D.254 – La vigne

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par Joseph Sakala

Dans les Saintes Écritures, nous apercevons plusieurs références illustrant des vignes et des vignobles, mais trois passages bibliques majeurs nous révèlent les aspects concernant le caractère de Dieu et Son amour pour Son peuple. Le premier se trouve dans Ésaïe 5:1-7 où nous lisons : « Je chanterai pour mon bien-aimé le cantique de mon bien-aimé sur sa vigne. Mon ami avait une vigne sur un coteau fertile. Il la défricha ; il en ôta les pierres ; il la planta de ceps exquis ; il bâtit une tour au milieu d’elle, et il y creusa un pressoir. Or il espérait qu’elle produirait des raisins ; mais elle a produit des grappes sauvages. Maintenant donc, habitants de Jérusalem, hommes de Juda, jugez entre moi et ma vigne. Qu’y avait-il encore à faire à ma vigne, que je n’aie pas fait pour elle ? Pourquoi, quand j’espérais qu’elle produirait des raisins, a-t-elle produit des grappes sauvages ? Et maintenant je vais vous apprendre ce que je veux faire à ma vigne : j’enlèverai sa haie et elle sera broutée ; je romprai sa clôture, et elle sera foulée. Je la réduirai en désert ; elle ne sera plus taillée ni bêchée ; elle montera en ronces et en épines ; je commanderai aux nuées de ne plus faire tomber la pluie sur elle. Or la vigne de l’Éternel des armées, c’est la maison d’Israël, et les hommes de Juda sont le plant auquel il prenait plaisir. Il en attendait la droiture, et voici des meurtres ; la justice, et voici des cris de détresse ! »

Nous découvrons dans ce texte que Dieu, le propriétaire, le planteur qui espérait qu’elle produise du raisin, ne peut contenir Son désappointement, car, malgré tous les soins exercés sur Sa vigne, elle produit des grappes sauvages. Dans cette parabole, le vignoble du Seigneur est la maison d’Israël et les hommes de Juda Son plant auquel Dieu prenait plaisir. Ce peuple choisi avait vu, plus que tout autre peuple, les bénédictions de Dieu en abondance et, malgré cela, il a décidé de rejeter son Dieu en refusant de Lui porter du fruit. Alors, Dieu lui dit : « Je la réduirai en désert ; elle ne sera plus taillée ni bêchée ; elle montera en ronces et en épines. »

Dans Psaume 80:6-14, nous voyons un portrait révélateur de la désolation abjecte régnant dans ce vignoble lorsqu’il est abandonné par le Vigneron. « Tu leur fais manger un pain de larmes, et tu leur fais boire des larmes à pleine mesure. Tu fais de nous un sujet de contestations pour nos voisins, et nos ennemis se raillent de nous entre eux. Dieu des armées ! rétablis-nous ; fais luire ta face, et nous serons sauvés ! Tu enlevas de l’Égypte une vigne ; tu chassas des nations et tu la plantas. Tu préparas le sol devant elle ; elle poussa ses racines et remplit la terre. Les montagnes se couvraient de son ombre, et les cèdres de Dieu de ses sarments. Elle étendait ses pampres jusqu’à la mer, et ses rejetons jusqu’au fleuve. Pourquoi as-tu rompu ses clôtures, en sorte que tous les passants la pillent ? Que le sanglier des forêts la dévaste, et que les bêtes des champs la broutent ? »

Regardons ce portrait dramatique par rapport à l’Israël de notre époque. Il est entouré de pays qui le déteste, ravagé par des ennemis le provoquant quotidiennement. Israël pourrait crier : « Dieu des armées, reviens ! Regarde des cieux et vois, et visite cette vigne. Protège ce que ta droite a planté et le fils que Tu T’es choisi. » Mais il y a des conséquences à payer pour les péchés de ce peuple contre son Dieu, avant que la restauration divine ne revienne. Cela devient également un puissant rappel aux convertis de notre époque, que nous ne pouvons pas ignorer Sa volonté dans nos vies, car nous sommes Son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour les bonnes œuvres que Dieu a préparées d’avance afin que nous y marchions. Cela nous amène au passage le plus précieux dans le Nouveau Testament où Jésus Lui-même explique à Ses Élus ce qu’il faut faire pour ne pas tomber dans le même piège que l’ancien Israël et l’Israël moderne qui rejette toujours le Christ comme son Messie.

Dans Jean 15:1-8, Jésus déclare : « Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. Il retranche tout sarment en moi qui ne porte point de fruit ; et il émonde tout sarment qui porte du fruit, afin qu’il porte encore plus de fruit. Vous êtes déjà nets, à cause de la parole que je vous ai annoncée. Demeurez en moi, et moi, je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut porter du fruit de lui-même, s’il ne demeure au cep, vous non plus, si vous ne demeurez en moi. Je suis le cep, et vous les sarments. Celui qui demeure en moi, et en qui je demeure, porte beaucoup de fruit ; car sans moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors comme le sarment et il sèche ; puis on ramasse les sarments et on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que Mes paroles demeurent en vous, vous demanderez tout ce que vous voudrez, et vous l’obtiendrez. Mon Père sera glorifié, si vous portez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples. »

Mais Jésus continue aux versets 9 à 17, en disant : « Comme mon Père m’a aimé, je vous ai aussi aimés ; demeurez dans Mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie demeure en vous, et que votre joie soit accomplie. Mon commandement, c’est que vous vous aimiez les uns les autres, comme Je vous ai aimés. Nul n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis. Vous serez mes amis, si vous faites tout ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que son maître fait, mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai entendu de mon Père. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais c’est moi qui vous ai choisis, et qui vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit soit permanent ; et que ce que vous demanderez au Père en Mon nom, il vous le donne. Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres. »

Dans ces commandements de Jésus se trouvent tous les détails nécessaires à la croissance spirituelle du converti pour le diriger vers l’union glorieuse avec le Christ lors de Son avènement. Donc, comme disait Jésus : « Mon Père sera glorifié, si vous portez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples. » Dieu est fidèle et Il Se souvient toujours de Ses promesses. Regardons ensemble un cas majeur et classique où, lors du Déluge, le souvenir de Dieu a sauvé la propagation de la race humaine.

Dans la Genèse, il est écrit : « Or, Dieu se souvint de Noé, et de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche. Et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’arrêtèrent. Et les sources de l’abîme et les bondes des cieux se fermèrent ; et la pluie fut retenue des cieux. Et les eaux se retirèrent de dessus la terre ; elles allèrent se retirant ; et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. Et au septième mois, au dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat » (Genèse 8:1-4). Ces versets contiennent la première mention du mot magnifique « souvenir » dans la Bible et nous confirment que, quelle que soit la situation, Dieu Se souvient de celui qui est sous Sa protection. Durant ce cataclysme épouvantable, le Déluge le plus dévastateur de l’histoire du monde, Dieu S’est souvenu de l’obéissance fidèle de Noé, et même des animaux de l’arche.

En tant qu’humains, nous oublions souvent des choses, mais Dieu Se souvient toujours. Et Il agit de la même manière avec nous : « Car Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre œuvre et le travail de la charité que vous avez fait paraître pour Son nom, ayant assisté et assistant les Saints. Or, nous désirons que chacun de vous fasse voir la même ardeur pour conserver, jusqu’à la fin, la pleine certitude de l’espérance ; afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais que vous imitiez ceux qui, par la foi et par la patience, héritent des promesses » (Hébreux 6:10-12). Étant fidèle à Lui-même, Dieu n’oublie jamais une promesse.

La première mention de « se souvenir », dans le Nouveau Testament, est le témoignage inspiré de Zacharie lorsqu’il déclara : « Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, de ce qu’il a visité et racheté son peuple, et de ce qu’il nous a suscité un puissant Sauveur, dans la maison de David son serviteur  comme il en avait parlé par la bouche de ses saints prophètes, depuis longtemps ; de ce qu’il nous a sauvés de nos ennemis, et de la main de tous ceux qui nous haïssent, pour exercer sa miséricorde envers nos pères, et se souvenir de sa sainte alliance, savoir du serment qu’il avait fait à Abraham notre père » (Luc 1:68-73). Cette promesse à Abraham avait été faite quelque 2 000 ans auparavant, mais Dieu S’est souvenu.

Dieu Se souvient même des petits oiseaux. « Ne vend-on pas cinq petits passereaux pour deux pites ? Cependant Dieu n’en oublie pas un seul » (Luc 12:6). Il doit sûrement Se souvenir de Ses enfants, « comme un père est ému de compassion pour ses enfants, l’Éternel est ému de compassion envers ceux qui le craignent. Car il connaît de quoi nous sommes faits, il se souvient que nous ne sommes que poussière » (Psaume 103:13-14). Aux versets 17 et 18, nous lisons : « Mais la bonté de l’Éternel est de tout temps et à toujours sur ceux qui le craignent, et sa justice pour les enfants de leurs enfants, pour ceux qui gardent son alliance et se souviennent de ses commandements pour les accomplir. »

Même quand les enfants d’Israël ont sombré dans l’idolâtrie, Dieu pouvait dire à Son prophète : « Va, et crie aux oreilles de Jérusalem, et dis : Ainsi a dit l’Éternel : Il me souvient à ton égard de l’affection de ta jeunesse, de l’amour de tes fiançailles, quand tu me suivais au désert, dans une terre qu’on n’ensemence point. Israël était une chose sainte à l’Éternel ; il était les prémices de son revenu. Tous ceux qui le dévoraient étaient coupables ; il leur en arrivait du mal, dit l’Éternel » (Jérémie 2:2-3). Dieu Se souvient évidemment du bien comme du mal. La chose que Dieu choisit de ne pas Se souvenir, ce sont les péchés de ceux qui viennent vers Christ pour le pardon de leurs péchés antérieurs. Et Dieu Se plait à dire : « Je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités » (Hébreux 10:17). Il connaît nos cœurs et notre fidélité envers Lui.

Dans la consécration du Temple, Salomon prie pour le peuple et demande à Dieu : « Toi, exauce-les des cieux, du lieu de ta demeure ; pardonne, agis, et rends à chacun selon toutes ses œuvres, toi qui connais son cœur ; car seul tu connais le cœur de tous les enfants des hommes ; afin qu’ils te craignent tout le temps qu’ils vivront sur la terre que tu as donnée à nos pères » (1 Rois 8:39). Dans cette prière de consécration, Salomon demande plusieurs fois à Dieu d’écouter de Sa demeure au ciel. Quand Son peuple confesse ses péchés et prie pour sa délivrance. Il est merveilleux de constater que Dieu, qui habite au ciel, puisse écouter nos prières sur cette terre, mais nous connaissons Son omniprésence au travers de Son Esprit en nous. Encore plus merveilleux est le fait qu’Il puisse entendre les prières qui viennent de notre cœur. Car nous savons que Dieu est omniscient et connaît ainsi les prières générées par nos pensées.

Quand nous lisons au sujet de la colère de Jésus envers les vendeurs du Temple qui tentaient de commercialiser leur religion, nous découvrons l’unicité de Jésus avec le Père pour reconnaître ce que chacun avait dans le cœur. Dans Jean 2:23-25 : « Pendant qu’il était à Jérusalem, à la fête de Pâque, plusieurs crurent en son nom, voyant les miracles qu’il faisait. Mais Jésus ne se fiait point à eux, parce qu’il les connaissait tous, et qu’il n’avait pas besoin qu’on lui rendît témoignage d’aucun homme, car il savait de lui-même ce qui était dans l’homme. » Oui, ils crurent en Son nom, mais refusèrent de croire ce que Jésus disait. Il est formidable de réaliser que Dieu connaît les pensées de notre cœur. Mais cela peut aussi nous effrayer si notre cœur n’est pas juste envers Dieu. Par contre, cela peut nous apporter un grand réconfort si notre motivation est tournée vers Lui.

Comme le disait David : « Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève ; tu découvres de loin ma pensée » (Psaume 139:2). Armé de cette magnifique connaissance, il devient très important pour le chrétien de veiller sur ses pensées tout comme sur sa vie sociale. « Si nous eussions oublié le nom de notre Dieu, si nous eussions étendu nos mains vers un dieu étranger, Dieu n’en aurait-il pas fait enquête, lui qui connaît les secrets du cœur ? » (Psaume 44:21-22). Alors, demandons à Dieu de nous aider : « Pour détruire les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et pour amener toute pensée captive à l’obéissance de Christ » (2 Corinthiens 10:5). C’est une bonne chose quand nos pensées plaisent à Dieu.

Dans 1 Corinthiens 14:20, Paul nous dit : « Frères, ne devenez pas des enfants quant au jugement ; mais soyez de petits enfants à l’égard de la malice ; et quant au jugement, soyez des hommes faits. » Regardons ce que Salomon a déclaré à son fils, dans Proverbes 4:7-9 : « Le commencement de la sagesse, c’est d’acquérir la sagesse ; acquiers la prudence au prix de tout ton avoir. Estime-la, et elle t’élèvera ; elle fera ta gloire quand tu l’auras embrassée. Elle posera sur ta tête une couronne de grâces, et te donnera un diadème de gloire. » Nous devons néanmoins nous assurer que la sagesse et la connaissance acquises ne sont pas perverties par l’esprit de ce monde. Quand Paul a écrit aux Éphésiens, il mit beaucoup d’emphase sur le contraste entre une connaissance assombrie et une connaissance spirituellement éclairée.

Dans Éphésiens 4:17-20, Paul les exhorte en disant : « Voici donc ce que je dis et que j’atteste de la part du Seigneur : Ne vous conduisez plus comme le reste des Gentils, qui suivent la vanité de leur esprit ; ayant leur intelligence obscurcie, étant éloignés de la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur ; ayant perdu tout sentiment, ils se sont abandonnés à la dissolution, pour commettre toutes sortes d’impuretés, avec une ardeur insatiable. Mais vous, ce n’est pas ainsi que vous avez appris à connaître Christ. » Un cœur aveuglé produit toujours une connaissance obscurcie.

Tandis que, dans Éphésiens 1:16-19, Paul leur dit : « Je ne cesse de rendre grâces pour vous, en faisant mention de vous dans mes prières ; afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation dans sa connaissance ; qu’il éclaire les yeux de votre entendement ; afin que vous connaissiez quelle est l’espérance à laquelle vous êtes appelés, et quelles sont les richesses de la gloire de son héritage dans les saints ; et quelle est, envers nous qui croyons, l’infinie grandeur de sa puissance, conformément à l’efficacité du pouvoir de sa force. » En tant que chrétiens, nous avons besoin d’une connaissance éclairée par le Saint-Esprit, et non assombrie par un cœur endurci.

Le converti à Christ devrait continuellement rechercher une connaissance pleine de maturité dans la volonté de Dieu afin de grandir dans la grâce. Ceux qui demeurent stagnants restent au niveau élémentaire de ce qu’ils ont appris lors de leur appel. Et comme il est impossible de demeurer toute notre vie au même endroit dans notre apprentissage, soit que nous grandissons, soit que nous rétrogradons, ce qui déshonore Dieu qui nous a appelés à devenir un jour membres immortels de Sa Famille. En tant que Ses enfants spirituels, nous devons exhiber la foi d’un enfant, libérés de toute malice et continuellement prêts à grandir dans la bonne connaissance. Jésus Lui-même a déclaré : « Quiconque reçoit un tel enfant en mon nom, me reçoit. Mais si quelqu’un scandalise un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui attachât une meule au cou, et qu’on le jetât au fond de la mer. Malheur au monde à cause des scandales ; il est nécessaire, il est vrai, qu’il arrive des scandales ; mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! » (Matthieu 18:5-7).

Donc, malheur à ceux qui scandalisent de tels enfants avec un enseignement pervers, axé sur la convoitise, l’amour de l’argent et du pouvoir. À ces pasteurs autoproclamés, Dieu dit : « En effet, tandis que vous devriez être maîtres depuis longtemps, vous avez encore besoin d’apprendre les premiers éléments des oracles de Dieu ; et vous en êtes venus à avoir besoin de lait, et non de nourriture solide. Or, celui qui se nourrit de lait, ne comprend pas la parole de la justice ; car il est un petit enfant. Mais la nourriture solide est pour les hommes faits, pour ceux qui, par l’habitude, ont le jugement exercé à discerner le bien et le mal. » (Hébreux 5:12-14).

Rappelons-nous toujours de ces paroles de Christ : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais c’est moi qui vous ai choisis, et qui vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit soit permanent ; et que ce que vous demanderez au Père en Mon nom, il vous le donne » (Jean 15:16). Restons infatigablement attachés à cette vigne qui est nul autre que Christ. Et mettons en pratique ces paroles de sagesse de Pierre, qui nous dit : « Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis, soyez sur vos gardes, de peur qu’entraînés par l’égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté. Mais croissez dans la grâce et la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit gloire, et maintenant, et pour le jour d’éternité ! Amen » (2 Pierre 3:17-18). Que Dieu soit avec tous Ses futurs Élus dans leur cheminement vers Son Royaume à venir bientôt.

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