Vive Tucker !

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

15 février 2024

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

Évidemment, le Parti guerrier de Washington, D.C., et ses laquais du grand courant médiatique ont crucifié Tucker à n’en plus finir. Voyez-vous, Tucker Carlson a fait l’impensable (et l’impardonnable) : il a dirigé une entrevue télévisée avec le deuxième plus puissant leader du monde sans les contrôles et les restrictions de l’État Profond. Il est sorti de la réserve. Il a permis à M. Poutine de parler librement et directement au peuple américain. Et les gardiens du discours du Parti guerrier n’y pouvaient rien.

Il y a des décennies que le peuple américain n’a pas entendu ou vu un reportage de nouvelles sans entraves, sans restrictions, sans contrôle, improvisé et honnête. Des décennies ! Tucker Carlson a démoli le Rideau de fer des médias.

Vive Tucker !

Le Dr Ron Paul :

L’on a dit et écrit beaucoup de choses à propos de l’entrevue de Tucker Carlson, la semaine dernière, avec le Président de la Russie, Vladimir Poutine. Au moment d’écrire ceci, la vidéo sur Twitter seulement a été vue près de 200 millions de fois, ce qui en fait probablement la nouvelle la plus regardée de l’histoire.

Un très grand nombre de millions de téléspectateurs qui n’ont pas eu accès à l’envers de l’histoire ont été informés que le conflit armé Russie/Ukraine n’a pas commencé en 2022, comme le rapporte sans cesse le grand courant médiatique, mais a débuté huit ans plus tôt par le coup d’état en Ukraine parrainé par les États-Unis. Les médias américains ne rapportent pas cela parce qu’ils ne veulent pas que les Américains commencent à remettre en question notre politique étrangère interventionniste. Ils ne veulent pas que les Américains voient que l’ingérence de leur gouvernement dans les affaires des autres pays – que ce soit par une « révolution colorée », des sanctions ou des bombes – a des conséquences réelles et fatales sur ceux qui subissent cette politique étrangère.

Pour moi, toutefois, l’aspect sans doute le plus intéressant de l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine fut la réaction du grand courant médiatique américain. Comme Poutine l’a dit lui-même durant l’entrevue : « Dans le monde de la propagande, les États-Unis sont très durs à battre. » Même un regard en passant sur les reportages du grand courant médiatique américain, avant et après l’entrevue, montre à quel point il a raison. Dans les jours, même les semaines, précédant l’entrevue, les médias américains étaient remplis de récits disant comme il était horrible que Tucker Carlson aille interviewer le Président russe. Il y avait danger, disaient-ils, que Poutine puisse répandre de la « désinformation ».

Que Poutine dise quelque chose qui éclaire son pays sous un meilleur angle, disaient-ils, est une raison suffisante pour ne pas le faire. Selon cette logique, pourquoi avoir du journalisme ? Tous ceux qui sont interviewés par des journalistes – certainement tous les leaders mondiaux – tenteront de décrire un portrait rose. Dans une société libre, le travail d’un journaliste devrait être de faire le reportage et de laisser les gens décider. Mais, en quelque part, cela s’est perdu. De nos jours, les grands médias vous disent ce que vous devez penser, et vous êtes aussi bien de ne pas discuter sinon vous serez révoqué.

Ce dont le grand courant médiatique s’inquiétait vraiment, c’était que « l’envers de l’histoire » puisse commencer à sonner juste aux oreilles du grand public. Ils ont donc attaqué le messager.

Le reportage de CNN au sujet de l’entrevue de Tucker résume assez bien la réaction de l’ensemble du grand courant médiatique américain. Il titrait : « Tucker Carlson est en Russie pour interviewer Poutine. Il suit déjà les ordres du Kremlin ».

En ne faisant que ce qu’on appelait jadis du « journalisme » – interviewer et faire des reportages sur les gens et les événements, qu’ils soient bons ou mauvais – l’on « suit les ordres » du sujet de l’entrevue ou du reportage ?

Pas étonnant que le camarade journaliste Julian Assange ait été enfermé dans un goulag pendant de si nombreuses années. Il osa présumer que, dans une société libre, être journaliste signifiait rapporter le bon, la brute et le truand, même si cela met ceux en pouvoir sous un mauvais éclairage.

À la fin, le succès gigantesque de l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine démontre une fois pour toutes que le peuple américain en a plus qu’assez des propagandistes et des menteurs du grand courant médiatique. Ils ne cherchent plus les narratifs du gouvernement, mais la vérité. Voilà la nouvelle réellement bonne en ce qui a trait à cette entrevue.

Vive Tucker !

CitizenWatchReport.com :

Cette semaine, la plus grosse nouvelle du monde entier, c’est l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine. Honnêtement, c’était une entrevue un peu bizarre et vous pouvez la regarder vous-mêmes ci-dessous. Mais je rends une tonne de crédits à Tucker Carlson pour s’être rendu en Russie afin de s’assoir avec Poutine. Je crois que la vraie raison pour laquelle il a fait cela, c’était qu’il voulait voir par lui-même s’il y avait de l’espoir d’éviter un conflit cataclysmique entre nos deux pays. Chaque jour, nous nous rapprochons de l’impensable, et il serait donc sensé pour les deux côtés de chercher un moyen pacifique de sortir de ce gâchis. Mais à ce moment-ci, l’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que l’on parle de paix dans les médias. Elle va donc aller très loin pour discréditer l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine, parce qu’elle ne veut pas que ses narratifs soigneusement ciselés soient perturbés.

Michael a raison : « L’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que l’on parle de paix dans les médias ». Voilà pourquoi j’ai dit au début de cet article :

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

Vive Tucker !

Carlson donna lui-même un bref suivi de son entrevue avec Poutine à RT.com. Voici quelques éléments de Tucker prêts-à-emporter :

Poutine le diplomate

Carlson a dit que Poutine semblait vouloir négocier avec l’Occident, à la fois concernant la fin du conflit ukrainien et un nouvel équilibre du pouvoir dans le monde. La diplomatie est l’art du compromis, et presque tout le monde, « excepté peut-être les États-Unis durant la période unipolaire », a compris cela, dit Carlson. Mais alors que Poutine veut que le conflit prenne fin, sa position ne va que durcir s’il s’allonge, a-t-il ajouté.

L’OTAN et la Russie

Puisque tout l’objectif de l’OTAN était de garder l’Union Soviétique en dehors de l’Europe de l’Ouest, Carlson a dit à Dubaï : « Si les Russes demandent à joindre l’alliance, cela sous-entend que l’on a réglé le problème et que l’on peut poursuivre en faisant quelque chose de constructif de notre vie. Mais nous avons refusé. »

« Allez vous assoir une heure dans le sauna et réfléchissez à ce que cela veut dire, » a-t-il ajouté.

Le problème avec les politiciens de l’Occident

Les politiciens de l’Ouest ne se mettent pas des buts « atteignables », argue Carlson.

« J’ai entendu personnellement des fonctionnaires du gouvernement américain dire, eh bien, nous n’avons qu’à redonner la Crimée à l’Ukraine, » dit-il. « Cela n’arrivera pas, à moins d’une guerre nucléaire. C’est de la folie, en fait. »

Même apporter ce genre d’idée « montre que vous n’êtes qu’un enfant, vous ne comprenez pas du tout la région, et vous ne savez vraiment pas ce qui est possible, » conclut le journaliste.

C’est toujours Munich 1938

D’après Carlson, un des plus gros problèmes des États-Unis et de l’Occident en général, c’est la tendance à tout réduire à la conférence de Munich 1938 où la Grande-Bretagne et la France cherchèrent à « apaiser » l’Allemagne nazie en lui donnant une portion de la Tchécoslovaquie.

« Le modèle américain historique des responsables politiques est minuscule – en fait, il n’y en a qu’un – et c’est une période de deux ans à la fin des années 1930, et tout est basé sur cette compréhension de l’histoire et de la nature humaine. C’est de la folie, » dit Carlson

Comment Moscou l’a « radicalisé »

Carlson souligna qu’il a 54 ans et qu’il avait grandi dans une Amérique qui possédait de belles villes sympathiques et sécuritaires, « et nous ne les avons plus. »

Ce fut « radicalisant » de voir Moscou « plus propre, plus sécuritaire et plus jolie » que les villes américaines, dit-il, et que Dubaï et Abu-Dhabi le lui rappellent – alors qu’aux États-Unis, on ne peut pas voyager dans le métro de la Ville de New York parce que c’est sale et dangereux.

Réaction face aux contrecoups

Demandé à savoir pourquoi il n’avait soulevé certains sujets avec Poutine, Carlson dit qu’il voulait faire l’entrevue parce qu’il était intéressé à savoir comment le leader russe voyait le monde – et pas de s’insinuer dans la discussion.

La plupart des journalistes qui interviewent les leaders que les États-Unis n’aiment pas tentent de tout ramener à eux-mêmes, ajoute Carlson, et vu qu’il ne se soucie que de l’approbation de sa femme et de ses enfants, il n’avait pas besoin de signaler sa vertu.

Prié de commenter la déclaration de l’ancienne candidate présidentielle américaine Hillary Clinton l’ayant appelé un « idiot utile » de la Russie, Carlson se mit à rire.

« Ce n’est qu’une enfant, je ne l’écoute pas, » dit-il. « Comment va Lybia ? »

Vive Tucker !

Peut-être que le plus gros prêt-à-emporter de l’entrevue fut pour moi personnellement quelque chose de carrément évident – quelque chose que je n’ai vu personne d’autre discuter : Vladimir Poutine a plus de cervelle que Joe Biden (deuh !), Donald Trump et tout le Congrès américain réunis.

À cause des médias contrôlés d’Amérique, la plupart d’entre nous, les Américains, n’avons jamais eu une seule occasion de regarder et d’écouter M. Poutine dans une quelconque discussion prolongée et sans restrictions. Il apparut évident dès les premières cinq minutes de l’entrevue que Poutine est INTELLIGENT – DRÔLEMENT INTELLIGENT !

Je pense que Poutine a pris Tucker un peu au dépourvu au début de l’entrevue, et ce pour une raison évidente : Tucker a coutume d’interviewer de STUPIDES politiciens superficiels, sans vision et égocentriques d’Amérique. Lorsque vous vous assoyez en face d’un véritable érudit, vous êtes dans un autre univers.

Ce qui me rappelle qu’il y a vraiment des gens intelligents de l’autre côté du monde, des gens dont ne veulent pas parler nos politiciens américains ineptes et les bulletins de nouvelles – en tout cas, pas publiquement. Ils feraient paraître nos politiciens et journalistes pathétiques pour les imbéciles qu’ils sont en réalité.

Ils pourraient aussi faire en sorte que les Américains demandent : « Dites-nous encore pourquoi nous devons faire autant de guerres stupides et inutiles ? »

Que vous aimiez Poutine ou pas, que vous soyez d’accord ou non avec quoi que ce soit qu’ait dit Poutine, Tucker Carlson a eu le courage de défier toute l’élite de l’État Profond et il a fait ce que tout journaliste américain est censé faire : s’assoir avec les leaders du monde – même ceux du camp opposé – et avoir des discussions sincères, significatives et publiques. Comme le sait toute personne intelligente, les discussions sincères, significatives et publiques entre pays sont une composante nécessaire à la paix.

Je pense que c’est Michael de Citizen Watch Report qui l’a le mieux dit :

L’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que les médias parlent de paix. Elle ira donc très loin pour discréditer l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine, parce qu’elle ne veut pas que ses narratifs soigneusement ciselés soient perturbés.

La vérité !

Depuis que la doctrine de « guerre contre le terrorisme » de G.W. Bush et de Benjamin Netanyahu a été implantée au début du siècle, le gouvernement américain ne fut rien de plus qu’un « état guerrier ». Les victimes de notre « guerre contre le terrorisme » inconstitutionnelle, illégale, immorale et injuste appelleraient probablement Washington, D.C., un « état terroriste ».

Je le dis encore une fois :

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

[Pour regarder l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine, cliquez ici]




Vladimir Poutine, couteaux « d’assaut » canadiens, dissimulation des vaccins Covid et protestations antigouvernementales de masse en Europe

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

8 septembre 2022

Semaine occupée en nouvelles. Avec toute l’information dont on nous inonde, je vais utiliser l’article d’aujourd’hui pour mettre en lumière quatre nouveaux items qui, j’espère, ne vous ont pas échappé.

Vladimir Poutine est-il chrétien ?

On a démonisé le leader de la Russie plus que tout autre leader national depuis Adolf Hitler. Le mérite-t-il ? Est-il le monstre que dépeignent les médias mainstream, ou est-il, en réalité, un chrétien dévoué essayant de sauver son pays de l’Occident corrompu et décadent ?

De Russian-Faith.com :

Poutine dit sans cesse clairement qu’il envisage la Russie comme un pays chrétien.

En 2014, Poutine a demandé la restauration des monastères historiques du Kremlin, le Chudov (« du Miracle ») et le Voznesensky (« l’Ascension »), qui furent tous les deux détruits par les bolcheviques. Il veut aussi que l’on reconstruise une autre église détruite par les bolcheviques dans le Kremlin.

Le Kremlin est à la fois le centre politique et historique, non seulement de Moscou, mais de toute la Russie. En demandant la restauration de ces édifices chrétiens, Poutine répudie le legs soviétique ainsi que son idéologie athéiste et son dossier d’antichristianisme, et il réaffirme l’Orthodoxie au cœur de la culture russe.

L’élément clé de la vision de Poutine ne se résume pas seulement à son engagement envers l’Église Orthodoxe russe en tant qu’institution, mais aussi son admiration pour trois philosophes chrétiens russes des 19e et 20e siècles – Nikolaï Berdyaev, Vladimir Solovyov et Ivan Ilyin – qu’il cite tous très souvent dans ses discours. Les gouverneurs régionaux de la Russie ont reçu comme instruction de lire les œuvres de ces philosophes durant leurs vacances hivernales de 2014.

Étudiant les causes de la tragédie de la Russie du 20e siècle, Ilyin a écrit :

« La révolution russe est un reflet de la crise religieuse que nous vivons maintenant, une tentative d’établir un système publique et étatique antichrétien pensé par Friedrich Nietzsche et réalisé politiquement et économiquement par Karl Marx. Ce virus antichrétien fut exporté de la Russie vers l’Occident.

« En perdant nos liens avec Dieu et la tradition chrétienne, l’humanité est devenue moralement aveugle et empoignée par le matérialisme, l’irrationalisme et le nihilisme. »

Au point de vue d’Ilyin, pour vaincre cette crise morale globale, les gens doivent revenir aux « valeurs morales éternelles », qu’il définit comme étant « la foi, l’amour, la liberté, la conscience, la famille, la patrie et la nation », mais avant tout « la foi et l’amour ».

« Pour redonner sa grandeur à la Russie, le peuple russe doit croire en Dieu. Cette foi renforcera son esprit et sa volonté. »

Il est difficile de connaître la vérité exacte à propos de Poutine. Je dois confesser que, plus j’écoute l’homme parler, plus il m’impressionne. Et, non, je n’oublie pas que les mots sont souvent bon marché.

Ce que je sais, c’est que l’homme que l’on identifie aujourd’hui comme le Président des États-Unis est un des leaders mondiaux les plus corrompus, les plus fourbes, les plus tyranniques et les plus méchants à avoir eu respiration de vie. Avec un idiot guerroyeur, totalement perverti et mauvais, assis dans le Bureau Ovale, cela donne aux Américains peu de chance de critiquer quiconque des autres leaders.

Les couteaux « d’assaut » du Canada

Dimanche dernier, au moins dix personnes ont été tuées lors d’une violente attaque de masse au couteau. Vous avez bien lu : AU COUTEAU.

Voici le rapport :

Au moins dix personnes ont été tuées et bien d’autres blessées alors que deux assaillants ont été pris de folie meurtrière dans plusieurs localités dans une région rurale de la province de la Saskatchewan, a confirmé la Gendarmerie Royale du Canada, dimanche. Elle a donné l’avertissement que les deux suspects sont toujours au large et qu’ils sont armés et dangereux.

« Nous avons localisé dix individus décédés dans 13 endroits de la communauté la Nation Cree James Smith et de Weldon, en Saskatchewan, » a dit la sous-commissaire de la GRC Rhonda Blackmore, lors d’une conférence de presse donnée dans l’après-midi de dimanche.

L’officier de police a ajouté que « plusieurs autres victimes ont été blessées, dont quinze assez sérieusement pour avoir été transportées dans divers hôpitaux, » en notant « qu’il pourrait y avoir eu d’autres victimes qui se soient rendues elles-mêmes dans des hôpitaux » et elle les encourage à se présenter.

« Nous croyons que plusieurs victimes avaient été ciblées, alors que d’autres ont été attaquées au hasard, » a ajouté Blackmore.

Une alerte publique au sujet d’un incident impliquant « des morts et blessés » fut d’abord lancée à 7h12am HC (12h12pm GMT) dimanche. Les autorités de la Saskatchewan ont identifié deux suspects mâles ainsi que leur véhicule et ont étendu l’avertissement d’urgence à toute la province,

Donc, est-ce que le communiste Justin Trudeau va demander le bannissement et la confiscation des couteaux « d’assaut » ?

Il est fort dommage que Trudeau ait transformé le Canada en populace sans défense par ses lois rigoureuses de contrôle des armes, ou alors ces victimes canadiennes auraient pu enseigner à ces assaillants à couteaux la leçon vitale de « ne jamais amener un couteau dans un combat au fusil ». »

Preuves que de sérieux problèmes de sécurité existent chez les vaccins Covid et qu’ils furent délibérément cachés

Steve Kirsch lance un rapport d’enquête explosif :

Israël n’a commencé à rassembler des données de sécurité qu’un an après le programme de vaccination. Il ramassa six mois de données et s’aperçut que les vaccins n’étaient pas sécuritaires, donc, il a menti au monde entier à ce sujet.

C’est l’article le plus important de mon sous-répertoire (qui contient plus de 700 articles). Cet article-ci possède assez d’information au sujet des dommages et de la corruption qu’il pourrait abattre tout le château de cartes s’il y avait seulement une personne honnête en position d’autorité dans le monde.

Nous avons maintenant la preuve de :

  1. Sérieux effets secondaires à la durée inconnue, peut-être irréparables
  2. Causalité : ils ne sont pas seulement une « coïncidence »
  3. Corruption gouvernementale pour cacher ces dommages
  4. Corrélation entre les doses de vaccins et les décès à partir de multiples études indépendantes et de nombreuses bases de données indépendantes
  5. Aucun intérêt de la part des médias de nouvelles mainstream, d’aucune communauté médicale traditionnelle, d’aucun avocat et d’aucun fonctionnaire de la santé publique de par le monde de voir les rapports ou les vidéos des experts.

Aucun principe de précaution de la médecine n’exige aujourd’hui l’arrêt immédiat du programme de vaccination Covid.

Les faits clés en peu de mots :

  1. Les autorités sanitaires israéliennes savaient que les vaccins causent des dommages aux gens : les effets secondaires des vaccins ne sont ni légers ni à court terme. En fait, dans 65 % des cas neurologiques qui mentionnent la durée, les symptômes sont tous en cours.
  2. Ils ont aussi établi la causalité : les effets secondaires ont été causés par les vaccins. Voilà ce que personne d’autre n’avait établi auparavant.
  3. Ils ne savent pas jusqu’à quel point les dommages sont sérieux parce qu’ils n’ont examiné les données que pour les cinq catégories principales. Le cardiovasculaire était le # Ils n’ont donc regardé qu’une fraction des données.
  4. Les chercheurs ne savent pas la fréquence de ces effets secondaires sérieux parce qu’ils n’ont été fournis que par le numérateur, pas le dénominateur (comme le VEARS).
  5. Les autorités israéliennes ont délibérément caché les problèmes de sécurité au monde, en émettant un faux rapport disant essentiellement : « Il n’y a rien à voir ici, les copains, continuez votre chemin ».
  6. La seule bonne nouvelle dans tout ceci, c’est qu’Israël a protégé les Palestiniens contre ce même vaccin non sécuritaire. Ce fut très humain de la part des Israéliens.
  7. Le peuple d’Israël n’est pas stupide. Il a fini par comprendre que les vaccins ne sont « ni sécuritaires ni efficaces » (mon nouveau tagline pour les vaccins… qu’en pensez-vous ? accrocheur, n’est-ce pas ?) et il ne se soumet plus aux directives du gouvernement de se faire vacciner. Seulement 2,4 % de la population israélienne est « en soumission » en date du 2 septembre 2022.

Savez-vous que, selon une analyse de données du MoH, le vaccin Covid tue 40 fois plus de personnes âgées qu’il en sauve ?

Le Dr Hervé Seligman travaille à l’Unité de Recherche sur les Maladies Infectieuses et Tropicales Émergentes de la Faculté de Médecine de l’Université d’Aix-Marseille, à Marseille, en France. Il est de nationalité israélo-luxembourgeoise.

En utilisant les données du MoH d’Israël, Haïm Yative et le Dr Seligman, chercheurs israéliens, ont trouvé que le vaccin Covid tuait 40 fois (40x) plus de personnes âgées que la maladie et 260 fois plus de jeunes gens que ceux qui seraient morts du virus dans la période de trois semaines suivant les injections.

Il s’agit d’un exposé explosif. S’il y avait le moindrement d’honnêteté et d’intégrité au sein du gouvernement fédéral américain et chez les médias nationaux de nouvelles, ce rapport serait la nouvelle la plus prédominante à l’échelle nationale et la cessation de la distribution des vaccins Covid serait émise immédiatement.

Le fait que presque tout le monde au gouvernement américain, dans les médias de nouvelles nationales et dans l’industrie médicale, ignore totalement et continue à cacher la vérité au sujet des dangers des vaccins Covid, montre jusqu’à quel point la corruption court dans le pays.

Ce que plusieurs d’entre nous disons depuis plus de deux ans est maintenant catégoriquement prouvé : les vaccinations Covid sont des injections tueuses ; et elles le sont depuis le premier jour.

Vous devez lire le rapport de Kirsch dans son entièreté et le répandre aussi loin que vous pouvez.

Protestations antigouvernementales de masse en Europe

Ce rapport vient de Prague :

Des dizaines de milliers de protestataires se sont rassemblés au centre de Prague, ce samedi, pour une marche surnommée La République tchèque d’abord, en insistant fortement pour que le gouvernement démissionne devant la montée des prix de l’énergie et l’inflation, et à laisser tomber les sanctions antirusses.

Selon l’évaluation de la police, quelques 70 000 personnes ont pris part au ralliement, mais les organisateurs présentent le chiffre de 100 000 personnes. L’événement a rassemblé des gens de tous les horizons politiques, du Parti communiste au Parti de droite pour la Liberté et la Démocratie Directe.

« Le but de notre manifestation est d’exiger le changement, principalement en résolvant la question du prix de l’énergie, particulièrement l’électricité et le gaz, ce qui pourrait détruire notre économie cette automne, » a dit aux médias locaux un des coorganisateurs de l’événement, le social démocrate Jiri Havel.

Les protestataires exigèrent que la République tchèque prenne une position militaire neutre, et qu’elle assure des contrats directs avec les fournisseurs de gaz naturel, y compris la Russie. Ils ont également condamné le gouvernement pour son soutien envers les sanctions de l’Union Européenne contre Moscou, adoptées par vagues multiples depuis le début du conflit Russie-Ukraine.

« Le meilleur pour les Ukrainiens et deux pull-overs pour nous », pouvait-on lire sur une des pancartes déployées à l’événement, se référant à la montée des coûts de chauffage et aux coupures possibles d’énergie cet hiver.

La combinaison de la sotte allégeance de l’Europe pour l’énergie « verte » et ses sanctions contre la Russie – qui ont étranglé le flot de pétrole et de gaz naturel en provenance de Moscou – a amené l’Europe au bord d’un retour cataclysmique à une économie du Moyen-âge.

La même chose va se passer en Amérique si nous permettons à nos leaders gouvernementaux maniaques de nous forcer à essayer de vivre sans charbon, sans gaz naturel, sans propane, sans pétrole brut, sans essence diesel et sans gazoline.