D.173 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 10

image_pdfimage_print

 

par Guy Richer

Les Organisations les plus influentes

agissant dans l’Ombre

Les Jésuites sionistes fonctionnent depuis longtemps par la manipulation d’un réseau inextricable d’organismes qu’ils ont soigneusement et patiemment mis sur pied depuis des siècles afin de maîtriser toutes les facettes de la vie politique, économique, sociétale, culturelle et religieuse du monde entier. Nous vous proposons un survol des plus importantes.

 ____________________________________________________________________________________

Le “Council on Foreign Relations” (CFR) ou Conseil des Relations Étrangères

Fondé par la Round Table en 1921, on lui donne aussi le nom d’« establishment », de « gouvernement invisible » ou de « ministère Rockefeller des Affaires étrangères ». Cette organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des citoyens des États-Unis, compte parmi les plus influentes du pays.

Le CFR exerce, de nos jours, un contrôle étroit sur les nations occidentales, que ce soit de façon directe, parce qu’il est en relation avec des organisations du même genre, ou que ce soit par l’intermédiaire d’institutions, telle que la « Banque mondiale » qu’il préside.

Depuis sa création, tous les présidents des États-Unis, sauf Ronald Reagan, y étaient déjà membres avant leur élection. En revanche, le vice-président de Reagan, George Bush, était membre du CFR. Il en fut même le directeur en 1977. Le CFR est contrôlé par le syndicat Rockefeller et sert à concrétiser son but : la création d’un « Gouvernement mondial unique ».

Le groupe Bilderberg

 

Constitution :

Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution, en mai 1954, sous le nom de « Bilderberg Group », réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas, à l’hôtel Bilderberg (d’où son appellation), à Oosterbeek, en Hollande. Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d’universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s’appellent les Bilderbergers.

Objet officiel :

Construire l’unité occidentale contre l’expansion soviétique.

Fonctionnement secret :

Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte-rendu. La presse en est exclue et, d’ailleurs, il n’existe dans la salle aucune possibilité d’enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.

Instigateurs et participants :

Jusqu’en 1976, la présidence était exercée par le prince Bernhard de Lippe. Le scandale des pots-de-vin de Lockheed (dont la majorité des actions appartiennent à la Compagnie de Jésus — les Jésuites) et le « mea culpa » du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group ; mais l’organisation n’en poursuivit pas moins ses activités, son « patron » véritable n’étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller. Lorsqu’il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Commission Trilatérale. Il en est aujourd’hui le directeur pour l’Amérique, tout en présidant le C.F.R., organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).

Que complotent les participants ?

Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci font l’objet d’indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers. Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre Une main cachée dirige, les principaux sujets proposés au cours de ces discrètes délibérations :

—  les problèmes financiers internationaux ;

—  la liberté d’émigration et d’immigration ;

—  la libre circulation des produits sans entraves douanières ;

—  l’union économique internationale ;

—  la constitution d’une force de police internationale avec suppression des armées nationales ;

—  la création d’un Parlement international ;

—  la limitation de la souveraineté des états délégués à l’ONU ou à tout autre gouvernement supranational.

Comme on le voit, le processus conduit vers la constitution d’un Gouvernement mondial.

 La Commission Trilatérale

Constitution :

Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque les réformistes ou colombes du CFR et ceux des Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l’expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental : la Commission Trilatérale vit donc le jour l’année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l’Europe, autrement dit : le Tokyo Stock Exchange et la Cité de Londres. Étant d’origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 Est, 46e Rue, New York).

Objet officiel :

Construire une coopération politique et économique entre l’Europe Occidentale, l’Amérique du Nord et le Japon.

Fonctionnement secret :

Elle est semi-secrète, internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d’autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B’nai B’rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère : ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l’organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et des médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des États des hommes à elle et « d’infiltrer » les hautes sphères du monde occidental.

Instigateurs et participants :

Les instigateurs, qui en sont aussi les plus importants participants, sont :

David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger, etc.

photo

Relations avec les autres groupes secrets :

La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonniques mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu’ici à la Trilatérale d’agir dans l’ombre, si bien que rares sont ceux qui savent que cette mystérieuse société existe et qu’elle exerce un contrôle rigoureux sur les États et l’économie internationale par l’intermédiaire des affiliés qu’elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l’administration.

LA ROUND TABLE

La Round Table, ou « Table Ronde », vit le jour le 5 février 1909, fondée par Alfred Milner, à la suite des sept vœux formulés par un richissime diamantaire anglais, Cecil John Rhodes, Maître-maçon dans la franc-maçonnerie britannique, et qui aspirait à la création de cette société, car il considérait que la maçonnerie végétait et n’avançait pas les idées qu’il prônait. Les membres fondateurs de la Round Table furent, outre lord Alfred Milner, lord Esher, lord Nathan Rothschild, lord Arthur Balfour, ainsi que les écrivains Rudyard Kipling et H. G. Wells.

La structure de ce groupe était, comme les « SS » d’Hitler, calquée sur l’Ordre des Jésuites. Rien d’étonnant à cela, car l’Ordre, rappelons-le, avait main mise sur le système bancaire par l’intermédiaire de la Maison Rothschild. Or, Rhodes nomma Nathan Rothschild administrateur de sa fortune pour que, après son décès, celle-ci servit à la fondation de sa société secrète, la Round Table, avec l’aide d’Alfred Milner qui partageait le même but.

Ce but principal était de rétablir la domination de l’Empire britannique et d’étendre l’utilisation de la langue anglaise au monde entier. Pour ce faire, on devait commencer par ramener les Etats-Unis d’Amérique sous la tutelle du Commonwealth. Comme son mentor John Ruskin, Cecil Rhodes croyait que seule l’élite britannique pouvait et devait régir le monde pour le bien et le bonheur de l’humanité.

Une des façons que trouva Cecil Rhodes pour atteindre son but fut d’octroyer une colossale partie de sa fortune pour des bourses d’étude (The Rhodes Scholarships) à l’Université d’Oxford — où il avait été élève et où il était devenu franc-maçon — afin que l’on éduque une élite privilégiée dans le sens de ses tendances politiques mondialistes. Va sans dire que les boursiers de Rhodes sont triés sur le volet afin de bénéficier de ce supplément d’éducation et d’endoctrinement dont la facture est payée par la succession Cecil John Rhodes.

Peu après sa fondation, la Round Table devint l’appendice le plus puissant de la Fraternité maçonnique britannique. Ce groupe se reliait aux sionistes par la famille Rothschild, ainsi qu’aux familles américaines Morgan, Rockefeller, Schiff, Warburg, Guggenheim et Carnegie. Faisaient aussi partie de la branche américaine, le Colonel Edward Mandell House et Benjamin Strong, personnages très influents de la maçonnerie américaine.

Sont issus de la Round Table trois cellules de pouvoir importantes : le Royal Institute of International Affairs (RIIA), c’est-à-dire, l’Institut Royal des Affaires Internationales, organisé en 1919 à Londres ; le Council on Foreign Relations (CFR), c’est-à-dire, le Conseil des Relations Étrangères, organisé en 1921, à New York ; et l’Institute of Pacific Relations (IPR), c’est-à-dire, l’Institut des Relations au Pacifique, ou les douze pays ayant territoire dans ce que nous appelons aujourd’hui la Bordure du Pacifique, organisé en 1925. Alfred Milner fut aussi un des membres principaux du Comité des 300.

L’existence d’une Round Table américaine fut révélée dans The Anglo-American Establishment, par Carroll Quigley, professeur (maintenant décédé) à la Faculté des Services Étrangers, à l’Université de Georgetown (la plus importante université jésuite en Amérique), et mentor de l’ancien Président Bill Clinton.

La branche américaine de cette société secrète anglaise exerça le plus clair de son influence par l’intermédiaire de cinq journaux américains : le New York Times, le New York Herald Tribune, le Christian Science Monitor, le Washington Post, et le regretté Boston Evening Transcript. C’est grâce à cela que la Faculté d’Oxford, en Angleterre, patronnée par Cecil Rhodes, put accueillir chaque année, depuis 1904, 32 étudiants américains qui, devenus ainsi « érudits internationalistes », retournent aux Etats-Unis occuper des postes-clés dans les institutions et le gouvernement américains. On les retrouvent au Département d’État américain et dans la plupart des médias importants où ils ont, entre autres tâches, le devoir d’amoindrir l’importance de la puissance de l’Empire britannique qui s’affiche faussement comme affaibli.

Certains boursiers américains de la succession Rhodes ayant reçu leur formation spéciale d’Oxford, deviennent des membres parmi les plus prééminents dans les affaires des Nations Unies. L’ONU n’est qu’une excroissance du plan développé par Cecil Rhodes, le bâtisseur d’empire, et sa société secrète, la Round Table.

L’Institute for Advanced Study (IAS) qui est l’Institut des Hautes Études, pour lequel travaillèrent Robert Oppenheimer et Albert Einstein, est également issu de la Round Table. Les deux hommes construisirent plus tard, pour la IAS, la première bombe atomique.

Le Club de Rome

Le Club de Rome regroupe des membres de l’establishment international de 25 pays (soit une cinquantaine de personnes). Il fut créé par le clan Rockefeller (dans leur propriété privée à Bellago, en Italie). Ce sont eux qui le financent aujourd’hui encore.

Son but principal est aussi de créer un gouvernement mondial en s’appuyant sur l’élite. Il a, de plus, élaboré une religion unique mondiale et a fait croire dans les médias à une « crise de l’énergie » et à un surpeuplement de notre planète. D’après William Cooper (auteur du livre Behold a Pale Horse), le Club de Rome aurait développé le virus du SIDA (avec l’antidote correspondant, bien sûr) et l’aurait répandu dans les populations pour introduire le grand programme d’assainissement des races en vue du gouvernement mondial de l’élite.

La société secrète des Skull & Bones

Ses propres membres l’appellent the Order, (l’Ordre).

Beaucoup le connaissent depuis plus de 150 ans comme étant le Groupe local 322 d’une société secrète allemande. D’autres lui donnent le nom de Brotherhood of Death (Fraternité de la Mort). L’Ordre secret des Skull & Bones (traduction mot à mot : Crâne et Os) fut introduit par William Huntington Russel et Alfonso Taft à l’Université de Yale, en 1833. Russel, après avoir été en Allemagne où il fit des études en 1832, l’introduisit ensuite à Yale. En 1856, il fut incorporé au Russel Trust.

Cet ordre forme, entre autres, le noyau (l’élite) du CFR. Le noyau des Skull & Bones, à son tour, s’appelle la Jason Society.

Les pratiques de sorcellerie de la famille Bush

Depuis des générations, les membres masculins de la famille Bush sont diplômés de Yale et membres de la Société Skull & Bones. Le grand-père de George W. Bush, diplômé en 1917, fut un membre légendaire de la Société… Mais il y a eu d’autres Bush qui ont brillé dans cette Société, depuis le grand-oncle George Herbert Walker Jr, jusqu’aux cousins George Herbert Walker III et Ray Walker, en passant par l’oncle Jonathan Bush, sans oublier le propre père de George W., l’ancien Président George Bush.

Cette révélation est surprenante et inquiétante, car elle décrit une situation affreuse, celle où des générations successives sont liées dans des pratiques de sorcellerie. Dieu a parfaitement décrit cette situation dans la Bible, il y a près de 4 000 ans :

« Tu ne te prosterneras point devant elles [les idoles], et tu ne les serviras point ; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent. »

(Exode 20:5)

La plupart des chrétiens ne réalisent pas que Dieu fait ici référence aux péchés des ancêtres, notamment ceux de sorcellerie et de magie. Ce sont ces péchés qui sont aujourd’hui la cause principale du satanisme dans le monde. Tous les principaux membres des sociétés occultes proviennent de familles dont l’ascendance est sataniste depuis plusieurs générations.

Les familles les plus influentes aujourd’hui dans le monde sont les Rothschild, les Windsor, les Rockefeller, les Carnegie, les Ford, les Weyerhauser, les Roosevelt, les Taft, les Bundy et, bien sûr, les Bush.

Ainsi, les Présidents américains sont liés à la famille royale anglaise par des générations de praticiens de la sorcellerie ! Mais qu’en est-il de la famille Bush ? Trois générations de Bush ont été membres des Skull & Bones. George W. Bush a donc une lourde hérédité. Mais cette hérédité ne s’arrête pas là :

George Bush est le descendant de la treizième plus importante famille d’Illuminati. Sa famille est apparentée à la famille royale anglaise, et descend aussi des Mérovingiens.

Il n’est donc pas surprenant de voir des générations successives pratiquer le satanisme. C’est ainsi que les principaux dirigeants des sociétés occultes sont issus de familles anglaises ou européennes qui dominent le monde depuis trois siècles. La Grande-Bretagne est la patrie du satanisme et le centre mondial de générations de satanistes. Tous les satanistes savent depuis des générations que ceux qui règnent sur le Royaume-Uni doivent dépendre étroitement de la puissance de Satan. Cela explique pourquoi Cecil Rhodes et d’autres Chevaliers de la Table Ronde, comme les Rothschild, voulaient soumettre le monde entier à la Grande-Bretagne.

Si George W. Bush était réellement un chrétien né de nouveau, comme il le prétend, il n’aurait pas hésité à dénoncer et à répudier la Société Skull & Bones dans les termes les plus nets ! En outre, il n’aurait pas hésité à publier dans le monde entier le plan draconien mis au point par les Sociétés Secrètes pour dominer le monde, à commencer par la création artificielle de famines, de guerres et de maladies mortelles, jusqu’à la réduction planifiée des deux tiers de la population mondiale !

L’un des premiers actes de la présidence de George W. Bush aurait dû être d’ordonner que le billet de 1 dollar américain soit remplacé, pour que disparaissent les symboles maçonniques qui y figurent, en particulier la pyramide tronquée surmontée de l’œil de Lucifer !

George W. Bush n’a rien fait de tout cela. Pourtant, beaucoup de gens de l’extrême droite chrétienne continuent de penser qu’il est un bon chrétien digne de considération ! Toutefois, malgré ces fruits spirituels désastreux, George W. Bush continue de se faire respecter par la plupart des chrétiens, en prétendant être l’un d’entre eux. N’est-il pas temps d’étudier la question d’un peu plus près ? Un président dit « chrétien né de nouveau », recherchant n’importe quel prétexte pour faire la guerre, cela offre une contradiction des plus étranges, ne trouvez-vous pas ?

Hitler, membre du Groupe de Thulé, branche allemande de la Fraternité de la Mort, dont les Skull & Bones sont la branche américaine, était un adepte de la Magie Noire. Il nous semble nécessaire de définir d’abord en quoi consistent la Magie Noire et la Magie Blanche.

La plupart des adeptes du Nouvel-Âge n’emploieront pas ces expressions, en raison des associations d’idées négatives qu’elles véhiculent. Ils parleront plutôt de « sentier de droite », pour désigner la Magie Blanche, et du « sentier de gauche », pour désigner la Magie Noire. Les occultistes croient que les forces qui régissent l’Univers ont accordé aux hommes le libre-arbitre pour choisir s’ils emploieront les secrets et la puissance du monde occulte pour le Bien ou pour le Mal. Si l’on choisit d’employer des pouvoirs occultes pour le Bien, on suivra le « sentier de droite », et l’on sera un adepte de la Magie Blanche. Au contraire, si l’on choisit d’employer des pouvoirs occultes pour le Mal, on suivra le « sentier de gauche », et l’on sera un adepte de la Magie Noire.

Toute l’histoire de Harry Potter est fondée sur ce concept !

Quelle séduction !

Vous devez savoir que toute puissance occulte vient de Satan, et qu’il n’y a aucune différence entre la Magie Blanche et la Magie Noire. Tous ceux qui croient qu’il y a une différence sont séduits.

 Anton LeVey  Allister Crowley

                                                     

Dans sa « Bible satanique », Anton LaVey se moque de ceux qui croient qu’il y a une différence entre Magie Blanche et Magie Noire, et affirme que seuls les satanistes ont le courage de savoir qui ils servent réellement. Allister Crowley, considéré comme le plus grand sataniste d’Angleterre, disait de même.

Au début des années 30, les occultistes du monde entier étaient dans une grande joie, parce qu’ils attendaient la manifestation de leur Maître en 1933. La plupart des dirigeants du Nouvel-Âge, y compris Alice A. Bailey, pensaient qu’Adolf Hitler était ce Maître. Quand Hitler arriva au pouvoir, il choisit le svastika (la croix gammée) comme symbole national, mais il le disposa à l’envers, pour montrer à tous les occultistes du monde qu’il avait choisi le « sentier de gauche », celui du Mal. Les dirigeants du « sentier de droite » ont été soudain horrifiés. Ils se sont mis à proclamer que le Nouvel Ordre Mondial devait être institué pour le Bien, et non pour le Mal.

Très vite, il a fallu choisir si ce Nouvel Ordre Mondial tant attendu devait revêtir la forme « mauvaise » de la Magie Noire d’Adolf Hitler, ou la « bonne » forme de la Magie Blanche de Roosevelt et de Churchill ! Comme les occultistes des deux camps croient en la puissance exceptionnelle des « relations triangulaires », les principaux protagonistes de la Deuxième Guerre Mondiale se sont rapidement regroupés en deux « triangles » d’alliés : le Triangle Noir formé par l’Allemagne nazie, l’Italie et le Japon, contre le Triangle Blanc formé par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie. C’était la Magie Blanche qui luttait contre la Magie Noire !

Ainsi donc, toute l’Europe allait payer le prix de cet affrontement, à la fois par la guerre et par le génocide. Hitler a engagé une guerre qui allait être la plus destructrice de toute l’histoire de l’humanité, en accomplissant « d’incroyables ravages » ! Ses programmes d’extermination et de génocide allaient dépasser tout ce que le monde avait connu jusqu’alors en matière de planification et d’efficacité.

Le bilan de la Deuxième Guerre Mondiale se lit comme suit :

  • 18 200 000 soldats tués ;
  • 16 300 000 civils tués.

Lorsqu’on additionne les 18 000 000 de morts des Camps de la Mort d’Hitler, on réalise que plus de 54 millions de gens ont perdu la vie comme résultat des pratiques et des buts occultes du Nouvel Ordre Mondial de la branche allemande de la Fraternité de la Mort, le Groupe de Thulé. En langage de culte satanique, ces millions de personnes furent sacrifiées à l’autel du dieu Lucifer !

Ce n’est pas pour rien que la Bible nous dit que Dieu a en abomination TOUTES les formes de magie et d’occultisme, ce sont des voies qui conduisent à la mort !

Hitler a presque gagné la Deuxième Guerre Mondiale, mais le temps n’était pas encore venu, pour Dieu. Toutefois, plusieurs des effets secondaires de la Guerre ont servi à mettre en place le courant actuel vers un Nouvel Ordre Mondial.

Pour les conspirateurs occultistes, la magie est un moyen… non une fin.

Les Juifs kabbalistes et les Jésuites sont sans doute les plus grands adeptes de la magie noire et des messes noires. Mais, comme pour tous les satanistes, ces cérémonies ne leur servent que d’outils pour prendre contact avec leurs dieux (Satan et ses démons) qui se manifestent à eux en tant que leurs esprits guides. La fin visée par les conspirateurs est d’amener le gouvernement unique par lequel ils vont pouvoir s’assujettir ouvertement le peuple des Gentils et installer leur religion à Mystères babyloniens. C’est leur but suprême !

Bill Cooper, dans son bouquin « Behold A Pale Horse » (Voici, un cheval blanc), cite un document de la Société secrète des Bilderberg, un rejeton des Skull & Bones :

« Puisque la plupart des gens n’exerceront pas de restriction économique, nous devrons prendre le contrôle du monde par l’utilisation d’armes silencieuses économiques sous la forme d’une guerre silencieuse et réduire les dangereux niveaux de consommation du monde à un degré sécuritaire grâce au procédé de l’esclavage et du génocide bénévole. »

Comment peut-on croire que l’esclavage et le génocide puissent être bénévoles ? C’était pourtant la pensée précise d’Hitler quand il planifiait son Nouvel Ordre Mondial. Il voulait débarrasser le monde de tous les indésirables par une guerre volontaire. Nous avons vu tout à l’heure quel fut l’horrible résultat.

*             *            *

Facebooktwitterredditpinterestlinkedintumblrmail