D.113 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 9

 

Dans l’antre du diable

Neuvième partie

53. La connexion sioniste talmudique

Dans le livre de l’Apocalypse, deux bêtes sont décrites, une dans Apocalypse 13:1 et l’autre dans Apocalypse 13:11. La seconde bête a rapport au faux prophète (Apocalypse 16:13 ; 19:20 ; 20:10). Elle faisait que tous adoraient la première bête qui, comme nous l’avons vu, ne pouvait être que le pape (Apocalypse 13:12). La description de la seconde bête en tant que faux prophète suggère que c’est un Juif. Benjamin Disraeli, Juif qui se convertit au christianisme, était un ancien Premier Ministre d’Angleterre ; il révéla que les premiers Jésuites étaient des Juifs.[1] Le secrétaire d’Ignace de Loyola, Polanco, était d’ascendance juive et fut la seule personne présente au lit de mort de Loyola. Ignace de Loyola était lui-même crypto-Juif de la kabbale occulte. Un crypto-Juif est un Juif qui se convertit à une autre religion et adopte extérieurement cette nouvelle religion, pendant qu’il entretient secrètement ses pratiques juives. James Lainez, qui succéda à Loyola comme second Général Jésuite, était également d’ascendance juive. Les Juifs se sentaient attirés par l’ordre des Jésuites et s’y joignaient en grand nombre.[2] Certains des plus influents Jésuites de l’histoire, comme Francisco de Ribera (1537-1591) et Emanuel de Lacunza (1731-1801), étaient Juifs. De nombreuses doctrines jésuitiques sont similaires à ce que l’on retrouve dans le Talmud babylonien. Il est possible que la deuxième bête du livre de l’Apocalypse soit un Général Jésuite, que l’on qualifie de pape noir. En tant que Juif talmudique, le Général Jésuite est le mystérieux leader dans l’ombre des Juifs sionistes.

John Torell explique les origines juives talmudiques de l’ordre des Jésuites :

« L’Ordre des Illuminati ne fut pas inventé par Adam Weishaupt, mais il le renouvela et le réforma. Le premier ordre illuminatus connu (Alumbrados) fut fondé en 1492 par des Juifs espagnols que l’on appelait « Marranes » et que l’on connaissait aussi sous l’appellation de « crypto-Juifs ». À cause d’une violente persécution en Espagne et au Portugal, commencée en 1391, des centaines de milliers de Juifs furent forcés de se convertir à la foi de l’Église catholique romaine. Publiquement, ils étaient dès lors catholiques romains, mais ils pratiquaient secrètement leur judaïsme, comprenant le Talmud et la Kabbale (ou cabale). Les Marranes furent en mesure d’enseigner secrètement leurs enfants dans le judaïsme, mais en particulier le Talmud et la Kabbale, et cet énorme regroupement de Juifs a survécu jusqu’à aujourd’hui. Après 1540, les Marranes optèrent pour s’enfuir vers l’Angleterre, la Hollande, la France, l’Empire ottoman (la Turquie), le Brésil et d’autres endroits en Amérique Centrale ou du Sud. Les Marranes conservèrent de puissants liens familiaux et devinrent très riches et influents dans les nations où ils vivaient. Mais, comme c’est la coutume chez tout le peuple juif, il leur importait peu dans quelle nation ils vivait, leur loyauté était dirigée vers eux-mêmes et le judaïsme. »[3]

*   *   *

« En 1491, San Ignacio de Loyola est né dans la province basque de Guipuzcoa, en Espagne. Ses parents étaient Marranes et, à l’époque de sa naissance, ils étaient fort riches. Jeune homme, il devint membre de l’Ordre Illuminati juif d’Espagne. Comme couverture à ses activités crypto-juives, il devint très actif en tant que catholique romain. Le 20 mai 1521, Ignace (comme on l’appela dès lors) fut blessé dans une bataille et devint à demi invalide. Inapte à réussir dans les domaines militaire et politique, il se mit en quête de sainteté et aboutit éventuellement à Paris où il étudia en vue du sacerdoce. En 1539, il était rendu à Rome où il fonda « L’ORDRE DES JÉSUITES » qui devait devenir l’ordre le plus vil, le plus sanguinaire et le plus persécuteur de l’Église catholique romaine. En 1540, le pape de l’époque, Paul III, approuva l’ordre. À la mort de Loyola, en 1556, il y avait plus de 1 000 membres dans l’Ordre des Jésuites, localisés dans bon nombre de nations. »[4]

« En établissant l’ordre des Jésuites, Ignace de Loyola inventa un système d’espionnage élaboré, afin que personne dans l’ordre ne soit en sécurité. S’il y avait de l’opposition, la mort arrivait rapidement. Non seulement l’ordre des Jésuites devint-il le bras destructeur de l’Église catholique romaine, mais il se développa aussi en service de renseignement secret. Quoique les papes s’en remettaient de plus en plus aux Jésuites, ils ignoraient que le noyau dur du leadership était juif, et que ces Juifs maintenaient leur adhésion à l’ordre Illuminati qui méprisait et haïssait l’Église catholique romaine. »[5]

Comme nous l’avons expliqué dans des chapitres précédents, l’assertion de l’Église catholique disant que Pierre est le Rocher s’avère un déni implicite que Jésus est le Christ. Un tel déni est l’accomplissement de la prophétie identifiant l’antichrist (1 Jean 2:22-23). On doit être conscient qu’il y a plusieurs antichrists. Le pape, les évêques, les archevêques, les prêtres et les sœurs catholiques sont tous des antichrists. Vous pouvez ajouter à cette liste les Juifs. Pendant environ 2 000 ans, les Juifs ont expressément nié que Jésus est le Christ.

« Jeunes enfants, c’est ici le dernier temps ; et comme vous avez entendu que l’Antechrist viendra, il y a même dès maintenant plusieurs Antechrists ; et nous connaissons à cela que c’est le dernier temps. 19Ils sont sortis d’entre nous, mais ils n’étaient point d’entre nous : car s’ils eussent été d’entre nous, ils fussent demeurés avec nous, mais c’est afin qu’il fût manifesté que tous ne sont point d’entre nous. 20Mais vous avez été oints par le Saint-Esprit, et vous connaissez toutes choses. 21Je ne vous ai pas écrit comme si vous ne connaissiez point la vérité, mais parce que vous la connaissez, et qu’aucun mensonge n’est de la vérité. 22Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils. 23Quiconque nie le Fils, n’a point non plus le Père ; quiconque confesse le Fils, a aussi le Père » (1 Jean 2:18-23, VM).

Satan dirige son royaume sur la base du besoin de savoir. Il est seul à avoir tout le portrait. Beaucoup de ses subordonnés, en conflit apparent, oeuvrent en réalité de concert vers son but de domination mondiale. Il sacrifiera joyeusement bon nombre de ses plus loyaux supporteurs, si ça lui permet d’atteindre ses buts. En considérant la persécution des Juifs sous les auspices des Jésuites dans l’Allemagne nazie, il semblerait à l’observateur occasionnel que les Jésuites et les Juifs étaient aux antipodes. En fait, il y a un élément juif qui oeuvrait main dans la main avec les Jésuites durant l’holocauste nazi. Parce que le jésuitisme est fondé sur le Talmud et la Kabbale juifs, les Jésuites sont, en réalité, des crypto-Juifs. Ainsi donc, il n’était pas inhabituel pour ces crypto-Juifs de travailler étroitement avec des Juifs manifestes. Ces deux genres de Juifs suivent les doctrines qu’on retrouve dans le Talmud babylonien blasphématoire. Le talmudisme babylonien n’est rien d’autre que les enseignements et les traditions occultes babyloniennes ; le véritable dieu du Talmud babylonien est Satan.

À l’époque de Christ, le Talmud n’existait que sous forme orale, et Jésus S’y référa en tant que la tradition des scribes et des pharisiens. Cette première tradition orale s’appelle la Mishna. Ce n’est qu’après la crucifixion de Jésus que la Mishna fut produite par écrit. Les rabbins ajoutèrent plus tard des commentaires rabbiniques à la Mishna et que l’on appelle la Gemara.[6] Ensemble, ils composent le Talmud qui est actuellement une collection de livres. Il y a aujourd’hui deux textes talmudiques de base, le Talmud babylonien et le Talmud de Jérusalem. Le Talmud babylonien est considéré comme la version autorisée et a préséance sur le Talmud de Jérusalem.[7] Le Talmud babylonien se fonde sur les pratiques mystiques religieuses des Babyloniens qui furent assimilées par les rabbins juifs durant la captivité babylonienne, aux alentours de 600 avant J.C.. Les rabbins utilisaient alors ces traditions occultes à la place de la Parole de Dieu.

Chez les Juifs orthodoxes et hassidiques, le Talmud a autorité sur l’Ancien Testament même.[8] Il y a une secte de Juifs, les Karaïtes (caraïtes ou qaraïtes), qui adhère à l’autorité de l’Ancien Testament seulement. Les Karaïtes sont, historiquement, extrêmement haïs et persécutés sévèrement par le rabbinat juif orthodoxe et les hassidiques. Les Juifs d’Éthiopie n’adhèrent pas non plus au Talmud et, par conséquent, ils ne sont pas acceptés par les Juifs talmudiques.

À l’époque de Christ, les rabbins talmudiques, les scribes et les pharisiens, interpellaient et défiaient constamment Jésus. Et c’est eux qui complotèrent Sa crucifixion. Lisez ce que dit Jésus de ces Juifs talmudiques.

« Ils répondirent, et lui dirent : notre père c’est Abraham. Jésus leur dit : si vous étiez enfants d’Abraham, vous feriez les oeuvres d’Abraham. 40Mais maintenant vous tâchez à me faire mourir, moi qui suis un homme qui vous ai dit la vérité, laquelle j’ai ouïe de Dieu ; Abraham n’a point fait cela. 41Vous faites les actions de votre père. Et ils lui dirent : nous ne sommes pas nés d’un mauvais commerce ; nous avons un père qui est Dieu. 42Mais Jésus leur dit : si Dieu était votre Père, certes vous m’aimeriez : puisque je suis issu de Dieu, et que je viens de lui ; car je ne suis point venu de moi-même, mais c’est lui qui m’a envoyé. 43Pourquoi n’entendez-vous point mon langage ? c’est parce que vous ne pouvez pas écouter ma parole. 44Le père dont vous êtes issus c’est le démon, et vous voulez faire les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui. Toutes les fois qu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le père du mensonge. 45Mais pour moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez point. 46Qui est celui d’entre vous qui me reprendra de péché ? Et si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous point ? 47Celui qui est de Dieu, entend les paroles de Dieu ; mais vous ne les entendez point, parce que vous n’êtes point de Dieu » (Jean 8:39-47, VM).

Comme l’a dit Jésus, ce sont les enfants du diable. Ils se déguisent en homme religieux qui possèdent les oracles de Dieu, mais ils sont irréligieux, enseignant des doctrines d’homme au lieu de l’évangile de Dieu.

« Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent : 2Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. 3Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? 4Car Dieu a commandé, disant : honore ton père et ta mère. Et il a dit aussi : que celui qui maudira son père ou sa mère, meure de mort. 5Mais vous dites : quiconque aura dit à son père ou à sa mère : Tout don qui sera offert de par moi, sera à ton profit ; 6Encore qu’il n’honore pas son père, ou sa mère, il ne sera point coupable ; et ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. 7Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : 8Ce peuple s’approche de moi de sa bouche, et m’honore de ses lèvres ; mais leur cœur est fort éloigné de moi. 9Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes » (Matthieu 15:1-9, VM).

Dans Matthieu 23, Jésus emploie un langage encore plus fort pour décrire les Juifs talmudiques. Jésus les appelle serpents, vipères, conducteurs aveugles, sépulcres blanchis et hypocrites qui risquent d’être condamnés au feu de la géhenne.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin ; et vous laissez les choses les plus importantes de la Loi, c’est-à-dire, le jugement, la miséricorde et la fidélité ; il fallait faire ces choses-ci, et ne laisser point celles-là. 24Conducteurs aveugles, vous coulez le moucheron, et vous engloutissez le chameau. 25Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat ; mais le dedans est plein de rapine et d’intempérance. 26Pharisien aveugle, nettoie premièrement le dedans de la coupe et du plat, afin que le dehors aussi soit net. 27Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité. 29Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous bâtissez les tombeaux des Prophètes, et vous réparez les sépulcres des Justes ; 30Et vous dites : si nous avions été du temps de nos pères, nous n’aurions pas participé avec eux au meurtre des Prophètes. 31Ainsi vous êtes témoins contre vous-mêmes, que vous êtes les enfants de ceux qui ont fait mourir les Prophètes ; 32Et vous achevez de remplir la mesure de vos pères. 33Serpents, race de vipères ! comment éviterez-vous le supplice de la géhenne ? » (Matthieu 23:23-33, VM).

Pourquoi Jésus a-t-Il dit des choses pareilles concernant les pharisiens et les scribes ? Pour répondre à cela, nous devons d’abord examiner quelques-unes des traditions talmudiques qui s’étaient développées au cours des ans. Pour débuter, les Juifs talmudiques haïssaient les Gentils. Pour eux, les Gentils n’étaient que de vils animaux, impurs et sans droit légal à l’existence.[9] Par exemple :

Le Baba Mezia 114b déclare : « Les filles des Gentils sont en état d’impureté dès leur naissance et le mariage avec elles est prohibé. »

Baba Bathra 54b : « La propriété des Gentils est comme le désert ; elle appartient au premier qui le prendra. »

Sanhédrin 57a : « Si un Gentil vole un Juif, il doit lui rembourser. Mais si un Juif vole un Gentil, le Juif peut garder le butin. De la même manière, si un Gentil tue un Juif, on doit tuer le Gentil. Mais si un Juif tue un Gentil, le Juif sera libre. »

Baba Kamma 38a : « Les Gentils sont en dehors de la protection de la Loi d’Israël. »

Sanhédrin 52b : « L’adultère n’est pas défendu… avec la femme d’un Gentil, parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec “la femme de ton prochain”, et les Gentils ne sont pas des prochains. »

Le point de vue des Juifs talmudiques au sujet de la femme la considère comme un fardeau jetable.[10] Par exemple :

Menahoth 43b : « Un mâle juif devrait remercier Dieu de ne pas l’avoir fait femme ou Gentil. »

Baba Bathra 16b : « La naissance d’une fille est un événement malheureux. »

Aboth 1:5 : « Il n’est pas bon de parler à une femme, même sa propre épouse. »

Gittin 91a : « Il est permis de divorcer de son épouse si elle brûle le dîner, ou si tu vois une fille plus belle. »

Les abominables enseignements du Talmud dans le domaine sexuel sont d’une incompréhensible méchanceté. Le Talmud affiche une attitude permissive envers la pédophilie et la sodomie. Par exemple :

Sanhédrin 55b : « Il est permis d’avoir des relations sexuelles avec une fillette de trois ans et un jour. » Voir aussi Yebamoth 12a, 57b, 60b ; Abodah Zarah 37a et Kethuboth 39a.

Sanhédrin 54b : « Si un homme commet la sodomie avec un garçon de moins de neuf ans, ils ne sont pas coupables de sodomie. »

Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »

Kethoboth 11b : « Une relation sexuelle avec une fillette de moins de trois ans n’est rien. »

Le judaïsme talmudique démontre la plus intense des haines envers Jésus.[11] Même si certains Juifs essaieront de nier que le Talmud avance de telles choses, Benjamin Freedman, ancien Juif talmudique, déclare ceci : « Rien n’est plus vicieux et plus vil contre Jésus, les chrétiens et la foi chrétienne que le libellé blasphématoire que vous retrouvez entre les deux couverts des 63 livres du Talmud qui forme la base de la loi religieuse juive et sert de manuel de formation des rabbins. »[12] Par exemple :

Yebamoth 49b : « Jésus était un bâtard né dans l’adultère. »

Sanhédrin 106a & b : « Marie était une prostituée ; Jésus était un homme méchant. »

Shabbath 104b : « Jésus était un magicien et un imbécile. Marie était adultère. »

Sanhédrin 43a : « Jésus était coupable de sorcellerie et d’apostasie ; il méritait l’exécution. Les disciples de Jésus méritaient d’être tués. »

Gittin 56b : « Jésus a été envoyé en enfer où il est puni à faire bouillir des excréments pour s’être moqué des Rabbins. »

Le Talmud montre des sentiments similaires envers les chrétiens.[13] Par exemple :

Abodah Zarah 16b, 17a : « Les Juifs doivent se garder loin des chrétiens. Les chrétiens sont alliés avec l’Enfer, et le christianisme est pire que l’inceste. »

Abodah Zarah 17a : « Aller vers les prostituées, c’est comme devenir chrétien. »

Abodah Zarah 27b : « Il est interdit de se faire soigner par un chrétien. »

Sanhédrin 90a, 100b : « Ceux qui lisent les évangiles sont condamnés à l’Enfer. »

Sanhédrin 99a : « Quand le Messie va venir, il détruira les chrétiens. »

Shabbath 116a : « Les Évangiles sont le côté faux du papier vierge et le péché du papier vierge. Les Évangiles doivent être brûlés ; le Nouveau Testament est comme du papier vierge. »

De l’abondance du cœur la bouche parle, et les Juifs talmudiques ont un cœur méchant. Winston Churchill a dit ceci à leur propos :

« On serait porté à croire que l’Évangile du Christ et l’évangile de l’antichrist étaient destinés à provenir du même peuple ; et que cette race mystique et mystérieuse a été choisie pour les manifestations suprêmes, à la fois divine et diaboliques (…) Depuis l’époque de “Spartacus” Weishaupt à celle de Karl Marx, en passant par Trotski (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour l’anéantissement de la civilisation et la reconstruction de la société sur des bases arrêtées de développement, d’envieuse malveillance et d’impossible égalité, s’est sans cesse accrue. Elle a joué, comme l’a si bien démontré une écrivaine moderne, Mme Nesta Webster, une part définitivement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a servi de courant à tous les mouvements subversifs du dix-neuvième siècle ; et maintenant, à la fin, cette bande de personnalités extraordinaires, issue de la pègre des grandes villes d’Europe et d’Amérique, a agrippé le peuple russe par les cheveux et est devenue maîtresse presque incontestée de cet énorme empire. Nul besoin d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la provocation de la Révolution russe par ces personnages en majorité Juifs athées internationaux. C’en est certainement une très grande ; elle surpasse probablement toutes les autres. »[14]

Les pharisiens avaient aussi d’autres doctrines en marge du Talmud. Ces autres enseignements s’appelaient la Kabbale. La Kabbale était des traditions orales occultes qu’ils ne partageaient pas avec le peuple en général. La Kabbale est à la source des exercices spirituels des Jésuites. Les Jésuites sont les pharisiens des temps modernes.

Selon John Torell, dans la Kabbale juive, Dieu consiste en un être mâle et un être femelle. La partie mâle de Dieu (appelée En-Sof par les kabbalistes) se renferma en elle-même et créa un vide dans sa propre structure qui engendra un abîme sans fond (cet abîme est appelé kelipot par les kabbalistes). La Kabbale enseigne que la partie femelle de Dieu est tombée dans l’abîme et a pris la forme du « serpent sacré ». La Kabbale enseigne plus loin que le « serpent sacré » est entouré d’esprits mauvais et qu’il est tenté à tout instant. Le « serpent sacré » essaie de se libérer de l’abîme sans fond. Quand il y arrivera, il pourra entrer sur la terre en tant que « le messie ». Les kabbalistes professent que « le messie » n’apparaîtra sur terre que par une seule de deux manières. Une façon est que les Juifs kabbalistes détruisent tout le mal sur la terre et la rendent totalement bonne. L’alternative est que les Juifs kabbalistes détruisent tout ce qui est bon sur la terre et qu’ils la rendent totalement mauvaise.[15]

Les Juifs kabbalistes ont décidé qu’il était trop dur de rendre les choses bonnes et ils ont donc choisi l’alternative de détruire tout le bien et rendre le monde mauvais. Cette religion kabbalistique est fondée sur la mission du péché afin d’amener l’ascension de leur messie, le « serpent sacré », à sortir du puits sans fond et faire son apparition sur terre. Ces Juifs croient que ce n’est qu’en brisant les lois de Dieu qu’ils pourront servir leur dieu (qui est Satan). Ne croyez pas que ces Juifs ignorent le fait que Satan est le dieu de leur religion. Harold Wallace Rosenthal, assistant administratif du Sénateur américain de New York, Jacob K. Javits, déclara lors d’une interview donnée à Walter White : « La majorité des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer. »[16] Ces pharisiens des temps modernes vont très loin, non seulement dans leurs péchés, mais en entraînant les autres dans leurs péchés alors qu’ils servent leur dieu méchant, Satan. Jésus révéla leur nature quand Il dit aux pharisiens : « Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ! car vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et après qu’il l’est devenu, vous le rendez fils de la géhenne, deux fois plus que vous » (Matthieu 23:15, VM).

Le « rabbin » juif David Cooper le confirme, lui qui passa huit ans à étudier la kabbale dans la Vieille Cité de Jérusalem.

« La leçon est que même le cœur de Satan a une étincelle divine ; même le cœur du mal se languit d’être racheté. C’est important parce que nous apprenons que notre travail n’est pas de dresser un champ de bataille pour éradiquer le mal, mais de chercher son étincelle de sainteté. Notre tâche ne consiste pas à détruire, mais à construire. »[17]

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« L’enseignement mystique du Baal Shem Tov, toutefois, nous présente un nouveau paradigme. Il dit que le mal a une nature divine en son sein. Comme le décrit la Zohar, “Il n’y a pas de domaine de l’Autre Côté (le mal) qui soit entièrement dénué d’une parcelle de la lumière provenant du côté de la sainteté” [Zohar II:69a-b]. Plutôt que de le détruire, notre tâche est de l’élever. »[18]

Satan a sûrement un but dans la tête en construisant une doctrine religieuse aussi sinistre. Il en a un, et ce n’est rien de moins que la subjugation de tous les hommes sous le règne dictatorial de son antichrist ! Il utilise l’escalade du péché et du crime dans la société comme justification pour amener encore plus de règlements gouvernementaux et davantage de contrôle des masses. Comme l’explique Edmond Burke : Les hommes sont aptes à la liberté civile en exacte proportion de leur disposition à mettre des chaînes morales à leurs propres appétits. La société ne peut exister sans qu’un pouvoir de contrôle sur la volonté et les appétits ne soit installé en quelque part, et moins il y en a intérieurement, plus il y en a extérieurement. Il est ordonné, dans l’éternelle constitution des choses, que les hommes à l’esprit intempérant ne peuvent être libres. Leurs passions forgent leurs chaînes. »

Cette doctrine maligne promouvant et encourageant le péché se retrouve aussi dans le Talmud, où l’inceste, la fornication, l’adultère, etc., sont promus comme des vertus et quelque chose que l’on doit désirer. Il est difficile pour le monde des Gentils de saisir pleinement ce qui se passe dans cette infernale conspiration juive sans d’abord comprendre la nature du judaïsme kabbalistique. C’est une religion basée sur la promotion, la propagation et la perpétration du péché comme moyen de dominer le monde.[19] David Bay explique l’origine et le pouvoir derrière la kabbale :

« [L]es leaders religieux juifs n’étaient pas des Juifs de l’Alliance abrahamique traditionnelle, même s’ils lui rendait grand honneur du bout des lèvres ; les pharisiens du temps de Jésus étaient plutôt membres d’une société secrète appelée la Kabbale, ou Cabale. La Kabbale était tout aussi satanique et occulte que toutes celles ayant jamais existé. Satan contrôlait littéralement les pharisiens à l’époque où Jésus exerça Son ministère.

« Du fait que les pharisiens pratiquaient le satanisme de tout leur cœur, cela explique le mystère entourant le récit biblique du ministère et de la mort de Jésus. Par exemple, cela éclaircit l’intense haine envers Jésus dont étaient affligés les pharisiens, même face à Ses nombreux miracles incomparables. Cela expliquera aussi que “certaines” personnes, témoins du miracle de Lazare revenu à la vie, ne crurent pas. Comment pouvaient-elles ne pas croire ? Elles venaient d’assister à un miracle phénoménal ; un homme qu’elles connaissaient personnellement et qu’elles savaient bel et bien mort, avait été ressuscité devant elles par la puissance ahurissante de Jésus-Christ. Pourtant, plusieurs d’entre elles ne crurent point ; elles se dépêchèrent de rapporter aux pharisiens la résurrection de Lazare. Quelle fut la réaction de ces derniers ? Crurent-ils, alors ? Non, ils ressentirent un désir encore plus fort de tuer Jésus.

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« Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi se devaient-elles d’être secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine de renseignements, car elle pose le fondement d’une bonne compréhension de toutes les sociétés secrètes. Auteur chrétien, Alexander Hislop publia un livre intitulé Les Deux Babylones : le culte papal. Il déclara que les sociétés secrètes remontent au temps de Nemrod qui devint, après sa mort, le “premier des mortels déifiés” (page 32). Qui était Nemrod ? Quelques années à peine après le grand Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant s’éleva du sein de ce que l’on nomme aujourd’hui l’ancienne Babylone. Son nom était Nemrod, puissant guerrier, et, par sa présence formidable, il en imposait sur l’ancienne Babylone. Nemrod institua ouvertement un système satanique d’idolâtrie et beaucoup de gens s’assemblèrent autour de ce culte. À cette époque, le système religieux prédominant sur le monde était le culte rendu au Vrai Dieu Unique. Peu après que Nemrod eut établi sa religion “alternative”, fondée sur l’idolâtrie et la sorcellerie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et Dieu Tout-Puissant le motiva à écarter Nemrod. Sem l’attaqua par voie militaire, le défit, et le fit prisonnier. Sem exécuta Nemrod ainsi que bon nombre de ses prêtres et de ses disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nemrod fut dépecé en morceaux. Chacun de ces morceaux fut expédié de par tout le monde connu de l’époque afin de démontrer à tous que l’on ne tolérerait pas le culte à Satan par la sorcellerie et l’idolâtrie. Le monde en fut sauf de cette vague de mal.

« Cependant, l’épouse de Nemrod, Sémiramis, et quelques prêtres survivants joignirent leurs forces pour créer une religion secrète clandestine. Ils déifièrent Nemrod, créant ainsi une contrefaçon du Vrai Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destinés à se répandre sur toute la terre. Les enseignements de ces “Mystères”, comme on en vint à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes vers le même système de Nemrod de magie et d’idolâtrie que Sem avait anéanti avec tant de vigueur. Ce faux sentier était présenté de manière attrayante aux hommes à qui l’on promettait une connaissance cachée, en les séduisant par l’attrait qu’il y avait à garder cette connaissance secrète, et en les liant ensemble par de sévères serments ainsi que des signes et des poignées de main secrètes.

« C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2200 avant J.C.. Donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire humaine ; elles se sont avérées littéralement l’église de Satan dès le commencement. Elles s’opposaient de façon absolue à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et s’étaient engagées à le détruire. Cet engagement envers la destruction du système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent trompeusement amenés à penser qu’en réalité, ils accomplissaient le “bien”. Est-ce pour cela que Dieu a donné l’avertissement suivant, dans Ésaïe 5:20 : “Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal ; qui font des ténèbres la lumière, et de la lumière les ténèbres ; qui font l’amer doux, et le doux amer !” ? Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi qualifient le bien de Dieu de “mal” et le mal de Satan de “bien”.

« Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans l’ombre et le demeurer. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles avaient tenté d’installer publiquement leurs organisations, les autorités dirigeantes les auraient arrêtées immédiatement pour trahison et les gens qui règlent leur vie sur les préceptes du système établi par Dieu, auraient réclamé à grand cri leur arrestation et l’exécution de ces gens-là. Donc, leurs desseins et leurs activités devaient être réalisés dans le plus grand secret. En outre, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir irait en s’accroissant s’ils demeuraient absolument secrets.

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« Par le biais des sociétés secrètes, on préserva le système satanique babylonien. À partir de ce système surgira l’Antichrist qui essaiera d’anéantir le système de Dieu, comme le planifient les sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera envahi par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan. Nous en sommes aujourd’hui très près ; ne nous surprenons donc pas de ce que Dieu identifie, dans le livre de l’Apocalypse, le système de l’antichrist à “Mystère, Babylone” (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

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« Les membres des sociétés secrètes se sont toujours joints sur invitation, créant de cette manière une confrérie se considérant exclusive, séparée et supérieure au reste des gens de la société. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait un savoir temporel spirituel caché à n’être révélé qu’aux Initiés seulement, aux “Sages”, comme ils se qualifient eux-mêmes. Ces “Sages” croyaient que leurs Mystères étaient hors de la portée intellectuelle du peuple, de la “vulgaire” masse des gens. En effet, cette arrogance était tellement répandue chez les “Sages” de ces sociétés secrètes qu’ils entamèrent le processus d’enseigner des faussetés aux gens du peuple, se réservant le véritable savoir spirituel temporel pour eux seuls. Ces hommes différaient en cela des faux enseignants religieux tels que Mahomet et Bouddha, qui tentaient de partager leur savoir avec la masse. Les sociétés secrètes sont allées bien loin pour cacher la vérité aux gens du peuple.

Soyons clairs sur ce point : aucun adepte d’une société secrète ayant appris la vérité secrète ne put jamais révéler cette vérité aux gens du peuple. La punition pour pareille révélation était la mort, la plus extrême et douloureuse possible.

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« Étant donné que chaque membre apprenait de terribles informations, qu’il avait promis de tenir absolument secrètes vis-à-vis toute personne n’étant pas membre, les adeptes commencèrent à développer deux personnalités distinctes. L’une de ces personnalités était du domaine public et l’autre demeurait extrêmement secrète. L’art de la duperie, même auprès des membres de la famille, était rapidement assimilé. La personne extérieure que voyaient ses congénères, par ses paroles et ses actions, était fort différente de la personne intérieure.

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« Les sociétés secrètes professaient que l’Enseignement oral était aussi important et sacré que toute Parole écrite. Comme nous allons le voir dans un instant, quand nous allons étudier la société secrète juive des kabbalistes, cette emphase mise sur l’Enseignement oral s’avère un outil très important dans les mains de Satan. Souvenez-vous que Dieu a établi Ses Saintes Écritures en tant que Parole sacrée écrite. Il a répété à de nombreuses reprises que cette Parole écrite ne changerait jamais, qu’elle s’accomplirait en son entier et de manière absolue, et qu’elle durerait toute l’éternité. Étant donné que Satan travaille toujours dans le sens opposé de Dieu, ne soyons pas étonnés de voir qu’il mette autant l’accent sur l’enseignement oral. Aux confins des sociétés secrètes, l’enseignement oral sert le dessein critique consistant à garder secrets leur société et ses enseignements. L’enseignement oral est un outil de Satan.

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« Les sociétés secrètes professent que l’homme est foncièrement bon, qu’il n’a été corrompu que par son entourage physique et spirituel. Évidemment, cela contredit l’enseignement biblique clair et conséquent disant que l’homme est foncièrement mauvais.

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« Pratiquement toutes les sociétés secrètes enseignent qu’un jour, un Roi Rédempteur jaillira pour conduire le monde entier dans ce savoir caché. Ce n’est que lorsque tous les hommes seront initiés dans ces Mystères que le monde pourra vivre l’“Âge d’Or” pour lequel il est destiné. Cet enseignement est une contrefaçon de la Vérité de la Bible qui déclare, d’un bout à l’autre, que le Messie établira Son Royaume éternel. Ici, nous devons saisir un détail important : le Roi Rédempteur que les sociétés secrètes attendent diffère considérablement du Roi Rédempteur de la Bible, que nous savons être Jésus-Christ.

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« Retournons à l’histoire des sociétés secrètes, maintenant que nous avons installé le fondement de notre compréhension. À l’époque où Dieu fit sortir Israël de son esclavage d’Égypte (aux environs de 1500 avant J.C.), l’enseignement des sociétés secrètes du Proche-Orient existait depuis des centaines d’années. Dans les siècles précédant la naissance de Jésus, ce virus mortel commença à pénétrer chez les leaders religieux juifs. Ceux-ci entreprirent de tremper dans l’occultisme. On commença par épouser une tradition orale juive et secrète, distinctement séparée du Pentateuque écrit par Dieu. On créa deux systèmes d’enseignements juifs oraux, un public et l’autre secret. L’enseignement public traitait des affaires de la vie quotidienne, comme les lois sur l’achat et la vente ainsi que la traite de contrats, et ce qui constituait du travail le jour du sabbat ; cette loi pratique fut appelée le Talmud. Jésus Se répandit en invectives vis-à-vis de cette loi humaine imposée au peuple, parce que cela attachait trop étroitement les gens aux prêtres et que cela créait un standard frustrant que personne ne pouvait atteindre. Et ce standard ne provenait pas de Dieu ; il venait des hommes pour que les prêtres puissent contrôler le peuple.

« L’autre série d’enseignements oraux juifs était extrêmement hermétique et un classique dans ce genre de société secrète ; ces enseignements furent connus sous le nom de Kabbale. Un des livres constituant la kabbale était appelé le Sepher-Ha-Zohar, ou “Livre de la Lumière”. Ce livre était consacré aux écrits du rabbin Simon et de son fils, Éliézer, qui s’assirent dans une caverne tous les jours pendant 12 ans, enterrés de sable jusqu’au cou. Dans cette position physique surprenante, ils “méditèrent” sur la loi sacrée et reçurent la visite régulière du grand prophète Élie [Nesta Webster, Secret Societies, p. 8]. L’apôtre Paul frappa directement dans le mille quand il donna l’avertissement de 2 Corinthiens 11:14-15, disant que Satan et ses démons peuvent se transformer en anges de lumière et en ministres de justice afin de tromper l’homme crédule. Un des points communs des plus fréquents chez les fausses religions est que le texte original de leur révélation est donné au fondateur par un ange de lumière. Par exemple, Mahomet et Joseph Smith (le mormonisme) se virent donner leur “nouvelle” révélation par des anges de lumière.

« Donc, le sacerdoce juif se mit à tramer un plan pour amener tous les Juifs dans l’esclavage physique et spirituel en créant ce système dualiste du Talmud public et de la Kabbale secrète. Les préceptes du Talmud public enchaînèrent les gens par près de 1 000 règles sur la vie quotidienne et il commença à les éloigner de la vérité spirituelle que Dieu avait révélée à Moïse. Par conséquent, la première condition d’une société secrète fut remplie, celle de cacher aux gens la Vérité, en partie au moyen de confections extérieures pures et simples, et en partie en ajoutant des éléments aux lois mosaïques originales.

« Les enseignements secrets de la Kabbale étaient réellement sataniques. Certains écrivains ont admis qu’il s’agissait de doctrines au dessein “magique”. Un auteur critique de la Kabbale écrivit que ces enseignements “sont un poison subtil qui pénètre dans les veines du judaïsme et l’infecte entièrement” [Théodore Reinach, cité par Nesta Webster dans Secret Societies, p. 9]. Salomon Reinach qualifie la Kabbale de “l’une des pires aberrations que l’esprit humain ait conçu”. En outre, la Kabbale a influencé de manière significative les croyances et la direction de nombreuses sociétés secrètes européennes qui s’édifièrent dans les siècles qui suivirent. Cette influence fut si profonde que beaucoup de sociétés secrètes non juives ont littéralement revêtu un ton et un caractère juif.

« Puisque Satan est le “Seigneur de ce monde”, il a le pouvoir de faire prospérer ceux qui suivent son leadership. Ce fut l’appât servant à attirer les leaders religieux vers les propriétés mystiques et magiques inhérentes à la Kabbale. Et ne vous y trompez pas, ces leaders juifs prospérèrent abondamment. Même si Israël souffrait sous l’esclavage des dirigeants païens, comme la Grèce et Rome, les prêtres juifs gagnèrent une certaine autonomie qui leur permit de régner virtuellement en dictateurs sur leurs concitoyens juifs. Et les citoyens juifs du peuple ne comprenaient tout simplement pas que ces leaders religieux leur avaient imposé un système qui, simultanément, mettait un joug au cou des pauvres gens ordinaires pendant qu’ils se voyaient eux-mêmes élevés à des postes de pouvoir et de grand richesse. Et le gouffre d’incompréhension était si profond que le citoyen juif moyen portait encore beaucoup d’admiration et rendait honneur à ces leaders religieux qui l’affligeaient tant.

« Maintenant, examinons les pharisiens, dont la plupart étaient membres de la Kabbale, en utilisant les cinq caractéristiques communes que nous avons déjà vues. Nous allons également nous reporter à des passages pertinents du Nouveau Testament pour éclairer notre compréhension. Vous serez atterrés de constater le nouveau sens que prennent ces célèbres passages bibliques maintenant que vous comprenez que les pharisiens, qui concoctèrent et exécutèrent le plan servant à tuer Jésus, étaient membres de la société secrète dite de la Kabbale, et que vous comprenez que Jésus parlait directement à des membres de cette société secrète.

« 1. Les pharisiens démontraient un orgueil arrogant

« Matthieu 23:12-13 : “Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent.” Une des caractéristiques des sociétés secrètes, c’est qu’elles cachent au gens des vérités clés, spécialement la vérité disant comment obtenir le salut éternel ; elles garderont plutôt ces vérités pour elles comme moyen de pouvoir et de privilèges. Jésus parle franchement de cette terrible situation, dans Luc 11:52 : “Malheur à vous, Docteurs de la Loi ; parce qu’ayant enlevé la clef de la science, vous-mêmes n’êtes point entrés, et vous avez empêché ceux qui entraient.” Les enseignants et les docteurs connaissaient la vérité que Dieu avait déployée devant le peuple et qui démontrait comment être sauvé pour l’éternité et comment développer de l’amour pour Dieu. Pourtant, ils cachèrent cette vérité toute simple aux yeux du peuple, lui substituant l’épouvantable système suffoquant de règles de vie quotidienne contre lequel S’objecta si vivement Jésus. Cette damnée société secrète de pharisiens envoyait littéralement des populations entières de Juifs dans la géhenne parce qu’elle leur dissimulait la vérité. Voilà pourquoi Jésus S’irrita si vigoureusement de leur conduite. Voyez-vous, Satan avait convaincu ces pharisiens que, de toute manière, tous les Juifs allaient au ciel, simplement parce qu’ils étaient Juifs ; par conséquent, ils pensaient que ce que les Juifs croyaient n’avait pas d’incidence éternelle. Ainsi, par cette supercherie spirituelle, les pharisiens resserraient plus fermement leur pouvoir et leur prestige terrestres.

« 2. Les pharisiens développèrent une double personnalité

« Matthieu 23:27-28 : “Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.” Ici, Jésus parle sans ambages de cette double personnalité des membres d’une société secrète. Les pharisiens avaient habilement et efficacement caché l’existence de leurs croyances sataniques à leurs sujets, mais ne pouvaient les cacher aux Yeux omniscients du Dieu Jésus.

« 3. Les pharisiens élaborèrent de complexes systèmes d’enseignement oral et ils incitèrent le peuple juif à les révérer

« Matthieu 15:1-9 : “Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent: Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens [Talmud] ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? (…) ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : (…) ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes.”

« Jésus S’attaqua clairement et avec vigueur au mal que la société secrète des pharisiens perpétrait contre le peuple juif, celui de créer une tradition orale censément égale à l’enseignement écrit de Dieu et, en fait, en flagrante contradiction avec Sa Parole écrite. Les gens ne comprenaient pas comment ils avaient pu être trompés parce que, chez le peuple, on ne possédait pas la Parole de Dieu. Ce sont les pharisiens qui avaient les rouleaux de la Parole, et ils les gardaient pour eux. Nous vous encourageons à lire soigneusement Matthieu 15:1 à 20, avec dans l’idée que Jésus y parle d’abord contre les enseignements et les pratiques de sociétés secrètes sataniques. D’une fois à l’autre, Jésus déclare que les pharisiens iront dans le feu de la géhenne. Il ne mâche pas Ses mots. À deux occasions, Jésus qualifie les pharisiens de “vipères”, que le Dictionnaire de la Bible du Dr William Smith donne comme synonyme de “Serpent”. Nous savons que la Bible utilise régulièrement le Serpent comme l’un des noms de Satan. Mais Jésus ne laisse aucune place à l’erreur quant à ce sujet, ne voulant pas que l’on passe à côté de la leçon démontrant que les pharisiens n’étaient pas de simples pécheurs. Dans Jean 8:44, Jésus dit que le père des pharisiens, “c’est le diable”. Jésus n’a jamais dit cela d’une autre personne ou d’un autre groupe de personnes. Il était très compatissant à l’endroit des pécheurs ; la raison pour laquelle Jésus se montra aussi sévère envers les pharisiens était qu’Il savait qu’ils adoraient Satan de par leur participation à la société secrète de la Kabbale.

« 4. Les pharisiens croyaient que l’homme est foncièrement bon

« Du fait que les pharisiens croyaient que l’homme, intrinsèquement, est bon, ils développèrent un système de salut fondé sur les œuvres. Ce système d’œuvres devait s’appeler plus tard le Talmud ; néanmoins, Jésus préférait S’y référer en tant que la “Tradition des hommes”. La Bible enseigne clairement, toutefois, que l’homme est foncièrement méchant ; par conséquent, il n’y a absolument aucun moyen pour que l’homme puisse faire assez de bonnes œuvres capables d’expier complètement sa méchanceté. Chaque fois que Jésus Se répandait en invectives contre cette “tradition des hommes”, Il parlait de ce fameux enseignement religieux voulant que le salut s’obtienne par de bonnes œuvres. À toutes les fois que vous voyez Jésus dire : “Vous dites… mais je vous dis…”, Il aborde habituellement cette question des œuvres en rapport avec le salut.

« 5. Les pharisiens recherchaient le Roi/Rédempteur promis

« Les érudits du paganisme et les érudits du vrai judaïsme attendaient que se lève un Roi Messie pour conduire l’humanité vers une nouvelle lumière et une nouvelle prospérité matérielle. Cependant, les païens des sociétés secrètes étaient à la recherche d’un Rédempteur promis fort différent de Celui qu’enseigne la Bible. Or, maintenant que nous savons que les pharisiens, qui s’opposèrent si fortement à Jésus-Christ, voulant tellement Le voir mort, et qui affichèrent une haine aussi surnaturelle envers Lui, étaient donc membres d’une société secrète, la Kabbale juive, nous sommes de la sorte prêts pour une révélation encore plus bouleversante.

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« [Bon nombre de gens entretiennent la mauvaise conception que] les sociétés secrètes ne sont que de simples organisations sociales qui exécutent des activités caritatives. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Rappelez-vous des mises en garde de Jésus afin de ne pas se laisser séduire, dans Matthieu 24:4-5, 11 et 24. Au verset 24, Jésus évalua ce type de séduction : “Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes, qui feront de grands prodiges et des miracles, pour séduire même les élus, s’il était possible.” Cette séduction prophétisée sera si sophistiquée et si crédible qu’elle trompera virtuellement tout le monde sur terre qui ne sera pas sauvé. Tel est le cas de toutes les sociétés secrètes. Elles ont l’habitude de séduire, spécialement leurs propres membres. Albert Pike, dans son bouquin Morals and Dogma, déclare qu’il leur est indispensable de séduire leurs propres membres jusqu’au moment où l’on peut déterminer qu’ils sont prêts à recevoir la “vérité”.

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« La Franc-maçonnerie provient de Satan, peu importe toutes leurs protestations affirmant le contraire. C’est d’ailleurs vrai de toutes les sociétés secrètes, quelque soit le nom qu’elles se donnent.

« [L]es pharisiens, qui haïssaient tellement Jésus-Christ qu’ils complotèrent Sa mort sur la Croix, étaient membres d’une société secrète juive appelée Kabbale. Une fois que nous comprenons ce fait, nous pouvons plus facilement saisir de nombreuses choses contre lesquelles Il parla. Nous pouvons aussi comprendre de manière plus complète pourquoi la haine des pharisiens semblait surnaturelle et leur cœur aussi dur, même face à l’exécution des miracles les plus incroyables.

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« Les membres de sociétés secrètes exécraient le citoyen moyen. Ils essayèrent délibérément de les éconduire spirituellement, et ils érigèrent des barrières sociales afin de séparer les masses des membres des sociétés. Donc, lorsque Jésus commença à S’associer aux gens du peuple, et spécialement avec les plus pécheurs d’entre eux, les pharisiens savaient dès lors que Jésus ne pouvait être leur Rédempteur promis (…) Les pharisiens avaient soigneusement détourné les gens du peuple par la création de leur Talmud. Les restrictions de vie quotidiennes de la loi talmudique étaient limitatives au point d’attacher les gens par un esclavage absolu aux pharisiens. Le Talmud avait également celé la Vérité divine contenue dans les livres de Moïse. Et Jésus réagit de façon dramatique à cette “Tradition des hommes”, la condamnant par des termes extrêmement puissants. Les pharisiens contre-attaquèrent en complotant pour Le tuer.

« [Les pharisiens] croyaient que leur Rédempteur promis serait capable de miracles et de guérisons extraordinaires parce que ce serait un Adepte qui aurait accès au pouvoir inhérent contenu au sein de la société secrète. Puisque nous commençons à explorer ce sujet particulier, s’il vous plaît, soyez très attentif, parce que nous traitons ici d’un sujet des plus explosifs.  Lorsque Jésus commença à valider Son ministère par le biais de nombreux miracles de guérisons et d’exorcismes, les pharisiens ne furent pas surpris. Il y a beaucoup de puissance dans la pratique de l’occultisme parce que Satan est réellement surnaturel. Certains pharisiens avaient été capables de reproduire plusieurs des exploits qu’accomplissait Jésus parce qu’ils avaient accès au pouvoir des démons. Par conséquent, lorsque Jésus accomplit les miracles que les pharisiens occultes avaient été capables de faire, ils attribuèrent tout simplement le pouvoir de Jésus à l’occultisme. Quand Jésus réalisait un miracle plus grand que ce que les pharisiens avaient été capables de faire, ils n’attribuaient ces miracles qu’au fait qu’ils croyaient que Jésus était, encore plus qu’eux, Adepte de l’Occultisme.

« Nous tirons cette croyance pharisaïque de Matthieu 12:22-37. Jésus venait de chasser un démon d’un homme et les pharisiens verbalisèrent la croyance de leur société secrète, comme il est écrit au verset 24 : “…celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.” La réaction de Jésus fut immédiate et sur deux fronts.

« Premièrement, Jésus posa une question évidente : s’Il chassait les démons par la puissance de l’occultisme, alors par quel pouvoir les pharisiens étaient-ils capables, eux, de chasser les démons ? Voyez-vous, chasser les démons s’est avéré une façon très populaire et facile pour convaincre la moyenne des gens que l’on est véritablement juste et rempli du Saint-Esprit. Toutefois, les pharisiens savaient que leur pouvoir de chasser les démons provenait… des démons !

« Deuxièmement, Jésus émit la déclaration la plus effrayante jamais proférée dans toute l’histoire : “tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné … il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir.” (Matthieu 12:31-32, VM). La révélation que Jésus avait créé un nouveau péché s’avérant impardonnable était incroyable. Jamais dans l’Ancien Testament Dieu avait-Il donné le moindre indice de l’existence d’un péché impardonnable. Mais Jésus le créa ici. Le Péché Impardonnable, c’est tout simplement d’attribuer à Satan ou à l’un de ses démons le pouvoir de Jésus d’accomplir Ses miracles. Lorsqu’une personne affirme cela, elle nie le pouvoir et l’œuvre du Saint-Esprit. C’est le seul péché que Dieu ne pardonnera jamais. En outre, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit arrêtera d’œuvrer dans sa vie en essayant de le convaincre de péché, et de l’amener à la repentance. Donc, Satan a libre accès à l’âme de cette personne afin de faire ce qu’il veut d’elle. Satan peut alors commencer à endurcir le cœur de cette personne jusqu’à un point monstrueux.

[N. du T. : Nous traduisons tout le texte du document en rapport avec cette vision de M. David Bay de Cutting Edge concernant le Péché Impardonnable afin que vous soyez au courant de ce qu’on peut imaginer à ce propos. Après cet extrait, nous vous proposerons ce que nous, de Mission : Moisson des Élus, avons vu dans la Bible. Cela est passablement différent. Mais nous croyons préférable que le lecteur puisse se faire lui-même une idée de ce que la Bible dit. L’intention n’est pas de discréditer ce qu’un autre chrétien a comme croyance pour le simple plaisir de critiquer. Mais nous comprenons, et sans aucun doute le lecteur également, que chacun ne peut avoir toute la vérité dans son entier. MM. Bay et Henrie possèdent une bonne connaissance dans de nombreux domaines, mais parfois, ils professent des doctrines qui ne sont pas vraiment en accord avec la Bible. Il en est de même chez un peu tous les chrétiens. Au lecteur de juger.]

« Il n’y a absolument aucune preuve que les pharisiens aient cessé de lancer cette affirmation une fois que Jésus les eut avertis que ce péché est impardonnable. En fait, leur activité déplorable à la croix indique fortement qu’ils croyaient toujours à ce mensonge et le propageaient. Alors que Jésus étaient en train de mourir, les pharisiens se moquaient de Lui parce qu’Il ne descendait pas de la croix en déployant une grande puissance pour Se sauver. Ils croyaient encore que Jésus ne possédait pas de pouvoir inhérent, ou qu’Il n’avait de pouvoir que lorsqu’Il pouvait y avoir accès de façon appropriée par l’occultisme. Comme Il ne descendit pas de la croix, les pharisiens se trouvèrent affermis dans leur croyance. Ils pensaient donc avoir accompli leur devoir en tant que gardiens du serment de leur société secrète de ne pas révéler les secrets aux non-membres. Vu qu’ils croyaient que Jésus était Lui-même membre d’une société secrète, ils étaient convaincus qu’Il méritait une mort douloureuse et atroce, tel qu’exigé par les serments des sociétés secrètes. Les pharisiens n’avaient fait que leur devoir.

« Nous voulons conclure par les répercussions épouvantables qu’a cette croyance des pharisiens aujourd’hui. Quand ils présentèrent l’idée que Jésus ne pouvait accomplir Ses nombreux miracles qu’en tant qu’Adepte d’une société secrète, Jésus déclara qu’ils étaient coupables du péché impardonnable. On penserait que cet avertissement rendrait quiconque très attentif à ne pas répéter pareille déclaration, parce que sa propre âme sera irrémédiablement perdue. Malheureusement, tel n’est pas le cas. Nesta Webster, dans son livre Secret Societies and Subversive Movements (Sociétés secrètes et mouvements subversifs), rend compte, à la page 92, qu’un certain groupe, appelé les “Gnostiques Carpocratiens”, soutenait ce point de vue. En outre cette croyance s’affiche comme en filigrane “dans toutes les sociétés secrètes jusqu’à nos jours”. [Par exemple, Albert Pike, le Souverain Pontife des Doctrines de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, a dit que “Lucifer, le Dieu de Lumière et le Dieu du Bien, luttait pour l’humanité contre Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal.”[20] Adonaï est le mot hébreux de l’Ancien Testament pour désigner Dieu. Non seulement Pike admet-il que Lucifer est le dieu de la Franc-maçonnerie, mais encore blasphème-t-il Dieu en L’appelant “le Dieu des Ténèbres et du Mal”. Il est intéressant de constater que, en 1843, le B’nai B’rith fut formé comme le rejeton juif de la Franc-maçonnerie du Rite écossais.[21] La Ligue Anti-Diffamation fut créée en 1914 en tant que sous-loge et bras exécutif de la B’nai B’rith juive kabbalistique.[22]]

« En d’autres termes, les membres des sociétés secrètes commettent le péché impardonnable depuis l’avertissement de Jésus enregistré dans Matthieu 12:24. La liste des organisations coupables comprend des sociétés très bien connues telles que les Sociétés La Fraternité de la Mort, les Rose-croix et la Franc-maçonnerie. Comme nous l’avons déjà rapporté ailleurs, la Société de la Fraternité de la Mort est une organisation détachée qui se répand dans le monde. Il y a deux Sociétés très connues de la Fraternité de la Mort, une en Allemagne et l’autre aux États-Unis. Celle de l’Allemagne s’appelle le Groupe de Thulé ; Adolf Hitler en était membre. Si nous acceptons de croire qu’Hitler a commis le péché impardonnable lorsqu’il fut formé en tant qu’Adepte de cette société secrète, nous pouvons comprendre comment il a pu perpétrer des actes de vengeance d’une pareille monstruosité sur le monde durant la Deuxième Guerre Mondiale. Nous pouvons facilement saisir pourquoi son esprit s’était tellement endurci et saturé de haine contre les Juifs d’abord et les chrétiens ensuite. Beaucoup des fonctionnaires gouvernementaux d’Hitler faisaient également partie du Groupe de Thulé, donc, ils furent coupables du péché impardonnable. Comme nous l’avons préalablement déclaré, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit cesse d’œuvrer dans son cœur et son esprit pour le convaincre de péché et l’amener au repentir. Cette personne n’a plus de conscience. Elle peut s’endurcir le cœur et l’esprit au point qu’elle peut être grandement utilisée par Satan sans en ressentir le moindre remord ou avoir le plus petit sentiment de culpabilité.

« La Société de la Fraternité de la Mort, aux Etats-Unis, se nomme Skull and Bones (Crâne et Os), Société secrète de l’Université de Yale, à New Haven, au Connecticut. Sa structure de croyances est identique à celle du Groupe de Thulé. Nous pouvons donc en conclure que les hommes du Skull& Bones affirment la même croyance vis-à-vis de Jésus-Christ, ce qui les condamne au péché impardonnable. La liste de quelques-unes des familles composant les Skull & Bones a de quoi faire peur, car elle démontre immédiatement l’étendue de l’influence que cette organisme satanique exerce en Amérique. Rappelez-vous que les hommes de cette famille ont probablement commis le péché impardonnable. [Cité d’Anton Sutton, America’s Secret Establishment (l’établissement secret de l’Amérique), p. 22].

« La famille Rockefeller (pétrole), la famille Weyerhaeuser (coupe de bois), la famille Sloane (commerce au détail), la famille Pillsbury (farine moulue), la famille J. P. Morgan (banque), la famille Taft (politique), la famille Bush, y compris l’ancien président George Bush. Attendez un instant, direz-vous, George Bush aurait probablement commis le péché impardonnable parce qu’il est membre des Skull & Bones ? Oui. Vous voyez maintenant comme il était facile pour Bush de conduire la charge vers un Nouvel Ordre Mondial satanique. Vous pouvez comprendre que Bush était en son for intérieur très différent de la surface créée par les médias.[23]

[N. du T. : Comme nous vous l’avions mentionné, plusieurs éléments de l’extrait des articles de David Bay, de Cuttingedge, nous font croire à une mauvaise compréhension de sa part en ce qui a trait au Péché Impardonnable. Contrairement à ce qu’il semble penser, le péché impardonnable est commis par une personne qui est préalablement habitée par l’Esprit-Saint. C’est l’apôtre Paul lui-même qui nous en fait la description détaillée. Mais, étant donné qu’il ne spécifie pas « péché impardonnable », l’expression n’apparaissant pas comme telle dans la Bible, beaucoup de gens passent par-dessus ces passages sans comprendre de quoi il s’agit. Nous vous suggérons donc la lecture d’un article du rédacteur principal de Mission : Moisson des Élus, Joseph Sakala, qu’il a intitulé Le Péché Impardonnable.

Nous voyons que, sans l’Esprit, il est impossible de comprendre les choses spirituelles, car on ne bénéficie alors que de l’esprit humain dans l’homme, qui ne peut pas se soumettre à Dieu. Comment pourrait-on ainsi faire, d’une manière éclairée, un choix de vie aux conséquences éternelles ? C’est impossible, Dieu le sait mieux que nous.

Ainsi, la nature humaine des pharisiens ne pouvait aller vers le vrai Dieu. Ils avaient été élevés dans une manière de vivre qui les empêchait de se repentir. Le salut par Jésus-Christ leur apparaissait comme un sacrilège, car ils n’en connaissaient pas la nature. Ils croyaient rendre un culte à Dieu en reniant Jésus. Il est évident que l’Esprit ne travaillait pas avec eux, contrairement à ce qu’avance M. David Bay. Pourtant, il reconnaît que la nature de l’homme est foncièrement mauvaise. Jésus a dit que nul ne pouvait venir à Dieu si le Père ne l’appelait. Il ne faut pas s’attendre à ce que les pharisiens aient été capables de comprendre Christ et d’aller d’eux-mêmes au Père.

Si Paul a pu être si torturé par les désirs de sa nature charnelle (Romains 7:14-15), lui qui possédait le Saint-Esprit et était un grand apôtre, que dire des pharisiens qui ne possédaient que leur nature humaine !

Dieu ne condamnera jamais quelqu’un qui rejette son salut par ignorance ! Les pharisiens du temps de Jésus, comme leurs descendants modernes, ne connaissaient pas le chemin du salut ! Ils étaient plutôt convaincus d’être déjà sauvés du fait même qu’ils étaient Juifs (un salut par la race) ; par conséquent, le vrai chemin du salut leur était inconnu.

Rappelons la promesse de Jésus faite à deux Églises d’Apocalypse qu’Il leur donnerait des gens de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs mais n’en sont pas : « Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9). « Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime » (Apocalypse 3:9). Certains Juifs hassidiques se sont repentis ! Ils ont donc reçu le Saint-Esprit et cela contredit M. Bay qui pense qu’ils ont nécessairement commis le péché impardonnable ! Tous les anciens membres des sociétés secrètes qui sont aujourd’hui convertis viennent contredire la théorie de M. Bay.

Jésus a dit, dans Matthieu 23:12-13 : « Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé. 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent. » Les pharisiens n’entrent pas dans la Royaume de Dieu qui est réservé aux Élus de la première Résurrection. Cela s’applique à eux au même titre qu’aux prêtres et aux pasteurs qui, quoique souvent bien intentionnés, enseignaient un faux salut. Rien à voir avec le péché impardonnable. C’est le résultat de l’ignorance : « Mon peuple est détruit, faute de connaissance » (Osée 4:6, VO).

Les pharisiens croyaient au salut par les œuvres, ils ne connaissaient donc pas le vrai salut. Leur accoler l’intention d’empêcher les gens d’entrer dans le salut parce qu’ils connaissaient le salut, mais ne voulaient pas y entrer, entre en contradiction avec les autres Écritures et la connaissance que nous avons des croyances des pharisiens et de tous les juifs hassidiques et orthodoxes en général. On se méprend donc sur les paroles de Jésus, comme c’est trop souvent le cas.

Il faut se montrer prudent quand vient le moment d’interpréter les paroles de Jésus à l’endroit des pharisiens en croyant qu’Il les avait déjà condamnés à la seconde mort. Il leur avait certes parlé fortement, mais n’avait-Il pas également employé un langage très fort vis-à-vis Pierre lui-même en le traitant de Satan ! Voir Marc 8:33 et Luc 4:8. Or, Pierre a obtenu le salut subséquemment, quand il a reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte. Mettons donc les choses en perspective. Comme exemple du fait qu’il faut que Dieu fasse un miracle pour qu’un pharisien, un Juif talmudique ou un membre de société secrète comprenne l’appel de Dieu, voyez ce que le Seigneur a dû produire dans le cœur du pharisien Saul pour en faire son apôtre des Gentils, Paul.

Le passage de Matthieu 12:31-32 : « C’est pourquoi je vous dis, que tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné. 32Et si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais si quelqu’un a parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir, » ne démontre pas que les pharisiens blasphémaient contre l’Esprit, ils blasphémaient contre Jésus. C’est de cela qu’Il les accuse. On a tort d’attribuer la dernière partie de chacun de ces passages aux pharisiens, alors qu’en fait, ils transgressaient la première partie de l’énoncé de Jésus. Les pharisiens ne savaient probablement pas qu’il y eut même un Saint-Esprit et Jésus les mit au courant. Ces passages démontrent, bien sûr, ce que les pharisiens pensaient de Jésus. Cependant, le fait d’attribuer Ses miracles à l’occultisme n’était pas le péché impardonnable contre le Saint-Esprit, mais plutôt une incompréhension de ce qu’était Jésus. N’oublions pas leur conception tordue de Dieu et du Serpent. Ils blasphémaient peut-être contre Jésus, mais Celui-ci leur montra qu’Il pouvait leur pardonner. D’ailleurs, certains pharisiens et docteurs de la loi ne Lui étaient pas aussi hostiles que d’autres. Nicodème en est un exemple frappant (Jean 3). Au verset 3, il démontre l’ignorance des pharisiens vis-à-vis Jésus en L’assimilant à un docteur venu de Dieu plutôt qu’au Fils de Dieu. S’il avait eu le Saint-Esprit et l’avait ensuite rejeté, il aurait quand même su que Jésus est le Fils de Dieu. Les démons le savaient, eux. Pour commettre le péché impardonnable, il faut avoir eu le Saint-Esprit et avoir parfaitement su qui est Jésus pour rejeter Son sacrifice (Hébreux 10:26-29 ; 6:4-6).

En outre, l’attitude des pharisiens devant la croix n’a rien à voir avec le rejet du Saint-Esprit. Ce n’était qu’une négation ignorante de Jésus-Christ. Des millions de gens ont fait la même chose et la Bible ne dit pas pour autant qu’ils subiront la seconde mort. Il existe, en rapport avec ce sujet important, une grande confusion et une profonde incompréhension du péché impardonnable, du salut versus la condamnation et des Résurrections. Ce sont des doctrines essentielles et fondamentales dont il faut être sûrs avant de lancer des condamnations au caractère irrémédiable sur certaines catégories de gens, à l’image de la papauté qui lançait de pathétiques anathèmes à tort et à travers.

Ensuite, pour commettre des atrocités comme Hitler, il n’est pas besoin d’avoir préalablement commis le péché impardonnable, il suffit d’être un homme de chair et de sang et d’avoir une éducation en conséquence. Prenez l’exemple des hommes ordinaires qui ne font partie d’aucune société secrète, mais qui commettent l’inceste et la pédophilie au sein de leur propre famille. Les journaux en sont pleins ! Ont-ils commis le péché impardonnable ? Pourtant, qu’ont leurs péchés de moins abominables que ceux d’Hitler ? La Bible ne dit-elle pas que chaque pécheur est responsable pour son propre compte du sacrifice de Jésus sur la croix ? Prenons en compte que les Juifs orthodoxes et hassidiques, ceux-là mêmes que l’on dit talmudiques kabbalistes, sont élevés dès leur naissance à croire des mensonges qui nous apparaissent aberrants et incroyables. Mais pour eux… c’est la vérité ! Qui croit à un mensonge en sachant que c’est un mensonge ? Même Satan ne croit certainement pas aux mensonges qu’il profère consciemment. Or, il croit, cependant, au pire mensonge qui ait été proféré, i.e., qu’il est supérieur à Dieu, son Créateur. Pourquoi ? Parce qu’il est convaincu que c’est la vérité ! Sinon, il ne déploierait pas autant d’efforts. Le même principe s’applique aux pharisiens, au Juifs talmudiques et à tous les membres des sociétés secrètes. Ils croient réellement aux mensonges qu’ils prennent pour des perles de lumières et de connaissance. Pourquoi ? Parce que l’Esprit-Saint n’a jamais travaillé avec eux pour les conduire dans la vérité ! Il est faux de croire que l’Esprit, depuis la Pentecôte, tente de convaincre tout le monde de péché ! Il ne travaille qu’avec les Élus de la première Résurrection. D’autres articles de notre site expliquent plus en profondeur ces doctrines fondamentales.

Sur la base de ces fondements, il devient plus facile de comprendre l’attitude de Jésus, des pharisiens et des membres des diverses sociétés secrètes à travers le temps. Cela nous ramène à la même conclusion que Jésus : Satan est le père du mensonge et il a englobé l’humanité dans un tissu serré de mensonges séducteurs. Maintenant, revenons à notre sujet avec Edward Hendrie.]

De nombreux Juifs talmudiques se convertirent au catholicisme romain dans le but d’utiliser l’Église de Rome à leur profit. Weishaupt, le supposé fondateur des Illuminati, explique : « Car une grande partie de notre force repose sur la dissimulation. Pour ce faire, nous devons toujours nous couvrir du nom d’une autre société. Les loges se trouvant dans la Franc-maçonnerie sont, dans l’intervalle, le plus convenable des manteaux pour la poursuite de notre dessein (…) En ce qui concerne les Ordres spirituels de l’Église romaine, la religion ne fut, hélas ! qu’un prétexte afin que notre Ordre puisse, d’une manière plus noble, se cacher derrière une société savante ou quelque chose du genre. »[24]

Vous remarquerez que la stratégie employée par les Illuminati de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les Juifs talmudiques. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les Juifs talmudiques disent, comme les Illuminati, s’être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d’un « Nouvel Ordre Mondial ». « Par qui ou par quoi pourrait être détrôné un pouvoir invisible ? Or, c’est là justement ce qu’est notre Gouvernement. La Loge maçonnique joue, inconsciemment, dans le monde entier, le rôle d’un masque qui cache notre but. Mais l’usage que nous allons faire de ce pouvoir dans notre plan d’action, et jusque dans nos quartiers généraux, reste à jamais ignoré du monde en général. »[25] Les Juifs talmudistes sont sionistes. La stratégie employée par ces Juifs sionistes, les Illuminati et les Jésuites est la même parce que les Illuminati, les Jésuites et les Juifs sionistes partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes.

Qui fut derrière la création des Illuminati ? Comme nous l’avons préalablement expliqué, les Illuminati ont, en effet, précédé les Jésuites. Leur établissement, en 1776, ne fut que la reconstitution de la Kabbale occulte juive qui prospérait sous les Jésuites. Les Illuminati furent reconstitués par Lorenzo Ricco, alors Général Jésuite en 1776. Qui utilisa-t-il comme représentant des Illuminati ? Nul autre que le Juif Adam Weishaupt, formé chez les Jésuites, converti catholique et disciple de Lorenzo Ricco. Il était professeur de loi canonique à l’Université jésuite d’Ingolstadt, alors centre de la contre-réforme jésuitique.[26] Plusieurs affirment que Weishaupt était un « ancien » Jésuite. Il est plus probable qu’il était Jésuite et que son statut « d’ancien » Jésuite fut conçu afin que dissimuler l’implication jésuite chez les Illuminati. Weishaupt est né le 6 février 1748, à Ingolstadt. Ses parents étaient crypto-Juifs. Il fut éduqué dans l’ordre des Jésuites où on l’exposa à l’organisation des Jésuites et à leur agenda politique. Weishaupt était un de ces Juifs qui, dès leur jeune âge apprennent à accorder leur allégeance secrète au Talmud et à la Kabbale, mais c’était extérieurement un tout dévoué catholique romain.[27]

Les Jésuites, venant tout juste d’être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminati, ce qui s’avérait une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild. Meyer Amschel, chef de la Maison des Rothschild, était un Juif allemand éduqué chez les rabbins, et prit plus tard le nom de Rothschild.[28] Amschel utilisa son immense fortune pour consolider les efforts révolutionnaires des Illuminati, dont, entre autres, la Révolution française. Un autre homme ayant contribué à l’établissement des Illuminati se nommait Jakob Frank, Juif polonais. Son nom de famille était originalement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d’Offenbach et c’était un leader de la Kabbale juive secrète de l’époque.[29]

Les Jésuites assassinèrent le pape Clément XIV et, par les Illuminati, pillèrent ensuite le Vatican, s’emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde. Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les Jésuites furent restaurés en tant qu’Ordre catholique par le pape Pie VII.[30] Les Jésuites furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L’on doit comprendre que les Jésuites ne se fusionnent pas, ils absorbent. Comme le Vatican qui l’apprit à la dure école, tous ceux qui s’allient aux Jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort, desquelles il n’y a aucune délivrance, sauf par le pouvoir de Dieu Tout-Puissant. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L’influence des Juifs, par l’intermédiaire des Jésuites au sein de l’Église catholique romaine, s’est manifestée dès le début dans la doctrine catholique. Le Concile de Trente fut orchestré par les Jésuites qui, d’anathème en anathème, attaquèrent la doctrine chrétienne. Le contrôle des Juifs sur le Vatican est si complet que le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Certains ont interprété le document comme reniant le rôle rédempteur de Jésus. Comme l’expliquent des chapitres précédents de ce livre, l’Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Rien de surprenant à ce que cette doctrine judéo-catholique eut été rédigée par un Jésuite du nom de Albert Vanhoye.[31]

Dans l’ancienne Palestine, les Juifs travaillèrent main dans la main avec les Romains pour crucifier le Christ. Aujourd’hui, les Juifs oeuvrent main dans la main avec l’Église catholique romaine dans leur effort commun pour diriger le monde. Dans Apocalypse 17:5, la grande prostituée est l’Église catholique romaine qui porte un nom sur le front, MYSTÈRE, BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES IMPUDIQUES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE. Notez que si elle est un mystère, elle est aussi étiquetée Babylone. Si elle est appelée Babylone, c’est qu’elle est babylonienne. Elle est un mystère parce que c’est une religion démoniaque antichrist qui est sortie de la Babylone païenne déguisée comme « la » religion chrétienne. L’étampe du christianisme a été apposée sur le paganisme babylonien pour qu’il se présente comme la religion à mystères que nous connaissons sous le nom d’Église catholique romaine. Les Juifs talmudiques et le Vatican partagent tous deux la même racine commune babylonienne. Les Jésuites entretinrent la Kabbale babylonienne dans la doctrine catholique romaine et favorisèrent aussi la Kabbale dans la Franc-maçonnerie. En 1754, les premiers 25 degrés du Rite écossais de la Franc-maçonnerie furent rédigés par les Jésuites du Collège des Jésuites de Clermont, à Paris.[32] Albert Pike explique ce secret à la maçonnerie dans sa bible doctrinale de la franc-maçonnerie, Morals and Dogma, : « La maçonnerie est une quête de la Lumière. Comme vous le voyez, cela nous ramène directement à la Kabbale. »[33] Les Juifs talmudiques infiltrèrent la Rome païenne principalement, mais pas exclusivement, par le moyen de l’Ordre des Jésuites. Remarquez les similarités entre l’impérieuse femme prostituée d’Ézéchiel 16:14-40, constituant l’Israël apostat, et la prostituée catholique romaine de l’Apocalypse. C’est la même. Les Jésuites crypto-juifs de l’Église catholique romaine sont les pharisiens des temps modernes. Ces pharisiens des temps modernes, cependant, ne sont pas de vrais Juifs, ce sont des Juifs Khazars, aussi connus comme Juifs ashkénazes. Ce sont des Européens de l’est convertis au talmudisme.

Il est important de bien saisir qu’il existe un noyau babylonien commun au talmudisme, au jésuitisme, au catholicisme, à la franc-maçonnerie, au communisme, au nazisme et au sionisme. Ils sont tous issus de Babylone et sont tous antichrists. Voilà pourquoi Babylone la Grande est appelée la Mère des Impudiques et des Abominations de la Terre.

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[1] Anti-Sion, des Juifs sur la question juive, http://www.diac.com/~bkennedy/az/A-E.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[2] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[3] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org/NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[4] Ibidem..

[5]  Ibidem.

[6] Michael Hoffman & Alan R. Critchley, The Truth About the Talmud, http://www.hoffman-info.com/talmudtruth.html (tel qu’au 12 septembre 2001).

[7] Ibidem.

[8] Ibidem.

[9] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[10] Ibidem.

[11] Ibidem.

[12] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 209, 2000 (citant Benjamin Freedman, Facts Are Facts, 1954.).

[13] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[14] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[15] Voir John Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[16] Walter White, Jr., The Hidden Tyranny, http://www.fourwinds10.com/corner/J224-ch4.pdf , http://www.antichristconspiracy.com/HTML%20Pages/Harold_Wallace_Rosenthal_Interview_1976.htm (adresses Internet tel qu’au 21 avril 2002).

[17] Rabbin David A. Cooper, God is a Verb, Kabbalah and the Practice of Mystical Judaism, p. 156, (1997) — emphase ajoutée.

[18] Ibidem.

[19] Voir John S. Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[20] Des Griffin, The Fourth Reich of the Rich, p. 70, (1993).

[21] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 248 (2000).

[22] Ibidem, p. 204.

[23] David Bay, Secret Societies Killed Jesus Christ, www.cuttingedge.org, http://home.talkcity.com/InspirationAv/jforjesus/secret_societies.html 

[24] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[25] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 216 (1993).

[26] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 206 (2001).

[27] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org//NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[28] Ibidem.

[29] Ibidem.

[30] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991).

[31] Melinda Henneberger, Vatican Says Jews’ Wait for Messiah is Validated by the Old Testament, New York Times, 18 janvier 2002. http://www.hughhewitt.com/past_news_links_01.02/01.18.02Vatican_Says_Wait_for_Messiah.html (tel qu’au 10 février 2002.).

[32] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 180 (2001).

[33] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 741 (1871).




D.099 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 14

 

13. « Juifs » ou « Judaïstes » ?

Partout dans le monde, le Dictionnaire anglais d’Oxford est reconnu comme la meilleure et la plus authentique source d’information sur l’origine, la définition et l’usage des mots de la langue anglaise. Des savants faisant autorité, appartenant à tous les domaines de la connaissance, et vivant dans tous les pays du monde, reconnaissent sans discuter la valeur du Dictionnaire anglais d’Oxford. Or, le Dictionnaire anglais d’Oxford fait apparaître clairement que le mot correct en anglais pour un adepte du judaïsme, est : Judaist[1], et que l’adjectif correspondant est : Judaic[2] ; et donc que les formes nominales : Jew, et adjectivale : Jewish, ne sont pas correctes. Au sens strict, les mots Jew et Jewish n’appartiennent pas à la langue anglaise ; ceci dit dans le cas où l’usage correct des mots se mettrait à bénéficier d’un quelconque intérêt de la part de nos contemporains.

Ainsi, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ne pouvant honnêtement se désigner comme des « Juifs » (car ils ne sont ni de près ni de loin des « Judéens » ou des « Israélites »), devraient donc en toute honnêteté se définir par le nom de leur pratique religieuse[3], et se présenter à nous comme des « judaïstes »[4]. Suivant le Dictionnaire Anglais d’Oxford, un « judaïste » est une personne qui se réclame de la pratique religieuse du « judaïsme », point final. L’origine du mot « juif », ainsi qu’il a été expliqué, ne vient pas du mot « judaïsme ». Et le mot « juif », comme adjectif relatif à ce qui ressort du « judaïsme », n’a pas non plus de raison d’être, l’adjectif correct est « judaïque »[5].

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[1] Pourrait se traduire par « judaïste », en français ; de même qu’un adepte du « communisme » est un « communiste », ou qu’un adepte du « tantrisme » est un « tantriste ».

[2] « Judaïque », en français. Ici dans la langue française, la forme adjectivale morphologiquement correcte : « judaïque », existe bien. Ce n’est pas le cas dans la langue anglaise, où le terme morphologiquement correct Judaic, est improprement remplacé par le terme Jewish.

[3] Ainsi que le font spontanément les chrétiens, qui eux, n’ont rien à cacher.

[4] Ou des « Judaïens », ou des « talmudistes » comme autrefois, ou des « pharisiens »… mais surtout pas comme des « Juifs », mot qui, encore une fois, provient de la contraction naturelle du latin « Iudaean » et qui a une connotation géographique et raciale, ce qui n’est pas le cas d’un enseignement religieux. Ainsi il y a des chrétiens japonais, et de la même race que les japonais. Il existe aussi des pratiquants du judaïsme en Inde, qui comme les Khazars sont des convertis, et qui n’ont aucun lien génétique avec les pharisiens de Judée, ces Judéens qui furent à l’origine du talmudisme. Certes, une fois les premiers temps de la conversion passés, le peuple converti au judaïsme fait bloc hermétique avec sa religion, et ne semble plus alors former qu’une seule et même entité ; mais ce phénomène est à attribuer au caractère foncièrement intolérant et xénophobe du judaïsme envers tout ce qui n’est pas lui, et non pas à une quelconque indissociabilité entre un peuple et une religion. C’est cette prétendue indissociabilité qui a autorisé toutes les mystifications relatives au « peuple élu », à la « race choisie », et autres foutaises qui vous catapultent comme d’un rien aux commandes des états.

[5] N’utilisons donc plus les termes impropres, si nous ne voulons pas que la confusion ne perdure indéfiniment dans la pensée, puisqu’elle s’est déjà fixée dans le langage.




D.098 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 13

 

12. Le Talmud démasqué

Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les chrétiens est un ouvrage magistral écrit par le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg, dans la vieille Russie tsariste. Le Père Pranaitis était le plus grand connaisseur du Talmud chez les non-juifs. Sa complète maîtrise de l’hébreu lui permit de donner une analyse très compétente du Talmud et, dans toute l’histoire humaine, peu d’hommes auraient eu l’érudition nécessaire pour une telle entreprise.

Le Père Pranaitis a scruté le Talmud pour en extraire les passages parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne. Il traduisit ces passages en latin, car l’hébreu s’y prête très bien. Cette traduction des passages du Talmud parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne, furent donc imprimés en latin par l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg, en 1893, avec l’imprimatur de son archevêque. La traduction du latin à l’anglais fut réalisée en 1939, par de grands latinistes américains, à l’aide de fonds fournis par de riches citoyens de notre pays.

Pour vous donner une idée très précise des références à Jésus-Christ, aux chrétiens ou à la foi chrétienne que contient le Talmud, je vais vous résumer les passages les plus révélateurs de la traduction en anglais de l’ouvrage du Père Pranaitis. Mais cela nécessiterait beaucoup trop de place de vous citer ces passages mot pour mot, en y adjoignant les notes que j’ai trouvées dans l’Édition Soncino en langue anglaise. J’ai donc décidé de ne vous citer que les passages traduits par Pranaitis, et je commence par les allusions à Jésus-Christ :

– Sanhédrin, 67a : Jésus est désigné comme le fils de Pandira (Panthera).

– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.

– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.[1]

– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.

– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.

– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.

– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.

– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »

– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (…) Juda a pissé sur Jésus. ».

– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.

– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.

– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.

– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.

– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées[2].

– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.

– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.

– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.

Ce qui précède n’est qu’un échantillon tiré d’un enchevêtrement très compliqué d’anecdotes et d’enseignements, où de très nombreuses références sont obscurcies par des raisonnements sans fins.

Maintenant je vais vous citer quelques références aux chrétiens et à la foi chrétienne, bien que j’aie dû en reformuler parfois l’expression pour les résumer. Le Talmud utilise onze noms différents pour désigner « ceux qui ne suivent pas le Talmud », ce par quoi il faut entendre : « les chrétiens ». Outre le terme de Notsrim se référant aux nazaréniens, les chrétiens sont également désignés extensivement par tous les noms que le Talmud réserve aux « non-Juifs » : Abhodah Zarah (culte étrange, idolâtrie), Akum (adorateurs des planètes et des étoiles), Obhde Elilim (serviteurs des idoles), Minim (hérétiques), Edom (Édomites), Nokhrim (étrangers), Amme Haarets (peuple de la terre, idiots), Baser Vedam (êtres de chair et de sang, dénués d’âme), Apikorosim (Épicuriens), Kuthim (Samaritains) et Goïm (race, peuple). Les passages suivants indiquent de quelle manière les chrétiens sont dépeints dans le Talmud, et ce qu’il y est dit à propos de leur culte religieux :

– Hilkhoth Maakhaloth : Les chrétiens sont des idolâtres, ne pas les fréquenter.

– Abhodah Zarah (22a) : Ne pas fréquenter les gentils, ils versent le sang.

– Iore Dea (153, 2) : Ne pas fréquenter les chrétiens, ils répandent le sang.

– Abhodah Zarah (25b) : Se méfier des chrétiens quand on voyage avec eux à l’étranger.

– Orach Chaiim (20, 2). : Les chrétiens se déguisent pour tuer les Juifs.

– Abhodah Zarah (15b) : « Il ne faut jamais laisser un animal s’approcher des Goïm, on les soupçonne d’avoir des rapports sexuels avec eux. »[3]

– Abhodah Zarah (22a) : Passage suggérant encore que les chrétiens ont des relations sexuelles avec les animaux.

– Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.

– Abhodah Zarah (22b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.

– Iore Dea (198, 48) : Les femmes juives sont contaminées par la simple rencontre de chrétiens.

– Kerithuth (6b p. 78) : Les Juifs sont des humains, non les chrétiens, ce sont des bêtes.

– Makkoth (7b) : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un chrétien ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.

– Orach Chaiim (225, 10) : Les chrétiens et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.

– Midrasch Talpioth (225) : Les chrétiens sont créés pour servir les Juifs de toute éternité.

– Orach Chaiim (57, 6a) : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les chrétiens que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

– Zohar II (64b) : Les chrétiens sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.

– Kethuboth (110b) : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les chrétiens[4] à des bêtes impures ».

– Sanhedrin (74b) Tos. : Les rapports sexuels des chrétiens sont comme ceux des bêtes.

– « La semence des Goïm vaut bien celle des bêtes. »

– Eben Haezar (44, 8) : Sont nuls, les mariages entre les chrétiens et les Juifs.

– Zohar (II, 64b) : Le taux de naissance des chrétiens doit être diminué matériellement.

– Zohar (I, 28b) : Les chrétiens sont les enfants du serpent de la Genèse[5].

– Zohar (I, 131a) : Les idolâtres (sous entendre : les chrétiens) souillent le monde[6].

– Emek Haschanach (17a) : L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort.

– Zohar (I, 46b, 47a) : L’âme des gentils est d’une origine théologique impure.

– Rosch Haschanach (17a) : L’âme des non-Juifs descend en enfer.

– Iore Dea (377, 1) : Il faut remplacer les serviteurs (chrétiens) morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.

– Iebhammoth (61a) : Les Juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les chrétiens.

– Abhodah Zarah (14b) Toseph : Il est interdit de vendre les Livres des Prophètes aux chrétiens.

– Abhodah Zarah (78) : Les Églises chrétiennes sont le lieu de l’idolâtrie.

– Iore Dea (142, 10) : Il faut toujours rester à une certaine distance des Églises, sauf quand on est dans le dos de cette même Église, alors on peut se rapprocher…

– Iore Dea (142, 15) : Il ne faut pas écouter la musique des Églises, ni regarder ses idoles.

– Iore Dea (143, 1) : On ne doit pas reconstruire des bâtiments qui se trouvent près d’une Église.

– Hilkoth Abh. Zar (10b) : Les Juifs ne doivent pas revendre des calices que des chrétiens leur auraient vendus, même s’ils sont brisés.

– Chullin (91b) : Les Juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.

– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.

– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.

– Gittin (62a) : Un Juif ne doit pas entrer dans la maison d’un chrétien un jour de fête.

– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.

– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.

– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.

– Abhodah Zarah (35b) : Ne pas boire du lait tiré par un chrétien.

– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.

– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.

– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.

– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.

– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.

– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.

– Abhodah Zarah (14b) : Il est interdit de vendre aux chrétiens des articles qu’ils pourraient utiliser pour leur culte.

– Iore Dea (151, 1) H. : Ne pas vendre de l’eau à un chrétien, s’il va l’utiliser pour un baptême[7].

– Abhodah Zarah (2a, 1) : Ne faire aucun commerce avec les chrétiens pendant leurs jours de fête.

– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyé des cadeaux.

– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.

– Iore Dea (81, 7 Ha) : Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice chrétienne, car son lait lui donnera une nature maléfique.

– Iore Dea (153, 1 H) : Les nourrices chrétiennes conduisent les enfants à l’hérésie.

– Iore Dea (155, 1) : Éviter les médecins chrétiens qui ne sont pas très bien connus du voisinage.

– Peaschim (25a) : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous-entendu des chrétiens).

– Iore Dea (156, 1) : Ne pas aller chez un barbier chrétien, à moins d’être accompagné par un Juif.

– Abhodah Zarah (26a) : Ne pas recourir à une sage femme chrétienne qui, une fois seule, pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.

– Zohar (1, 25b) : « Ceux qui font du bien à un Akum, ne se relèveront pas des morts ».

– Hilkoth Akum (X, 6) : On peut aider les chrétiens dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.

– Iore Dea (148, 12 H) : On peut prétendre se réjouir avec les chrétiens pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.

– Abhodah Zarah (20a) : Ne jamais faire la louange d’un chrétien, de peur qu’il ne la croie.

– Iore Dea (151, 14) : Il est interdit de concourir à la gloire d’un chrétien.

– Hilkoth Akum (V, 12) : Citation de l’écriture, pour appuyer l’interdit concernant toute mention du nom d’un chrétien, ou du nom du Dieu chrétien.

– Iore Dea (146, 15) : « Leurs idoles [c’est-à-dire, les objets du culte] doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants. »

– Iore Dea (147, 5) : Il faut railler les objets du culte chrétien, il est interdit de souhaiter du bien à un chrétien.

– Hilkoth Akum (X, 5) : Pas de présents aux chrétiens, seulement à ceux qui se font juifs.

– Iore Dea (151, 11) : Il est interdit de faire un présent à un chrétien, cela encourage l’amitié.

– Iore Dea (335, 43) : L’exil pour le Juif qui vent sa ferme à un chrétien.

– Iore Dea (154, 2) : Il est interdit d’enseigner un métier à un chrétien.

– Babha Bathra (54b) : La propriété d’un chrétien appartient au premier Juif qui la réclame.

– Choschen Ham (183, 7) : Si par erreur un chrétien rend trop d’argent, il faut le garder.

– Choschen Ham (226, 1) : Les Juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un chrétien.

– Babha Kama (113b) : Il est permis de tromper les chrétiens.

– Choschen Ham (183, 7) : Des Juifs qui trompent un chrétien doivent se partager le bénéfice équitablement.

– Choschen Ham (156, 5) : Les clients chrétiens possédés par un Juifs ne doivent pas être démarchés par un autre Juif.

– Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne.

– Abhodah Zarah (54a) : L’usure peut être pratiquée sur les chrétiens, ou sur les apostats.

– Iore Dea (159, 1) : « Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Akum avec intérêt. Toutefois, certains des Anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance. »

– Babha Kama (113a) : Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien.

– Babha Kama (113b) : Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un chrétien.

– Kallah (1b, p.18) : Le Juif peut se parjurer la conscience claire.

– Schabbouth Hag. (6d). : Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

– Zohar (1, 160a) : Les Juifs doivent en permanence tenter de tromper les chrétiens.

– Iore Dea (158, 1) : Il ne faut jamais guérir un chrétien, à moins que cela ne le transforme en un ennemi d’Israël.

– Orach Cahiim (330, 2) : Il est interdit de procéder à l’accouchement d’une chrétienne le samedi.

– Choschen Ham. (425, 5) : Il est permis de tuer indirectement un chrétien, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.

– Iore Dea (158, 1) : En ce qui concerne les chrétiens qui ne sont pas des ennemis, un Juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.[8]

– Hilkkoth Akum (X, 1) : Ne pas sauver les chrétiens en danger de mort.

– Choschen Ham (386, 10) : Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux chrétiens, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.

– Abhodah Zorah (26b) : Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.

– Choschen Ham (388, 15) : Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des chrétiens.

– Sanhedrin (59a) : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël[9], commettent un crime qui réclame la peine de mort.

– Hilkhoth Akum (X, 2) : Les Juifs baptisés doivent être mis à mort.

– Iore Dea (158, 2) Hag. : Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens.

– Choschen Ham (425, 5) : Ceux qui ne croient pas en la Torah doivent être tués.

– Hilkhoth tesch. (III, 8) : Les chrétiens et les autres, nient la Loi de la Torah.

– Zohar (I, 25a) : Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres.

– Zohar (II, 19a) : La captivité des Juifs prendra fin lorsque les princes chrétiens seront morts.

– Zohar (I, 219b) : Les princes chrétiens sont des idolâtres, ils doivent mourir.

– Obadiam : Quand Rome sera détruite, Israël sera racheté.

– Abhodah Zarah (26b) T. : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. »

– Sepher Or Israel (177b) : Si un Juif tue un chrétien, ce n’est pas un péché.

– Ialkut Simoni (245c) : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.

– Zohar (II, 43a) : L’extermination des chrétiens est un sacrifice agréable à Dieu.

– Zohar (L, 28b, 39a) : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.

– Hilkhoth Akum (X, 1) : Ne passez aucun accord avec un chrétien, et ne jamais manifester de pitié envers un chrétien.

– Hilkhoth Akum (X, 1) : Soit les détourner de leurs idoles, soit les abattre.

– Hilkhoth Akum (X, 7) : Où les Juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.

– Choschen Ham (338, 16) : Tous les habitants d’une ville doivent contribuer aux frais nécessaires à l’élimination d’un traître parmi eux.

– Pesachim (49b) : Il est permis de décapiter les Goïm le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat[10].

À moins qu’on ne l’ait récemment retiré de la consultation publique, vous pourrez trouver un exemplaire de ce livre (Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les Chrétiens, par le Père Justin Bonaventure Pranaitis[11]), à la bibliothèque du Congrès, ainsi qu’à la bibliothèque publique de New York. Une copie de l’édition latine originale imprimée en 1892 à Saint-Pétersbourg, peut être mise à votre disposition par l’intermédiaire de notre ami commun, si vous désirez lire les passages qui précèdent dans l’hébreux original, ainsi que dans leur traduction latine[12]. J’espère que mes petits résumés rendent bien compte du texte original, en tout cas je le crois. Si j’ai fait une erreur quelconque, auriez-vous la bonté de me le faire savoir ? Il a été très difficile de résumer ces passages du Talmud en si peu de mots.

Vous reconnaîtrez avec moi que la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs, n’a désormais plus besoin d’examiner en détail les 63 livres du Talmud pour découvrir des passages contre le Christ, contre les chrétiens et contre la foi chrétienne, qui sont contenus dans ce livre, qui, je vous le rappelle, est :

« Le code législatif qui forme les bases de la loi religieuse juive » et qui est « le livre utilisé pour la formation des rabbins ».

La Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourra désormais, et grâce à vous, ajouter une ou deux de ces citations à la légende de cette gentille photo qui nous disait :

« Les adultes aussi étudient les anciennes écritures. Le rabbi, qu’on voit ici sur le fauteuil, dirige un groupe de discussion sur le Talmud, avant la prière du soir. »

Si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs était sincèrement intéressée par « la foi commune » et par la « fraternité », ne pensez-vous pas mon cher Docteur Goldstein, qu’elle devrait exiger immédiatement la suppression du Talmud de tous ces passages contre le Christ[13], contre les chrétiens, et contre le christianisme ; de même que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) nous ont fraternellement supprimés certains passages du Nouveau Testament ? Mon cher Docteur Goldstein, allez-vous le demander ?

_______________________________________________________

[1] Le Talmud démasqué, nous apprend que « celui qui a été pendu », est l’expression qui servait de nom de code pour désigner Jésus-Christ.

[2] Pour eux, le crucifix est une idole, une icône est une idole…

[3] Les passages repris entre guillemets, sont traduits directement par nous depuis le Talmud démasqué (n.d.t.).

[4] Ici les Goïm, car lors de la rédaction des Psaumes, les chrétiens n’existaient pas encore.

[5] « Les peuples idolâtres de la Terre sont les enfants du serpent qui a séduit Ève ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[6] « Les idolâtres souillent le monde dès qu’ils entrent en existence, car leur âme vient de la face impure. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[7] « Il n’est pas permis de vendre de l’eau à un Akum s’il est connu qu’il va en faire une eau baptismale. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[8] « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[9] Comprendre : « le Talmud ».

[10] « Rabbin Eliezer : “Il est permis de trancher la tête d’un idiot [un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire, un animal charnel, un chrétien (n.d.t.)] le jour de l’expiation des péchés [on ne peut imaginer jour plus sacré pour les Juifs (Pranaitis)], et même si ce jour tombe un jour de sabbat”. Ses disciples répondirent : “Rabbi ! vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’ un Goï.” Mais il répliqua : “En aucune façon ! car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l’agréer, alors qu’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un.” » Pesachim 49b. (Traduction directe depuis le Talmud démasqué).

Il est à noter que l’idée du sacrifice rituel d’un Goï n’a pas l’air très éloignée de leur esprit, bien au contraire… Peut-être aurons-nous l’occasion d’en reparler, car ce sujet bien précis est particulièrement instructif.

[11] Le père Pranaitis fut l’une des nombreuses victimes de la Tcheka, juste après le coup de force communiste de 1917.

[12] Le père Pranaitis avait présenté sa traduction dans une version bilingue.

[13] « Anti-Christ » dans le texte original.




D.097 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 12

 

11. Les Juifs et les Chrétiens sont-ils des frères ?

Compte tenu de ce que nous savons maintenant, quel peut être le degré de sincérité de toutes les paroles mielleuses qu’on entend dans les « mouvements de fraternité entre les Juifs et les chrétiens », ou dans les « mouvements promouvant une communauté de foi entre les Juifs et les chrétiens » ? Ces mouvements qui pullulent littéralement, sont en train de dévaster toutes les nations. Si les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) qui sont dans ces mouvements, utilisent le Talmud comme règle de leurs activités politiques, économiques et sociales, quel peut être le degré de sincérité de tous les serments, les vœux ou les promesses qu’ils pourraient être amenés à faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de « fraternité » et de « communauté de foi », si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs parvenait à expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrétiens ou le christianisme. Au prix d’un grand nombre de millions de dollars, cette Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs est en revanche parvenu à expurger du Nouveau Testament, les passages que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) considéraient comme « une offense à leur foi ». Une grande partie des fonds nécessaires furent amenés par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Les Chrétiens devraient donc maintenant réunir eu aussi un petit pactole, afin d’expurger du Talmud les passages outrageant la foi chrétienne, car sinon, de tels mouvements de « fraternité » ou de « foi commune » ne servent qu’à tourner le christianisme en dérision. Et pendant qu’elle y est, la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourrait jeter un coup d’œil sur les millions de dollars investis aujourd’hui par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), pour s’assurer que le Talmud reste bien le seul axe des activités politiques, économiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires d’aujourd’hui et de demain. Car, violant les principes de base de toute « fraternité » et de toute « communauté de foi », les Juifs (prétendus ou autoproclamés) dépensent des millions de dollars chaque année, pour équiper des centres où le Talmud pourra être inculqué au plus profond du cerveau de leurs enfants. Ces quelques nouveaux articles ont été choisis parmi les centaines d’autres qui apparaissent quotidiennement dans les journaux du pays :

« Deux nouveaux Centres d’Enseignement Israélite, dont la construction a coûté 300 000 $, seront ouverts le mois prochain, ils pourront accueillir 1 000 étudiants pendant la semaine, et permettront également d’ouvrir une École du dimanche, cette annonce nous vient de l’association La Torah du Talmud. » [Herald Tribune de Chicago, 19/08/1950.]

« Le Département de l’École Yeshiva offre maintenant un programme complet d’anglais/hébreu, conforme à l’enseignement rabbinique. Les cours iront de la classe 1 jusqu’à la classe 5 (de 5 ans et demi jusqu’à 10 ans). La section TalmudTorah de l’après midi a ouvert une nouvelle classe pour l’enseignement de base, elle reçoit les débutants comme les enfants qui sont déjà avancés dans l’étude. » [La Voix Juive, 18/09/1953.]

« UN RABBIN PARLE DU TALMUD AUX HOMMES DE PAIX. Le Docteur David Graubert président des rabbins de Bet Din, et professeur de littérature rabbinique à l’Université des Études Juives, va présenter la première de ses quatre conférences dont le thème général est : Le Monde du Talmud. » [Chicago Tribune, 59/10/1953.]

« LE MARYLAND[1] RECONNAÎT DES DEGRÉS UNIVERSITAIRES ET UN DIPLÔME DANS LA CONNAISSANCE DU TALMUD. Baltimore. Le Comité Fédéral d’Éducation du Maryland a autorisé le Nouveau Collège Rabbinique d’Israël à décerner une licence et un doctorat es Loi talmudique. » [La Voix Juive, 01/09/53.]

« DES COURS DE TALMUD À L’ANTENNE DEPUIS JÉRUSALEM. Les conférences sur le Talmud radiodiffusées chaque semaine en anglais seront bientôt disponibles sur cassettes dans tous les États-Unis et le Canada, la dépêche est tombée aujourd’hui. » [La Voix Juive de Californie, 11/01/1952.]

Mon cher Docteur Goldstein, vous vous souvenez sans doute d’avoir lu un peu plus haut une citation d’un des spécialistes les plus autorisés sur le Talmud, et selon laquelle : « le Juif moderne est un produit du Talmud. » Seriez-vous surpris d’apprendre qu’un bon nombre de chrétiens sont également le « produit du Talmud » ? Eh oui, les enseignements du Talmud sont acceptés par des chrétiens du plus haut échelon hiérarchique… Je n’aurais besoin que d’un seul exemple pour vous en persuader, celui du dernier Président des États-Unis d’Amérique. En 1951, on a offert pour la seconde fois au Président Truman[2], l’ensemble des 63 livres composant le Talmud. À cette occasion un journal rédigea l’article suivant :

« Monsieur Truman nous a remerciés pour les livres, et a déclaré qu’il était très content de les avoir, il a même ajouté le mot suivant : “Il y a quatre ans on m’a offert les mêmes, et j’ai pu en lire bien davantage que ce que les gens pensent”. Il nous a dit qu’il lisait beaucoup, et que le livre qu’il lisait le plus était le Talmud qui contient, nous a-t-il dit : “un bon paquet de raisonnements très sains, et une bonne philosophie de la vie !” ».

Ainsi, notre dernier Président nous dit qu’il tire bien des avantages de ce livre « qu’il lit le plus », et qui contient « un bon paquet de raisonnements très sains », ainsi « qu’une bonne philosophie de la vie »… Et plus récemment, alors qu’il était encore en fonction, les déclarations de notre dernier Président dénotent chez lui une connaissance véritable du Talmud ; toute personne qui connaît le Talmud pourra le discerner très vite. Mais notre dernier Président sait-il que Jésus-Christ n’avait pas le même sentiment que lui sur le Talmud ? Ce « bon paquet de raisonnements très sains », et cette « bonne philosophie de la vie », étaient en permanence dénoncés d’une manière des plus vives par Jésus-Christ, et en des termes non équivoques. Monsieur Truman va-t-il nous dire lui aussi, que le Talmud était cette « sorte de livre » de laquelle Jésus-Christ « tira les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » ?

Avant de quitter le sujet du Talmud, j’aimerais faire référence à l’analyse la plus authentique de toutes celles dont ce texte a été l’objet ; et je crois que vous devriez vous en procurer une copie, vous ne le regretterez pas. Le nom de l’ouvrage dont je vais parler est tout simplement : Le Talmud. Il a été écrit il y a presque un siècle par Arsène Darmesteter, un Français. En 1897 il a été traduit en anglais par la célèbre Henrietta Szold, et publié par la Société de Publications Israélites d’Amérique, à Philadelphie. Henrietta Szold était une enseignante de prestige, elle faisait partie des sionistes du début, et était l’une des « Juives » les plus remarquables de ce siècle (prétendues ou autoproclamées telles). La traduction par Henrietta Szold du livre d’Arsène Darmesteter est un classique. Vous ne comprendrez jamais le Talmud tant que vous ne l’aurez pas lu. Je vais en citer de courts extraits :

« Aujourd’hui le judaïsme trouve sa plus parfaite expression dans le Talmud ; ce livre n’a pas influencé le judaïsme d’une manière éloignée, le judaïsme n’en est pas non plus qu’un léger écho, mais le Talmud s’est incarné dans le judaïsme, et le judaïsme a pris forme dans le Talmud, passant ainsi de l’état d’abstraction à la réalité. L’étude du judaïsme est celle du Talmud, tout comme l’étude du Talmud est celle du judaïsme, (…) ce sont deux choses inséparables, mieux, ce sont une seule et même chose (…). Par conséquent, le Talmud est l’expression la plus complète de notre mouvement religieux, et ce code de prescriptions sans fin et de cérémonials minutieux, représente dans sa plus grande perfection le travail total de l’idée religieuse (…). Ce miracle s’est réalisé dans un livre : le Talmud (…). Le Talmud, en revanche, est composé de deux parties distinctes, la Mishna et la Gemara ; la première est le texte proprement dit, la seconde est le commentaire du texte (…). Par le terme Mishna, on désigne un recueil de décisions et de lois traditionnelles, comprenant TOUTES LES BRANCHES DE LA LÉGISLATION, QUE CE SOIT SUR LE PLAN CIVIL OU RELIGIEUX (…) ; ce code était le travail de plusieurs générations de Rabbins (…). Rien ne peut égaler l’importance du Talmud, si ce n’est l’ignorance qui prévaut à son sujet (…). Une seule page du Talmud peut contenir des passages rédigés en trois ou quatre langues différentes, ou plutôt, des passages rédigés en une seule langue fixée à différents niveaux de sa dégénérescence (…). Souvent, une Michna de cinq ou six lignes est suivie de cinquante ou soixante pages de commentaires (…). C’est la Loi dans toute son autorité ; elle constitue le dogme et le culte ; c’est l’élément fondamental du Talmud (…). L’étude quotidienne du Talmud qui, chez les Juifs, commence à l’âge de 10 ans, pour ne se terminer qu’avec la vie elle-même, constitue nécessairement une rude gymnastique pour l’esprit, grâce à laquelle celui-ci acquiert une subtilité et un flair incomparable (…) puisque le Talmud n’aspire qu’à une chose : devenir pour le judaïsme une sorte de “ corpus juris ecclesiastici ”. » (Souligné par nous[3].)

Les citations qui précèdent ont été tirées de ce traité qui visait principalement à édulcorer le Talmud. Malgré tout, en dépeignant une image bien gentille du Talmud, l’auteur n’a pas pu s’empêcher de mentionner également les faits que nous avons soulignés. Or venant d’une telle source, je me demande comment cet auteur peut penser que de telles déclarations puissent nous porter à avoir désormais bien de l’estime pour le Talmud.

_____________________________________________________________

[1] Petit État américain de la côte Est.

[2] Truman est le président qui a ordonné sans nécessité militaire le largage de deux bombes atomiques sur le Japon, quatre mois après son élection.

[3] En capitale, dans le texte original.




D.093 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 8

 

7. Histoire des Khazars

Avant le Xe siècle, le royaume des Khazars avait déjà été réduit par les Russes à la dimension d’environ 1 300 000 km². Mais comme vous pouvez le constater sur la carte de l’Encyclopaedia Judaica[1], sa surface au Xe siècle était encore bien plus grande que celle d’aucune autre nation. La population du royaume Khazar était composée pour la plus grande partie de Khazars, et pour le reste, par les quelque vingt-cinq nations d’agriculteurs pacifiques, qui peuplaient ces terres d’approximativement 1 600 000 km², avant qu’elles ne soient envahies par les Khazars.

Au premier siècle avant Jésus-Christ, les Khazars, partis de leur mère patrie en Asie, ont envahi l’Europe orientale. Ils ont envahi l’Europe Orientale par la route naturelle des steppes, entre les Monts de l’Oural au Nord et la mer Caspienne au Sud.

Les Khazars n’étaient pas des « Sémites ». Mais une nation Asiatique, de type mongoloïde[2]. Selon les classifications des anthropologistes modernes ce sont des turco-finnois. Depuis des temps immémoriaux, la patrie des Khazars se trouvait au cœur de l’Asie. Ils étaient une nation très belliqueuse. Les Khazars furent finalement chassés de l’Asie par les peuples avec lesquels ils étaient continuellement en guerre. Et ils envahirent l’Europe orientale afin d’échapper à de plus amples défaites chez eux. Les très belliqueux Khazars n’éprouvèrent guère de difficultés à soumettre les vingt-cinq nations de paysans pacifiques, qui occupaient approximativement 1 600 000 km² en Europe orientale. En une période relativement courte, les Khazars établirent le plus grand et le plus puissant royaume d’Europe, et probablement le plus riche.

Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques pratiqués en Asie par les nations païennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle. Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer. Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit l’une des trois religions monothéistes (qu’il connaissait très peu), pour religion d’état. Après avoir fait venir des représentants des trois religions monothéistes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents.[3]

Le royaume de Khazarie à son apogée vers l’an 850 de notre èreKhazarie1

Cette carte a été réalisée par le cabinet architectural Richard Burd. Le premier mai 1999, l’ensemble des cartes de Richard Burd sur le royaume Khazar a remporté le prix annuel décerné par le Doyen au sein du Département des Études Slaves de l’université de Californie (Los Angeles).

Une des premières cartes imprimées

khazaria-fr-carte

Le roi Bulan et les 4 000 nobles du système féodal de Khazarie furent rapidement convertis par des rabbins importés de Babylonie à cet effet. Le culte phallique et les autres formes d’idolâtrie furent dès lors interdits. Les rois Khazars invitèrent un grand nombre de rabbins pour ouvrir des synagogues et des écoles, afin d’instruire la population dans la nouvelle religion. Le judaïsme était devenu la religion d’état. Ces Khazars convertis furent la première population de « juifs » (prétendus ou autoproclamés) en Europe orientale. Les « juifs » (prétendus ou autoproclamés) d’Europe orientale, ne sont rien d’autre que les descendants directs des Khazars qui se sont convertis en masse au talmudisme au VIIe siècle de notre ère.

Après la conversion du roi Bulan, seul un « juif » (prétendu ou autoproclamé) pouvait monter sur le trône ; le royaume Khazar devient une théocratie : les autorités religieuses étaient les mêmes que les autorités civiles. Les rabbins imposèrent l’enseignement du Talmud aux populations comme la seule règle de vie possible. L’idéologie du Talmud devint la source de toutes les attitudes politiques, culturelles, économiques et sociales, d’un bout à l’autre du royaume Khazar. Le Talmud avait réponse à tout.

Mon cher Docteur Goldstein, auriez-vous la patience de m’autoriser à vous citer ici les pages 1 à 5 du volume IV de l’Encyclopaedia Judaica ? Je pense qu’elles vont vous intéresser… L’Encyclopaedia Judaica orthographie le mot Khazars avec un « C » : « Chazars ». Mais selon les meilleurs spécialistes, les deux orthographes sont tout aussi valides l’une que l’autre ; et ces deux orthographes ont la même prononciation : la première syllabe de « cass-e » suivie de la seconde syllabe de « bi-zarre »[4]. La prononciation est donc « Cass-zarre ». L’Encyclopaedia Judaica présente cinq pages sur les Khazars, mais je vais tout de même vous épargner certains passages :

« CHAZARS : Peuple d’origine turque dont la vie et l’histoire s’entremêlent avec les tout débuts de l’histoire des juifs de Russie. (…) Les Chazars, poussés par les tribus nomades des steppes et par leurs propres désirs de pillages et d’exactions (…) se déplacèrent vers l’Ouest pendant la seconde moitié du sixième siècle (…). Le royaume des Chazars était fermement établit sur tout le sud de la future Russie, bien avant la fondation de la monarchie Russe par les Varègues (855) (…). À cette époque [VIIIe siècle] le royaume des Khazars était à l’acmé de sa puissance et était constamment en guerre (…). À la fin du huitième siècle (…) le chagan (le roi) des Chazars et ses nobles, ainsi qu’une grande part du peuple païen, embrassèrent la religion juive (…). Entre le VIIe et le Xe siècle, la population juive du royaume chazar, a dû être considérable (…), et vers le neuvième siècle, tout se passe comme si tous les Chazars étaient des Juifs de fraîche date (…). Ce fut Obadiah, l’un des successeurs de Bulan, qui régénéra le royaume et renforça le judaïsme. Il invita des érudits juifs à s’installer sur son territoire, et il fonda des synagogues et des écoles. Le peuple était instruit dans la Bible, la Mishna, et le Talmud, ainsi que dans le “service divin du hazzanim” (…). Pour écrire, les Chazars utilisaient les lettres de l’alphabet hébreu, (…) mais la langue chazare prédominait (…). Le successeur du roi Obadiah fut son fils, Isaac ; puis Moïse (ou Manassé II) succéda au roi Isaac son père ; puis Nisi succéda à Moïse ; puis Aaron II succéda à Nisi. Quant au roi Joseph, fils d’Aaron, il monta lui aussi sur le trône en vertu de la loi khazare relative à la succession royale (…). Le roi avait alors vingt-cinq femmes, toutes de sang royal, ainsi que soixante concubines, toutes de fameuses beautés. Chacune d’elles dormait dans une tente individuelle et était surveillée par un eunuque (…), cela semble correspondre avec le début du déclin du royaume chazar (…). Les Russes Varègues prirent la ville de Kiev et s’y installèrent jusqu’à ce qu’ils aient achevé la conquête de tout le royaume chazar (…). Après un combat acharné, les Russes vainquirent les Chazars (…). Quatre années plus tard, les Russes avaient conquis tout le territoire occupé par les Chazars, jusqu’aux rivages de la Mer d’Azov (…). Un grand nombre de membres de la famille royale émigrèrent en Espagne, (…) certains fuirent en Hongrie, mais toute la masse du peuple demeura sur sa terre natale. »

Le plus grand historien des origines et de l’histoire des « juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), était le Professeur H. Graetz, lui-même un « juif » (prétendu ou autoproclamé). Dans sa célèbre Histoire des Juifs, le Professeur Graetz indique que lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) des autres pays[5], entendirent des rumeurs sur l’existence de « juifs » (prétendus ou autoproclamés) dans le royaume de Khazarie[6], ils crurent que ces Khazars étaient les « dix tribus perdues d’Israël ». Ces rumeurs furent à l’origine de la légende selon laquelle la Palestine était la « patrie ancestrale » des Khazars, qui n’étaient en réalité que des barbares asiatiques, convertis de fraîche date. À la page 141 de son Histoire des Juifs, le Professeur Graetz déclare :

« Les Chazars pratiquaient une religion grossière, qui mélangeait sensualité et obscénité (…). Après Obadia, se succédèrent une longue série de Chagans (rois) juifs, car selon la loi fondamentale de l’état, seul un souverain juif était autorisé à monter sur le trône (…). Pendant longtemps les juifs des autres pays n’eurent aucune connaissance de la conversion au judaïsme de ce puissant royaume, et lorsque enfin une vague rumeur à ce sujet leur parvint, ils émirent l’opinion que la Chazarie était peuplée par les descendants de ces dix tribus. »

Lorsqu’au premier siècle avant Jésus-Christ, les Khazars envahirent l’Europe orientale, leur langue était un dialecte asiatique, que l’Encyclopaedia Judaica désigne sous l’expression : « Langage khazar ». Il s’agissait de dialectes asiatiques primitifs, sans alphabet ni aucune autre forme écrite. Quand le roi Bulan fut convertit au VIIe siècle, il décréta que les caractères hébreux qu’il avait vus dans le Talmud et dans d’autres documents hébreux, seraient dorénavant adoptés comme l’alphabet du langage khazar. Les caractères hébreux furent donc tant bien que mal utilisés pour transcrire phonétiquement le langage des Khazars. Les Khazars adoptèrent les lettres de la langue hébraïque, simplement afin de se doter d’un moyen de transmettre leurs discours par écrit. Cette décision n’est aucunement l’indice d’une origine raciale commune avec les Hébreux, pas plus qu’elle ne fut motivée par des raisons politiques ou religieuses.

Les nations européennes occidentales non civilisées, qui n’avaient pas d’alphabet pour transcrire leurs langues parlées, adoptèrent l’alphabet latin dans des circonstances analogues. Après l’invasion de l’Europe occidentale par les Romains, la culture et la civilisation romaines furent introduites dans ces territoires non civilisés. C’est la raison pour laquelle l’alphabet latin est toujours employé dans le français, l’espagnol, l’anglais, le suédois, ainsi que par de nombreuses autres langues européennes. Certaines de ces langues sont complètement étrangères les unes aux autres, et pourtant elles utilisent toutes le même alphabet. Les Romains apportèrent cet alphabet avec leur culture à ces nations non civilisées, exactement comme les rabbins apportèrent l’alphabet hébreux de Babylonie aux Khazars.

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[1] Les cartes du chapitre suivant ne figurent pas dans l’édition originale de Facts are Facts. Elles proviennent de sites web sur les Khazars. La première [Le Royaume Khazar en 850] a été réalisée par le cabinet architectural de Richard Burd. L’ensemble des cartes de Richard Burd sur le royaume Khazar a remporté un prix annuel décerné par le Doyen, au sein du Département des Études Slaves de l’université de Californie (Los Angeles), ce prix a été décerné le premier mai 1999, on apprécie le symbole.

[2] Il existe de très nombreux types de visages parmi les descendants des Khazars, car les Khazars fondirent sur 25 nations et se mélangèrent avec les populations de ces territoires, mais le visage de Lénine par exemple, représente bien l’un des différents modèles.

[3] L’Encyclopaedia Universalis nous donne un article sur les Khazars, je le cite intégralement :

« Peuple apparenté aux Turcs, qui établit un empire entre la mer Noire et la mer Caspienne du VIIe au Xe siècles, les Khazars nous sont connus par des sources arabes, hébraïques et chinoises principalement. Ils s’opposèrent à plusieurs reprises à l’Empire byzantin et aux Arabes. Ils eurent, selon le géographe arabe al-Istakhri, un régime de double royauté, avec un khaqan et un roi. Leurs relations avec Byzance, meilleures au VIIIe siècle, déterminèrent un mariage entre Constantin V et une princesse khazare, dont le fils fut l’empereur Léon IV le Khazar ( de 775 à 780 ). Ayant connu une extension variable, l’empire khazar s’étendit sur les peuples de la région du Caucase, de la Crimée et de la Volga ; Kiev en fit partie au IXe siècle. Il succomba aux assauts des Russes qui conquirent sa capitale, Semander, en 965. Son histoire en tant que nation était terminée.

La grande aventure des Khazars fut la conversion de la dynastie régnante et de la caste noble au judaïsme vers 740. Due peut-être à des marchands juifs venus de Byzance ou à un effort réel de prosélytisme juif, cette conversion est parfois comprise comme une volonté des Khazars d’échapper tant à l’influence islamique qu’à l’influence chrétienne de leurs puissants voisins byzantins et arabes. La judaïsation des Khazars, en dépit de progrès certains, ne s’étendit qu’à une portion de la population, chrétiens, musulmans et même païens conservant leurs institutions et tribunaux reconnus et représentés [toute la question est celle de l’étendue de cette portion, 20 %, 40 %, 80 % ? D’autres auteurs, comme A. Koestler, affirment que la judaïsation était quasi complète, n.d.t]. Au Xe siècle s’établirent des relations épistolaires entre Hasdaï ibn Shaprut, ministre juif du calife de Cordoue Abd-er-Rahman III, et Joseph, roi des Khazars. Par ailleurs, l’histoire de la conversion des Khazars inspira l’œuvre du grand théologien juif d’Espagne Juda Halévy, qui intitula son traité doctrinal du judaïsme Sefer ha-Kuzari : le Livre du Khazar ( un dialogue entre un roi khazar et un sage juif ). La correspondance entre Ibn Shaprut et Joseph a été publiée par Isaac Aqris dans son livre Kol mevasser (Constantinople, 1577) et son authenticité, longtemps mise en doute, est aujourd’hui généralement admise (manuscrit à Oxford, Christ Church Library 193).

Le problème du devenir des habitants de la Khazarie et de leurs descendants après la chute du royaume a donné lieu à la théorie (bien fragile) [certes, mais nous voudrions connaître les raisons de ce « bien fragile », car ces Khazars convertis ne se sont pas volatilisés] selon laquelle les juifs de l’Europe de l’Est en seraient issus, en dépit de leur adoption du haut-allemand comme langue vernaculaire. Sur cette théorie et sur les Khazars, on consultera avec profit l’ouvrage de A. N. Poliak, Khazarie : histoire d’un royaume juif en Europe (en hébreu), Tel-Aviv, 1951 ; le travail classique de D. M. Dunlop, The History of the Jewish Khazars, Princeton, 1954 ; et (avec prudence ) [évidemment car cet ouvrage donne exactement la même thèse que Freedman : « J’ai rassemblé les preuves historiques qui indiquent que la grande majorité des Juifs de l’Est – et donc des Juifs du monde – est d’origine turco-khazare, plutôt que sémitique. » (conclusion de l’ouvrage de Koestler)] l’essai d’Arthur Koestler, La Treizième Tribu, l’Empire khazar et son héritage, trad. G. Pradier, Calmann-Lévy, Paris, 1976. »

Soldat khazar

Chevalier khazar ayant fait un prisonnier

[4] Costume [], et Tsar [], selon la version originale : [], bien noter le [s] avant le [z].

[5] « Prétendus » essentiellement sur le plan de la correspondance de leur religion avec la religion des Yehudim, le culte de Yahweh.

[6] « Prétendus » essentiellement sur le plan de la correspondance de leur race, avec la race des Yehudim, la race des Israélites, le peuple de Yahweh.




D.091 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 6

 

5. Rôle du Talmud dans le judaïsme actuel, exemple de la prière du Kol Nidre

En renfort des déclarations faites par les spécialistes mondiaux sur le statut actuel du Talmud, de nouvelles preuves de son influence considérable parmi les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) nous sont fournies par le rabbin Morris N. Kertzer, dans son article « Qu’est-ce qu’un Juif », déjà cité. Cet article nous montre également une photo bien sympathique : celle d’un homme assis sur un fauteuil, avec un livre grand ouvert sur ses genoux ; autour de lui, se tiennent une douzaine d’homme et de femmes assis sur le sol, tout souriants ; ils semblent témoigner une grande attention à l’homme assis sur le fauteuil, également souriant, le grand livre ouvert sur les genoux ; il en lit manifestement un passage aux personnes assises par terre ; et la photo montre qu’il souligne sa lecture en faisant de beaux gestes avec ses mains. En légende de cette photo, nous avons le texte suivant :

« Les adultes aussi étudient les anciennes écritures. Le rabbi, qu’on voit ici sur le fauteuil, dirige un groupe de discussion sur le Talmud, avant la prière du soir. »

Cette image et sa légende nous montrent toute l’importance du Talmud dans l’emploi du temps quotidien des « Juifs » d’aujourd’hui (prétendus ou autoproclamés tels). En fait, le Talmud est inculqué à leurs enfants dès qu’ils sont capables de lire ; et si le Talmud est « le livre utilisé pour la formation des rabbins », il est également le livre qui sert à former l’esprit de la masse des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) dès leur plus jeune âge. À la page 11 de l’Histoire du Talmud, dont la première édition a été revue par le très célèbre rabbin Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson déclare :

« Le Juif moderne est le produit du Talmud. »

Or pour le chrétien moyen, le mot « Talmud » est simplement l’un de ces nombreux mots étranges, qui gravitent autour du culte religieux pratiqué dans leurs synagogues par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). De nombreux chrétiens n’ont même jamais entendu parler du Talmud. Très peu de chrétiens ont une vague idée de son contenu. Un petit nombre seulement sait que le Talmud fait partie intégrante du culte religieux connu d’eux sous le nom de « judaïsme ». Ils croient que le Talmud est une sorte de Bible pour les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), et le classent dans la catégorie des grands textes spirituels. Mais seul un nombre infime de chrétiens a une idée précise du contenu du Talmud, et du rôle qu’il joue dans la vie quotidienne des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Si vous en voulez la preuve, mon cher Docteur Goldstein, je vous suggère de faire le compte des chrétiens que vous connaissez qui savent, même de loin, ce qu’est la prière du Kol Nidre récitée dans les synagogues le Jour de l’expiation des péchés.[1]

À la page 539 du Volume VIII de l’Encyclopaedia Judaica, que vous pouvez consulter à la Bibliothèque du Congrès, à la Bibliothèque Publique de New York, ainsi que dans les bibliothèques de toutes les villes importantes, vous découvrirez la traduction anglaise officielle de la prière connue sous le nom de Kol Nidre. Cette prière sert d’ouverture à la cérémonie du jour de l’expiation des péchés. Elle est psalmodiée trois fois de suite par toute l’assemblée des fidèles, ainsi que par le rabbin qui officie depuis l’autel. Dès la fin de la récitation du Kol Nidre, la cérémonie du jour de l’expiation des péchés commence[2], et le jour de l’expiation des péchés est le jour le plus sacré des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Partout au monde, la cérémonie est intensément suivie. La traduction anglaise officielle de la prière du Kol Nidre est la suivante :

« De tous les vœux, les engagements, les serments, les anathèmes — portant le nom de konam ou konas, ou n’importe quel autre nom — que l’on pourrait prendre, faire, jurer ou promettre, ou par lequel nous pourrions nous lier d’une manière quelconque entre ce jour de l’expiation et le suivant (dont nous attendons l’heureuse venue), nous nous repentons par avance. Puissent-ils être absous, pardonnés, annulés, nuls et non avenus ; ils ne doivent nous lier d’aucune manière, ni avoir un pouvoir quelconque sur nous. Les vœux ne doivent pas être considérés comme des vœux, les obligations ne doivent pas être obligatoires, ni les serments être des serments. »

Le contenu de la prière du Kol Nidre[3], apparaît dans le Talmud au Livre de Nedarim 23a-23b :

« Et que celui qui désire qu’aucun des vœux qu’il prendra pendant l’année ne soit valide, se présente au début de l’année et déclare : “Tous les vœux que je prends, dans le futur seront nuls [ 1 ]. (Ses vœux ne seront donc pas valides), pourvu qu’il se souvienne de cela au moment où il fera le vœu.” (Les parenthèses se trouvent dans l’Édition Soncino.)

[ 1 ] Cela pourrait être l’origine de la coutume de réciter le Kol Nidre (une formule pour la dispense de suivre les vœux) avant la cérémonie ayant lieu la veille du jour de l’expiation des péchés (Ran). (…) Bien qu’une référence au début de l’année soit faite ici, le jour de l’expiation des péchés a probablement été choisi pour sa grande solennité. Mais en tant que partie intégrante du rituel de cette journée, le Kol Nidre est postérieur au Talmud, et comme la déclaration suivante de Rabbi Huna ben Hinene nous l’apprend : “la loi de révocation par avance n’a pas été rendue publique”. »

L’étude la plus sérieuse de la prière du Kol Nidre (« De tous les vœux… ») nous a été laissée par le Professeur Théodore Reik, éminent psychanalyste, l’un des disciples directs du Docteur Sigmund Freud. L’analyse qu’il fait du contexte historique, religieux et psychologique, ayant donné naissance à la prière du Kol Nidre, nous présente le Talmud sous son jour véritable. Cette étude fondamentale apparaît dans le premier livre du Professeur Reik, intitulé : Le Rituel, Étude psychanalytique. À la page 168 de l’ouvrage, dans le chapitre consacré au Talmud, le Professeur Reik écrit :

« Ce texte a pour effet de déclarer invalides tous les vœux pris par le croyant, entre un jour de l’expiation des péchés et le suivant ».

Maintenant, mon cher Docteur Goldstein, avant de vous expliquer comment la terminologie actuelle du Kol Nidre fut introduite dans la cérémonie du jour de l’expiation des péchés, j’aimerais vous citer un autre passage de l’Encyclopaedia Judaica… L’Encyclopaedia Universalis Judaica confirme le fait que la prière du Kol Nidre ne doit pas être entendue dans un quelconque sens spirituel, comme on pourrait le croire, compte tenu du fait qu’elle est récitée pour ouvrir la cérémonie du jour de l’expiation des péchés[4]. À la page 441 du volume VI, l’Encyclopaedia Judaica indique, sans l’ombre d’un doute, quel est le sens du Kol Nidre :

« Le Kol Nidre n’a absolument rien à voir avec l’idée générale qui se dégage du jour de l’expiation des péchés (…). En outre la prière du Kol Nidre a atteint une popularité et une gravité extraordinaire en raison du fait qu’elle est la première prière récitée le jour le plus saint du judaïsme. »

Mon cher Docteur Goldstein, préparez-vous à connaître le plus grand choc de toute votre vie… car maintenant que vous connaissez le sens véritable du Kol Nidre, vous allez être consterné d’apprendre qu’un grand nombre d’Églises protestantes font sonner leurs cloches le jour de l’expiation des péchés, pour célébrer ce jour sacré avec les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés tels)… Comment la hiérarchie ecclésiastique peut-elle être aussi stupide ?

Après ce que j’ai pu apprendre par une investigation superficielle, je me demande s’il s’agit d’un cas de stupidité, ou plus exactement de cupidité. Avec ce que vous savez déjà, et avec ce que vous allez encore apprendre avant la fin de cette lettre, vous pourrez trancher vous-même cette question, et me dire s’il s’agit d’un cas de stupidité, ou bien d’un cas de cupidité.

L’article suivant a été publié dans le World Telegram de New York, le 7 octobre, il y a seulement quelques jours. Le titre de l’article était : « LES FESTIVITÉS JUIVES FINIRONT AU COUCHER DU SOLEIL », et compte tenu de la disposition du journal, il était complètement impossible de manquer cet article :

« Toutes les synagogues et les temples protestants de la ville étaient bondés hier soir, quand la fête de 24 heures allait démarrer. Le Docteur Normal Salit, président du Conseil des Synagogues d’Amérique qui représente les trois principales confessions israélites, a invité les pratiquants de toutes les autres religions à se joindre à la fête. (…) Rompant les barrières religieuses, un grand nombre d’Églises protestantes de la ville firent retentir leurs cloches la nuit dernière, afin de sonner le Kol Nidre, mélodie traditionnelle utilisée pour ouvrir la fête de Yom Kippur. Ce geste de bonne volonté avait été suggéré par le Conseil Protestant de Manhattan. »

Voilà qui surpasse tout ce qui est jamais parvenu jusqu’à mon attention concernant l’ignorance et l’indifférence du clergé chrétien, face aux aléas que connaît la foi chrétienne aujourd’hui. D’après mes contacts personnels dans un passé récent avec l’Office Protestant de Manhattan, je n’ai que peu d’espoir de les voir nous aider un jour, dans une défense commune des intérêts du christianisme, face à ses ennemis consacrés. À chaque fois que nous aurions pu nous rencontrer pour aborder le problème, ils ont plié sous la pression exercée sur eux par « leurs contacts dans le monde juifs ». Si la situation n’était pas si tragique, je crois que de telles déclarations pourraient faire rire à gorge déployée… « De nombreuses églises chrétiennes ont fait carillonner leurs cloches » ! ainsi que le rapporte le Conseil Protestant, « afin de sonner le Kol Nidre, la mélodie traditionnelle utilisée pour ouvrir la fête de Yom Kippur »… Bon Dieu ! Il y a bien là pourtant un objet de risée, et ce sont les chrétiens, ils sont roulés dans la farine par ces « juifs » (prétendus ou autoproclamés) ! Mais enfin, où donc commence l’abus de confiance ? et quand finira la violation de la foi !

Les termes actuels de la prière du Kol Nidre datent du XIe siècle. Un revirement politique en Europe orientale, a contraint les prétendus ou autoproclamés « juifs » qui s’y trouvaient, à adopter la terminologie actuelle pour la prière du Kol Nidre. Cette affaire capitale nécessite que je vous raconte toute l’histoire des prétendus ou autoproclamés « juifs » d’Europe orientale. Mais avant de vous raconter ici, le plus brièvement possible, l’histoire des « juifs » de l’Europe orientale, j’aimerais citer un autre passage assez court de l’Encyclopaedia Judaica. En tant qu’analyse des événements qui provoquèrent le choix de la terminologie actuelle de la prière du Kol Nidre, la page 540 du volume VII de l’Encyclopédie Judaica nous donne :

« Une altération importante dans la terminologie du Kol Nidre a été faite par le beau-fils de Rashi : Meir ben Samuel, qui a changé l’expression originale : “depuis le dernier jour de l’expiation des Péchés jusqu’à celui-ci” en : “depuis ce jour de l’expiation des péchés jusqu’au suivant” ».

Vous ne me contredirez pas, mon cher Docteur Goldstein, si je vous dis que Meir ben Samuel savait pertinemment ce qu’il faisait, lorsqu’il a introduit cette nouvelle terminologie. En effet, cette forme altérée du Kol Nidre accorde à celui qui la prononce la dispense de respecter tout serment, tout vœu, ou tout engagement, au cours de toute l’année qui va suivre. Exactement comme ces licences que le gouvernement fédéral accorde pour un an. La version altérée du Kol Nidre confère l’impunité par avance, à ceux qui ne voudraient pas observer leurs serments, leurs vœux, ou leurs engagements. Mais attention, chaque année il est nécessaire de « recréditer » cette licence qui révoque automatiquement par avance tous les serments, les vœux, ou les obligations qui seront prises au cours de l’heureuse année qui vient. La seule condition formelle est de se montrer à nouveau dans une synagogue, chaque jour de l’expiation des péchés, et de réciter à nouveau la formule magique du Kol Nidre. Mon cher Docteur Goldstein, aurais-je le culot de vous demander si vous approuvez cela ?

Les notes de l’Édition Soncino sur le passage contenant la première formulation du Kol Nidre, nous indiquent que cette prière a été choisie comme l’ouverture du jour de l’expiation des péchés, longtemps après que la rédaction du Talmud ait été achevée (entre 500 et 1000 de notre ère) : « le Kol Nidre, comme part du rituel du jour de l’expiation des péchés, est postérieur au Talmud. » Cela confirme que Meir ben Samuel, qui est l’auteur de cette version altérée du Kol Nidre, vécut au 11e siècle de notre ère. De plus, les « juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés), virent évidemment qu’il serait judicieux de cacher aux chrétiens leur attitude vis-à-vis des serments, des vœux, etc., comme l’atteste cette seconde phrase de la note de l’Édition Soncino : « la loi de révocation par avance des vœux, n’a pas été rendue publique… »

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[1] La fête de Yom Kippur. Article de l’Encyclopaedia Universalis 1996 : 

« La plus solennelle des fêtes religieuses juives, (…). Au cours de cette fête de l’Expiation des péchés, on restaure la relation d’amitié du fidèle avec Dieu. (…) La confession des péchés est accompagnée de prières de supplication par lesquelles on implore le pardon divin (…). À l’origine, le grand prêtre exécutait au Temple une cérémonie sacrificielle complexe (…). À la fin de la cérémonie, on conduisait au désert, où il était voué à la mort, un bouc émissaire qui portait symboliquement les péchés de la nation. (…) La veille du Yom Kippur, l’office synagogal commence avec le Kol Nidre, qui est suivi d’une absolution. »

[2] Cette ouverture se fait un soir, et la fête dure 24 heures.

[3] Kol Nidre étant les deux premiers mots de la prière : « De tous les vœux (…) nous nous repentons. »

[4] Le « jour du Grand Pardon », et que par conséquent, en suivant une logique assez corrompue, le Kol Nidre ne serait pas un acte répréhensible que l’on entend commettre avec la bénédiction du rabbin, mais serait au contraire un péché, pour lequel on demande pardon au cours de cette cérémonie…




D.090 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 5

 

4. Qu’est-ce que le Talmud ?

Mais dans le cas où vous n’auriez pas encore eu l’opportunité d’examiner le contenu des 63 livres du Talmud — ouvrage si bien résumé par le rabbin Morris N. Kertzer dans son brillant article « Qu’est-ce qu’un Juif ? » — puis-je abuser de votre bonté et de votre temps, en citant ici pour vous quelques passages de ce texte sacré ; jusqu’à ce que vous trouviez le temps d’étudier personnellement le Talmud d’une manière qui vous soit plus commode (quand ce jour sera venu, si je puis me révéler pour vous d’une assistance quelconque, je vous prie de ne pas hésiter à me le faire immédiatement savoir).

Mon cher Docteur Goldstein, si vous rassembliez tous les écrits de tous les auteurs de tous les temps, qui de près ou de loin mentionnèrent la personne de Jésus-Christ, ou firent allusion aux chrétiens ou à la foi chrétienne, vous ne trouverez jamais de plus exécrables insultes, ni de blasphèmes plus odieux que ceux qui jalonnent les pages de ces 63 livres du Talmud, texte qui est, nous dit-on, « le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », tout comme « le livre qui est utilisé pour la formation des rabbins ». La lecture du Talmud dans le texte, va vous ouvrir les yeux comme jamais ils ne l’ont été auparavant. Le Talmud couvre d’opprobre la personne de Jésus-Christ, les chrétiens et la foi chrétienne, comme ils ne l’avaient jamais été au cours de ces 20 siècles de sacrifice, pendant lesquels les chrétiens transmirent au monde entier un héritage culturel et spirituel sans égal. Les mots que vous allez lire sont foncièrement indécents, obscènes, vils, et orduriers, et je vous en présente mes excuses par avance, mais ce sont des citations mot pour mot de la traduction intégrale officielle du Talmud en langue anglaise. Préparez-vous à une surprise.

En 1935, les grands pontes du rabbinisme international, décidèrent pour la première fois dans toute l’histoire du judaïsme de publier une traduction intégrale officielle et annotée des 63 livres du Talmud dans une langue profane, et ils choisirent bien évidemment la langue anglaise. Quelle force a bien pu les conduire à commettre une telle faute stratégique, cela restera l’un des mystères de l’histoire humaine… Peut-être sous-estimèrent-ils tout simplement le risque, et qu’ils n’entreprirent cette traduction que parce qu’un si grand nombre de « Juifs » de la nouvelle génération (prétendus ou autoproclamés tels) sont absolument incapables de comprendre les différentes langues utilisées dans la rédaction originale du Talmud.

Les grands pontes du rabbinisme international sélectionnèrent donc les meilleurs érudits pour établir cette traduction. Ces savants très réputés rédigèrent également de nombreuses notes de bas de page, destinées à éclaircir la traduction lorsqu’une telle chose leur semblait nécessaire. La traduction intégrale officielle et annotée du Talmud en langue anglaise parut en 1935 chez Soncino Press. Elle a toujours été désignée depuis comme l’Édition Soncino du Talmud. Elle ne fut évidemment tirée qu’à un nombre très restreint d’exemplaires et ne fut pas non plus proposée à la vente pour le grand public. Néanmoins, l’Édition Soncino peut encore se trouver à la Bibliothèque du Congrès, ainsi qu’à la bibliothèque publique de New York. J’ai eu la chance d’avoir accès à un exemplaire de cette édition pendant de nombreuses années ; car aujourd’hui tous les exemplaires sont devenus de précieux objets de collection.

Si elle eut son utilité pour les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), l’Édition Soncino du Talmud n’en reste pas moins une arme à double tranchant. Si elle permit à nouveau l’enseignement du Talmud à des millions de jeunes « Juifs » (prétendus ou autoproclamés tel), elle a en contrepartie le regrettable effet d’instruire aussi quelques chrétiens, au sujet de ce que le Talmud avait à dire sur Jésus, ou sur les chrétiens, ou encore sur la foi chrétienne. Et cet effet secondaire est bien parti pour se retourner contre eux, un de ces jours prochains. Un jour, les chrétiens vont avoir le regret de mettre en doute d’une manière assez appuyée que le Talmud soit « la source de laquelle Jésus de Nazareth a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde ». Le tonnerre gronde même déjà de place en place, ne l’entendez-vous pas ?

Maintenant, mon cher Docteur Goldstein, j’ai bien peur de ne plus pouvoir attendre pour faire place ici, à des citations scrupuleusement exactes de l’Édition Soncino. Mes commentaires pour en souligner l’énormités seront superflus, vous le verrez très vite. Je n’éprouve pas trop de scrupules à vous faire parvenir de telles obscénités par la poste, car l’Édition Soncino du Talmud ne figure pas sur la liste des envois interdits, je me suis renseigné auprès du bureau fédéral. Quoi qu’il en soit, je vous présente à nouveau mes excuses pour ces termes, que la nécessité seule me force à mettre sous vos yeux. Je pense que vous allez me comprendre.

Si j’en crois ce qui est marqué sur la première page, l’édition intégrale du Talmud fut « traduite en anglais avec notes, glossaire et index » par des érudits es Talmud aussi éminents que le Rabbin Docteur I. Epstein, le rabbin Docteur Samuel Daiches, le rabbin Docteur Israël W. Slotki (M.A.[1]), le Docteur A. Cohen (M.A., Ph.D.), Maurice Simon (M.A.), et le très révérend Docteur J.H. Hertz, qui se fit en outre l’auteur de la préface, et qui à cette époque était également Grand Rabbin d’Angleterre.

Les citations suivantes sont un petit échantillon de toutes celles que j’ai pu relever dans l’Édition Soncino du Talmud, livre duquel Jésus-Christ aurait « puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » :

SANHÉDRIN, 55b-55a :

« Qu’a-t-il été dit par là : — Rab a dit[2] : “La pédérastie [ 1 ] avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.” Samuel a dit : “La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.” [ 2 ] Quelle est la base de leur désaccord ? – Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait être capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’être un sujet actif, ne peut être considéré comme le sujet passif d’un acte de pédérastie. [ 3 ] Samuel soutient quant à lui que l’Écriture dit : “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme” [ 4 ]. Il a donc été enseigné, conformément à l’avis de Rab, que le crime de pédérastie n’est qualifié qu’à partir de neuf ans et un jour ; (55a) mais celui qui commet la bestialité, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’être abusée d’une manière bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de châtiment. [ 5 ] »

[ 1 ] On se place ici du point de vue du sujet passif de la sodomie. Ainsi qu’il a été établi plus haut en 54a, la culpabilité est encourue par le sujet actif de la sodomie, même si le sujet passif est un mineur (rappel : moins de treize ans). Cependant, une nouvelle distinction va être faite maintenant pour les sujets passifs ayant moins de treize ans.

[ 2 ] Rab place le minimum à neuf ans ; mais si la sodomie est pratiquée sur un enfant plus jeune, aucune culpabilité n’est encourue. Samuel, lui, fait de trois ans le minimum.

[ 3 ] À neuf ans, un enfant mâle a atteint la maturité sexuelle.

[ 4 ] LÉVITIQUE XVIII, 22.

[ 5 ] Explications depuis “Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour qui commet…” : Nous observons ainsi trois clauses distinctes dans cette Baraitha[3]. La première (“Un enfant mâle âgé de neuf ans et un jour”) concerne le sujet passif de la pédérastie, la peine est alors encourue par le sujet actif adulte. Tel doit être le sens profond ici, car d’une part, le sujet actif n’est jamais explicitement désigné comme étant de sexe masculin, cela doit se comprendre spontanément, exactement comme on le comprend spontanément lorsque la Bible dit “Tu ne coucheras pas avec un homme…” où seul le sexe du sujet actif est stipulé ; et d’autre part, si l’âge de référence avait été celui du sujet actif, la culpabilité étant alors encouru par un sujet passif adulte, pourquoi alors avoir fait un cas précis du crime de pédérastie ? puisque dans tout crime d’inceste commis par l’enfant, le sujet adulte passif n’encourt aucune culpabilité, à moins bien sûr, que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans et un jour. C’est pourquoi cette Baraita a retenu l’affirmation de Rab selon laquelle le sujet adulte est condamnable, quand le sujet passif a plus de neuf ans et un jour. »

Mon cher Docteur Goldstein, avant de vous citer plus amplement ce livre, duquel il est faussement dit que Jésus-Christ « a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde », j’éprouve le besoin de rappeler à votre attention la déclaration officielle que le rabbin Morris N. Kertzer fit dans le numéro du 17 juin 1952 de Look Magazine. Dans cette déclaration faite au nom du Comité Israélite d’Amérique du Nord (« le Vatican du Judaïsme »), le rabbin Morris N. Kertzer informait les 20 millions de lecteurs de Look Magazine que le Talmud est « le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », et qu’il est par la même occasion « le livre utilisé pour la formation des rabbins ». Je vous prie de garder cela à l’esprit pour la suite de votre lecture.

Avant de continuer, je voudrais également attirer votre attention sur un autre article. Confirmant la déclaration officielle du rabbin Morris N. Kertzer. Le New York Times du 20 mai de cette année a publié un article intitulé : « Les rabbins projettent de réunir des fonds pour la création de deux chaires » ; l’article commence de la façon suivante :

« Annonce spéciale pour le New York Times, Uniontown, Pa. – Un projet pour collecter 500 000 $ pour la création de deux chaires au Séminaire de Théologie Juive d’Amérique a été annoncé aujourd’hui lors de la 54e convention annuelle de l’Assemblée des Rabbins d’Amérique. Les deux chaires porteront ce nom : CHAIRES LOUIS GINSBERG, CONNAISSANCE DU TALMUD. »

Ceci pour apporter une preuve supplémentaire que le Talmud n’est pas resté lettre morte pour la formation des rabbins d’aujourd’hui. En voulez-vous une autre confirmation ?

La voici : les spécialistes mondiaux du Talmud confirment que l’Édition Soncino est une traduction très fidèle et qu’elle suit presque mot à mot le texte original. Dans l’Histoire du Talmud, écrite en collaboration avec le célèbre Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson déclare encore :

« Comme conclusion de ce premier volume, nous voudrions inviter le lecteur à jeter un coup d’œil en arrière sur tout le passé du Talmud, (…) il verra que non seulement le Talmud n’a pas été détruit, mais que pas même une seule lettre n’en est tombée, et qu’aujourd’hui il s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire. (…) Le Talmud est l’une des merveilles du monde. À travers les 20 siècles de son existence il a survécu dans son intégralité, et non seulement ses ennemis n’ont pas réussi à en détruire une seule ligne, mais encore ils n’ont pas même été capable d’en diminuer le rayonnement à une époque quelconque. Le Talmud domine toujours les esprits d’un peuple entier, qui vénère son contenu comme vérité divine (…). Des écoles destinées à l’enseignement du Talmud apparaissent et se multiplient dans presque chaque ville où Israël est présent, et particulièrement dans ce pays où des millions sont collectés pour les caisses de deux universités : le Hebrew Union College de Cincinnati, et le Séminaire de Théologie Juive d’Amérique de New York, et dans lesquelles l’objet d’étude principal n’est autre que le Talmud. (…) Il existe également dans notre ville des maisons d’étude (Jeshibath) pour apprendre le Talmud dans les quartiers de l’East Side, et où de nombreux jeunes étudient quotidiennement le Talmud. »

Cette « vérité divine » que « vénère tout un peuple » et de laquelle « pas une seule lettre n’est tombée », et qui aujourd’hui « s’épanouit à un degré jamais rencontré dans toute son histoire », s’illustre parfaitement par cette nouvelle citation mot pour mot :

SANHÉDRIN, 55b :

« Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie). » (Les parenthèses de ces citations sont dans l’Édition Soncino.)

[ 3 ] Une variante de ce passage est : « Y a-t-il une chose qui soit permise à un Juif et qui soit interdite à un païen. Le rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles est permis à un Juif. »

[ 4 ] En considérant les deux en même temps, la dernière comme une illustration de la première, on apprend que la peine relative à la violation du commandement : « À sa femme oui, mais pas à la femme de son voisin » ne s’applique que pour les rapports naturels, mais pas pour les rapports qui ne sont pas naturels.[4] »

SANHÉDRIN, 69a :

« “Un homme” : — De ce qui précède, je ne connais la teneur de la loi qu’à l’égard d’un homme adulte, mais qu’est-il dit pour les enfants qui sont âgés de neuf ans et un jour, et qui sont capables d’avoir des rapports sexuels ? Et cela depuis le vers : “Et si un homme…” ? [ 2 ] – Il répondit : “Un mineur de cette âge peut produire de la semence, mais ne peut pas engendrer avec elle, car sa semence est comme la graine des céréales qui n’en sont qu’aux deux tiers de leur croissance.” [ 3 ]

[ 2 ] “Et” indique une extension de la loi, et doit être interprété comme un préparation à l’inclusion du cas d’un mineur âgé de neuf ans et un jour.

[ 3 ] De telles céréales contiennent des graines, mais si on les sème, elles ne pousseront pas. »

SANHÉDRIN, 69b :

« Nos rabbins ont enseigné la chose suivante : Si une femme s’exhibe avec obscénité avec son jeune fils (un mineur), et que celui-ci commette la première phase de rapports sexuels avec elle[5], Beth Shammai dit qu’il la rend par là inapte au sacerdoce. [ 1 ] Mais Beth Hillel dit qu’elle est encore apte au sacerdoce. (…) Mais ils s’accordent tous deux pour dire que le rapport sexuel que fait un garçon de neuf ans et un jour, est un vrai rapport sexuel, tandis que celui fait par un garçon de moins de huit ans ne l’est pas [ 2 ], leur désaccord ne porte que sur le cas d’un garçon qui a huit ans.

[ 1 ] C’est-à-dire qu’elle devient une prostituée, et les prêtres ne doivent pas prendre des prostituées pour femme (LÉV XXI, 7).

[ 2 ] C’est-à-dire que si son fils a neuf ans et un jour, ou plus, Beth Hillel pense qu’elle est impropre à la prêtrise ; alors que s’il a moins de huit ans, Beth Shammai pense qu’elle est apte à la prêtrise. »

KETHUBOTH, 5b : 

« La question suivante fut posée : Est-il autorisé [ 15 ] d’accomplir le premier acte conjugal le jour du sabbat ? [ 16 ] Est-ce que le sang (qui apparaît dans l’utérus) est considéré comme à sa place naturelle [ 17 ], ou bien est-il considéré comme le résultat d’une blessure ? [ 18 ]

[ 15 ] Littéralement, “ Qu’en est-il… ? ”

[ 16 ] Quand ce rapport ne peut être accompli avant le sabbat (Tosaf).

[ 17 ] Et alors le rapport serait autorisé, puisque le sang coule de son propre fait, aucune blessure n’ayant été faite.

[ 18 ] Littéralement, “ou bien est-il blessé ?” Et alors le rapport serait interdit. »

KETHUBOTH, 10a-10b :

« Un homme se présenta à Rabban Gamaliel, le fils de Rabbi, (et) il dit : “Maître, j’ai eu un rapport (avec ma nouvelle femme) et je n’ai pas trouvé de sang. Elle (la femme) : “Maître, je suis vierge”. Il leur dit : “Amenez-moi deux servantes, l’une vierge, et l’autre qui a eu un rapport sexuel avec un homme. Ils lui amenèrent (les deux servantes), et ils les fit s’asseoir sur un tonneau de vin. Pour celle qui n’était plus vierge, l’odeur [ 1 ] passait au travers [ 2 ] ; pour celle qui était vierge, l’odeur ne passait pas au travers [ 3 ]. Il fit (ensuite) asseoir celle-ci (la jeune épouse) aussi (sur le tonneau), et l’odeur [ 4 ] ne passait pas à travers elle[6]. Il [ 5 ] dit à l’homme [ 6 ] : “Va, et sois heureux dans ton union”. [ 7 ] Mais il aurait dû examiner la femme tout au début. [ 8 ]

[ 1 ] C’est-à-dire, l’odeur du vin.

[ 2 ] On pouvait sentir l’odeur du vin dans la bouche de la femme (Rabbi Rashi).

[ 3 ] On ne sentait pas l’odeur du vin dans la bouche.

[ 4 ] C’est-à-dire, l’odeur du vin.

[ 5 ] Rabban Gamaliel.

[ 6 ] Le mari.

[ 7 ] Le test a révélé que la femme était vierge.

[ 8 ] Le rédacteur se demande pourquoi Rabban Gamaliel n’a pas fait tout de suite l’expérience avec la jeune épouse.[7] »

KETHUBOTH, 11a-11b :

« Rabba a dit que ça voulait dire ceci [ 5 ] : “Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là [ 6 ], c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil [ 7 ] ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où “ une fille est pénétrée par un morceau de bois”.

[ 5 ] Lit., “ça disait ceci”

[ 6 ] Lit., “qu’ici”, c’est-à-dire, quand elle a moins de trois ans.

[ 7 ] Les larmes reviennent toujours dans les yeux, de même, la virginité d’une petite fille qui n’a pas encore trois ans revient toujours.[8]  »

KETHUBOTH, 11a-11b :

« Rab Judah a dit que Rab avait dit : “Un petit garçon qui a des rapports avec une femme adulte la rend comme si elle était pénétrée par un morceau de bois. [ 1 ]

[ 1 ] Bien que les rapports avec un petit garçon ne sont pas considérés comme un acte sexuel, nous restons dans le cas où la femme est pénétrée par un morceau de bois. »

HAYORATH, 4a :

« Ce qu’on a appris : “La loi concernant la femme qui a ses règles se trouve dans la Torah [ 1 ], mais si un homme a des rapports sexuels avec une femme qui attends pendant tout un jour, entre le lever et le coucher du soleil, il est exempté de suivre cette loi”. Mais pourquoi ? [ 2 ] (Car la loi concernant) la femme qui a ses règles est à coup sûr mentionnée dans les Écritures : “Il a découvert son flux avec sa nudité…” ; à coup sûr, cela est écrit ! – Ils ont sûrement légiféré que par les voies naturelles, même la première étape des rapports est interdite, mais que par les voies qui ne sont pas naturelles la première étape peut se faire (c’est à dire que cette législation le permettrait) [ 3 ] ; certains pensent qu’on peut même l’autoriser [ 4 ] par les voies naturelles [ 5 ], prétextant que (l’interdiction de) la première étape [ 6 ] ne concerne que la femme qui a ses règles à son époque normale [ 7 ]. Ou si vous préférez, la règle devait être qu’une femme n’est considérée comme zabah [ 8 ] que pendant le jour, car il est écrit “tous les jours de son flux” [ 9 ].[9]

[ 1 ] LEV XX, 18.[10]

[ 2 ] Cf. supra p. 17 note 10. Puisqu’elle est considérée comme impure dans la Bible, comment se peut-il qu’une législation de tribunal ait déclaré que celui qui a des rapports sexuels avec elle, est exempté de la loi biblique ?[11]

[ 3 ] Seul le coït était interdit dans ce cas.

[ 4 ] La première étape des rapports.

[ 5 ] Autorisant ainsi un acte que les Sadducéens n’admettaient pas.

[ 6 ] Cf. LEV XX, 18.[12]

[ 7 ] Cf. LEV XV, 25.[13]

[ 8 ] Une femme qui a un flux de sang en dehors de la période habituelle de ses règles, et qui de ce fait est sujette à certaines lois relatives à l’impureté et à la purification (LEV XV, 25 et suivants).

[ 9 ] LEV XV, 25. L’insistance étant faite sur le mot “jours”.[14] »

ABODAH ZARAH, 36b-37a :

« Rabbi Naham ben Isaac a dit : “Au sujet des enfants païens, ils[15] décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme [ 2 ], et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux[16]. (…) À partir de quelle âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. (37a) Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.” Rabina a dit : “Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginale.”

[ 2 ] Bien que l’enfant païen ne souffrit d’aucun écoulement séminal[17]. »

SOTAH, 26b :

« Rabbi Papa a dit : “Cela ne concerne pas les rapports avec un animal, parce qu’il ne peut pas y avoir d’adultère avec les animaux [ 4 ].” Raba de Parazika [ 5 ] interrogea Rabbi Ashi en ces termes : “Sur quoi se base cette affirmation des rabbins selon laquelle il n’y a pas d’adultère dans les relations sexuelles avec un animal ? Car il est écrit : ‘Tu n’apporteras pas le salaire d’une prostituée ni le salaire d’un chien dans le temple du Seigneur…’ [ 6 ] ; et il a été aussi enseigné que le salaire d’un chien [ 7 ] et le salaire d’une prostituée [ 8 ] sont inacceptables, car il est dit : ‘L’un et l’autre… [ 9 ]’ ” – Les deux sont des abomination comme le fait de coucher [ 10 ] avec un homme (…). Abaye lui a répondu que dans ce cas c’était seulement un acte obscène, et non un adultère, et que le Tout-Miséricordieux n’interdisait pas une femme à son mari pour un acte obscène.

[ 4 ] Elle[18] ne se retrouverait pas interdite à son mari après avoir couché avec une bête.

[ 5 ] Farausag, près de Baghdad, voir volume B.B. page 15 note 4, où la distinction est faite entre lui et le rabbin du même nom qui y vivait avant lui.

[ 6 ] DEUT. 23, 18.[19]

[ 7 ] Il s’agit de l’argent donné par un homme à une prostituée pour avoir des relations sexuelles avec son chien[20]. De telles relations sexuelles ne tombent pas sous le coup de l’adultère légal.

[ 8 ] Si un homme a une esclave femelle, qui est également une prostituée, et qu’il l’échange contre un animal, cet animal peut alors être vendu pour faire l’offrande[21].

[ 9 ] sont une abomination pour le Seigneur (ibid.).

[ 10 ] Dans le verset LEV. XVIII, 22[22], le mot hébreu qui a été traduit par « coucher avec » est au pluriel, ce qui a été expliqué comme désignant également des rapports par les voies qui ne sont pas naturelles.

YEBAMOTH, 55b :

« (…) Ne sont pas passibles[23], les rapports sexuels avec une femme mariée effectués avec un membre mou [ 13 ]. Ce qui nous permet de conserver une interprétation en accord avec ceux qui disent que si un homme a des rapports avec un parent à lui, parent faisant partie des proches qu’il n’a pas le droit de toucher après leurs morts[24], mais que ce rapport sexuel ait été effectué avec un membre mou, cet homme est innocenté [ 14 ]. Mais que peut-on dire maintenant à propos de ceux qui disent que pour un tel acte, un homme est quand même coupable ? – Ceux-là parlent du cas où le rapport sexuel a lieu avec la morte elle-même [ 15 ]. Car il a été présumé qu’une femme, même après sa mort, appartient toujours le cas échéant à la catégorie des parents qu’il est interdit de toucher [ 16 ], on se rend donc coupable en ayant des rapports sexuels avec son corps, car c’est toujours une femme mariée. Mais dans le cas d’une parente vivante, on est innocenté si le rapport sexuel est fait avec un membre mou.

[ 13 ] Car aucune fécondation ne peut avoir lieu.

[ 14 ] Shebu. 18a, Sanhédrin 55a.

[ 15 ] La morte étant une femme mariée.[25]

[ 16 ] Référence à LEV. XXI, 2[26], où sont énumérés les parents avec lesquels un prêtre a le droit de se souiller à l’occasion de leurs morts. »

YEBAMOTH, 103a-103b :

« Le serpent copula avec Ève [ 14 ] avec toute son animalité. L’animalité des Israélites disparut lorsqu’ils se tenaient au Mont Sinaï [ 16 ]. Mais l’animalité des idolâtres, qui n’étaient pas au mont Sinaï, demeura.[27]

[ 14 ] Dans le jardin d’Éden selon la tradition.

[ 16 ] Et connurent l’influence purificatrice de la Révélation divine. »

YEBAMOTH, 63a :

« Rabbi Éléazar demande un peu plus loin : “Qu’est-il signifié par ce passage des Écritures : ‘Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair’ ?” – Ce passage enseigne qu’Adam a eu des rapports sexuels avec toutes les bêtes et tous les animaux, mais ne trouva de satisfaction qu’avec Ève.

[ 5 ] GEN. II, 23.[28] L’accent est mis sur “Celle-ci enfin…”[29] »

YEBAMOTH, 60b :

« Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : “Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte [ 13 ] qui n’avait pas encore trois ans et un jour [ 14 ], et Rabbi a déclaré : ‘Elle peut vivre avec un prêtre. [ 15 ]’ ”

[ 13 ] Et qui était mariée à un prêtre.

[ 14 ] Une prosélyte plus jeune que l’âge de trois ans et un jour, peut être mariée à un prêtre.

[ 15 ] C’est-à-dire qu’il lui fut permis de continuer de vivre avec son mari. »

YEBAMOTH, 59b :

« Rabbi Shimi ben Hiyya a déclaré : “Une femme qui a des rapports avec une bête peut épouser un prêtre [ 4 ]. Car on nous a enseigné qu’une femme qui a des rapports sexuels avec ce qui n’est pas un être humain [ 5 ] est autorisée à se marier avec un prêtre, bien qu’elle soit néanmoins passible de la lapidation. [ 6 ]

[ 4 ] Même un Grand Prêtre. Les conséquences d’un tel rapport sexuel ne sont considérées que comme une rupture accidentelle de l’hymen, et le jugement qui concerne un hymen rompu par accident et ne disqualifiant donc pas à la prêtrise, s’applique ici naturellement.

[ 5 ] Une bête.[30]

[ 6 ] Si le péché a été commis en présence de témoins, et après que ces témoins aient dûment averti ceux qui s’apprêtaient à commettre le péché.[31] »

YEBAMOTH, 12b :

« Rabbi Bebai a récité tous ces cas particuliers devant Rabbi Naham : “Trois catégories de femmes peuvent [ 7 ] utiliser un absorbant [ 8 ] dans leurs relations sexuelles avec leur mari [ 9 ]. Une mineure, une femme enceinte, et une nourrice. La mineure parce qu’elle pourrait (sinon) devenir enceinte, et ainsi pourrait mourir (…)”

Et quel doit être l’âge de cette mineure [ 10 ] ? Entre onze ans et un jour et douze ans et un jour. Celles qui sont plus jeunes [ 11 ], ou celles qui sont plus vieilles [ 12 ], doivent avoir des relations sexuelles avec leurs maris de la manière habituelle. »

[ 7 ] devraient (Rashi. R. Tam), voir Tosaf V.

[ 8 ] Du duvet, de la laine ou du lin.

[ 9 ] Pour empêcher la conception.

[ 10 ] Qui pourrait concevoir, mais qui risque aussi de mourir.

[ 11 ] Pour qui la conception est impossible.

[ 12 ] Pour qui la conception est sans danger. »

YEBAMOTH, 59b :

« Quand Rabbi Dimi arriva [ 8 ],il raconta ceci : “Il est arrivé un jour à Haitalu [ 9 ] que pendant qu’une jeune femme balayait le sol [ 10 ], un chien du village [ 11 ] la couvrit par l’arrière [ 12 ], mais Rabbi lui permit d’épouser un prêtre.” Samuel a dit : “Même un Grand Prêtre !” »

[ 8 ] De Palestine, quand il arriva de Palestine à Babylone.

[ 9 ] Forme babylonienne pour « Aitulu », qui correspond à la ville moderne de Aiterun, au nord ouest de Kadesh. Voir S. Klein Beitrage p. 47.

[ 10 ] Litt. “la maison”.

[ 11 ] Ou “un gros chien de chasse” (Rashi), ou “un chien féroce” (Jast.), ou “un petit chien sauvage” (Aruk).

[ 12 ] Un cas de rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles. »

KETHUBOTH, 6b :

« Il lui dit : “C’est pas comme ces Babyloniens, qui n’ont pas le talent pour remuer de côté [ 7 ], il y en a ici beaucoup qui ont ce talent [ 8 ], et s’il l’a [ 9 ], pourquoi s’inquiéter ? [ 10 ] – Mais s’il ne l’a pas, alors il faut lui dire : ‘Celui qui a ce talent est autorisé à faire le premier rapport sexuel avec sa nouvelle femme le jour du Sabbat, celui qui ne l’a pas n’y est pas autorisé.’ – Mais la plupart ont ce talent [ 11 ]”. Mais Raba, le fils de Rabbi Hanan dit à Abaye : “Si tel était le cas, alors à quoi bon la présence du serviteur [ 12 ], et à quoi bon le drap ? [ 13 ]” – Mais Abaye lui répondit : “Le serviteur et le drap sont nécessaires parce que le mari, laissé seul, pourrait détruire la preuve de la virginité de sa femme [ 14 ].”

[ 7 ] C’est-à-dire, le talent d’avoir des rapports sexuels avec une vierge sans que du sang n’apparaisse.

[ 8 ] Avec ce talent, aucun sang ne sort, et le “coupez-lui la tête et ne le laissez pas mourir”[32] n’aura pas lieu d’être appliqué.

[ 9 ] Si le futur marié a le talent de remuer de côté[33].

[ 10 ] Le rabbin n’a pas à s’inquiéter si un tel rapport se produit. Cela ne l’empêchera pas de lire le Shema[34].

[ 11 ] Par conséquent, la loi : “coupez-lui la tête et ne le laissez pas mourir !” ne s’applique pas.

[ 12 ] Le serviteur témoigne en cas de besoin de la virginité de la mariée. V. infra 12a. Et si le mari accomplit l’acte sexuel de manière à éviter que le sang n’apparaisse, grâce à la présence du serviteur qui le verra, il ne pourra pas prétendre qu’elle n’était pas vierge.

[ 13 ] Pour fournir la preuve de la virginité de la mariée. Cf. DEUT. XXII, 17.[35]

[ 14 ] Il pourrait arriver que le mari fasse délibérément l’acte sexuel de la manière normale, et provoque alors l’apparition du sang, et qu’il détruise ensuite le drap ou les autres marques de sa virginité ; c’est pourquoi les précautions mentionnées sont nécessaires. Ou bien s’il advenait que le mari remue de côté, et qu’il en profite pour dire faussement que la mariée n’est pas vierge, mais grâce au serviteur, la femme pourra plaider qu’elle est encore vierge. »

Mon cher Docteur Goldstein, après que vous ayez personnellement pris connaissance de ces citations rigoureusement fidèles du Talmud dans l’Édition Soncino — citations que j’ai à peine choisies parmi leurs innombrables sœurs — pensez-vous toujours que le Talmud soit le « genre de livre » duquel Jésus-Christ « a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » ? Vous avez lu ici des citations mot pour mot de la traduction anglaise annotée du Talmud, et bien d’autres sujets passionnants sont couverts dans ces 63 livres qui constituent le Talmud. Pour lire ces citations, il faut être bien accroché n’est-ce pas ? Je suis surpris que la Poste des États-Unis ne mette pas le Talmud sur la liste des ouvrages interdits à l’envoi ; j’ai hésité à vous les envoyer.

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[1] Grades dans les universités anglaises et américaines. B.A. : Bachelor of Arts est le niveau le plus bas, comme le DEUG en France ; M.A. : Master of Arts est un niveau déjà prestigieux, un peu plus prestigieux que la licence en France ; Ph.D. : Doctor of Philosophy désigne en général tous les titulaires d’un doctorat de 3e cycle.

[2] Le Talmud est par définition le recueil de « la tradition des anciens », par conséquent une bonne partie du texte est consacrée à l’énumération de l’opinion de tel ou tel rabbin, suivie d’une sorte de confrontation avec l’opinion de tel ou tel autre rabbin, suivie d’une sorte de synthèse faite par un nouveau rabbin.

[3] Une Baraita est une loi orale qui ne fait pas partie de la Mishna (première systématisation de la loi orale).

[4] Les deux notes de l’Édition Soncino qui précèdent, ne se réfèrent à aucune Baraita correspondante, bien que la disposition le laisse supposer. Peut-être s’agit-il d’une erreur dans l’édition originale de Facts are Facts ; ou peut-être que Benjamin Freedman a délibérément choisi de ne citer que les notes, afin de laisser la possibilité aux âmes fragiles de 1953 de ne pas visualiser ici toutes les implications ; ou peut-être qu’il jugeait que ces notes étaient suffisamment explicites par elles-mêmes.

[5] Sans aller jusqu’au coït. Car l’expression « première étape des rapports » va être expliquée plus loin par les commentateurs. Dans notre langue moderne, il s’agit donc des « préliminaires romantiques »…

[6] Il y a ici une correspondance évidente avec les versets 12 à 22 du chapitre 5 des Nombres :

« L’Éternel parla aussi à Moïse, en disant : Parle aux enfants d’Israël, et dis-leur : Si la femme de quelqu’un s’est détournée et a commis une infidélité contre lui, et qu’un homme ait eu commerce avec elle, et que la chose soit cachée aux yeux de son mari ; qu’elle se soit souillée en secret, et qu’il n’y ait point de témoin contre elle, et qu’elle n’ait point été surprise ; si un esprit de jalousie passe sur lui, et qu’il soit jaloux de sa femme qui s’est souillée, ou si un esprit de jalousie passe sur lui, et qu’il soit jaloux de sa femme, sans qu’elle se soit souillée, (…) le sacrificateur la fera approcher, et la fera tenir debout devant l’Éternel. Ensuite le sacrificateur prendra de l’eau sacrée, dans un vase de terre ; le sacrificateur prendra aussi de la poussière qui sera sur le sol du Tabernacle, et la mettra dans l’eau (…) Alors le sacrificateur fera jurer la femme, et lui dira : Si aucun homme n’a couché avec toi, et si, étant sous la puissance de ton mari, tu ne t’es point détournée et souillée, ne reçois aucun mal de ces eaux amères qui portent la malédiction. Mais si, étant sous la puissance de ton mari, tu t’es détournée, et que tu te sois souillée, et qu’un autre que ton mari ait couché avec toi, (…) que ces eaux qui portent la malédiction, entrent dans tes entrailles, pour te faire enfler le ventre et flétrir la cuisse. » (Ostervald 1855).

Mais ce n’est qu’une correspondance éloignée, car la version talmudique annule par son protocole expérimental, sans doute volontairement dérisoire, l’intervention directe de Yahweh que Moïse recherchait dans le rituel, afin de départager le mensonge de la vérité. Ce n’était pas un homme qui rendait le verdict ou qui l’exécutait, c’était Dieu lui-même.

[7] En tant qu’adepte révisionniste du coupage des cheveux en quatre, j’insiste sur le fait qu’on pourrait arriver à une conclusion plus approfondie que celle de Rabbi Gamaliel. En effet si le mari a eu « un rapport » avec sa nouvelle femme, elle n’est plus vierge au moment de s’asseoir sur le tonneau, et l’odeur du vin devrait passer. Donc, soit c’est une expérience « bidon », si j’ose dire (mais je ne suis pas qualifié pour remettre en cause la parole divine du Talmud), soit le type est un gros menteur.

[8] Et après trois ans, Rabbi, les larmes reviennent-elles ? ou la pureté virginale est-elle définitivement oubliée par la petite fille ?

[9] On comprend mieux ainsi comment se situe le christianisme par rapport à la religion véritable des anciens Israélites (la religion de la loi et des prophètes) : il en est le seul prolongement légitime ! C’est le judaïsme (le pharisaïsme) qui a apostasié, et pour des motifs biens bas, c’est-à-dire, pour pouvoir donner libre cours à toutes les petites envies, pour ainsi dire. Et ces paroles de Jésus-Christ : « Vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition » (Marc 7:9) sont la « dénonciation en direct » de cette trahison de la foi des anciens Israélites. C’est en ce sens que le mot « judéo-christianisme » comme Benjamin Freedman va nous l’expliquer plus loin, est une monstruosité terminologique, car il n’y a pas comme on voudrait le faire croire, de « terreau » commun entre le christianisme et le judaïsme, ou alors ce « terreau » est assimilé chez les premiers, et délibérément détruit chez les seconds. Le christianisme primitif a été en permanence une tentative pour « garder le cap » par rapport à la religion de la loi et des prophètes, la religion de Yahweh, le Dieu qui S’est d’abord révélé aux Hébreux. Pour exemple, citons saint Paul qui nous dit dans l’Épître à Tite : « …reprends-les vivement, afin qu’ils soient sains en la foi ; ne s’adonnant point aux fables Judaïques, et aux commandements des hommes qui se détournent de la vérité. Toutes choses sont bien pures pour ceux qui sont purs, mais rien n’est pur pour les impurs et les infidèles, mais leur entendement et leur conscience sont souillés » (Tite 1:13-15).

[10] La Torah, « la Loi », correspond au Pentateuque. Pour Lévitique 20:18, nous avons : « Si un homme couche avec une femme pendant son indisposition, et découvre sa nudité, s’il met à nu la source de son sang et qu’elle découvre elle-même la source de son sang, ils seront tous deux retranchés du milieu de leur peuple. » (Ostervald 1855).

[11] Bonne question !

[12] Lévitique 20:18 : cf. note précédente.

[13] Lévitique 15:25 : « Et quand une femme aura un flux de sang pendant plusieurs jours, hors du temps de son impureté, ou quand elle perdra au-delà du temps de son impureté, elle sera souillée tout le temps de son flux, comme au temps de son impureté. »

[14] Pour Lévitique 15:25, nous avons : « Et quand une femme aura un flux de sang pendant plusieurs jours, hors du temps de son impureté, ou quand elle perdra au-delà du temps de son impureté, elle sera souillée tout le temps de son flux, comme au temps de son impureté. » (Ostervald 1855).

Je pense que l’hébreu dit littéralement « … sera impure tous les jours de son flux », et que les rabbins se servent des deux versets suivants : 

15:26 : « Tout lit sur lequel elle couchera, pendant tout le temps de son flux, sera pour elle comme le lit de son impureté; et tout objet sur lequel elle s’assiéra sera souillé, comme pour la souillure de son impureté. »

et 15:27 : « Et quiconque les touchera sera souillé ; il lavera ses vêtements, se lavera dans l’eau, et sera souillé jusqu’au soir. »

Pour tirer alchimiquement la conclusion que l’on peut coucher avec elle le soir venu, si elle a attendu pendant tout le jour… cqfd !

[15] Les anciens.

[16] with it dans le texte, littéralement : « avec ça ». Pour désigner un ensemble de personnes, la langue anglaise utilise normalement le pronom personnel them, le pronom personnel it est réservé pour les choses et les animaux. Nous verrons un peu plus loin que les non-juifs appartiennent effectivement pour les Juifs-talmudistes à la catégorie générale des « animaux », c’est-à-dire, la catégorie de ceux qui n’ont pas d’âme « spirituelle », mais uniquement une âme « végétative » qui les fait manger, agir, avoir des émotions… sans être pour autant de vrais humains. Selon les Juifs-talmudistes, les non-juifs n’ont pas en partage cette parcelle de l’âme divine dont ils croient être les seuls dépositaires. L’ensemble de raisons, d’expériences, et de préjugés ; puis tout l’orgueil, la méchanceté et la bêtise, qui les ont conduits à une telle ségrégation, n’a pas encore été précisément cerné.

[17] Pathologique, comme dans certaines maladies contagieuses.

[18] La femme qui découche.

[19] Deutéronome 23:18 : « Tu n’apporteras point dans la maison de l’Éternel ton Dieu le salaire d’une prostituée, ni le prix d’un chien, pour quelque vœu que ce soit ; car tous les deux sont en abomination à l’Éternel ton Dieu. »

[20] Selon ce commentateur il y aurait donc une sorte d’ellipse stylistique dans le texte original de la Bible. Le « salaire d’un chien », serait le salaire gagné par une prostituée en ayant des rapports avec le chien de son client… Le lexique Français/Hébreu de la Bible-Online nous donne pour « Chien » : keleb (keh’-leb) :e blk, vient d’une racine du sens de japper, ou autrement d’attaquer : 

1a) chien (littéral)

1b) mépris ou avilissement (fig.)

1c) d’un sacrifice païen 

1d) d’un culte de prostitution masculine (fig.) [c’est vraisemblablement ce dernier sens qu’il faut retenir ici].

[21] Sous entendu : « dans le temple de l’Éternel ton Dieu »…

[22] « Tu ne coucheras point avec un homme, comme on couche avec une femme ; c’est une abomination. »

[23] Sans doute du crime d’adultère.

[24] Cf. plus bas Lévitique 21:1-3.

[25] Les commentateurs ont fait cette remarque avec beaucoup d’esprit de conséquence, mais nous ne savons pas encore si des relations sexuelles avec une morte font courir le péché d’adultère ! La réponse à cette angoissante question se trouve-t-elle dans le Talmud, livre de vie ? Téléphonez tous pour le savoir aux Pompes funèbres Israélites, à Pantin !

[26] Lévitique 21:1-3 : « L’Éternel dit encore à Moïse : Parle aux sacrificateurs, fils d’Aaron, et dis-leur : Un sacrificateur ne se rendra pas impur parmi son peuple pour un mort, excepté pour son proche parent, qui le touche de près, pour sa mère, pour son père, pour son fils, pour sa fille, et pour son frère, et pour sa sœur vierge qui le touche de près, et qui n’a point de mari ; il se rendra impur pour elle. » (Ostervald 1855).

[27] Le Talmud démasqué, ouvrage auquel Benjamin Freedman va se référer plus loin, donne un autre passage rapportant cette interprétation : 

Abhodah Zarah 22b : « Pourquoi les Goïm sont-ils impurs ? Parce qu’ils n’étaient pas présents au Mont Sinaï. Car quand le serpent a pénétré dans Ève, il l’a rempli d’impuretés. Mais les Juifs furent purifiés de cela quand ils se tinrent au Mont Sinaï ; tandis que les Goïm, qui n’étaient pas au Mont Sinaï, ne furent pas purifiés. »

[28] Genèse 2:23 : « Et Adam dit : Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair. Celle-ci sera nommée femme (en hébreu Isha), car elle a été prise de l’homme (en hébreu Ish). »

[29] Le commentateur nous dit que l’expression : « Celle-ci enfin… », implique qu’Adam a connu d’autres partenaires, et comme il était le premier homme, ces partenaires devaient être des bêtes.

[30] Une vrai bête, pas un non-juif, ainsi que le montre la pénalité de lapidation. Par ailleurs, lorsque les rabbins parlent des non-juifs en tant qu’animaux, le texte est présenté pour qu’on comprenne immédiatement qu’ils ne s’agit pas de « bêtes » au sens littéral.

[31] Cela revient presque à empêcher toute application de la loi de Moïse : 

Exode 22:19 : « Quiconque couchera avec une bête, sera puni de mort. »

Lévitique 18:23 : « Tu n’auras commerce avec aucune bête pour te souiller avec elle ; une femme ne se prostituera point à une bête ; c’est une abomination. » 

Lévitique 20:15-16 : « Si un homme a commerce avec une bête, il sera puni de mort ; et vous tuerez la bête. Si une femme s’approche de quelque bête pour se prostituer à elle, tu tueras la femme et la bête ; elles seront mises à mort ; leur sang sera sur elles. »

Deutéronome 27:21 : « Maudit celui qui couche avec une bête quelconque ! Et tout le peuple dira: Amen ! » (Ostervald 1855).

[32] Sans doute une sanction appliquée à celui qui déflore sa future femme avant le mariage.

[33] Je n’ai pas toute l’érudition de nos bons sexologues, toujours prêts à vous balancer généreusement le petit conseil qui change la vie du couple (à se demander d’ailleurs si les nouveaux rabbins ne se sont pas faits médecins), mais j’imagine que cette « technique » consistant à « remuer de côté », consisterait peut-être à présenter la verge avec une rotation de 90°, afin que la largeur soit moins importante, même si une telle technique me paraît bien aléatoire.

[34] Le livre de prière. Peut-être lors de la cérémonie du mariage.

[35] Deutéronome 22:16-17 : « Et le père de la jeune fille dira aux anciens : J’ai donné ma fille à cet homme pour femme, et il l’a prise en aversion ; et voici, il lui impute des actions qui font parler d’elle, en disant : Je n’ai point trouvé que ta fille fût vierge ; or, voici les marques de la virginité de ma fille. Et ils étendront le vêtement devant les anciens de la ville. » (Ostervald 1855).