disent maintenant la vérité concernant l’Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 avril 2022

Pendant plus de deux ans, les médias de nouvelles ont menti à répétition à propos de la fausse pandémie de Covid. Pratiquement tout ce qu’ils nous ont dit était du mensonge en pleine face.

La précision des tests PCR était un mensonge flagrant. Le besoin de distanciation sociale était un mensonge flagrant. Le nombre de morts dues au Covid était un mensonge flagrant. Le besoin de masques était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les écoles et les églises était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les commerces était un mensonge flagrant. Le besoin de vaccination était un mensonge flagrant. La sécurité et l’efficacité des vaccins étaient un mensonge flagrant.

TOUT ce que l’on nous a dit à propos du Covid était un mensonge flagrant !

Or maintenant, les mêmes gens qui se sont réveillés face aux mensonges Covid régurgités par les mass-médias gobent tout le narratif des médias sur l’Ukraine.

Chaque fois que je vois tout l’establishment du pouvoir s’aligner en parfait accord, disant tous exactement la même chose et le répétant sans cesse encore et encore, JE SAIS que ce n’est rien d’autre que de la propagande. Avant même que je connaisse les joueurs, avant même que je connaisse les circonstances et les événements, JE SAIS que j’entends de la propagande.

Lorsque tous les réseaux de télévision, de CNN à FOX News, tous les lecteurs de nouvelles, de Joe Scarborough à Sean Hannity, toutes les têtes d’affiche d’Hollywood et du divertissement et tous les leaders évangéliques sionistes chrétiens régurgitent la même narration – et condamnent au feu de l’enfer tous ceux qui osent défier cette narration – JE SAIS que j’entends de la propagande.

En conséquence, je suis convaincu de tout mon être que tout ce que j’entends concernant l’Ukraine de la part de l’establishment n’est que pure propagande – un mensonge flagrant. Et oui, cela inclut les « nouvelles » à propos de Bucha.

Au fil des ans, j’en suis venu à apprécier et à respecter les analyses de l’ancien officier des renseignements de l’USMC, Scott Ritter. Il n’a pas peur de nager à contre-courant et de dire des vérités impopulaires. Il ne déçoit pas dans son analyse récente du « massacre de Bucha ».

« Dans la guerre, la vérité est la première victime. » Cette citation est attribuée à Eschyle, tragédien grec du 6e siècle av. J.-C., remarqué pour son « copieux usage de l’imagerie, de l’allusion mythique, de son langage grandiose, de jeux de mots et d’énigmes ». Il n’est que juste, par conséquent, que l’homme qui, le premier, a nommé le concept de propagande en temps de guerre en ces temps modernes verrait sa citation prendre vie dans l’Ukraine d’aujourd’hui. Le gouvernement de Kiev et leurs conseillers occidentaux en renseignements de guerre ont dû récupérer tous les mécanismes théâtraux d’Eschyle pour fabriquer une tragédie moderne dans la ville ukrainienne de Bucha qui illustre la notion de mensonge, non seulement comme sous-produit dérivé, mais aussi comme arme de guerre.

La source principale de la tragédie de Bucha est un enregistrement vidéo, pris par la Police Nationale ukrainienne, de l’un de leurs convois parcourant une rue dans la ville. Une douzaine de cadavres environ jonchent la chaussée, beaucoup ayant été apparemment ligotés. Cette vidéo est devenue virale, produisant une pandémie d’angoisse et de colère qui a balayé une grande partie du monde en captant l’attention des chefs d’état comme de la tête de l’Église catholique, causant ainsi une vague de condamnation et de scandale dirigée contre la Russie et son président, Vladimir Poutine. La relation de cause à effet entre la vidéo et la répercussion globale est claire – cette dernière ne pourrait exister sans la première.

Une des premières leçons d’objectivité, c’est de ralentir les choses pour s’assurer que le fait n’est pas obscurci par l’émotion. La vidéo de Bucha est troublante. La vidéo a été lancée dans sa forme présente, semble-t-il, avec l’intention expresse de produire un effet viscéral de « choc et de crainte » chez le téléspectateur. Si c’est vraiment le cas, alors ceux qui l’ont lancée – la Police Nationale ukrainienne – ont réussi au-delà de toutes leurs espérances les plus folles. Ou celles de leurs conseillers, comme c’est sans doute le cas.

Le lien entre les morts et l’armée russe a été établi immédiatement, sans aucune donnée de base pour le soutenir, et a par la suite fait écho dans tous les genres de médias – du grand courant médiatique comme des réseaux sociaux. Quiconque ose remettre en question la narration « la Russie a fait cela » a été conspué et minimisé comme étant un « compère des Russes », ou pire.

Que ces conclusions soient le sous-produit d’une hystérie de masse n’a rien à voir – pourquoi chercher à être objectif quand le narratif s’agence avec tous les stéréotypes qui ont été soigneusement assemblés à l’avance par les mêmes personnes qui répètent aujourd’hui l’histoire de Bucha. Le « pré-conditionnement » social d’un auditoire qui n’a pas l’habitude de la pensée critique est une étape essentielle pour amener cet auditoire à prendre tout ce qui lui est présenté pour acquis, peu importe jusqu’à quel point les faits de l’histoire mettent extrêmement sa crédibilité à rude épreuve. Et soyons clair – le narratif ukrainien des événements à Bucha semblent outrepasser la crédibilité.

La chronologie de la narration produit le premier drapeau rouge montrant que l’histoire propagée par l’Ukraine et répandue en Occident n’est pas ce qu’elle semble. C’est un fait établi que les troupes russes ont évacué Bucha le 30 mars. La Police Nationale ukrainienne a commencé à entrer dans Bucha le 31 mars, et ce même jour, le maire de Bucha a annoncé que la ville était entièrement sous le contrôle des fonctionnaires ukrainiens. En aucun moment n’a-t-il été sous-entendu, par le maire ou tout autre officiel ukrainien, une tuerie de masses entreprise par la Russie. L’enregistrement vidéo en question a été lancé par les autorités ukrainiennes le 2 avril ; il n’est pas certain si la vidéo a été prise plus tôt ou le même jour. Chose certaine, c’est que les images montrées dans la vidéo diffèrent nettement de la narration initiale donnée par le maire.

Un exemple de cette tactique qui se manifeste, c’est la réaction du Président américain, Joe Biden : « Vous avez vu ce qui s’est passé à Bucha, » explique-t-il en commentaire aux reporters, ajoutant que le Président russe Vladimir Poutine « est un criminel de guerre ». Biden a pris avantage de la crise à Bucha pour préconiser la livraison de plus d’armement en Ukraine. « Nous devons continuer à fournir à l’Ukraine des armes dont elle a besoin pour poursuivre le combat, » dit-il. « Et nous devons assembler tous les détails pour qu’il puisse y avoir un vrai procès pour crimes de guerre. »

Tout ça du président d’un pays qui a refusé de reconnaître la Cour Criminelle Internationale. Pour des raisons qui devraient être évidentes à quiconque veut appliquer quelque pensée critique.

Heureusement pour le Président Biden et le gouvernement ukrainien, le procureur-en-chef de la cour britannique, Karim Khan, a annoncé, au début de mars 2022, qu’il avait lancé une enquête sur les crimes de guerre allégués et les crimes contre l’humanité commis en Ukraine. Étant donné le profil élevé des allégations de Bucha, on imagine que Khan a expédié une équipe médico-légale pour prendre le contrôle de la scène de crime et superviser les autopsies sur les victimes de manière à établir l’heure de la mort, le mécanisme de la mort et à savoir si les victimes sont mortes à l’endroit où on les aurait trouvées ou si elles ont été déplacées là à partir d’un autre endroit.

Khan a aussi eu le pouvoir de diriger les entrevues avec la Police Nationale ukrainienne qui a un historique de relations étroites avec les membres de l’extrême droite ukrainienne, y compris l’infâme Bataillon Azov. S’avérerait d’un intérêt particulier toute enquête sur les ordres donnés à la police concernant le traitement des civils ukrainiens que l’on juge avoir collaboré avec l’armée russe durant son occupation à Bucha.

Le résultat d’une telle enquête entrerait fort probablement en conflit avec le narratif poursuivi par le gouvernement ukrainien et répandu en Occident par des médias et des politiciens complaisants. C’est la raison principale pour laquelle Khan n’est pas présentement sur le terrain à Bucha. On peut assumer que si et quand Khan aura éventuellement accès aux preuves concernant les tueries de Bucha, elles auront été manipulées par la Police Nationale ukrainienne à un point tel que désapprouver les allégations sera pratiquement impossible.

Les preuves de ce qui est arrivé à Bucha s’y trouvent, attendant qu’on les découvre. Malheureusement, cette vérité semble inopportune pour ceux qui sont en position de la poursuivre de manière agressive au moyen d’une enquête basée sur le médico-légal au site-même. S’il venait à arriver qu’émerge éventuellement le fait que la Police Nationale ukrainienne ait tué des civils ukrainiens pour le crime d’avoir collaboré avec les Russes lors de leur courte occupation de Bucha, et que les forces de la loi internationale soient amenées contre les vrais auteurs de ce crime, toute poursuite en justice véritable devrait inclure les gouvernements américain et britannique comme co-conspirateurs conscients dans toute accusation de crime.

Le SEUL espoir qu’a le président pantin ukrainien dans son désir de maintenir sa position en tant que gardien de la corruption de l’État Profond globaliste en Ukraine, c’est d’inciter assez de passion et d’émotion antirusse dans les pays occidentaux – particulièrement les États-Unis – pour les amener en confrontation directe avec la Russie pour la protection de l’Ukraine. L’histoire de Bucha serait le parfait faux drapeau pour accomplir cela. Et si Bucha ne marche pas, vous pouvez parier qu’il y en aura d’autres.

Comme je l’ai fait remarquer dans mon bulletin de la semaine dernière, plusieurs fidèles partisans de Liberty Fellowship qui vivent en Ukraine ou qui ont de la parenté vivant en Ukraine ont témoigné de ce que l’armée ukrainienne – spécialement le notoire Bataillon Azov – détruit ses propres villes et tue ses propres citoyens.

Et il n’est pas difficile de s’imaginer les motifs. Il y en a deux évidents : 1) L’armée ukrainienne prend sa revanche sur les citoyens ukrainiens qui se montrent loyaux et sympathiques envers la Russie et, 2) les forces ukrainiennes sèment la mort et la destruction afin de mettre tout le blâme sur la Russie et ainsi stimuler les États-Unis et l’OTAN à entrer en guerre contre la Russie.

Et peu importe ce que vous entendez de la part des médias menteurs et des leaders évangéliques crédules, le conflit en Ukraine n’est PAS un scénario où le bon gars affronte le mauvais gars. Loin de là ! Zelenski n’est pas George Washington, comme l’allèguent follement certains conservateurs. Il ressemble plus à Benedict Arnold.

Le gouvernement de l’Ukraine est profondément corrompu. C’est un vassal de l’État Profond pour laver l’argent sale, faire le trafic d’enfants, être une banque criminelle internationale, etc. Zelenski est un lèche-bottes sioniste de George Soros et de l’État Profond occidental.

Vous n’avez probablement pas entendu parler de l’élection en Hongrie – parce que les médias propagandistes ne veulent pas que vous en entendiez parler. Le Premier Ministre hongrois Victor Orban vient de remporter son quatrième mandat dimanche dernier.

Viktor Orban de Hongrie, fraîchement élu pour un quatrième mandat en tant que premier ministre, aux élections de dimanche, a dit que son parti est sorti victorieux en dépit des interférences de la part des forces de la gauche, à la maison, et des « opposants » autour du monde, en incluant le Président ukrainien Volodymyr Zelenski et l’activiste politique milliardaire George Soros.

« Nous nous rappellerons de cette victoire jusqu’à la fin de nos jours parce que nous avons eu à combattre contre une énorme quantité d’opposants. »

Ces forces comprenaient non seulement les partis d’opposition de la Hongrie, dit-il, mais aussi « les bureaucrates de Bruxelles, l’empire Soros – avec son argent – les mass-médias internationaux et à la fin même le Président ukrainien. Nous n’avons jamais eu autant d’opposants en même temps. »

« Le monde entier peut voir que notre marque de politiques chrétiennes démocratiques, conservatrices et patriotiques a gagné. »

Comme dévoués sionistes/globalistes, Zelenski et son bienfaiteur George Soros ont fait tout ce qu’ils ont pu pour défaire le Premier Ministre chrétien hongrois. Ils ont perdu, mais pas par faute d’avoir essayé.

Le respectable éducateur et écrivain chrétien Don Boys a écrit cette semaine :

George Soros, Klaus Schwab, Barack Obama, Bill Clinton et d’autres ont pris le leadership de l’agenda globaliste. Ces hommes ne sont simplement que des gauchistes radicaux, avides et maléfiques avec un programme d’extrême-gauche pour le monde, pas juste un pays. Ensemble, ils utilisent leur argent, leur influence et leur position pour produire un déséquilibre dans divers pays.

C’est exactement ça (sauf que je suggèrerais que des politiciens comme Obama et Clinton sont des laquais, pas des leaders). Alors, posez-vous la question : Pourquoi Soros. Schwab et le reste de la cabale globaliste SOUTIENNENT-ILS L’UKRAINE ?

Donc, félicitations à tous les conservateurs politiques et les évangéliques chrétiens qui applaudissent l’Ukraine : vous, George Soros et Klaus Schwab faites maintenant partie de la MÊME ÉQUIPE !

Cela ne veut pas du tout dire que Poutine et la Russie sont les « bons gars ». Cela signifie simplement que le peuple des États-Unis n’a aucune chance dans ce combat. Le problème, c’est que les vandales de l’État Profond à Washington, D.C., sont tout aussi corrompus que ceux du théâtre européen ; et si nous les laissons faire, ils nous traîneront tous dans la boue et la fange – et la mort et la destruction – de leurs machinations maléfiques.

Et si vous doutez encore de ce que je dis à propos de la bonne foi sioniste de Zelenski, l’homme vient juste de dire de but en blanc que l’Ukraine d’après-guerre sera un « gros Israël ». (Demandez aux Palestiniens ce que cela veut dire.)

L’ambassadeur israélien en Ukraine, Michael Brodsky, a dit à Haaretz, que « l’État juif a toujours été un modèle pour l’Ukraine ».

Ce n’est pas surprenant. Si les évangéliques n’avaient pas le cerveau aussi lavé par les doctrines diaboliques du sionisme chrétien, ils sauraient que l’Ukraine était jadis l’épicentre de l’Empire khazar, soit les ancêtres des Juifs ashkénazes qui sont devenus l’État sioniste d’Israël.

Allez-vous réellement continuer à avaler la propagande globaliste des mass-médias à propos de l’Ukraine ? Si oui, alors au moins ayez la cohérence d’arrêter de vous plaindre de l’État Profond, car quand vous vous laissez prendre aux mensonges des mass-médias, vous en venez à en faire partie.




L’histoire interne de l’intérieur de l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

31 mars 2022

Cette chronique – et particulièrement mes messages vidéo en direct et en archives – compte des amateurs de partout dans le monde. Comme vous pouvez vous y attendre, nous avons une quantité considérable de supporteurs dans des pays comme le Canada, la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, l’Écosse, la France, l’Allemagne, la Suisse, etc. Nous avons également un nombre significatif de supporteurs à Singapour, dans les Caraïbes, en Amérique Centrale et dans le Proche-Orient, y compris au Liban – et particulièrement en Palestine. Mais vous serez peut-être surpris d’apprendre que nous avons aussi un nombre substantiel de partisans dans le Nord de l’Europe, en incluant la Finlande, et en Europe de l’Est, dont la Russie et l’Ukraine.

Je vais utiliser cet article pour partager avec mes lecteurs ce que me disent les gens en Ukraine à propos du conflit avec la Russie. Mais avant, je dois vous diriger vers ce que je crois être la MEILLEURE analyse de la situation ukrainienne que j’ai lue jusqu’à date – et j’en ai lu un PAQUET.

Je veux parler de cet article de David Stockman :

Les dangers économiques, sociaux et politiques abondent. C’est que Washington et ses serviteurs du grand courant médiatique délirent d’une fièvre guerrière comme jamais au cours des sept dernières décennies.

La poursuite irresponsable d’une Guerre de Sanctions délirantes qui s’en suit contre la Russie constitue une menace grave à l’économie mondiale et la prospérité domestique, et cela pour aucune bonne raison en regard de la sécurité du territoire et n’importe quoi d’autre.

En ce qui a trait à cette dernière, les faits absolus sont irrésistibles. Nous les répétons donc avec un total ajouté pour les budgets militaires respectifs : à savoir, la puissance économique de l’OTAN est 29 fois plus grande que celle de la Russie, et son budget de défense combiné est 18 fois plus gros, ce qui vous en dit long sur ce que vous devez savoir à propos de la « menace russe » :

OTAN : 42,78 trillions $ de PNB : 945 millions de population ; 45 130 $ de revenu per capita ; 1 200 milliards $ de budget défense.

RUSSIE : 1,46 trillions $ de PNB : 144 millions de population ; 10 300 $ de revenu per capita ; 57 milliards $ de budget défense.

Étant donné ces réalités, pourquoi Washington s’en fait-il à propos d’une bataille murale entre peuples et territoires contigus qui sont joints à la hanche depuis les 1 300 dernières années ?

La réponse implicite, c’est qu’il s’est appointé police du monde et Administrateur-en-chef de la Fessée.

Le fait est que l’Ukraine est la Pologne et la Tchécoslovaquie des temps présents – un état artificiel rempli de Russes, sans raison d’exister dans sa forme et sa circonférence actuelles. Eh bien, encore une fois, sans autre raison que l’insistance fanatique de Washington que la mappe hasardeuse illustrant les unités administratives, qui ont découlées de l’écroulement de l’Union Soviétique, constitue des frontières sacrées que l’on doit préserver de tout danger.

Au contraire, ce que veut Poutine, ironiquement, c’est le statu quo pré-communiste. C’est-à-dire, il veut la Crimée, russe depuis 1783, et où les Ukrainiens ne constituent qu’une infime minorité. Et ce qui est encore plus important, elle possède le plus grand atout militaire qu’aura par la suite la Russie – la grande base navale à la source de la Mer Noire, à Sébastopol.

De même, le Donbass et les territoires est de la Rivière Dniepr, et le long de la lisière nord de la Mer Noire et de la Mer d’Azov, sont russes depuis plus de 300 ans. Selon tous les faits de l’histoire d’avant 1922, ces territoires revenaient à la Novorossiya (Nouvelle Russie) tel que le démontre cette carte de 1897.

Il se trouve qu’ils devinrent « Ukrainiens » seulement par acte judiciaire de deux des plus grands monstres de l’histoire – Vladimir Lénine et Joseph Staline – qui les placèrent dans l’unité administrative de la République Soviétique Socialiste d’Ukraine pour des raisons qui n’ont aucune validité historique.

Pourtant, une guerre dévastatrice s’y passe aujourd’hui – une guerre qui mène vers le précipice de la Troisième Guerre Mondiale – parce que Washington encourage Kiev à insister pour retenir « chaque pouce » d’une mappe montée par Lénine, Staline et Khrouchtchev.

La pire des choses est bien sûr que toute cette « guerre du socialisme » n’a rien à voir avec la défense de la patrie ou quoi que ce soit de rationnel. Au contraire, c’est la progéniture pourrie d’une Cité Impériale peuplée de politiciens carriéristes qui prennent leur pied à être les suzerains de l’humanité et les Administrateurs-en-chef de Fessées aux malfaiteurs de la planète.

Malheureusement, nous ne voyons que la moitié de la pagaille actuelle. Les MSM présentent un portrait tellement déformé et fantaisiste des conditions sur le terrain en Ukraine que le public américain est totalement dans le noir concernant ce qui va arriver. C’est-à-dire que l’armée ukrainienne a été décimée et la résistance du gouvernement de Kiev va bientôt lâcher – même si le clownesque président du pays ne cesse de siffloter devant le cimetière.

Stockman en a bien plus à dire, évidemment, et je vous encourage à lire tout son traité. Comme je l’ai dit, c’est le meilleur que j’ai lu jusqu’à date.

Mais le dernier paragraphe de Stockman cité ci-haut est un enchaînement parfait avec ce que les gens de l’intérieur de l’Ukraine me disent. Je ne dévoilerai pas les sources pour des raisons évidentes.

La lettre qui suit résume la plupart des sentiments que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine ou qui ont de la famille qui vit en Ukraine. (FYI : Un des membres de ma famille immédiate par mariage est ukrainien d’un côté de la famille et russe de l’autre.)

D’un fidèle disciple de Liberty Fellowship (la lettre a été révisée pour entrer dans l’espace et adoucir l’anglais cassé) :

Allô Pasteur Chuck,

L’Ukraine et la Russie sont une seule nation. Plus de 75 % de l’Ukraine, de la Russie, de la Biélorussie et de la Pologne ont des ancêtres communs.

Les médias aux États-Unis donnent une information totalement différente de ce qui se passe réellement.

J’écris pour que vous sachiez ce qui arrive en Ukraine par l’intermédiaire de gens qui sont en Ukraine.

Voici ce que pense le peuple d’Ukraine : l’armée russe est vraiment à l’offensive, mais parce qu’elle ne veut pas nuire aux populations civiles, elle se déplace lentement.

Elle [l’armée russe] distribue de la nourriture et des médicaments aux populations civiles. Le gouvernement russe paie 10 000 roubles à chaque citoyen sénior et à chaque employé du gouvernement ukrainien dans tous les territoires qu’elle occupe pour que les travailleurs civils puissent encore fournir des services civils à la population.

Une ville ukrainienne était défendue par le Bataillon Azov [les gangsters nazis ukrainiens]. Des nombreux interviews de civils locaux, nous savons que l’armée d’Azov a détruit 80 % des édifices de la ville. Des civils ont vu l’artillerie ukrainienne tirer dans les édifices de leurs propres villes.

Parfois, les soldats du Bataillon Azov s’installent dans des écoles, des églises, des hôpitaux et dans des édifices à appartements de la ville et y restent pendant 2-3 jours ; et quand ils quittent, ils bombardent les édifices.

Des civils disent que des avions ukrainiens bombardent leurs propres cités.

Les soldats d’Azov ne laissent pas les vieillards, les femmes et les enfants sortir des villes. Ils disent : « Vous êtes nos boucliers vivants. » Parfois, ils ne laissent pas les civils sortir de leur sous-sol pendant plus de 20 jours sans nourriture ni eau.

Les gens d’une certaine ville disent qu’avant la guerre, s’ils parlaient russe en public, ils étaient pénalisés par de grosses amendes.

Ces villes d’Ukraine ont été territoire russe pendant plus de 300 ans.

La plupart des soldats russes capturés sont torturés. Un soldat russe a été crucifié et brûlé sur une croix par l’armée ukrainienne. Beaucoup de soldats russes sont castrés par les Ukrainiens.

J’espère que ces informations vous sont utiles et vous aideront à avoir une meilleure compréhension de ce qui se passe réellement en Ukraine.

Nom tenu caché

La propagande des médias en ce qui regarde l’Ukraine est tout aussi grotesque que sa propagande en ce qui concerne la fausse pandémie Covid. Pour toutes les raisons déclarées par David Stockman précité et par un grand nombre de témoignages oculaires que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine, que les médias nazis, comme Sean Hannity, soutiennent sottement la guerre contre la Russie – même une guerre nucléaire – en Ukraine fait en sorte que lui et le reste des nababs médiatiques stupides paraissent aussi mentalement dérangés que le midget cognitif résidant au 1600 de l’Avenue Pennsylvania.

Le sénateur Rand Paul a parfaitement raison : les facultés mentales déclinantes de Joe Biden représentent un « risque à la sécurité nationale » qui pourrait voir les États-Unis traînés dans une guerre contre la Russie. Et les MSM semblent joyeusement insouciants dans leur hâte à suivre cet idiot malavisé dans une possible guerre nucléaire globale.

Et pour quoi ? Pour ce qui n’est pas plus qu’une laverie financière de l’État Profond globaliste en Europe de l’Est – le foyer de plus de néo-nazis et de gangs de néo-nazis que dans tous les autres pays du monde.

Le peuple américain – y compris les chrétiens – doit se sortir de sa fascination pour la propagande de guerre et les propagandistes de la guerre, parce que ce n’est PAS drôle du tout ! Ce n’est PAS une plaisanterie ! Ce n’est PAS un jeu d’enfants ! C’est TRÈS SÉRIEUX !

Le peuple russe a enduré les horreurs de la guerre dans leur patrie comme le peuple américain ne peut même pas commencer à imaginer. Si l’impensable arrive, ces gens-là sont un million de fois mieux préparés que les Américains à endurer les épreuves qui s’en suivraient. En fait, je ne peux penser à un ensemble de citoyens dans le monde qui soit moins préparé à une guerre nucléaire globale que le peuple gâté et dorloté des États-Unis.

Moi et beaucoup de gens que je connais donnerions gaiement nos vies pour la défense de notre patrie contre les attaques d’une force étrangère. Mais il fera froid dans le hades avant que je veuille donner ma vie – et la vie de ma famille – pour aider les criminels corrompus de l’État Profond globaliste à se cramponner à leur argent souillé de sang dans une terre de gangsters nazis et de banquiers sionistes dans l’autre moitié du monde.




Le Nouvel Ordre Mondial de Biden et l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

24 mars 2022

Rejoignant d’éminents globalistes comme George Herbert Walker Bush, Tony Blair, Henry Kissinger, Walter Cronkite, Bill Gates, George Soros, Barack Obama et bien d’autres, Joe Biden fait encore la promotion du Nouvel Ordre Mondial en plein essor.

Ayant pris la parole à la Réunion Trimestrielle des PDG d’Affaire de la Table Ronde, Biden a dit : « Il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger, et nous devons unir le reste du monde libre pour ce faire. »

Biden régurgite ce que les globalistes, à l’extérieur ou à l’intérieur du Conseil des Relations Étrangères (CFR), disent depuis des décennies. Les agents du Nouvel Ordre Mondial ont récompensé un nombre considérable de politiciens des deux partis au sein de la Beltway – y compris Biden.

Les globalistes du Nouvel Ordre Mondial se concentrent principalement en Occident où ils contrôlent la richesse – et donc les politiciens – par l’intermédiaire des banques centrales. Les politiciens vont et viennent, mais l’élite globaliste demeure bien enracinée.

Et l’on ne peut comprendre le Nouvel Ordre Mondial sans saisir le rôle dominant joué par le Vatican et l’Élite sioniste – particulièrement cette dernière.

Ce qui nous amène à l’Ukraine.

Ian Greenhalgh a écrit avec courage un traité très perspicace (et très ignoré) en ce qui a trait au rôle joué en Ukraine par l’élite sioniste internationale.

Dans le dessein de comprendre la situation actuelle en Ukraine, la chose à faire est d’étudier les oligarques ukrainiens qui dirigent, à commencer par Ihor Kolomoisky, et aussi quelques Russes, comme Mikhaïl Fridman.

Ce sont tous des Juifs, tous possèdent la citoyenneté israélienne en même temps que la citoyenneté ukrainienne/russe.

C’est fort simple, il est question d’argent – l’Ukraine était de loin la plus riche et la plus industrialisée des républiques soviétiques ; elle possède plusieurs industries de classe mondiale, comme les massifs travaux de chemin de fer Kharkov, l’usine avionique Antonov juste en dehors de Kiev, les fonderies de minerai de fer et d’aluminium du Donbas, l’agriculture de la ceinture céréalière du sud, pour n’en nommer que quelques-unes.

Or, l’Ukraine est le deuxième plus gros pays d’Europe (après la Russie), mais le deuxième plus pauvre (après la Moldavie) et toutes les industries sont parties, les avoirs dépouillés et mis en banqueroute par les oligarques ; l’Ukraine a vu son produit intérieur brut stagner depuis deux ans ; le chômage est endémique – des millions de gens sont partis en dehors pour travailler, il y a eu peu de construction ou de réaménagement depuis que l’URSS est tombée ; c’est un pays qui retourne en arrière de bien des façons, dévalisé aveuglément par une poignée d’oligarques juifs.

Quant au nazisme, dont parle Poutine mais que l’Occident minimise ou rejette carrément, eh bien, les nazis originaux étaient également une création de la haute finance juive, mais c’est une autre histoire, plutôt longue.

Les Nazis d’Allemagne, de l’Ukraine d’aujourd’hui, des États-Unis et de partout ailleurs étaient, et sont toujours, la création de l’élite monétaire juive. Même Stroessner au Paraguay, Perón en Argentine et Pinochet au Chili, les très médiocres personnages qui se prenaient pour des Hitler, furent leur création.

Pouvez-vous maintenant comprendre pourquoi le Parlement ukrainien identifiait hier l’Ukraine moderne à l’Allemagne nazie ?

Tous les présidents et premiers ministres ukrainiens depuis 2004, lors de leur première révolution colorée, sauf le pro-moscovite Yanukovich, ont été triés sur le volet par les oligarques.

Kolomoisky et une poignée d’autres oligarques sont responsables d’avoir créé et financé les gangs armés nazis qui prétendent se porter volontaires pour défendre l’Ukraine des hordes d’invasion russe depuis la mythique invasion de 2014, mais qui, en réalité, sont responsables du meurtre d’au moins 14 000 civiles ukrainiens, de massacres telle que l’attaque bestiale contre les protestataires pro-Yanukovich d’Odessa où ils ont violé et tué des femmes enceintes et où d’autres ont été brûlées à mort. Ils n’ont cessé de bombarder les gens du Donbas au fil des derniers huit ans, pendant que les médias du monde prétendent qu’ils n’existent pas ou, s’ils reconnaissent leur existence, les dépeignent comme des croisés héroïques retenant la vague du maléfique impérialisme russe.

Ils portent des noms comme les bataillons Azov et Dnipro et leur direction est assurée par les pires criminels, voyous, sociopathes, psychopathes, violeurs et meurtriers que l’argent peu acheter, la lie, non seulement de l’Europe, mais aussi des Amériques, du Proche-Orient, de l’Afrique et de l’Asie – ils viennent de partout dans le monde censément pour faire une croisade contre les méchants Russes, mais, en réalité, ils ne sont rien de plus que les muscles des oligarques et l’instrument de violence et de mort que ceux-ci utilisent pour achever leur vil agenda.

Donc, qu’ils soient nazis ou non est discutable, l’idéologie n’est qu’une charade. En réalité, ils sont les muscles des patrons du crime qui ont dépouillé l’Ukraine de ses biens et qui ont des plans pour faire de même en Russie, si ce n’était de ce Poutine empoisonnant qui est sur leur chemin.

Saisissez-vous mieux maintenant pourquoi le président pantin sioniste de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky a banni, il y a à peine quelques jours, onze partis politiques en Ukraine et a consolidé tous les canaux médiatiques en un centre de propagande du gouvernement ?

Et en parlant de Poutine : Maintenant qu’il a pris la décision de faire la guerre aux banquiers sionistes (le vrai pouvoir) en Ukraine, un certain nombre de gens de l’élite russe (de riches sionistes) planifient déjà de l’enlever de son poste. Ce n’est PAS une coïncidence !

Le sénateur Lindsey Graham de la Caroline du Sud, un fanatique faucon de la guerre sioniste et globaliste, a demandé à répétition l’assassinat de M. Poutine. Aucun doute, Graham s’adressait directement à l’élite sioniste en Russie quand il a parlé d’assassiner Poutine, et leur plan actuel de limoger Poutine est une réponse à cet appel.

En passant, c’est ce même Lindsey Graham qui a déclaré, en parlant de Joe Biden, qu’il s’agissait « du meilleur des hommes qu’ait pu créer Dieu ».

Ensuite, il y a Liz Cheney du Wyoming, autre faucon enragé de guerre, sioniste et globaliste, qui a récemment dit que les armes chimiques devraient être considérées comme la « ligne rouge » pour amener les États-Unis en confrontation militaire directe contre la Russie. Quelle farce !

Les seules armes chimiques en Ukraine sont AMÉRICAINES ! Le Pentagone a placé plus d’une douzaine de laboratoires biologiques en Ukraine en vue d’une utilisation potentielle contre la Russie. Poutine le sait, et il n’y a pas de doute que ces bio-labos ont joué un rôle majeur dans la décision de Poutine de lancer ses opérations militaires.

Cheney a sans doute été sélectionnée comme porte-parole du NOM pour dire ce qu’elle a dit afin de semer la graine dans l’esprit du peuple américain devant la possibilité d’une attaque chimique russe, pavant ainsi le chemin à un événement sous faux drapeau dont l’on pourrait blâmer les Russes.

Dimanche dernier, j’ai donné un message intitulé A Good Citizen of Which Country ? J’encourage les lecteurs à le regarder.

Je voudrais terminer cet article en citant quelques-unes des choses que j’ai dites dans mon message de dimanche dernier :

Des politiciens et des hommes d’affaires corrompus sont bouleversés à propos de l’Ukraine à cause des milliards de dollars illicites et blanchis qu’ils ont investis dans les banques d’Ukraine, et les évangéliques utilisent l’Ukraine pour combattre la Russie, parce qu’ils croient que la Russie est le Gog et le Magog d’Ézéchiel et de l’Apocalypse – ELLE NE L’EST PAS !

La fièvre guerrière présentée par Lindsey Graham, Nancy Pelosi et les autres, ainsi que les télévangélistes, est due au fait qu’ils sont tous des lèche-bottes du sionisme. Entre bien d’autres choses, l’Ukraine est un foyer de vols et de brutalité sioniste.

À toutes les fois que vous voyez des démocrates et des républicains, l’élite d’Hollywood et les leaders évangéliques se mettre ensemble, vous pouvez savoir que la cause commune est soutenue par l’agenda sioniste.

De plus, ce n’est pas une coïncidence qu’aussitôt que la fausse pandémie Covid a commencé à battre de l’aile, il y a eu une nouvelle guerre pour prendre sa place. Quel à-propos ! Donc, les politiciens peuvent maintenant blâmer la Russie pour l’économie paralysée et l’hyperinflation – qu’ils ont causée !

Je ne suis d’aucun côté dans l’affaire d’Ukraine. Je dis simplement que, dans ce conflit, il y a bien PLUS que ce qui nous est dit et que toute la narration de guerre qu’on nous vend est en fin de compte juste une autre « crise » manufacturée, comme le Covid, la Guerre contre le Terrorisme, l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan, etc.

Et je dis, comme George Washington, que ces conflits étrangers ne sont pas de nos affaires.