L’holocauste des bébés américains

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Plus de 60 millions de bébés ont été avortés depuis l’affaire Roe vs Wade

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2018

Par Jerry Barrett

« Il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît au cou une meule de moulin, et qu’on le jetât dans la mer, que de scandaliser un de ces petits. »

(Luc 17:2)

Dans l’étude de la physique, on apprend que, pour chaque action, il y a une réaction égale et opposée. Cela semble aussi se produire avec presque toutes les décisions que nous faisons sur une base quotidienne. Parfois, ces décisions mènent à des circonstances désastreuses.

Les années 1960 annoncèrent un changement dans la culture américaine. Le modèle de la famille fut sorti de son axe quand la révolution sexuelle et la culture de la drogue devinrent populaires. Ward et June Cleaver, ainsi que la moralité chrétienne, furent jetés dans l’oubli. C’était dès lors l’époque du sexe, de la drogue et du rock’n’roll.

Cependant, avec le mouvement de « l’amour libre » sont venues des conséquences inattendues. Les grossesses non préméditées furent un des inconvénients majeurs.

Durant les années 1950 et 1960, on estime que les médecins de ruelles ont exécuté un million d’avortements par année. Plus d’un millier de femmes sont mortes chaque année à cause de cette procédure illégale. Bon nombre de ces médecins chargeaient plus de 1 000 $ pour leur service et on n’utilisait pas d’anesthésie parce que l’on voulait que les patientes sortent rapidement de la place.

Meurtre sur demande

Dans les années 1960, ère de protestation et de mouvements divers, les femmes commencèrent à cibler activement le sujet de l’avortement. Beaucoup parlèrent de leur propre avortement illégal et insistèrent pour que l’avortement-sur-demande soit rendu légal. Le clergé libéral se joignit à l’effort ainsi que d’autres groupes de liberté civile.

Certains états commencèrent à adoucir leur loi sur l’avortement, le permettant sous certaines circonstances, mais ils laissèrent la décision finale aux médecins et aux hôpitaux. L’état de New York, en 1970, permit l’avortement-sur-demande jusqu’à la 24e semaine si cela se faisait dans un service médical avec un médecin. Les femmes qui pouvaient s’offrir cette « procédure » se rendirent en foule dans ces cliniques « légales ».

Le 22 janvier 1973, le meurtre sur demande fut autorisé par notre Cour Suprême par la décision rendue lors du tristement célèbre cas Roe vs Wade. Medicaid finança les exécutions fœtales jusqu’à ce que le Congrès adopte l’Amendement Hyde, en 1976. Celui-ci, toutefois, n’allait pas stopper le meurtre de masse des bébés américains.

Nuire aux tortues de mer, aux aigles et à leurs œufs est illégal, sujet à des amendes et à l’emprisonnement. Mais un bébé humain avant naissance, que Dieu connaissait avant de le former dans le sein de sa mère, fait à l’image de Dieu, ce n’est juste qu’un « choix ».

Planned Parenthood commença à recevoir des fonds fédéraux en 1970, grâce à Richard Nixon et un accord bipartite du Congrès. À l’époque, on formulait ce sujet comme étant de la « planification familiale », ce qui rendait la chose acceptable aux yeux du grand public. Planned Parenthood reçoit actuellement plus de 500 millions $ annuellement, dont la majorité va au financement des avortements.

Bien que ce soit financé au fédéral sous le déguisement de la « planification familiale », on pourrait penser que l’adoption serait l’option la plus populaire. Néanmoins, l’orientation d’une patiente vers l’adoption par Planned Parenthood paraît dérisoire en comparaison du meurtre-sur-demande. En 2014, il y a eu 149 avortements pour chaque référence à l’adoption.

Planned Parenthood exige-t-il des quotas ?

D’anciens employés de Planned Parenthood ont avancé des déclarations choquantes à propos de quotas et de mesures correctives contre des cliniques contre-performantes. Même les cliniques qui ne font pas d’avortement doivent référer un certain nombre de patientes vers des cliniques qui en font.

Dans une interview accordée au Washington Post, Sue Thayer, ancienne gérante de clinique, déclara que les employés étaient entraînés à manipuler les femmes pour qu’elles choisissent l’avortement. Le meilleur argument était d’amener ce qu’il en coûtait d’élever une famille.

Mme Thayer affirma aussi que Planned Parenthood offrait des avantages aux cliniques qui excédaient leur quota d’avortement. Des party-pizzas et des vacances payées faisaient partie des récompenses données.

Vente de parties du corps pour le profit

Le Procureur général des États-Unis, Jeff Sessions, a récemment ouvert une enquête sur la vente par Planned Parenthood de parties du corps de fœtus. En 2016, un Jury Sélectif Maison sur la Vie des Nouveau-nés produisit des documents dénonçant des techniciens d’une clinique d’avortement à qui l’on donnait des extras en argent pour le nombre de parties de corps de fœtus qu’ils procuraient.

Ces techniciens obtenaient le consentement de la mère pour le don de tissus fœtaux sans divulguer les bonus qu’ils en retiraient. Donc, armés de la liste de souhaits d’un commerce de procuration de tissus, ces techniciens se mirent à s’enrichir, comme la clinique, d’ailleurs. Planned Parenthood a défendu vigoureusement la légalité de sa moisson de parties fœtales.

Quand le fœtus est-il un être humain ?

Notre société n’admet pas le meurtre d’un être humain sauf en cas de légitime défense, à la guerre… ou par l’avortement. Toutefois, si un conducteur ivre défonce un véhicule contenant une femme enceinte – qu’elle soit ou non en route vers une clinique d’avortement – et qu’il tue le fœtus, il peut être accusé d’homicide commis en conduisant pour avoir tué le bébé.

Ce qui amène à la question : quand un fœtus devient-il un être humain ? Il n’y a pas de définition concise, seulement des opinions politiques et scientifiques. Des études ont toutefois montré que les fœtus ressentent la douleur à 20 semaines ou avant. On les a observés qui se retiraient brusquement devant un stimuli nuisible comme des aiguilles et libéraient des hormones de stress en réaction aux procédures douloureuses.

Lorsqu’il était au Congrès, Ron Paul présentait sans cesse le « Projet de Loi sur le Caractère Sacré de la Vie » qui définit que la vie commence à la conception. Les Républicains « pro-vie » ne permirent jamais que ce projet de loi voit le jour. L’an dernier, le sénateur Rand Paul présenta le « Projet de Loi sur la Vie dès la Conception », mais ni les leaders républicains, ni Donald Trump n’ont fait quoi que ce soit pour promouvoir ce projet de loi. Comment Donald Trump planifie-t-il de rendre toute sa gloire à l’Amérique en continuant à permettre le meurtre légalisé de plus de 1 800 bébés par jour ?

L’holocauste américain

A date, plus de 60 millions de bébés ont été assassinés ! Laissez-vous pénétrer de ce chiffre. 60 millions de bébés. Et si l’un d’eux avait été capable de guérir le cancer, ou devait être un futur Président ? Il s’agit d’un holocauste aux proportions épiques. Il n’y a pas d’autre mot pour le décrire.

Aucune race n’est immunisée contre ce génocide. Plus de 50 % des grossesses de femmes hispaniques et de femmes noires se terminent par l’avortement, même si elles ne forment que 30 % de la population. Les caucasiennes, composant 60 % de la population, voient 37 % de leurs grossesses se terminer par un avortement.

Est-ce que le contrôle de la population par l’avortement pousse à l’extrême ?

Au Sommet de la Terre tenu au Brésil en 1992, les Nations Unies créèrent un plan en regard du développement soutenable. Un des buts mis à l’agenda était le contrôle de la population.

Les globalistes et les cinglés de l’environnement déclarent depuis longtemps que la population de la terre doit être réduite à 500 millions de gens. Cela permettrait à la « Mère Terre » de soutenir pleinement l’homme et l’animal. Ces gens-là semblent croire que l’avortement est le moyen idéal le moins visible d’arriver à ce but.

Que dit la Bible à propos de l’avortement ?

La Bible ne parle pas de manière spécifique du sujet de l’avortement. Cependant, il y a de nombreux enseignements dans la Bible qui éclairent le point de vue de Dieu sur l’avortement.

Dans Jérémie 1:5, nous apprenons que Dieu nous connaît avant de nous former dans le sein de notre mère. Dans Psaumes 139:13-14, nous apprenons que Dieu joue une part active dans notre création et notre formation dans le sein maternel.

Si vous avez eu la bénédiction d’assister à la naissance de votre enfant, vous pouvez vous rapporter aux Paroles de Jésus, dans Jean 16:21 : « Quand une femme accouche, elle a des douleurs, parce que son terme est venu ; mais dès qu’elle est accouchée d’un enfant, elle ne se souvient plus de son travail, à cause de sa joie de ce qu’un homme est né dans le monde. »

Les bolcheviques assassinèrent 66 millions de gens, selon Alexandre Soljenitsyne. Mao Tsé-toung et Pol Pot ont respectivement tué des millions de leurs concitoyens. Les avorteurs d’Amérique vont bientôt surpasser ces chiffres incroyables. Mais il y aura un prix élevé à payer pour cet holocauste d’Américains.

Jésus a averti ceux qui veulent faire du mal aux enfants :

« Il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît au cou une meule de moulin, et qu’on le jetât dans la mer, que de scandaliser un de ces petits » (Luc 17:2).


Notre dernière invention ?

Par Steve Reilly

Tard l’année dernière, des dossiers classés du Service du Revenu Intérieur [impôt américain] rendus dans un procès révélèrent qu’un élitiste de Silicon Valley, Anthony Levandowski, a établi Way of the Future (WOTF) – « Chemin du futur » – une entreprise religieuse sans but lucratif. Cette nouvelle religion va se concentrer sur « la réalisation, l’acceptation et le culte à une Divinité basée sur l’Intelligence Artificielle (IA) développée au moyen de hardwares et de softwares d’ordinateur ».

On s’attendait à une certaine attention de la part des grands médias, mais elle ne frappa pas durement, ni ne creusa bien profondément. Comme la plupart des choses du même genre, elle eut droit à une couverture rapide à la fin des bulletins de nouvelle. « Il n’y a pas de doute que nous comptons sur les ordinateurs, mais de là à les adorer ? Eh bien, un lanceur de technologie millionnaire vient de fonder une religion qui fait exactement ça ! »

À mesure que la société continue de s’éloigner de la Parole de Dieu et s’enfonce de plus en plus dans la spirale de « la phase finale de l’empire » (la décadence), divers veaux d’or parsèment le paysage culturel, (ex. : Un homme dans la cinquantaine avec des larmes de joie qui lui coulent sur les joues, un dimanche après-midi. Submergé par l’amour de Jésus-Christ ? Non. Son équipe sportive vient de remporter le championnat.)

Dans une interview parue dans le magazine Wired, Levandowski émit l’avis que « Les gens voient Dieu de bien des façons et il y a des milliers de saveurs de christianisme, de judaïsme et d’islam… » Le problème, se plaint Levandowski, c’est l’incertitude – le besoin de croire en quelque chose d’incommensurable. Toutefois, avec l’ultra-intelligence, dit fièrement Levandowski, « Cette fois, c’est différent. Cette fois, vous serez capable de parler à Dieu, littéralement, et de savoir qu’il écoute. » Un veau d’or qui « écoute ».

 

La déclaration prophétique du scientiste I. J. Good concernant l’Intelligence Artificielle est plutôt populaire dernièrement, mais les grands courants médiatiques omettent la dernière partie de la citation : « La première machine ultra-intelligente est la dernière invention que l’homme aura besoin de faire, pourvu que la machine soit assez docile pour nous dire comment la garder sous contrôle. »

 

 

Pour garder leur tranchant aiguisé dans notre monde interconnecté, les géants de la technologie rivalisent pour dénicher des employés qui démontrent des talents peu communs en technologie. Levandowski était un de ces talents peu communs. Après avoir obtenu son diplôme à l’Université de Californie, à Berkeley, Levandowski choisit Google où il travailla éventuellement sur la technologie des voitures sans chauffeur.

Il y a une couple d’années, Levandowski laissa Google et, avec trois partenaires, fonda Otto (« voiture » en hébreu), une compagnie qui fabrique des équipements de modification pour conduite sans chauffeur à l’intention des grosses semi-remorques. À noter, un des partenaires d’Otto, Lior Ron, a travaillé pour la division de Renseignement des Forces de Défense israéliennes, atteignant le rang de Chef-officier à l’Entraînement avant de quitter Israël pour s’inscrire à Stanford. Ron collabore maintenant avec Levandowski en étant le chef du bureau des finances de WOTF.

En dedans d’un an, Uber a acheté Otto pour 680 millions $. Peu après, Google poursuivit Levandowski pour avoir volé les recherches sur la voiture sans conducteur et les avoir amenées à Uber via Otto. (La comparaison avec Albert Einstein nous vient à l’esprit. Un génie juif qui vole le travail des autres – apparemment. Einstein est certainement considéré comme un grand-prêtre séculier par la jeunesse d’aujourd’hui – en plein le genre de gens que Levandowski désire dans son Chemin du futur.)

Coupable ou non, Levandowski connaît les recherches sur l’IA aussi bien que n’importe qui et il juge prudent de fonder une religion « amicale » pour l’IA ? Oui. Il a officiellement dit : « Voulez-vous être un animal de compagnie ou du bétail ? » Pourtant, du même souffle, il réfute les initiés inquiets, comme Elon Musk, disant qu’ils réagissent de manière excessive en ce qui a trait aux possibles conséquences négatives.

Pour Levandowski, c’est une question de pouvoir. Il a dit au magazine Wired : « J’aimerais que la machine nous voit comme ses sages bien-aimés qu’elle respecte et dont elle prend soin. Nous voudrions que cette intelligence dise : “Les humains devraient encore avoir des droits, même si je suis en charge.” »

Pourtant, un ingénieur et ancien ami de Levandowski a dit, dans le magazine techno sur Internet, Backchannel : « Il a cette très étrange motivation à propos des robots qui prennent le pouvoir du monde, comme une véritable prise de pouvoir, dans le sens militaire, c’est comme s’il voulait pouvoir contrôler le monde et que les robots en étaient le moyen. »

Des recherches sur l’Intelligence Artificielle nous révèlent que cela ressemble beaucoup à Hollywood (les barbouzes israélien et tout !). Les personnes qui y sont attirées cherchent à devenir très riches très rapidement et ce, avec un minimum d’effort. Une fois la richesse atteinte, ça devient une question de pouvoir. Une religion sur l’IA peut-elle être différente ?

Pendant des décennies, Texe Marrs s’est tenu à la pointe pour examiner les croyances sans nombre en relation avec la prophétie biblique. Le fusionnement de la technologie avec la religion amène spirituellement le Nouvel Âge à un niveau entièrement nouveau.

Terasem est une autre tentative de mélanger la technologie d’ordinateur à la religion. Fondé en 2002 par Martine Rothblatt (comme Levandowski, une lanceuse de technologie millionnaire juive), Terasem affirme que dieu est technologique ; la mort est facultative ; l’amour est essentiel. Vous voyez le portrait ? Une chance pour nous, les gens ne meurent pas, ils n’entrent que dans un état de « biostasie cybernétique » jusqu’à ce qu’un futur « mindware » leur soit disponible pour être « ranimés à la vie indépendante et en santé ».

Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, qui a essayé désespérément de se repositionner de ringard chanceux à gourou au style de vie techno, prend comme affront personnel tout négativisme concernant l’avenir de l’IA. Les adeptes comme lui prétendent que nous devrions être réconfortés, car « la nature de l’Intelligence Artificielle sera tout à fait humaine. »

La Bible nous parle de la nature humaine :

« Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ?. (Jérémie 17:9).

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