D.149 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-4

 

CINQUIÈME PARTIE

(4)

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES)[1]

Ces satellites sont différents des quelque 15 000 satellites lancés de la Terre. Tous les autres sont constamment en mouvement au-dessus de la surface terrestre et changent de place à tout moment, d’une minute à l’autre. En moyenne, les autres satellites font le tour de la Terre en 1½ heure.

D’autre part, le soi-disant Satellite Géosynchrone Géostationnaire demeure toujours au-dessus de notre tête en tout temps (un peu comme l’Étoile polaire reste toujours à la même place). Van Nostrand nous offre cette description :

« Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre. Le satellite se déplace autour de l’axe polaire de la Terre dans la même direction et dans la même période de temps que la rotation de la Terre (24 heures). Le satellite reste au-dessus d’un point fixe de l’équateur terrestre. L’altitude d’un satellite géostationnaire est d’à peu près 35 784 km (22 240 mi.] au-dessus de l’équateur. »[2]

On n’a pas à réfléchir longtemps pour s’apercevoir que le phénomène des satellites géosynchrones a directement rapport avec le mouvement ou non de la Terre. Si une couple de douzaines de satellites géosynchrones sont installés en diverses parties du globe et qu’ils demeurent au-dessus de leur site jour et nuit (comme c’est le cas), alors seulement deux explications sont possibles.

L’une de ces explications — la seule qu’on entend ou qu’on lit — est celle qui s’accorde avec l’idée universellement reçue que la Terre tourne sur un axe tous les 24 heures. Cette idée est très joliment résumée dans le nom que l’on donne généralement à ce type de satellite, i.e., « géosynchrones », signifiant qu’ils sont synchronisés à la supposée rotation de la Terre. Comme nous venons de le voir dans l’Encyclopédie Scientifique, ce nom dit que ces satellites orbitent autour de la Terre à une vitesse parfaitement synchronisée à la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre.

L’autre explication — celle dont on entend jamais parler — est celle qui s’accorde avec les déclarations de la Bible affirmant que la Terre ne bouge pas d’un centimètre. Appelons ce phénomène satellite géostationnaire (qui peut du moins laisser entendre que les satellites sont stationnaires au-dessus d’une Terre stationnaire, comme ils semblent l’être jour et nuit).

Or, l’une des deux est vraie. C’est encore Blanc et Noir. Vérité absolue et mensonge absolu. Aucune relativité, ici. La Terre ne peut pas tourner alors que les satellites demeurent immobiles. Ils ne seraient pas à la même place tout le temps. De la même manière, la Terre ne peut pas demeurer immobile alors que les satellites font orbite autour d’elle. Encore une fois, ils ne seraient pas à la même place tout le temps, n’est-ce pas ?

Par conséquent, comme nous l’avons noté (puisque le fait indiscutable, c’est que ces satellites-là sont à la même place tout le temps), soit que la Terre est en rotation et que les satellites orbitent en synchronisme, ou soit que la Terre est immobile et que ces satellites sont immobiles aussi (un peu comme l’étoile polaire mentionnée plus haut et le Globe en Lévitation que nous avons vu dans l’Illustration XII).

Une des explications exige une Terre qui tourne et accommode le concept héliocentrique. L’autre explication exige une Terre immobile et accommode le concept géocentrique. L’une est vraie, l’autre est fausse. Les deux ne peuvent être vraies et il n’y a pas de troisième explication.

Bien. Prenons maintenant conscience d’une caractéristique pertinente à ces rainures dans l’espace où se tiennent les satellites géostationnaires. Ces « rainures » ont pour caractéristique qu’elles sont très, très loin de la Terre, comparé à la position de tous les autres satellites. La majorité de ces équipements se situent dans un champ variant de 200 à 400 milles [320 à 640 km] d’altitude, certains plus près, d’autres plus loin. Mais ces satellites géostationnaires (desquels nous recevons les photos météo télévisées et desquels nos « soucoupes » satellites reçoivent leurs signaux) sont là-bas à exactement 22 236 milles [35 578 km]. C’est entre 50 à 100 fois plus loin que la moyenne des emplacements satellites. Et cette distance de 22 236 milles est l’unique altitude où fonctionnent ces machins ! Étrange, n’est-ce pas ?

On sent que le Designer y a mis la main. Cela porte quiconque à croire qu’il y a un Designer qui avait prévu que le cerveau de l’homme, qu’Il avait créé, inventerait un jour la télé, les satellites dans l’espace, etc..

Lorsque nous pensons aux vols spatiaux humains partant de Cap Canaveral ou d’ailleurs, nous pensons à une orbite qui atteint généralement de 150 à 250 milles [240 à 400 km] d’altitude. Si vous installez un globe terrestre d’un diamètre d’environ un pied [30 cm] devant vous, en figurant qu’il représente environ 8 000 milles [12 800 km] de diamètre, alors 1½” [4 cm] équivaudra à 1 000 milles. À 250 milles d’altitude, vous regardez la surface à environ ⅜” [3 mm]. Trois huitième de pouce, ou 3 millimètres.

Or, à 22 236 milles [35 578 km], on parle d’une distance de 2 pieds et 9 pouces [83,82 cm] de la surface de votre globe. C’est à peu près neuf fois plus loin. Bien. Maintenant, le premier (et le dernier !) argument presque logique en faveur de ce que les Satellites géostationnaires orbitent, c’est que tous les autres satellites orbitent autour de la Terre, donc, ce type de satellite doit aussi orbiter. Ça semble avoir du bon sens et, puisque que nous avons tous été endoctrinés à croire que la Terre tourne, cette « logique » nous apparaît assez correcte, merci, et nous n’avons plus besoin d’y réfléchir plus avant.

Les critiqueurs nous lanceront : « Eh bien voilà ! Tous les autres font le tour sur leur orbite, alors eux aussi doivent orbiter ! Le fait qu’ils demeurent au même endroit tout le temps signifie que leur propre orbite est synchronisée avec la rotation de la Terre ; donc, ils semblent ne pas bouger. C’est pourtant simple ! »

Nous allons voir ça. Prenons d’abord le point suivant en considération : commençons par calculer la distance de l’orbite supposée des satellites géostationnaires. Nous prenons le rayon de la Terre qui est établi partout comme étant 3 959 milles [6 334,4 km]. Nous ajoutons ensuite la distance séparant la surface terrestre et la « rainure » où opère le satellite géostationnaire. Cela nous fait 22 236 milles [35 578 km] plus 3 959 milles [6 334,4 km] pour un résultat de 26 185 milles [41 896 km]. Puis, nous doublons ce chiffre pour obtenir notre diamètre. Ça donne 52 390 milles [83 824 km]. Ensuite, nous multiplions par pi (3.141592) qui nous montre que la circonférence de l’orbite est de 164 560 milles [263 296 km]. Après cela, si nous divisons ce chiffre par 24 heures, nous constatons que la vitesse à laquelle doit aller le satellite géostationnaire pour demeurer à la même place est de 6 856 MPH [10 969,6 km/h] !

« Ça ne prouve encore rien ! »

C’est vrai. Mais attendez la suite. Nous voulions simplement nous assurer que nous allions tous bien comprendre ce que veut dire affirmer que ces satellites particuliers orbitent autour de l’équateur d’une Terre en rotation. Sa vitesse doit être synchronisée à 6 856 MPH [10 969,6 km/h]. Ici, comprenez bien qu’une simple divergence de ¼ MPH de la vitesse synchronisée écarterait un des satellites d’un mille [1,6 km] à tous les quatre heures. C’est un écart de 42 milles [67,2 km] en une semaine, 180 milles [288 km] en un mois et près de 2 200 milles [3 520 km] en un an. Évidemment, même avec des propulseurs de repositionnement dans le portrait, la moindre divergence ne pourrait être tolérée dans le synchronisme.

« Eh, bien, » répondent les contradicteurs, Nous voyons où vous voulez en venir… Mais cela ne prouve toujours rien, sauf que ces satellites vont très précisément à 6 856 MPH [10 969,6 km/h] en tout temps et demeurent ainsi parfaitement synchronisés avec la rotation de la Terre… »

D’accord, nous avons bien établi cela. Maintenant, superposez cela à l’information que nous avons ramassée jusqu’ici : tous les livres s’accordent à dire que la vitesse de rotation de la Terre n’est pas régulière, égale et stable, mais qu’elle est irrégulière et parfois saccadée et spasmodique. Voici un renseignement à ce sujet :

« Au 19e siècle, la théorie gravitationnelle ne pouvait se rapporter à tous les mouvements observés (de la lune). Or, on pensait parfois que c’était dû à certaines omissions dans la théorie, mais l’on démontra que c’était plutôt dû aux fluctuations de la rotation de la Terre. »[3]

Vous n’aviez peut-être jamais entendu parler de ces irrégularités. Mais vérifiez où vous voulez, vous trouverez la même chose. Vous pouvez donc voir venir ce qui va suivre, n’est-ce pas ? Cela signifie que tout ralentissement ou reprise de vitesse que ferait la Terre devrait être reproduits en parfait synchronisme par le satellite. Et, puisqu’il faut plus de foi pour croire que pareille chose arrive effectivement, jour et nuit, qu’il en faut pour croire que l’homme a été trompé dans toute l’affaire du copernicisme, on en n’est qu’au début du problème de crédibilité… Car il y a plus !

Toutes les « soucoupes » satellites que possèdent des millions de personnes sont atteintes à une variété de points le long d’un grand arc étendu sur plusieurs longitudes. Ces « soucoupes » sont touchées par un satellite à la fois. De nombreux propriétaires captent un seul satellite, laissent leur « soucoupe » dans cette position pendant des années et reçoivent un signal clair. De toute évidence, le satellite ne bouge pas. D’autres propriétaires déplacent leur « soucoupe » d’un satellite à l’autre aussi souvent qu’ils le désirent. Sachant cela, vous, les contradicteurs et autres tenants du copernicisme, ne vous apparaît-il pas illogique que des satellites déployés à des milliers de kilomètres puissent tous ajuster leur vitesse orbitale en coordination avec le constant ralentissement et la reprise de vitesse de la soi-disant rotation de la Terre ?? Cela vous donne-t-il à réfléchir ?

Et pendant que vous réfléchissez à ces problèmes soulevés par les satellites géostationnaires, prenez cet autre en considération… Eh oui, encore ! En fait, chers amis, vous ne pourrez entendre tout ce que nous avons à vous dire à propos des satellites géostationnaires sans finir par savoir que ni eux, ni la Terre ne bougent.

 

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 2

Illustration XVII

Cette illustration dépeint une des découvertes de Kepler. Branley est une autorité en matière d’étude de la lune et des satellites artificiels. Il paraphrase Kepler :

« Les planètes … et la lune se déplacent en orbites elliptiques (…) et une ligne rejoignant la terre à la lune balaierait des superficies égales en des périodes de temps égales. Examinons ce que cela signifie. Dans le diagramme ci-contre, supposons que la lune se trouve en A. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en B. Plus tard, la lune est en C. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en D. Vous remarquerez facilement que AB est plus long que CD. Pourtant, le même laps de temps est requis pour que la lune se déplace de A à B et de C à D ; par conséquent, la lune doit se déplacer plus vite pour franchir la distance séparant A de B. Lorsque la lune se trouve dans la superficie A-B, elle est près de la terre (périgée), elle se déplace donc plus vite. Quand la lune se trouve dans la superficie C-D, elle est loin de la terre (apogée), elle se déplace donc plus lentement. La vitesse doit varier de cette façon parce que Kepler a prouvé qu’une ligne tirée de la terre à la lune doit s’étendre sur des superficies égales en des laps de temps égaux ; en d’autres termes, la superficie 1 doit égaler la superficie 2. »[4]

Or, avec ceci en tête, notez ce qu’en dit encore l’expert de la lune et des satellites, Branley :

« La vélocité de toutes les planètes ainsi que de tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière. »[5]

À partir de ces deux affirmations, nous pouvons d’hors et déjà déceler deux sérieux problèmes à l’encontre du Système copernicien. En fin de compte, les satellites géostationnaires sont certainement artificiellement fabriqués et ils n’obéissent pas à la « loi » de Kepler dans leur soi-disant orbite géosynchrone autour de la Terre. Ici, il y a quelque chose qui se déglingue drôlement ! Ces satellites géostationnaires n’ont pas de périgée et d’apogée ; ils demeurent toujours à la même distance de la Terre ! Cela veut dire que leur orbite supposée ne serait pas elliptique, s’ils se déplaçaient, mais devrait être circulaire. Juste ce simple fait annule le besoin de « balayer des superficies égales » à différentes vitesses.

Apparemment, en tentant de sauver les éléments de cette affirmation képlérienne, on fait face à une réalité qui détruit le copernicisme, c’est-à-dire que les satellites géostationnaires demeurent tout le temps au même endroit, ce qui s’avère une impossibilité si « la vélocité de … tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière, » comme on vient juste de nous l’assurer. En outre, cette réalisation qui détruit le copernicisme devient plus tranchante si l’on essaie d’accorder la soi-disant vitesse de rotation erratique de la Terre aux exigences de Kepler dont Branley nous assure qu’elles s’appliquent à tous les satellites. Tout d’abord, ces satellites ne peuvent en aucune façon aller plus vite, ou plus lentement, pour accommoder Kepler (ou Branley) et demeurer encore stationnaires, comme c’est le cas, à l’évidence. Et même si cette impossibilité était permise, ces vitesses plus ou moins rapides de Kepler devraient elles-mêmes être constamment ajustées pour s’adapter aux supposées vitesses erratiques de rotation de la Terre elle-même. Un tel composé d’impossibilités logiques ne peut être vrai.

Donc, pour une couple de raisons, la « loi » de Kepler n’est pas une loi en ce qui a trait aux satellites géostationnaires. Ce qui revient à dire que les « scientistes » n’ont pas d’explication à fournir quant aux satellites « géosynchrones » pouvant demeurer à la même place tout le temps, pendant que la Terre est supposée ralentir et accélérer en-dessous d’eux. Plus important encore, cela nous démontre que la soi-disant grande contribution que Kepler (le sorcier ?) fit à la véritable science, i.e., que tout exécute une orbite elliptique, n’a jamais été une loi ! Les vraies lois scientifiques (comme la 2e Loi de la thermodynamique et la Loi de la biogenèse, qui nient toute allégation évolutionniste) ne comportent aucune exception.

Or, les satellites géosynchrones géostationnaires, si jamais ils orbitaient, devraient assurément posséder une orbite circulaire, pas une orbite elliptique. L’idée complète du cercle représentant la perfection divine fut censément évacuée par les « lois » de Kepler. Toutefois, ces cercles nous reviennent avec ces satellites parce que la Cosmologie copernicienne exige qu’ils soient sur une orbite circulaire. Ce qui constitue le cercle parfait dessiné par Dieu n’est pas une orbite, mais la fine bande électromagnétique située exactement à 22 236 milles [35 578 km] d’ici, où sont fixés ces satellites dans une position stationnaire relativement à la Terre. La perfection de Dieu, tel que l’exemple de ce cercle, revient à notre époque comme une vengeance, car c’est au moyen de ces satellites captés par cette bande circulaire qu’Il fournit la preuve concluante que le copernicisme est une séduction universelle et que Sa Parole détenait la Vérité pendant tout ce temps !

Il y a encore beaucoup à soutirer de l’exemple des satellites géostationnaires. Vous allez trouver que les trois modes de pensées suivants sont fort ruineux pour le concept héliocentriste.

 

SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES # 3

Réfléchissons ensemble aux rapports météos télévisés. Voici la situation :

  1. Nous avons les nuages qui se déplacent en direction est à une vitesse de 15 MPH [24 km/h] vers une Cité X. (Souvenez-vous : dans le système copernicien, la Terre tourne vers l’est.)
  2. « Accroissez » la « rotation de la Terre » sous les nuages de 15 MPH. Mais n’accroissez pas la vitesse des nuages.
  3. Ça fera en sorte que les nuages sembleront « stationnaires », i.e., synchronisés à la Terre en-dessous. Les nuages n’avanceront plus en direction de la Cité X, comme ils le faisaient avant que la rotation de la Terre ne soit accrue de 15 MPH.
  4. Nous savons que les vrais nuages, dans le vrai monde, vont continuer à s’avancer vers la Cité X. (Après tout, l’exemple ci-contre n’a qu’une but démonstratif.)
  5. Néanmoins, deux aspects de l’exemple sont vrais. Seule l’accélération de la Terre a été inventée. Par conséquent, si les nuages se déplacent vers la Cité X — et c’est ce qu’ils font, bien sûr — il ne peut y avoir qu’une seule des trois explications suivantes :

a) Une Terre mobile qui va 15 MPH plus lentement que les nuages et ceux-ci se déplacent vers la Cité X.

b) Les nuages se déplacent 15 MPH plus lentement que la rotation de la Terre à cette latitude (la réponse conventionnelle).

c) La Terre est stationnaire et les nuages se déplacent à 15 MPH vers la Cité X.

Maintenant, la réponse 5a est très intéressante pour deux raisons. La première est qu’on doit l’admettre comme possibilité sous le rapport de la Théorie de la Relativité. C’est vrai parce que, comme nous l’avons vu, la Théorie des Équivalences d’Einstein exige qu’une station ferroviaire puisse aller à 60 MPH [96 km/h] et que le train demeure immobile, que le sol puisse se soulever pour vous frapper la figure lorsque vous tombez, etc., etc.. Donc, vu sous le point de vu des exigences de la Théorie de la Relativité, les nuages de notre exemple pourraient être stationnaires et la Terre s’ajuster à 15 MPH plus lentement…

C’est ça ou alors on tire la Théorie d’Équivalences d’Einstein par la fenêtre avec tout le concept de la Relativité ! On ne peut avoir les deux !

La deuxième chose très intéressante : si l’on persiste à appliquer les Théories des Équivalences et de la Relativité à cette situation, disant que les nuages peuvent être stationnaires et que la Terre puisse tourner en dessous 15 MPH plus lentement afin qu’ils atteignent en temps la Cité X, on détruit alors encore les fumisteries des Équivalences et de la Relativité ! Voici pourquoi : Les nuages se déplacent dans toutes les directions de la boussole, pas juste vers l’est ! Ils se meuvent à des vitesses diverses ! La Terre ne pourrait tourner vers l’est, l’ouest, le sud et le nord en même temps ! Ce serait insensé et Einstein ne pourrait inventer assez de mathématiques pour expliquer cela. De plus, tout ralentissement ou accélération équivalents de la Terre pour s’accorder à la vitesse apparente des nuages feraient en sorte que la Terre révolutionnerait trop vite ou trop lentement pour faire un tour complet en 24 heures, occasionnant le chaos partout.

Si vous comprenez cela, vous voyez que la Relativité d’Einstein s’écrase et que le copernicisme subit une blessure mortelle. Si la Relativité est abattue alors tout le monde s’aperçoit qu’il peut y avoir de la matière inerte dans l’univers et que la Terre pourrait être le plus bel exemple de cette réalité.

Poursuivons avec l’explication 5b qui se trouve piégée avant de commencer… Si l’on croit que le Système copernicien est correct, la conclusion de cette explication ne semble-t-elle pas raisonnable ? Elle SEMBLE raisonnable, et voilà la raison pour laquelle cette réponse s’autodétruit avant de commencer. L’explication « b » est raisonnable si l’on permet le système copernicien. En effet, l’explication « a » est totalement déraisonnable et ne pourrait pas marcher, comme nous venons de le voir, tandis que la réponse « c » est exclue par les coperniciens, donc, « b » est la seule réponse possible pour les coperniciens. Vous me suivez ?

Mais si c’est la seule réponse possible, alors nous devons reprendre conscience que les théories des Équivalences et de la Relativité exigent que 1) tout soit en mouvement, 2) personne ne puisse dire ce qui bouge par rapport à l’autre.

Ainsi, les héliocentristes ne peuvent jamais déclarer catégoriquement que « b » est vérité en la matière sans esquiver le problème des Équivalences et de la Relativité. Et cela signifie que s’effiloche tout le tissu d’hypothèses « scientifiques » fabriqué depuis l’affaire Michelson-Morley. Et, en retour, cela se résume à admettre que l’immobilité est possible et que, finalement, il y a un éther immobile et une Terre immobile. En fait c’est l’exemple classique du dilemme à doubles cornes. La réponse « b » est évidemment la seule avenue raisonnable ouverte aux héliocentristes, mais ils ne peuvent lui donner leur aval inconditionnel, car ils doivent alors admettre que la réponse « a » constitue une option tout aussi valable, même s’ils savent au fond d’eux-mêmes que c’est totalement déraisonnable et, en outre, impossible.

De l’autre côté du tableau, les géocentristes bibliques ne font face à aucun dilemme de la sorte. Leur position s’accorde avec tous les faits connus. Ils n’ont pas à se battre contre toute une liste d’absurdités illogiques coiffées de l’exigence que la Terre et son imperturbable atmosphère se promènent dans l’espace dans quatre directions différentes et à des vitesses dépassant 250 fois celle d’une balle de fusil. En vérité, l’argument géocentrique de la Bible est un modèle de simplicité et de certitude logique comparé au modèle copernicien.

Pourtant, nous devons comprendre que les coperniciens n’ont d’autre choix que de conclure que l’atmosphère tourne avec la planète[6] comme s’il y était collé. Car si la Terre tournait, l’atmosphère devrait tourner avec elle ou alors l’héliocentrisme se transforme en ballon qu’un enfant de dix ans peut crever facilement. Une Terre tournant à l’intérieur d’un atmosphère immobile rappellerait immédiatement la question des avions allant d’est en ouest.

Ceux qui vont vers l’est seraient difficilement capables de se maintenir au niveau de la rotation de la Terre, alors que ceux prenant la direction ouest se rendraient à destination à la vitesse de l’éclair. En fait, l’on n’aurait qu’à monter dans un hélicoptère dans une localité à l’est, flotter un peu dans l’air et atterrir ensuite dans une localité à l’ouest. Même lancer une flèche bien droit dans l’air révélerait très rapidement l’absurdité de ce modèle.

Donc, les héliocentristes n’ont pas le moindre choix, dans ce concept. Il est d’une inévitable nécessité absolue pour les héliocentristes d’avoir une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec la Terre (et qui file et qui glisse à toute allure aux vitesses que l’on suppose) sans en être le moindrement affectée.

Encore là, les géocentristes n’ont pas à résoudre d’aussi absurdes énigmes. La Terre est figée, l’atmosphère se déplace un peu dans toutes les directions, comme n’importe qui peut le voir, le sentir, l’entendre. C’est ainsi. Comment cela cadre-t-il avec la température ? En tête de liste des illogiques absurdités observables concernant le mouvement des nuages que les héliocentristes doivent adopter, il y a le comble des rapports provenant des satellites géostationnaires. Dans ces rapports, nous sommes témoins des mouvements accélérés des nuages dans le contexte d’une Terre qui ne bouge pas. Les héliocentristes disent qu’ils peuvent résoudre le problème, ainsi que celui des avions allant d’est en ouest, etc., avec la réponse « b ». Ils sont en sécurité… pensent-ils.

Mais nous allons récuser le droit aux héliocentristes de se réfugier dans la réponse « b ». Les héliocentristes modernes sont relativistes et nous devons insister pour qu’ils ne puissent esquiver la trappe que leur posent les rapports météos télévisés, mais qu’ils aient plutôt à faire face à la dénonciation de leur théorie absurde en appliquant celle-ci aux exemples très nets que nous observons journellement sur nos téléviseurs.

Nous les forçons ainsi à admettre que la réponse « a » est d’une possibilité égale à la réponse « b ». Dans la réponse « a », les nuages atteignent la Cité X en temps parce que la Terre ralentit de 15 MPH [24 km/h] pour le permettre… mais tous les autres nuages allant dans toutes les autres directions à différentes vitesses ne finiront pas par atteindre géographiquement les mêmes endroits où les envoie le météorologue en un laps de temps de quelques secondes ! C’est impossible ! Pourtant, les images satellites géostationnaires ne mentent pas. Les nuages vont effectivement de A à B, partout sur le globe, lors des séquences de 10, 20 ou 30 heures. C’est une preuve certaine et positive, observable et vérifiable, que la réponse « a », avec toutes les absurdités einsteiniennes à propos des Équivalences construites dessus, n’est qu’une ineptie longuement distillée.

Et sans cette folle idée d’Équivalences, tout le concept de Relativité tombe en morceaux. Or, n’oublions surtout pas que c’est la Relativité qui a permis aux « scientistes » de se sauver de « l’inacceptable » conclusion de l’expérience Michelson-Morley…

Alors les images météos des satellites géostationnaires obligeraient-elles donc l’establishment scientifique à se rendre compte qu’il est retourné à la case départ en ce qui a trait aux résultats de l’expérience Michelson-Morley ? Précisément. Ces images météos télévisées balaient plus d’un siècle de sauvages efforts pour contourner les résultats de cette expérience. Nous avons vu quelle transpiration et quelles pressions ils leur occasionnèrent et comment Einstein et sa Relativité sauvèrent les meubles. Or, si la Relativité est tout ce qui compte, nous avons parfaitement le droit de pousser les relativistes à jouer selon leurs propres règles en matière de météo télévisée. Et une fois qu’ils jouent selon ces règles, le mensonge du siècle est exposé devant tous.

En ce qui a trait à la fameuse réponse « b », en reste-t-il quelque chose ? La seule chose qui ait marché en sa faveur, c’était l’apparente impossibilité pour quiconque d’être capable de réfuter sa déclaration que « l’enveloppe atmosphérique » était collée à la Terre et que, non seulement tournait-elle avec la Terre, mais qu’elle n’était pas du tout dérangée par les diverses vitesses allant d’un millier à un demi-million de milles à l’heure. C’était à la limite du non-sens, bien entendu, mais il ne semblait y avoir aucun moyen de la désapprouver.

Or, il y a aujourd’hui un moyen. Grâce à la dénonciation du non-sens de la Relativité par les images satellites météorologiques télévisuelles, nous revenons à l’éther dont les scientistes avaient accepté l’existence avant qu’Einstein la déclare inexistante sur son tableau noir. Vous vous rappelez ?

Alors voici : tout le monde acceptait un éther depuis Copernic en passant par Maxwell jusqu’à Michelson-Morley, parce que les scientistes n’avaient qu’à dire que l’atmosphère tournait avec la Terre sans craindre que qui que ce soit prouve qu’ils avaient tort. Mais les résultats de l’expérience Michelson-Morley révéla l’immobilité de la Terre de DEUX manières. Et les deux étaient reliées à l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil en une distance de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Dans le premier cas, les ondes lumineuses auraient dû être dans l’autre sens lors de l’expérience conduite six mois plus tard ; mais elles ne le furent pas. Pour ce qui est de l’autre chose, la soi-disant vitesse orbitale de plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] aurait dû donner une impulsion de départ à la lumière dans l’un des bras métalliques de l’interféromètre, mais ce ne fut pas le cas non plus. Ces deux résultats donnaient la preuve nette que la Terre ne bouge pas.

D’une manière ou d’une autre, l’éther devait disparaître, mais aucun des « scientistes » n’avait réussi, jusqu’à Einstein, à s’en débarrasser. Alors, Albert arriva avec sa baguette magique de Relativité…

L’éther devait disparaître pour deux raisons : 1) elle était apparemment immobile et l’idée que quelque chose puisse être immobile dans l’univers amenait la conclusion que la Terre pouvait l’être aussi. Mais vous vous rappellerez que Engles et d’autres matérialistes avaient déjà déclaré que rien dans l’univers ne pouvait être immobile. 2) L’éther pouvait créer de la friction avec la Terre filant au-travers d’elle à plusieurs vitesses atteignant jusqu’à un demi-million de milles à l’heure. Ce qui pouvait faire exploser l’atmosphère.

Or, tout cela était fort bien compris et accepté avant l’expérience Michelson-Morley. Mais cela se transforma soudainement en facteur critique lorsque la lumière traversant l’interféromètre ne démontra aucun mouvement de la Terre. Cela fit apparaître plus largement les questions concernant l’éther et menaça davantage le copernicisme. L’expérience avec la vitesse de la lumière disait que la Terre ne bouge pas, donc, que l’atmosphère autour d’elle ne se déplace pas au-travers de l’éther, exactement comme le stipule la Bible, Brahe et tous les autres géocentristes.

C’est alors que FitzGerald, Lorentz et, en fin de compte, Einstein se débarrassèrent de l’éther et établirent que la vitesse de la lumière était toujours indépendante de la source de laquelle elle émanait.

De là, on en arrive à trois choses : 1) les rapports météos télévisés exposent et détruisent la Relativité einsteinienne et toutes les absurdités qui reposent sur elle. 2) Cette dénonciation ramène les sciences de l’astrophysique, de l’astronomie et de la cosmologie à leur point de départ, lorsque les expériences Michelson-Morley des années 1880 démontrèrent, de façon répétitive, que la Terre ne tourne pas. 3) Cette fois, grâce aux images des satellites géostationnaires, toute échappatoire par le moyen du Relativisme démentiel est coupée et l’establishment « scientifique » doit réfléchir à « l’impensable ».

Trois hourras pour les Satellites géostationnaires ! Et il y a encore d’autres manières que ces lascars peuvent démontrer que la Terre ne bouge pas ! L’establishment « scientifique » s’est vraiment tiré dans le pied en inventant ces bébés ! En fait, pas dans le pied… dans la tête !

SATELLITES GÉOSYNCHRONES GÉOSTATIONNAIRES # 4

Marshall Hall en haut de l’exhibition du Pendule à Philadelphie. Notez le poids se balançant à 85 pieds plus bas.

Étrange que ces satellites géostationnaires se tiennent exactement à 22 236 milles [35 578 km] et nulle part ailleurs… mais pas aussi étrange dans le système géocentrique que dans le système héliocentrique. Prenons ceci en considération : la « science » a volontiers fait reposer son cas d’une Terre qui tourne sur le « Pendule » de Foucault, n’est-ce pas ? Bien. Souvenez-vous maintenant que ce « Pendule » se maintient « dans un endroit fixe dans l’espace », selon toute la littérature le concernant. Immobile, comme tout le monde peut voir, le bidule est incontestablement maintenu au plafond attaché aux murs attachés au plancher d’un building qui est attaché à la Terre. Si la Terre tournait, partout où elle irait, elle emmènerait l’arrimage où est accroché le « Pendule » de manière aussi assurée qu’elle emmènerait le plafond, les murs, le plancher, peu importe le genre d’instrument pivotant qui le maintient.

Endroit fixe, mon œil ! Mais c’est pourtant ce que l’on considère dans le monde entier. Remarquez de quelle manière Umberto Eco fait ressortir ce concept dans sa récente nouvelle Le Pendule de Foucault :

« Et quand, l’an dernier, je vis le Pendule de Foucault, je compris tout. »

Tout ?

« Presque tout. Tu vois, Casaubon, même le Pendule est un faux prophète. Tu le regardes, tu crois que c’est le seul point fixe dans le cosmos, mais si tu le détaches du plafond du Conservatoire et que tu le pends dans un bordel, il fonctionne pareillement. Et il y a d’autres pendules ; il y en a un à New York, dans le building de l’ONU ; il y en a un dans le musée des sciences de San Francisco, et Dieu seul sait dans combien d’autres endroits. Où que tu l’installes, le Pendule de Foucault se balance à partir d’un point fixe pendant que la Terre tourne sous lui. Tous les points de l’Univers sont des points fixes : tout ce que tu as à faire, c’est d’y amener un Pendule. »[7]

Alors, voyez-vous, le concept d’un « point fixe », i.e., un endroit ou un poste immobile dans l’univers est, dit-on, n’importe quel lieu où se balance un Pendule de Foucault du haut d’un plafond et maintenu par un joint pivotant. La « sagesse » de l’homme a accepté et établi ce point fixe bidon et a trompé la multitude avec. N’est-il pas vraiment intéressant de voir que certains « points fixes dans l’univers » sont, non seulement jugés possibles, mais également un concept absolument nécessaire de la fameuse démonstration de Foucault qui était destinée à persuader l’humanité que la Terre tourne ?

Qu’y aurait-il d’étrange, alors, qu’il y ait un vrai « point fixe » à la disposition de l’homme démontrant hors de tout doute que la Terre ne bouge pas ?! Nous avons vu l’illustration d’une démonstration du champ électromagnétique qui maintenait immobile en l’air un « Globe terrestre en lévitation », n’est-ce pas ? Le fait même que les satellites géostationnaires ne fonctionnent qu’à une altitude bien précise au-dessus de l’équateur et que cette altitude ne varie jamais — comme le font tous les autres satellites — est virtuellement une preuve en elle-même que ces satellites sont pris dans une bande étroite circulaire, un champ magnétique qui produit le même effet que l’on peut observer avec le « Globe terrestre en lévitation »

Quel fait étrange qu’il y ait une plage précise dans le ciel, à 22 236 milles [35 577,6 km] en dehors de la Terre où ces satellites géostationnaires peuvent être installés dans un champ magnétique qui les maintient en place, sans crochet, sans plafond, sans murs, sans plancher ! Et comme c’est étrange, comparé aux bidules du Pendule de Foucault, que l’œil d’une légère caméra agisse sans frottement alors que son câble sort du satellite et capte en-dessous la variation des nuages de la Terre et son système de température ! Un peu comme si les nuages agissaient comme des poids pendus au bout de la tige d’un pendule se déplaçant ici et là.

Donc, à partir de leur « point fixe dans l’espace », les caméras des satellites nous montrent que les nuages se déplacent un peu partout, mais elles ne montrent jamais la Terre se déplaçant sous elles, même un petit peu (alors encore bien moins à des vitesses de centaines et de milliers de milles), pendant les quelques heures d’exposition.

Tout le monde peut arriver à comprendre comment le satellite ne peut bouger, coincé qu’il est dans le champs magnétique. Or, les illustrations météos nous indiquent que la Terre ne peut pas bouger , car ce « point fixe » magnétique dans l’espace révèle de façon claire des nuages qui se déplacent et des systèmes de tempêtes, mais ne démontre aucun mouvement de la part de la Terre elle-même.

Ce que nous pouvons donc voir de plus en plus, c’est qu’il y a une PREUVE visuelle solide et indiscutable, tout autour de nous, de ce que la Terre ne tourne pas. Le Gros Bluff du copernicisme fut condamné à la dénonciation dès lors que les satellites géostationnaires ont commencé à fonctionner. Ce n’était qu’une question de temps. Ces preuves ordinaires nous offrent un témoignage de la profondeur et de l’étendue de l’endoctrinement du monde dans la contrefaçon héliocentrique jusqu’à aujourd’hui ! Pourtant, chaque parcelle de preuve est contre le mouvement de la Terre ; toutes les preuves ! Ils n’ont rien de leur côté et il est plus que temps que les gens le sachent !

Mais combien de gens dans le monde, pensez-vous, seront heureux de voir l’héliocentrisme exposé en tant que pur mensonge… ?

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 5

Il y a encore un point concernant ces satellites que nous devons enfoncer avec un piquet de rail de chemin de fer. Il nous faut réaliser et comprendre parfaitement que ces merveilleux satellites sont occasionnellement déplacés par contrôle à distance à partir de la Terre. Quand on les déplace, la vitesse du mouvement est connue et contrôlée d’une manière très précise (dans la lettre ci-après, on cite les chiffres de 16.06 milles [28,6 km] par jour et 0.66 MPH [1,056 km/h]). L’argument décisif — comme le montre clairement la lettre du Bureau des opérations satellites — est celui-ci : tous ces mouvements sont planifiés et exécutés sur la base d’une TERRE FIXE ! Voyez la lettre envoyée par notre spécialiste, Marshall Hall (particulièrement le paragraphe final), dans l’Illustration XVIII. Ensuite, jetez un coup d’œil sur la réponse officielle (aux parties A et B, spécialement), en Illustration XIX. Cette réponse nous donne une information tout à fait pertinente au sujet de la question d’une Terre qui tourne.

Comme vous le voyez, ils disent maladroitement que cette manœuvre de repositionnement d’un satellite géostationnaire est exécutée sur la prémisse que la Terre ne tourne pas ! C’est fort ! Et cette flagrante admission que la manœuvre délicate est calculée et exécutée sur la base d’une Terre immobile, i.e., une « Terre fixe », est de la plus haute importance pour la dénonciation du mensonge copernicien. Ce que cela signifie, en mots clairs et simples, c’est ceci : En ce qui concerne la manœuvre de repositionnement, il n’y a pas de Système copernicien. Point à la ligne. Par conséquent, cette manœuvre est planifiée et exécutée d’après le Système biblique établissant une Terre immobile. C’est un fait !

Si la Terre est « fixe », cela veut dire que le satellite doit aussi se tenir immobile. C’est assurément le cas. Réfléchissez-y. Tout le système copernicien dépend de satellites se déplaçant à près de 7 000 MPH [11 200 km/h] au-dessus d’une Terre tournant à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] au niveau de l’Équateur ! Si le mouvement de la Terre devient FIXE (comme c’est indéniablement le cas par les calculs faits pour repositionner ce type de satellites), alors le satellite doit aussi être arrêté ! S’il n’était pas stoppé, et s’il continuait à voyager à près de 7 000 MPH, il dépasserait le 97,45º de longitude ouest en une fraction de seconde ! Il faut donc qu’il soit arrêté et tenu pour fixe, comme la Terre est tenue pour fixe afin de faire les calculs qui assureront le succès de la manœuvre.

Alors, je vous pose la question : comment stoppe-t-on un satellite qui doit absolument aller à près de 7 000 MPH pour que le Système copernicien se tienne ? Le stoppe-t-on mathématiquement ?? Si on le fait et que l’on est copernicien, ne sait-on pas que nos mathématiques sont fausses parce que l’on « sait » que la chose va effectivement à près de 7 000 MPH ?


Illustration XVIII

 

Traduction de la lettre XVIII

17 novembre 1989

Département du Commerce des Etats-Unis

NOAA

a/s Charles E. Liddick

Chef de la Division des Horaires

Bureau des opérations satellites

Washington DC 20233

 

Cher M. Liddick,

 

Tous mes remerciements pour votre prompte réponse approfondie à mes questions précédentes (une copie de votre lettre ci-attachée).

Les trois déclarations suivantes — déduites de votre réponse — sont-elles plus ou moins exactes ?

  1. Le repositionnement prend 43 jours.
  2. La distance du déplacement sera d’environ 10.75 degrés ou environ 741.75 milles (en comptant 69 milles par degré).
  3. La position longitudinale du GEOS [satellite géostationnaire] est d’environ 97.25º O. avant le début de son déplacement.

Concernant le #2, la distance de c. 742 milles de la Terre serait-elle aussi vraie pour le parcourt orbital à 22 300 milles ? En d’autres mots, si le satellite était déplacé sur la surface terrestre du 97,25º O. au 108º O., il serait déplacé de 10,75º ou de 741.75 milles. (Et si on le déplaçait à vitesse constante, cette vitesse serait de c. 17.25 MPH.) De la même manière, sur la lancée du parcourt orbital du satellite de c. 165,217 milles et son déplacement de 97,25º à 108º, la distance parcourue serait la même, n’est-ce pas ? (et la vitesse, si elle est constante, serait la même ?)

Sur la base de ces affirmations, mes questions sont :

  1. A) Les GEOS vont-ils à vitesse constante et, si c’est le cas, la vitesse est-elle de c. 17,25 MPH ?
  2. B) Comme nous le savons, le mouvement, la direction et la vitesse de l’ombre écliptique durant une éclipse solaire sont tous calculés (par convenance) sur la base d’une Terre fixe, i.e., sans rotation. Le mouvement actuel des GEOS (et tous ceux dans le futur) sont-ils planifiés et exécutés selon la base d’une Terre fixe ou en rotation ?

 

Merci pour votre aide,

Sincèrement,

(signature)

Marshall Hall

 

Illustration XIX

 

Traduction de la lettre XIX

22 novembre 1989

  1. Marshall Hall

12, Morningside Drive

Cornelia, Georgia 30531

 

Cher M. Hall,

 

  1. Charles E. Liddick m’a demandé de répondre à votre lettre du 17 novembre 1989.

 

  1. Le repositionnement prend 42 jours.
  2. La distance parcourue sera d’environ 9,75º ou environ 674,4 de milles établis (en comptant 69,17 milles par degré).
  3. La position longitudinale des GEOS-7 avant le début du déplacement était à environ 97,45º ouest.

 

Concernant le #2 : 674,4 milles établis de la terre est la vraie distance aussi pour le parcourt orbital à 22 237 milles établis. En d’autres termes, si l’engin spatial était déplacé sur la surface terrestre de 97,45º à 108º ouest, on le bougerait de 9,75º ou 674,41 milles établis (16,06 milles par jours ou 0,669 MPH).

 

Sur la lancée du parcourt orbital de l’engin spatial de 164,264 milles établis, et le déplacement du 97,45º au 107,2º ouest, la distance sera la même, à peu près constante.

 

  1. Le GOES-7 est déplacé à une vitesse approximative de 16,06 milles établis par jour ou 0,669 milles à l’heure.
  2. Une Terre fixe.

Sincèrement,

(signature)

Lee Ranne

Navigation GOES/POLAR

Bureau des opérations satellites

(301) 763-7573

  1. : C. Liddick

 

En d’autres termes, le satellite doit tourner dans l’esprit des scientistes coperniciens sinon toute la structure copernicienne tombe, et cela constitue une alternative « impensable ». Donc, il doit tourner dans l’esprit des scientistes pendant qu’ils effectuent leurs calculs pour repositionner l’instrument.

Mais voilà que ces scientistes réalisent maintenant que ces satellites allant à près de 7 000 MPH dans le système copernicien doivent être stoppés mathématiquement afin qu’ils puissent faire les calculs qui provoqueront un repositionnement couronné de succès. Or, ces calculs marcheront et aucun autre. Toute la manœuvre délicate fonctionnera parce que les calculs auront été basés sur une Terre et un satellite qui sont immobiles.

Bon, maintenant, cette série de circonstances nous met en face de la proposition que les mathématiques décrivant un satellite immobile au-dessus d’une Terre fixe fonctionnent avec précision et permettent à toute l’opération d’être exécutée dans le monde réel, alors qu’en même temps, ces calculs sont « reconnus » pour être faux par tous les scientistes coperniciens qui les utilisent. Vous saisissez ?

Ils emploient des maths basées sur une Terre immobile parce qu’ils le doivent. Mais ces maths fonctionnent ! Elles ne fonctionneraient pas et ne pourraient fonctionner si le machin voyageait à près de 7 000 MPH, alors ce qu’ils appelleraient de vraies maths représentant une situation véritable ne fonctionnerait pas et ce qu’ils appellent de fausses maths fondées sur une fausse situation fonctionnent. Vraiment étrange…

Donc, l’impasse logique dans laquelle se met le copernicisme, c’est la réalisation que ce qu’un scientiste copernicien doit reconnaître comme de « fausses » maths en faveur d’une Terre fixe et d’un satellite fixe rendent néanmoins possible une manœuvre délicate et précise dans le monde réel (pas en théorie !), et que les « vraies » maths en faveur d’une Terre qui tourne et d’un satellite qui orbite ne permettront pas que la manœuvre fonctionne dans le monde réel.

Nous en avons passablement dit sur les mathématiques bidon et de ce qu’elles sont les seules « preuves » qui soutiennent le mythe copernicien. Toutefois, non seulement les VRAIES mathématiques existent-elles dans le monde réel de la Science appliquée, mais elles sont les seules à faire construire les ponts, les jets et les ordinateurs ; les seules à faire marcher les trains et à mettre les satellites là où ils doivent être. Vu l’utilisation de toute la fausse science des mathématiques bidon dans l’émergence et le succès du copernicisme, ce n’est que justice et parfaite ironie qu’une FAILLE capable de faire basculer la contrefaçon copernicienne se trouve dans cette opération de déplacement satellite très peu connue. Nous voyons ici très clairement que seules les vraies mathématiques peuvent fournir les calculs nécessaires pour accomplir cette action réelle dans le monde réel.

Mais, à l’instant même où cette opération de repositionnement identifie les Vraies Mathématiques, elle révèle également le dur fait que les fausses mathématiques ne fonctionnent que pour de fausses hypothèses qui ne peuvent être testées !

Donc, les vraies mathématiques, fondées sur une TERRE FIXE ET UN SATELLITE FIXE sont les SEULES mathématiques qui assureront le déplacement de ce satellite dans le monde réel. C’est la seule et véritable raison pour laquelle cette opération est basée sur une Terre fixe et biblique ! Ce Système biblique constitue la Vérité et seules des maths fondées sur cette Vérité déplaceront ces satellites de A à B ! Les gens des Opérations Satellites n’utilisent pas une Terre fixe dans leurs calculs parce que c’est plus facile et plus commode que d’employer des calculs basés sur le système copernicien ; ils utilisent les calculs d’une terre fixe parce que ce sont les SEULS qui feront le travail !! Ils n’ont pas le choix, ils doivent employer la Terre fixe !

Pour résumer tout ça, lorsqu’on commanda au Satellite GEOS-7 de se déplacer ¼º vers l’ouest par jour pendant 42 jours, il se déplaça à partir d’une position stationnaire. Et la même chose arriva lorsqu’on le retourna à sa position en est. Et le tout fonctionna ! Les deux repositionnements fonctionnèrent parce que le satellite est maintenu en place dans la bande électromagnétique circulaire et qu’il demeure aussi immobile qu’une statue dans un désert, n’allant nulle part, à vitesse zéro, tant qu’on ne lui donne pas instruction de se déplacer.

Et s’il ne bouge pas, la Terre ne bouge pas non plus…

Et cela veut dire qu’il est temps de revenir à la Bible !

Nota bene :   Une lecture attentive des deux paragraphes suivant le #3 dans la réponse de la NASA du 22 novembre 1989 révèlera une erreur manifeste dans la résolution de la vitesse et de la distance. Cette erreur n’est pas pertinente à ce qui a été dit jusqu’ici, en ce qui me concerne, mais elle mérite néanmoins d’être notée. Selon toute évidence, la distance d’une longitude à une autre ne peut être la même dans un cercle de 165 100 milles [264 160 km] qu’elle l’est dans un cercle de 25 000 milles [40 000 km]. Non plus qu’un trajet de 42 jours aux vitesses données amèneront le satellite de 97,45º de longitude ouest à 107,2 de longitude ouest ! En fait, le satellite doit être déplacé d’environ 4 449 milles [7 118,4 km] à 4,41 MPH [7 km/h] pendant 42 jours pour atteindre sa destination.

___________________________________________________________________________

[1] La distinction conventionnelle entre satellites géosynchrones et géostationnaires s’établit ainsi : « Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre (…) Le satellite géosynchrone est celui qui orbite autour du centre de la Terre en un cercle exactement synchronisé avec la rotation de la Terre, bien qu’il ne lui soit pas nécessaire d’être sur le plan équatorial (…) Une orbite stationnaire doit être synchronisée, mais une orbite synchronisée n’a pas besoin d’être stationnaire… » [Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, 1989, p. 2501].

[2] Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, (Van Nostrand Reinhold, N.Y., 1989), p. 2501

[3] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Interprétations des petites irrégularités du mouvement, Vol. 12, p. 417.

[4] Branley, La lune, p. 22.

[5] Ibidem, p. 23.

[6] Le mot « planète » signifie « vagabond ». Si la Terre ne bouge pas, elle ne vagabonde donc pas et elle n’est pas une « planète » ; ce mot n’est qu’un autre maillon de la longue chaîne d’endoctrinement séducteur destiné à implanter le concept de l’héliocentrisme dans l’esprit des gens.

[7] Umberto Eco, Le pendule de Foucault, (Harcourt Brace Jovanovich, éd., San Diego, N.Y., Londres, 1989), p. 237.




D.148 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-3

 

CINQUIÈME PARTIE

(3)

LES PARADOXES

 

 

1 + 1 = 3

 

Lorsque les « scientistes » tombent sur une contradiction, ils appellent cela un paradoxe. C’est la même chose qu’une contradiction, mais cela dégage une odeur bien trop parfumée pour n’être qu’un paradoxe ordinaire. Il y a contradiction (paradoxe) lorsque quiconque se met à dire que quelque chose est vrai quand ce n’est pas vrai. Un écrivain conclut ainsi à ce sujet :

« …une simple contradiction [paradoxe] peut oblitérer une structure théorique entière. »[1]

C’est le même gars qui nous a donné la chouette démonstration arithmétique montrant comment fonctionne une contradiction. Tout le monde peut constater, par cet exemple, ce qui arrive lorsqu’on se met à dire une contradiction, que ce soit une Terre en mouvement ou autre. Mais nous vous proposons, ici, de lire tout le paragraphe, pour en voir le mécanisme :

« …on débute avec l’assertion que 1 + 1 = 3 (une contradiction). En soustrayant 1 de chaque côté, on obtient 1 + 1 – 1 = 2. Soustrayons encore 1 de chaque côté et nous avons 0 = 1, ou 1 = 0. Maintenant, multiplions chaque côté de l’“équation” par n’importe quel nombre, comme par exemple 12. Ainsi, 12 = 0. Mais faites ceci avec n’importe quel nombre qui vous plaît et tous et chacun = 0 ; 100 = 0 ; 5 000 = 0 ; 50 = 0 ; ad infinitum. Nous voyons donc que la contradiction 1 = 0 prolifère en d’autres contradictions. Mais ce n’est pas tout. Prenez n’importe quelle “équation” arrivée au dernier stade — par exemple 76 = 0. Maintenant ajoutez des deux côtés le même nombre, comme 2. Alors, 78 = 2. Ou ajoutez n’importe quel autre nombre à la place, comme 10 ; alors 86 égale 10. Ou encore, reculez d’un stade et cherchez un autre multiplicateur pour 1 = 0, comme 100 ; alors 100 = 0. À partir de ce point, quelques expérimentations mentales du lecteur lui démontreront que n’importe quel nombre égale n’importe quel autre nombre. Cela résulte du fait que l’on accepte 1 + 1 = 3 comme étant vrai ! »[2]

C’est un exemple explosif quand on pense que ce qui soutient le copernicisme en entier s’exprime en termes mathématiques ! À ce que nous pouvons voir, ce ne sont que des mathématiques qui apportent la « preuve » d’une Terre qui tourne. Il n’y a pas de vraie « preuve » ; donc, toute l’idée est résolue par le genre de mathématiques inventées dans le but d’y arriver. Les lettres et les symboles égalent ce que les mathématiciens veulent qu’ils égalent.

Ainsi, n’importe quoi, quoi que ce soit, aussi contradictoire (paradoxal) que cela puisse être en regard de ce que l’on sait être vrai (1 + 1 = 2), peut être refilé comme « scientifique » et, partant, factuel et véritable dans l’esprit de la plupart des gens. Mais cela ne fait pas que ces mutations mathématiques, ces paradoxes abominables, soient réellement vrais. Pas du tout ! Souvenez-vous qu’un « paradoxe » est le mot chic d’une contradiction qui contient un mensonge. Les sciences de la physique et de l’astronomie sont criblées de paradoxes ; crrrriblées ! Examinons-en quelques-unes.

LA SIMULTANÉITÉ

C’est le nom de l’adjectif « simultané ». Le Larousse nous dit : « Existence de plusieurs actions dans le même instant ; coïncidence. » À peu près tout le monde sait cela. Voilà un mot qui possède une signification acceptée et invariable. Tout le monde sait que lorsque deux choses arrivent en même temps, le mot employé pour désigner ces événements est « simultané ».

C’est un fait, comme 1 + 1 = 2…

Mais il y a une place, entre autres, où Einstein a changé la signification comprise et acceptée internationalement d’un mot en un paradoxe (contradiction) et tout l’establishment de la science a permis au fantaisiste de continuer son petit bonhomme de chemin, empilant les contradictions les unes par-dessus les autres et d’étayer une théorie mathématique maboule sur une autre, encore plus maboule, jusqu’à ce qu’aujourd’hui, tout le champ de la science soit complètement toqué.

Comment Einstein s’y est-il pris pour ériger tout cela ? Laissons le camarade que voici répondre pour nous. Il note que :

« Einstein trouva la physique remplie de propositions au sujet de la simultanéité ou de la non-simultanéité des événements ; il trouva que ces concepts jouaient un rôle décisif dans les interprétations de l’expérience Michelson-Morley et les autres expériences ; et son originalité spéciale en tant que physicien fut, lors d’un moment crucial de l’histoire de la science, de commencer à se comporter comme un philosophe (…) il se tourna vers les analyses des concepts fondamentaux et souleva la question préalable : que signifions-nous, ou que pouvons-nous réellement signifier, quand nous attribuons le qualificatif de “simultanéité” à deux ou plusieurs événements ? (…) En d’autres termes, quelle est la signification de “signification” ? (…)

» Einstein a dit lui-même que sa Théorie Spéciale était fondée sur “une libre définition de la simultanéité” et il admit que sa définition était “…purement arbitraire … inobservable et invérifiable…” »[3] (emphase ajoutée)

C’est le cas de le dire ! Mais qu’est-ce que cela avait à voir avec l’expérience Michelson-Morley ? Eh bien, la conclusion ultime de cette expérience fut que les rayons de la lumière reviennent simultanément, qu’ils soient pointés en direction de la supposée rotation de la Terre à 66 000 MPH [105 600 km/h] ou qu’ils pointent en une autre direction, i.e., à 90º. L’interprétation évidente de ce résultat fut que la Terre ne tourne pas, mais, comme nous l’avons vu, cette interprétation était « impensable » aux yeux de la communauté scientifique… et les scientistes suèrent sang et eau pour trouver une autre interprétation !

Or, Einstein n’eut qu’à changer la signification du mot simultanéité, lui donner une nouvelle « libre » définition et aller de l’avant ! Ensuite, il décréta que rien ne pouvait être immobile dans l’univers. L’éther était immobile, donc il agita sa baguette magique relativiste et la fit disparaître. Et, bien sûr, étant grand scientiste et bienfaiteur de l’humanité, il était « impensable » que la Terre fut immobile ; ainsi, jamais, jamais ne fit-il la moindre allusion à cette possibilité. D’un autre côté, Dieu dit, non seulement qu’elle ne tourne pas, mais qu’elle ne peut pas bouger ! Einstein — sans l’avoir dit franchement — affirme néanmoins haut et fort que, puisqu’il ne peut rien y avoir d’immobile dans l’univers, non seulement la Terre tourne-t-elle, mais il n’y a aucune chance qu’elle puisse demeurer immobile.

Il y a des étagères complètes de livres sur Einstein, et tous ces bouquins passent par-dessus l’accomplissement essentiel qu’apporta cet homme au monde de la « science », c’est-à-dire que sa « relativité » insensée « prouva » que la Terre tournait parce que rien ne pouvait demeurer immobile dans « son » univers. Le choix est très clair : la parole d’Einstein contre la Parole de Dieu ! Et nous pouvons constater laquelle des deux le sacerdoce scientifique a choisi en tant que vérité pour sa congrégation qui s’adonne justement à s’étendre au monde entier !

Ainsi donc, Einstein devait se débarrasser de la signification réelle de la simultanéité des événements dans l’espace parce que (pour couper court) il ne pouvait avoir la simultanéité véritable et la relativité en même temps. Pourquoi ? Simple : le Big Bang ; un événement, une explosion ; les parcelles s’envolent ; jamais deux parcelles ne peuvent être exactement au même endroit exactement en même temps (simultanément). Jamais, jamais, jamais ! Il ne peut tout simplement pas y avoir deux événements simultanés dans l’univers, c’est-à-dire, des choses qui arrivent au même temps précis. Donc, on doit avoir une nouvelle définition de « simultané » parce que « simultané » signifie le même instant dans le temps et Einstein devait avoir une nouvelle définition du temps. Voilà ce qu’il recherchait vraiment : changer la définition du temps. C’est ce qu’il fit, et l’establishment scientifique l’a favorisé jusqu’à nos jours en dépit du fait que sa définition du temps est aussi une contradiction (paradoxe) absolue, ce qui revient à dire que c’est une impossibilité illogique ou, si vous préférez, un gros mensonge épais. Voyons pourquoi.

LE TEMPS

« Une théorie qui exige une impossibilité ne peut qu’être fausse. »[4]

Ainsi parlait le célèbre philosophe scientifique, Herbert Dingle, qui connaissait bien Einstein et qui fut trompé par sa théorie de la relativité pendant près de quarante ans avant de constater qu’elle était logiquement impossible. Puis, les treize années suivantes, il essaya d’amener l’establishment scientifique à admettre que les arguments d’Einstein étaient scientifiquement et logiquement impossibles. Il n’arriva nulle part dans ses efforts et enregistra finalement ses trouvailles dans un livre avant sa mort. Les trois illustrations principales qu’utilisa Einstein pour contourner les problèmes que la véritable simultanéité lui causait en regard de sa Théorie de la Relativité impliquaient le TEMPS. Une des illustrations concernait les horloges. Dingle la résume ainsi :

« Selon la Théorie Spéciale de la Relativité, deux horloges similaires, une A, l’autre B, marchant d’un mouvement relativement uniforme (…) fonctionnent à différents rythmes. La situation est, par conséquent, entièrement symétrique, de laquelle il s’en suit que si A fonctionne plus rapidement que B, B doit fonctionner plus vite que A. Puisque cela est impossible, la théorie doit être fausse. »[5] (emphase ajoutée)

Parions que Dingle expliqua clairement tous les détails l’ayant amené à cette conclusion de telle manière que personne ne pouvait manquer d’en arriver à la même conclusion. Il démontra en détails pourquoi l’illustration des horloges d’Einstein était logiquement impossible. Son livre peut jouer un rôle majeur en vue de faire tomber le mythe Einstein et tout ce que l’establishment scientifique veut faire croire « impensable » en regard des résultats de l’expérience Michelson-Morley, dont le résultat « impensable » était que la Terre ne tourne pas.

Dingle, pour une raison ou une autre que Dieu seul connaît, ne se colleta jamais avec ce principe essentiel, mais il se contenta de démolir les principaux piliers explicatifs qu’Einstein employa pour soutenir ses théories délirantes.

Le philosophe Lovejoy en était un autre qui réalisa que la racine des idées d’Einstein étaient plus philosophiques que scientifiques et que sa philosophie — quand on perce le camouflage de ses fumistes mathématiques et de sa redéfinition des mots — était remplie de conditions illogiques et arbitraires. Ce fut Lovejoy, parmi d’autres, qui exposa l’impossibilité logique d’une autre des fameuses illustrations d’Einstein impliquant la Relativité, le soi-disant « paradoxe des jumeaux ». Il s’agit de l’exemple où un frère jumeau s’envole dans l’espace presque à la vitesse de la lumière et l’autre jumeau demeure sur la Terre. Ils ont tous deux vingt ans quand l’un d’eux part dans l’espace, voyage pendant un an, selon ce qu’indique l’horloge à bord, puis il s’en revient. Le jumeau astronaute a vingt deux ans lorsqu’il atterrit, mais 200 ans se sont écoulés sur Terre et le frère jumeau demeuré sur Terre est mort et enterré depuis longtemps.

C’est ce que déclara Einstein. Mais cela contredisait sa propre théorie de la relativité qui exigeait qu’il…

« …était tout aussi vrai de dire que la Terre où se trouvait Pierre [l’un des jumeaux] avait été éloignée de Paul [l’autre jumeau] que de dire que Paul avait été éloigné de Pierre. »[6]

En d’autres mots, puisque tout mouvement est relatif dans la Théorie de la Relativité, qui pouvait dire ce qui bougeait du vaisseau spatial ou de la Terre ? Voilà la question. Donc, après qu’un paquet de conclusions logiquement inévitables concernant les horloges, le retardement du temps, les exigences de la Théorie de la Relativité, etc., sont explorées, la conclusion finale de Lovejoy est que :

« …lorsque le vaisseau revient sur Terre, Paul sera vivant alors que Pierre sera mort, et aussi Pierre sera vivant alors que Paul sera mort — c’est-à-dire, Paul sera simultanément mort et vivant, et Pierre sera aussi simultanément mort et vivant. »[7]

Cela annula-t-il la théorie ? Non ! Vous devez comprendre comment cette affaire de paradoxes (contradictions) fonctionne en physique ! Ils tombent dans une trappe de logique, mais, au lieu de se dire « oups ! » et faire marche arrière en relevant les épaisseurs d’illogisme, couche après couche, jusqu’à la source de la théorie, i.e., leur refus de considérer que la Terre est stationnaire, ils ajoutent plutôt une autre épaisseur de théorie mathématique qui est condamnée d’avance à ce qu’on la révèle comme absurdité illogique après quelques années.

Alors comment Einstein manipula-t-il ces Paradoxes des jumeaux et de l’horloge ? Comme ceci :

« En 1918, Einstein entreprit la résolution du paradoxe des jumeaux et de l’horloge. Il invoqua son principe de co-variation, le cœur du concept de sa Théorie Générale (…) L’intéressante application de ce principe est l’équivalence supposée de la gravitation et de l’accélération — le principe d’équivalence d’Einstein. »[8]

« Supposée » ! Déjà il déclare principe scientifique une supposition improuvable qui devient le « cœur du concept » de sa théorie principale, la Théorie Générale de la Relativité ! Voilà un exemple de premier ordre de ce que l’on met une théorie illogique de plus au sommet d’une autre qui vient d’être avérée illogique, au lieu de retourner en arrière pour trouver la source d’où est sortie la première idée illogique. Il y a plus :

« Voilà ce à quoi revient le principe d’équivalence d’Einstein, dans le cas présent [le paradoxe des jumeaux] : le choc dont vous faites l’expérience en tombant face contre terre s’explique, non seulement de manière conventionnelle, mais aussi de façon alternative en supposant que la Terre, avec l’univers, vous ont soudainement volé au visage et vous ont frappé la tête… »[9]

C’est ce genre d’équivalence sur lequel repose tout le cas de relativité d’Einstein ! Et ajoutez ceci :

« Voici ce que je puis me permettre de dire de plus poli en regard de telles applications du principe d’équivalence : le mouvement de tout l’univers pour s’éloigner et revenir vers le vaisseau spatial (ou s’éloigner et revenir du marteau de quelqu’un ou d’une auto) n’est pas une vérité observable… ce n’est plutôt qu’une hypothèse arbitraire et désespérée… »[10] (emphase ajoutée)

Plutôt poli… ! N’importe qui laissant travailler un peu sa jugeote dira simplement que c’est folie pure ! Mais pas la « science faussement ainsi nommée » ! On dirait que ce gang n’en a jamais assez de coucher l’une sur l’autre les théories illogiques pour les isoler des attaques et sont toujours à chercher d’autres couches dans lesquelles s’envelopper. Les théories d’Einstein leur ont fourni plusieurs de ces épaisseurs. Sakharov et nombre d’autres ont contribué passablement à cet ajout de couches. En tous les cas, voici un autre classique paradoxal, ou logique absurde, si vous voulez, ayant rapport au temps :

L’OBSERVATEUR

Quiconque lit les Contes de Fées d’Einstein trouvera qu’il utilise toutes sortes « d’expériences de réflexions » où il place un « observateur » pour faire un rapport de ce qui arrive dans l’espace. Le professeur Dingle demande :

« Pourquoi … l’observateur figure-t-il de manière aussi prééminente dans les commentaires de la théorie [de la relativité] ? »[11]

Il répond :

« C’est simplement parce qu’il [l’observateur] a faussement été identifié à un système coordonné … un état de mouvement… »[12]

Donc, où cela mène-t-il ? À ceci :

« C’est un trait essentiel de la théorie [de la relativité] que les deux observateurs [l’un dans un train allant à 60 MPH (96 km/h) et l’autre dans la station] ont le même droit l’un que l’autre de dire qu’il est en arrêt et que l’autre se déplace… »[13]

Lorsque ces notions furent passées en revue dans la presse populaire dans le monde, un journal sortit un cartoon qui résumait assez bien la chose et de façon fort humoristique. Dans le cartoon, un passager du train qui filait en passant par une station demanda :

« Bonjour gardien, est-ce que Manchester arrête à ce train ? »[14]

Cela me semble fort bien résumer l’absurdité du concept. Examinons un autre exemple.

LES TIGES CONTRACTÉES

Ou, si vous préférez : les tiges qui disparaissent. Je parle d’une autre des « expériences mentales » d’Einstein qui implique la « théorie » voulant qu’une tige qui traversera l’espace deviendra plus courte à mesure qu’elle approche de la vitesse de la lumière et qui disparaîtrait complètement si elle l’atteignait. On constate pourquoi cette notion est fondée sur l’expérience « mentale »…

Comme nous l’avons déjà mentionné antérieurement, FitzGerald se pointa avec cette idée alors qu’il tentait de contourner les résultats de l’expérience Michelson-Morley (qui, elle, n’était pas une expérience « mentale » !). Essayant de résoudre les résultats de cette véritable expérience dont les conclusions confirmaient une Terre immobile, FitzGerald (ainsi que Lorentz, Poincaré, les autres et, plus tard, Einstein) esquiva tout simplement « l’impensable » conclusion. Alors, FitzGerald, dans sa recherche désespérée d’une autre manière d’expliquer comment la lumière se comportait dans cette expérience :

« …décida que tout objet matériel, lorsque se déplaçant dans l’espace absolu, doit de ce fait raccourcir dans le sens du mouvement. Cela inclut les bras de l’interféromètre de Michelson-Morley… »[15] [Alors comment des matériaux très fragiles et délicats, comme les ailes d’un papillon, par exemple, ne se désagrègent-ils pas ? Si le papillon va d’est en ouest, ses ailes devraient tomber en poussière, si le métal se rétracte. Vous voyez l’implication ?]

Einstein reprit l’idée, simplifia « tout objet matériel » pour en faire des « tiges » et utilisa un symbole mathématique inventé pour décrire le mythe en l’incluant dans ses équations comme si c’était aussi réel que 1 + 1 = 2. Et ainsi un autre bond de géant dans la logique fit son chemin dans le Grand Livre de Fables du physicien du 20e siècle.

On ne trouvera aucune science nulle part dans ces formules désespérées défiant toute logique (les horloges, les jumeaux, les tiges, les trains, les élévateurs, etc.). Elles ont été fabriquées, de façon presque sauvage l’une après l’autre, pour éviter de penser à « l’impensable » : une Terre stationnaire. Nordenson l’a bien dit :

« Ni Einstein, ni personne d’autre ne peuvent savoir quoi que ce soit concernant la signification physique de ces formules. Ce ne sont toutes que des constructions mathématiques sans signification physique connue. »[16]

Et voici une autre importante observation qui aide grandement à expliquer pourquoi cette bouffonnerie pseudo-scientifique continue à être transmise et entretenue par des gens que l’on dit apparemment intelligents et censément honnêtes :

« De nombreux étudiants, par ailleurs alertes, qui s’initient à la relativité, se font dérouter dans leur logique et perdent confiance en leur propre capacité de penser clairement alors qu’ils glissent dans le mysticisme et deviennent la prochaine génération des prêtres scientifiques. »[17]

Ce n’est pas une exagération. Ces praticiens de la pseudo-science contrefaite de Satan sont les prêtres d’un système de croyances qui interdit l’acceptation du système de croyance fondé sur la Bible. Qu’ils soient ou non conscients de leur rôle, leur « profession » est un Ordre Religieux. Il exige de ses prêtres qu’ils acceptent sans poser de question le principe fondamental que la Terre est un insignifiant accident qui orbite autour du soleil. Tout initié à ce sacerdoce doit dénoncer comme notion « impensable » une Terre qui ne tourne pas.

Voilà donc le premier commandement de l’Ordre : « Tu n’auras pas d’autre Dieu que nous, les “scientifiques”. Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé une Terre qui ne peut être remuée, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous disons ! Tu n’auras pas cet autre Dieu devant nous ! Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé Adam et Ève et toute autre vie pour qu’ils se reproduisent selon leur espèce, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous te disons, savoir, que les mutations et la sélection naturelle au cours de centaines de millions d’années produisit toutes les plantes, tous les animaux et la vie humaine qui existe et a existé. Puis, bien entendu, si ton Dieu te dit qu’Il a envoyé Son Fils unique, né d’une vierge, crucifié, ressuscité et préparant un Royaume éternel pour ceux qui aiment la Vérité, tu ne dois pas le croire ! Tu dois plutôt croire à ce que nous te disons, c’est-à-dire que la vie est une expérience accidentelle et sans signification qui se termine dans la tombe, et qu’il n’y a pas de Dieu avec un plan incluant Jésus et tout le reste. »

Nous avons donc ici deux Ordres Religieux. Et nous n’avons pas à nous poser la question à savoir lequel contrôle les centres d’éducation (i.e., d’endoctrinement) du monde, de la maternelle au doctorat ! Mais voici un fait plus significatif encore. L’autre Ordre Religieux, c’est-à-dire, les Églises chrétiennes, ceux dont la Bible est la seule raison de leur existence, est cet Ordre qui a renié la source de Vérité et s’aligne entièrement avec le « sacerdoce scientifique » et sa doctrine clé, l’héliocentrisme destructeur de la Bible. Il a également renié ses racines dans une proportion d’au moins 90 pour cent de ses églises en ce qui a trait à l’autre doctrine destructrice de la Bible, i.e., l’évolutionnisme du « sacerdoce scientifique ».

Voilà ce qui est arrivé. Et que reste-t-il, si ce n’est un Jésus sans la Bible, une sorte de bon gars parlant d’une utopie terrestre, une bonne personne religieuse sur un pied d’égalité avec Bouddha, Mahomet, Zoroastre et autres ? Oublié, le Jésus de la Bible, à Qui Dieu a donné toute autorité et tout pouvoir sur la Terre comme au Ciel, Qui détruira les œuvres de Satan, Qui est le Fils unique de Dieu (Matthieu 28:18). Ce Jésus-là est oublié. C’est ce qu’exige le « sacerdoce scientifique ». « Nous avons détruit le fondement de la croyance en ce Jésus-là, la Bible elle-même, » s’écrie le sacerdoce en toute confiance. Peu importe, voici, en relation avec tout ceci, quelques questions à votre intention, questions qui sollicitent des réponses logiques.

D’après vous, qu’est-ce qui est le plus logique :

A) Des tiges mathématiquement conçues qui raccourcissent et disparaissent à une vitesse croissante ?

OU

B) De vraies tiges qui ne sont pas affectées par la vitesse ?

____________________________________________________________________________

A) Des stations ferroviaires qui bougent ?

OU

B) Des trains qui bougent ?

____________________________________________________________________________

A) Des jumeaux qui sont tous les deux plus vieux et plus jeunes que l’autre après que l’un eut fait un voyage spatial mathématique ?

 OU

B) Deux jumeaux qui demeurent du même âge peu importe ce qui arrive ?

____________________________________________________________________________

A) Des horloges qui fonctionnent plus lentement et, en même temps, plus vite que l’autre ?

 OU

B) Des horloges qui donnent simultanément la même heure, si elles sont préalablement synchronisées avant que quelqu’un fasse un voyage spatial mathématique ?

____________________________________________________________________________

A) Que la matière explosa et produisit le soleil, la lune, les étoiles, ainsi que vous et moi et les arbres ?

 OU

B) Que tout cet ordre infini, cette précision et cet inéluctable design exigent, non seulement un simple Designer, mais un Designer omnipotent, omniscient et omniprésent ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer n’avait aucun Plan, aucun Dessein, aucun Motif menant à ce Design extraordinaire ?

 OU

B) Que l’attention méticuleuse portée à un éventail incroyable de détails dans tout le design mène à un Designer ayant un Plan et un Dessein ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer résolu eut gardé l’humanité — Sa création suprême — dans le noir quant à Ses Plans concernant la Terre ainsi que les nouveaux cieux et la nouvelle Terre éternels qu’Il a également conçus ?

 OU

B) Que le Designer résolu eut consigné Ses Plans dans une forme écrite expliquant tous les détails pour tous ceux qui Le rechercheraient diligemment, ainsi que Ses voies ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’ayant compilé ce contrat écrit passé avec ceux qu’Il a dit avoir créés à Son image, Il aurait permis à des copistes, à des traducteurs et à des espions de le tordre si gravement que nous ne pouvons plus en connaître le message ?

 OU

B) Qu’Il l’a gardé si pur que toutes Ses Vérités sont intactes et peuvent être séparées des enseignements de contrefaçon et des traditions par un effort diligent et conduit par le Saint-Esprit ?

____________________________________________________________________________

A) Que l’homme peut volontairement choisir certaines Vérités et en rejeter d’autres du Livre de Dieu et avoir néanmoins droit à la récompense de la vie éternelle dans le Royaume ?

 OU

B) Que personne préférant les mensonges à la Vérité ne peut entrer dans le Royaume ?

____________________________________________________________________________

A) Que la « science » a prouvé que le Livre de Dieu avait tort sur la question du géocentrisme, la création et le déluge de Noé et que, par conséquent, Il n’est pas fiable en ce qui a trait à Jésus et le reste du Plan ?

 OU

B) Que la « science » ne possède pas la moindre preuve irréfutable démontrant que la Terre tourne, ni que l’évolution soit arrivée, et toute déclaration du contraire n’est que mensonge sorti de ses livres religieux destinés, par le père du mensonge, à miner le Livre de Dieu ?

____________________________________________________________________________

A) Que Dieu n’exécutera pas exactement Son Plan tel que décrit dans Son Livre ?

 OU

B) Que, comme Il l’a dit, « un seul Iota, ou un seul trait de lettre ne passera point » ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’Il ne détruira pas l’œuvre du Diable, comme Il l’a écrit, et certainement pas ces deux œuvres puissantes que sont l’héliocentrisme et l’évolutionnisme ?

 OU

B) Qu’elles seront les premières à tomber parce que c’est sur elles que reposent toute la confiance moderne rebelle de l’homme en lui-même et tout son raisonnement cherchant à rejeter le Plan de Dieu pour y substituer le sien ?

Le test est un peu truqué… toutes les bonnes réponses étant B. Si vous avez un seul A, vous avez sans doute un petit problème de logique.

 

EN BAS DE LA CHEMINÉE

Réfléchissez à la navigation des avions bombardiers partant d’Angleterre, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, pour se rendre vers leurs cibles de l’Europe nazie, même jusqu’en Allemagne. Disons que la latitude au niveau de la base des avions bombardiers, en Angleterre, est de 52º Nord et que la latitude de la cible est de 49º Nord. Environ 69 milles [110,4 km] séparent deux degrés. Ainsi, l’avion bombardier se rend à 210 milles [336 km] au sud. Maintenant, rappelez-vous que la Terre est supposée tourner à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] à l’Équateur qui est à 0º de latitude et fait 25 000 milles [40 000 km] de circonférence à partir de n’importe quel point de départ.

Les deux pôles sont à 90º de latitude de l’Équateur. À mi-chemin entre le Pôle nord et l’Équateur, c’est le 45º de latitude. Mais, si nous décollons à partir de cette latitude-ci et faisons le tour de la Terre en suivant le 45º de latitude, nous découvrons qu’il nous faut parcourir environ 17 700 milles [28 320 km] pour revenir à notre point de départ. Cela est bien clair, j’espère. La distance devient plus courte à mesure que l’on approche du pôle. Et, si la distance est plus courte, qu’en est-il de la vitesse qu’il faut pour faire le tour en une journée de vingt-quatre heures ? Vous devrez ralentir, sinon vous arriverez trop tôt.

Donc, au 45º de latitude, notre vitesse descend à 735 MPH [1 176 km/h]. Ainsi, si la vitesse supposée au niveau de l’Équateur est de 1 040 MPH [1 164 km/h] pour couvrir 25 000 milles [40 000 km] en 24 heures, par conséquent, à 45º de latitude, il faudra aller à 735 MPH [1 176 km/h] pour parcourir 17 700 milles [28 320 km] en 24 heures. Plus le degré de latitude au nord ou au sud de l’Équateur est éloigné de celui-ci, plus la distance est courte et la vitesse est moindre (d’environ 12 MPH [19,2 km/h] en moyenne) pour quelqu’un qui veut parcourir cette latitude en vingt-quatre heures.

Nous sommes sur le point de connaître une autre raison pourquoi la Terre ne peut pas bouger ! Donc, la base de l’avion bombardier se situe au 52º de latitude et, à partir de l’endroit où elle se situe, à midi, un jour donné, la Terre devra révolutionner exactement une fois jusqu’au midi du jour suivant pour que, selon le système copernicien, la base se retrouve exactement au même endroit. Et, puisque le 52º est plus près du Pôle de 7º que le 45º placé à mi-chemin, la Terre en-dessous de la base et les installations de la base n’auront qu’à voyager à 735 MPH [1 176 km/h] moins environ 85 MPH [136 km/h] ou 650 MPH [1 040 km/h] pour faire un tour complet en 24 heures. Et la cible étant à une latitude de 3º plus près de l’Équateur aura à voyager à une vitesse 35 MPH [56 km/h] supérieure à la base de l’avion bombardier.

Or, le navigateur du bombardier dresse son itinéraire à partir d’une carte aussi immobile au sommet qu’au bas ou que dans les côtés, et il calcule la distance et la vitesse en disant au technicien bombardier qu’ils seront au-dessus de la cible, disons, à 13h30 sans s’arrêter pour réfléchir à savoir si, après deux heures de vol, sa cible aura voyagé vers l’est à peu près trente-deux kilomètres plus rapidement que la base de l’avion bombardier. Maintenant, supposons que le technicien bombardier est jeune et plutôt effronté. Il dit au pilote de se maintenir à 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude et qu’avec son fidèle viseur, il va lâcher une pièce de 2 000 livres [906 kg] directement dans la plus grosse cheminée de la région ciblée.

À 13h30, ils sont exactement au-dessus de la cible, comme le prédirent les calculs fondés sur une carte qui ne bouge pas et, effectivement, le technicien bombardier regarde au-travers de son fidèle viseur situé dans l’avion qui file à 240 MPH [384 km/h] et repère sa cheminée ! Celle-ci ne semble pas se déplacer à l’est sur une Terre en rotation à deux fois la vitesse de l’avion, mais semble plutôt immobile. Il positionne le réticule du viseur sur la cheminée et lâche quelques bombes. Il regarde et, en effet, une d’entre elles s’enfonce dans la cheminée et les autres frappent les bâtiments alentours. Mission accomplie. Le pilote fait demi-tour et retourne au bercail, inconscient de la soi-disant vitesse de la Terre changeant continuellement sous son avion. L’avion file plein nord en survolant les latitudes toujours plus lentes et atterrit à la base en plein centre de la piste. Trente-six heures plus tard, ils refont le même manège sur une cible située trois heures plus loin, dans les ténèbres totales, et il est démontré qu’ils frappent encore leur cible sans la manquer de 20 ou 30 milles [32 à 48 km] et ce, pour une seule et unique raison : parce qu’ils utilisaient pour leur navigation une carte fondée sur une Terre immobile.

Comme ces exemples le démontrent de manière évidente et inéluctable, de même que littéralement des centaines de milliers et peut-être des millions d’autres exemples de vols d’avions dans toutes les directions, avant et après notre illustration, la seule façon au monde qu’un navigateur puisse faire son travail est de procéder comme si la Terre est totalement immobile.

Mais alors, quelle est l’explication que le système copernicien fournit à cela ? Il dit que la Terre possède une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec elle… C’est là que la cheminée entre en jeu ! Nous allons nous débarrasser dès maintenant et une fois pour toute de ce non-sens d’une « enveloppe d’air baladeuse » et nous allons prouver que la Terre ne tourne pas !

Revenons à notre technicien bombardier ayant repéré la cheminée du haut de ses 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude. Qu’il en fut conscient ou pas, ce jeune homme comptait sur l’attraction gravitationnelle pour attirer les bombes de l’avion vers les cibles. La vitesse de l’avion donna aux bombes une légère poussée vers l’avant laquelle est calibrée sur l’angle du viseur, mais elles se redressent très rapidement et tombent à la verticale comme si elles avaient été lâchées à partir d’un hélicoptère en suspension ou d’un ballon.

Donc, pendant 20 000 pieds [6 097m] environ, la seule force qui agisse sur les pièces de 2 000 livres [906 kg] est la gravité. Et ces bombes tombent bien droit à bonne vitesse et nous savons ce qui en est la cause : la gravité. Or, remarquez bien, SI la Terre tourne sur un axe, ces bombes se dirigent également en direction est à près de sept cents milles à l’heure [1 120 km/h] pendant qu’elles tombent !

Si elles avaient été lâchées sur une cible située sur l’Équateur — disons Quito — elles se dirigeraient alors vers l’est à mille quarante milles à l’heure [1 664 km/h] pendant qu’elles tomberaient verticalement attirées par la force de gravité. Cela semble vraiment étrange ! Si la Terre tourne sur un axe, ce devrait être exact. Aussi insensé que ça puisse être, ce devrait être comme ça. Or, les questions auxquelles personne ne peut répondre sont les suivantes : Quelle est le nom de la « force » qui peut tirer ou pousser une bombe de 2 000 livres [906 kg] toujours vers l’est au travers de l’enveloppe de l’air à 1 000 MPH [1 600 km/h] ou encore 700 MPH [1 120 km/h], selon la latitude, pendant que ces mêmes bombes tombent verticalement à plus de 200 MPH [320 km/h] sous l’action d’une force réelle et indéniable que l’on appelle la gravité ? Quelle est cette mystérieuse « force » que personne n’a jamais nommée ou vue en opération (excepté par les mathématiques ou sur un tableau noir !) ? Comment l’appelle-t-on ? Pourquoi cette « force » n’agit-elle que vers l’est et non vers un autre sens du compas ?! Quel est le mécanisme infiniment précis qui régit cette curieuse « force » sans nom pour qu’elle puisse pousser vers l’est une bombe de 2 000 livres [906 kg] dirigée vers une cheminée et ce, à n’importe quel degré de latitude, de l’Équateur aux Pôles et ajuster cette poussée transversale aux vitesses variant de 1 040 MPH à 0 MPH [1 664 km/h à 0 km/h] ??

Quelle est cette merveilleuse « force » obéissante si incroyablement puissante, tellement juste et précise, si bien ancrée dans sa direction orientale, qu’elle peut mouvoir ces bombes transversalement dans les airs plus vite que ne peut les attirer l’attraction vers le bas, entre 0º N et 80º N de latitude, puis de là à la latitude 90º les pousser de côté dans les airs plus lentement que la gravité ne les tire vers le bas ? Quelle est l’énigme innomée de cette « force » qui transporte 2 000 livres [906 kg] de bombes par le côté à une vitesse allant jusqu’à 1 040 MPH [1 664 km/h] à travers et entourées d’un air qui n’a pratiquement pas de poids, de volume, de densité ou de masse, par comparaison, et qui vont pourtant à la même vitesse, conduites et activées par cette « force » vraiment mystérieuse qui doit aussi régulariser et équilibrer la vélocité transversale des bombes très rapidement à chaque pouce d’altitude qu’elles tombent puisque sa vitesse en direction est se détermine aussi par l’altitude ? Quel est le nom de cette foutue « force » impossible et inexistante absolument nécessaire à la folie d’une Terre-qui-tourne ?

C’est Napoléon, croit-on, qui a dit que l’homme serait prêt à croire n’importe quoi afin de se garder de croire ce que dit la Bible. Regardons maintenant quelques « faits » héliocentriques à propos de la vitesse de la Terre…

VITESSES — QUATRE AU PLANCHER

Dans le système copernicien, la Terre se déplace dans quatre directions à quatre vitesses différentes, tout le temps. En réalité, la théorie héliocentrique exige qu’au moins deux de ces vitesses impliquent un constant ralentissement ou une accélération. Plus étrange que la fiction, il n’y a aucune preuve pour soutenir cela et c’est logiquement impossible. Nous avons déjà vu quelques références à ces vitesses sous des entêtes antérieures. Nous voulons maintenant examiner ce qu’il en est réellement et jusqu’à quel point ces vitesses sont ridicules.

PREMIÈRE VITESSE

(L’hypothétique vitesse de rotation )

Tous les livres traitant de ce sujet feront, comme l’exemple suivant, référence à ceci :

« …la vitesse de la rotation de la Terre est d’environ 1 000 milles à l’heure [1 600km/h] à l’Équateur… »[18]

Il est facile de savoir comment l’on détermine cette vitesse, car il ne peut y avoir d’autre réponse puisque la circonférence de la Terre autour de l’équateur est de 25 000 milles [40 000 km] et que la longueur d’une journée complète est de 24 heures. Pour que la Terre fasse une révolution complète en 24 heures, dans le système héliocentrique, la vitesse doit être d’un peu plus que 1 000 MPH pour couvrir les 25 000 milles. En fait, le calcul donne 1 040 MPH [1 664 km/h] ou 17 milles à la minute [27,2 km/m] ou, si vous préférez, .28 milles à la seconde [.45 km/s]. Ou, si vous avez un meilleur sentiment de la vitesse en parlant de pieds [ou mètres], pensez à 1 478 pieds à la seconde [45 m/s].

Rappelez-vous que c’est à cette vitesse que la Terre doit tournicoter à chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour, selon l’opinion héliocentrique. (La Bible, elle, dit que la Terre tourne à zéro MPH [0 km/h]). Examinons un peu plus cette question de vitesse, cette fois en rapport avec le supposé mouvement de la Terre autour du soleil, une fois par jour.

DEUXIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse orbitale)

Encore une fois, nous pouvons dire que tous les livres traitant de ce sujet donneront la même réponse parce qu’il n’y a qu’une seule manière d’arriver au calcul. La distance entre la Terre et le soleil (bien qu’elle varie, nous dit-on, de 2 000 000 milles [3 200 000 km] durant l’année) s’établit à 93 000 000 milles [148 800 000 km]. C’est le rayon que l’on double pour obtenir le diamètre de l’orbite que l’on multiplie par 3,14 pour avoir la circonférence. Comme le confirmera votre calculatrice de poche, cette circonférence approche 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Quel que soit le corps en mouvement (la Terre dans le système héliocentrique, le soleil dans le système géocentrique), il parcourt une orbite de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Pas besoin d’argumenter là-dessus. Par conséquent, employant le langage héliocentrique que l’on a enseigné au monde entier comme étant correct et scientifiquement éprouvé, Branley dit que :

« …la Terre se déplace très rapidement dans son mouvement autour du soleil : environ 18,5 milles à la seconde [29,6 km/s]… »[19]

Bon, eh bien , 18,5 milles sur un claquement de doigt, c’est plutôt rapido, n’est-ce pas ? Voyons voir… Ça nous fait 18,5 milles x 60 secondes, ce qui nous donne 1 110 milles à la minute [1 776 km/m]. Ça équivaut à New York/Miami en une minute (ou Paris/Casablanca). Ensuite, nous prenons ce 1 110 milles à la minute et le multiplions par 60 pour obtenir le nombre de milles à l’heure. Qu’avez-vous ? 66 600 MPH [106 560 km/h] ? Moi aussi.

Fumant, n’est-ce pas ? J’ai lu en quelque part qu’une balle de fusil voyage à 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pensez-y un instant. Nous sommes ici sur une belle grosse sphère appelée Terre, censée tourner autour du soleil, en ce moment même, et tout le temps à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h], ou à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil !

¡Es muy rapido ! Si. Donc, d’après l’idée héliocentrique, tout le monde sur Terre — qu’on ait ou pas sa ceinture de sécurité — va à plus de 1 040 MPH [1 664 km/h] dans un mouvement de rotation et, en même temps, poursuit une orbite gigantesque à plus de 66 600 MPH [106 560 km/h]. Superman, que l’on décrit comme celui « qui va plus vite qu’une balle de fusil », en pleine vitesse, ressemble à un Super Escargot à côté du moindre des Terriens, alors que nous le perdons dans la poussière à trente fois sa vitesse, jour et nuit.

Tenez vos jupes, mesdames, accrochez bien vos chapeaux, messieurs, car il y a plus…

TROISIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse galactique)

L’écrivain Collins la détermine exactement pour nous :

« La Voie Lactée est une galaxie de type-S … Cette roue gigantesque tourne sur elle-même une fois tous les 225 millions d’années, à une vitesse équivalente à 776 000 km/h (486 000 MPH). »[20]

Sept cent soixante-seize mille kilomètres à l’heure ! Merci du peu ! Ensuite, notre gros Scientifique ajoute :

« Donc, non seulement notre Terre tourne-t-elle autour du soleil, mais, avec le soleil et toutes les autres étoiles, elle tourne aussi en rond autour du centre de notre galaxie. La dernière fois que nous nous sommes trouvés dans la même position, ce fut durant l’Ère carbonifère, avant que les dinosaures ne règnent sur le monde. Depuis que la Terre s’est refroidie pour prendre forme solide, il y a quelque 4 500 millions d’années, nous avons fait vingt fois le tour de la Voie Lactée… »[21]

L’astronome Hoyle conclura notre exposé de la troisième vitesse par cette citation où il écrit concernant :

« …la vitesse journalière de près d’un demi-million de milles à l’heure autour de la Galaxie. »[22]

1 000 MPH [1 600 km/h]. 66 600 MPH [106 560 km/h]. 500 000 MPH [800 000 km/h]. Étrange, n’est-ce pas ? Relevez le toit de votre convertible et vous serez tout dépeigné à partir de 30 km/h. Lorsque vous arrivez au bas d’une pente de montagne russe à près de 100 km/h, ça ne vous dit pas d’aller plus vite. Ou peut-être avez-vous déjà vu ce que des vents de 160 km/h peuvent faire dans un ouragan. Et ici, nous allons chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit (selon ce que nous dit la « science ») plus vite que la vitesse du son, dans un sens, trente fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un autre sens, et deux cent cinquante fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un troisième sens, et ça ne fait même pas claquer votre faux-col ! Fascinant, n’est-ce pas, que nous devions faire partir le ventilateur pour nous éventer un peu lors d’une journée chaude et totalement calme quand pas une feuille ne bouge. Étonnant que les oiseaux vont ici et là, ainsi que les cerfs-volants, les avions ou les nuages. Tout à fait étonnant.

Vous savez, si les « scientistes » ne nous avaient pas dit autre chose, nous pourrions vraiment croire que la Terre est parfaitement immobile ! Cela vous démontre comment quelqu’un peut ne pas arriver à croire ce qu’il peut voir de ses propres yeux, entendre de ses propres oreilles et sentir avec tout son corps ! En outre, on nous dit qu’il y a encore une vitesse de plus qui n’a pas encore été mentionnée, et l’on ne peut pas non plus la détecter.

Il s’agit de la…

QUATRIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse du Big Bang)

Qu’est-ce que c’est que ça ? Vous savez, c’est le gros « œuf cosmique », dit-on ; celui dans lequel étaient empaqueté toutes choses dans l’univers, il y a longtemps de ça : le soleil, la lune, les étoiles, vous et moi, les arbres, ce bon vieux Fido, le fer et l’or, les cochons et les grenouilles, les poissons et les pétunias, les images télé, le Coca-Cola, tout, quoi. Vous pigez ? Sans commentaire.

Ensuite, cet « œuf » se mit à subir une pression interne si forte que, n’y pouvant plus tenir, il creva… C’est-à-dire que ce machin explosa littéralement comme une gigantesque grenade… Et tous ces morceaux volèrent en éclats dans toutes les directions. Et les « scientistes » disent que tous ces éclats s’arrondirent et se mirent en orbite, mais que tout, y compris la Terre, s’éloigne encore de l’explosion de l’œuf à une vitesse hallucinante.

À quelle vitesse ? Qui sait ? Comment savoir la vitesse de ces éclats ? En tout cas, très rapidement. Mais ça n’a que peu d’importance parce que nous n’en ressentons aucun effet, comme nous ne sentons pas la première vitesse à 1 040 MPH [1 664 km/h], ou la deuxième vitesse à 66 600 MPH [106 560 km/h] ou la troisième vitesse à 500 000 MPH [800 000 km/h]. donc, admettons que la quatrième vitesse est de, disons, 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pourquoi ? Nous savons qu’une balle de fusil file à 2 000 MPH et c’est un genre d’explosion qui fit partir la balle… Ainsi, nous avons une quatrième vitesse d’environ 2 000 MPH. Tiens, pourquoi ne pas l’insérer entre la première de 1 040 MPH et la deuxième de 66 600 MPH ? On fait reculer les deux autres et hop ! voilà l’travail !

Maintenant, si nous passions aux satellites artificiels… ?

____________________________________________________________________

[1] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, p. 290.

[2] Ibidem, pp. 21-22.

[3] Ibidem, p. 3.

[4] Dingle, Croisée des chemins, p. 17.

[5] Ibidem, p. 45.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe Einstein et les papiers d’Ives, Q. Arthur Lovejoy, Ronds carrés, (Old Greenwich, Conn., The Devin-Adair Co., Pub., 1979), p. 35.

[7] Ibidem, p. 36.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 38.

[11] Dingle, Croisée des chemins, pp. 138-139.

[12] Ibidem, p. 139.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 140.

[15] Hazelette & Turner, Le mythe Einstein, p. 55

[16] Harald Nordenson, La relativité, le temps et la réalité, (George Allen ltée, Londres, 1969), p. 82.

[17] Hazelette, Mythe, p. 88.

[18] Branley, La lune, p. 17.

[19] Ibidem, p. 16.

[20] Williams Collins, L’espace, (William Collins & Sons, Ltée, Glasgow & Londres, 1979), p. 10.

[21] Ibidem.

[22] Hoyle, Frontières, p. 226.




D.147 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-2

 

CINQUIÈME PARTIE

(2)

LES MARÉES

Personne ne se disputera à propos du fait qu’il y a une relation entre ce que fait la lune et ce que font les marées. Après tout, la Bible dit que la lune fut destinée à servir de « signe » à l’homme (ce qui inclut le phénomène des marées) par les « saisons » et en donnant aussi de la lumière.

Cependant, dire qu’il y a une relation ou une connexion entre la lune et les marées est une chose ; dire que la lune cause et contrôle les marées terrestres (comme on l’a enseigné à tout le monde) en est une autre.

Tout d’abord — puisque Dieu a dit que l’un de Ses buts, en faisant la lune et en lui commandant de fonctionner comme elle le fait, est précisément en vue d’aider l’homme à mesurer les marées, à planter, à moissonner, etc. — nous voyons que la relation est surnaturelle. Il y a des « signes » et ils ont toujours marché pour ceux qui savent les lire. Donc, il y a une relation ou une connexion entre le comportement de la lune et l’apport de connaissance utile et nécessaire à l’homme.

Ensuite — puisque la « science » dit pouvoir expliquer toutes choses de manière naturelle, sans Dieu, et qu’elle désigne toute explication surnaturelle comme étant des superstitions soutenues par des gens obscurcis — nous voyons que l’évidente connexion entre le comportement de la lune et certains phénomènes tels que les marées doivent être expliqués de façon naturelle par l’establishment scientifique.

Ainsi, Dieu donne Ses explications surnaturelles des marées et l’homme les rejette et nous arrive avec des interprétations purement naturalistes, c’est-à-dire, que l’attraction gravitationnelle de la lune (assistée de l’attraction solaire) cause les marées.

L’une de ces explications constitue la Vérité et l’autre un mensonge. Regardons si nous pouvons trouver laquelle est laquelle. Premièrement, relevons certains faits et voyons où cela nous mène logiquement. Par exemple, il y a ce fait d’une zone de gravité neutre entre la Terre et la lune. Je cite pour cela une lettre en provenance de la NASA et datée du 5 avril 1990 et qui aborde cette matière :

« …En directe ligne de la Terre à la lune, nous trouverions des effets gravitationnels égaux à approximativement 216 000 milles [345 600 km], étant donné une distance moyenne de 240 000 milles [384 000 km] entre les deux corps… »[1]

D’autres sources confirment ce fait logique. Les Illustrations XIV et XV sont tirées des bouquins de l’un des scientistes célèbres dans le domaine des fusées, Werner von Braun. Elles dépeignent cette zone neutre de gravité.

Illustration XIV

                                                             

Illustration XV   

Donc, tout ce qu’on nous décrit ici doit logiquement être vrai si les statistiques à propos de l’attraction gravitationnelle de la Terre et de la lune sont exactes. On dit que la gravité de la Terre est six fois plus élevée que celle de la lune, ou, dit autrement, la gravité de la lune est de 1/6 ou 17 pour cent par rapport à celle de la Terre.

En quelque part entre les deux corps, l’attraction de l’un prend le pas sur l’attraction de l’autre. À ce point précis (que la NASA dit être en moyenne à 216 000 milles [345 600 km] de la Terre et que von Braun confirme) il y a une zone neutre de gravité où l’attraction gravitationnelle de la Terre devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la lune et, à ce même point, l’attraction gravitationnelle de la lune devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la Terre.

Le concept de la gravité et tous les soi-disant faits et les supposées lois qui décrivent les champs gravitationnels de la Terre et de la lune exigent cette situation. Bon, gardez cela à l’esprit pendant que nous lisons ce que la « science » dit concernant les marées sur Terre.

Ce que dit la « science », c’est que l’attraction de la gravité lunaire s’étend au-delà de la zone de gravité neutre (qui ne pourrait attirer un ballon rempli de plumes, un cheval mort ou l’Astrodôme) et continue au-delà de 50 000, 100 000, 216 000 milles [80 000 km, 160 000 km, 345 600 km] et suce la bonne vieille Terre vers elle comme si c’était un ballon de caoutchouc ! Je sais que c’est incroyable ; je sais que c’est insensé, mais c’est ce que l’explication naturaliste (i.e., « scientifique ») exige de la lune. Lisez-le par vous-mêmes dans ces exemples (que l’on répète dans tous les volumes sur le sujet) :

« Aussi étrange que cela puisse paraître, la Terre que nous croyons normalement être un corps solide est aussi affecté par la lune, ce qui provoque une marée. La masse terrestre est élastique et se soulève et s’affaisse réellement d’environ 4½ pouces [11,4 cm]. Nous ne sentons pas ces marées terrestres (…), mais elles ont lieu. »[2]
Dans son livre L’effet lunaire, Lieber dit :

« …l’attraction lunaire déforme la Terre comme si c’était un ballon de caoutchouc. Le continent Nord-américain peut se soulever jusqu’à six pouces [15 cm] lorsque la lune est au-dessus. »[3]

Le célèbre écrivain « scientifique », Asimov, a écrit :

« …la Terre, pour ainsi dire, s’étire en direction de la lune. La Terre solide ne s’étire pas de beaucoup, toutefois (seulement de neuf pouces [22,7 cm] de chaque côté), et seules des mesures délicates peuvent démontrer cet étirement. »[4]

Il mentait à propos des « mesures délicates », évidemment. Aucune mesure ne démontre cela (ni ce que disent les autres) ou ne pourrait le montrer. Les décorations mathématiques dérivant ou supportant de ces folles hypothèses peuvent montrer un étirement de 9” [22,7 cm] (deux fois plus que ce que vient de dire l’autre gars), mais aucune mesure n’a ou ne peut le montrer. Dans un bouquin « scientifique » pour enfants, nous lisons :

« Or, le sol terrestre ne bouge pas facilement, mais les eaux oui. Les eaux du côté terrestre le plus près de la lune s’amoncellent dans un « renflement », provoquant la marée haute. Mais en même temps, il y a une marée haute de l’autre côté de la Terre. D’après vous, quelle en est la raison ? Voici la réponse. Pendant que la gravité lunaire attire l’eau plus près d’elle un peu au-delà de la Terre, elle attire aussi toute la Terre un peu en dessous des eaux océaniques du côté le plus éloigné, y incitant une seconde haute marée. »[5]

Dans La lune : satellite naturel de la Terre, l’auteur Bradley dit la même chose en expliquant son diagramme sur le phénomène de la marée :

« …l’océan E [le plus éloigné de la lune], parce qu’il est beaucoup plus loin, n’est pas attiré vers la lune autant que le sol ferme ; la Terre est soutirée de l’eau ; et l’eau est, par conséquent, plus profonde durant cette partie du cycle des marées. »[6]

Bradley s’enfonce ensuite dans des chiffres qui sortent du mythe auquel il croit, chiffres si contradictoires que c’en serait comique si le monde n’était pas hypnotisé par cette séduction :

« La force lunaire qui soulève les marées est vraiment très faible comparée à la force de la gravité. La force lunaire de soulèvement des marées est environ le 1/9 000 000 de celle de la gravité terrestre… »[7]

Wow ! Un neuf millionième ! Voyons voir ; cela veut dire que l’attraction de la Terre vers son propre centre à l’endroit de sa propre croûte, ses océans et ses mers est neuf millions de fois plus puissante que l’attraction de la lune sur les même items, n’est-ce pas ? Neuf millions contre un ! Héï ! N’est-il pas suprêmement étonnant que neuf millions de mulets-vapeurs puissent tirer quelque chose dans un sens et qu’un seul mulet-vapeur puisse surmonter tout ça à chaque heure de chaque jour, étirer la Terre et faire en sorte que des zillions de mètres cubes d’eau changent de place partout ! Oui, assez étonnant, surtout lorsque cet unique mulet-vapeur s’arrête à 216 000 milles [345 600 km] dans la zone de gravité neutre ! Mamma mia !

Eh bien, il faudrait un bouquin entier pour entrer dans les théories insensées qui reposent sur l’idée centrale que la gravité lunaire étend ses doigts fantômes en dehors de sa cour, traverse les 216 000 milles [345 600 km] de la gravité terrestre et déforme comme de la pâte à pain un corps qui possède 81 fois sa propre masse et 50 fois son volume.[8] Et si l’on imaginait, maintenant, par le même principe, ce que devrait faire l’attraction terrestre sur le globe caoutchouteux de la lune ! Hein ? Ce devrait être un effet 6 fois supérieur à ce que l’on croit que la lune exerce sur la Terre, non ? Vous imaginez la déformation ? Comment ne pourrions-nous pas nous en apercevoir ?

Ce non-sens est, en tout ou en partie, la niaiserie de « l’entraînement des marées » pondue par le fils de Charles Darwin, Sir George Darwin. Ce concept dit que le mouvement des marées a causé un frottement à l’encontre de la rotation de la Terre, ce qui l’a fait ralentir d’environ 1/1000 de seconde par siècle (!) depuis 5 milliards d’années.[9] Un autre auteur traitant du même sujet en arrive à 14 secondes de ralentissement par siècle. En tous les cas, Sir George débuta son calcul à partir de l’époque hypothétique où la Terre faisait un tour sur elle-même à toutes les cinq heures et que la lune était si proche qu’on aurait pu lui botter le train. Toutefois, le frottement répété des marées l’aurait ralenti au cours des milliards d’années pour l’amener à tourner toutes les 24 heures à une vitesse de 1 034 MPH [1 654,4 km/h] et que, d’une manière ou d’une autre, la lune recule à sa distance actuelle. George ne s’arrêta pas là, mais s’attendit à ce que, dans le futur…

« …après des milliards d’années, la Terre aura besoin de 47 jours pour effectuer une rotation et la lune fera le tour de la Terre en 47 jours. »[10]

Pour avoir conçu ce « concept » (ni plus ni moins tordu et non-scientifique que le « concept » évolutionniste de son pôpa Charles), George est intronisé au Temple de la Renommée des Ligues Mineures dans n’importe quel livre que vous ouvrez sur le sujet et il a été adoubé « Sir » par dessus le marché. On se demande qui est en charge du système mondial de reconnaissance et du reste, n’est-ce pas ? (Bien sûr, la Bible dit qu’il est permis à Satan le Séducteur d’être le dieu de ce monde avant d’en être chassé pour toujours. Si c’est vrai — et il n’y a aucune raison d’en douter — il est parfaitement compréhensible que les individus qui mettent les séductions de Satan de l’avant dans le monde soient devenus des figures importantes dans tous les aspects du système mondial.)

Puis, il y a la partie de cette imbécillité de « gravitation-qui-cause-les-marées » qui introduit l’effet gravitationnel du soleil. Ça nous raconte comment la gravité du soleil assiste et contrebalance en même temps l’attraction lunaire pour produire les marées d’équinoxe et les marées des mortes-eaux distantes d’une semaine. Le même principe s’applique. Et il y a ensuite l’effet supposé de la gravité lunaire sur l’atmosphère terrestre… Et ainsi de suite. Quand je vous dis qu’il faudrait tout un bouquin !

Néanmoins, il n’a pas échappé à l’attention du lecteur, qui a eu la patience de lire jusqu’ici, que les vastes éons de temps, exigés pour que se répande toute cette bouffonnerie cosmique remplissent, comme une main dans son gant, les besoins de l’autre grand mythe de l’histoire moderne qu’est l’évolutionnisme. Le temps est le grand héros de ces deux complots ! Les deux ont un même auteur. Un même futur est réservé aux deux, c’est-à-dire, la dénonciation et la destruction par la Vérité de Dieu dans la Chute prochaine de Babylone. Nous en parlerons davantage plus loin.

Mais pour être sûr que l’on comprenne bien que tout ce concept d’étirement de la Terre causant les marées fait nécessairement partie intégrante de la « sagesse » et la « connaissance » naturaliste, humaniste et héliocentrique regardant les marées, examinons un autre exemple. Croyez-le ou non, ce joyau se trouve dans le magazine des ornithologues Audubon, de septembre 1989. Il s’agit d’un essai intitulé Attraction de la lune. L’auteur, Steinhart, y insère la « sagesse » conventionnelle concernant les marées d’une manière qui en dit long sur la profonde pénétration du mythe :

« Il y avait beaucoup de raisons pour que les anciens adorent la lune. La lune exerce une profonde influence sur la Terre. Lorsqu’elle passe au-dessus, sa force gravitationnelle attire un renflement d’eau océanique et provoque les marées. Quand elle s’enligne avec le soleil ou qu’elle est à son opposé — lors des nouvelles ou des pleines lunes — les marées sont plus hautes. Elle provoque même un renflement du sol quand elle passe. Moscou s’élève de 20 pouces [48 cm] deux fois par jour. Et, par moments, l’Empire State Building est soixante-trois pieds [19,3 m] plus près de la Tour Eiffel. Parce qu’elle tire plus fort sur tout ce qui est plus près, elle attire le sol plus qu’elle n’attire l’eau du côté éloigné de la Terre. Il y a donc aussi un renflement d’eau de l’autre côté du globe — une deuxième marée haute quotidienne. »[11]

Bon. Assez d’exemples. En termes peu compliqués, à l’intérieur de l’endoctrinement mondial dans l’héliocentrisme, il faut qu’il y ait un mécanisme expliquant le mouvement des corps célestes, ce qui les garde en place, etc.. Cette explication, ou ce mécanisme, on l’appelle « La Loi de la Gravitation Universelle ». On en a crédité Newton, mais c’est Kepler qui en trouva la première formule, comme nous l’avons vu. Cette « Loi de la Gravité Universelle » est enseignée et crue par tous sans exception, mais cela demeure néanmoins un concept absolument insensé qui viole et contredit son principe magnétique essentiel chaque seconde de chaque jour, année après année.

Même si, momentanément, l’on pouvait engager un cerveau qui puisse concevoir le sensible équilibre entre les forces gravitationnelles, disons, de la Terre et de la lune, un équilibre qui serait atteint par la distance la plus précise, exacte et invariable possible entre deux corps, alors ce même cerveau deviendrait tout ahuri lorsqu’il serait confronté au fait que pareille distance stable n’existe nulle part entre ces deux corps (ni les autres, d’ailleurs !). En effet, la réalité indéniable, c’est que la distance entre la lune et la Terre varie régulièrement de plus de 31 000 milles [49 600 km] ! Lorsque la lune s’approche de plus en plus près de la Terre, elle subit l’attraction terrestre de plus en plus fort. Comment peut-elle donc alors résister à cette attraction et la combattre ? Par contre, lorsqu’elle s’éloigne à son apogée et qu’elle s’échappe de plus en plus de l’attraction de la Terre à une vitesse incroyable, comment peut-elle arrêter son éloignement et revenir ensuite ?

La gravité n’explique pas cela. Elle ne peut expliquer cela. La gravité n’explique pas les marées. Elle ne peut pas l’expliquer. C’est la même chose pour l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil. Le simple fait est, qu’à certaines époques de l’année, nous sommes plus près de deux millions de milles [3 200 000 km] du soleil qu’à d’autres époques de l’année.

L’explication de la gravitation pour démontrer pourquoi les corps célestes réagissent comme ils le font ne contient aucune preuve scientifique. C’est un non-sens de A à Z, une contradiction, une notion illogique et impossible perpétrée envers le monde par vous-savez-qui afin de discréditer la Bible.

En fait, la gravitation universelle est une hypothèse dépourvue de sens et stupide, exactement comme le mécanisme de « sélection naturelle » de Darwin est aujourd’hui reconnu comme une hypothèse insensée et idiote, incapable d’expliquer l’évolutionnisme. Ces deux folles hypothèses ont le même être pour auteur, Satan le Séducteur. Elles ont toutes deux le même but : miner la crédibilité des Écritures. Elles partageront le même destin : la dénonciation en tant que mensonges auxquels ne peuvent adhérer que ceux qui n’ont pas reçu l’amour de la vérité (2 Thessaloniciens 2:10), ceux qui adoptent de manière « volontaire » ces mensonges, même s’ils connaissent mieux (2 Pierre 3:5) ; bref, par ceux dont le dieu réel est le père du mensonge (Jean 8:44).

LES ÉCLIPSES

Tout le monde a entendu parler des éclipses. À peu près tout le monde en a vu une sinon plusieurs. Il y en a deux sortes : l’éclipse solaire (soleil) et l’éclipse lunaire (lune). On les explique comme ceci :

« Le nombre maximum d’éclipses est de sept par année — cinq solaires et deux lunaires, ou quatre solaires et trois lunaires. Le minimum est de deux éclipses, toutes les deux solaires. »[12]

Lorsque la lune bouche le soleil, il s’agit d’une éclipse solaire : la lumière du soleil est éclipsée. Quand c’est la Terre qui bloque la lune, il s’agit d’une éclipse lunaire : la Terre éclipse la lumière solaire apparaissant sur la lune. Éclipse veut simplement dire : obstruction de la lumière d’un corps céleste par un autre.

Bon. Maintenant, regardez une copie d’article de journal (Illustration XVI) provenant du Asheville N.C. Citizen du 30 mai 1984. (Des douzaines d’autres journaux rapportèrent la même chose, évidemment.)

Vous prendrez note que le reportage parle d’un événement futur. Il parle d’une éclipse devant survenir le jour suivant la parution de l’édition du journal. Il dit précisément où passera l’ombre et quand elle atteindra chaque localité de la carte. Est-ce que, le jour suivant, tout arriva comme l’avait dit le reportage ? Absolument. En plein dans le mille. Perfectemente. Mais comment tout cela fut-il calculé ?

Disons, pour commencer, que l’homme sait comment faire depuis les temps anciens. Ce n’est donc pas du nouveau. Évidemment, la technologie va bien plus loin, grâce aux faits tirés des films pris du phénomène, mais le calendrier des éclipses est calculé avec grande précision depuis de nombreux siècles.

Illustration XVI

Oui… mais comment calcule-t-on une éclipse ? Allons voir quelques éclaircissements dans l’Encyclopédie Britannica. Arrivés à la partie que nous recherchons, nous trouvons l’explication suivante, sous l’entête Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires :

« Le problème se subdivise en deux parties. Le premier est de trouver quand arrive une éclipse ; l’autre est de déterminer quand et où elle sera visible. »[13]

Or, remarquez ce qui suit avec attention :

« À cette fin, IL EST COMMODE DE CONSIDÉRER D’ABORD LA TERRE COMME ÉTANT FIXE et supposer que l’observateur regarde à partir de son centre… »[14] (emphase ajoutée)

Cela signifie-t-il que tous les calculs précis et les statistiques exactes pour savoir où se déplace l’ombre pendant une éclipse sont effectués sur la base d’une Terre immobile, totalement stationnaire, i.e., « fixe » ?? C’est exactement ce que ça dit !

Une minute… Si toutes ces statistiques sont basées en fonction d’une Terre immobile et qu’elles s’avèrent toutes justes, cela ne prouve-t-il pas que la Terre ne bouge pas ? Car, enfin, l’ombre ne peut pas aller dans le même sens si la Terre tourne à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] que si elle est immobile !

Cependant, des scientistes aveugles vous dirons que cela n’a aucune importance, que tout est relatif à l’endroit d’où vous observez et toutes ces âneries. Ils vous ferons remarquer que la citation de l’Encyclopédie dit « …il est commode… » d’employer une Terre fixe pour obtenir les bons résultats, mais que les mêmes résultats seraient atteints en se basant sur une Terre en rotation, etc.. Mais nous pouvons constater la vérité au cœur de l’affaire : c’est-à-dire que nous pouvons vraiment PROUVER que la Terre ne tourne pas à partir de cette simple illustration, à condition d’oublier notre endoctrinement, refuser de bouger sur les faits et défendre que toute hypothèse non-soutenue contredise les faits. D’accord ?

Fait numéro un : L’ombre d’une éclipse solaire va dans une certaine direction. Fait numéro deux : Cette direction est prévisible avec précision avant que n’arrive l’éclipse. Fait numéro trois : Ces prévisions précises sont obtenues en commençant d’abord avec une Terre « fixe » (immobile). Fait numéro quatre : Les calculs obtenus et fondés sur une Terre fixe ne pourraient pas être obtenus correctement s’ils étaient appliqués à une Terre qui tourne à plus de 1 300 pieds/seconde [400 m/s] à l’Équateur. Ce n’est tout simplement pas possible ! Pourtant, on nous dit encore que ce qui est impossible arrive vraiment ! On nous dit que les calculs écliptiques qui sont basés et ne peuvent s’appliquer qu’à une Terre qui ne tourne pas fonctionnent exactement et précisément de la même façon avec une Terre qui tourne plus vite que la vitesse du son, dans un sens, 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans une autre direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans une troisième direction !!

À tous ceux qui désirent la Vérité, Dieu, par Sa Parole, assure qu’Il n’est pas l’auteur de la confusion (1 Corinthiens 14:14), qu’Il nous a fait don d’un esprit de force, de charité et de prudence (2 Timothée 1:7). Il a dit qu’Il a suspendu la Terre sur le néant et qu’elle ne sera point ébranlée (Job 26:7 ; Psaume 93:1). Il a dit que le soleil fait le tour de la Terre chaque jour (Psaume 19:6) et qu’Il a stoppé le mouvement du soleil (pas celui de la Terre) en réponse à la prière de Josué (Josué 10:13).

Beaucoup de chrétiens disent, comme l’étiquette sur leur pare-choc : « Dieu l’a dit ; je le crois ; et ça règle le cas. » Le fait est que cela ne change rien si nous croyons ou non à quelque chose que Dieu a dite dans Sa Parole : c’est vrai quand même ! Mais si quelqu’un fait partie des 3 pour cent environ de la population mondiale qui croient que la Parole ne contient pas d’erreur, ils croiront donc que la Terre ne bouge pas parce que c’est écrit et non pas parce que d’autres y croient ou non. Et Dieu a établi la direction de l’ombre écliptique pour prouver l’immobilité de la Terre telle que stipulée dans Sa Parole !

Et, en passant, la direction que prend l’ombre des éclipses solaires est toujours l’est. Dans son livre, La lune, l’auteur Brenna confirme le fait :

« Les éclipses solaires surviennent lorsque la lune se positionne entre le soleil et la Terre (…) Ce cercle sombre [l’ombre] se déplace en direction est sur la surface de la Terre… »[15]

Combinez ce fait réel avec l’hypothèse de la supposée rotation de la Terre en direction est et n’importe qui pourra s’apercevoir bien vite que cette rotation ferait en sorte que l’ombre se dirigerait vers l’ouest et non vers l’est parce que la Terre se dégagerait toujours plus vite que ce que l’ombre peut se déplacer. En fait, CE PHÉNOMÈNE NOUS FOURNIT UNE DÉMONSTRATION VISUELLE DE L’ABSENCE D’EFFET CORIOLIS !!

A ce moment-ci, tout un chacun réalisera la nécessité de fonder les prédictions concernant la course de l’ombre sur une Terre « fixe » !! Par conséquent, en reprenant l’exemple d’une éclipse solaire (celui d’une éclipse annuelle prise dans le journal de 1984) ou tout autre exemple du genre, nous pouvons clairement constater ce qui arriverait vraiment si la Terre tournait pendant une éclipse : toutes les prédictions seraient toujours fausses !

En vérité, les prédictions basées sur une Terre immobile fonctionnent pour une seule raison, c’est-à-dire que la Terre EST fixe ! Point à la ligne et changeons de paragraphe !

De fait, les calculs qui disaient, dans notre exemple, que l’ombre se déplacerait de la Nouvelle-Orléans vers Washington, en passant par Atlanta, s’avérèrent le jour suivant. Les mêmes calculs auraient été faux si la Terre se déplacerait vraiment à 1 000 MPH [1 600km/h]. Tout au moins, c’est ce que nous voyons. Et s’il n’y avait rien eu d’autre d’établi ici ou ailleurs, ce serait toute la preuve dont nous aurions besoin pour prouver que la Terre ne bouge pas.

Mais mettons-y encore tout de même un peu d’emphase avant de passer à autre chose. Remarquez qu’une Terre en rotation aurait forcé l’ombre de l’éclipse solaire du 30 mai 1984 à se déplacer vers le nord-ouest, pas vers le nord-est ; de la Nouvelle-Orléans vers Denver, pas vers Washington ! Nous pouvons le constater en prenant fait que le temps pris par l’ombre pour couvrir la distance entre la Nouvelle-Orléans et Washington fut d’à peu près trois-quart d’heure. Rappelez-vous maintenant que le frauduleux copernicisme exige que la Terre tourne vers l’est. Ajoutez à cela la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre à la latitude de Washington, soit environ 800 MPH [1 280 km/h]. Notez ensuite que trois quarts d’heure à 800 MPH donnent 600 milles [960 km]. (À la latitude de la Nouvelle-Orléans, la rotation aurait été de plus ou moins 900 MPH [1 440 km/h]). Ainsi donc, notons que, pendant ce temps, Washington se déplace vers l’est à 600 milles selon le concept mythique qu’on nous a enseigné à tous (et la Nouvelle-Orléans à 675 milles !). Par conséquent, après trois quarts d’heure, lorsque l’ombre touche Washington (comme elle l’a effectivement fait si l’on se fonde sur les calculs de prédictions d’une Terre fixe), Washington n’est plus là… c’est plutôt St-Louis !

Personne ne sortira de ça ! Les coperniciens ont essayé de se sortir de la plupart de leurs problèmes en répondant que l’atmosphère entier entourant la Terre est une « enveloppe » attachée qui tourne avec la Terre. Le mouvement des oiseaux, des avions, etc., s’expliquerait par cette « enveloppe » mouvante (tout insensé cela puisse-t-il être, lorsque considéré en regard des diverses vitesses et autres facteurs). Mais CES OMBRES D’ÉCLIPSES PROVIENNENT D’AU-DELÀ de cette « enveloppe » atmosphérique ! Ces ombres sont projetées comme des faisceaux de laser au travers de « l’enveloppe » pendant plus de trois heures. Le soleil et la lune font ce qu’ils font pendant trois heures et l’ombre « faisceau laser » indique la Terre pendant tout le temps que la lune passe devant le soleil. Aussitôt que le soleil et la lune commencent à se superposer dans le ciel, l’ombre, ou le « faisceau » frappe et atteint un endroit spécifique et prévisible sur la Terre. Le « faisceau » est lancé directement au travers de « l’enveloppe » atmosphérique et frappe, disons, la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. Cette ombre (ce « faisceau laser ») va se déplacer et aller en une direction donnée au-dessus de la sphère terrestre pendant le temps de l’éclipse parce que sa SOURCE change continuellement et se déplace !

C’est comme un pistolet laser sur un satellite se mouvant lentement, situé à un quart de million de milles [400 000km] et pointant son rayon sur la Nouvelle-Orléans. Vous voyez le portrait ? Maintenant, répondez à quelques questions : y a-t-il moyen que l’ombre, le faisceau laser, se fixe sur la Nouvelle-Orléans pendant toute la durée de l’éclipse ? Évidemment non. Pourquoi ? La source, le pistolet laser, est toujours en mouvement et le faisceau (l’ombre) qu’elle envoie ne peut demeurer au même endroit. OK, ça, au moins, c’est certain. Nous savons que la source bouge.

Or, on nous a enseigné depuis 400 ans que la cible, l’objet, la Terre bouge aussi, mais nous ne savons pas cela. Ce que nous sommes sûrs de savoir, c’est que la source, la lune, bouge. Bien. Maintenant, une autre question : Si la Nouvelle-Orléans voyage vers l’est pendant 2 700 milles [4 320 km] lors des trois heures que dure l’éclipse, tel que le rapporte le journal, est-ce que le « faisceau laser » va se déplacer sur les mêmes parties de la Terre que s’il parcourait un territoire où ni la Nouvelle-Orléans, ni aucun endroit ne bouge d’un pouce ?

Personne n’est assez idiot pour rater la réponse à cette question. La réponse est NON ! Bon. En voici une autre. Nous savons que des prédictions exactes nous ont dit, tout au long de l’histoire du monde jusqu’à aujourd’hui, quand et où ces ombres en « faisceau laser » commençaient et se terminaient durant une éclipse. Nous savons que les calculs qui ont servi à produire ces prédictions précises ont toujours été fondées sur une Terre immobile. Voici la question : est-ce que ces calculs seraient arrivés aux prédictions précises qu’ils ont produits si la Terre avait tourné ?

« Vous plaisantez ? Pas du tout ! » vous exclamerez-vous. En effet, il n’y a rien à changer, le cas est réglé. Des mathématiques loufoques et un tableau noir peuvent avoir été capables de « faire croire » que la Terre tourne, mais aucune somme de maths inventées, grognasses et tordues peuvent la faire tourner pendant une éclipse solaire !

Lors de la Deuxième Résurrection, nous alignerons Copernic, Kepler, Galilée, Einstein, Sagan et tous les autres devant leurs tableaux noirs et nous y ferons passer ce « faisceau laser » au-travers. Personne ne fait de prédictions d’éclipse en se fondant sur une Terre qui tourne et ce, pour une excellente raison : ça ne peut pas se faire !! Tous les calculs établis sur une Terre en mouvement seraient forcés de démontrer et faire reconnaître que la Nouvelle-Orléans s’est déplacée de 675 milles [1 080 km] vers l’est en 45 minutes et quelque 2 700 milles [4 320 km] vers l’est en trois heures. Il n’y a pas moyen de sortir de là. C’est une trappe sans issue ! Et il n’y a pas moyen de sortir du fait que la source du « faisceau laser » se déplace d’une manière précise et connue. Les coperniciens sont aussi attrapés par ce fait-là. Par conséquent, quand les calculs établis à partir des faits connus et inéluctables concernant la source du « faisceau laser », ou de l’ombre, sont agrafés aux « faits » qu’exige la théorie de la Terre-qui-tourne, en aucune façon l’ombre « faisceau laser » peut se déplacer comme elle se déplace selon les faits réels !

C’est le fin mot de l’histoire. Tout le monde doit être d’accord ! En effet, c’est un trappe de laquelle les coperniciens ne peuvent s’échapper. Dieu a fait de cette trappe une preuve ! C’est un des signes que Dieu a construits dans Sa création des corps célestes ! Il a attendu jusqu’à aujourd’hui pour révéler ce signe, un signe qui prouve que Sa Parole est la Vérité lorsqu’Il dit que la Terre est immuable ! La preuve irréfutable, observable et vérifiable des ombres écliptiques a scellé la porte de la trappe ; et ce que Dieu ferme, aucun homme ne peut l’ouvrir (Apocalypse 3:7) ! Voici ces Vérités :

  1. Les ombres d’éclipse ont toujours rempli les prédictions parce que celles-ci étaient fondées sur des calculs eux-mêmes basés sur une Terre immobile ;
  2. Les ombres d’éclipse ne pourraient jamais remplir les prédictions qui seraient fondées sur des calculs qui seraient eux-mêmes basés sur le concept d’une Terre qui tourne, parce que de telles prédictions seraient forcées de démontrer une course bien loin à l’ouest de ce qui arrive réellement.

Donc, essentiellement : l’ombre (le faisceau laser) va toujours en direction de ce qui est prédit parce que les calculs sous-tendant ces prédictions sont fondées sur une Terre immuable, fixe, statique, immobile, stationnaire, inchangée, inerte, sans mouvement… !

Ça doit être assez clair… ?

____________________________________________________________________

[1] Brian Dunbar, Bureau des Affaires Publiques, Bureau du Service et des Applications Spatiales, NASA Washington, D.C., 04/05/90.

[2] Carroll V. Glines, Co, USAF, Le premier livre de la lune, (Franklin Watts, inc., N.Y., N.Y., 1967), p. 21.

[3] Arnold L. Lieber, L’effet lunaire, (Anchor Press, Doubleday, Garden City, N. Y., 1978), pochette de couverture.

[4] Isaac Asimov, La planète double, (Abelard-Schuman, London, N.Y., Toronto, 1960), p. 100.

[5] Jean et Cle Kinney, Que fait la marée ?, (Young Scott, éd., 1966), p. 32.

[6] Franklin M. Bradley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell, Cie, 1960), p. 84.

[7] Ibidem, p. 85.

[8] Ibidem, p. 82.

[9] Ibidem, p. 85.

[10] Ibidem.

[11] Paul Steinhart, Attraction de la lune, Audubon, septembre 1989, p. 32.

[12] Ben Shupack et Fred Schering, Maîtrise de la science terrestre, (Oxford Book Cie, N.Y., Los Angeles, 1963), p. 260.

[13] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires, (Chicago, etc., 1976), Vol. 6, p. 191.

[14] Ibidem.

[15] Virgilio Brenna, La lune, (Golden Press, N.Y., 1964), p. 39.




D.146 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-1

 

CINQUIÈME PARTIE

(1)

La logique

« Venez maintenant, dit l’Eternel, et débattons nos droits »

(Ésaïe 1:18)

En voici une pour vous, mes amis : supposons, pour le plaisir de la chose, que les deux déclarations suivantes sont vraies :

—    La Terre tourne.

—    La Terre ne tourne pas.

Or, où pouvez-vous aller avec cette paire de déclarations ? « À l’asile ?! » me direz-vous. C’est à peu près cela. Le cerveau disjoncte avec ce genre de contradiction flagrante. L’une d’elle doit être VRAIE et l’autre doit être FAUSSE. Les deux ne peuvent être vraies en même temps, ni être fausses en même temps. Maintenant, qu’arrive-t-il lorsque celle qui est vraie est qualifiée de fausse et, en même temps, celle qui est fausse est qualifiée de vraie ?

Réfléchissez-y un instant : durant une portion majeure de l’histoire, on a cru que la Terre était plate. Cette croyance constitua la vérité même pour à peu près tout le monde sur Terre pendant un grand bout de temps. Puis, Colomb et Magellan prouvèrent que l’idée d’une Terre plate n’était pas vraie, mais que c’était plutôt un mensonge, une séduction. (Incidemment, la Bible enseignait que la Terre était une sphère, mais la majorité des gens croyait autre chose jusqu’à ce qu’une preuve indéniable mette fin à la controverse.)

Et, en un sens, l’idée d’une Terre qui tourne est similaire à l’idée d’une Terre plate. En fin de compte, pendant un long moment, l’on croyait que la Terre ne tourne pas. Une Terre immobile constitua la vérité pour une majorité de gens qui y crurent pendant des siècles. C’est alors que survinrent Copernic, Kepler, Galilée, Newton et le reste, déclarant, par le biais d’un certain genre de mathématiques, qu’elle tournait, et que la « science » avait abattu encore une autre croyance superstitieuse comme l’idée que la Terre est plate…

Mais le problème, c’est que PERSONNE n’a jamais produit de preuve, une preuve solide et réelle, que la Terre tourne, comme on produisit pour se débarrasser de l’idée d’une Terre plate. Pourtant, l’establishment scientifique atteignit, au 16e et 17e siècles, le même but sans preuve concrète, sans aucune évidence réelle et solide d’aucune sorte. Ça leur a pris du temps et, comme nous l’avons vu, il y eut, et il y a encore, un tas d’obstacles. Mais, fondamentalement, ils se sont débarrassé de la croyance d’une Terre immobile aussi efficacement que s’ils avaient vraiment prouvé quelque chose, comme le voyage de Magellan prouva réellement que la Terre n’était pas plate.

Mais dire que quelque chose est vrai et croire que cette chose est vraie ne rendent pas la chose vraie pour autant, si elle est fausse. Ce ne serait pas LOGIQUE. C’est un peu comme la tendance actuelle dans beaucoup de productions cinématographique et de bouquins publiés qui véhiculent les idées nouvel-âgistes de l’humanisme. On y proclame souvent que si une personne croit très fort que quelque chose est possible, ça va arriver ; qu’il suffit de croire pour que tout puisse se produire, dans le fond. Mes amis, la création à partir de rien appartient à Dieu et à personne d’autre !

Les gens crurent que la Terre était plate et ils considéraient logique que si quelqu’un allait assez loin, il finirait par arriver au bord et tomber. Évidemment, si la Terre eut été plate, alors cela aurait été logique, et ils crurent donc qu’elle était plate. Mais, du même souffle, les gens disaient que la Terre est immobile parce qu’il était logique que tout sur Terre volerait en éclats si elle tournait à la vitesse qu’elle devait atteindre dans le Système copernicien. C’est le même genre de logique.

En surface, oui. Or, ce n’est pas la logique qui faisait défaut dans le cas d’une Terre plate ! Si la Terre était plate, elle aurait une bordure et l’on tomberait si l’on dépassait cette bordure. La logique était bonne ; c’était la Vérité qui était mal perçue ! Quand la vérité d’une Terre ronde fut prouvée, la logique soutenant une Terre plate se flétrit et mourut très rapidement.

Ainsi, la logique voulant que toutes choses voleraient en éclats si la Terre voyageait à diverses vitesses, jusqu’à un demi-million de MPH [800 000 km/h], n’est donc pas la fausse logique que les coperniciens ont convaincu le monde de croire ? Bien sûr que ce n’est pas une fausse logique ! Toutes choses voleraient bel et bien en éclats si la Terre se déplaçait comme les coperniciens l’exigent ! Examinons une couple de leurs tours de passe-passe pseudo-scientifiques en ce qui a trait à ce problème de vitesse. Voyons d’abord la question de l’éther.

Rappelez-vous qu’Einstein et tous les relativistes qui contrôlent la physique et l’astronomie depuis des siècles ont dit que l’éther n’existe plus… Mais que disaient les scientistes avant Einstein ? Ne disaient-ils pas que l’éther existe ? C’est exactement ce qu’ils disaient et que les dictionnaires disent encore, c’est-à-dire : « éther : les régions supérieures de l’espace, ou les éléments raréfiés supposées remplir ces régions. »

On définit donc l’éther comme un « élément raréfié » que l’on suppose exister dans tout l’espace entre les étoiles, les planètes, les comètes et ainsi de suite. C’était cela jusqu’à ce que le Sieur Einstein déclare, sur son tableau noir, qu’il était disparu. Voilà où les contradictions logiques commencent à s’empiler. Notez ceci :

« Ici, Einstein fit sa seconde hypothèse… qu’il n’y a pas d’éther… »[1]
Mais :

« …c’était en contradiction directe avec l’axiome de base de Maxwell qu’il existe un éther… »[2]

Ce défi à Maxwell est…

« …d’une importance fondamentale, car la Théorie Spéciale de la Relativité d’Einstein, destinée à sauver les équations de Maxwell, ne pouvait le faire qu’en sacrifiant l’éther qui constituait le fondement de la théorie de Maxwell… »[3] (emphase ajoutée)

Alors, nous voyons qu’Einstein trouva une manière de sauver les équations et :

« …seules les équations avaient besoin d’être sauvées (…) on devait se passer de la partie physique de la Théorie [sa base, l’éther]. »[4]

Parlez-moi de pareilles mathématiques élastiques ! Et nous avons déjà vu pourquoi Einstein avait désespérément besoin de se débarrasser de l’éther. C’était parce que…

« …l’éther pouvait servir de standard absolu de repos [immobilité. Et Einstein ne voulait rien voir en repos dans l’univers]. »[5] (emphase ajoutée)

Tout, dans « son » univers, devait bouger et c’est la base fondamentale de la « relativité » et la véritable raison pour laquelle Einstein refila ce tour de passe-passe logique au monde. Il lui fallait se débarrasser de l’idée que quoi que ce soit demeure en repos dans l’univers, que quoi que ce soit reste stationnaire, sans mouvement, même l’éther… ! Cela afin que l’homme ne considère plus, ne croit plus et ne vienne même plus à concevoir une Terre qui est « …affermie, tellement qu’elle ne sera point ébranlée » comme le dit la Bible.

L’expérience de Michelson-Morley a démontré que, si l’éther existe, la Terre ne peut donc pas bouger. Einstein déclara l’éther nulle et non avenue, et, ce qui est plus important, déclarant sans le dire que la Terre tournait puisqu’il n’y avait rien dans l’univers qui ne bougeât pas.

Et, pour que la Terre tourne à 1 000 MPH [1 600 km/h] sur elle-même, qu’elle file à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] d’un sens et à 500 000 MPH [800 000 km/h] dans un autre sens, et cela sans que tout ce qu’elle renferme ne s’éparpille en morceaux, ou froisse un seul cheveu, cela signifie qu’il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit dans l’espace, aucun éther ; car s’il y en avait, il se créerait de la friction à ces vitesses ; cette friction ferait exploser l’atmosphère terrestre et, donc, votre maison et toute la surface du sol… !

Or, de crainte d’avoir l’air trop durs envers le Dr Einstein, dans ce cas-ci et ailleurs, rappelons-nous immédiatement que nous ne sommes pas les seuls à avoir amené ces choses sur le tapis concernant notre cher bonhomme. Certaines des personnes que nous avons déjà citées ont été assez dures à son endroit, mais personne n’en a entendu parler, évidemment. C’est comme ça que ça fonctionne ! Cela ne fait que témoigner de la puissance du réseau de contrôle qu’exerce dans le monde cette séduction dans les publications, les médias, etc., voulant que tout ceux qui avancent un enseignement anti-biblique sont encouragés et quiconque avance un enseignement vraiment biblique est réprimé, même, dans bien des cas, dans les églises et les maisons d’édition faisant censément honneur à la Bible. Il est clair que l’Éternel Dieu a permis qu’il en soit ainsi pour que cette séduction atteigne son plus haut niveau avant qu’Il ne sonne la fin de la récréation. Mais les gens peuvent lire des appréciations comme celle qui suit, lorsqu’elles creusent un peu autour d’elles :

« Peu d’hommes se sont autant moqués de la sémantique [signification des mots] qu’Albert Einstein. Il a fait fi de la signification séculaire du mot “espace” (…) mais continua d’employer le même mot avec une signification radicalement unique à lui (…) confondant ainsi la plupart des gens à leur plus grand désespoir. L’ironie de l’affaire, c’est que ce fut Einstein lui-même qui fut le plus confus, mais (…) il fut capable de cacher sa confusion (…) au moyen de l’écran de fumée de ce qui est considéré comme des mathématiques ésotériques… »[6] (emphase ajoutée)

Assez tranchant, n’est-ce pas ? Essayez celle-là :

« Il n’est possible de parler utilement d’une courbe qu’en référence avec quelque chose qui est droit (…) Mais par sa manière absurde de parler d’espace courbe ou d’espace-temps courbé, Einstein devint le grand-prêtre de la Crétinerie Absconse (…) Parler d’espace courbe est, en soi, un non-sens inimitable et de la pseudo-science, s’il en est. »[7]

Grand-prêtre des crétins… Ho ! Voilà de dures paroles sur Einstein, le Cerveau, dont le nom est pratiquement synonyme « d’extrêmement brillant », dans le monde ! Mais cela cadre parfaitement avec les Écritures qui nous disent que :

« …la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu » (1 Corinthiens 3:19).

Mais qu’en est-il de tous les autres physiciens et scientistes qui accompagnèrent Einstein ? Ils n’étaient quand même pas tous des hommes de pailles prêts à lui lécher la main, non ? À cette question, lisez cette réponse tirée d’un livre préparé par plusieurs scientistes et philosophes de la science :

« Le public a fait confiance aux physiciens, probablement plus qu’à tout autre groupe d’hommes. Mais, éventuellement, le public apprendra que ces physiciens ne sont pas plus immunisés contre les tendances aux motifs pervers de l’époque que toutes autres personnes professionnelles. Les scientistes ont les plus énormes intérêts à protéger leurs théories (…) Et l’adhésion servile et paresseuse de nombreux physiciens aux dogmes pompeux et conventionnels en font les leaders de la tendance à la baisse de la civilisation (…) Pendant soixante-deux ans, l’humanité a été intimidée par une portion incomparablement effrontée de la pseudo-science [Einsteinisme] parce que ses auteurs l’ont défendue en utilisant des mathématiques qui, quoique valides en elles-mêmes, ne sont pas appliquées en rapport avec les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. Une sorte de mathématiques supérieures absconses [abstruses] a été employée de manière fausse pour créer un langage ésotérique impressionnant par lequel l’élite initiée s’est séparée du monde et qualifie tout dissident de charlatan. »[8]

Et les « charlatans » ne se font jamais entendre parce que l’establishment y voit. Le même genre de censure est en contrôle presque total de tous les domaines de la connaissance ; toutes les Sciences Naturelles ; toutes les Sciences Sociales ; tous les Arts et les Humanités ; tout ce sur quoi l’homme possède quelque connaissance a été placé dans sa tête de manière à contredire ce que nous venons de lire, c’est-à-dire :

« … les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. »[9]

Les faits réels, la vraie logique, le monde réel, tout ce qui confirme un Créateur dirigeant lentement une Création éternelle ; pas les faits de contrefaçon, la logique contrefaite destinée à promouvoir une accidentelle explosion de matière, sans signification, sans but !

Comment pourrait-il en être autrement ? Si nous faisons marcher un instant notre cerveau, nous savons qu’un million de sortes d’yeux, de cerveaux, d’appareils reproductifs, et toute la nourriture, les racines et les fleurs, et cetera, et cetera, ad infinitum ne pourraient jamais fabriquer une explosion de matière ! NOUS LE SAVONS ! Et quand nous nous servons un peu de notre tête, nous savons que la Terre ne peut pas voyager dans l’espace à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un sens (autour du soleil) et à plus de 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans un autre sens (autour du cosmos) ! NOUS LE SAVONS !

(En passant, si la Terre allait à de pareilles vitesses, que l’éther existe ou pas, imaginez le moteur qu’il faudrait à une fusée, ou à une navette spatiale quelconque, pour la rattraper une fois qu’elle est sortie de son attraction ! Quel appareil possède un moteur assez puissant et assez de carburant pour aller plus vite que ce que l’on suppose être la vitesse de la Terre autour du Cosmos ?! C’est absurde !)

Lorsque nous utilisons un peu notre jugeote, nous savons, à partir de ce que nous avons vu dans ces pages, que l’humanité a été trompée par une fausse science employant des mathématiques de fous pour nier la Création de Dieu qui s’étale sous nos yeux, exactement comme il est stipulé dans la Bible. En vérité, à peu près tous les habitants du monde se sont dit…

« …être sages [mais] ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Finalement, si nous nous faisons encore un peu aller la cervelle, nous ne pouvons que savoir que Dieu, qui a expliqué clairement toute la Vérité, de la Création jusqu’aux Cieux, dénoncera et détruira l’idole de la fausse science du monde érigée sur le copernicisme et l’évolutionnisme parce qu’ils ont fait de la matière un dieu et Il ne permettra pas à ce mensonge de continuer ! Il ne permettra pas à de faux dieux de voler SA gloire ! Jamais ! Qui pourra ignorer que le Dieu Tout-Puissant, qui a tout créé de A à Z, a déjà déterminé que A — la Création — sera reconnu comme la Vérité par tout le système du monde (Apocalypse 14:6-7) avant qu’Il ne continue avec Z — le Ciel ?

Donc, il y a une « logique » fondée sur le dieu/matière et son accident (ou un quelconque dieu faible et anti-biblique, parti déjeuner) et il y a la logique fondée sur le Dieu Créateur de la Bible qui a également créé un paradis céleste et éternel qui viendra s’installer sur une nouvelle Terre et sous de nouveaux cieux. Deux logiques. Une biblique et l’autre anti-biblique. L’une confirmée par la moindre parcelle du gros bon sens, tous les faits testés (ou science véritable), toute observation faite par quiconque ; l’autre ne reposant que sur le « langage ésotérique impressionnant » des mathématiques sans le moindre iota de fait ou de bon sens pour la soutenir nulle part.

Regardons rapidement une illustration qui vaut mille mots contre le copernicisme.

GLOBE EN LÉVITATION

Voici un coup d’œil rapide sur le truc d’Einstein. Il a déclaré que rien ne peut être immobile dans l’univers (exceptés les « observateurs » arbitraires qu’il fait ressortir partout dans l’univers pour illustrer ses théories). L’idée que tout dans l’univers devait être en mouvement fut le fondement de sa Théorie de la Relativité, comme nous l’avons souligné plusieurs fois.

Or, lorsque l’épouse et la fille de Marshal Hall lui montrèrent l’annonce illustrée plus bas, il trouva que c’était bien de valeur qu’Einstein n’ait pu avoir l’un de ces Globes Terrestres en Lévitation (Ill. XII).

Sans doute, si ce gadget fabriqué par quelque personne ordinaire et détaillé à 150,00 $ peut faire flotter dans les airs par un champ magnétique une Terre immobile simulée, donc Dieu le Créateur, qui a dit qu’« il suspend la terre sur le néant … tellement qu’elle ne sera point ébranlée » (Job 26:7 ; Psaume 93:1), peut certainement faire de même avec la vraie Terre, n’est-ce pas ?

Cent cinquante dollars pour renvoyer Einstein et tous ses disciples à leur planche de travail ? J’en prend une douzaine !!

Illustration B : Maintenu en place par une technologie magnétique avancée, le Globe Terrestre en Lévitation de 23 cm de diamètre flotte dans l’air sans effort. Touchez-y, faites le tourner et voyez comme il demeure dans le champ magnétique créé par son support haute technologie. Cartographie récente et précise, avec montagnes en relief tridimensionnel et océans antiques aux couleurs de parchemin. Fera beaucoup jaser !

#86529-3 46 cm de haut             150,00 $

 LES CONTREFAÇONS

La Terre ne peut pas être immobile et en mouvement. C’est l’un ou l’autre. Il y a deux explications pour l’existence des saisons sur Terre et toute autre chose que nous constatons sur sa surface. L’une de ces explications est basée sur une Terre qui tourne ; l’autre explication est fondée sur une Terre immobile.

Une de ces explications est donc vraie. L’autre est fausse.

La fausse explication ne peut pas être parfaite. Si elle était parfaite, elle serait vraie. Elle n’est pas vraie. Elle est imparfaite.

Ce qui est imparfait comporte des défauts. Un faux billet de 20 $ peut être si bien fabriqué que seuls des experts entraînés peuvent en découvrir les défauts. Mais les défauts sont toujours là. Lorsqu’ils sont découverts et révélés, la tricherie est élucidée. La contrefaçon peut avoir été très, très trompeuse. Elle peut avoir été prise pour la chose réelle et s’être promenée dans les banques et autres commerces à plusieurs reprises. Néanmoins, elle possédait des défauts qui prouvaient que c’était un faux, une fraude des plus trompeuses et rien de plus.

Alors, logiquement, toutes les contrefaçons possèdent des défauts que l’on peut découvrir. Toujours selon la logique, quand on n’a que deux choses à comparer et que l’une doit être vraie (comme avec l’héliocentrisme et le géocentrisme), alors, la découverte de défauts dans l’une prouve, non seulement que c’est une contrefaçon, mais prouve également et en même temps que l’autre est à la fois sans défaut et la chose réelle, l’article véritable, la Vérité. N’importe qui peut saisir ce principe.

Mais c’est le prétendu « génie » qui a un problème de logique ! Et cela n’est guère étonnant ; à peu près tout ce qu’on a appelé « éducation » lors des quelques dernières générations a été fondé ou dérive des contrefaçons de l’homme face aux Vérités bibliques impliquant la Création. Si les « vérités » que tout le monde apprend, concernant l’origine et la nature de l’Univers, de la Terre et tout ce qu’elle renferme, s’avèrent un tissu de mensonges, est-il alors étonnant que la logique du gros bon sens soit enterrée et méprisée, considérée comme quelque chose d’inférieur à la théorisation abstraite ?

Donc, s’il y a toujours des défauts observables dans tout ce qui est une contrefaçon, cela ne signifie-t-il pas qu’il y a de ces défauts observables dans le Système copernicien que l’on enseigne aujourd’hui dans le monde entier comme étant un fait scientifique ? C’est exactement ce que ça veut dire ! Voilà l’essentiel du copernicisme : ce n’est que défauts sur défauts ! Comme l’Évolutionnisme, il n’y a rien de vrai dans ça ! Toutes les déclarations qu’on y fait ne sont que des hypothèses qui violent les faits observables. Personne n’a jamais vu la Terre tourner. Personne. Aucun test, ou photo prise de l’espace, ou quoi que ce soit d’autre ne l’a jamais montré en rotation.

Nous croyons que la Terre tourne parce qu’il y a eu 400 ans d’endoctrinement incroyablement sophistiqué, motivé par Satan, provenant de l’establishment de la science qui nous dit qu’elle tourne. Personne (sauf au jour de Josué !) n’a jamais observé le soleil se maintenir immobile. Nous croyons que le soleil est immobile parce qu’il doit être immobile dans le système copernicien, et nous devons croire au système copernicien parce que s’il n’est pas vrai, alors, cela prouve de manière véritable que la Bible a raison et que 400 ans de la « sagesse » de l’homme tourne en eau de boudin !

Et la contrefaçon sera dénoncée et les gens partout dans le monde seront estomaqués de constater qu’ils ont été si terriblement trompés. Et ils seront en colère ! Un paquet de gens, peut-être tout le monde, seront, au mieux ennuyés, au pire furibonds, lorsqu’ils découvriront qu’ils se sont fait avoir en regard de quelque chose d’aussi énorme !

Quand vous accouplez le choc et la colère que causeront cette dénonciation avec le choc et la colère que provoqueront la dénonciation de l’Évolutionnisme, vous verrez clairement qu’il est raisonnable de pouvoir nous attendre à ce que ces émotions se traduisent précisément par le genre de destruction des systèmes du monde que nous voyons dans l’Apocalypse, au chapitre 18, où est décrite la Chute de Babylone.

Donc, personne n’a jamais, jamais, JAMAIS vu ou senti la Terre bouger à quelque vitesse que ce soit, encore moins les fantastiques vitesses dont nous allons discuter dans cette section, vitesses exigées par le Système copernicien. Personne n’a vu le soleil faire autre chose que se lever, traverser le ciel d’est en ouest et se coucher. Personne n’a jamais vu la lune aller vers l’est, comme il se doit dans le Système copernicien. Elle se lève toujours en est, comme le soleil, va en direction ouest et se couche en ouest. Si nous croyons autre chose, c’est qu’on nous a enseigné autre chose, comme les gens de toutes les époques de l’histoire ont cru à toutes sortes de séductions en les qualifiant de vérités.

Oui, mais, les gens ne pensent-ils pas qu’il soit impossible que le monde moderne de l’ère spatial et des ordinateurs puisse être floué si magistralement à propos de ces deux pierres de touche de leurs connaissances, c’est-à-dire, l’origine et la nature de la Terre et tout ce qu’il y a au-delà et sur elle ?! Les gens ne croiront jamais avoir été trompés à ce point ! Et s’ils ont été trompés à ce sujet, sur quoi d’autre l’ont-ils été aussi ? Pratiquement tout ce à quoi les gens croient doit alors être suspecté de séduction !

Déduction parfaitement logique, non ? Et les plus suspectes de toutes les croyances doivent être celles concernant Dieu. Logiquement, les gens vont dire : « Y a-t-il une façon de savoir quelle religion est véritable et laquelle est contrefaite ? » Et, toujours selon la logique, la seule réponse est « Oui ! ». Il n’y a qu’un seul assortiment de vérités concernant Dieu et Son Plan. Seulement un. L’islam, le christianisme, le bouddhisme, l’hindouisme, le judaïsme, etc., clament tous posséder la vérité au sujet de Dieu. Logiquement, une seule est véritable et les autres sont fausses, ou bien toutes sont fausses et la vérité est ailleurs. En quelque part, il y a la vérité concernant Dieu, et toutes les autres réclamations sont des séductions, des contrefaçons, ayant fraudé les multitudes depuis des années et des années.

Ce que nous disons et démontrons donc, c’est que toute Vérité sur tous les sujets se trouve dans la Bible ; elle peut être (et sera) identifiée et séparée des tromperies concernant tous les sujets. C’est ce qu’enseigne la Bible et c’est là que cette question du copernicisme nous conduit !

C’est parfaitement logique. Lorsque le copernicisme commencera à tomber et que la condamnation de l’Évolutionnisme se verra à l’horizon, la Bible sera considérée comme la seule véritable source de la Vérité que Dieu utilisera pour libérer et séparer tout Son peuple et l’amener dans « l’unité de la foi » (Éphésiens 4:13). Jésus, Pièce maîtresse de la Bible et du Plan de Dieu pour l’humanité, sera pris pour ce qu’Il est et sera, soit rejeté, soit adoré. Les séductions doctrinales vont disparaître très rapidement. Ceux qui aiment la vérité seront libérés par elle. Ils ne formeront « qu’un seul esprit ». Ils sortiront des systèmes du monde — i.e., Babylone (Apocalypse 18:4). Le reste des prophéties sur la fin des temps, dépouillé des séductions, sera compris de tous ceux qui seront scellés par Dieu en tant que les Siens. Le pouvoir surnaturel et la protection de Dieu sur Son peuple (les deux Témoins et les 144 000) seront évidents à tout moment aux yeux de tous (Apocalypse 9:4). Nous pourrions continuer ainsi longtemps, en donnant les raisons scripturaires des détails de la fin des temps qui suivront la destruction du mensonge copernicien face à la Parole de Dieu. Oui, tout cela est parfaitement logique.

Si l’on concède que le copernicisme peut et sera détruit, c’est parfaitement logique. Donc, la grande question est de savoir s’il est logique qu’il tombe ou non. Le temps nous le dira, bien sûr. Pour nous, il nous apparaît scripturairement exact et, de ce fait, d’une inévitable logique que Dieu exposera et détruira l’idole de la fausse science qui a fait en sorte que soient rejetées Ses Vérités fondamentales sur la Création biblique et ce, virtuellement par tout le monde un tant soit peu lettré. Et aucun homme ne peut arguer que la destruction du Copernicisme et de l’Évolutionnisme ne puisse discréditer totalement le faux establishment scientifique. Personne ne pourra arguer que cette destruction n’amènera pas des millions de gens à se tourner vers une Bible prouvée comme étant le seul espoir des gens de trouver la mine logique de toute Vérité.

Chose certaine, il faudra un geste de Dieu Lui-même pour soulever la question, exposer et détruire le copernicisme et l’évolutionnisme. Que les gens y croient ou non, ils peuvent lire et savoir que la Bible dit que Dieu anéantira toutes les œuvres du Diable (1 Jean 3:8). Qui peut arguer qu’il n’est pas logique que cette destruction débute avec les deux plus grandes et plus fondamentales séductions sur lesquelles repose l’empire de Satan aujourd’hui, c’est-à-dire, le copernicisme et l’évolutionnisme ??

Notre but est de fournir un survol du genre de preuves qui peuvent — grâce à l’aide des autres pouvant les polir et les étendre — mettre la séduction copernicienne à découvert et ainsi amener toute supercherie à plier l’échine devant la Parole de Dieu qu’elle a violée.

D’accord pour la Logique. Regardons quelques défauts de la contrefaçon.

LA PANSE

Laissons l’astronome Fred Hoyle définir « la panse » pour nous. Il a dit :

« Il est bien connu qu’en conséquence de sa rotation, le diamètre équatorial de la Terre excède le diamètre polaire d’environ 27 milles [43,2 km] — en d’autres mots, la Terre est légèrement aplatie à ses pôles. »[10]

Donc, la supposée rotation de la Terre a balayé la poussière au milieu et lui a donné une bedaine de bière de 27 milles [43,2 km]… ! C’est ce que disent tous les livres, ainsi que toute une série de théorisations fantastiques avançant comment la « panse » s’ajuste elle-même pour empêcher que la Terre ne se renverse, ainsi de suite. Ce ne sont que des extrêmes hallucinants de théorisations insensées qui sont requises pour conserver le mensonge de la Terre qui tourne ! Incroyable…

Tentons de bien comprendre. Imaginons une photographie de la Terre prise de la lune, ou même d’un satellite géosynchrone. Nous avons déjà vu de ces belles images. Maintenant, si la Terre est 27 milles [43,2 km] plus épaisse à la « taille » (à l’équateur), cela veut dire environ 142 000 pieds [432 000 cm] en dehors du rond. Ou environ 3/8 de un pour cent. Ou, vu d’une autre façon, environ cinq fois la hauteur du Mont Everest, la plus haute montagne de la Terre ! Voyez-vous où je veux en arriver ?

Trois huitième de un pour cent, c’est quand même pas mal ! Ce devrait certainement être une distance décelable ! Bien sûr ! Nous pourrions ressortir deux douzaines de citations de « scientistes » proclamant qu’ils ont détecté des distances sur la lune établies de quelques pouces à un pied ou deux au plus… Donc, s’ils peuvent détecter un pied de déviation en utilisant des photographies de la lune prises de la Terre, pourquoi ne pourraient-ils pas détecter plus de 142 000 pieds [432 000 cm] en utilisant des photographies prises de la lune ou de satellites géosynchrones ? Ce serait une preuve factuelle et rigoureuse de l’existence d’une panse s’ils pouvaient seulement la mesurer et la confirmer. Et une panse ou renflement soutiendrait assurément et tendrait à confirmer la théorie d’une Terre qui tourne… Si elle tourne, elle doit aussi orbiter autour du soleil et le copernicisme serait approuvé et la Bible désapprouvée.

C’est ainsi que cela pourrait être. Mais ça marche dans l’autre sens aussi, voyez-vous ? Faisons prendre les mesures et confirmons-les (nous-mêmes, car nous n’avons pas vraiment confiance en ces bozos, n’est-ce pas ?). Ces mesures démontreront que la Terre est d’une rondeur plus parfaite qu’une bille de roulement finement machinée, étant donné son diamètre de 8 000 milles [12 800 km] ! Il n’y aura pas de panse, ce qui signifie pas de rotation, ce qui veut dire pas d’orbite, ce qui sous-entend que le copernicisme est déclaré faux et la Bible déclarée vraie !

Oui, vous, les fendants, mesurez-la ! Et ne mentez pas sur les résultats, car il y a des milliers d’astronomes amateurs dans le monde qui peuvent aussi prendre les mesures ! Ça commence à nous enrager, et il est plus que temps de prouver, prouver, i.e., P-R-O-U-V-E-R que le copernicisme n’est rien d’autre qu’une supercherie monstrueuse. Ce qui inclut Einstein et sa « relativité » ! Autre trompeur, autre tromperie ! La Vérité de Dieu n’est relative à rien ! Elle est absolue et ne peut être altérée. On ne peut faire de compromis avec elle. Et, en ce qui concerne cette histoire de Terre-qui-tourne, la Vérité dit qu’il y a différentes sortes de preuves incontestables que la Terre est immobile et ne peut être remuée, tel que l’enseigne la Parole de Dieu.

Ça n’a tout simplement pas de bon sens que la technologie moderne ne puisse déterminer si la Terre fait un embonpoint de 27 milles [43,2 km] au niveau de l’équateur ou si ce n’est pas le cas ! Pas de sens du tout ! Utiliser certaines des photos de la Terre prises de l’espace et en mesurer la panse (qu’elle n’a pas !) nous fera un excellent début ! Référez-vous à l’Illustration XIII.)

Illustration XIII

Une des premières photographies prises par satellite — enregistrée par le VISSR, le 8 septembre 1977. Remarquez l’Australie au bas de la photo et un typhon sur la côte de la Chine, en haut à gauche. Vous noterez que les circonférences de l’Équateur et des Pôles ne révèlent aucune « panse », aucun renflement, mais sont identiques sur cette photo à petite échelle. De parfaites photos tirées au format 8’ et 10” [269 cm] de diamètre devraient montrer un renflement de 3/8 de pouce [1 cm] au niveau de l’Équateur, s’il y a une panse. Vous voulez gagez ?!

_____________________________________________________________________

[1] Herbert Dingle, La science à la croisée des chemins, (Londres : Martin Brian & O’Keefe, 1972), p. 155.

[2] Ibidem.

[3] Ibidem, p. 133.

[4] Ibidem, p. 155.

[5] Ibidem, p. 133.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe d’Einstein et les papiers d’Ives, (Old Greenwich, Conn., Devin-Adair Cie, 1979), p. 31.

[7] Ibidem, p. 30.

[8] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, pp. 90-91.

[9] Ibidem, p. 91.

[10] Fred Hoyle, Les frontières de l’astronomie, (Harper & Brothers, éd., New York, 1955), p. 13.




D.145 – La Terre ne bouge pas – Partie 4

 

QUATRIÈME PARTIE

SUPPOSÉE PREUVE DE L’HÉLIOCENTRISME :

LA BLAGUE CORIOLIS

 

Gaspard Coriolis (1792-1843)

Il y avait un Français, mathématicien et ingénieur, nommé Gaspard Coriolis, qui vécut de 1782 à 1843. Ce fut lui qui…

« …découvrit le premier la force Coriolis, effet du mouvement d’un corps en rotation… »[1]

Alors, qu’était-ce, une force ou un effet ? Un article du Smithsonian déclare catégoriquement :

« …Le phénomène Coriolis … est un effet, pas une force. »[2]

Ayant affirmé cela, l’article continue de l’appeler force. Voici un exemple pris du même article :

« La force Coriolis est environ 30 millions de fois inférieure à la force de la gravité aux latitudes médianes… »[3]

Plutôt faible, n’est-ce pas ? La gravité exerce une force d’à peu près quarante livres point quelque au pouce [env. 8 kg/cm], au plus fort. Trente millions de fois plus faible que cela serait une force trop petite pour être détectée ou mesurée. Cette force ne peut donc exister que mathématiquement

Mais qu’en est-il de l’effet ? Est-ce réel ou encore un mythe mathématique ? L’effet est réel, mais son application à une Terre qui tourne est aussi factice qu’un billet de trois dollars. Mais comment est-il réel ? Regardez l’Illustration VII.

Illustration VII

En 1835, Coriolis écrivit un traité intitulé Théorie mathématique du jeu de billard. L’Illustration VII est une image du concept central de l’écrit. Nous avons ici un plancher rotatif, une table de billard tournant sur le plancher et une bille du joueur lancée à travers la table en mouvement sur le plancher tournant, laquelle bille ne roule pas tout droit, mais courbe. La table se dérobe sous la bille de sorte que celle-ci manque sa cible. Cette dérobade au-dessus de la surface de quelque chose se trouvant en mouvement est l’essence du soi-disant Effet Coriolis. Et l’utilisation de ce concept pour déclarer que c’est une preuve de la rotation de la Terre est une blague de haut niveau, mais néanmoins une blague. Pourquoi ?

Il y a tellement de raisons qu’il est difficile de savoir par où commencer, mais examinons soigneusement la table de billard de l’Illustration du Smithsonian et reprenons au départ. Maintenant, gardez bien en tête, pendant que nous allons procéder, que tout ce dont nous allons parler constitue la seule et unique soi-disant « preuve » de la supposée rotation de la Terre. Le principe de Coriolis est au cœur du Pendule de Foucault qui déclare que c’est la preuve d’une Terre qui tourne. Nous examinerons d’ailleurs cette déclaration et la dénoncerons comme étant une fraude évidente dans le chapitre suivant. Mais, pour l’instant, veuillez noter une petite chose à propos de l’exemple de la table de billard qui fait en sorte de l’éliminer absolument comme source de « preuve » d’une Terre qui tourne : Nous savons que le plancher tourne !

…or, cela ne prouve nullement que la Terre tourne ! En fait, il serait ardu de trouver une plus frauduleuse démonstration de « preuve » en faveur d’une Terre qui tourne que ce plancher rotatif mu par une machine ! Cette « expérience » prouve qu’une telle surface se déroberait effectivement sous un tir de « missile » voyageant au-dessus. Bien. Appelons-le l’Effet Coriolis. Bien. Mais où est donc la preuve, dans cette démonstration, que la Terre tourne ?

Voyez-vous où je veux en venir ? Elle n’est tout simplement pas là. Mais quelqu’un s’écriera, comme le fait l’article, qu’un missile tiré du Pôle Nord vers Eureka, en Californie…

« …(sans son propre système de guidage) il tomberait dans l’océan environ 100 milles à l’ouest [160 km]. »[4]

Ensuite, l’article se fait plus clair :

« …mais si vous regardiez le projectile à partir d’une station spatiale, il vous semblerait voyager sur une trajectoire parfaitement rectiligne… »[5]

Et cette déclaration contredit l’exemple de la bille du joueur que l’on voit courber ! Et, en outre, des tirs de missile à longue portée comme celui-ci sont basés sur une Terre immobile, comme nous pouvons le lire dans cet aveu donné sous le titre de Balistique extérieure :

« … Pour les missiles à très longue portée, on utilise l’approche de la mécanique céleste avec coordonnées centrées sur une Terre immobile. »[6]

De toute façon, on propose de pareilles déclarations comme preuves que la Terre tourne alors qu’elles ne prouvent rien de tel. S’il était vrai qu’un missile comme celui-ci tombait dans l’océan, tel que déclaré, alors il y aurait une preuve que la Terre tourne. Mais nulle part dans cet article, ni dans aucun autre dans le monde, donne-t-on une seule preuve que cette déclaration est vraie, parce qu’elles ne sont que des déclarations soutenues par aucune preuve. Ce ne sont tout simplement que des suppositions basées sur une croyance préconçue et présumée que la Terre tourne. Voilà tout ce que c’est. Comme nous l’avons déjà vu :

« …la physique et les équations employées par la NASA pour lancer ses satellites sont identiques aux équations dérivant de l’univers géocentrique… »[7]

Cela est aussi vrai des équations et de la physique employées pour guider les missiles ou les jets, ou encore les obus d’artillerie. Si les missiles, les jets ou les obus d’artillerie étaient corrigés en vol à cause d’une Terre qui tourne, ils ne toucheraient jamais leur cible ou ne rejoindraient jamais l’aéroport ! Qui peut calculer les millions de milles que l’aviation a parcourus avant que n’existent les système de guidage par ordinateur, alors que les pilotes naviguaient grâce à des cartes et à des tableaux, sans penser aux vitesses mythiques de rotation variant constamment sous eux ? Lindbergh n’aurait jamais réussi, ni personne d’autre, d’ailleurs, s’il avait eu à naviguer en tenant compte de l’Effet Coriolis !

Rappelons-nous que l’article nous dit que si nous regardions à partir d’une station spatiale, nous verrions que le missile tiré du Pôle Nord « voyagerait sur une trajectoire parfaitement rectiligne ». Ouf ! Quel genre de station spatiale est-ce ? Une sorte de station immobile imaginaire ? Si c’est le cas, comme ce serait mignon dans notre supposé univers relativiste où il a été déclaré que rien ne peut être immobile ! Ou bien, est-ce une station spatiale qui fait une orbite complète autour de la Terre en une heure et demi ? Si c’est le cas, comment peut-on observer la trajectoire rectiligne d’un tir en provenance du Pôle Nord vers Eureka si notre poste d’observation est à une couple de centaines de milles [320 km] et se déplace à plus de 18 000 MPH [28 800 km/h] ? Ou alors, est-ce une station « géosynchronisée », le seul genre qui puisse permettre de percevoir une trajectoire rectiligne ? Si c’est le cas, alors, attention ! Ce type-là montrera bien le missile voyageant en ligne droite, mais il montrera également ce que nous voyons jour et nuit dans nos reportages météos télévisés, i.e., une Terre stationnaire en-dessous des nuages mouvants, des pluies se déplaçant, des ouragans tourbillonnants et des missiles lancés !

Les preuves d’une Terre immobile sont tout autour de nous, tout le temps ! Nous ne les voyons pas parce que nous avons accepté depuis longtemps une contrefaçon habile au lieu de la réalité, et nous ne recherchons tout simplement pas la réalité parce que nous croyons déjà l’avoir ! Mais si l’on recherche la sorte de preuve que peut démontrer l’Effet Coriolis, lançons un missile de façon longitudinale là où une station géostationnaire peut le retracer et regardons-le s’en aller droit à sa destination pendant que nous voyons la Terre demeurer parfaitement immobile sous lui alors qu’il est dans les airs. Voyons l’Illustration VIII. Elle est tirée du Smithsonian. Étendons-nous un peu sur cette image et sur ce qu’elle nous dit.

« Lorsque La Grosse Bertha bombarda Paris, durant la Première Guerre Mondiale, l’Effet Coriolis aurait dû dévier le tir d’un kilomètre et demi. » Illustration VIII

En plus de ce qui était imprimé sous le dessin (et qui était un mensonge), l’article ajouta ceci à propos de la Grosse Bertha :

« En 1918, les tirs de La Grosse bertha étaient en transit dans les airs pendant trois minutes, temps suffisant pour que Paris se soit déplacé d’environ un kilomètre et demi. »[8]

À un autre endroit, nous en lisons un peu plus au sujet du même compte-rendu :

« Lors de la Première Guerre Mondiale, les canonniers allemands manipulant La Grosse Bertha bombardèrent Paris à environ 120 km de là. À la portée et à la vélocité que voyageaient les tirs, l’Effet Coriolis aurait dû les faire dévier à environ 1,6 km à la droite. Toutefois, l’énorme canon était si peu précis qu’il fut simplement braqué en direction générale de Paris et les canonniers ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis… »[9]

Trois minutes dans les airs… Hummm ! Si la Terre tournait, jusqu’où Paris se déplacerait-il en trois minutes ? Eh bien, à cette latitude, il se déplacerait à 680 MPH [1 088 km/h], soit juste un peu plus de onze milles à la minute [17,6 km/m]. Disons donc 34 milles en trois minutes [52,8 km]. Ainsi, vu que le canon était à 76 milles [121,6 km] plein nord de Paris, sa rampe de lancement sur rail aurait été située à 1º de latitude plus près du Pôle Nord et se serait déplacé (selon le mythe héliocentrique) 14 MPH [22,4 km/h] plus lentement que Paris. Par conséquent, Paris se serait écarté de 34 milles [52,8 km] vers l’est, et la situation de la rampe de lancement sur rail, ainsi que le tir lancé à partir de là auraient manqué leur cible d’un mille [1,6 km]. C’est ce qu’exige le concept. Et le même principe s’applique si le canon avait été situé plein sud.

Mais si le canon avait été placé plein ouest ou plein est de Paris, l’Effet Coriolis ne serait-il pas annulé ? Oui. Examinons ce point. Dans une encyclopédie, nous lisons ceci :

« Sur Terre (…) un objet qui se déplace du nord au sud, ou sur une ligne longitudinale, subira une déviation apparente vers la droite dans l’hémisphère nord, et vers la gauche dans l’hémisphère sud (…) Ainsi donc, si un canon tirait vers le nord à partir d’un point situé sur l’Équateur, le projectile tomberait à l’est de sa trajectoire plein nord. Cette variation surviendrait parce que le projectile se serait déplacé vers l’est plus rapidement à l’Équateur que sa cible plus au nord. De même, si le projectile était tiré en direction de l’Équateur à partir du Pôle Nord, il tomberait à la droite de sa trajectoire véritable. Dans ce cas-ci, la région ciblée se serait déplacée vers l’est avant que le tir ne l’atteigne à cause de sa plus grande vélocité en direction est (…) La dérive Coriolis est donc reliée au mouvement de l’objet, le mouvement de la Terre et la latitude. »[10]

Donc, si la Terre tournait, la dérive ne surviendrait que sur une base longitudinale nord-sud, et il n’y aurait pas de dérive sur une base latitudinale est-ouest. Enfin… c’est ce que dit le livre. Et les Allemands « ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis » ?? Tout ce qu’ils avaient à faire pour contourner le « problème Coriolis » était de ramener la trajectoire de la Grosse Bertha vers l’est de Paris et déguerpir ! Mais le fait est qu’ils n’accordèrent aucune attention à ce non-sens parce qu’ils s’y connaissaient en canon et savaient qu’en réalité, la latitude où ils se situaient n’importait pas ! Il y eut tout un paquet de facteurs réels qui rendirent le tir d’un si gros calibre si inefficace et ils furent compris et acceptés. Mais corriger l’Effet Coriolis parce que Paris allait se déplacer de quelque 25 milles [40 km] dans les trois minutes séparant le tir de l’impact ne fut pas un des facteurs dont ils se préoccupèrent. Et pour la meilleure des raisons : ils savaient que ce n’était pas un facteur !

Pourquoi ne pas tout simplement diriger une expérience contrôlée avec un projectile précis, aujourd’hui, sans appareil de guidage par ordinateur ? Installons un canon à longue portée en quelque part et tirons plein nord ou plein sud en une trajectoire qui gardera les airs le plus longtemps possible et regardons si la cible a changé de place de quelques kilomètres une fois atteinte. Vous savez que la cible ne bougera pas ; je sais que la cible ne bougera pas ; l’armée sait que la cible ne bougera pas. Pourquoi ne pas le faire savoir au monde ? Pas de tricherie ! Sans suite d’ordres frénétiques provenant de Washington ou de n’importe où ailleurs pour manipuler l’expérience ! Faisons-le comme il faut et c’en sera fait du copernicisme !

Pourquoi pas ? Après tout, nous avons ici affaire avec une supercherie au potentiel apocalyptique si bien exposée ! L’Effet Coriolis est une réalité démontrable qui a des résultats lorsque quelque chose est en mouvement sur une base rotative. Bien sûr que oui ! Mais appliquer cette réalité démontrable à la Terre que l’on n’a jamais démontrée en mouvement (sauf par des mathématiques et la philosophie !) revient à une falsification non-scientifique ! Ce qu’il y a de beau, dans cet Effet Coriolis, c’est que — grâce à un canon ou un missile contrôlé — on peut l’utiliser pour prouver que la Terre ne tourne pas. Le reste n’est que pure séduction fondée sur une pure supposition traduite d’un pur bluff.

Alors, sautons à pieds joints dans le fonctionnement du Pendule de Foucault, supposé démontrer l’Effet Coriolis en opération sur une Terre qui tourne.

Le Pendule de Foucault

Jean-Bernard-Léon Foucault (1819-1868)

Ce « pendule » — comme tous les autres Pendules de Foucault partout ailleurs — est suspendu à un support pivotant…

« …de manière à pouvoir balancer sur n’importe quel d’une infinité de plans verticaux… »[11]

Ce support pivotant peut tourner librement pendant que le pendule se balance. Aucun autre pendule n’est monté de cette façon. Ce pendule ne fut conçu et produit que pour un unique dessein : « prouver » la rotation de la Terre. Il est assurément clair dès le départ qu’un support qui permet au plomb de frétiller de quelques degrés en quelques heures est déjà suspect.

L’anneau par lequel descend le câble détermine les limites de l’arc que le plomb peut balayer en bas. Le câble passant au-travers de l’anneau était visiblement décentré de trois centimètres ou plus à l’Institut Franklin de Philadelphie, de même que celui du Smithsonian à Washington. (Une série de contretemps empêchèrent de voir l’anneau et le reste de l’appareil à Paris, en France, où le dispositif avait été réinstallé.)

Plus souvent qu’autrement, lorsque le pendule a presque atteint son minimum, son balancement maximum est renouvelé en tirant le câble sur le bord de l’anneau le plus loin possible de son point décentré. Après avoir été redémarré, le câble traverse jusqu’au côté rapproché de l’anneau et frappe cette partie de l’anneau de manière visible. Il revient ensuite vers l’autre côté de l’anneau, mais ne le touche plus. Il retourne encore pour frapper à la même place. Et ainsi de suite.

Donc il frappe un côté mais pas l’autre. Et lorsqu’il perd de sa force, il cesse aussi de frapper le côté rapproché. Toutefois, quand il frappe ce côté rapproché, cela cause une secousse et un balancement visible du câble qui soutient le plomb. Pendant ce temps, lorsqu’on le regarde attentivement, on peut voir le plomb se balancer d’un côté et de l’autre, à l’image d’une balançoire de terrain de jeu que l’on pousserait et que l’on laisserait aller, qui reviendrait dans l’autre sens et qui retournerait, etc., jusqu’à ce qu’elle s’arrête.

Après une observation minutieuse, nous suggérons que la position décentrée, en apparence inoffensive et à peine décelable, du câble au travers de l’anneau contrôlant l’arc est tout probablement une caractéristique nécessaire dans la conception du Pendule de Foucault causant ainsi une déviation au départ qui se perpétue vers la droite du premier balancement au dernier.

Chaque fois que le Pendule décolle et atteint son balancement maximum, il va plus vite qu’à n’importe quel autre moment (contrairement à tout autre pendule). En effet, chaque retour vers le point le plus bas de l’arc est juste un petit peu plus lent que le retour précédent. Ce mouvement ralenti, couplé à (ou même indépendamment de !) la résultante de la frappe contre un des côtés de l’anneau ne peuvent sûrement pas être ignorés en tant que facteurs possibles contribuant au comportement général de la démonstration.

Non seulement tout le bidule donne-t-il l’impression distincte aux observateurs qu’ils sont en train de regarder un procédé qui prouve que la Terre est en rotation, mais les signes leurs disent catégoriquement que tel est le cas. Les observateurs assument (tout comme ils assument dans les musées que les fossiles et le matériel qu’ils y voient prouvent l’évolution) que ce Pendule fournit une preuve observable que la Terre tourne. On leur dit, sur les panneaux, qu’ils regardent une démonstration scientifique qui prouve que la Terre tourne. Tout le monde « sait » (parce qu’on leur a enseigné tout le temps de leurs études que c’est un fait scientifique prouvé) que la Terre effectue une rotation sur un axe et orbite autour du soleil. Or, ils en voient la confirmation devant leurs yeux. Qui peut donc maintenant douter du « dieu science de vérité » ?! Qui peut oser prétendre que la Bible est sans erreur ?! Les gens regardent pendant une minute ou deux, lisent le petit message, et se déplacent ensuite vers un autre étalage de démonstration « éducatif » payé de nos taxes et qui leur dit que la vie sur Terre évolue depuis trois milliards d’années et qu’ils sont le résultat final de ce processus évolutionniste. Et qu’est-ce que c’est que cette espèce de mythe biblique à propos d’Adam et Ève… ? Et ainsi de suite.

Ce que cette horde de gens voient, en réalité, c’est une fraude pseudo-scientifique, une supercherie astucieusement imaginée destinée à persuader le monde que la « science » a prouvé que la Terre révolutionne autour d’un axe (et, à partir de là, orbite autour du soleil, etc.).

Mais soyez assurés que le « Pendule » de Foucault ne prouve rien de tel ! Non seulement le Pendule se déplace-t-il plus lentement à chaque coup, mais la distance parcourue est toujours plus courte. (Le pendule de votre horloge grand-père parcourt la même distance à la même vitesse, à chaque coup. Mais rappelez-vous que ces pendules ne sont pas des Pendules de Foucault. Ils sont fermement attachés — ils ne ballottent pas dans tous les sens au travers d’une cavité lâche — et ils couvrent la même distance, à la même vitesse, à chaque balancier.)

Or, ce que cela nous amène à comprendre, ici, c’est que le Pendule de Foucault est la contrefaçon d’un vrai pendule ! CE N’EST PAS UN VRAI PENDULE ! Ce n’est rien de plus qu’une invention diaboliquement ingénieuse s’appuyant sur l’excellente réputation des véritables pendules pour asseoir sa crédibilité et prétendre démontrer une Terre qui tourne (et la Bible prise en défaut !).

Examinons le fait précédemment mentionné à propos du plomb parcourant une distance toujours plus courte, d’un balancement à l’autre…

Plus courte de combien ? La distance exacte doit sûrement être mesurable (même si c’est un peu ennuyant). Mais elle est là, et observable plutôt facilement aux différents niveaux de l’échelle, à l’Institut Franklin ainsi qu’au Smithsonian. De plus, ce n’est que gros bon sens que le « Pendule » ralentisse parce qu’il ne monte pas aussi haut (et ne va pas aussi loin) que la fois précédente et il a moins de temps pour prendre de la vitesse gravitationnelle dans son mouvement vers le bas. Si on le laissait aller assez longtemps, il s’arrêterait tout simplement et demeurerait là, immobile comme un sac de patate…

Et, en fait, c’est ce qui arrive jusqu’à ce qu’on le remonte à l’intention des spectateurs, à 10h00 chaque jour. (Il pend là, sans le moindre mouvement ! Cela nous fait penser à la description biblique de la Terre, n’est-ce pas ?) Mais revenons-en au fait qu’il perd un peu de distance à chaque balancement. Imaginons un chiffre quelconque pour mesurer la distance perdue au second balancement. Disons 1/30 de centimètre plus court, cette fois-ci, que le premier balancement (du côté où le pendule ne frappe pas l’anneau !). À chaque balancement subséquent, le trajet sera plus court de presque 1/30 de centimètre. Maintenant, regardez la distance entre les broches que cogne le « doigt » ressortant du bout inférieur du plomb (Ill. IX).

Illustration IX

Cette distance est-elle en corrélation avec celle perdue par le nombre de balancements que cela prend avant de frapper la dernière broche ? Gageons que oui. Cela nous dit-il que le résultat des faits mécaniques impliqués dans le ralentissement et le raccourcissement, à chaque fois, de la distance est la mesure précise de balancement requis pour frapper l’autre broche ? Ou alors, est-il plus facile de lire la petite pancarte qui dit que c’est le résultat du mouvement de la Terre ? (Ai-je entendu quelqu’un dire : « On s’en fiche ! » ? Demandez à Dieu… C’est Lui et Sa Parole que le « Pendule » de Foucault qualifie de menteur !)

En outre, mes amis (retenez bien ceci !), la vitesse de rotation supposée à Philadelphie serait de 1 100 pieds [338 m] à la seconde, pas de trois à quatre pouces [10 à 12 cm] au quart d’heure ou à peu près ! À la vitesse où l’on suppose que tourne la Terre, le plomb manquerait toutes les broches et ferait un trou dans le mur dès le premier balancement !!

Nous le répétons : le « Pendule » de Foucault n’est qu’une parodie du véritable pendule. Ce n’est pas un vrai pendule. Il a été fabriqué pour faire ce qu’il fait. C’est un pendule de contrefaçon soutenant une théorie de contrefaçon et les deux sont plein de trous ! Même en remontant à 1898 :

« …un physicien allemand, nommé Garber, démontre qu’un univers en rotation entraînerait le plomb du pendule comme si l’univers ne bougeait pas lors même que la terre tournerait. Et, ainsi, à partir d’une perspective relativiste comme d’une perspective non-relativiste, la conclusion demeure la même : le Pendule de Foucault ne peut ni prouver la rotation de la Terre ni la désapprouver… »[12]

J’aimerais bien inscrire cela sur un écriteau et le déposer au Smithsonian et tout autre endroit dans le monde où des milliers de gens, tous les jours, se laissent tromper à croire que ce bidule prouve que la Terre tourne…

SATELLITES GÉOSYNCHRONES

Tous les faits pertinents en rapport avec ces satellites spéciaux se retrouveront sous cinq différents traitements de ce sujet à la conclusion de la Partie V.

La raisons pour laquelle nous énumérons ce sujet ici, c’est pour bien laisser entendre que nous sommes parfaitement au courant que ces satellites sont utilisés comme preuves d’une Terre en mouvement.

La pensée secrète se cachant derrière cette « preuve » sera clarifiée, et annulée, dans la Partie V.

LA PLANÈTE BLEUE

(Cinéma Spacedome : PLANÈTE BLEUE — Explorez l’environnement au travers des yeux des astronautes de la navette spatiale. Le cinéma loge un système spectaculaire de film Omnimax® 70 mm qui vous amènera tout autour de la Terre et dans les étoiles.)

Les deux lettres de Marshal Hall reproduites ci-après donnent des éléments de base sur un intéressant bluff proféré à la télévision nationale, il y a quelque temps.

Illustration X

  (Traduction de la lettre de l’Illustration X)

Archives de la NBC                                          3/5/91

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

Cher archiviste,

Le 26 ou le 27 novembre 1990, il y a eu un reportage au sujet d’un nouveau film dans un segment de l’émission Today.

Le titre du film abordé est La Planète Bleue.

(Je crois que l’une de ces dates est la bonne !)

Ci-joint 10,00 $ tel que demandé. Si vous pouvez trouver le segment, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me l’envoyer à l’adresse que voici :

The Fair Education Foundation, inc.

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall, président

FEF, inc.

 

Illustration XI

(Traduction de la lettre de l’Illustration XI)

Archives de la NBC                                          4/20/91

a/s Natalie

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

 

Chère Natalie,

 

Vous trouverez ci-joint la requête que je vous ai formulée par téléphone en date d’hier, le 19 du mois courant, au moment où vous m’avez mis en « attente »…

Également ci-joint, vous trouverez une référence au film IMAX La Planète Bleue (celui visionné dans le programme Today) montré au Space Center d’Huntsville, en Alabama.

Peut-être avez-vous déjà trouvé et envoyé la transcription que je recherche. Si tel est le cas, merci beaucoup. Si non, et je suis certain que vous pouvez le trouver, j’en ai besoin pour compléter un projet, et j’apprécierais que vous puissiez me l’expédier dans les meilleurs délais.

Si vous n’arrivez pas à le retrouver, j’aimerais que vous me le fassiez savoir.

 

Merci,

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall

a/s de FEF, inc.

Hwy, 441 Nord

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

 

Lors d’une de ces dates de novembre 1990, un interviewé déclara que — parmi tous les merveilleux attributs de ce nouveau film — il y avait quelques séquences prises à partir de l’espace qui montraient la Terre dans sa rotation.

Sachant que cette déclaration était une ineptie de plus provenant de l’implacable machine d’endoctrinement par les médias qui fait la promotion de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme, Marshal Hall voulait toutefois savoir quelle sorte de séduction avait été employée dans ce cas particulier, mais il essaya sans succès d’obtenir une transcription de l’interview. (En fin de compte, la NBC retourna le chèque en disant que l’on ne possédait aucun enregistrement du segment programmé.)

Étant un film IMAX, les critiques sont difficiles à se procurer. Cependant, il y eut une critique dans un organisme de propagande évolutionniste du plus haut niveau, le Smithsonian. Dedans, à part les oh ! et les ah ! qui y fusent, nous apprenons que nous pouvons tous remercier pour cela…

« …le plus ambitieux, le plus spécialisé, le plus imaginatif, le plus réfléchi (…) des films grand format selon le Smithsonian [ce qu’on peut être modeste !], la Corporation Lockheed et la Corporation de la NASA… »[13]

Mais l’article ne disait rien à propos de ce que l’on pouvait voir la Terre tourner. Le Smithsonian n’aurait jamais (soulignez jamais) laissé passer une telle opportunité en or de mettre l’accent sur le copernicisme SI le film comportait des séquences qui montraient visiblement une Terre en mouvement. Alors, était-ce bien dans le film, oui ou non ?

Ayant finalement localisé un endroit où l’on pouvait visionner ce film spécial, Marshal Hall et son épouse se tapèrent 5½ heures de route vers Huntsville, en Alabama, au Centre U.S. Space & Rocket. Indubitablement, cette production montrait de nombreuses reproductions photographiques et auditives habiles de plusieurs merveilleux aspects de notre Terre vraiment magnifique. L’art de Dieu nous coupe le souffle réellement et aurait pu être apprécié pour ce qu’il est par la technologie cinématographique dernier cri qui y fut employée.

Je dis bien « aurait pu être apprécié » parce qu’il n’y avait pas le moindre indice que Dieu fut pour quelque chose dans l’existence de cette belle Terre bleue ou ce qu’elle renferme. Bien au contraire, le film contient deux messages caractéristiques destinés aux millions de spectateurs qui le voient dans tous les emplacements d’Amérique du Nord. Ces deux messages sont : 1) l’Évolutionnisme explique l’homme et tout ce qui vit sur Terre ; et 2) Un Nouvel Âge, un Nouvel Ordre Mondial est nécessaire pour empêcher les abus environnementaux qui détruiront la Terre.

L’Évolutionnisme et le prochain Nouvel Ordre Mondial revêtus des habits de l’Agence de Protection de l’Environnement… Voilà le film !

Mais il n’y avait rien sur la rotation de la Terre. Rien ! Ils s’attendaient à quelque « simulation améliorée par ordinateur » et de haute qualité à propos d’une Terre en rotation laquelle simulation on aurait fait passer pour réelle ; mais non, il n’y avait rien. Peut-être y était-ce et qu’on l’a coupé parce que trop risqué. Qui sait ? Puisque l’appareil spatial d’où furent prises les photos n’était qu’à une altitude de 200 milles [320 km] (¼ de pouce [6 mm] d’un globe d’un pied [30 cm] de diamètre) et voyageait à une vitesse de 18 000 MPH [28 800 km/h], ils savaient peut-être que toute tentative de montrer la rotation passerait pour une fabrication aux yeux de trop de gens, et ceux-ci commenceraient à se poser la question : « Pourquoi font-ils cela ? Pourquoi couler le bateau ? »

En tout cas, le film évite entièrement le sujet du copernicisme et concentre ses efforts d’endoctrinement à cimenter l’Évolutionnisme dans l’esprit des gens et à promouvoir le Nouvel Ordre Mondial.

Néanmoins, Dieu réserve une surprise merveilleuse pour tout le monde, une surprise fondée sur la technologie spatiale et en rapport avec le copernicisme. Avec toute la parfaite ironie dont on peu s’attendre, Il est prêt à ouvrir les yeux du monde sur la preuve inévitable, dure et indéniable d’une Terre immobile dont sont journellement témoins des centaines de millions de gens devant leurs téléviseurs par le truchement d’images photographiques envoyées par de soi-disant satellites géosynchrones. (Voyez Satellites Géosynchrones dans la Partie V.)

L’espace n’est pas la dernière frontière de l’homme ; c’est le Ciel ! La Vérité touchant l’origine et la nature inamovible de cette belle Terre bleue, au centre de l’univers, est entièrement décrite dans les Écritures. Cette Vérité, ainsi que celle concernant la création de l’homme et le reste, est sur le point de déclencher la dénonciation et la destruction de toutes les séductions de Satan. Le mensonge du copernicisme sera le premier à s’en aller. Ensuite, l’évolutionnisme. C’est d’une logique implacable. Vous êtes invités à continuer votre lecture et à savoir pourquoi il en est ainsi…

________________________________________________________________________

[1] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Gustave-Gaspard Coriolis, (Chicago, etc., 1976), Vol. III, p. 151.

[2] Allan Linn, Oh, dans quel tourbillon sommes-nous, merci à l’effet Coriolis, Smithsonian, Février 1983, Vol. 13, No 1, p. 68.

[3] Ibidem, p. 71.

[4] Ibidem, p. 67.

[5] Ibidem, p. 68.

[6] Encyclopédie de Science et de Technologie concise, (McGraw-Hill, 1984), p. 700.

[7] G. W. Bouw, Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Cleveland, Ohio, No. 53, p. 28.

[8] Linn, Spinn, Smithsonian, février 1983, p. 68.

[9] Ibidem, p. 67.

[10] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. iii, p. 152.

[11] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. III, p. 152.

[12] Gerardous D. Bouw, Dr en physique, Le Pendule Foucault en question, publié par la Société tychonienne, Cleveland, Ohio, p.2.

[13] Edward Park, Autour et au-delà du mail, Smithsonian, novembre 1990, p. 25.




D.144 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-6

 

TROISIÈME PARTIE

(6)

Voyons maintenant ce qu’ont a dire de pertinent les prêtres-scientistes d’aujourd’hui.

Carl Sagan (1934-1996) et les autres

« Nos ancêtres adoraient le soleil et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. » — Carl Sagan

SAGAN (Carl), astrophysicien américain (New York 1934). Spécialiste de planétologie et d’exobiologie, il a joué un rôle majeur dans la mise au point des programmes américains de sondes planétaires. Il est aussi l’auteur d’ouvrages de vulgarisation.

Dictionnaire encyclopédique Larousse, Éditions Larousse 1994, Vol II, p. 1650.

Vous n’êtes pas sans savoir que l’idée de Relativité d’Einstein a continué de fournir les lignes de démarcation de l’astronomie jusqu’à ce jour. Or, de nouveaux concepts avec de drôles de noms sont sortis depuis la mort d’Albert, en 1955, mais sans la moindre mutinerie dans les rangs contre son principe cardinal de Relativité.

Le fait que la Relativité soit un concept insensé, seulement supporté par des mathématiques fumeuses, est connu d’un paquet de gens, comme nous l’avons constaté. Ces gens-là ne sont pas en charge des établissements de l’astronomie et de la physique, toutefois, donc le mythe de la Relativité continue à y être maître. Tout concept extravagant mis de l’avant complimentant la Relativité (et l’Évolutionnisme !) grâce à ses trappes matérialistes est appelé science et immédiatement mis en exergue dans les journaux, sur la liste des best-sellers et mis en ondes à la télévision. Pendant ce temps, la censure sur le point de vue contraire est totale. Son accès au public par l’intermédiaire des médias normaux est pratiquement inexistant. Le bâillon est tenu serré.

Qu’en est-il du camarade Sagan ? Il a souvent fait la manchette à la télévision au fil des ans. Dans un article à son propos intitulé La superstar scientifique, on rapportait que…

« …Sagan était si souvent au Tonight Show que ses étudiants commencèrent à dire : “Voiciiiiii Carl !” quand il entrait dans sa classe, à l’Université Cornell. »[1]

Carl Sagan a vendu des millions de livres et s’est amassée une fortune. Quel était son trip ? L’évolution. « Mais n’était-il pas astronome ou physicien ? » me demanderez-vous. Oui, mais il faisait dans l’extra-terrestre ! La vie dans l’outre espace… à la E.T. ou comme les apparitions à grandes oreilles pointues et gros sourcils que l’on voit dans Star Trek !

Oh, Sagan parlait de quasars, de pulsars, de trous noirs, de naines blanches, de géantes rouges et autres concepts mythologiques du vocabulaire de l’astronome moderne, mais son principal jeu fut de si bien établir une certaine idée que personne ne pourrait la défaire. Et cette idée, c’était l’évolution.

Le lien est simple. Si les gens sont convaincus qu’il y a de la vie partout dans l’univers et qu’on leur dise sans cesse que c’est de la vie qui a évolué, cela renforce grandement l’enseignement que toute vie sur Terre a aussi évolué. Et cela va dans les deux sens. Car si nous croyons que nous avons évolué sur Terre, nous pouvons donc croire aussi que d’autres formes de vie ont évolué dans l’outre espace !

Sagan a fait une grande et brillante carrière en accomplissant ses buts d’expansion et d’instillation du concept évolutionniste dans l’esprit des gens. Selon sa propre estimation, sa grande série télévisée, Cosmos, atteint 150 millions de gens. Ce n’était que pure propagande évolutionniste, comme tout ce qu’il a écrit et promu. De son livre sur l’évolution du cerveau humain à tout son matériel télévisuel, en passant par tout son travail à la NASA, tout le bataclan n’est purement et simplement qu’un blitz d’endoctrinement évolutionniste bien coordonné et à peine déguisé. Bien coordonné ?

Bien sûr ! Avez-vous entendu parler de J. Gould, le biologiste d’Harvard qui est depuis quelques années, maintenant, le principal porte-parole de l’évolutionnisme aux Etats-Unis et dans le monde ? Ni lui ni personne d’autre n’a jamais trouvé de chaînon manquant évolutionniste là où il aurait dû y en avoir un train complet tout au long de la « chaîne de l’évolution » ; donc, Gould vola à Goldschmidt la vieille idée monstrueuse d’une évolution accélérée. Cette idée sauvage et non-scientifique est un refuge de dernier espoir pour une théorie sans mécanisme qui dit qu’un oiseau sortit d’un œuf de reptile, un beau matin, et qu’un amphibien donna naissance à un mammifère et ce genre de chose.

On appelle cela « l’équilibre ponctuel ». Mon œil ! À côté de ce non-sens, Mary Poppins et Blanche-neige représentent de la science pure ! Mais ne vous y trompez pas, « l’équilibre ponctuel » est la raison d’être de l’évolutionnisme d’aujourd’hui. Or, Gould et Sagan étaient de bons amis.

Donc, l’un fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur la Terre et l’autre fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur tout ce qui est extérieur à la Terre, dans l’outre espace… ! L’évolution dans l’espace galactique s’est vu octroyer un drôle de nom, comme s’il s’agissait d’une science véritable et qu’elle décrivait quelque chose qui existe. Notez ceci tiré du Science Digest :

« Les spécialités académiques du Dr Sagan sont la chimie et la physique planétaires, mais il s’est également beaucoup impliqué dans la recherche de vie étrangère. Ce domaine, connu sous le nom d’exobiologie, est parfois qualifié de science sans information. Aucune preuve évidente n’a encore été trouvée montrant que la vie existe sur d’autres planètes. Néanmoins, la grande majorité des astronomes sont presque certains que toutes sortes de bestiaux galactiques peuplent l’univers. »[2]

Bon filon ! Une « science » sans information, ni preuve ! Et ils y croient, et ils l’enseignent, et ils le prêchent quand même ! Il n’y a pas un seul enfant âgé de six ans et ayant accès à un téléviseur qui n’ait été soigneusement endoctriné au moyen de dessins animés et autres chevaux de Troie pour gosses afin qu’ils considèrent normal tout un tas d’extra-terrestres exécutant les choses les plus insensées et surnaturelles.

Et ainsi le message évolutionniste est implanté dans l’esprit des enfants de manière subtile par ce blitz de propagande à la Sagan impliquant des « étrangers » (aliens) alors qu’il n’y a pas la moindre preuve d’une quelconque forme de vie ayant évolué dans l’espace. Et nous sommes tous des enfants de six ans, face à ce blitz. Le E.T. de Spielberg en est un bon exemple. Jouant avec un art consommé avec les émotions des gens, ce chef-d’œuvre satanique brisa les records d’entrées au guichet et est devenu un classique parmi un camion plein de films, de livres, d’animations « documentaires », etc., avec le même message… la vie — même la plus intelligente — a évolué dans l’espace en des milliers de formes et d’endroits ! Notez ce qui suit :

« Comme ses collègues dans le domaine, Carl Sagan croit que la vie étrangère est probablement basée sur le carbone, construite de composants similaires à ceux de notre propre corps. »[3]

« …similaires à ceux de notre propre corps… » Il soulignait et renforçait le lien avec la supposée évolution sur Terre grâce à toutes sortes d’exemples imaginaires de l’outre espace. Et c’est un deux-pièces. Notez ce qu’ajoute encore Sagan :

« Les organismes sur Terre font partie de l’aspect stochastique [aléatoire] du processus évolutionniste. Recommencez la Terre à nouveau et laissez les facteurs de hasard opérer, et il est tout probable que vous n’en verrez pas sortir quelque chose qui ressemble à un être humain… Ce sera phénoménalement différent… »[4]

Comme E.T. ! Vous savez, beaucoup de gens feront entorse à toute critique envers l’idée d’un syndrome d’alien. Les gens croient en une vie dans l’espace ! Ils pensent que c’est un fait scientifique ! C’est logique à leurs yeux ; ils se font le raisonnement que, si la vie a évolué sur Terre, elle doit également avoir évolué ailleurs, sous une forme ou une autre ! Il fut un temps où je serais tombé d’accord de tout cœur avec Sagan et ses disciples lorsqu’il disait :

« Le cosmos est tout ce qu’il y a, tout ce qu’il y a jamais eu et tout ce qu’il y aura jamais. C’est l’univers qui nous a faits et nous sommes des créatures du cosmos. »[5]

C’est de la religion sans Dieu, ça, purement et simplement ! Sagan, en tant que l’un des Grands Prêtres de l’establishment scientifique, donna certains avis sur le culte :

« Nos ancêtres adoraient le soleil, et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. »[6]

Et ces soleils dans l’espace créèrent, non seulement les être humains et les autres formes de vie sur Terre, mais ils ont créé une innombrable multitude d’autres formes de vie sur une infinité d’autres planètes dans d’incalculables galaxies… ! Voilà ! C’est la matière et non pas Dieu qui aurait créé la vie, selon Sagan et les autres. C’est le message se cachant derrière tout le matériel à la E.T. et ce n’est destiné qu’à un but unique : recouvrir et celer pour toujours, bafouer, railler pour l’éternité, discréditer et détruire de façon permanente le récit biblique de la Création et, à partir de là, diffamer le reste des Écritures en général et plus spécialement la Nouvelle Alliance, ou Testament de Jésus-Christ.

Cela nous amène à soulever un point. Il y a bon nombre de scientistes et de laïcs qualifiés, énergiques et qui soutiennent le récit biblique de la Création, ici et ailleurs, qui ont mis sur pied la louable bataille contre l’évolution depuis maintenant quelques années. Ils amenèrent la question du monopole de l’évolution dans les écoles devant la Cour Suprême, en Arkansas et en Louisiane et devant la Cour Suprême des Etats-Unis, dans les années 80. Ils ont forcé les évolutionnistes à revenir sur certains textes de livres, dans un état ou deux.

Le mouvement anti-évolution peut ne pas avoir remporté de victoires majeures, mais vers la fin des années 70 et au début des années 80, et même au-delà jusqu’à la défaite devant la Cour Suprême des Etats-Unis, à la fin des années 80, il y avait un véritable esprit de vainqueur au sein du mouvement qui commençait à attirer l’attention de bien des gens.

Mais le mouvement chancela et, aujourd’hui, on en entend plus parler, du moins de manière à croire qu’il puisse jamais remporter la victoire contre le mythe contre-scientifique de l’évolutionnisme. Pourquoi ? Qu’est-il arrivé ? 80 % de la population américaine favorisait un genre de défi au monopole de l’évolution dans les écoles. De nombreux signes semblaient démontrer que le grand mythe était sur le point de subir une attaque sérieuse. Or, les créationnistes — au lieu de frapper aux portes des Cours suprêmes et avancer vers une enquête fédérale sur l’évolutionnisme et faire reculer les administrations scolaires et les comités de rédaction de bouquins scolaires — en sont réduits à faire circuler leur matériel parmi eux, en essayant d’empêcher l’État de la Californie de faire fermer les portes du seul collège créationniste reconnu des Etats-Unis, et tenter d’obtenir un don pour être sous les feux de la rampe en quelque part. Mais qu’est-il donc arrivé ?

Voilà bien une illustration précise de la situation. S’il y a un exemple de puissant mouvement en faveur de la Vérité prenant forme pour ensuite être battu et soumis, c’est bien le fiasco créationniste que nous venons de décrire. Oh, le mouvement n’est pas mort et ne le sera jamais, c’est sûr, et il possède encore un impact très positif, quoiqu’à un bas niveau, dans de petites poches de résistance dans le monde. En un sens, il est devenu clandestin. Il s’est enfoui pour fourbir ses armes, préparer une attaque ultérieure, changer de stratégie…

Voilà la clé : changer de stratégie ! C’est là où a échoué le mouvement et c’est ce que l’on doit ajuster à la Parole de Dieu avant que Celui-ci ne fasse honneur au mouvement. À cause du compromis ! Le mouvement fut contrôlé par une mentalité de compromission. « Un temps égal » pour une approche à « deux modèles » entre la création et l’évolution dans les écoles. C’était la stratégie principale.

Mais le compromis n’est-il pas une voie démocratique ? Ça chatouille les oreilles, et cela a une résonance « démocratique », mais c’est néanmoins une séduction. Soit que l’évolution s’est réalisée, soit qu’elle ne s’est pas réalisée. Sans piger dans la Bible, ou même la mentionner, des preuves scientifiques, pures et dures, démontrent sans l’ombre d’un doute que l’évolution constitue un mensonge sans aucune preuve pour la soutenir et qu’elle n’est tout simplement pas arrivée. Cependant, il ne s’agit pas de n’attaquer que l’évolutionnisme sans essayer de promouvoir le créationnisme.

La NOUVELLE stratégie n’oublie pas le créationnisme ; bien au contraire, elle garantit son succès ! Si l’évolutionnisme peut être totalement anéanti strictement avec des preuves scientifiques, et cela se peut, alors que reste-t-il pour expliquer l’origine de l’homme et tout le reste, si ce n’est un Créateur Dieu ? Une fois les millions et les milliards d’années évolutionnistes réduites en poussière dans le processus, on ne peut faire autrement que d’assimiler le Créateur Dieu au Créateur de la Bible, n’est-ce pas ?

Donc, ce qui est arrivé, c’est que la mentalité de compromis a mené à une mauvaise stratégie. Les évolutionnistes ont martelé l’idée que les créationnistes ne faisaient qu’essayer d’enseigner la Bible dans les écoles et que cela entrait en violation de la séparation de l’église et de l’état, bla-bla-bla, et ce faisant, les évolutionnistes n’avaient jamais à faire face aux preuves scientifiques qui aurait pu les tuer. Et cette tactique a parfaitement bien marché pour les évolutionnistes.

Les créationnistes sont aussi tombés dans la trappe de la Relativité. En se faisant champions d’un plan de « temps égal/deux modèles » pour l’éducation, ils présentaient comme équitable, bon et juste un plan qui disait, en substance : « Voici deux idées au sujet de l’origine de la vie. Certains disent que la première est vraie, d’autres disent que c’est la deuxième qui est vraie. Aucune ne peut être reprise, vérifiée et prouvée, donc, on ne pourra jamais vraiment savoir la Vérité. Nous croyons que les preuves s’accordent bien avec le modèle de la Création et ils croient qu’elles s’harmonisent avec le modèle de l’Évolution, ainsi nous vous donnerons un temps égal pour choisir entre ces deux “vérités”. Votre choix est relatif à ce que vous préférez, alors choisissez ! » Ou quelque chose du genre…

Et même si cette sorte de compromis semblerait, à première vue, promettre un certain gain en faveur du créationnisme, en réalité, il n’aurait pour seul résultat que d’ensevelir l’idée que la Vérité est l’objectif, la visée, le but de l’apprentissage, spécialement dans les sujets qui concernent la relation de l’homme avec Dieu. À la place, l’approche du « temps égal » insinuera la croyance qu’une « vérité » en regard des origines est aussi valable que « l’autre vérité » ; que, par conséquent, il n’y a pas de Vérité absolue en la matière ; que, en fait, la Vérité n’est relative qu’au fait que l’on prenne la tangente « scientifique » (i.e., évolutionnisme) ou que l’on prenne la tangente « religieuse » (i.e., créationnisme) concernant ce sujet.

Bien sûr, ce que voient les étudiants sur la balance de l’approche du « temps égal », c’est, d’un côté, le poids énorme de l’Établissement de l’éducation (des enseignants jusqu’en haut de l’échelle), le monde séculier (des scientistes jusqu’aux musées et les médias) et, de l’autre côté de la balance, une poignée de bigots bibliques stéréotypés criant au feu de l’enfer sur à peu près n’importe quoi. Ces enfants et ces jeunes gens n’ont pas à réfléchir longtemps pour constater de quel côté la majorité se ralliera. Et il ne faut pas grande jugeote pour voir que même les enfants qui entretiennent certains doutes seront intimidés afin qu’ils se tiennent coi ou deviennent des évolutionnistes théistes par compromission qui seront amenés à dire : « D’accord. Je vais croire que Dieu a tout créé par le moyen d’un quelconque processus d’évolution au cours de milliards d’années, comme disent les scientistes et tout le monde (sauf quelques fêlés de la Bible) et oublions ça ! »

C’est comme ça que ça marche, mes amis. Aucun doute là-dessus. Donc, le mieux qui puisse résulter de l’adoption d’un compromis en regard de cette approche de « temps égal » face à la question des origines est qu’un bon pourcentage — sauf quelques étudiants qui verront la lumière et rejetteront l’évolutionnisme en totalité —ne tomberont pas complètement en amour avec l’évolutionnisme pour devenir athées, mais accepteront un compromis et deviendront des évolutionnistes théistes.

Ça a pour résultat final que le récit biblique de la Création devient un mythe non-scientifique que les gens « éduqués » ne doivent pas croire. Ainsi, Adam et Ève, le Jardin d’Éden, Satan, sa séduction envers Ève, Adam acceptant ce mensonge, la séparation de l’humanité de son Dieu de Vérité et le début de sa servitude sous la main du dieu des mensonges jusqu’à ce que le Dieu de Vérité vienne sur Terre et forge un moyen pour l’homme de revenir à Lui… tout cela doit être chassé de l’esprit des étudiants pour toujours. Et cela peut s’accomplir tout aussi efficacement en faisant qu’une personne croit en Dieu et en l’évolution que cela peut s’accomplir en faisant un athée d’une autre personne.

Parce qu’il est impossible de croire en l’évolution d’une molécule à un homme et croire, en même temps, à la Création de six jours de la Bible et à Adam et Ève en tant que premiers et uniques parents de l’humanité. Les deux croyances s’excluent mutuellement.

Ainsi donc, en résumé, l’approche d’un compromis de temps égal pour présenter Dieu et Sa Création n’est pas adéquate pour amener les gens à réaliser que seule Sa Parole contient la Vérité sur le sujet. Aussi, cette stratégie de compromis ne pourrait obtenir l’aval enthousiaste de Dieu.

La Vérité de Dieu est absolue. Il ne permettra pas que l’on transige avec elle, aussi bien intentionnés et convaincants ses défenseurs soient-ils. Il n’y a jamais eu la moindre parcelle de preuve en faveur de l’évolutionnisme et il n’y en a pas plus aujourd’hui. Zéro ! Rien ! Le néant ! En conséquence, la stratégie contre l’évolutionnisme aurait dû être de concentrer tous les efforts et les ressources à élever le débat à un niveau mondial avec un seul but en tête : exposer scientifiquement toutes les déclarations majeures des évolutionnistes, prouver que l’évolution est une fraude contre-scientifique et la réduire au statut de mythe religieux, ce qu’elle est, d’ailleurs.

La présentation d’une série télévisée de qualité, cinq à dix heures de grande écoute, aurait fait le travail et le ferait encore. Une Enquête du Congrès sur la théorie de l’évolution pourvoirait à ce niveau mondial. Après tout, un gros montant de l’argent de nos taxes soutient directement ou indirectement l’évolutionnisme sur notre continent et il est tout à fait légitime de rechercher une enquête du Congrès sur tout ce que cet argent supporte dans les musées, les bibliothèques, les « merveilles naturelles », et surtout les écoles.

Mais la Cour Suprême n’était-elle pas de niveau mondial ? Cette course était condamnée d’avance. On ne traita jamais du sujet de manière à permettre une exposition systématique du fait que l’évolutionnisme est une fraude anti-scientifique. Tout ce que dit la Cour, c’est que le créationnisme est une religion et ne peut être enseigné dans les écoles parce que cela violerait le Premier Amendement de la Constitution. S’il y avait eu insistance à déterminer si les déclarations de l’évolutionnisme sont scientifiques ou pas, ils auraient vite trouvé que ces déclarations ne sont pas du tout scientifiques et les évolutionnistes aurait pu être dépeints comme étant ceux qui tentaient de faire avaler aux étudiants un système de croyance déguisé en science.

Ils auraient pu alors démontrer aux Etats-Unis et au monde que l’évolutionnisme est la clé de voûte de la religion humaniste que l’on enseigne de la maternelle à l’université en violation du Premier Amendement ! L’Humanisme a été reconnu par la Cour Suprême (Tarasco vs Watkins) comme étant une religion. Le credo mis de l’avant dans le Manifeste humaniste I et le Manifeste humaniste II déclare avec emphase que l’évolutionnisme est la croyance fondamentale de la religion humaniste.

L’Amérique et le monde entier ont été entraînés à croire le dogme principal d’une religion anti-biblique appelée « humanisme » et à la financer avec les gros sous des payeurs de taxe ! Vous parlez d’une séduction !

Mais c’est à peine la moitié de la trame. Pendant que les créationnistes s’affaissent dans le coin du ring, sauvés par la cloche, sérieusement amochés à la tête et au corps, le camp évolutionniste s’en tire admirablement, prêts à étendre ses adversaires pour le compte. En effet, le but est de mettre K.O. l’opposition à l’évolution au même degré que le camp Copernic/Newton/Einstein mit K.O. toute opposition de la part des tenants de l’évidence géocentrique d’une Terre immobile.

Et c’est là qu’entrent en scène Sagan et tous les autres astronomes coperniciens évolutionnistes avec leurs deux chef-d’œuvres de séduction destinés à détruire la crédibilité de la Bible. Si la « science » détruit la crédibilité du compte rendu de la Bible d’une Terre immobile, d’une création de six jours, du déluge de Noé (comme explication divine de tous les fossiles, etc.), alors quelle crédibilité la Bible peut-elle avoir quand elle parle de Jésus né d’une vierge et Fils ressuscité de Dieu ?

Examinons deux ou trois réalités d’importance mondiale que l’on peut remarquer derrière toute cette couverture. La première réalité cachée devrait nous apparaître visiblement, maintenant : l’interdépendance de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme.

Ce n’est pas vraiment compliqué : de Copernic à Einstein et Sagan, l’héliocentrisme a systématiquement, et de manière régulière et spectaculaire, étendu la dimension de l’univers à des distances que l’on mesure aujourd’hui en milliards d’années lumière. Cela a amené à relier la vitesse de la lumière (qui fut acceptée avant Darwin) à ces vastes distances et à conclure qu’il fallut des millions d’années à la lumière pour nous atteindre à partir de ces si lointaines étoiles. L’estimation standard hasardée est de 15 à 20 milliards d’années (quoique certains Russes la recule à 50 milliards).

Et voilà donc le truc ! Les évolutionnistes ont besoin de tous ces milliards d’années pour crédibiliser l’évolution de la façon qu’ils l’expliquent et les astronomes y pourvoient ! Et cela marche également dans l’autre sens ! Parce que les évolutionnistes fournissent aussi aux astronomes des milliards d’années. L’image courante donnée à l’évolution de la Terre, dans les livres modernes, est un chiffre qui sonne très bien et qui se donne un air d’exactitude : 4,6 milliards d’années. C’est par cette voie que l’on présente le Big Bang dans le mythe, voyez-vous ? Celui-ci — « l’œuf cosmique » — était au commencement au centre de l’univers, selon le mythe. Il explosa en morceaux, il y a environ 15 à 20 milliards d’années, et les morceaux et les gaz qui formèrent la Terre, la lune, le soleil, Vénus, etc., furent pris au piège par les forces gravitationnelles quelque 4,6 milliards d’années auparavant, toujours selon cette fable chimérique.

Et les morceaux qui sont censément vieux de 15 à 20 milliards d’années prirent un autre 10 à 15 milliards d’années pour atteindre leur emplacement présent après qu’ils eurent passé comme un éclair près d’où s’est arrêté la Terre. Enfin… c’est ce qu’ils disent. Et cette mitraille s’est si bien éloignée qu’il faut que la lumière voyage à 186 000 milles à la seconde [297 600 km/s] pendant des millions d’années pour nous atteindre. D’accord ? Donc, à partir de la perspective qu’un temps phénoménal est essentiel à la fois à l’évolutionnisme et à l’héliocentrisme, on voit que les deux théories se supportent et vivent l’une de l’autre…

C’est comme ça que ça marche. Ce qui nous amène à la seconde réalité qui est un point sensible, mais évident et que l’on doit traiter avec tout l’amour chrétien possible. Les scientistes créationnistes ne voudront pas toucher à la question de l’héliocentrisme/géocentrisme, même du bout d’une pôle à rideau. D’ailleurs, beaucoup d’entre eux deviennent carrément grincheux devant toute allusion les enjoignant à combattre le copernicisme. En fait, leur attitude démontre très clairement que, sauf une poignée d’exceptions, non seulement croient-ils que le système copernicien d’une Terre qui tourne est scientifiquement prouvé et véritable, mais ils estiment vigoureusement que, si les créationnistes commencent à attaquer le copernicisme, ils vont être la risée de la communauté scientifique, ce qui ferait terriblement mal au mouvement créationniste.

Quelle sorte de mouvement créationniste ça fait-il ?! C’est une blague ! Ils n’ont sans doute pas saisi le lien vital entre les deux théories (hypothèses) concernant leurs millions et leurs milliards d’années… Mais, les pauvres, il est temps pour eux d’oublier leurs objections, de voir la lumière et d’entrer dans l’arène. Leur stratégie a échoué. Celle que Dieu va utiliser pour démasquer et détruire l’évolutionnisme ne comportera aucun compromis ! Aucun faible cri insignifiant et inefficace, au profil bas, en attente, clandestin et plaidant un temps égal pour SA VÉRITÉ n’y fera ! Dieu va ravager tout Babylone (les mensonges de Satan) et Il va prouver que Sa Parole est la Vérité absolue. La reddition sans condition. Pas de compromis. Il va commencer par anéantir le copernicisme et l’einsteinisme ; ensuite, l’évolutionnisme ; puis, toutes les doctrines de démons qui aveuglent les églises chrétiennes d’aujourd’hui. C’est assurément un travail réservé aux 144 000 d’Apocalypse 7 qui aideront la multitude de laodicéens à sortir de Babylone, dans toutes les sphères qu’elle a envahi. Et cela ne prendra pas beaucoup de temps ! En effet, Apocalypse 18 dit clairement que Babylone (la confusion) va s’écrouler si rapidement que les gens en seront étourdis dans le monde entier.

Qu’ont donc à faire les scientistes créationnistes pour voir la lumière ? Eh bien, tout d’abord, ils doivent très bien se rappeler d’être absolument convaincus que la Terre n’est âgée que de six mille ans. (Très peu d’autres personnes croient à cela dans le monde, et ils sont donc déjà la risée du monde réel des scientistes séculiers, etc.). Ils doivent se rappeler qu’ils possèdent les preuves scientifiques inéluctables qui établissent que la Terre n’a que six mille ans et que tous les fossiles et les roches que les évolutionnistes utilisent pour étaler leurs millions et leurs milliards d’années furent déposés et formés par le Déluge mondial du temps de Noé, il y a moins de 4 500 ans.

Et ils peuvent le prouver, c’est certain ! Nous en avons vu les preuves tout au fil des ans. Ce sont des scientistes qualifiés dans tous les domaines, qui sont des créationnistes ayant produit des livres et des vidéos qui détruisent parfaitement la position évolutionniste de millions et de milliards d’années de mutations et de sélections naturelles transformant le néant en toute chose. Les cérationnistes possèdent toutes les bombes de vérité scientifique dont ils ont besoin pour faire exploser l’évolutionnisme en mille morceaux. Point.

Et ce n’est qu’une question de temps avant que Dieu ne coupe les amarres avec toute cette puissance de feu et n’abatte l’Humanisme mondial, l’establishment nouvel-âgiste qui repose carrément sur le mensonge de l’évolution (qui s’assoit, lui, sur le copernicisme !). Mais, en tout premier lieu, ce que doivent voir les créationnistes et où ils doivent s’ajuster rapidement, c’est a) que toute cette attaque maximum contre l’évolutionnisme doit suivre et se mêler à l’attaque maximum contre le copernicisme ; et b) que les créationnistes — à moins qu’ils ne soient charlatans (2 Corinthiens 11:13-15) — doivent tirer l’Épée contre le copernicisme aussitôt que le Saint-Esprit les aura convaincus qu’il s’agit d’une énorme duperie, comme l’évolutionnisme (conviction qui, en toute modestie, devrait leur être donnée au cours de la lecture de ce livre).

Or, qu’est-ce qui pourra persuader les créationnistes honnêtes de se joindre à la bataille contre le copernicisme et diriger leur feu sur cette cible comme moyen détourné qui les mettra offensivement en première ligne d’attaque contre l’évolutionnisme ? Deux choses persuaderont ces honnêtes gens (et nous parlons « d’honnêtes » créationnistes parce que Satan possède des agents-doubles haut placés protégeant sa séduction vitale de l’évolution !).

Premièrement : les créationnistes se sont déjà engagés à soutenir une Terre âgée d’environ 6 000 ans. C’est ce que leurs preuves démontrent et ils peuvent en illustrer la véracité par des preuves scientifiques à elles seules. Mais, que ce soit bien compris, toutes ces attestations prouvent aussi le récit de la Bible au sujet de la Création que l’on retrouve dans la première page de la Genèse. Il n’y a pas moyen d’y échapper et, sauf pour quelques agents doubles évidents infiltrés dans leurs rangs, les créationnistes soutiennent fièrement, correctement, avec ténacité et font la promotion du compte-rendu littéral de la Création de la Genèse. Voilà où conduit la preuve scientifique et où elle démontre de manière logique que le récit biblique de la Création de la Genèse est la Vérité avec un grand V. Magnifique ! Merveilleux ! Plus aucun problème ! La plupart des créationnistes seront d’accord avec cela.

Mais voici le problème que j’aimerais souligner vis-à-vis des créationnistes. La page même qui affirme avec exactitude que Dieu a créé les plantes, les animaux, et l’humanité, dit également que Dieu a créé les cieux, y compris les étoiles, dans la même période de temps (Genèse 1:14-18). Donc, si ce délai dura une semaine au début des 6 000 ans, comme le croient tous les créationnistes littéraux, alors comment se fait-il qu’ils croient en même temps au copernicisme et à l’einsteinisme qui exigent que ces étoiles (et la Terre et tout le reste) soient âgées de milliards d’années ???

Personne ne peut réconcilier ces deux opposés, et personne ne devrait se tracasser à essayer. La lumière d’étoile de Genèse 1 fut créée pour briller au-dessus d’Adam et Ève dès la première semaine où furent créés la Terre et tout ce qui existe dans l’univers. La lumière était là où sont les étoiles et elle se trouvait en même temps dans le Jardin d’Éden où étaient Adam et Ève. Il ne lui fallut pas des centaines, des milliers, des millions d’années pour voyager jusqu’ici. Tout créationniste qui croit à ses propres preuves doit ipso facto s’opposer à l’héliocentrisme copernicien parce que cette théorie n’existe pas et ne peut pas exister sans ces millions et ces milliards d’années. Point à la ligne.

Donc, personne — et certainement pas un scientiste créationniste — ne devrait tenter de réconcilier les preuves scientifiques, ni le créationnisme littéral de la Bible avec le copernicisme, parce que cela ne se fait pas. À la place, les créationnistes devraient réfléchir à la façon de sortir de ce terrain logiquement et scripturairement intenable où ils se sont enfouis en s’opposant activement ou passivement à une attaque contre le copernicisme.

Comment faire ? La première chose qu’ils doivent faire, c’est de lever bien haut la tête, en tant que les guerriers ensanglantés qu’ils sont, dans la grande bataille spirituelle. Ils ont été mis sur la ligne de front de la guerre spirituelle à un endroit où Satan doit prévenir toute percée à tout prix. Toute menace contre sa contrefaçon évolutionniste de la Création de Dieu, telle qu’enregistrée dans Genèse 1, doit être détournée et mise en échec ; Satan ne le sait que trop bien. Car ce front, cette question, cette stratégie pour détruire la crédibilité de la Bible en est venu à s’appuyer sur des siècles d’astucieuse planification surnaturelle. Tous les créationnistes, si grande ou si petite soit leur implication dans la bataille, écouteront sûrement ces paroles bénies : « Cela est bien, bon et fidèle serviteur. » Donc, en premier lieu, que les créationnistes prennent leur arc et lèvent la tête bien haut.

Deuxièmement : La préparation de tous les créationnistes n’a pas été en vain. Pas du tout ! Bien au contraire, la capacité qu’ils se sont maintenant acquise de pouvoir briser les défenses de Satan et dénoncer l’évolutionnisme au monde entier comme étant un mensonge contre-scientifique n’a souffert que d’un contretemps tactique. En se débarrassant des compromis, de la stratégie d’un « temps égal », et en revêtant une mentalité d’abandon sans compromis et inconditionnel (convenant aux champions de la Vérité Absolue de Dieu !), ils peuvent dès lors se préparer à mener l’offensive contre la Babylone de Satan et servir d’instruments dans la mise en œuvre de la victoire totale de la Vérité de Dieu sur la Création et tout ce que cela sous-entend dans la validation de toutes les Écritures.

Troisièmement : Tous les créationnistes, partout dans le Corps de Christ, laïcs ou scientifiques, doivent reconnaître qu’une Terre géocentrique et immuable est une doctrine biblique tout aussi vitale que le créationnisme. En fait, elles sont fondamentalement inséparables ! Et, vu qu’une personne prend fait et cause pour un de ces domaines vitaux de la Vérité biblique, lequel domaine est, à la base, intimement et inséparablement lié à la Création, elle doit aussi prendre fait et cause bibliquement pour cet autre chaînon vital. Pour être conséquents et, donc, crédibles, les créationnistes qui s’élèvent contre l’évolutionnisme doivent également s’élever contre le copernicisme héliocentrique.

En dernier : Que Dieu les conduise ou non à se spécialiser et à s’entraîner dans une ou plusieurs sphères de dénonciation du copernicisme, les créationnistes doivent joindre les mains aux créationnistes anti-coperniciens dont le nombre va bientôt s’accroître de façon spectaculaire, ou — à tout le moins — leur donner leur support passif de peur de révéler leur véritable fonction dans le combat anti-évolution. Car, assurément, ce doit être très clair, à la lumière de ce qui a déjà été démontré (et de ce qui s’en vient) et même de ce qui est évident à tous que a) le copernicisme est une duperie qui dure depuis plus longtemps que l’évolutionnisme et a remporté un plus grand succès ; b) de ce fait — ainsi que de l’autre fait également important que la partie héliocentrique de la bataille n’a donné aucune crainte à Satan depuis des générations et est sans défense — la stratégie des créationnistes (et de tout amoureux de la Bible) devrait être concentrée à percer une brèche contre le mensonge de l’héliocentrisme d’abord et tout de suite après amener l’artillerie lourde anti-évolutionniste ; c) le créationnisme anti-évolution a battu en retraite et ne menacera pas l’empire de Satan sans une nouvelle stratégie.

Le renforcement viendra par ceux qui auront de la joie à voir exposer le mensonge copernicien et qui seront également très en colère et galvanisés à renverser cette idole de fausse science ainsi que la structure humaniste érigée dessus. (L’esprit de crainte qui conseilla le peuple de Dieu de ne pas chercher à dénoncer le copernicisme, de peur qu’ils ne discréditent le créationnisme, est un esprit que Dieu dit ne pas venir de Lui : « Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité, mais de force, de charité et de prudence » (2 Timothée 1:7). L’Esprit de Dieu est plutôt l’Esprit d’amour, de puissance et d’intelligence. Voilà l’Esprit que tous les chrétiens — pas juste les créationnistes d’aujourd’hui — auront pendant cette bataille stratégique, car c’est une stratégie sans compromis, sans quartier, destinée à démarrer une réaction en chaîne qui conduira à la dénonciation de toutes les séductions de Satan dans le monde, et qui préparera celui-ci aux temps de la fin, au retour de Jésus-Christ et à l’installation de Son Royaume sur Terre.

Nous nous sommes un peu éloignés du sujet de ce chapitre, mais revenons-y. Il est facile de bifurquer et partir sur une envolée… Le dernier chapitre n’en sera sans doute que plus court.

Si quelqu’un a suscité l’adulation et l’exaltation à un titre presque aussi élevé que Sagan, après Einstein, dans le monde de la science, c’est bien Andreï Dmitrievitch Sakharov, né en 1921 et décédé en décembre 1989, à l’âge de 68 ans, au moment même où le régime communiste qui l’avait harassé toute sa vie, vint à s’écrouler.

Sakharov est mis au rang de…

« …scientiste de classe mondiale … dont l’œuvre fut une prescription de la future direction de la physique. »[7]

Il publia un article, en 1967, qui le rendit célèbre du jour au lendemain. Le Time Magazine, dans une rubrique de 17 pages à son sujet, dit que son fameux article…

« …traitait de la question à savoir pourquoi il y a de la matière dans l’univers. »[8]

Comment Sakharov répondit-il à sa propre question ? Dit-il que Dieu en était le Créateur ? Bien sûr que non, il n’aurait pas eu droit à une seule ligne du Time Magazine. Non, rien d’aussi simple. En fait ses réponses furent calculées de manière à renforcer la cause du Big Bang contre la Bible, comme on peut se l’imaginer, compte rendu de la grande estime qu’on lui accorda de la part de l’establishment scientifique.

Toute cette question de la matière dans l’univers s’avère cruciale en regard du copernicisme et de la relativité. C’est encore sur le tapis. C’est la base de toute idée anti-biblique tout simplement parce que l’on ne peut ignorer sa présence et qu’on doit l’expliquer « scientifiquement » d’une manière qui nie l’interprétation des Écritures. Donc, Sakharov, peu importe son mérite, fait partie d’une longue liste de « scientistes » qui, pour une raison ou une autre, ont contribué à perpétuer l’idée anti-biblique que tout ce qui existe a été créé à partir d’un Big Bang, quelque 20 milliards d’années auparavant. Spécifiquement, Sakharov a, en quelque sorte, rescapé les gars du Big Bang d’un problème qu’ils avaient parce que…

« …le Big Bang aurait dû produire des masses égales de matières et d’anti-matière. »[9]

Cela ne se pouvait pas, semblerait-il, car les conditions sur lesquelles tout le monde tombe d’accord à savoir qu’elles auraient dû être présentes lors d’une situation de Big Bang n’auraient pas fonctionné, parce que :

« …alors que l’univers s’étendait et se refroidissait, il arrêterait de produire des particules, et la matière restante, ainsi que l’anti-matière, se détruiraient l’un l’autre. [Par conséquent] l’univers d’aujourd’hui devrait être vide. »[10]

Nous voyons comment cela pouvait faire exploser la théorie du Big Bang… sans jeu de mots ![11] Apparemment, cela constitua un réel problème au sein de la communauté scientifique pendant un certain temps. (Évidemment, le commun des mortels ne connait rien de ces « problèmes ». S’ils comprenaient ce qui se passe dans ce cercle intime, ils y passeraient tout le monde au goudron et à la plume…)

Mais Sakharov vint à la rescousse. Sa solution —purement mathématique, bien sûr — fut sensationnelle. Voici sa théorie : a) certaines forces opérèrent juste après le Big Bang

« …qui créèrent la matière ou l’anti-matière indépendamment l’une de l’autre, en violation de ce qui avait été … une loi stricte reconnue comme la conservation du nombre baryon… »[12]

  1. b) Sakharov déclara que les particules de matière et les particules d’anti-matière se désintègrent à un taux différent. Ces deux idées, dit-il…

« …ainsi que l’expansion et le refroidissement de l’univers se combinèrent en une chaîne de réactions complexe favorisant légèrement la production de matière … mais ce fut suffisant. Des vestiges de ce qui avait existé alors surgit toutes les formes cristallines et des étoiles étincelantes des galaxies. »[13]

Et nous avons vu que :

« …l’œuvre de Sakharov fut une prescription de la future direction de la physique … [et] à la fin des années 70, les physiciens ne firent essentiellement que retracer les calculs de Sakharov… »[14]

…et ont conclu que dans à peine 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 d’années, toute la matière dans l’univers aura disparu et il sera aussi vide qu’un seau avec un trou au milieu.

« Jusqu’ici, [du moins, comme on l’a admis en 1990] il n’y a pas de preuve expérimentale de la désintégration des protons. »[15]

Je le redis : la « science » est merveilleuse ! La matière est dieu et quiconque soutient ce dieu est un grand ponte dans le camp de la « science » ! Personne ne semble se soucier ou se contester le moindrement que des lois de la science testées, véritables et inflexibles soient violées et écartées. Personne ne semble s’inquiéter ou s’objecter un tant soit peu que les fruits d’une imagination tordue et de chiffres inintelligibles soient combinés en « calculs » qui donnent les résultats pour lesquels ils ont été inventés. Personne ne semble s’alarmer ou s’opposer une seconde lorsqu’une idée folle crée simplement le besoin d’une autre idée folle qui dure pendant quelques années et doit être suivie d’une autre idée folle provenant encore de quelque autre génie du jour. Il y a de quoi nous faire dégobiller… !

C’est une réaction que l’on trouverait compréhensible devant les mensonges sans fin diffusés par les soi-disant établissements « éducatifs » et « scientifiques » ! Tout ce qu’ils cherchent à faire, c’est d’enterrer la Vérité pour toujours ! Après tout, qui a besoin de la Vérité ?! Un mensonge n’est-il pas aussi bon que la Vérité si les gens croient que c’est la vérité ? Qui se soucie de savoir si Dieu a créé l’homme et tout le reste, y compris une Terre qui ne tourne pas ? Quelle différence cela fait-il si toutes les écoles dans le monde, de la maternelle aux programmes de doctorat, endoctrinent et initient les enfants à la religion humaniste grâce aux montants d’argent provenant de nos taxes ? Et alors, si tout cet endoctrinement fait qu’ils se moquent de la Bible et de Jésus-Christ encore plus que le faisaient leurs parents, qui s’en soucie, de toute manière ?

Vous, chers amis lecteurs. Vous vous en souciez du fait même que vous avez entrepris la lecture de ce recueil. Je m’en soucie aussi. Et je parierais que — comme le prophète Élie — si nous pouvions voir avec des yeux spirituels, nous apercevrions sept mille anges en ordre de bataille, prêts à entrer en action !

Et, surtout, Dieu S’en soucie, et Il est prêt depuis toujours. Après tout, c’est SON PLAN ! Il désire certainement mettre fin à cette partie de l’histoire pour que nous entrions enfin dans la Réalité éternelle ! Nous sommes donc en majorité, une majorité écrasante ! Mais, sans blague, une personne qui peut voir au-travers de toute cette séduction s’aperçoit que le Dieu Créateur en a plus qu’assez de ceux…

« … qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature [ou toute chose créée], en abandonnant le Créateur… » (Romains 1:25).

Adorer la matière, c’est ce que fait l’establishment humaniste mené par la « science ». Cinq minutes de réflexion suffiront à quiconque n’a pas perdu l’esprit qu’il s’avère insensé au-delà de toute parole de dire que la matière s’est créée elle-même, a explosé et s’est transformée en… vous et moi, et les arbres, et un millions d’autres choses !

« Se disant être sages ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Parfaitement approprié ! Et il est fort probable que nous tous, lecteurs comme auteurs, nous nous sommes rendus coupables d’avoir cru et même d’avoir promu tout ce mensonge non-scientifique. Folie humaniste. Nous avons tous été trompés, séduits et coincés par le Diable dans cette histoire de Terre qui tourne ! Nous tous ! Le monde entier ! Pensez-y ! Et la plupart d’entre nous avons été trompés tout aussi à fond par les foutaises évolutionnistes ! Je sais que je l’ai été. Mais Dieu m’a fourni un moyen de me dépêtrer de la toile d’araignée de Satan, comme des milliers d’autres, et Il a le moyen de faire sortir tout ceux qui, dans le monde, peuvent recevoir « l’amour de la vérité » (2 Thessaloniciens 2:10).

Pour certains d’entre vous, le processus est en cours. Mais d’abord, les membres des églises qui proclament que Jésus est leur Fondement vont devoir admettre avoir été séduits et se repentir de leurs péchés en ayant accepté le copernicisme au détriment de la Parole de Dieu. Ensuite, s’ils ont fait des compromis au sujet de la création en six jours et le Déluge du temps de Noé dans la Parole de Dieu en acceptant une forme quelconque de l’évolution mensongère, ils doivent à nouveau reconnaître qu’on les a dupés, puis se repentir et purger leurs rangs de tous ceux qui n’accueilleront pas la Vérité démontrée dans la Parole de Dieu, peu importe le sujet traité. Les chrétiens qui professent que Jésus-Christ est leur Seigneur doivent alors pleinement réaliser que c’est Lui, Jésus, qui a créé cette Terre et tout ce qui y habite, y compris l’homme et la femme, ainsi que tous les corps célestes dans l’univers. Comme nous l’avons vu, les Écritures sont parfaitement claires là-dessus (Colossiens 1:16 ; Éphésiens 3:9 ; Hébreux 1:2, 10 ; Jean 1:3, 10).

En fait, l’heure approche où les chrétiens de toutes les églises qui se disent chrétiennes doivent se repentir de leurs hérésies coperniciennes et darwinistes et adorer Jésus en tant que Créateur autant que Sauveur et Rédempteur. Il y a peu d’espoir, sinon aucun, que les hiérarchies de ces églises où se trouvent encore bon nombre de chrétiens véritables changent leur vision tordue dans ces domaines. Et ce ne sont pas les membres qui feront changer d’avis les pasteurs et les prêtres. Ceux-ci ont beaucoup à perdre et ont été si bien endoctrinés par les hautes sphères du pouvoir qu’il ne restera qu’une solution aux membres du Corps de Christ qui ont reçu l’amour de la Vérité : sortir du milieu d’elles ! Notre Seigneur Dieu travaille directement avec Ses enfants, pas avec les hiérarchies ecclésiastiques, et même Il travaille malgré ces hiérarchies. Les églises, à l’heure actuelle, sont truffées de fausses doctrines et y faire le ménage est inutile. Il faut tout simplement s’en séparer et les laisser composer ce qui sera la Grande Prostituée des temps de la fin. Lorsqu’il n’y aura plus un seul membre du Corps de Christ dans les églises du monde, que seront-elles ? Lisez attentivement le 34e chapitre du livre d’Ézéchiel où Dieu parle des pasteurs des églises modernes ! Il n’y a pas à s’y tromper. Dieu Lui-même va sortir Ses enfants du milieu de la Grande Babylone !

Toute la Parole affronte les églises et débute avec la partie qui détruit le copernicisme suivie de la partie qui détruit l’évolutionnisme. Alors, toutes les fausses doctrines tomberont l’une après l’autre comme dans un jeu de dominos. La Parole de Dieu triomphera de toutes les séductions ! Toutes ! Cela devient sérieux. Et il n’y a aucune façon d’arrêter ce processus. Tout est en place pour que Dieu ouvre le rideau sur la Première Scène du Premier Acte du Drame de la Fin des Temps qu’Il a Lui-même décrit dans l’Apocalypse et ailleurs dans la Bible. La Première Scène sera La Chute de Babylone. Toute fausse doctrine et tout mensonge séduisant qui maintient le monde en esclavage dans la main du père du mensonge sera dénoncé et détruit bibliquement par la Vérité de Dieu annoncée par Ses fidèles témoins et serviteurs.

Il y a des préliminaires à cette chute prochaine. Il y aura des calamités mondiales — presque certainement une catastrophe économique globale entraînant la panique — suivies de l’émergence du « Messie » talmudiste et nouvel âgiste que les descendants du pharisaïsme et toutes les sociétés secrètes espèrent amener le plus rapidement possible au pouvoir du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.). (Voir à cet effet, Les Protocoles des Sages de Sion.)

Il n’y a pas à douter que le N.O.M. constituera probablement la « Bête » (Apocalypse 13:2) que chevauchera la Grande Prostituée (Apocalypse 17:3) : le pouvoir ecclésiastique chevauchant le pouvoir séculier. L’Antichrist (2 Thessaloniciens 2:3-10) sera à la tête de ces pouvoirs et sera conseillé par le Faux Prophète (Apocalypse 13:11) qui poussera tout d’abord les gens à adorer la première Bête et fera que l’Antichrist détruise la Grande Prostituée.

La Bête n’est pas qu’un individu, mais tout un système impérial. L’Antichrist n’est pas la Bête, mais il est à sa tête. Le Faux Prophète n’est pas le pape, mais fera en sorte que l’on adore l’Antichrist en le faisant passer pour le Messie attendu par les kabbalistes et les nouvel-âgistes. Ensuite, le Faux Prophète fera détruire le christianisme, catholicisme en tête, pour instaurer la religion à Mystères descendant directement de l’Ancienne Babylone. La Bible est dans son chemin et il doit l’écarter.

Peut-on connaître ces personnages actuellement ? Ils sont peut-être déjà connus de quelques-uns qui travaillent à l’instauration du N.O.M. et du Plan nouvel-âgiste visant à « secourir » le village global et à sceller la condamnation de la Bible en tant que LA source de la Vérité. Les leaders séduits de ce monde suivront cet « homme de perdition » qui promet un nouveau système mondial unique et utopique. Ces promesses ne sont qu’une couverture pour cacher la stratégie ambitionnant de mettre la Bible sur un même pied d’égalité que les autres écrits « religieux » et ériger une religion « humaniste » mondiale où Jésus ne serait plus qualifié que de bon homme et non de Fils de Dieu incarné, Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Nous voyons, dans Apocalypse 17:10-17, que le règne du Nouvel Ordre Mondial ne durera que « un peu de temps » avant que l’Agneau de Dieu ne vienne y mettre un terme abrupt. Ce règne de trois ans et demi prend fin à l’arrivée en gloire de Jésus-Christ et de Ses armées, les Élus ressuscités, ce qui débutera la Colère de Dieu.

Les membres du Corps de Christ qui connaissent leur Bible peuvent, par ces références, reconstituer la preuve de la supercherie universelle exposée dans ce livre et commencer à voir où cela va nous mener. Et ils peuvent également commencer à constater que l’heure de cette guerre contre l’Agneau et Sa Parole, qui atteindra son apogée lors de la Chute de Babylone, ainsi que tout ce qui va suivre sera à notre porte lorsqu’ils commenceront à être jugés selon leur acceptation ou leur rejet du copernicisme et de l’évolutionnisme.

Ce sera le dernier chapitre de l’histoire des gouvernements de Satan. Donc, pour y être bien préparés, creusons davantage la question du MONSTRUEUX mensonge du copernicisme pour savoir réellement ce qu’il en est. Examinons une couple de supposées preuves en faveur de l’héliocentrisme et passons-les à la logique stricte.

__________________________________________________________________

[1] Robert F. Moss, La superstar scientifique, Saturday Review, août 1980, p. 25.

[2] Dennis Meredith, La correction “cosmique” et le souhait d’une vie extra-terrestre de Carl Sagan, Science Digest, juin 1979, p. 35.

[3] Ibidem, p. 36.

[4] Ibidem.

[5] Richard A. Baer, jr., Ils enseignent la religion dans les écoles, Christianity Today, 17 février 1984, p. 12.

[6] Bidem, p. 13.

[7] Dennis Overbye, Pourquoi est-il au rang des scientistes de classe mondiale, Time, 14 mai 1990, p. 64.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 65.

[11] Des rapports se multiplient chaque jours déclarant que la théorie du Big Bang est morte. Il y a même un livre lancé par Eric Lerner intitulé Il n’y a jamais eu de Big Bang. Le Service des Nouvelles Garnett annonce « Le Big Bang est tombé en poussière ». Les mensonges que la fausse science a perpétués sur le monde ont fait leur temps. La Vérité de la Parole de Dieu avance de tous les côtés !

[12] Ibidem.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 64.

[15] Ibidem, p. 65.




D.143 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-5

 

TROISIÈME PARTIE

(5)

Albert Einstein

(1879-1955)

Plus que tout autre, cet homme a sauvé le copernicisme… Pour cet exploit, le monde en a fait une superstar. Lorsque le non-sens de sa « relativité » sera étalé, la Vérité biblique d’une Terre immobile (ce qui est prouvé par toutes les preuves scientifiques !) ébranlera les fondements de la connaissance.

Dans la période précédant le moment où Einstein surgit avec sa Théorie Spéciale de la Relativité, le physicien Poincaré utilisait, comme nous l’avons vu, l’expression « principe de relativité » sans réaliser tout le potentiel qu’y avait vu Einstein.

Mais en son sein, il y avait un moyen de sortir du piège cruel de Michelson-Morley. Il y avait un mot (« relativité ») rempli de possibilités ; un mot tellement élastique et caoutchouteux, si malléable et bourbeux, tellement glissant et lisse, intangible et creux, qu’il était parfait pour le travail à faire.

Poincaré flairait quelque chose qui pouvait sauver la vie de l’héliocentrisme, mais il n’allait nulle part. Cependant, quelqu’un d’autre avait ruminé ce concept merveilleusement riche de « relativité » dans ses méninges et était sur le point de, non seulement s’en servir pour sauver l’héliocentrisme, mais, en même temps, projeter la vérité dans les ténèbres de l’outre espace ! Je vous présente le seul et unique Albert Einstein !

Né en 1879, cet homme était destiné à être louangé comme une des plus grandes intelligences de tous les temps. Il présenta des documents qui le mirent sur la route de la célébrité, en 1905. Ils s’intitulaient De l’électromécanique des corps mobiles que l’on reconnut par la suite en tant qu’Une théorie spéciale de la relativité. Un peu plus d’une décennie plus tard, il publia sa Théorie générale de la relativité.

Réduit à son plus bas dénominateur commun, l’unique conclusion exigée par la Théorie de la Relativité, c’est qu’il n’y a pas de vérité absolue. Tout est relatif à ceci, cela ou autre chose. Appliquée à la question de savoir si la Terre est oui ou non en mouvement, la Théorie dit simplement que tout mouvement est relatif à l’endroit où nous sommes lorsque nous observons quelque chose en mouvement et qu’il n’y a rien qui soit immobile dans l’univers entier. Nous n’avons pu trouver où Einstein aurait ouvertement traité de la question à savoir si la Terre est en mouvement ou non. Il débute en assumant d’avance qu’elle tourne (comme tout le reste dans l’univers) et, du moins selon toute apparence, n’y accorda aucune attention.

En d’autres termes, il était « impensable » que l’establishment scientifique revienne au géocentrisme de Brahe ; donc Einstein, ainsi que le reste de l’ordre scientifique établi, refusa d’aborder ce sujet directement et ouvertement. Ils partirent tous ensemble sur la prémisse que la Terre tourne. Cette prémisse était une vérité tacite absolue pour Einstein et ses disciples.

Or, lors même qu’il esquivait toute confrontation sur ce sujet, tout ce qu’il effectua fut fait sous le couvert d’un écran de fumée mathématique destiné, en fait, à dissimuler qu’il traitait réellement de ce point central, et entendu de manière à mettre un frein à quiconque proclamerait que la Terre est immobile.

Et les encyclopédistes, faisant partie du « côté obscur » de la guerre de dissimulation, ne se gênèrent pas pour tenter de manipuler l’opinion des gens. Voici, pris dans l’Encyclopédie Grolier, l’encens que l’on fait brûler à l’autel de la Relativité :

« La théorie de la relativité est intéressante en outre à deux autres points de vue : elle tend à unifier des concepts autrefois étrangers : électromagnétisme et gravitation ; elle a redonné à la science spéculative une nouvelle vigueur, alors qu’on croyait ne plus devoir se fier qu’aux résultats expérimentaux… »[1]

Cela revient à dire que, par les mathématiques virtuelles (2+2=5), on peut enfin sortir de l’ornière des faits expérimentaux qui ne mentent point (2+2=4) et se débarrasser de l’embarras qu’ils nous causaient, pouvant ainsi avancer les pires élucubrations et nier les Écritures en toute tranquillité. Et, sans le dire ouvertement, on avoue par la suite :

« …Il est impossible de se représenter graphiquement et visuellement la plupart des concepts de la théorie de la relativité ; seul le langage mathématique peut les exprimer. Avec Einstein, la science a atteint à un degré d’abstraction qui la rapproche de plus en plus du domaine de la philosophie… »[2]

La relativité est donc beaucoup plus une philosophie qu’un fait scientifique ! Et pour cause ! Comme on le voit, Einstein a réussi son artifice. Mais il est fort important de reconnaître immédiatement que le concept de relativité du Sieur Einstein ne prouve en aucune façon que la Terre tourne. En fait, il admet implicitement que les deux systèmes — l’héliocentrisme et le géocentrisme — pourraient expliquer les jours et les nuits, les saisons, etc.. Mais, dit du même souffle le relativiste, rien n’est en repos dans l’univers, et donc, parler d’une Terre immobile ne rime à rien.

C’est du double-propos sournois, car il vient à peine de dire que lorsque des corps célestes sont en mouvement, personne ne peut dire si l’un d’entre eux est immobile ou non par rapport à un autre ; donc, puisque l’on ne peut dire si quelque chose est immobile, on ne peut le considérer immobile, mais en mouvement. Par conséquent, la Terre doit tourner, disent-ils ! C’est plus que sournois… c’est de la très mauvaise foi !

Néanmoins, c’est le thème non-écrit, mais toujours présent dans la Théorie de la Relativité d’Einstein. En bout de ligne, il dit qu’il n’existe pas de Vérité dans toute cette affaire de détermination du mouvement des corps célestes. (On n’a pas à réfléchir beaucoup pour voir comment cette idée de « non-vrai/faux » s’est aggravée en « non-noir/blanc », « non-bien/mal » dans d’autres domaines, comportementaux comme scientifiques, artistiques ou autres, à mesure que s’est écoulé notre siècle. Tous les jugements de valeurs sont relatifs aux yeux de celui qui les perçoit, nous dit-on. En fait, on pourrait bien l’appeler le Siècle relativiste où la Vérité absolue a été chassée de la pensée de l’homme et remplacée par l’idée que toute vérité est variable et relative.)

Bien évidemment, le contraste est frappant entre la pensée relativiste et les absolus de la Bible. De même, l’apparente victoire de la pensée relativiste sur les absolus de la Bible semble réglée. Mais pas tout à fait. Loin de là, même. Le relativisme n’est rien de plus qu’une supercherie très adroite. Lisez par vous-mêmes cette déclaration qu’un relativiste doit faire : « Il n’existe pas de vérité absolue. » Cette déclaration est-elle vraie ? Si oui, alors elle doit être fausse ! Est-ce que la déclaration est fausse ? Alors, il doit y avoir une Vérité absolue ! D’un sens ou de l’autre, il y a une Vérité absolue dont on ne peut pas se débarrasser.

Peu importe si l’idée que tout est relatif a été ancrée dans la tête des gens depuis près d’un siècle. Cela ne la rend pas véridique. Elle est stupide. Elle ne peut pas être vraie. Et elle n’est donc pas vraie. Vous pouvez voir qu’elle est fausse. Tout le monde peut voir qu’elle est fausse. Réfléchissez à la question que voici : dans quel sens va la lune, vers l’est ou vers l’ouest ?

« C’est relatif, » me direz-vous, « à savoir si la Terre tourne ou non ? »

Oh non ! Ce n’est pas relatif à cela ou à rien d’autre ! La lune ne va pas dans un sens ou dans l’autre selon le choix. Elle ne va pas dans les deux sens et n’est pas immobile. Chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit, la lune va dans le sens d’une de ces directions et pas dans l’autre. C’est une Vérité absolue. La lune se déplace dans un certain sens et aucune théorisation relativiste ne changera rien au fait.

Ce n’est pas parce que l’homme persiste à dire que la lune se déplace vers l’est à cause du système de l’héliocentrisme qu’elle se déplace effectivement dans ce sens, comme vous pouvez le voir. De la même manière, il est tout aussi sûr qu’insister à dire qu’elle se déplace vers l’ouest parce qu’il doit en être ainsi dans le système géocentrique n’est pas garant qu’elle se déplace vraiment vers l’ouest. La « science » héliocentrique exige qu’elle se déplace vers l’est. La science de la Bible exige qu’elle se déplace vers l’ouest.

Les deux ne peuvent pas être vrais. L’un a tort, l’autre a raison. L’un est vrai, l’autre est faux. L’un est Vérité absolue, l’autre est mensonge absolu. N’importe qui peut s’en rendre compte.

Le génie d’Einstein (mauvais génie serait plus juste) repose sur le fait qu’il puisse prendre une vérité indéniable comme « la lune va dans une direction et cette seule direction » et persuader le monde entier qu’on ne peut tout simplement pas savoir quelle direction est la bonne parce qu’elle peut aller d’un sens ou l’autre, le tout dépendant d’où l’observateur en constate le cheminement.

FAUX ! Elle ne peut pas aller vers l’ouest si la Terre tourne sur un axe à tous les 24 heures, comme on nous l’enseigne. Du reste, elle ne peut pas aller vers l’est si la Terre est immobile. Dans l’un des deux cas, la lune ne pourrait pas être aux endroits où elle est réellement de façon précise à chaque heure de chaque jour.

Donc, il doit y avoir une prémisse fondamentale sur laquelle se fondent, non seulement la direction de la lune, mais aussi la direction de tout ce qui est dans l’univers. Et cette prémisse, c’est une Terre qui tourne et qui orbite.

Einstein démarre ici. Il a construit son mythe de Relativisme sur la seule chose sur laquelle il pouvait la mettre, c’est-à-dire, une Terre qui tourne. Pas de Terre qui tourne, pas de Relativisme. Point. Si la Terre demeure fixe, immobile, sans mouvement, tel que l’exigent l’expérience de Michelson-Morley et toutes les preuves d’observation (sans mentionner la Bible), alors il ne peut y avoir de relativisme concernant le mouvement des corps célestes, parce que la Terre elle-même est la plate-forme en repos par laquelle peut être mesuré simplement et facilement tout le reste !

Ainsi donc, nous devons être parfaitement conscient que la Théorie de la Relativité d’Einstein n’a plus aucune signification si la Terre est stationnaire. Plus aucune !

Ceci étant vu, il devient bien clair que le dessein et l’attaque cachés, mais bien réels, de l’œuvre de la vie d’Einstein était d’avancer une théorie qui forcerait à croire qu’il n’y a pas et ne peut y avoir quoi que ce soit en repos dans l’univers. Si ce concept pouvait triompher dans l’establishment scientifique, alors il pourrait s’infiltrer dans le système d’éducation en tant que connaissance « scientifique ». Ainsi, le concept d’une Terre qui tourne ne serait plus jamais menacé, mais deviendrait plutôt un fait « scientifique » sans que plus personne ne se pose la question à savoir si elle tourne ou pas. Si rien ne peut être immobile dans l’univers, alors la Terre doit se mouvoir. Implanter ce concept comme moyen d’empêcher pour toujours un retour au géocentrisme de la Bible, voilà l’unique et véritable but de la Théorie de la Relativité.

Tous les ronds de jambe fantaisistes comprenant les mathématiques inventées, de nouvelles définitions du temps et de l’espace, des absolus arbitraires, des calculs mentaux au lieu d’expériences réelles, etc., ne furent qu’un écran de fumée « intellectuel » destiné à dérouter quiconque pourrait remarquer le seul et véritable dessein qui, répétons-le, était d’ensevelir pour toujours la Terre immobile enseignée dans la Bible. En tant que chef ingénieur sur le chantier de ce chef-d’œuvre de séduction (qui est devenu la pierre angulaire de la « sagesse » du 20e siècle) Einstein mérite pleinement le titre de « génie » si souvent accolé à son nom.

Or, évidemment, la seule façon pour Einstein, ou quiconque, de réussir à refiler au monde cet argument littéralement sans fondement de la Relativité, était que le monde — du moins le monde intellectuel et académique qui détermine pour les masses ce que doit être la connaissance — veuille adopter tout argument pouvant leur éviter de revenir à la position géocentrique (et donc, biblique) où menaçaient de les conduire le résultat des expériences de Michelson-Morley et autres. Il n’y eut aucun problème pour cette faction. En effet, le monde académique cherchait désespérément une façon quelconque de sauver la face dans ce dilemme. La réaction des scientistes aux résultats de l’expérience de Michelson-Morley, dans les dix-huit ans précédant la sortie de la théorie d’Einstein en 1905, était de s’opposer uniformément à permettre un retour à l’explication géocentrique, comme nous l’avons vu antérieurement. Admettre son erreur de la sorte était « impensable »…

Ainsi donc, la majorité de la communauté scientifique de cette époque était pressée de ressortir avec une idée, n’importe laquelle qui puisse sauver les apparences de l’héliocentrisme et leur épargner le massacre de leur vache sacrée. Et, juste au bon moment, Super-Einstein fut là pour délivrer les académiciens de l’impasse mortelle dans laquelle ils s’étaient engagés. Le fait qu’Albert « emprunta » les idées des autres, qu’elles n’avaient pas de sens et que personne ne déclara les comprendre, ne faisait pas de différence. Elles étaient suffisamment confuses, abstruses et étouffées dans les champignons et les oignons mathématiques et scientifiques pour atteindre le but souhaité, comme les décorations mathématiques inintelligibles de Newton l’avaient fait 200 ans plus tôt.

Einstein allait faire parfaitement l’affaire. C’était l’homme de l’heure ; le héros et le sauveur de la fausse science anti-biblique. L’adulation, presque l’adoration, qu’il reçut de la part de l’establishment anti-biblique mondial durant toute sa vie colle bien à quelqu’un qui a secouru cet ordre établi de l’ignominie d’un total embarras et de la défaite complète qu’il aurait soufferts s’il avait eu à admettre que l’héliocentrisme, et tout ce qui avait été si laborieusement érigé par-dessus, étaient faux et que la Bible était vraie.

Concernant l’originalité d’Einstein, N. M. Gwynne présente la révélation plutôt renversante des diverses sources de ses théories. Après avoir clairement pénétré en profondeur dans le phénomène Einstein, Gwynne dit :

« …On peut fouiller les travaux d’Einstein du début à la fin sans qu’il n’y soit révélé la moindre pensée originale d’une réelle importance.

» La courbe de l’espace, par exemple, fut imaginée par Riemann (…) le nouveau concept de l’espace-temps par Minkowski ; la doctrine qui dit que les objets se contractent en proportion de la vitesse dans laquelle ils se déplacent, par FitzGerald ; et l’idée que la vitesse de la lumière dans le vide est constante… par Lorentz.

» A-t-il été le premier à prétendre l’impossibilité de détecter la vélocité de la Terre au travers de l’éther ? Non, cela a été fait par J. H. Poincaré et H. A. Lorentz (…) Est-ce Einstein qui trouva le nom au Principe de la Relativité ? Non, c’est Poincaré (…) Einstein ne fut pas le premier à soutenir qu’une horloge en mouvement ralentit. Ce fut fait par Sir Joseph Larmor (…) Einstein ne fut pas le premier à postuler que la matière est froissée dans la courbe de l’espace. Le Professeur W. K. Clifford avança cette notion bizarre en 1870, neuf ans avant la naissance d’Einstein… »[3]

Et à propos de E=Mc2 ?

« Est-ce qu’Einstein a inventé la célèbre équation E=Mc2 qui est pratiquement devenue synonyme de son nom ? Non, même pas ! En 1881, J. J. Thompson avait produit la formule E=3/4Mc2… »[4]

En somme, les recherches et la documentation de Gwynne l’ont convaincu que…

« …l’œuvre de sa vie était un mélange hétéroclite de plagiats qui était, au total, non seulement d’une logique défectueuse, mais aussi tellement remplies d’erreurs internes que, comme le démontrent Lynch, Dingle et Essen, tout mathématicien assez brave pour la fouiller avec un sens critique ne peut manquer de la démanteler. Et laissez-moi répéter qu’il plagia. Non seulement ses contributions à la pensée furent-elles enfantines, mais, en plus, elles ne furent même pas les siennes. »[5]

Lors d’une conférence à Zurich où des étudiants lui avaient demandé de leur parler de la théorie des quanta, un autre recherchiste rapporte qu’Einstein répondit :

« Ce n’est pas à moi de vous entretenir de la théorie des quanta ; bien que j’aie essayé très fort, je n’ai jamais réussi à la très bien comprendre. »[6]

En réplique à son ami Janos Plesch qui suggérait qu’il semblait y avoir une relation entre les mathématiques et la fiction, Einstein dit :

« Il peut y avoir un peu de vrai dans ce que tu dis. Lorsque je m’examine, ainsi que mes méthodes de pensée, j’en viens à la conclusion que le don de la fantaisie a davantage signifié pour moi que mon talent pour l’absorption de la connaissance positive. »[7]

Enfin… Comme nous l’avons vu plus tôt, que les « théories » d’Einstein aient été à la base de ses fantaisies idiotes plagiées ou non des autres, il n’en demeure pas moins que notre homme s’attira tout le crédit pour avoir secouru l’establishment scientifique de l’horrifiante perspective d’être forcé de désavouer l’héliocentrisme et de retourner au géocentrisme.

Sa célébrité s’accrut étonnement peu après sa seconde publication, Une théorie de la relativité générale, qui sortit en 1915-16. (Une théorie spéciale de la relativité de 1905 fut tranquillement abandonnée quand la Théorie générale fut publiée, mais personne ne sembla le remarquer ou s’en formaliser.)

La célébrité d’Einstein pris son envol spécialement après 1919, sous l’étreinte dorée de la Société Royale. Il fut fêté et couvert d’honneurs partout dans le monde ! (Réfléchissez ! Pourquoi un mathématicien présentant une hypothèse loufoque appelée Relativité fut-il traité en héros international ?) La Maison Blanche l’accueillit. L’empereur japonais le reçut suite à une tumultueuse réception publique. Et il continua à être une superstar de classe mondiale jusqu’à sa mort en 1955. Son décès provoqua un deuil sur tout le globe. Une grande statue (Illustration V), trois fois la grandeur nature, fut fabriquée au coût de 1,6 million de dollars et placée tout près du Lincoln Memorial. Dans la mesure où peut aller la reconnaissance, Einstein fut élevé sur un piédestal (qu’il occupe toujours) qui l’exalte comme une des plus grandes intelligences du monde.

Illustration V

Avant son décès, on offrit le leadership d’Israël à Einstein — sioniste passionné — (mais il déclina l’offre). Et c’est ici que repose le succès d’Einstein — merveilleusement dissimulé et fardé aux yeux d’un monde qui a été soigneusement soumis à un lavage de cerveau pour ne voir que la Relativité où la pure Vérité pousse des cris étouffés et proteste pour être reconnue au-travers d’un bâillon étroit. Juif sioniste (ashkénaze, bien sûr, i.e., personne non-sémite) Einstein était un ennemi implacable de Jésus-Christ et de son Nouveau Testament. Ce Nouveau Testament dit clairement…

« Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils » (1 Jean 2:22).

« Connaissez à cette marque l’Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse que Jésus-Christ est venu en chair, est de Dieu. 3Et tout esprit qui ne confesse point que Jésus-Christ est venu en chair, n’est point de Dieu ; or tel est l’esprit de l’Antechrist… » (1 Jean 4:2-3).

Les sionistes comme Einstein nient avec emphase et de manière véhémente que Jésus fut le Fils incarné de Dieu. Ipso facto, si le Nouveau Testament de Jésus-Christ est la Parole de Dieu et ainsi la Vérité absolue elle-même, alors Einstein a été un menteur et un antichrist (et, évidemment, un candidat émérite à l’élévation au statut de superstar par celui qui a le permis temporaire d’être le dieu de ce monde, et dont la tâche et le but sont d’ériger son royaume de mensonges au-dessus du Royaume de Dieu qui est Vérité en toutes choses, même sur Satan lui-même — jusqu’à ce que son permis expire ! —, l’ennemi suprême et le « père du mensonge » [Jean 8:44]).

Il n’y a rien de « relatif » à cette affirmation. Jésus est ce qu’Il proclama être (et la Bible est vraie) ou Il était menteur et fou, et la Bible est fausse. C’est l’un ou l’autre. Et l’un ou l’autre ne peut être changé et est la Vérité. En d’autres mots, si la Bible est la Parole de Dieu et que Jésus est le Fils de Dieu, alors c’est la vérité et il n’y a rien à y changer. Espérer que ce soit la vérité, ou croire que c’est la vérité, ne la rendront pas vraie si ce n’est pas la vérité. Au contraire, si la Bible est la Parole de Dieu et que Jésus est ce que dit de Lui la Bible, il n’y a pas le moindre mensonge qui puisse altérer ce fait.

Non seulement le fait concernant Jésus ne peut-il pas être altéré, si c’est vraiment un fait, mais l’accomplissement de Son Nouveau Testament ne peut pas être celé non plus, ni Son sang. Ce Nouveau Testament dit formellement que Satan et son empire seront entièrement détruits et Satan lui-même sera chassé pour l’éternité (Apocalypse 20:10). Il dit clairement que Jésus va revenir sur les nuées pour rassembler Ses Élus (1 Thessaloniciens 4:17) ; que cette Terre sera totalement nettoyée et remplacée par une nouvelle (2 Pierre 3:10-13 ; Apocalypse 20:11, 21:1) ; et que la nouvelle Jérusalem descendra des cieux pour que les hommes demeurent avec Dieu le Père et Son Fils, pour toujours, et le trône de Dieu sera disposé exactement là où l’ancienne Terre immobile se tient sur le néant, au centre de l’univers (Apocalypse 21:2). Où Dieu le Père et le Seigneur Jésus auraient-Ils leur trône si ce n’est au Centre de l’Univers ?

Donc, quel choix est le bon ? La Bible ou tous ceux qui disent que la Bible est erronée ? Voilà l’alternative, et il n’y a pas d’autre choix à ce sujet ou tout autre sujet en la matière. Einstein façonna son choix avec un concept loufoque que l’establishment scientifique adopta avec des hosannas et imposa au reste du monde. Il est temps de « désimposer » tout ça…

L’UNIVERS DU MAÎTRE : ainsi le déclarait le magazine Times en lettres rouges à côté d’un gros dessin coloré d’un Einstein à grosse crinière (Illustration VI) qui pointait du doigt « son » univers avec son Continuum Espace-Temps, son Univers en Expansion, E=Mc2 , etc. Notons sous l’en-tête le résumé suivant :

« Dans le monde éblouissant de la relativité, le temps et l’espace ordinaires sont remplacés par des effets déconcertants en désaccord avec le bon sens. »[8]

Illustration VI

(Rappelez-vous de cette déclaration par trop vraie : « …en désaccord avec le bon sens » !).

Ce tribut particulier avait été rendu à Einstein à l’occasion du centenaire de sa date de naissance. Il s’étendait sur neuf pages. Une multitude d’autres articles de magazines, de journaux, de reportages radiophoniques ou télévisés chantèrent des hosannas à Saint Albert lors de cet anniversaire. Et, évidemment, cette attitude d’adoration ne s’est pas limitée au centenaire de la naissance d’Einstein ; elle a prévalu tout au long du 20e siècle et en ce début de 21e. En fait, il est maintenu sur un piédestal depuis 1905 et, après 1919, rappelons qu’il fut réellement érigé au rang des superstars, qu’on le louangea régulièrement dans la presse et qu’il fut recherché des présidents et des royautés autour du monde jusqu’à son décès en 1955. La statue montrée par l’Illustration V est en bronze et mesure vingt pieds de haut [6,15 m] ; elle se trouve à Washington. Selon les standards de l’honneur offert aux gens pour leurs accomplissements, Albert Einstein a dû être l’une des personnes les plus reconnues de toute l’histoire.

Juste parce qu’il a sauvé l’héliocentrisme du défi d’être étalé comme une monstrueuse fraude.

Son concept de relativisme peut se résumer par cette déclaration : « La vérité est ce que vous en faites, en tant qu’individu. » Ce concept, qui contrôle toutes les « disciplines d’apprentissage », les concepts de vie, etc., aujourd’hui, est virtuellement opposé à la Parole de Dieu qui n’est qu’absolus du début à la fin. La Vérité et le mensonge se définissent par cette Parole. Ils ne sont pas relatifs à quoi que ce soit. Mais la tâche que Satan confia à Einstein fut qu’il appert impossible, voire même stupide pour l’humanité de s’en tenir à la Bible en matière de vérités absolues sur toutes choses.

Revenons un peu en arrière et réexaminons la tournure des événements afin de mieux percevoir ce plan diabolique et son modus operandi. Car c’est un mode opératoire que l’on retrouve dans un nombre faramineux de fausses doctrines et de fausses connaissances dans tous les domaines, spécialement religieux, social et scientifique. Le procédé est subtil et rusé, mais si on lui porte attention, jamais il n’arrive à cacher entièrement la vérité.

Amplifions notre examen de l’idée que l’expérience de Michelson-Morley fit en sorte que l’establishment scientifique de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle ne savait plus où donner de la tête. Ce faisant, nous allons mieux apprécier comment la Théorie spéciale de la Relativité d’Einstein (et, plus tard, la Théorie générale de la Relativité) vinrent à la rescousse. Dans un livre intitulé Einstein, nous lisons :

« Les fâcheux résultats de l’expérience Michelson-Morley de 1887 filtrèrent dans l’ambiance scientifique des années 1880… »[9]

Une couple de pages plus loin, nous lisons ce fait primordial sur le même propos :

« Le problème auquel la science faisait face après l’expérience de Michelson-Morley était considérable. Car il ne semblait y avoir que trois choix : LE PREMIER ÉTAIT QUE LA TERRE EST IMMOBILE, CE QUI SIGNIFIAIT SABORDER TOUTE LA THÉORIE COPERNICIENNE, CE QUI S’AVÉRAIT IMPENSABLE… »[10]

La science n’est-elle pas merveilleuse ? Une expérience très sophistiquée, sans erreur commise, démontre d’abord et avant tout que la Terre est immobile. Mais cette conclusion, qui est soutenue par chacun des éléments de l’information disponible en existence, est tout simplement « impensable ». Après tout, la communauté scientifique était déjà vendue au copernicisme depuis 200 ans, en remontant jusqu’à Newton (et même cent ans auparavant, dans bien des cas). Que les expériences objectives soient couvertes ! On doit échapper à la conclusion inéluctable ! On doit l’ignorer ! En effet, il était IMPENSABLE de faire marche arrière !

Notez bien : si c’était impensable, il y a plus de cent ans — avant qu’il n’y ait d’auto ou d’avion, de télévision, d’ordinateurs, de satellites et un monde endoctriné dans l’évolutionnisme, cet autre mythe pseudo-scientifique qu’il serait aussi « impensable » de défier — que pensez-vous qu’il faudrait pour forcer l’establishment scientifique à admettre aujourd’hui, au début du 21e siècle, qu’il n’y a aucune preuve du copernicisme (ou de l’évolutionnisme) ?!

Nous croyons qu’il faudrait un « Acte de Dieu ». Heureusement, Dieu couvre précisément cette situation dans l’Apocalypse ! (Apocalypse 18:7-8). De toute manière, puisque l’évidente conclusion était impensable et devait être rejetée, le second choix fut faiblement déterré :

« Le deuxième choix était que la Terre charriait l’éther avec elle dans son passage au-travers de l’espace, une possibilité qui avait déjà été aménagée à la satisfaction de la communauté scientifique par un certain nombre d’expériences, notamment celles de l’astronome anglais James Bradley. »[11]

Il est sûr et certain que les coperniciens devaient retenir les deux idées que la Terre se déplace dans l’espace à une grande vitesse et que « l’enveloppe » atmosphérique qui l’enrobe se déplaçait avec elle à la même vitesse sans être perturbée, n’est-ce pas ? Nous étudierons cela plus en profondeur plus loin. Quel était le troisième choix ? Le voici :

« La troisième solution était tout simplement que l’éther n’existait pas, ce qui, pour beaucoup de scientistes du 19e siècle, équivalait à envoyer à la casse les visions courantes concernant la lumière, l’électricité et le magnétisme, et tout recommencer. »[12]

Cette troisième solution semblait irréalisable (sauf pour Einstein qui sauta dessus comme un poulet sur un insecte). Pour le reste des scientistes, cette troisième solution était aussi impensable. Ils continuèrent à se gratter la tête, se tousser dans les mains et dire des choses du genre :

« La seule autre explication doit se trouver dans quelque particularité pervertie du monde physique que n’ont pas encore suspecté les scientistes… »[13]

Ces gars-là désespéraient… Et comment ! En 1904, le fameux scientiste français J. H. Poincaré donna un discours qui traitait de…

« …la CRISE contemporaine en physique… »[14]

Son discours…

« …fut un indicatif du malaise scientifique et de la méfiance philosophique créées, non seulement par l’expérience de Michelson-Morley, mais aussi par d’autres menées durant les deux décennies précédentes, à Cambridge et à Berlin, à Leiden et à Paris. »[15]

L’huile était jetée sur le feu pendant que le pompier volontaire se mettait au travail :

« Pendant que FitzGerald, Lorentz et Poincaré essayaient de rescaper la physique du cul-de-sac dans lequel elle semblait avoir été conduite par l’expérience de Michelson-Morley, Einstein s’émerveillait (…) des implications révolutionnaires de la théorie électromagnétique de Maxwell fondée sur les champs continus. »[16]

On pourrait donner d’autres exemples, mais le fait que l’expérience de Michelson-Morley (et toutes les autres !) donnait l’épouvante aux départements de physique de l’establishment scientifique tout autour du monde, au tournant du 20e siècle, est assez clair, je crois.

Tout aussi douloureusement clair le fait que les conclusions incontestables d’une Terre immobile n’allaient même pas être prises en considération par le leadership scientifique de l’époque. Au lieu de cela, toute porte de sortie, si perverse, illogique et tout bonnement folle soit-elle, faisait l’objet de leurs recherches les plus frénétiques durant les années précédant 1905.

Mais vous parlez d’un bon synchronisme ! Voilà qu’Albert Einstein, un inconnu juif-allemand transplanté, sioniste, travaillant dans un obscur bureau de brevets à Berne, en Suisse, vit son article, De l’électromagnétique du mouvement des corps, publié dans un journal scientifique allemand. Les idées de son papier furent bientôt reconnues comme La théorie spéciale de la relativité d’Einstein.

Des multiples douzaines de commentaires factuels qui ont été rédigés à propos de cette publication vraiment capitale, le plus remarquable en relation au sujet traité ici est tout simplement celui-ci : « La théorie spéciale de la relativité d’Einstein ne prouva d’aucune manière, et en aucune forme, que la Terre se déplace. » Tel que déjà mentionné, ce qu’elle a fait, c’est d’enlever l’hameçon (l’expérience de Michelson-Morley) pris dans la bouche de l’establishment scientifique et, en prime, fournir apparemment une manière d’échapper à tout jamais au spectre de la peur d’être attrapé par tout futur hameçon géocentrique que ce soit. Enfin libres ! Merci à Albert, nous sommes enfin libres ! Ainsi chantait le chœur de l’establishment d’une seule voix remplie de trémolos.

Peu importe si…

« …sous un examen logique et minutieux, la Théorie Spéciale de la Relativité ne s’avère rien de plus qu’une bancale hypothèse pauvrement soutenue. Car, si l’on ne peut trouver de champs de glace au Sahara, cette observation ne peut prouver qu’il n’y a de champs de glace nulle part. Si, ici sur Terre, la vélocité de la lumière est la même pour tous les observateurs, ce fait ne confirme pourtant pas que c’est (…) tout aussi valide pour des observateurs sur la lune dont le mouvement est relatif à nous… »[17]

Peu importe si…

« …personne n’a jamais prouvé que la Terre tourne et, delà, demeure la possibilité que le phénomène de notre déplacement dans l’espace, qu’Einstein considère comme étant “déjà prouvé”, ne puisse pas exister, après tout… »[18]

Peu importe si Einstein a tout simplement aboli, avec des « expérimentations mentales » et des « mathématiques » (jamais avec de réelles preuves), les absolus qui lui barraient le chemin et leur substitua ses propres absolus qui (comme vu ci-haut et ailleurs) ne sont supportés par aucune preuve ni logique. Par conséquent :

« Dans le nouveau monde relativiste d’Einstein, le temps et l’espace sont tous deux également inconstants et dépendent du mouvement relatif des observateurs. Le seul absolu qui reste, c’est la vitesse de la lumière. »[19]

N’est-ce pas mignon ? L’unique vérité absolue qui reste dans tout l’univers, c’est la seule dont Saint Albert a besoin pour détruire toutes les autres !

Peu importe si…

« …le Dieu d’Einstein n’était pas le même Dieu que la plupart des autres hommes… »[20]

Ou que ses croyances…

« …ressemblaient à une variété d’agnosticisme simple… »[21]

Ou qu’il était…

« …un homme qui ne croyait pas à une vie après la mort… »[22]

Peu importe que de telles croyances nient, non seulement sa propre religion juive, mais toutes les autres religions, incluant tout spécialement le christianisme. Et, ce faisant, peu importe si cela en fit un ennemi implacable de la Bible et ce qu’elle dit au sujet du mouvement des corps célestes, ainsi que de l’origine et de la nature de l’univers.

Peu importe tout cela, en ce qui a trait à la Théorie Spéciale de la Relativité, pourvu qu’elle sauve la face. Et dire que c’est ce genre d’homme qui s’est présenté pour nous expliquer l’univers — sans Créateur ! Et que le monde entier s’est aplati d’adoration pour ses équations frauduleuses ! Continuons maintenant avec la merveilleuse bombe de totale abstraction, sans fondement scientifique, indescriptible de bouffonnerie einsteinienne, de 1915-1916, c’est-à-dire, la Théorie Générale de la Relativité.

Laissez-moi vous dire une bonne chose. Cette farce monumentale fut loin de donner le coup de grâce à la capacité que Dieu a donnée à l’humanité de pouvoir réfléchir et raisonner de façon logique et de persister à croire que les faits connus ont préséance sur les hypothèses non-vérifiées qui les contredisent. Cette manière de penser relativiste lancée par Einstein préparait le chemin pour le remplacement de la raison et la glorification de la déraison, la préférence de mensonges évidents au lieu de vérités évidentes, et l’exaltation du mal à la place du bien. (Ooooh, il bique zelui-lâ, n’ez-pâs ? Le Pien, le Mal… ! Mon kars, ne zavez-fous pâs geuh dou est reladive, gu’il n’y a blus t’apzolus ???)

Peu importe également que la Théorie Spéciale de la Relativité fut doucement écartée quelques onze ans plus tard pour faire place à la Théorie Générale. Et peu importe si la nouvelle théorie…

« …s’avérait difficile, ses mathématiques n’étant déchiffrables que par une petite poignée de prêtres scientifiques. »[23]

Interrogé à savoir s’il était vrai que trois personnes seulement comprenaient le sujet, (le scientiste) Eddington riposta en farce :

« Je réfléchis à savoir qui pourrait bien être la troisième personne. »[24]

(« Prêtres-scientistes » ou « sacerdoce scientifique » sont, en passant, d’excellents choix de mots pour désigner ceux qui ont fait de la science abstraite le dieu des 20e et 21e siècles !)

Peu importe que la nouvelle Théorie Générale poussa le scientiste Max Born à dire :

« Elle [la Théorie Générale] me charme comme une grande œuvre d’art qui demande à ce qu’on en jouisse et qu’on l’admire à distance. »[25]

La science sous forme d’art ! Lorsque vous réfléchissez aux millions de vies que ce genre de perversion de science a séduites, c’est à vous faire vomir ! Et, dans la même veine, il est doublement à noter qu’Einstein lui-même a dit :

« Lorsque je m’examine, ainsi que mes méthodes de penser, j’en viens à la conclusion que le don de la fantaisie a davantage signifié pour moi que mon talent pour l’absorption de la connaissance positive. »[26]

Arrêtons-nous un instant sur le mot « fantaisie », puisqu’il signifia davantage pour Einstein que la connaissance positive. Entendant censément être un des plus grands cerveaux, dont le QI, rapporte-t-on, dépassait les 180, on ne peut que conclure qu’Herr Doktor Albert savait que « fantaisie » équivalait à « illusion, fantasmagorie, idée fausse, truc, paradis des fous, auto-séduction, hallucination, fausse lumière, imagination, objet sans substance, air ténu, moquerie », etc.. Je soumets à votre jugement que ces mots et expressions — de l’admission même d’Einstein — sont précisément ce sur quoi est érigée la relativité einsteinienne, ce que l’on a poussé le monde à croire concernant la Terre, le système « solaire » et le reste de l’univers.

« Illusion, lumière fausse, moquerie sans substance » de la Vérité… Voilà de parfaites descriptions du concept de la Relativité, qu’elle soit appliquée au mouvement des corps célestes ou aux styles de vie. En utilisant son propre choix de mots pour ce qu’ils signifiaient le mieux pour lui, Albert Einstein a été le plus fameux apôtre et conducteur de cette très adroite fausse lumière générée par le Maître des Fausses Lumières, vous savez qui…

Vérités et mensonges. Dans cette simple dichotomie repose le principe fondamental par lequel Dieu soupèse et mesure tout le comportement humain. Comme notre Adversaire, le Diable, fut habile à persuader l’humanité du 20e siècle que l’exact opposé était la vérité, que la seule vérité absolue est qu’il n’y a pas de Vérité absolue (exceptées la nécessaire Terre qui tourne d’Einstein et la vitesse de la lumière, évidemment) !

Mais, comme on peut s’y attendre, si Einstein n’avait pas servi de véhicule à ce crime presque parfait destiné à mettre fin à toute croyance et à toute recherche de la Vérité absolue de Dieu livrée une fois pour toute dans Sa Parole, le Diable aurait trouvé quelqu’un d’autre. Après tout, il y avait d’autres scientistes, comme nous l’avons vu, qui nageaient de toutes leurs forces contre le courant créé par l’expérience de Michelson-Morley, un courant qui menaçait de jeter tout leur établissement dans la chute et de les écraser contre les rochers du géocentrisme.

Comme nous l’avons démontré, qu’Einstein ait essentiellement plagié ses idées principales de Riemann, Minkowski, FitzGerald, Lorentz, Poincaré, Larmor, Clifford, Planck et d’autres, ou que, comme l’a dit le professeur en physique Holton de l’Université d’Harvard…

« L’on a montré que l’œuvre d’Einstein (…) fut plus indépendante des autres travaux contemporain (…) que ce qui a été proposé récemment… »[27]

…le point demeure le même. Le point, c’est que la semence d’une séduction de la « relativité » conçue surnaturellement fut semée dans l’esprit de divers hommes au bon moment et à la bonne place. Albert Einstein fut simplement la meilleure plante que cette semence produisit pour le grand travail satanique mis de l’avant : essayer d’évincer pour toujours la croyance en une Vérité absolue.

Donc, si Einstein n’eût pas été disponible — s’il n’était pas né, s’il était mort-né, s’il était tombé d’un escalier au bureau des brevets et avait claqué — quelqu’un d’autre aurait sauvé l’establishment de « l’impensable » réalité du géocentrisme renforcé par l’expérience de Michelson-Morley.

Mais Einstein fut disponible ! De plus, il prouva avoir été parfaitement choisi pour le premier rôle qu’il eut à jouer. Avec sa grosse tignasse de cheveux ébouriffés, sa pipe vissée entre les dents, ses vêtements amples, en bicyclette ici, en bateau là, il se présenta comme une sorte de plaisant vieil oncle juif inoffensif qui aurait pu tenir un bureau de prêt sur gage au coin de la rue. Les rapports disant qu’il ne parla pas avant l’âge de trois ans, qu’il rata l’examen d’entrée à l’Institut de Technologie de Zurich, qu’il oubliait d’encaisser ses chèques lorsqu’il était professeur à l’Université de Princeton, etc., ne firent qu’humaniser Albert-le-cerveau quand le monde vint à le connaître, et en firent une personne vaguement aimable, sinon réellement adorable. Qui aurait pu soupçonner cet homme de jouer un rôle principal dans le scénario satanique des derniers jours ?! Ridicule…

Même la juiverie d’Einstein travailla pour lui au lieu de lui être défavorable dans la plupart des cas. Carrément pacifiste dans l’Allemagne de la Première Grande Guerre, on s’y rappela « amèrement de lui » et…

« …sa “physique juive” devint l’objet d’injurieuses et croissantes dénonciations. Ses compagnons scientistes allemands lui tournèrent le dos et, après qu’Hitler eut pris possession du pouvoir, en 1933, Einstein, qui était à l’étranger à l’époque, ne retourna jamais en Allemagne… »[28]

En dedans et en dehors de l’Allemagne, Einstein demeura, comme nous l’avons déjà mentionné, un ardent sioniste tout au long de son existence et, à la fin de sa vie, David Ben Gurion lui offrit la présidence d’Israël.

À quel degré la juiverie d’Einstein et ses philosophies, politique et économique, influencèrent-elles sa fantaisie à propos de l’univers, je laisse à d’autres le soin de spéculer là-dessus. Qu’il suffise de dire, pour le bien de notre propos, que son agnosticisme et ses philosophies, non seulement l’empêchèrent de donner tout crédit à la Bible en tant que source de révélation de la Vérité au sujet du mouvement, de la nature et de l’âge de l’univers, mais ils en firent l’un (sinon le pire !) des adversaires les plus destructeurs de la Parole de Dieu qui ait vécu. Si la Bible est la Vérité de Dieu sur tous les sujets livrés surnaturellement à l’humanité, alors l’obscurcissement de cette Vérité est le legs d’Einstein et sa plus fameuse « contribution » au monde.

Einstein fit souvent ce commentaire :

« Pour le restant de ma vie, je veux réfléchir sur ce qu’est la lumière. »[29]

Il débuta avec ses « vérités absolues », i.e., 1) la Terre et tout dans l’univers est en mouvement, et 2) la vitesse de la lumière est constante dans tout l’univers. Ces « vérités » en place, nous pouvions tous être endoctrinés à croire au Big Bang du début de l’univers, quelques 20 milliards d’années auparavant parce qu’il fallait tout ce temps à la lumière pour nous atteindre à partir des étoiles du fin fond des galaxies. Et cetera, et cetera.

Mais ce n’est pas nécessairement ainsi que ça se passe. Le géocentriste Walter van der Kamp note un exemple parmi tant d’autres qui ressortent d’autorités grandement qualifiées disant qu’Einstein ne faisait que du vent :

« Alan Guth, professeur en astrophysique à l’Institut de Technologie du Massachusetts, dit que l’univers ne se répandit pas à sa dimension et à sa structure d’étoiles et de galaxie actuelles en dix ou vingt milliards d’années, tel qu’affirmé précédemment de manière quasi dogmatique. Guth dit “Le processus entier dura moins d’une seconde”. »[30]

Cela ressemble plutôt à la création instantanée de la Genèse, non ? Cette étonnante conclusion provenant d’une éminente autorité hautement qualifiée semble donc s’accorder avec un autre Astrophysicien jouissant d’un crédit absolument impeccable et Qui avait ceci à dire au sujet de la lumière (dont le sujet tracassait tant Einstein) :

« Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut » (Genèse 1:3).

En conclusion, il faut croire qu’Einstein prouva, grâce à sa théorie de la Relativité, que les gens peuvent croire à n’importe quoi — aussi idiot et bizarre cela puisse-t-il être — s’ils sont assez « intelligents » pour ignorer ce que dit la Bible.

____________________________________________________________

[1] Encyclopédie Grolier, Relativité, (La Société Grolier Québec Ltée, 1952), Tome 9, p. 136.

[2] Ibidem.

[3] N. M. Gwynne, Einstein et la physique moderne, (Bibliothèque catholique britannique, Londres, pas de date), p. 36.

[4] Ibidem, p. 37.

[5] Ibidem, p. 40.

[6] Ronald W. Clark, Einstein : sa vie et son époque, World Publishing Cie, N. Y & Cleveland, 1971), p. 220.

[7] Ibidem, p. 87.

[8] Article principal, L’année du Dr Einstein, Time du 19 février 1979, p. 68

[9] Clark, Einstein, p. 78.

[10] Ibidem, p. 80.

[11] Clark, Einstein, p. 80

[12] Ibidem.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 83.

[15] Ibidem.

[16] Ibidem.

[17] Van der Kamp, De labore solis, pp. 5, 6.

[18] Ibidem, p. 6.

[19] Time, Einstein, p. 73.

[20] Clark, Einstein, p. 19.

[21] Ibidem.

[22] Ibidem.

[23] Time, 19 février 1979, p. 76.

[24] Ibidem.

[25] Clark, Einstein, p. 200.

[26] Ibidem, p. 87.

[27] Gerald Holton, prof., Des origines de la Théorie Spéciale de la Relativité, Journal de physique américain, Vol. 28, 1969, p. 627.

[28] Time, 19 février 1979, p. 76.

[29] Clark, Einstein, p. 200.

[30] Van der Kamp, De labore solis, p. 113.




D.142 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-4

 

TROISIÈME PARTIE

(4)

Michelson et Morley

Albert Abraham Michelson. L’expérience de Michelson et de Morley abasourdit les scientistes du monde entier parce qu’elle démontra de manière logique que la Terre est immobile.

Le physicien Albert A. Michelson (1852-1931) et le chimiste E. W. Morley (1838-1923) imaginèrent un instrument unique pour mesurer ou comparer la vitesse de la lumière sous différents angles, alors que l’instrument en question était supposé filer dans l’espace puisqu’étant sur Terre. Ils n’essayaient pas de prouver que la Terre tourne. Ils suivaient le reste de l’establishment scientifique qui avait été emprisonné dans le modèle copernicien/newtonien depuis au moins une couple de centaines d’années, comme nous avons vu. Ils tentaient de prouver un point au sujet de la façon que la lumière agit quand sa source est en mouvement.

Michelson avait fabriqué et testé un « interféromètre » à Berlin, en 1881-1882. Son instrument donna comme résultat inattendu et inacceptable que la Terre ne bouge pas. Puis, en 1883, il accéda à une position d’enseignement à l’Institut Case de Cleveland, en Ohio, et continua à affiner son « interféromètre » qui s’obstina néanmoins à ne montrer aucun mouvement de la Terre. En 1887, avec Morley, il décrivit officiellement l’expérience et en donna les résultats. Hans Reichenbach rapporte ceci :

« …Mais peu importe la position où ils mirent leur instrument, et peu importe dans quelle direction la Terre tournait autour du soleil (i.e., dans quelle saison se trouvait la Terre), le résultat était toujours “nul”. C’est-à-dire que la vélocité de la lumière demeurait exactement la même dans toutes les directions. Ce résultat, annoncé en 1887, dérouta les scientistes… »[1]

Déroutés ? Que firent-ils, alors ? C’est ce que nous allons voir un peu plus tard, car jetons d’abord un coup d’œil sur le fonctionnement d’un « interféromètre ».

Interféromètre de Michelson & Morley

Regardons l’Illustration IV que voici.

Elle provient du livre de Reichenbach intitulé De Copernic à Einstein et nous sera fort utile.

Gardant en tête que cet auteur était un grand fan d’Einstein et qu’il soutenait entièrement le point de vue copernicien, notez son explication du diagramme et vous comprendrez ce qu’était supposé faire l’interféromètre et ce qu’il fit en réalité :

« …L’appareil consistait en deux barres de métal horizontales — AB et AC. En A, il y a une source de lumière dont les rayons sont envoyés vers B et C où ils se reflètent dans un miroir et reviennent vers A. Les lignes pointillées de l’illustration indiquent ce chemin ; pour une meilleure vue du processus, elles ont été dessinées en partie au bas des barres et en partie au-dessus, alors qu’en réalité elles poursuivent leur chemin dans l’axe exact de la barre. Voici la question : si les rayons quittent A simultanément, y retourneront-elles aussi simultanément ? Ce serait le cas si l’appareil et ses barres de métal demeuraient immobiles dans l’éther, car ainsi la vitesse de la lumière est égale dans les deux directions AB et AC »[2]

Or, était-ce le cas ? Est-ce que les rayons de lumière revinrent simultanément ? Oui. Cela signifie que les barres de métal reposaient sur une Terre immobile et pas sur une Terre qui orbitait à plus de 66 000 MPH (105 600 KM/H) autour du soleil. Maintenant, voyez comment le faux-fuyant copernicien reprend là où nous avons laissé :

« …Mais l’appareil demeure sur Terre et participe ainsi au mouvement de la Terre dans l’éther… »[3]

Donc, l’expérience démontra que la lumière revint simultanément des deux directions, ce qui voulait dire que la Terre ne bougeait pas. Mais, la réputation entière de l’establishment scientifique étant en jeu, elle devait être en mouvement ! L’on ne pouvait pas permettre aux rayons de lumière de revenir simultanément parce que la Terre était immobile. On devait trouver une autre explication, si folle et si non-scientifique soit-elle ! Hans continue :

« …Il s’en suit que la vélocité de la lumière doit être différente dans les deux directions. Un simple calcul le démontre : lorsque la Terre se déplace dans l’éther dans la direction AB, le rayon A-B-A doit revenir au point de départ un peu après le rayon A-C-A. »[4]

Ce devait être différent, mais ça ne l’était pas. Herr Reichenbach continue :

« Michelson était sûr, à l’époque, qu’il était possible de prouver le retour tardif du rayon ; après tout, sa méthode était assez exacte et il utilisait les meilleurs instruments optiques. L’arrivée tardive du rayon serait prouvée par le moyen de l’interférence, par l’apparition de bandes ombragées créées par la coïncidence de monts et vallées des deux courants d’ondes. Pourtant, cela eut pour surprenant résultat qu’aucune bande d’ombre n’apparut : il n’y eut pas de retardement du rayon… »[5] (l’emphase est nôtre)

C’était toujours simultané et la Terre ne bougeait toujours pas ! Les scientistes de partout dans le monde se grattaient la barbe et se toussotaient dans les mains, empreints à la panique nerveuse. Hans acquiesce :

« …ce résultat inattendu garda longtemps les scientistes dans une profonde perplexité… »[6]

Il leur fallait sortir de ce trouble. Et nous allons voir jusqu’à quel point peut conduire la folie de l’homme pour ne pas être forcé d’en conclure que la Bible constitue la vérité sur tous les sujets, y compris celui-ci. Mais, pour être bien sûrs que nous avons compris ce que voulait dire cette expérience, ajoutons-y la description de Dingle :

« …l’expérience de Michelson-Morley (…) se résumait ainsi : un rayon de lumière fut partagé en deux parties et envoyé, par des miroirs, le long de deux bras de matériau, égaux et mutuellement perpendiculaires. En revenant à leur point de départ, ils s’interféraient l’un l’autre, produisant un motif de franges sombres et lumineuses d’un genre qui est familier aux étudiants en optique. Considérez le cas où l’un des bras s’étend dans la direction du mouvement orbital de la Terre autour du soleil, selon le système copernicien universellement accepté et assumé par la mécanique newtonienne. À deux moments, distants de six mois, le mouvement serait de directions opposées, donc ainsi, d’après la théorie de l’électromagnétique de Maxwell-Lorentz, par laquelle la vélocité de la lumière est indépendante du mouvement de sa source, on peut facilement calculer que les franges observées devraient être en des positions différentes lors des deux moments. Or, en fait, les franges demeurèrent dans la même position tout le long de l’année. »[7]

Les franges constituent la clé ! Si la Terre tourne autour du soleil avec un des bras de l’interféromètre pointant dans la direction vers laquelle la Terre est supposée se déplacer à 29.6 km à la seconde, alors les franges lumineuses devraient être sur un côté. Six mois plus tard, la Terre serait de l’autre côté du soleil et allant dans la direction opposée et les franges devraient être sur le côté opposé !

Mais elles ne le furent pas ! Voilà donc une preuve très évidente que la Terre est stationnaire ! Et vous remarquerez que cette expérience fut exécutée sur une période de plusieurs années avant et après 1887 par divers scientistes de différents pays. Les rayons de lumière revinrent toujours simultanément dans les deux bras de l’interféromètre et les franges demeurèrent toujours sur le même côté toute l’année durant.

Les bozos de l’establishment scientifique avaient un problème, c’est bien clair ! Comme nous l’avons vu, ils étaient confondus. C’est-à-dire qu’ils étaient carrément étonnés, surpris, stupéfiés, abasourdis, désorientés, déroutés, troublés, ahuris, sidérés, choqués et assommés. L’affaire était sérieuse ! Tout le culte de l’idole de la « science » était en jeu ! Plus de trois siècles d’endoctrinement et de propagande soigneusement répandus avaient vaincu et enterré le récit biblique d’une Terre stationnaire. Le mur extérieur de la Bible clamant la Vérité avait été abattu par le sacerdoce scientifique du culte nouveau. Et ils étaient maintenant sur le point de mettre en pièce la deuxième ligne de défense avec leur bélier évolutionniste. Ce bélier était non seulement destiné à défaire et ensevelir le récit de la Création de l’homme fait à l’image de Dieu, mais tout le scénario créationniste établi dans la Bible. Plus de Création ; plus de Jardin d’Éden ; plus de Satan ; plus de tentation ; plus de chute ; plus besoin de Jésus pour racheter la condition déchue… Que restait-il au christianisme si ce n’est un ramassis de rituels et de traditions ?

Et pas de Déluge du temps de Noé, car cela expliquerait tous les fossiles, le charbon et le reste… Donc, l’enjeu était alors extrêmement élevé en regard de l’expérience Michelson-Morley. Imaginez ce qu’il peut être aujourd’hui ! Les chrétiens conduits par l’Esprit auraient pu s’unir et se rallier derrière le récit géocentrique de la Bible et employer l’interféromètre comme bâton pour chasser les idolâtres des murs du temple… et les évolutionnistes avec eux ! Ceux-ci ne possédaient à ce moment-là aucune preuve de l’évolution et n’en ont jamais trouvé depuis. Il n’y en a pas ! Tout cela est un tissu de mensonges de A à Z ! Et cela peut être démontré !

Mais le culte de la « science » ne fut pas arrêté par les résultats de Michelson. Il sortit de la trappe de l’interféromètre et poursuivit son abattage du mur de la Création, sauf une petite section qui nous reste aujourd’hui. C’est Albert Einstein qui les sortit du trou ! C’est ce petit prêtre scientifique inconnu qui devint soudainement le pape au sommet du culte de la « science ». Non seulement sortit-il l’establishment de la trappe de Michelson-Morley, mais il fit de manière à ce qu’il semblât que la menace du géocentrisme biblique ne puisse plus jamais se montrer le bout du nez.

Le général cinq étoiles de la « science faussement ainsi nommée » ! Dans la bataille spirituelle entre les Vérités de Dieu et les mensonges de Satan — que Dieu avait prévu et qu’Il va immanquablement gagner — Einstein a sans aucun doute réussi la plus grande tricherie qu’il ait été possible à un homme d’accomplir. Ce sont des paroles fortes contre le pape de l’establishment scientifique ! Mais avant de voir son cas, il nous faut encore passer en revue certains autres prêtres de ce sacerdoce de la « science » qui tentèrent de contourner les résultats de Michelson-Morley. Après tout, les « scientistes » furent estomaqués pendant plus de vingt ans entre le moment où l’on constata les résultats de l’expérience de Michelson-Morley, à Berlin, et le moment où Einstein arriva pour les secourir en 1905.

Qui étaient ces « prêtres » et quel genre d’explications offraient-ils comme sortie de trappe durant cette période de vingt ans ? Nous vous présentons :

George FitzGerald Hendrik Antoon Lorentz Jules-Henri Poincarré James Clerk Maxwell

Reichenbach parle de la période de perplexité de la communauté scientifique après que les résultats de l’expérience de Michelson-Morley eurent commencé à filtrer :

« Le premier homme à tenter une explication fut le Danois H. A. Lorentz. Il affirma que la barre AB avait raccourci en vertu du mouvement au travers de l’éther ; comme résultat, le chemin A-B-A raccourcit et le rayon revint aussi rapidement que l’autre rayon… »[8]

« …la barre … avait raccourci… » Eh oui, il leur fallait une façon quelconque d’expliquer pourquoi le rai de lumière revenait simultanément dans les deux barres de l’interféromètre ! Le rayon de lumière dans le bras, pointant en direction de la supposée orbite de la Terre autour du soleil, avait déjà un handicap de 105 600 km/h à surmonter avant de revenir sur ses pas. Ç’aurait dû le ralentir.

Mais il ne revint pas plus lentement ; il revint en même temps, démontrant qu’aucun mouvement ni rattrapage n’avait lieu. D’où dilemme pour l’establishment scientifique. Et, pour tenter de sauver l’idée du mouvement de la Terre, la solution de Lorentz était de dire que la vitesse de la Terre au travers de l’éther dans l’espace faisait en sorte que le bras de l’interféromètre, qui pointait en direction de la soi-disant orbite, raccourcissait. Donc, le rayon n’avait pas autant de chemin à parcourir et pouvait ainsi revenir simultanément, ce qui expliquait de cette façon les résultats de l’expérience de l’interféromètre.

En réalité, selon Dingle, FitzGerald eut la même idée avant Lorentz et on l’appela la « Contraction FitzGerald ».[9] Mais Dingle ajoute :

« …il n’y a pas ici de « Contraction FitzGerald » ; c’est plutôt l’expansion FitzGerald, car, selon cette explication-ci, ce n’est pas la barre longitudinale qui se contracte, mais la barre transversale qui s’étire — l’effet sur les franges demeurant les mêmes, bien sûr. »[10]
« …[C’est] un paradoxe [contradiction] au-delà de toute imagination, même celle de Dean Swift. [Le scientiste Eddington compara plus loin l’idée ] aux aventures de Gulliver à Lilliput et Alice au Pays des merveilles. »[11]

  1. C. Maxwell fut un autre scientiste fort estimé dont le travail joua un rôle clé dans cette période de panique, même s’il devait mourir en 1879. Il travailla principalement sur la théorie de l’électromécanique.[12]

« Maxwell fit de l’éther la base de sa théorie et le médium physique indispensable transportant la lumière et les ondes électriques. »[13]

Et l’« éther »…

« …n’était qu’un autre corps physique … qui pouvait servir de standard au reste et auquel l’on pouvait se référer pour le mouvement des corps matériels ordinaires. »[14]
Donc, l’« éther » fournissait un moyen de dire ce qui se mouvait. Voici l’idée :

« La vélocité d’un corps matériel au travers de l’éther pouvait se déterminer en mesurant sa vélocité en rapport avec la lumière ; car la lumière, selon la théorie de Maxwell, était un phénomène électromagnétique possédant une vélocité constante à travers l’éther… »[15]

Était-ce correct ? Notez ceci :

« …de délicates expériences fondées sur la théorie de Maxwell — dont la fameuse expérience de Michelson-Morley était la principale — échouèrent à détecter quelque différence que ce soit entre les vélocités, en rapport avec la lumière, des corps que l’on croyait en mouvement les uns par rapport aux autres… »[16]

Or, lorsque les idées de Maxwell furent mises au test, elles ne démontrèrent aucune Terre qui bouge et s’avérèrent ainsi inacceptables. Quelque chose devait disparaître et ce ne devait pas être le copernicisme ! Que firent-ils, alors ? Ils laissèrent tomber le concept de l’« éther » et gardèrent le reste. Mais nous venons de voir que l’« éther » était la base de l’idée de Maxwell et que c’était indispensable à sa théorie ! « Indispensable » ne veut-il pas dire qu’on ne peut s’en passer ?

Évidemment, mais rappelez-vous que nous sommes ici témoins du faux-fuyant copernicien en action. À chaque fois qu’un fait montre que la Terre ne tourne pas, l’establishment scientifique fait deux pas de côté, effectue un 180º et s’envole brusquement pour réapparaître de l’autre côté de la piste de danse, comme par magie. Michelson lui-même conduisait d’une agile pirouette, annonçant imperturbablement que…

« …L’hypothèse d’un éther stationnaire s’avère donc incorrect… »[17]
À tout événement, ils conservèrent le reste de l’idée de Maxwell, même si elle ne fonctionnait plus, étant donné que son indispensable base d’« éther » y avait été enlevée. Les physiciens Lorentz, Larmor et Poincaré retravaillèrent l’équation de Maxwell :

« Leur but était d’accommoder le résultat de Michelson-Morley et autres expériences similaires avec les exigences théoriques de l’équation de Maxwell… »[18]

Leurs nouvelles équations sans fondement s’appelèrent éventuellement « Transformation de Lorentz ».[19] Tous ces types-là tâtonnaient des mathématiques pour faire entrer la cheville carré dans le trou rond. Poincaré lui-même usa du mot « tâtonner » pour décrire leurs recherches d’équations qui leur permettraient de se débarrasser de la base des travaux de Maxwell, garder les travaux eux-mêmes et les appliquer à quelque chose — n’importe quoi ! — qui les amèneraient loin des résultats d’une Terre immobile. Comme le dit Dingle :

« …c’était la grimace sans le sourire fendu jusqu’aux oreilles. »[20]

Mais ils persistèrent quand même. La Transformation de Lorentz des équations de Maxwell fut plus tard acceptée comme fondamentale par Einstein et contribua directement à l’émergence du concept de la Relativité. Ainsi, l’on peut voir quelle solidité pouvait avoir ce dernier concept ! En 1900, Larmor révisa les résultats de « nombreuses expériences » qui…

« …pendant plus de deux siècles … avaient été effectuées pour détecter le mouvement et le repos absolus… »[21]

Donc, il y avait eu davantage d’expériences que celle de Michelson-Morley. Et même de nombreuses. Dans sa révision, Larmor nota que, au cours de ces deux cents ans :

« Des efforts avaient été faits pour détecter tout effet du mouvement absolu sur la lumière, sur sa dispersion et son interférence, sur la polarisation de la lumière et sa rotation dans certains cristaux… »[22]

Est-ce qu’un mouvement quelconque de la Terre fut révélé par une de ces expériences ? Pas du tout ! Larmor continue :

« Du reste, les effets du mouvement des charges électriques ou des aimants ne révélèrent aucun mouvement absolu… »[23]

Il semble que tout avait été fait, en 200 ans, pour tenter de prouver le mouvement de la Terre. Mais l’establishment scientifique s’était engagé dans une voie sans issue. Les « scientistes » avaient tous pris comme fait acquis que la Terre tournait et orbitait autour du soleil. Pourtant, deux cents ans d’expérimentation ne rapportait aucun mouvement, encore bien moins à plus de 105 600 km/h ! Ils s’arrangèrent pour ignorer et cacher les résultats de toutes ces expériences jusqu’à ce que l’appareil de Michelson-Morley leur donne une frousse bleue. Après quoi, ils se trouvèrent dans une vraie impasse. Lorentz et les autres trimaient dur, suaient vaillamment et saisissaient le moindre fétu de paille, si ténu soit-il, leur permettant de contourner la pure évidence expérimentale qui les fixait en pleine face. C’était un cercle vicieux. Ils étaient dans une passe difficile d’où il ne semblait y avoir aucune échappatoire. Puis, en 1904…

« …Poincaré postula son “principe de relativité”… »[24]

Ici, l’idée de fond, c’est que l’homme ne peut jamais trouver une manière de dire ce qui se meut dans l’espace et ce qui ne se meut pas. Peut-être avez-vous toujours pensé que c’était Einstein qui avait proféré l’idée de la « relativité ». Il en concocta une légèrement différente que celle de Poincaré. Einstein se rendit jusqu’à la ligne des buts avec sa version, grâce à la passe de Poincaré. Il pressa, pétrit, frictionna, étira et massa le mot « relativité » jusqu’à ce qu’il soit assez fort pour surpasser toutes les « preuves » à l’encontre d’une Terre immobile. Il donna naissance à un concept de relativité qui, non seulement offrait à l’establishment une façon d’échapper à la trappe Michelson-Morley et toutes les autres, mais qui incorporait une théorie qui promettait que l’establishment n’aurait plus à faire face à une autre trappe. Le Libérateur était arrivé.

Voyons donc, maintenant, ce qu’Albert a fait.

______________________________________________________________

[1] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe d’Einstein et les papiers d’Ives, (Old Greenwich, Conn., Devin-Adair Cie, éditeurs, 1979), p. 290.

[2] Ibidem, pp. 54, 55.

[3] Ibidem, p. 55.

[4] Ibidem.

[5] Ibidem.

[6] Ibidem.

[7] Herbert Dingle, La science à la croisée des chemins, (Londres : Martin Brian & O’Keefe, 1972), p. 161.

[8] Reichenbach, De copernic à Einstein, p. 55.

[9] Dingle, Croisée des chemins, pp. 162, 163.

[10] Ibidem, p. 164.

[11] Harold Nordenson, La relativité, le temps et la réalité, (George Allen Ltée, Londres, 1969), p. 153.

[12] Dingle, Croisée des chemins, p. 148.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem.

[15] Ibidem.

[16] Ibidem.

[17] Ibidem.

[18] Hazelett & Turner, Ives Papers, p. 56.

[19] Dingle, Croisée des chemins, p. 165.

[20] Ibidem, p. 155.

[21] Hazelett & Turner, Ives Papers, p. 56.

[22] Ibidem.

[23] Ibidem, p. 57.

[24] Ibidem.




D.141 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-3

 

TROISIÈME PARTIE

(3)

Isaac Newton

« Que la gravité soit infuse, inhérente et essentielle à la matière … est, pour moi, une absurdité si grande que je crois qu’aucun homme qui possède une faculté de penser compétente en matière philosophique ne tombera dans cette trappe. » Isaac Newton

 Comme tout le monde le sait, le nom d’Isaac Newton (1642-1727) est au rang des superstars de la « science » de tous les temps. C’est un des gros noms qui figurerait certainement au top dix, sinon au top trois, sur la liste des célèbres scientistes d’à peu près n’importe qui. Qu’est-ce qui l’a rendu si célèbre ? Qu’est-ce que cette affaire de gravité ?

Ses idées sur la gravité, aussi insensées et non-scientifiques soient-elles, n’étaient qu’un moyen menant vers une réalisation plus grande qu’il effectuait pour le compte de l’establishment des « sciences ». Sa marque principale dans l’histoire fut qu’il était supposé avoir réglé la question à savoir si la Terre bouge ou non en faveur du système copernicien. Voilà pourquoi il est si célèbre !

Copernic n’avait rien prouvé. Ni Galilée et Kepler après lui, comme nous l’avons vu. Et, bien que (comme nous l’avons vu dans le chapitre de Riccioli et ailleurs) il y ait eu opposition contre le copernicisme après Newton jusqu’à nos jours, on lui accorde foncièrement tout le crédit pour avoir mis fin à la controverse et avoir établi le copernicisme comme précepte fondamental, même, en fait, la pierre angulaire de l’ère « scientifique » moderne. Comme l’a mentionné Reichenbach :

« Le grand accomplissement de la mécanique newtonienne fut de fournir à la vision copernicienne une fondation dynamique (…) Newton, prenant position sur la dynamique, se décida en faveur de Copernic, car sa théorie de la force gravitationnelle offrait une explication mécanique au point de vue de celui-ci [le copernicisme] … »[1]

Comme le genre d’idée à la Darwin, la « survie du mieux adapté » et de « la sélection naturelle », qui fournirent une mécanique à l’évolutionnisme, cette théorie offrait une semblable explication. Jusqu’à Newton, la plupart des gens, au sein ou en dehors de l’establishment scientifique, hésitaient à introduire trop de matière dans le copernicisme. Mais, comme nous l’avons vu :

« …L’apparition de la Principia de Newton, en 1687, et sa déclaration d’une application universelle de la loi de la gravité mirent bientôt fin à l’hésitation de la majorité… »[2]

Newton « déclara » qu’il y avait une « Loi de la gravité » qui pouvait être appliquée « n’importe où » dans l’univers. Comment savait-il tout d’abord que c’était une « loi » et, ensuite, comment savait-il qu’elle pouvait s’appliquer partout dans l’univers ? Par les mathématiques ! L’astronome Hoyle résume ainsi :

« …Newton inventa (…) une nouvelle branche des mathématiques, que nous appelons de nos jours calcul différentiel. »[3]

Eh oui, « inventé » ! Lorsqu’on réfléchit un tant soit peu à la substance de Newton, ça devient complètement fou. Par exemple, pensez au « fait » que Newton ne connaissait absolument rien des mouvements célestes en dehors du soi-disant « système solaire ». Pourtant, il déclara que ses affirmations au sujet de l’attraction gravitationnelle mutuelle, mettant en ordre tout notre système « solaire » de façon précise (insensé et impossible en soi !), devait aussi être considéré comme une loi expliquant toutes les activités dans l’univers. Comme le dit un écrivain qui est sorti de la trappe de Newton :

« …le principe cosmologique [de Newton] (…) comporte le même statut de logique que le point de vue d’un Indien de la jungle amazonienne   qui conclut que, puisqu’il voit des perroquets dans les palmiers, il doit y avoir des perroquets aux Pôles. »[4]

Ce genre d’affirmation…

« …qu’un phénomène que l’on ne peut observer que dans un champ très limité, doit s’appliquer n’importe où, même si vous n’avez aucune preuve que les conditions sont les mêmes ailleurs (en fait, même si vous êtes sûr qu’elles ne sont pas les mêmes !) constituent (…) l’essence de la science newtonienne. Ce n’est pas scientifique ; ce n’est même pas sensé ; et pourtant presque toutes l’astronomie et les sciences modernes y ayant rapport sont basées sur cette supposition. »[5]

Cet écrivain, pionnier dans l’exposition de l’écran de fumée héliocentrique et ses jeux de miroirs, résuma ainsi la situation que Newton contribua grandement à tramer :

« Dès l’enfance, vous et moi avons été séduits pour que nous acceptions un château de cartes cosmologique pour lequel il n’y a pas une miette de “preuves solides” basées sur le gros bon sens. Tout le bataclan post-copernicien est une branlante structure de suppositions fondées sur des extrapolations tirées de théories construites sur des postulats distillés d’observations susceptibles d’interprétations alternatives. »[6]

Tiens toi ! Ce gars-là cloue l’héliocentrisme au sol avec son gros marteau ! Peut-être le « chrétien » ésotérique, C. S. Lewis, avait-il vu juste en disant :

« …si vous hasardez une conjecture assez longtemps, cela cesse d’être une conjecture et devient un fait scientifique. »[7]

Il devait savoir de quoi il parlait, ayant expérimenté la chose lui-même dans ses contes pour enfants à saveur occulte… ! Mais Newton a quand même apporter quelque contribution solide dans le domaine scientifique ! Qu’en est-il de l’attraction gravitationnelle de la lune provoquant les marées et tout ça ? La substance que l’on nous a toujours enseignée concernant les marées comme étant un fait scientifique est une farce tellement ridicule que nous allons la réserver pour un chapitre séparé. Cela fait pitié, vous verrez.

Et, en passant, bien que Newton se soit vu accorder le crédit, dans tous les bouquins, d’avoir « découvert » que la gravité de la lune cause les marées, ce n’est pas lui qui en a eu l’idée. En fait, il n’a même pas « inventé » l’idée de la « gravité », comme vous vous le rappellerez. Et, en réalité, il n’a pas plus « inventé » le concept de l’inertie sur lequel il fonda toutes ses lois sur le mouvement. C’est Johannes Kepler, celui qui avait écrit des folies à propos de la lune ! Sa mère était très orientée vers la lune dans ses pratiques de sorcellerie. Tout cela s’accorde. Mais Newton devait être sur la même longueur d’ondes en quelque part…

Donc, avant d’aller plus loin, documentons-nous plus avant pour constater que ni le concept de la « gravité » ni le concept des « marées », ni même le concept de « l’inertie » furent des rejetons de Newton, mais provinrent plutôt de ce bonhomme à qui son église refusait de servir la communion ou le laisser prêcher ; ce bonhomme élevé au milieu de la sorcellerie et accusé officiellement de pratiquer des « arts défendus » ; ce bonhomme qui acquit toute l’œuvre de Brahe et ignora le plaidoyer de ce dernier sur son lit de mort de ne pas utiliser ses travaux pour la promotion du copernicisme ; ce bonhomme, aujourd’hui canonisé saint dans le sacerdoce scientifique, qui parla de démons transportant des gens vers la lune (une lune pleine de courants d’eau et habitée par de bizarres créatures) pour qu’ils puissent voir la Terre tourner selon son bien-aimé modèle copernicien anti-biblique ; ce bonhomme conduit…

« …à la célébrité malgré des yeux louches, des mains tordues, un corps bancal, des furoncles et des afflictions nerveuses… »[8]

Ce bonhomme, Herr Kepler, qui écrivit :

« Je définis la gravité comme un pouvoir similaire à la puissance magnétique — une attraction mutuelle. »[9]

Kepler inscrivit cela dans une note de bas de page quelque deux générations avant que Newton ne rédige son livre. D’une autre note de bas de page, Lear écrit :

« Kepler décrit clairement sa compréhension de la gravité comme étant une force universelle opérant au-delà de la Terre… »[10]

Également, comme nous l’avons déjà vu :

« …Dans la géographie lunaire de Kepler, datée de 1609, nous voyons tout d’abord l’attraction de la lune tirant les eaux vers le haut pour créer les marées… »[11]

Et souvenez-vous que cet homme qui parle de gravité universelle et de marées causées par la lune, bien avant Newton, est ce même homme qui, non seulement croyait à d’autres choses étranges et non-scientifiques concernant la lune, mais s’extasiait aussi à propos de …

« …sa mère parce que, elle aussi, avait l’habitude de communier constamment avec la lune. »[12]

Voyez maintenant en ce qui a trait à l’inertie :

« …Kepler indiqua qu’une très petite force serait nécessaire pour mouvoir un objet dans l’“éther” raréfié au-delà de l’atmosphère terrestre. Il anticipait la Troisième Loi du Mouvement de Newton (…) [et il] attira l’attention sur l’existence d’une nouvelle condition qu’il fut le premier à qualifier d’inertie. »[13]

Il était donc en avance sur Newton sur ce sujet aussi… Accessoirement, regardez l’Illustration III où la troisième « loi » du mouvement de « Newton » semble avoir rencontré un mur :

Newton défié ?

Un appareil de propulsion inhabituel semble défier la séculaire loi du mouvement d’Isaac Newton : « Pour chaque action, il y a une réaction égale et opposée. » L’inventeur Robert Cook déclare que son appareil pourra se lever lui-même du sol — sans aucune réaction contraire.Les principaux composants du modèle de Cook (illustré à droite) sont deux bras en hélice, l’un au-dessus de l’autre, qui virent en sens opposés et à la même vitesse. Au bout du bras supérieur, il y a un rotor portant trois poids de métal (les objets rouge et jaune). Le poids rouge, ou masse d’échange, peut se transférer du bras supérieur au bras inférieur pour la moitié de chaque cycle de 360 degrés. A l’échange, il n’y a pas de poussée négative parce que la masse d’échange tournant sur le petit rotor se déplace à la même vélocité que le point d’échange sur le bras inférieur ; le transfert se fait aussi doucement que sur un dispositif d’engrenage.

Alors que tournent les deux bras principaux, il y a donc un demi-cycle lourd (lorsque la masse d’échange est sur le bras supérieur) et un demi-cycle neutre (la masse d’échange, étant maintenant sur le bras inférieur, équilibre les poids sur le plus haut). L’appareil se déplace vers le demi-cycle lourd.

La troisième loi de Newton exige que les forces centrifuges des deux demi-cycles soient « égales et opposées ». Mais l’appareil de Cook élimine la moitié de sa force centrifuge — apparemment au mépris de la loi de Newton.

 

Illustration III

Il semble que la troisième « loi » de Newton ait été cuite par M. Cook. Mais revenons à ce que nous avons dit en regard de ce que Newton semblait bien être sur la même longueur d’ondes que Kepler. Nous pensons qu’il n’y avait aucun doute à savoir qu’ils étaient tous deux sur la même fréquence. Aucun doute non plus qu’il devait s’agir de fréquences anti-bibliques, en dépit de toute la propagande en faveur du contraire.

Nous avons vu que Newton opta volontiers pour le modèle anti-biblique copernicien à une époque où il aurait tout aussi bien pu choisir l’autre modèle. Après tout, il ne possédait aucune preuve que la Terre bougeât. Donc, il décida consciemment, volontairement et de manière préméditée qu’il la ferait bouger avec sa plume et ses calculs. Quoi, Newton n’aimait donc pas la Bible ? Voyez-vous, il soutenait une perspective arianiste de la Bible. L’arianisme est cette croyance qui nie la divinité de Christ. Un des biographes de Newton dit ceci :

« Aux yeux de Newton, adorer le Christ en tant que Dieu était de l’idolâtrie ; pour lui c’était le péché fondamental. »[14]

Et, bien sûr, la Bible est remplie de références à Jésus, comme Dieu et Fils de Dieu, ayant été l’image de Dieu Lui-même sur Terre, fait Roi des rois et Seigneurs des seigneurs par le Père, Dieu en Esprit :

« Et Jésus s’approchant leur parla, en disant : toute puissance [et toute autorité] m’est donnée dans le ciel et sur la terre » (Matthieu 28:18).

« Laquelle il [le Père] a déployée avec efficace en Christ, quand il l’a ressuscité des morts, et qu’il l’a fait asseoir à sa droite dans les lieux célestes, 21Au-dessus de toute Principauté, de toute Puissance, de toute Dignité et de toute Domination, et au-dessus de tout Nom qui se nomme, non-seulement en ce siècle, mais aussi en celui qui est à venir » (Éphésiens 1:20-21).

Donc, quiconque proclame être chrétien, mais est prêt à nier la divinité de Christ est sur la même longueur d’ondes, la même fréquence que celui qui cherche volontairement à résister ou à altérer le Plan de Dieu tel que décrit dans les Écritures. Si une personne résiste à la Vérité de Dieu par ignorance (comme, par exemple, le jeune Saul, avant qu’il ne devienne l’apôtre Paul), mais change lorsqu’elle vient à connaître la vérité, c’est une chose. Si, par contre, quelqu’un résiste à la Vérité jusqu’à la fin et tente de l’altérer fondamentalement pour que d’autres millions de gens la rejette aussi, il devient le secret ennemi des Écritures, un oiseau du même plumage opérant sur la même fréquence, spirituellement parlant.

Croyez-vous que Newton savait ce qu’il faisait ? Il proclamait être chrétien et il se faisait formellement défenseur de l’idée qu’il y a un Dieu Créateur, d’après ce qu’on en sait. Kepler avait fondamentalement rejeté un Dieu Créateur, mais Newton n’alla pas si loin.[15] Néanmoins :

« …le newtonisme est une vision mondiale matérialiste qui conçoit l’univers comme une horloge, sans laisser de place aux miracles divins, ni à la liberté de l’homme. »[16]

Donc, Newton et Kepler n’étaient pas exactement sur la même longueur d’ondes, pour ainsi dire, n’est-ce pas ? Oh oui, ils l’étaient ! Le résultat final de leurs efforts fut le même, c’est-à-dire, nier et miner les Écritures en tant que Parole inhérente de Dieu. Et, dans sa tentative, Newton a fort bien réussi, tout en conservant en même temps l’aura d’une personne paraissant religieuse et grande bienfaitrice de l’humanité. Kepler et Galilée furent pourchassés et harassés toute leur vie à cause de leurs efforts visant à détruire un gros tronçon des Écritures. Mais Newton a joui du confort de la célébrité et de la reconnaissance pendant toute sa carrière, même s’il avait atteint les mêmes fins.

En fait, il nous faut retenir l’impact qu’exerça l’hypothèse de la gravité « de Newton » sur les 18e, 19e et 20e siècles. Elle accéléra grandement la descente de la science théorique vers la métaphysique et la franche mythologie. En vérité, ce fut le succès de Newton qui pava la voie de l’endossement de l’establishment de la « science » d’une contrefaçon évolutionniste de la création biblique. Quand la grande brisure avec la Bible, en faveur du mensonge copernicien eut mis son grappin sur les universités de l’Europe, le chat anti-biblique sortit du sac et grimpa dans les rideaux. Tous les systèmes anti-bibliques imaginables déferlèrent pour de bon. En dedans d’une génération suivant la mort de Newton, Voltaire et certains autres lancèrent un concept évolutionniste d’homme/singe. Cela fonda un mécanisme ayant pris forme dans la géologie de Lyell, en Angleterre, vers 1830. Quelque trente ans plus tard, le darwinisme entra en scène par un complot bien orchestré pour vendre la première édition de son livre (un truc appris d’un stratagème similaire pour vendre le livre de Newton !). Une fois encore, ce furent les universités qui portèrent bien haut la bannière anti-biblique et sonnèrent la charge, répandant l’évolutionnisme sous couvert de Science. Tout comme le copernicisme avait été répandu sous déguisement de Science dans les générations antérieures.

L’offensive anti-biblique fut réellement sur sa lancée quand l’évolutionnisme darwinien eut mis son emprise sur les universités. Marx dit que l’évolutionnisme était le fondement de son système ; donc, le communisme fou décolla. (On l’appelait « matérialisme scientifique » aussi bien que « communisme », à ce moment-là. Comme nous l’avons vu, Engles réalisa avant Einstein que l’on ne pouvait permettre à rien dans l’univers de demeurer immobile si l’on voulait que le communisme athée puisse réussir.) Sigmund Freud, basant tous ses fantasmes pervers et libidineux sur l’homme en tant qu’animal évolué, lança sa révolution sexuelle anti-biblique qui a causé une misère incalculable et a contribué à produire la présente génération d’une jeunesse dépravée et pitoyable. Et, au milieu de tout ça, l’endoctrinement évolutionniste d’Hitler culmina dans son rêve d’une « race maîtresse de surhommes » qui aurait été génétiquement plus forte et plus pure, et aurait mérité de régner sur les peuples moins évolués.

L’on pourrait remplir dix gros bouquins juste avec la documentation disponible sur ce qu’on vient de mentionner. Et l’on pourrait en rédiger dix autres sur tous les autres personnages et tous les mouvements qui ont été engendrés du succès de la victoire de Newton sur le récit de la Bible concernant la Terre immobile. Lorsque Copernic, Kepler, Galilée et finalement Newton eurent atteint cette victoire, la Terre cessa d’être la création spéciale de Dieu sur laquelle Il créa l’homme à Son image et installa le décor de Son Plan parfait par Jésus-Christ. La Terre ne devint plus qu’un « tas de cendres grises et fatiguées », comme l’écrivit Thomas Wolfe. Elle n’avait plus rien de spécial en cet univers aléatoire de matière explosée. Il était ainsi naturel de partir de ce point de vue nihiliste vers une vision évolutionniste disant que l’homme et tout le reste ne sont que le produit d’un hasard sans but et sans intelligence survenu au cours de milliards d’années…

Et maintenant, dans la première décennie de ce 3e millénaire après Jésus-Christ, il est tout à fait naturel que l’athéisme radical (le communisme) et l’agnosticisme soient tombés et que les « religions » surnaturelles se gagnent des adeptes par troupeaux. Le Diable est d’accord avec toutes les « religions », en autant qu’elles optent pour un christianisme qui ne se fonde pas sur la Bible et pourvu qu’elles aient une résonance humaniste. Même les conversations à propos de Jésus sont tolérées tant que les gens ne deviennent pas « fanatiques » en insistant sur le fait que le récit de Jésus dans la Bible est véridique et, de ce fait, tout le reste de la Bible est vrai aussi. Sur ce point, on trace une ligne à savoir ce qui est acceptable et tolérable et ce qui est du fanatisme et qui doit être hué, ridiculisé et, si nécessaire, empêché d’avoir voix au chapitre.

Bref, le diable ne s’en fait pas avec la « religion » ; en fait, il promeut toutes sortes de croyances « religieuses ». Il a même besoin d’un paquet d’activités religieuses faites avec zèle, en autant qu’elles contredisent les vraies doctrines de la Bible. Car, après tout, lorsque les gens suivent une fausse religion ou de fausses doctrines, ils rendent, en fait, un culte à la source de ces mensonges (qu’ils le sachent ou non) et Satan est le père du mensonge ! C’est ce qu’il aime et c’est ce qu’il veut !

Dieu lui a permis d’utiliser tous les trucs (à l’intérieur de certaines limites) afin de lier toutes les œuvres de l’homme — spécialement ses religions et ses doctrines — par un nœud gordien de séductions. La puissance que Jésus a donnée à Son Église filtre partout dans le monde pour couper ce nœud avec l’Épée du Seigneur (la Bible seulement), comme Alexandre le grand fut reconnu avoir coupé le nœud gordien physique avec son sabre de métal.

Mais Dieu ne peut pas remettre ce pouvoir à des gens qui nient inconsciemment les Écritures ou en interprètent mal de grandes portions. C’est comme avoir dix générateurs avec dix commutateurs et que le peuple de Dieu tenterait d’en tirer le plein pouvoir en actionnant seulement deux ou trois commutateurs tout en ignorant les autres. Les Écritures expliquent clairement et sans ambages que Dieu le Père a montré à Jésus ce qu’Il devait faire et Lui, Jésus, a créé toutes choses !

« Et pour mettre en évidence devant tous quelle est la communication qui nous a été accordée du mystère qui était caché de tout temps en Dieu, lequel a créé toutes choses par Jésus-Christ » (Éphésiens 3:9).

« Car par lui ont été créées toutes les choses qui sont aux Cieux et en la terre, les visibles et les invisibles, soit les Trônes, ou les Dominations, ou les Principautés, ou les Puissances, toutes choses ont été créées par lui, et pour lui » (Colossiens 1:16).

« Nous a parlé en ces derniers jours par son Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses ; et par lequel il a fait les siècles … Et dans un autre endroit : toi, Seigneur, tu as fondé la terre dès le commencement, et les cieux sont les ouvrages de tes mains » (Hébreux 1:2, 10).

« Toutes choses ont été faites par elle [la Parole : Jésus-Christ], et sans elle rien de ce qui a été fait, n’a été fait … Elle était au monde, et le monde a été fait par elle ; mais le monde ne l’a point connue » (Jean 1:3, 10).

C’est évident comme dans tout enseignement de la Bible ! On n’adore pas Jésus seulement en tant que Sauveur, Rédempteur, Pourvoyeur et le reste… Non ! Il exige avec justesse qu’on l’adore comme Créateur de toutes choses « qui sont aux Cieux et en la terre » ! Comparativement peu de gens sur la Terre L’adorent ainsi. Et combien parmi eux L’adorent en tant que Celui qui a installé la Terre au centre de ce qu’Il a créé comme univers avec le soleil et tout le reste tournant autour d’elle ? Voit-on cela dans les églises ? L’enseignent-elles à leurs membres ? Évidemment non. Est-ce toujours par ignorance ou cela pourrait-il être quelquefois de manière intentionnelle ?

Mais peut-être les gens d’église, les évangéliques et tous ceux qui révèrent la Bible seront-ils convaincus une fois qu’ils auront lu de façon fervente ce principe biblique évident :

« Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes » (Marc 7:7).

Un vain honneur, vide de sens, dit Dieu, si nos doctrines sont tordues. Bon nombre de gens ont appris à louer Dieu spirituellement et, se joignant à la guerre spirituelle, à utiliser avec obéissance la foi, les armes et l’armure scripturales. Et Dieu a octroyé à ces gens une mesure des dons miraculeux décrits dans 1 Corinthiens 12:8-10. Mais la grande mesure de la puissance manifestée par l’Église du premier siècle ne peut pas être accordée à des gens et à des ministères qui, bien qu’opérant par les vérité de la foi et mêmes des œuvres, colportent aussi de graves erreurs doctrinales.

Si les chrétiens et les évangélistes, en tant qu’individus ou au sein de ministères ecclésiastiques (ainsi que tous ceux qui révèrent la Bible mais qui n’ont pas encore été motivés) qui se confient en toute la Parole de Dieu, se montraient hardiment en faveur de Jésus comme Créateur aussi bien que comme Sauveur et tout ce qu’Il est, alors le manteau d’Élie commencerait à voler de plus d’une manière ! Newton a peut-être solidifié la pierre angulaire de l’héliocentrisme qui a fourni le fondement de la « science faussement ainsi nommée » pour y ériger d’autres « ismes » l’un sur l’autre, mais Jésus est la vraie Pierre angulaire qui va les mettre en poudre lorsque ceux qui L’appellent Seigneur commenceront à l’honorer comme Créateur.

Tout cela est relié ensemble et s’accorde avec le compte-rendu concernant Newton. Voici une brochette de petits faits informatifs qui en disent long à propos de Newton et son œuvre. Rappelez-vous que nous avons vu que le bouquin de Newton (Principia, publié en 1687) fut élevé au niveau de chef-d’œuvre avant même son apparition et que toutes les copies furent vendues dès le premier jour, comme le livre de Darwin 182 ans plus tard. Rappelez-vous également la citation où il fut dit que Newton avait inventé un nouveau genre de mathématiques, appelé calcul différentiel pour expliquer ses idées. Eh bien, concernant son livre contenant ces idées, un auteur a noté ceci :

« Cela est remarquable en vue du fait qu’il est sûr que personne ne le comprenait à l’époque et il est plus que douteux que quiconque ait pu le comprendre depuis. »[17]

En fait, le magnus opus de Newton, la soi-disant Loi de la Gravité Universelle, ne dit pas ce qui cause la gravité, ce qui fait toutes les choses qu’il dit qu’elle faisait, ou même ce que c’est. Jusqu’à ce jour, personne ne sait…

« …pourquoi deux corps devraient s’attirer l’un l’autre et si même ils le font. »[18]

Tirons une autre sonnette d’alarme. Newton ne croyait pas lui-même à la pleine application de l’hypothèse sur la gravité ! Dans une lettre adressée à Richard Bentley, qui donnait des conférences sur les théories gravitationnelles de Newton, Sir Isaac écrivit :

« Que la gravité soit infuse, inhérente et essentielle à la matière … est, pour moi, une absurdité si grande que je crois qu’aucun homme qui possède une faculté de penser compétente en matière philosophique ne tombera dans cette trappe… »[19]

On voit ici que Newton ne fut pas très prévoyant, car nous avons déjà vu, dans la section des Mathématiques, que les cracks du communisme avaient persisté à dire que toute matière dans l’univers devait être en mouvement. Et, bien sûr, le point de vue d’Einstein était le même que ces communistes et tous les autres depuis Engels (à savoir qu’aucune matière ne pouvait être immobile dans l’univers). C’était la mesure par laquelle les marxistes, c’est-à-dire, les athées, jaugeaient toute la question de la matière. Si on devait expliquer l’origine du monde et de l’univers par le moyen de causes naturelles (sans Dieu), il fallait donc que toute matière soit en mouvement… Sinon, l’on ne pouvait être sûr que le récit de la création biblique ne soit pas vrai…

Cependant, Newton hésita à aller si loin. Un écrivain communiste s’en plaignit, d’ailleurs :

« Newton accepte l’existence de l’espace absolu, immuable ; pour lui, l’inertie est possible en tant que l’absolue inertie sans mouvement, et donc, l’existence de matière absolument immobile … est physiquement possible. »[20]

Comprenez bien le principe, ici. Le fait d’accepter le mouvement des planètes ou une possible inertie a beaucoup d’importance aux yeux des « scientifiques » et des athées. S’il y a des corps célestes qui ne sont pas en mouvement, la théorie du Big Bang s’écroule. Dans leur tête, pour que le Big Bang soit plausible, il faut que TOUS les corps célestes soient en mouvement. Donc, par extension, la Terre non plus ne doit pas être immobile. L’existence de corps immobiles sous-entend automatiquement un Créateur !

Mais pourquoi Newton affirma-t-il avec tant d’insistance pour dire que la Terre était en mouvement s’il croyait fermement qu’il pouvait y avoir de la matière inerte dans l’univers et qu’il y a un Dieu créateur derrière toutes choses nous entourant et ce qui se trouve dans l’espace ? Un peu déroutant, n’est-ce pas ? Les seules explications que nous pouvons fournir sont celles-ci :

  1. Newton voulait croire en Dieu, mais ne voulait pas croire dans la Bible. Il savait qu’il y a un Dieu en constatant l’incroyable design de toutes choses. Et là où il y a un design, il doit y avoir un Designer. Tout simple. Ce que Newton et des millions d’autres rejetaient, ce n’était pas Dieu le Designer, mais la Bible en tant que Sa Parole inhérente. Rappelons-nous le verset de Jacques 2:19 : « Tu crois qu’il n’y a qu’un Dieu ; tu fais bien ; les Démons le croient aussi, et ils en tremblent. »
  2. Newton était membre de la classe élevée, si l’on peut dire, et cela n’était tout simplement pas très à la mode ni de bon goût, ni même habile d’aller contre l’establishment de l’église et de toute ses traditions et, donc, de se montrer bêtement agnostique, encore moins athée. C’était une chose que de poursuivre dans la veine du copernicisme qui roulait sa bosse depuis un siècle et demi et qui avait de nombreux supporteurs dans l’église, dans le gouvernement, etc., mais c’était une autre chose que de nier le Dieu Designer.
  3. La promptitude de Newton à altérer les Écritures de façon majeure en niant la divinité du Christ établit comme fait qu’il ne craignait pas de défier les fondements de la Bible et de s’y opposer. Étant donné cette disposition, rien de plus naturel que Newton ait été l’instrument parfait de Satan, à la bonne place et au bon moment, pour lancer sa torpille héliocentrique contre la Doctrine biblique géocentrique de la Création, pendant qu’il apprêtait sa torpille de l’évolutionnisme pour qu’elle suive et termine le travail.
  4. N’importe quel livre d’une étagère pleine de bouquins sur Newton soulignera qu’il passa trente ans de sa vie à tripoter l’alchimie en essayant de transformer du métal en or. La plupart des écrivains passent par-dessus cela et tentent de l’excuser d’une façon ou d’une autre. Mais trente ans à tripatouiller dans la Magie noire de l’Alchimie, c’est long dans la vie d’un des plus célèbres scientistes de toute l’histoire. Trente ans de kabbale ésotérique ! Vu son implication dans la poursuite d’une chose pour le moins très matérialiste (c’est le moins qu’on puisse dire !) et les autres choses mentionnées dans les paragraphes 1), 2) et 3), je crois équitable de formuler l’hypothèse que Newton avait la ligne de pensée le mettant sur la fréquence de Kepler, pour ainsi dire, et servit de véhicule pour établir le copernicisme (par des mathématiques inventées) comme pierre angulaire de la physique moderne, de l’astronomie et de la cosmologie pour les 300 ans à venir.
  5. Dans les dernières années de sa vie, Newton fut en charge de la Monnaie britannique où il y avait tout plein d’or véritable ! Après avoir passé trente ans à essayer de faire de l’or avec du plomb, le bonhomme se trouva avoir la clé de voûte où était emmagasiné l’or de l’Empire le plus riche de la Terre !

On peut être sûr qu’il voulait ce travail à la Monnaie britannique. En fait, certains écrivains allèguent qu’il obtint cette position à la tête de la Monnaie en exploitant bassement (au dire de tout le monde) les charmes considérables et la beauté d’une jeune nièce qui vivait avec lui depuis vingt ans…[21]

Dépendant du penchant de chacun, ce genre d’information peut ajouter plus ou moins à la compréhension que l’on peut avoir de ce qui poussait Newton. Or, même si l’on écarte entièrement sa passion pour l’or, sa conscience bourgeoise, sa capitalisation des idées de Kepler pour son avantage personnel, etc., nous ne pouvons écarter les faits concernant sa volonté de substituer « ses vérités » aux enseignements des Écritures. C’est là qu’il fit sa marque, en fournissant de nouvelles mathématiques et quelques nouvelles théories à propos de la gravité et du mouvement qui firent en sorte que le copernicisme triompha de la Bible.

Mais saviez-vous que, 200 ans après que fut lancé le livre de Newton, il y eut une expérience qui menaça le fondement copernicien de l’establishment de la science que l’on croyait avoir été assuré pour toujours par Newton ?

_________________________________________________________

[1] Hans Reinchenbach, De Copernic à Einstein, (N. Y. Dover Publications, 1980), pp. 83, 84.

[2] Stimson, Acceptation graduelle, p. 90.

[3] Hoyle, Astronomie & Cosmologie, p. 431.

[4] N.M. Gwynne, Sir Isaac Newton et l’astronomie moderne, (Bibliothèque catholique britannique, Londres, pas de date), p. 32.

[5] Ibidem.

[6] Ibidem.

[7] Ibidem, p. 16.

[8] Lear, Le rêve de Kepler, p. 18.

[9] Ibidem, p. 62.

[10] Ibidem.

[11] Ibidem, p. 71.

[12] Ibidem, p. 95.

[13] Ibidem, pp. 62, 63.

[14] Gwynne, Newton, p. 7 (cité de Never at Rest (Jamais en repos), de Richard Westfall, p. 313).

[15] Lear, Le rêve de Kepler, p. 66.

[16] Nancy Pearcy, Qu’y a-t-il dans un “isme” ?, Bible Science Newsletter, (Minn. MN, septembre 1990), Vo. 28:9, p. 7.

[17] Gwynne, Newton, p. 18.

[18] Ibidem, p. 16.

[19] Ibidem, p. 17.

[20] Dr Joseph Needham, Fwd. La science à la croisée des chemins, “La théorie de Marx sur le processus historique”, (London : Frank Cass et Co., Ltée, 1971), p. 187.

[21] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Vol. 13, p. 20.




D.140 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-2

 

TROISIÈME PARTIE

(2)

Galileo Galilei

La plus grande partie de sa vie, Galilée (comme son ami Kepler) affirma, sans jamais de preuve scientifique pour le soutenir, que le copernicisme était vrai et que la Bible était fausse à savoir si c’est le soleil ou la Terre qui bouge.

Dans une encyclopédie, nous lisons : Ce mathématicien, astronome et physicien (1564-1642) :

« …amassa des principes qui prouvent que la Terre tourne autour du soleil et qu’elle n’est pas au centre de l’univers, comme on le croyait. »[1]

Voilà ce que tout le monde, y compris vous et moi, apprenons dans les écoles ou dans les encyclopédies, c’est-à-dire que Galilée prouva que la Terre tourne autour du soleil. Nous avons aussi appris que Galilée inventa le télescope (ce n’est pas vrai !). J’ai acquis l’idée à l’école, et sans doute vous de même, qu’il avait inventé le télescope et vit dedans des choses que personnes n’avait jamais pu voir auparavant, des choses qui prouvaient que la Terre tournait autour du soleil (ce qui sous-entendait qu’elle tournait aussi sur un axe). Je veux dire que j’appris comme étant un fait que Galilée avait bien accompli ces choses-là et prouva que le système héliocentriste copernicien était véridique et que le système géocentrique biblique était faux.

Je ne sais pas en ce qui vous concerne, mais pour moi, ce genre d’information me fit croire à la disqualification de la Bible comme source première de vérité. Le diable vit à ce que je prenne aussi pour acquis comme fait scientifique le concept de l’évolution. Deux fausses balles à mon compte. À l’âge de treize ou quatorze ans, je me considérais déjà comme athée et les livres que j’ai lus ne firent que renforcer ma conclusion inébranlable et apparemment inchangeable concernant les faits scientifiques colportés par la société. Je ne voulais pas croire à Dieu et ces « preuves » me cautionnaient.

Heureusement, dans la vingtaine, Dieu me fit comprendre Son existence. Mais l’église à laquelle j’adhérai ne vint pas démentir une seconde l’héliocentrisme et n’osait pas vraiment se prononcer au sujet de l’évolutionnisme. Or, le danger réside en ce que, si la Bible n’est plus crédible en ce qui a trait au géocentrisme et au récit littéral de la création, comment peut-on accorder créance aux autres événements racontés dans ses pages ? Peut-on croire ensuite aux miracles de Jésus-Christ ? Il semblait indéniable, même aux yeux de la hiérarchie des églises, que la « science » avait prouvé que la Bible se trompait sur la mécanique des corps célestes, sur l’origine de la vie, sur le déluge du temps de Noé, etc..

Comment, face à la destruction scientifique apparente de la crédibilité de la Bible, pouvait-on, sans paraître un nigaud religieux obtus et illogique, croire à la naissance virginale, aux miracles, aux résurrections, au salut et au Royaume ? C’est le raisonnement que je me faisais et je suis sûr que, plus ou moins consciemment, des centaines de millions de gens dans ces derniers siècles se sont fait approximativement le même genre de raisonnement.

Nous pouvons donc remercier notre Dieu qu’Il n’abandonne pas ses brebis perdues dans l’ignorance. Il y a maintenant de nombreuses années, Il me montra des exemples démontrant que le design de l’évolution était impossible. L’évolutionnisme — comme nous le soulignons tout du long — n’est rien d’autre qu’une impérieuse contrefaçon de la création de Dieu. C’est un habile mensonge surnaturel qui me trompa et virtuellement tout le monde lettré. Il a miné la Bible à un point que même les évangéliques, et encore moins les chrétiens nominaux, n’arrivent pas à comprendre.

Le Jésus de la Bible est le Créateur aussi bien que le Sauveur, comme l’enseignent clairement les Écritures :

« Et pour mettre en évidence devant tous quelle est la communication qui nous a été accordée du mystère qui était caché de tout temps en Dieu, lequel a créé toutes choses par Jésus-Christ » (Éphésiens 3:9).

« Car par lui ont été créées toutes les choses qui sont aux Cieux et en la terre, les visibles et les invisibles, soit les Trônes, ou les Dominations, ou les Principautés, ou les Puissances, toutes choses ont été créées par lui, et pour lui » (Colossiens 1:16).

« Nous a parlé en ces derniers jours par son Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses ; et par lequel il a fait les siècles … Et dans un autre endroit : toi, Seigneur, tu as fondé la terre dès le commencement, et les cieux sont les ouvrages de tes mains » (Hébreux 1:2, 10).

« Toutes choses ont été faites par elle [la Parole, Jésus-Christ], et sans elle rien de ce qui a été fait, n’a été fait … Elle était au monde, et le monde a été fait par elle ; mais le monde ne l’a point connue » (Jean 1:3, 10).

J’étais donc bien apprêté à douter de la Bible après que j’eus appris que Galilée l’avait fait éclater avec son télescope. Et, bien sûr, même si je suis devenu par la suite chrétien, tout ce que je lisais après coup des écrits séculiers confirmait ce fait hypothétique. Le fin mot de ce raisonnement résulte toujours en une sorte de christianisme tiède, affaibli, édulcoré, ou bien en agnosticisme, ou encore — si l’on continue dans ce chemin — en athéisme.

Lorsque, par la grâce de Dieu, j’appris que l’évolutionnisme n’était rien d’autre qu’une gigantesque supercherie, un monumental déchiquetage anti-scientifique de la Vérité, je ne pus comprendre pourquoi les églises chrétiennes ne qualifiaient pas le darwinisme de bluff et ne jetaient pas toute cette insanité dans les roses. En vérité, il devait bien y avoir une explication pour laquelle les églises chrétiennes ne livraient pratiquement pas bataille au darwinisme mensonger qui n’avait pas (et n’a toujours pas) la moindre preuve à son actif.

Or, après avoir vu avec clarté les machinations diaboliques derrière l’héliocentrisme, la raison pour laquelle le darwinisme a mis les églises K.O. au premier round n’est plus difficile à comprendre. Elles avaient d’abord été droguées avant le combat par leur acceptation de l’héliocentrisme ! Messieurs Copernic, Kepler, Galilée et Newton avaient fourvoyé les croyants de nombreuses années auparavant ! Ils étaient déjà groggy et chancelants avant que le défi darwinien ne fasse irruption. Les églises avaient déjà succombé sous l’accusation héliocentriste que la Bible ne pouvait servir de bouquin scientifique. En 1613, Galilée établit clairement sa position sur ce point. Il écrivit :

« Sur les questions concernant les sciences naturelles, les Saintes Écritures doivent occuper la dernière place… »[2]

Si des idiots religieux voulaient croire quoi que ce soit de la Bible, c’était leur obscure prérogative. Mais du côté des scientistes, oh non ! En fait, à mesure que les ans passèrent, l’establishment scientifique adopta la philosophie de Galilée concernant la science et la Bible, et commença à s’écrier d’une seule voix : « Les astronomes et les physiciens vous ont montré, à vous, ignorants, que la Terre se meut, alors que la Bible dit qu’elle ne se meut pas. Maintenant, après cette leçon, serez-vous assez stupides pour défier les géologues et les biologistes quand ils vous disent que l’homme et tout le reste ont évolué sur plusieurs milliards d’années et que votre récit juvénile de la création biblique doit aussi être extirpé de l’esprit des gens ?! »

Il est donc indiscutable qu’on s’est servi de Galilée pour détourner le monde du géocentrisme biblique et, de là, de la Bible comme étant dépositaire de la Vérité sur tous les sujets qu’elle aborde. Remarquez cette déclaration faite à propos de notre vénérable astronome italien bien avant qu’il ait entendu parler de télescope ou qu’il ait « prouvé » quoi que ce soit :

« Galilée devint convaincu, très tôt dans la vie, de la vérité de la théorie de Copernic (…) mais fut découragé d’avouer ses opinions — comme le démontre sa lettre du 4 avril 1597 qu’il adressa à Kepler — par peur du ridicule. »[3]

C’est un point historique et biographique fort révélateur ! Cela démontre que le jeune Galilée (33 ans) partageait ses opinions favorables au copernicisme (fondées sur aucune preuve) avec son benjamin Kepler (26 ans) qui deviendrait, deux ans après, l’assistant de l’astronome en chef de l’époque, Tycho Brahe. Dû à la grande réputation de Brahe et à la clarté de son modèle géocentrique, Tycho, comme nous l’avons vu, s’éleva fermement contre le copernicisme et s’érigea en formidable rempart contre la montée de la conspiration visant à enfoncer le copernicisme dans la gorge du monde sans la moindre parcelle de preuve scientifique pouvant supporter ses affirmations. De la manière que Galilée et Kepler voyaient les choses, Tycho Brahe se mettait en travers du « progrès ».

Mais pas pour longtemps ! Le levain fermentait déjà sous son nez. Comme nous l’avons déjà noté, un agent-double, élevé par une sorcière qui fut elle-même enseignée par une autre sorcière, s’inscrivit au livre de paie de Brahe et fut témoin de ses moindres mouvements. Le camarade Galilée et le camarade Kepler partageaient le même ardent désir d’abattre le système biblique avec sa Terre fixe. Il n’y a aucun doute à ce sujet. Et aucun d’eux ne produisit jamais une quelconque preuve pour soutenir leur croyance dans le copernicisme. Sur ce point aussi, il n’y a pas de doute, en dépit de ce qu’en disent les encyclopédies et dix millions d’autres livres. Les deux tentèrent de duper les administrateurs ecclésiastiques à propos de leurs intentions, mais ne réussirent jamais (au plus grand mérite de ces ecclésiastes jusqu’à ce jour !).

La raison pour laquelle ils ne réussirent pas à tromper ou à changer ces administrateurs ecclésiastiques est très simple : les leaders catholiques romains et les leaders de l’Église luthérienne voulaient voir les preuves évidentes du mouvement de la Terre dont jacassaient Galilée et Kepler, et aucun d’eux ne put en produire. Cela dit, imaginez l’allégresse de Galilée quand son copain Kepler prit un arrangement de partenariat avec Brahe, le leader des troupes ennemies ! Et lorsque Tycho mangea un bon gros repas et fut malade à en vomir (pendant qu’il suppliait Kepler de ne pas utiliser le travail de sa vie pour soutenir le copernicisme), pouvez-vous vous imaginer la peine de Galilée ? Et quand Kepler prit le contrôle de toute l’œuvre de Brahe, pensez-vous que Galilée se désintéressa de la chose ?

Ce fut à ce stade que la balle de l’héliocentrisme fut lancée dans le camp de Galilée. Tiraillé d’un côté par les contrainte de l’Église catholique et, d’un autre côté, par son impulsion à faire avancer le système copernicien, Galilée perdit trente ans à jouer au yo-yo entre les deux.

Comme nous l’avons vu, l’histoire a fait de Galilée un saint séculier et lui donne crédit d’avoir prouvé le copernicisme. (Car, vous ne le savez peut-être pas, mais l’histoire est comme la « science », ce qui revient à dire qu’elle est criblée de mensonges « révisionnistes » et de demi-vérités et soutient ce que les pouvoirs en place veulent qu’elle soutienne. L’on doit compulser avec obstination un bon cent kilos de biographies de Galilée, Kepler, Newton, Einstein, etc., approuvées par l’establishment, pour en soutirer quelques grammes de vérités. S’il y avait un montant assez sérieux de vérité dans ces bouquins, ils ne seraient tout d’abord pas publiés ou on y aurait fait obstacle au niveau de la distribution et du marketing. Après tout, ce sont les vainqueurs qui fabriquent les règles ! Et il n’y a certainement personne qui niera que les héliocentristes — et les évolutionnistes — sont les vainqueurs dans cette bataille contre les Écritures, et ce depuis fort longtemps ! Mais le combat n’est pas terminé et son issue ne fait aucun doute !)

Pour ce qui est de la bataille de Galilée contre l’Église catholique, le verdict n’est pas nul à l’heure où vous lisez ceci ! Le problème de l’Église catholique en est un difficile. Au début du 17e siècle, elle amena Galilée en cour et le força à abjurer ses tentatives de promotion du copernicisme (jusqu’à ce qu’il put produire une preuve quelconque). Or le dilemme qu’elle affronte, encore aujourd’hui, est celui-ci : elle ne peut se servir des Écritures pour se donner raison, car il lui faudrait alors réviser toutes ses doctrines qui ne sont pas bibliques. Elle adopte donc une attitude autoritaire en se servant d’arguments humains (c’est tout ce qu’elle possède) pour faire valoir son point. Or, aujourd’hui, cela a pour effet de la faire rejeter par la masse de la population qui n’y voit qu’une argumentation débile et étroite d’esprit. Mais, étant assimilée, dans l’esprit de la majorité des gens, à l’Église que Dieu a fondée, c’est toutes les Écritures qui sont rejetées, car les gens ne vérifient pas si ce que dit l’Église catholique est vraiment basé sur la Bible. Sur les deux tableaux, Satan semble gagnant.

Concernant la bataille Galilée versus Rome, l’Église catholique veut aujourd’hui alléger ou effacer l’image d’un corps ecclésiastique s’étant érigé contre ce que le monde entier considère maintenant comme la vérité du copernicisme et le martyre virtuel de Galilée. Le pontife actuel, Jean-Paul II, est un ardent héliocentriste évolutionniste.[4] Cela ne nous surprend absolument pas. Ce pape démontre régulièrement jusqu’à quel point il ne croit ni en Dieu, ni en Sa Parole. Il a tenu des réunions sur le sujet de l’héliocentrisme à plusieurs reprises, et l’historique de l’opposition de l’église romaine à Galilée et au copernicisme est édulcoré et lavé graduellement et doucement jusqu’au moment où cela ne présentera plus d’embarras.

Aah, la science, l’histoire et la religion ! Ces merveilleux bastions de la vérité dans un monde troublé… Terminons avec une ou deux citations à propos de Galilée :

« Les avancés extraordinaires qu’il réalisa furent dus à l’application des analyses mathématiques au problèmes de la physique. »[5]

Comme nous l’avons vu dans la Partie II (les Mathématiques), il est important de comprendre. C’est important, non seulement en ce qui a trait à Galilée et Copernic avant lui, mais également en ce qui concerne Newton et Einstein et tout le reste des coperniciens après lui. Aucun d’eux n’a jamais prouvé que la Terre tourne. Personne d’entre eux. Ce qu’ils ont fait, c’est de fabriquer des modèles de mathématique abstraite qui déclaraient que la Terre bouge ou, dans le cas d’Einstein, produire des modèles de maths abstruses déclarant que tout est en mouvement, mais que personne ne pouvait dire qu’est-ce qui bougeait par rapport aux autres. Les modèles mathématiques déclarant que la Terre est stationnaire se formulent et se comprennent bien plus facilement. Mais, évidemment, ni ceux-ci, ni les modèles héliocentriques ne prouvent leur cas, simplement parce qu’ils tirent des conclusions opposées et irréconciliables.

Mais pour le présent, disons de la contribution de Galilée que, en résumé :

« …il ne posséda aucune preuve sans équivoque pour son modèle héliocentrique. »[6]

J’aurais aimé avoir lu cela quand j’avais quatorze ans plutôt que les commentaires trompeurs sur Galilée. J’aurais peut-être développé bien avant l’amour de la vérité qui mène au salut (2 Thessaloniciens 2:10), et j’aurais alors évité des années dans la grisaille des brumes du mensonge. Mais Dieu, notre Père, sait comment distribuer sa connaissance de la vérité à chacun de ses enfants, selon ce que nous pouvons assimiler et dans le temps et à l’époque voulue. À cette époque-là, je lisais trop de petits comiques…

***

Giovanni Riccioli

Le nom et l’œuvre de cet astronome qui réfuta le copernicisme fut littéralement enterré par le triomphe de ce dernier système. Même si elle fut virtuellement réduite au silence dans l’histoire des révisionnistes, la voix de Riccioli, et la voix de bien d’autres au fil des siècles jusqu’à aujourd’hui, nous est fort instructive en cette présente génération.

Plus de cent ans après qu’ait été lancé le livre de Copernic, la balance pesait encore pesamment en faveur de la Terre immobile, au regard des astronomes les plus estimés (voir l’Illustration II). L’astronome jésuite Riccioli (1598-1671) représentait :

« …la marque de marée haute de l’opposition (…) sur cette grande controverse de l’époque. »[7]

Riccioli, comme de fait, fut reconnu pour deux choses. L’une d’elles était son étude télescopique détaillée de la lune. Selon certaines observations de Grimaldi :

« …il construisit une carte topographique de la lune (1651-) supérieure à celle antérieure d’Hevelios. »[8]

Illustration II

Les Systèmes du Monde en 1651 selon le Père Riccioli (Fac-similé réduit de la page frontispice de Almagestum Novum de Raccioli, Bologne 1651.)

 

L’autre fait notable concernant Riccioli est que, plus d’un siècle après Copernic, il…

« …devint un des plus ardents opposants du système de Copernic… »[9]

Ses deux volumes soutenant le modèle d’une Terre immobile s’intitulaient Almegestum Novum et furent publiés en 1651. Riccioli fit également la liste des gens compétents pouvant aborder le sujet du copernicisme à son époque. Sa liste contenait seize noms favorisant le modèle de la Terre qui se meut et trente-huit noms en faveur du modèle de la Terre fixe. Il énuméra aussi…

« …quarante nouveaux arguments pour Copernic et soixante-dix-sept contre lui. »[10]

Riccioli n’était pas seul à s’objecter contre le copernicisme, au 18e siècle. Sir Frances Bacon (certainement un des intellectuels les plus considérés dans la période précédant Kepler-Galilée) fustigea le copernicisme dans une demi-douzaine de bouquins. Dans l’un d’eux, il a dit :

« …Le schéma de Copernic est inopportun ; il surcharge la Terre d’un mouvement triple (…) [Les affirmations de Copernic] sont les spéculations de quelqu’un qui ne se soucie guère des fictions qu’il introduit dans la nature, pourvu que ses calculs y répondent. »[11]

Les professeurs Feyens et Froidmont, de l’Université de Louvain, s’opposaient activement au copernicisme durant cette même période. Parlant du livre de Froidmont, publié en 1633, Stimson, écrivant en 1917, dit :

« Il nia aussi, et avec raison, l’existence à l’époque de toute preuve concluante [du copernicisme]. »[12]

En vérité, qu’il soit bien clair dans l’esprit du lecteur tout au long de ces pages qu’il n’y a jamais eu, et qu’il n’y a pas maintenant, une seule preuve dans le monde entier qui prouve de manière concluante que la Terre bouge. Au contraire, il y a une masse de preuves, parfaitement observables, démontrables et qui se répètent, qui montrent que la Terre ne bouge pas ! Le fardeau de la preuve repose sur les épaules des coperniciens et, même si le monde croit que de telles preuves existent depuis des siècles et que la question est close, le fait incontournable, c’est qu’il n’y eut pas de preuves du copernicisme au 16e siècle, ni au 17e siècle, ni au 18e siècle, ni au 19e siècle, ni au 20e siècle, et il n’y en a pas au 21e siècle — il n’y aura jamais de preuve parce que la Terre ne bouge pas !

Regardons encore quelques exemples, pendant que nous sommes au 17e siècle. Le professeur Gerogius Agricola réfuta le copernicisme à l’Université de Württemberg en 1665.[13] En 1667, l’astronome royal suédois, Johann Henrich Voight…

« …préféra le système tychonique [une Terre qui ne bouge pas]… »[14]

Un astronome jésuite (paradoxe ?), le « père » Tacquet, dénonça le copernicisme dans son livre publié en 1669.[15] Riccioli lui-même arriva avec une autre publication, en 1669, qui était…

« …une apologie en faveur d’un argument à partir des mathématiques physiques contre le système copernicien. »[16]

Du côté copernicien, comme nous allons le voir,…

« …l’apparition du Pincipe de Newton, en 1687 (…) mit fin à l’hésitation de la plupart des gens. »[17]

La plupart, mais pas tous ! Cela tend à démontrer un principe. Dans bien des cas, les gens ne croient pas à quelque chose parce que cela leur est démontré comme vrai, mais ils y croient parce qu’ils VEULENT que cela soit vrai ! Cela fait leur affaire ! Croire à la vérité implique trop d’effort et de changements, pensent-ils. Le phénomène était vrai hier et il est tout aussi vrai aujourd’hui. Le copernicisme leur semblait donc beaucoup plus opportun que de croire que la Bible, avec tout ce que cela implique, constitue la vérité de Dieu.

Quoique l’idée contre-scientifique de Newton de rendre universelle l’application de la soi-disant loi de la gravité se répandit à l’Université d’Oxford, en Angleterre, à l’Université de Yale et à l’Université de Pennsylvanie, dans les colonies au début du 18e siècle, Newton ne prouva jamais que la Terre tourne. Pas du tout ! Nous verrons ce qu’il a fait dans la portion qui lui est consacrée. Néanmoins, beaucoup de gens, particulièrement dans les universités, se sont affaissées devant l’offensive newtonienne. Toujours en 1770, même si…

« …l’astronomie copernicienne/newtonienne était devenue communément acceptée chez la plupart des gens éduqués d’Angleterre (…) le grand John Wesley ne considérait les systèmes de l’Univers que comme des “conjectures ingénieuses”. »[18]

Nous notons dans cette citation que la PLUPART des gens éduqués approuvaient le copernicisme. La PLUPART ne veut pas dire tous, n’est-ce pas ? Ce pourrait être aussi bien 51% que 99%. Coupons en deux et établissons 75%. Cela ferait tout de même 25% des gens bien éduqués, en Angleterre, qui ne croyaient pas au copernicisme, autour de 1770, même si leur propre superstar Sir Isaac avait été canonisé dans le monde entier par l’establishment scientifique de l’époque.

Selon encore la même citation, on se demande quel pourcentage de la population qui n’était pas « bien éduquée » goba l’idée que la Terre révolutionnait à plus de 1 040 km/h sous leurs pieds et, en même temps, filait autour du soleil à plus de 105 600 km/h ?? (Mais, après tout, nous devons être prudents et ne pas insérer le « gros bon sens » et le « petit peuple » dans une matière « scientifique » de si haut niveau, non ? Dieu sait si le petit peuple d’Angleterre, doué d’un bon sens traditionnel et d’une résistance historique face à tout ce qui pouvait les menacer d’esclavage, aurait probablement exigé des preuves de M. Newton — et plus tard de M. Darwin — au lieu de permettre qu’ils soient enchâssés comme demi-dieux dans la cathédrale de Westminster Abbey !)

Considérons un autre Anglais, un dénommé James Bradley. L’encyclopédie dit que, en 1728, cet astronome…

« …annonça sa découverte de l’aberration de la lumière des étoiles, un léger changement apparent de la position des étoiles causé par le mouvement annuel de la Terre. Cette découverte fournit la première preuve directe de la révolution de la Terre autour du soleil. »[19]

Bizarre. La même encyclopédie et une tonne d’autres textes nous assurent que Copernic, Kepler, Galilée et Newton ont déjà donné au monde toutes les preuves dont il avait besoin pour établir que la Terre tourne autour du soleil avant que Bradley fasse sa grosse annonce. Incidemment, Bradley devint astronome royal de l’Empire britannique en récompense de sa « découverte » à la Mickey Mouse. Quelle découverte ? Il débuta en prenant pour acquis que la Terre se mouvait, remarqua une légère déviation de la lumière des étoiles et annonça ensuite que la déviation prouvait l’assertion de laquelle il était tout d’abord parti.

Insistons. Le père Spagnio, qui était…

« …évidemment très au courant du travail de Bradley, déclara, vers 1774, qu’il n’y avait rien de décisif d’un côté ou l’autre de la grande controverse entre les systèmes. »[20]

Apparemment, bon nombre pensaient qu’il y avait toujours une grande controverse sur le sujet et que « rien de décisif » n’avait été apporté, y compris plus spécifiquement la « preuve » de Bradley, près d’un demi-siècle plus tôt. Au fil du temps, ces faits additionnels à l’encontre du copernicisme s’avéreront intéressants pour plusieurs :

« Au sein de l’Église catholique romaine, l’opposition à la doctrine [du copernicisme] fut officiellement affaiblie en 1757, mais ne prit pas entièrement fin avant la publication de l’Index de 1835… »[21]

Pour ce qui regarde l’opposition du protestantisme au copernicisme :

« …Luther, Melanchthon, Calvin, Turrettin, Owen et Wesley sont parmi les opposants les plus notables … [En réalité] ceux qui interprétaient littéralement les Écritures étaient encore troublés et hésitants, jusqu’à ce jour. »[22]

Ainsi l’écrivait le Dr Stimson en 1917, ce qui est maintenu dans la réimpression de 1972. En 1846, un manuscrit intitulé Copernic réfuté, circulait aux Etats-Unis.[23] En 1854…

« …Carl Schoepffer prit la défense du système tychonien d’une Terre immobile, à Berlin… »[24]

En 1856, un Danois nommé Zypten raviva « le schéma tychonien d’une Terre immobile ».[25] Jusqu’à sa mort, en 1859, le scientiste connu internationalement, Alexandre Von Humboldt, pensait qu’aucun physicien ou astronome ne s’était dressé publiquement contre le copernicisme. Cependant, il déclara en privé sa conviction en la matière :

« Je sais depuis longtemps que nous ne possédons aucun argument en faveur du système copernicien, mais je n’oserais jamais être le premier à l’attaquer. Ne tombe pas dans ce guêpier [dit-il à un ami]. Tu vas t’amener le mépris de la multitude des irréfléchis. Si jamais un astronome célèbre se lève contre la conception présente, je communiquerai aussi mes observations ; mais m’avancer comme le premier contre l’opinion générale sur laquelle s’est fondé le monde, je ne m’en sens pas le courage. »[26]

En 1859…

« …une assemblée du clergé luthérien se réunit à Berlin pour protester contre ce qu’on appelait faussement “la science” et déclara que la théorie copernicienne “était complètement incompatible avec l’enseignement de la Bible”. »[27]

« Les écrivains allemands [note un des auteurs], luthériens ou pas, semblent s’être opposé au système [de Copernic] plus souvent à la fin du 19e siècle que les écrivains des autres nationalités. »[28]

En 1894, Tischner, un autre Allemand, publia un livre de plus contre le copernicisme. En dehors de ce volume et de ses autres livres, Tischner fit une liste de vingt-six autres livres anti-coperniciens publiés entre 1758 et 1883. »[29] Mais les Allemands ne constituaient pas la seule opposition au 19e siècle. En 1878…

« …le peintre italien, Sundico, bombarda le directeur de l’Observatoire de Paris (…) de nombreuses lettres protestant contre le système copernicien. »[30]

En 1900, le général John Watts de Peyster, de New York, fit traduire et publier aux Etats-Unis les travaux anti-coperniciens du professeur Schoepffer.[31] Même en 1868…

« …la conférence [de Schoepffer] contre le copernicisme était dans la septième édition. »[32]

En 1901, le professeur J. R. Lange, un Allemand vivant en Californie, réagit à la lecture de la publication par le général de Peyster des arguments de Scoepffer contre le copernicisme. Le professeur Lange…

« …considéra que la doctrine de Newton de l’attraction universelle était un “non-sens” et qu’il avait la “preuve absolue” par la fixité de l’Étoile polaire que la Terre ne bouge pas. Dans une lettre qu’il envoya au général de Peyster, il écrivit : “Espérons et prions pour que les jours du pernicieux système copernicien soient comptés”. »[33]

(Le mot « pernicieux » est un adjectif précis et parfaitement adapté à la description du « Système copernicien ». Il sous-entend « mortel », « d’un caractère grandement injurieux et destructif » et « dans l’intention de faire du mal ; méchant ».)

Autour de 1915, l’Encyclopédie catholique insérait cette déclaration écrite par un dominicain anglais :

« Si, maintenant, la volonté pousse un intellectuel à prendre en considération un point à débattre — ex. : les théories copernicienne et ptolémaïque — il est clair que l’intellectuel ne peut prétendre qu’à un seul de ces deux points de vue (…) Mais aucune des visions précitées n’a, quant à nous, plus qu’une probable vérité (…) Le fait que les hommes adhèrent à l’une des deux visions de manière plus tenace que ce que l’argumentation le justifie, ne peut être dû qu’à une cause intrinsèque, i.e., qu’il est absurde de ne pas adopter ce qu’une majorité d’hommes soutient. »[34]

Selon toute évidence, à cette date pas si lointaine, la question à savoir si la Terre bouge ou pas était toujours matière à débat et il y avait beaucoup de gens des deux côtés de la clôture. En outre, il fut reconnu que ce n’était pas le poids des preuves scientifiques qui faisait accepter le copernicisme aux gens, mais c’était plutôt la crainte du ridicule qui faisait son œuvre.

Et si ce genre de pression à se conformer était puissant au début du 20e siècle, qu’en est-il aujourd’hui, au début du 21e siècle ?? En fait, y a-t-il encore de l’opposition contre le copernicisme ?

En 1975, Marshall Hall, l’auteur de The Earth is not Moving (La Terre ne bouge pas), duquel nous puisons la plus grande partie de nos informations, fut mis au courant d’un excellent travail anti-évolutionniste exécuté par un ingénieur mécanique près de Pittsburgh, en Pennsylvanie, un nommé Richard Elmendorf. Peu de temps après, celui-ci présenta à Hall une publication appelée Le Bulletin de la Société tychonienne. Walter van der Kamp était l’éditeur de cette tentative modeste, mais sérieuse, pour informer le plus de gens possible du fait virtuellement caché qu’il n’y a tout simplement pas de preuve concluante du copernicisme et qu’il y a tout un lot de preuves à son encontre.

En 1977, ou à peu près, Elmendorf offrit une récompense de 1 000 $ à qui apporterait une preuve concrète du copernicisme. Le « Barème du mouvement céleste » d’Elmendorf fut mis en jeu avec d’occasionnels articles fort tranchants et amusants accablant le copernicisme de sarcasmes (et spécialement le darwinisme !).

Dans les années 1980, Marshall Hall prit connaissance des mathématiques que le professeur Hanson opposait au copernicisme. Il entra bientôt dans la mêlée avec des arguments vigoureux et savants. De même qu’un astronome professionnel, le Dr Gerardus Bouw, qui est devenu, depuis lors, éditeur du Bulletin tychonien (qui, à l’hiver 1990, a été rebaptisé L’Astronome biblique).

Lors d’une réunion à Cleveland, dans l’Ohio, en 1984, Hall fut en mesure de distribuer un manuscrit jusqu’alors non-publié contre le copernicisme et de prendre la parole à ce sujet. Également en 1984, Hall prit connaissance de certains écrits anti-coperniciens très compétents de N.M. Gwynne de Londres, en Angleterre. Lors d’une courte visite au bureau de M. Gwynne, en 1990, celui-ci confirma sa conviction écrite que le copernicisme est à la fois sans fondement et vulnérable.

En 1989, Walter van der Kamp publia son ouvrage le plus important, De laboris solis (Le travail du soleil). Dans ce livre, ce Danois, devenu Canadien, éducateur à la retraite, s’en prend énergiquement contre le copernicisme et en faveur du système de Tycho Brahe d’une Terre qui ne bouge pas. Admettons-le, ce sont des trépidations d’une si faible magnitude qu’elles ont à peine fait une petite marque au sismographe anti-copernicien (et dont peu sont au courant de l’existence.) Mais elles existent ! Et ces trépidations en apparence insignifiantes et ignorées sont le prélude au tremblement de terre universel à venir bientôt dans les idées de l’homme et qui va culbuter, non seulement l’idole de la fausse science humaine du 21e siècle, mais révélera et anéantira aussi toutes les fausses doctrines que Satan a mises en opération dans le monde d’aujourd’hui.

Il y a une armée de scientistes créationnistes dans le monde, de nos jours, qui sont prêts, qui veulent et qui sont capables d’exposer et de détruire la supercherie de l’évolution ; et de même il est sur le point d’y avoir aussi une armée destinée à exposer la supercherie de l’héliocentrisme. Cette série d’articles en fait foi.

La Vérité appartient à Dieu et ne peut être détruite. Elle peut être supprimée, ridiculisée, raillée et ignorée ; mais elle ne mourra jamais. De Brahe à Riccioli, de Luther à Wesley, du professeur Lange à van der Kamp, Elmendorf, Hanson, Bouw et Hall, des masses ignorantes du passé dont le gros bon sens les faisaient s’opposer au copernicisme jusqu’aux masses d’aujourd’hui dont l’endoctrinement peut être annulé et leur gros bon sens libéré ; de tous ceux-là nous pouvons savoir que la graine n’est pas sèche et que l’on peut dénoncer, et que l’on dénoncera le copernicisme comme la plus grande fraude de tous les temps.

Cette Graine, c’est la Parole de Dieu. Elle dit que la Terre repose, sans mouvement, au centre de l’Univers et que le soleil en fait le tour tous les jours. Cette grande Semence de la Vérité — cachée et nourrie par Dieu au fil des quelques derniers siècles dans les mains de ceux que nous avons nommés — est destinée à ne plus être cachée.

______________________________________________________________

[1] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Galilée, Vol. 7, p. 851.

[2] Dominique Tassot, Galilée et l’exégèse moderne, Bulletin de la Société Tychonienne, printemps 1990, Cleveland, Ohio, No 53, p. 4.

[3] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Galilée, Vol. 7, p. 852.

[4] Jean-Paul II, Message du pape vers l’outre espace, La Mère Terre, mars-avril 1990, pas de page. Entre Hunderwasser & Bradley.

[5] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Vol. 7, p. 853.

[6] Walter van der Kamp, De labore solis, (14813, Harris Rd, Pitt Meadows, C.B., Canada, V3Y 1Z1, c. 1989), p. 19.

[7] Dorothy Stimson, PhD, L’acceptation graduelle de la théorie copernicienne de l’univers, Gloucester, Mass., 1917, réimprimé en 1972, p. 79.

[8] Nouvelle Encyclopédie Catholique, (McGraw-Hill Book Co., N.Y., etc., 1967), Vol. 12, p. 473.

[9] Dictionnaire de bibliographie scientifique, (Charles Schribner’s Sons, N.Y., 1975), Vol. XI, p. 411.

[10] Stimson, Acceptation graduelle, p. 81.

[11] Ibidem, p. 73.

[12] Ibidem, p. 75.

[13] Ibidem, p. 77.

[14] Ibidem.

[15] Ibidem, p. 76.

[16] Ibidem, p. 83.

[17] Ibidem, p. 90.

[18] Ibidem, p. 93.

[19] Encyclopédie Britannica, Micropaedia, « James Bradley », Vol. 2, p. 220.

[20] Stimson, Acceptation graduelle, p. 98.

[21] Ibidem, p. 100.

[22] Ibidem, p. 99.

[23] Ibidem, p. 102.

[24] Ibidem.

[25] Ibidem.

[26] C. Schoepffer, La Terre tient ferme, (Charles Ludwig, Imprimeur, N.Y., 1900), p. 59.

[27] Stimson, Acceptation graduelle, p. 102.

[28] Ibidem, p. 103.

[29] Ibidem, p. 104.

[30] Ibidem, p. 103.

[31] Ibidem.

[32] Ibidem, p. 104.

[33] Ibidem, p. 103.

[34] Ibidem, pp. 99, 100.