D.175 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 12

 

par Guy Richer

Gouvernement mondial (ONU et chemtrails)

Voici maintenant quelques décrets acceptés aux réunions de l’ONU (Organisation des Nations Unies ), qui n’est en fait qu’une façade ou, à tout le moins, un outil temporaire dans les mains du Nouvel Ordre Mondial pour la mise en place de ce gouvernement totalitaire.

—     Décret de 1992 : L’ère des nations doit prendre fin. Les souverainetés des gouvernements doivent être amenées sous un seul gouvernement auquel ils doivent abandonner leurs armes.

—     4 juillet 1994 : Unification dans une même organisation du KGB et du FBI.

—     Mars 1995, à Copenhague : Établissement d’une cour mondiale avec droit de sub-pena sur toutes les nations.

—     Police mondiale et le démantèlement des forces militaires des pays en développement ainsi que le désarmement du peuple.

—     Banque centrale mondiale (FMI).

—     Trésor mondial (réserve d’or).

—     Conseil de sécurité économique, tous les pays devront être à leur merci pour avoir accès à une aide économique.

—     Contrôle total du libre-échange et prise de sanction réglementée (GATT).

—     Taxation globale excessive.

—     Nouvelle définition du statut de « citoyen ».

Ceux qui se montreront rebelles au Nouvel Ordre Mondial seront amenés dans des trains jusqu’à des camps de concentration, qui sont déjà prêts en Amérique, aujourd’hui, où ils seront enchaînés en vue d’être recyclés ou mis à mort.

Les compagnies Gunderson Steel Fabrication, de Portland, Oregon, la Bethlehem Steel et d’autres compagnies de fer ont obtenu au-dessus de 2 milliards de dollars du gouvernement fédéral américain en contrats pour la construction de 107 200 wagons de trains de pleine longueur, chacun contenant 143 paires de menottes attachées aux murs et au plancher de ces wagons. Si vous multipliez 107 200 par 143, vous arrivez au compte de 15 millions. C’est probablement le nombre de personnes qui sont présentement en désaccord avec le gouvernement fédéral. Si l’on en croit les dernières informations, il semblerait que toutes les villes devront suivre les instructions fournies par notre gouvernement, sur la manière de traiter les amas de morts en cas d’attaque terroriste. Eh bien oui, les terroristes sont nos propres dirigeants ! Ils ont fermé beaucoup de bases militaires pour épargner l’argent du contribuable. Après la fermeture des bases, elles ont été rénovées, transformées et remises à neuf. Ils y ont installé des troupes des Nations Unies, ils ont même pourvu l’arrière des panneaux d’intersection de routes de barres codifiées, de manière à ce que les troupes des Nations Unies puissent toujours savoir, à la lecture des codes, où elles se trouvent dans ce pays.

Notre gouvernement fait des milliers de petites choses comme celle-ci sans que personne ne sache pourquoi. Il a fait amener des chars d’assaut, des véhicules anti-émeutes, des hélicoptères et toute sorte d’armement, sur ces anciennes bases rénovées. Pourquoi avons-nous besoin de troupes des Nations Unies et de chars d’assaut dans notre pays ? Les officiers haut-gradés des Nations Unies doivent prêter serment pour que, si on leur ordonne de faire feu sur des citoyens américains, ils le feront sans hésiter ! Je vous rappelle que ces dispositions sont des faits accomplis, que tout cela est prêt, ici en Amérique du Nord !

— Septembre 1994, au Caire : Contrôle de l’éducation en Amérique avec l’intention de la détruire et la remplacer par l’endoctrinement du Comité des 300 qui prône la politique économique de Matthus qui maintenait que le progrès est lié à la capacité de la terre à nourrir un certain nombre de personnes, d’où la limitation des populations.

— Ted Turner (propriétaire de la station CNN) a dit, lors de cette réunion de 1994 : « Il serait préférable d’éliminer un minimum de 3 milliards d’êtres humains et même, préférablement, de descendre la population du globe à un demi milliard. »

— Cyrus Vance, du Comité des 300, a reçu le mandat de produire les plans d’un génocide de 3 milliards d’humains qui sont considérés comme des « mangeurs inutiles ».

C’est donc une prise totale de contrôle des populations par :

  • des avortements forcés ;
  • des famines planifiées ;
  • des destructions biologiques par l’entremise d’infections artificielles (sida, ébola, sras, cancer, hépatite, maladies pulmonaires, asthme, allergies, grippe, bronchite et pneumonie dans des proportions endémiques, etc.).

 

À ce propos, laissez-moi vous citer le docteur américain Leonard G. Horowitz lors des Premières Rencontres Médicales de Libreville, au Gabon, le 29 mai 2001, à propos du virus du sida :

« Madame la Présidente, mesdames et messieurs les congressistes, c’est en vérité un grand honneur pour moi que de faire partie de la délégation américaine invitée au Gabon pour présenter les récents développements de la recherche aux Etats-Unis concernant le SIDA.

« Je suis l’auteur d’un livre qui est un best-seller aux Etats-Unis, et qui s’intitule Emerging Viruses : AIDS & Ebola. Nature, Accident or Intentional ? (Les virus émergents : SIDA et Ebola. Sont-ils naturels, accidentels ou intentionnels ?) Dans cet ouvrage, j’étudie la possibilité que le virus du SIDA ait été intentionnellement injecté à certaines populations pour provoquer une endémie. J’avais déjà présenté cette thèse à la 11e Conférence Internationale sur le SIDA qui s’était tenue à Vancouver en 1996. J’avais cité à cette occasion les chiffres d’une enquête montrant que 65 % des Noirs américains croient que le SIDA est peut-être un génocide déguisé.

« On définit le génocide comme la destruction massive d’êtres humains pour des raisons économiques, politiques ou idéologiques.

« Dans le numéro d’octobre 2000 du célèbre American Journal of Public Health, le Docteur Stephen Kunitz, considéré comme le plus important sociologue médical américain, est parvenu à des conclusions qui rejoignent celles du Docteur Adeoye Lambo, Doyen de la Faculté de Médecine de l’Université d’Ibadan, au Nigeria. Il a déclaré que chaque fois que le capitalisme, le colonialisme, et l’élite WASP (White Anglo Saxon Protestant) contrôlaient la mondialisation, on a toujours pu observer qu’il en est résulté une destruction massive et systématique de populations indigènes.

« Ma thèse affirme que le spectre du virus du SIDA est apparu juste après l’administration de vaccins expérimentaux contre l’hépatite B à des homosexuels de New York et à des populations noires d’Afrique Centrale, en 1974 et au début de 1975.

« Se peut-il que la thèse que je vais vous présenter révèle l’existence d’un génocide ? S’agit-il d’une nouvelle mise en pratique des théories de Machiavel ? C’est-à-dire que l’on aurait volontairement créé un problème pour profiter de sa solution ? Dans ce cas, ce serait l’industrie pharmaceutique qui en serait la bénéficiaire, tout en décimant certaines populations considérées comme “indésirables”. Se peut-il que les instigateurs de ce possible génocide s’efforcent en outre de supprimer des thérapies peu coûteuses, peu risquées et très efficaces pour lutter contre le SIDA ?

« L’hypothèse de la création délibérée de l’endémie du SIDA n’est pas aisément retenue par les personnes, les organisations, les institutions et les administrations gouvernementales, notamment celles qui servent des intérêts particuliers. Mais le fait de négliger une telle hypothèse, et de refuser de la vérifier, conduit à des conséquences catastrophiques. Une telle négligence ternit le fondement éthique de la science. Elle s’oppose à nos obligations morales, en tant que citoyens du monde, et peut tout simplement nous rendre complices d’attaques irréversibles contre l’humanité.

« Par ailleurs, cette crise mondiale du SIDA peut servir les intérêts idéologiques de certains groupes qui verraient d’un mauvais œil le développement démographique de certaines populations, dans cette période de transition globale de la planète. En effet, le SIDA représente un mécanisme de contrôle de revenus importants, au service de certains intérêts sécuritaires nationaux, de certaines organisations, institutions et industries qui bénéficient directement de ce qu’il faut bien appeler un génocide mondial. »

L’activiste en Droits humains internationaux, Boyd Graves, a diligemment déposé une requête à la magistrature, à la communauté médicale internationale et aux membres du Congrès afin de passer immédiatement en revue les 15 ans « d’historique médical manquant » qu’on appelle le Programme de Virus spécial des États-Unis (1962-1978) et son Tableau de Recherche sur le VIH vieux de trente ans.

« Le Tableau d’écoulement du Sida de 1971 est une preuve irréfutable de la résolution des États-Unis de créer un virus “spécial” qui épuise le système immunitaire, » dit le Dr Graves.

Enfin, l’inoculation de vaccins et l’absorption d’antibiotiques sans que nous sachions la vraie nature de ces « soupes » empoisonnées !

L’élite occulte, par la propagande et la désinformation, veut nous faire croire que la terre est trop peuplée. Que l’eugénisme doit être appliqué à l’échelle mondiale. Que la génération vieillissante grossit trop vite et que les handicapés et les sans-abri sont des bouches inutiles, coûteuses et indésirables. Même les catastrophes économiques sont créées pour faire illusion : les famines offrent un prétexte pour avancer que le monde est trop peuplé et ne peut fournir de la nourriture à toute la population du globe, alors qu’il ne s’agit que d’une problématique de gestion pourrie ! Mais cela sert merveilleusement les visées des pouvoirs occultes qui se cherchent des raisons de dépeupler la terre.

Les militaires apprennent à moduler le statut sanitaire de populations entières. C’est-à-dire que des virus, bactéries, ou tout autre agent biologique, sont introduits parmi les populations ciblées, par la voie du ciel.

C’est ce qu’on appelle les « chemtrails ».

Seuls les élus possèdent l’antidote. Les membres de l’élite planétaire sont tous des pratiquants de l’eugénisme mondial, c’est-à-dire, l’épuration de la race humaine et la diminution de la population de la planète… humainement parlant.

Le vrai but des chemtrails

Voyons tout d’abord ce que sont les chemtrails [prononcer : ‘kemtreIlz] (chemical trails — traînées chimiques).

Depuis le milieu des années 90, des observateurs américains ont commencé à noter la multiplication de traînées d’un genre nouveau. Elles apparaissent à plus basse altitude que celles des contrails (qui sont des traînées de vapeurs d’eau dans le ciel) parfois même au ras du sol, elles peuvent être blanches ou colorées et elles s’estompent très lentement en laissant traîner un brouillard dans lequel on peut retrouver des particules ou des filaments.

Parfois, elles forment des nuages longitudinaux qui sont coupés subitement, laissant un trou dans le sillon. Les nuages semblent se reformer pour se terminer quelques kilomètres plus loin. Ou, au contraire, le sillon fendra le ciel d’un bout à l’autre de l’horizon.

On peut discerner des arcs-en-ciel ou une coloration orangée dans certains nuages. D’autres sont gorgés de masses plus foncées à l’intérieur, ou lisérés de noir. Ces petits sillons prennent assez rapidement de l’expansion (selon la vitesse du vent) et produisent des fines plumes ou des filets en éventails. Contrairement aux contrails, les sillons de chemtrails sont souvent scindés, avec un vide dans le tracé, comme si on changeait de bombonne ou de réservoir.

Fait important : ces observateurs ne sont pas des râleurs professionnels ou des ufologues de salon. Ce sont plutôt des amateurs d’aviation, des médecins, des scientifiques, des policiers, des journalistes intègres… et des gens chez qui ces épandages provoquent des irritations oculaires ou bronchiques, des allergies et la fatigue. Ils appartiennent à toutes les classes de la société. C’est à partir de critères de santé publique que s’est créé un réseau d’observateurs de chemtrails extrêmement actif sur Internet.

De quoi sont composés les chemtrails ?

 

—     Dibrométhane : c’est un additif de carburant et un insecticide cancérigène avec une légère odeur de chloroforme.

—     Pseudomonas aeruginosa : bactéries communes qui ont la capacité remarquable de causer des maladies chez les humains.

—     Pseudomonas fluorescens : une autre souche de la variété des pseudomonas retrouvée le plus souvent dans le sol et sur les plantes.

—     Entérobactériacées : inclut E.coli et salmonelles qui sont les grands coupables d’intoxication alimentaires. Responsables d’infections pulmonaires.

—     Serratia marcescens : un microbe pathogène dangereux qui est perçu comme pouvant être la cause de maladies mortelles telles la pneumonie, la méningite et l’endocardite bactérienne.

—     Streptomycines : les streptomycètes sont employés pour produire la majorité des antibiotiques utilisés dans la médecine humaine et vétérinaire.

—     Enzymes restrictives : employées en laboratoires de recherche pour couper et recombiner l’ADN. Une telle enzyme fend l’ADN en créant une ouverture qui permet aux segments désirés, d’être insérés avant la recombinaison finale.

—     Érythrocytes : cellules humaines de globules rouges. Le refus du Service de Protection de l’Environnement américain d’identifier certains matériaux fibreux et biologiques des échantillons démontre bien qu’ils sont profondément impliqués dans la connaissance de ces rapports.

—     Autres bacilles, bactéries et moisissures toxiques capables de provoquer des maladies cardiaques, encéphalites, méningites, aussi bien que des difficultés respiratoires et des maladies gastro-intestinales aiguës.

—     Baryum : les sels solubles du baryum, un métal de la terre, sont toxiques dans le système des mammifères.

—   Aluminium sous différentes formes : grandement utilisé comme réflecteur, conducteur et absorbeur d’humidité et fait partie des particules retrouvées en grandes proportions dans les retombées de chemtrails. Une des principales cause de l’alzheimer.

—     Le fluor : poison qui cause directement la dégénérescence du corps humain. Toute affirmation vantant les vertus du fluor pour la santé des dents est un mensonge. Le fluor a été imposé au peuple originalement par les nazis pour ses propriétées dégénératives. Quand le fluor et l’aluminium entrent en contact dans le corps humain, ils produisent une réaction dégénérescente des cellules nerveuses, osseuses et musculaires.

Sur les sites traitant de complot contre l’humanité apparut une lettre qui fit le tour de l’Internet et qui semblait rejoindre les affirmations de plusieurs journalistes-enquêteurs, sur le plan occulte des gouvernements dirigeant le monde actuel. Je vous la cite pour vous donner un aperçu des intentions des factions noires du gouvernement secret mondial, face aux problèmes de surpopulation et de pollution planétaire.

« Alors, vous n’avez pas encore conçu la raison des agents de conditionnement biologique qui sont opérés par le gouvernement ? Je vous donne quelques indices, mais, en premier lieu, laissez-moi vous donner un minimum de précisions me concernant. Je suis un scientifique à la retraite, autrefois à la solde du gouvernement. J’ai accédé à un très haut niveau d’étude dans le vaste domaine de la santé. Je n’utiliserai pas mon vrai nom par peur de représailles possibles contre moi-même ou contre les membres de ma famille. J’essaie toujours de détourner (dérouter) mes courriels de façon à ce qu’ils semblent provenir d’ailleurs. Habituellement, de l’intérieur du gouvernement. Parfois, j’utilise les branchements Internet à partir d’une bibliothèque de quartier. Somme toute, je fais le nécessaire pour garder l’anonymat, pour confondre et embrouiller ceux qui s’objectent à ce que les informations que je détiens, tombent entre les mains du public.

« J’ai un petit cercle d’amis qui occupent ou occupaient des positions clefs au sein de l’Armée et de plusieurs agences gouvernementales. Ils n’appartiennent pas à la hiérarchie des niveaux supérieurs. Ils se situent plutôt au niveau intermédiaire. Ce sont des scientifiques, des analystes ou des programmeurs qui, depuis leur poste, peuvent déduire à même leurs activités quotidiennes, ce qui se trame vraiment. Ils sont chargés de mettre en application les détails de ces manœuvres, sans avoir la pleine connaissance des immenses conséquences derrière leur travail.

« Chacun de mes contacts a pu me fournir séparément une partie du casse-tête. Aucune de ces personnes ne saisit la globalité de cette histoire. Je vais partager avec vous les informations que je possède. Je dois cependant admettre que cette information m’effraie parce que je ne peux la confier à quiconque. Que dois-je faire ? Écrire à mon député ? Lui demander un entretien privé ? Que se passera-t-il si je l’informe de ce que je sais ? … Je crois que ce serait signer mon propre arrêt de mort.

« Toute l’histoire des chemtrails est reliée au plan visant à réduire la population mondiale aux alentours de 400 à 500 millions de gens, en commençant par les États-Unis, le Canada et tous les autres pays qui pourraient se révolter contre le Nouvel Ordre Mondial.

« Pourquoi commencer par l’Amérique ? Parce que le peuple américain est un des seuls pays qui aurait la possibilité d’arrêter le carnage. Encore, faut-il que ses ressortissants soient mis au courant ! C’est pourquoi les Américains doivent être les premiers à partir… Vous devez comprendre que l’élite mondiale convoite les États-Unis pour sa diversité géographique. Elle aimerait bien retrouver ce pays dans l’état où Christophe Colomb l’a laissé… Il va de soi que cela se ferait, sans la présence des Amérindiens… déjà maîtres des lieux, en ces temps reculés.

« Vous avez peut-être déjà entendu parler des Parcs nationaux désignés comme une partie du patrimoine mondial. Il s’agit de la partie du plan qui concerne l’Amérique du Nord. Un parc national géant et un terrain de jeux totalement départi de vies humaines dérangeantes, c’est-à-dire, nous ! On fait accroire à ceux qui participent à ces épandages, ou qui participent à l’application du plan, qu’ils seront épargnés, qu’il leur sera permis de vivre et de demeurer sur ce continent comme administrateurs ou comme gardiens de cette gigantesque réserve de la nature. De 150 à 200 mille personnes seront requises pour assurer l’entretien de ces lieux gardés au naturel. Il est fort possible que ces gens ne soient pas de nationalité américaine. Ainsi, les ouvriers seraient probablement importés d’Europe ou d’Asie et les dirigeants ne risqueraient pas de devoir gérer une mutinerie.

« Beaucoup de regroupements écologistes radicaux prônent la disparition de la race humaine, histoire de refaire la faune et la flore de la planète. Vous-mêmes n’êtes-vous pas tombés dans le panneau en disant ou en pensant que cette planète est largement polluée à cause des humains qui sont en surpopulation ? Tout cela, sans tenir compte que chaque jour apporte son lot d’extinction d’espèces végétales, animales, insectes, oiseaux, poissons et le reste ? Tout cela encore à cause de nous et de nos habitudes dévastatrices ? À cause aussi de l’avidité des grandes entreprises mondiales ? Et toujours à cause de nous, les forêts d’Amazonie disparaissent afin d’y faire paître le bétail qui nourrira la population des pays riches.

« Cependant, avec la technologie de pointe que le gouvernement secret possède, nous pourrions tout nettoyer dans le temps de le dire, dépolluer d’immenses étendues d’eau, nettoyer des fleuves, etc. De plus, la radioactivité émise par les déchets nucléaires, pourrait être réutilisée ou neutralisée facilement. Pourquoi nous fourniraient-ils cette technologie ? La population de la terre augmenterait davantage si personne n’était malade, ne s’entretuait ou n’était empoisonné.

« Des rumeurs circulent sur Internet disant que les chemtrails font partie d’un quelconque programme secret que le gouvernement américain développe afin de protéger les Etats-Unis d’une éventuelle attaque biologique causée par des terroristes. Rien n’est plus éloigné de la vérité. Le plan est conçu afin de rendre la population vulnérable avant de disparaître dans une épidémie de grippe ou d’influenza de type A. Depuis plusieurs années, la population est encouragée à recevoir des vaccins contre la grippe afin de se protéger contre des virus qui circulent.

« Chaque année, le gouvernement américain a pu deviner quelle souche de virus serait la plus susceptible de s’étendre et de se répandre parmi la population. Curieusement, il semble toujours tomber juste ! En l’année 2002, le bon gouvernement a protégé le peuple avec un vaccin trivalent qui inclut le A/Beijing/ 262f95 (semblable au H1N1), et le AfSydney/5/97 (semblable au H3N3). Il contenait également le B/Beijing/184/93, semblable aux antigènes hémaglutiniques. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la virologie, le H et le N font référence aux protéines extérieures qui s’attachent au virus, l’hémaglutinine et la neuraminidase, lesquelles font en sorte que le virus puisse s’attacher et envahir la cellule hôte. Le public a été satisfait jusqu’à ce jour du succès des vaccins qui ont été offerts, si généreusement !

« Cela va changer dans le futur.

« Des recherches se sont poursuivies à l’Institut militaire en recherches médicales sur les maladies infectieuses (ou USAMRIID, situé à Fort Detrick, Maryland). Les chercheurs ont reconstruit et modifié le virus de la grippe espagnole, le H1N1, le rendant encore plus mortel que celui qui affligea les continents en 1918-19. On se rappellera que cette épidémie entraîna la mort de plus de 20 millions de personnes sur la planète dont 500 000 en Amérique du Nord. Considérez que, de nos jours, une telle épidémie aurait tué beaucoup plus d’habitants. En ces temps-là, les gens ne voyageaient pas de New York à Los Angeles en 5 heures…

« Les vaccins de la grippe contiennent des virus morts et protègent le corps d’une attaque provenant d’une souche particulière. Ils sont inefficaces contre les souches qui ne sont pas incluses dans l’injection. Éventuellement, les réserves de vaccins incluront la modification plus létale de la version du H1N1 de 1918, dans sa forme viable. La plupart des gens qui recevront ce vaccin vont tout simplement penser renouveler leur vaccin annuel contre la grippe alors que ce vaccin inclura encore une fois la forme bénigne du H1N1 (tel que mentionné pour le vaccin de cette année). La présence de cette souche moins fortifiée fera en sorte de ralentir la progression de la forme modifiée et plus létale du H1N1. Les gens deviendront malades plus lentement ; pour éventuellement en mourir. Ça ne prendra que quelques semaines de plus…

« Pendant ce temps, ils serviront de véhicules pour la forme mortelle du virus, le transmettant de l’un à l’autre au fil de leurs contacts. Quand les gens seront informés que des personnes meurent de la grippe, ils se précipiteront tous pour se faire injecter le vaccin. La population entière sera beaucoup plus touchée par l’infection parce que les poumons auront été préparés, afin de garantir l’universalité de la manœuvre.

« Vous souvenez-vous des années 1968-69, alors que la grippe de Hong Kong, qui est une influenza ou grippe de type H3N2, tua plus de 30 000 personnes, seulement aux Etats-Unis ? Ce fut un apprentissage fortuit pour certains qui prirent conscience que la grippe pourrait être conçue et utilisée pour éradiquer une population entière. Du même coup, on se rendait compte qu’il faudrait prendre les moyens nécessaires afin que ceux qui sont naturellement résistants, soient susceptibles de l’attraper. Ainsi, furent développés des programmes de vaccination et des procédures d’ensemencement afin de conditionner la population. Le but des agents chimiques dans les chemtrails est d’aider l’enveloppe virale à se fusionner aux cellules des poumons, permettant ainsi une pénétration plus facile.

« Qu’adviendra-t-il des quelques individus qui survivront et ne succomberont pas au virus ? La probabilité, si minime soit-elle, est inévitable. Il y aura des groupuscules isolés de gens qui ne seront pas totalement atteints ou qui seront résistants à la souche mortelle du H1N1. Ici, vous devez vous rappeler que le personnel militaire a été immunisé contre une grande variété de pathogènes, incluant le bacille du charbon (anthrax).

« Pour ceux qui vivent dans des régions éloignées où le virus de la grippe n’aura pas accompli son travail, c’est une chose simple que de répandre des spores du bacille du charbon et d’envoyer les troupes pour s’occuper de ceux qui vivent encore… La pulvérisation de l’anthrax se fera probablement sous le déguisement d’un programme de protection contre la grippe pour les populations encore vivantes après une épidémie provoquée.

« Les militaires qui auront été exposés aux civils contaminés de la grippe attendront avec impatience de recevoir leurs propres injections contre ce virus. Mais… j’anticipe que ce scénario sera celui du dernier ressort. Ceux qui orchestrent le plan ne voudront pas utiliser l’anthrax avant que toutes les autres possibilités ne soient épuisées, à cause de la résistance et de la longévité des spores du bacille du charbon. Les répandre partout dans la campagne signifierait que cette région deviendrait dangereuse et ne pourrait plus être occupée par des humains, du moins par ceux qui n’auraient pas été vaccinés.

« Réfléchissez à ce qui suit, un instant. Pourquoi pensez-vous que des organismes comme La chasse et la pêche soient tellement empressés d’introduire des loups et autres espèces d’animaux sauvages dans des régions et des forêts qui n’ont pas vu ces animaux depuis des générations ? Tout cela fait partie du plan permettant de restaurer un environnement dans ce que l’élite envisage comme étant son paradis peuplé d’animaux sauvages qui circulent librement au milieu de vastes plaines et de forêts inhabitées. Pour l’élite mondiale, ce sera le prix de notre contribution pour la population, même si cela requiert un peu de temps pour nettoyer la place et détruire des petits villages qui pourraient être considérés comme une verrue dans leur paysage… »

*           *          *




D.174 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 11

 

par Guy Richer

Terrorisme (USA/WTC)

Qui fut vraiment derrière les attaques du

11 septembre 2001 ?

À plusieurs occasions, le gouvernement des États-Unis a subventionné des agents provocateurs terroristes. Par exemple, il a été régulièrement rapporté que la CIA a subventionné Ousama Ben Laden au montant de trois milliards de dollars. Plusieurs diront que la CIA ne s’attendait certainement pas à ce qu’il se retourne contre eux et détruise le World Trade Center. Examinons cet argument.

Si vous cherchez quelle force se cache derrière les atrocités commises au États-Unis, il n’y a qu’à se demander à qui ça profite.

Rappelez-vous que les agentures occultes opèrent dans chaque pays par l’entremise des organisations terroristes de même que les agences qui s’opposent à un tel terrorisme. C’est seulement en ayant des agents dans tous les camps qu’ils peuvent être sûrs de contrôler le jeu et de connaître l’issue de la partie avant même de l’avoir commencée.

L’élite occulte a des agents infiltrés dans le monde islamique, de même que dans le prétendu « Monde libre », comme nous l’avons constaté dans notre survol des diverses organisations secrètes et le constaterons dans les mois à venir. Saddam Hussein fut un pion de cette élite tout comme George Bush père et George Bush fils.

La prévisibilité de l’esprit de manipulation peut être détectée en regardant la gestion des nouvelles qui a suivi ce désastre aux États-Unis. Regardez ce qui se produit toujours dans ces circonstances et vous verrez que le modèle est le même dans presque chaque cas. Avant que l’événement ne se produise, le responsable est déjà désigné pour prendre le blâme, détournant ainsi l’attention du public des dangereuses spéculations pour diriger la concentration vers une cible prédéterminée. Après l’assassinat de Kennedy, c’était Lee Harvey Oswald ; après Oklahoma City, c’était Timothy Mc Veigh ; après les tours du WTC, c’était Ousama Ben Laden ; ensuite, ce fut le tour de Saddam Hussein. Qui sera le prochain ?

Ben Laden n’est pas plus responsable de ce qui s’est produit au WTC que je le suis. Son nom a été présenté juste après que le désastre ait été dévoilé, de la même manière que Lee Harvey Oswald avait été pointé du doigt avant même que le président Kennedy soit mort.

L’idée que cet homme des montagnes de l’Afghanistan pourrait être le génie de cette énorme opération est une insulte absolue à toute personne ayant le moindrement d’intelligence. Nous ne parlons pas ici d’un colis piégé ni même d’un fanatique qui aurait conduit une voiture pleine d’explosifs sur un restaurant de Jérusalem. Il s’agit de quatre avions de ligne commerciaux qui ont dû être piratés simultanément, pilotés dans l’espace aérien américain en provenance d’aéroports américains et dirigés sur des cibles spécifiques à l’intérieur d’un intervalle de 45 minutes. Comment fut-ce possible ?

Seulement parce que c’était un contrat provenu de l’intérieur, orchestré par les forces internes des États-Unis et planifié par les niveaux les plus élevés de l’Agence de Renseignement des États-Unis en coordination avec d’autres organisations de la toile mondiale des puissances occultes. Impossible autrement, car la logistique exigée pour une telle entreprise est trop complexe pour avoir été fomentée essentiellement de l’extérieur.

Avec une armée d’individus conditionnés à leur disposition, il est possible de leur faire effectuer n’importe quelle tâche une fois que l’esprit est programmé et que le déclencheur est activé. Ceux qui sont responsables du détournement de ces avions et qui les ont dirigés sur des édifices, ont cru, dans leur esprit conscient, à la cause pour laquelle ils ont été programmés.  Mais en vérité, ils ne détournaient pas ni ne pilotaient ces avions, c’est leur programmation qui le faisait. Le contrôle de l’esprit est tellement sophistiqué à l’heure actuelle qu’une telle programmation est presque un jeu d’enfants.

Cette terreur n’est absolument pas attribuable à une « faiblesse » des services d’information ; faire entrer des armes à bord des avions est tellement plus facile si vous avez le support de ceux qui contrôlent le système.

J’ai entendu dire que c’était un autre Pearl Harbor. Effectivement, c’est le cas. Le gouvernement américain était informé un mois d’avance que les Japonais allaient attaquer Pearl Harbor, mais n’a rien fait à ce sujet.

Pourquoi ?

Parce qu’on voulait que ça se produise pour une raison spécifique : justifier l’entrée des États-Unis dans la Deuxième Guerre Mondiale alors que le Président Roosevelt (de la lignée familiale des Bush et descendant d’un Jésuite émigré aux USA) avait déclaré, juste pour être élu, que l’Amérique ne s’y impliquerait pas.

En 1962, pour légitimer une guerre contre Cuba, l’état major inter-armée des États-Unis avait envisagé des attentats terroristes contre sa propre population. Un document déclassifié révèle le plan de « l’Opération Northwoods » : une série d’attentats tuant des civils et des militaires américains pour mobiliser l’opinion publique contre Fidel Castro. L’état-major avait notamment planifié un attentat contre un bâtiment de guerre et un détournement d’avion. Le projet des généraux fut empêché par le président Kennedy, un an avant son assassinat. Parmi les conjurés se trouvaient d’actuels responsables de l’armée des États-Unis. Problème/réaction/solution.

Et la même stratégie s’applique en ce qui concerne les évènements terribles de cette sombre semaine du 11 septembre 2001.

Qui bénéficie de tout cela ? Bien, l’élite occulte veut un gouvernement et une armée mondiale, une devise mondiale et une dictature aux commandes financières globales centralisées. Elle veut des personnes micro-pucées et une société basée sur la surveillance constante pour ainsi créer un peuple effrayé, docile et qui s’en remet aux autorités. Elle veut la possession totale des richesses pétrolières. Elle veut s’installer à Jérusalem pour y faire trôner son futur Fürher/antichrist/messie.

Le désastre du WTC signifie ceci : les puissances occultes ont maintenant l’excuse pour exercer des représailles contre n’importe qui nuit à la propagande. Toutes les raisons sont bonnes pour manipuler la population. Les attaques contre les cibles islamiques offrent des possibilités intéressantes pour être le déclencheur d’un conflit massif et d’un bouleversement à travers le monde, particulièrement au Moyen et Proche Orient. Les occasions d’élargir alors le conflit pour impliquer la Russie et la Chine sont sans fin. Une guerre du Tiers-monde fait partie des ordres du jour et ceci peut ouvrir la voie pendant que les dominos tombent. L’Otan et les Bildebergers (l’armée mondiale en attente) ont déjà mis en gage un support à tous ces efforts. La conscience collective est si largement manipulée, en ce moment, que la plupart des personnes supporteront la stratégie américaine au nom du combat contre le terrorisme. L’escalade du conflit visera à centraliser la puissance militaire jusqu’à ce que l’armée mondiale soit en place. Une armée du monde avec la puissance d’attaquer tout pays qui ne correspond pas à la machine de propagande.

L’amour de l’argent est la racine de tous les maux, a dit l’apôtre Paul à son disciple (1 Timothée 6:10). Une des manières de déterminer qui est derrière une entreprise criminelle, c’est de suivre où va l’argent. On peut employer cette technique pour déterminer qui est derrière la destruction du World Trade Center. Vous vous demanderez peut-être comment quelqu’un a pu faire de l’argent avec la destruction du WTC ? C’est un genre de placement où les investisseurs peuvent faire de l’argent si le prix des actions baisse. Dans le cas des événements du 11 septembre 2001, où des jets de l’American Airlines et de la United Airlines furent détournés et dirigés sur les Tours du World Trade Center, il y a eu certaines activités inhabituelles regardant l’achat de gros amas d’options de vente sur ces actions. Des options de ventes sont des instruments d’investissement à haute puissance de levier qui grimpent de valeur lorsque les actions baissent de prix. En plus des achats massifs d’options de vente sur les United et American Airlines, il y eut également de vastes achats d’options de vente opérés sur les actions de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie (institution juive), qui occupaient chacun les 22e étages du World Trade Center. Comme l’espéraient les conspirateurs, après la destruction du World Trade Center, les prix de chaque action déjà mentionnée chutèrent, rapportant des millions à ceux qui avaient acheté les options de vente.

Pour vous donner une idée de l’activité concernant ces options dans les quatre derniers jours précédant l’attaque du 11 septembre, 12 215 options de vente furent achetées sur les actions de Merrill Lynch. Le volume quotidien moyen d’options de vente sur les actions de Merrill Lynch, avant ces quatre jours, se montait à 252 options d’achat par jour. Ce fut donc une croissance de 1 200 % du marché des options de vente, juste avant l’attaque. Par suite de la chute du prix des actions de Merrill Lynch, ces options de vente générèrent un profit approximatif de 5,5 millions $. Ces 5,5 M $ constituaient le profit touché sur le commerce des options de vente de Merrill Lynch seulement.

Ces commerces d’options de vente résultent du négoce d’individus qui possèdent des informations internes provenant de quelqu’un d’étroitement impliqué dans les détails de l’attaque. Non seulement connaissaient-ils la cible, le World Trade Center, mais ils savaient spécifiquement quelles compagnies aériennes seraient employées pour atteindre cette cible. Le San Francisco Chronicle est le seul journal du pays à avoir rapporté que des investisseurs devaient encore collecter plus de 2,5 M $ en profit qu’ils firent en négociant des options sur les actions de la United Airlines avant les attaques terroristes du 11 septembre. Les négociants n’osent pas se montrer maintenant, parce que le volumineux commerce d’options de vente indique de manière évidente une connaissance interne à propos des attaques. Apparemment, la suspension du commerce pendant les quatre jours suivant les attaques les mit dans l’impossibilité de réclamer rapidement leur prix avant que les enquêteurs ne pigent l’arnaque. Maintenant, il est trop tard pour qu’ils fassent des profits. S’ils s’étaient envolés avec les 2,5 M $ restants, cela aurait indiqué clairement qu’ils sont loin d’être innocents.

Comment ces tractations commerciales nous aident-elles à identifier qui est derrière les attaques ? Les enquêteurs ont découvert qu’une firme bancaire d’investissement, du nom de Alex Brown Inc., acheta un grand nombre des options de vente déjà mentionnées sur les actions de la United Airlines. Alex Brown Inc. est la plus ancienne banque d’investissement d’Amérique. Le hic, c’est que A. B. « Buzzy » Krongard, le Directeur exécutif de l’Agence Centrale de Renseignements (CIA), est l’ancien Président de Alex Brown Inc. Krongard fit quelques déclarations révélatrices dans un article récent du Washington Post. Il déclara que :

« Si vous retournez aux origines de la CIA, durant la Deuxième Guerre Mondiale, au Bureau des Services Stratégiques (OSS), tout l’OSS était ni plus ni moins que des banquiers et des avocats de Wall Street. »

Ceux qui, dans le secret des événements, achetèrent les options de vente sur les actions de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie crurent miser sur une affaire certaine. Comment pouvaient-ils être si sûrs, alors, que les deux tours seraient détruites par les avions et que cela détruirait du même coup les bureaux de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie ? Il y avait aussi la chance que les avions frappent les tours à des endroits que n’occupaient pas ces bureaux. Il était loin d’être certain que les deux avions fassent assez de dommages pour que les deux tours s’écroulent. Le vaste amas d’options de ventes engagées suggère qu’ils considéraient l’écroulement des tours comme une chose certaine. Comment pouvaient-ils être aussi certains que les deux tours tomberaient alors que l’architecte du WTC dessina les tours pour qu’elles survivent à de telles collisions ? La raison, c’est qu’ils savaient que la destruction des tours était préréglée grâce à des charges de démolition qui les jetèrent au sol sans coup férir. Des témoins visuels racontent avoir vu des bombes exploser à l’intérieur du World Trade Center avant que les Tours jumelles ne s’écroulent, mais leurs récits ont été complètement ignorés du grand réseau des médias. Christopher Bollyn, reporter pour le compte de l’American Free Press, a écrit l’article qui suit concernant les récits de témoins visuels et auditifs des explosions causant l’écroulement des Tours du WTC.

« En dépit des nombreux témoins visuels et des experts, y compris les reporters de nouvelles sur la scène, qui entendirent et virent des explosions immédiatement avant l’écroulement du World Trade Center, on les a virtuellement fait passer sous silence dans le grand courant médiatique. »

« Van Romero, expert en explosifs et ancien directeur du Centre de Recherches et d’Essais en Matériaux Énergétiques chez New Mexico Tech, dit, en parlant du 11 septembre : “J’ai pour opinion, en me basant sur les vidéos, après que les avions eurent frappé le World Trade Center, qu’il y a eu plusieurs dispositifs d’explosifs à l’intérieur des buildings qui causèrent l’écroulement des tours.” »

« L’effondrement des structures ressemble aux implosions contrôlées utilisées pour démolir les vieilles structures et fut “trop méthodique pour être un coup de chance résultant de la collision des avions entrant dans les structures”, dit Romero à The Albuquerque Journal, quelques heures après l’attaque ».

« Les implosions sont de violents affaissements par l’intérieur employées pour démolir les buildings dans les régions densément peuplées, pour prévenir des dommages aux constructions environnantes. Des explosifs calculés avec précision sont placés sur les colonnes et les poutres stratégiques supportant le poids afin de causer un écroulement contrôlé. »

« Les experts disent que les tours sont les buildings les plus difficiles à mettre au sol d’une façon contrôlée. Une tour a tendance à tomber comme un arbre, à moins que la direction de sa chute ne soit contrôlée par des charges directionnelles. Les tours du WTC tombèrent nettement, comme des “cheminées”, en croulant à l’intérieur des limites de leurs fondations. »

« “Il serait difficile pour tout élément provenant de l’avion de déclencher un événement comme celui-là”, dit Romero. “Si ce sont des explosions qui causèrent l’écroulement des tours, ce devait être une quantité relativement petite d’explosifs placés à des points stratégiques, dit-il.” »

« Dix jours après les attaques, à la suite des critiques formulées à l’endroit de ses remarques initiales, Romero fit volte-face dans son analyse de l’écroulement : “L’incendie est certainement la cause de la chute du building,” dit-il au journal, le 21 septembre. »

« Les tours jumelles furent frappées par des Boeing 767 transportant environ 23 000 gallons de fuel. »

« Cependant, il y a une autre information qui donne crédit au premier scénario controversé de Romero. »

« Un témoin visuel, dont le bureau est près du World Trade Center, dit à l’AFP qu’il était parmi une foule de gens sur la rue Church, à environ deux blocs et demi de la Tour sud, quand il vit “un certain nombre de brèves sources de lumière émises de l’intérieur du building, entre les 10e et 15e étages.” Il vit environ six de ces courts flashs, accompagnés d’un “craquement sourd” avant que la tour ne s’écroule. Chaque tour possédait six colonnes centrales de support. »

« Un des premiers pompiers à être entrés dans la seconde tour sinistrée, Louie Cacchioli, 51 ans, dit au People Weekly, le 24 septembre : “Je faisais monter des pompiers dans l’ascenseur vers le 24e étage pour prendre position afin d’évacuer les travailleurs. Au dernier voyage, une bombe éclata. Nous pensons qu’il y avait des bombes d’installées dans le building.” »

« Un chef ingénieur qui dessina les Tours du World Trade Center exprima son choc d’apprendre que les tours s’écroulèrent après avoir été frappées par des avions de passagers.

« “Je les ai dessinées pour qu’un 707 les frappe,” dit Lee Robertson, ingénieur de structure du projet. Le Boeing 707 a la capacité d’emmagasiner plus de 23 000 gallons de fuel, ce qui est comparable au 767 qui accueille 23 980 gallons. »

« Hyman Brown, professeur en ingénierie civile à l’Université du Colorado et gérant de construction du World Trade Center, était confus en regardant les tours s’écrouler. “Les tours étaient conçues pour résister à presque n’importe quoi, y compris les ouragans, les grands vents, les bombardements et le crash d’un avion,” dit-il. »

« Le ramassage des débris s’est aussi avéré controversé. La police dit que certains morceaux de métal ont été détournés vers des ateliers civils privés, plutôt que vers les dépôts de décharge où les enquêteurs examinent les moellons pour trouver les indices et les restes humains. »

« Le second avion a presque manqué la Tour sud, n’en coupant qu’un coin. La plus grande quantité de son essence s’est consumé dans une explosion extérieure. Toutefois, ce building s’est écroulé le premier, longtemps avant la Tour nord où un avion similaire était pourtant entré en entier. »

Ce constat établi, posons-nous cette question : comment des terroristes saoudiens ou autres auraient-ils pu être en mesure d’aller installer des charges explosives directionnelles à l’intérieur même des structures d’acier des deux tours du WTC ? Ce genre d’organisation exige une aide intérieure particulièrement efficace et technologiquement avancée ! La preuve commence peu à peu à surgir que le désastre du World Trade Center du 11 septembre 2001 était l’effet d’un travail interne.

Il est clair qu’Israël a le plus à y gagner, et le désastre porte toutes les marques des agents provocateurs sionistes. Israël finance depuis longtemps des groupes terroristes, sans qu’eux-mêmes le sachent, et qui leur servent de machine de provocation dans des buts spécifiques. Qui, plus qu’Israël, a profité des guerres en Afghanistan et en Irak ? Poser la question, c’est y répondre.

S’il vous semble trop incroyable que des éléments du gouvernement américain, de connivence, puissent se trouver derrière le désastre du WTC, reconsidérez « l’Opération Northwoods » de 1962.

Les Juifs sionistes ont depuis longtemps l’habitude d’employer des agents provocateurs. Le Colonel Jack Mohr explique les méthodes des Sionistes :

« Une grande partie des chrétiens américains n’arrivent pas à réaliser que la plupart des troubles publics, des grèves et de la confusion politique ne surviennent pas au hasard des petits matins de ciel bleu. Ils sont planifiés pour arriver tels quels. Il y a quelques années, la communauté juive de Skokie, en Illinois, fut lancée dans une frénésie totale par un groupe nazi qui sollicitait un permis pour parader à travers la ville. Rien ne fut jamais mentionné à la télévision nationale, ou dans les journaux, quand on découvrit que la “brute” qui paradait dans un uniforme nazi comme leader du groupe nazi était un jeune Juif de la Ligue de Défense des Juifs. Il a été prouvé que de nombreux incidents qualifiés d’antisémitisme vicieux, comme la profanation de synagogues et de cimetières juifs, avaient été commis par des brutes juives. C’est un des moyens qu’ils utilisent pour garder le petit Juif en ligne avec les ordres provenant de la Kehillah, et amadouer le public en général par la laideur de ce qu’on perpètre contre le noble Juif innocent. »

Depuis la Guerre de Sécession, les Jésuites ont mis en œuvre un plan d’agitation civile aux États-Unis. Ils ont créé dans le même laboratoire le poison des malaises sociaux et l’antidote de la législation qui restreint les libertés. À chaque tour de vis, ils extraient un peu plus des libertés de l’Amérique. Les Jésuites inventèrent les mouvements pour les droits civils afin de faire passer des lois de « droits civils » qui, en réalité, remplacent les droits que Dieu nous a donnés, protégés par la Constitution, avec des privilèges établis de manière gouvernementale. De nombreux groupes radicaux mourraient dans l’œuf, ou ne seraient pas capables de survivre s’ils n’ajoutaient à leurs activités quelques petits larcins criminels pour arrondir leur revenu. Entrent alors en scène les banques membres de la Réserve Fédérale qui financent et soutiennent la plupart des groupements radicaux et contrôlent leurs agendas. Malcolm X découvrit que le KKK et la Nation d’Islam (deux organismes ennemis qui sont supposés être aux antipodes au point de vue idéologique) possédaient les mêmes trésoriers et il exposa ce fait publiquement. C’est pour cette raison qu’il fut assassiné. On se demandera peut-être pourquoi cela n’a pas été étalé. La réponse, toute simple, c’est que les grands courants médiatiques sont complètement contrôlés par les Juifs sionistes, les Jésuites et leurs acolytes.

Jusqu’à quel point les Jésuites et leurs compagnons de conspiration sionistes ont-ils réussi à contrôler l’opinion et la connaissance publiques ? Écoutez et pleurez sur la triste vérité alors que John Swinton, ancien Chef du personnel du New York Times, explique l’état de la supposée presse libre aux États-Unis, dans une allocution donnée devant le Club de Presse de New York, en 1953.

« En date d’aujourd’hui dans l’histoire du monde, et en Amérique, la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Aucun de vous n’ose écrire son honnête opinion, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elle ne serait jamais publiée. Je suis payé à chaque semaine pour oblitérer mon honnête opinion du journal auquel je suis lié. D’autres parmi vous sont payés des salaires semblables pour des fins similaires, et quiconque serait assez fou pour écrire ses opinions honnêtes serait jeté à la rue, en quête d’un autre job. Si je permettais qu’apparaissent mes honnêtes opinions, ne serait-ce que dans un seul numéro de mon journal, mon emploi s’évanouirait dans les vingt-quatre heures. La besogne du journaliste, c’est de détruire la vérité ; carrément mentir ; pervertir ; diffamer ; se coucher aux pieds de Mammon, vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie que ce toast en l’honneur d’une presse indépendante ! Nous sommes les instruments et les vassaux des richards blottis en arrière-scène. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos capacités et nos vies sont entièrement la propriété de ces hommes-là. Nous sommes des prostitués intellectuels. »

En examinant les personnes qui entourent le président George W. Bush, nous nous apercevons qu’il est encerclé par plusieurs « faucons » juifs sionistes prêts à tout mettre en œuvre pour que les Etats-Unis interviennent pour la protection des affaires de l’État d’Israël. Ils se nomment Richard Perle (sans titre officiel, mais on le surnomme « le Prince des ténèbres » et il est celui qui exerce l’influence la plus décisive), Douglas Feith (sous-secrétaire d’État à la Défense), Paul Wolfowitz (Ministre adjoint à la Défense, « père » de l’attaque en Irak et conseiller officieux de Bush), Spencer Abraham (ministre de l’Énergie), Franck Gaffney, William Kristol, Elliot Abrams (directeur du Moyen-Orient au Conseil national de sécurité à la Maison Blanche), Marvin Olavsky (conseiller de Bush), Ari Fleischer (porte-parole de la Maison Blanche, ancien co-président du Chabad’s Capitol Jewish Forum, organisé par la secte Chabad Loubavitch Hassidics, disciples de la kabbale)… tous des faucons juifs, proches du Likoud israélien, partisans d’une méthode forte face au problème palestinien. George W. prête une oreille attentive à leurs recommandations et à leurs thèses. Ils sont à l’origine de la nouvelle politique étrangère américaine basée sur l’interventionnisme et la force. Une philosophie surprenante chez ce président qui fut incapable de nommer cinq chefs d’État différents durant une émission de télévision, quelques semaines avant les élections…

Tous les Juifs ne sont pas de vils parasites cherchant à diriger le monde. Certains Juifs, en apprenant la vérité sur la vraie nature de la conspiration mondiale, se révoltent de dégoût. Benjamin H. Freedman était l’un de ces Juifs. Freedman est né en 1890. C’était un homme d’affaire juif qui avait réussi à New York, ayant été, à un moment donné, principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. En 1945, il rompit avec la juiverie organisée. Il passa le reste de sa vie et le plus gros de sa fortune considérable à dévoiler la tyrannie juive qui avait enveloppé les États-Unis. M. Freedman savait de quoi il parlait parce qu’il avait fait partie, aux niveaux les plus élevés, des organisations juives et des machinations juives visant à s’approprier le pouvoir sur notre nation. M. Freedman connut personnellement Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, John F. Kennedy, ainsi que bien d’autres parmi les inspirateurs et les secoueurs de notre époque.

Freedman fit une révélation effrayante regardant le caractère des Juifs, et comment leur religion et leurs traditions talmudiques les rendaient uniquement susceptible de séduire et en faisaient des adeptes de la déloyauté et de la trahison contre toute nation de laquelle ils sont citoyens.

« Savez-vous ce que font les Juifs, le Jour des Expiations que vous pensez être si sacré pour eux ? J’en faisais partie. Ce n’est pas du ouï-dire. Je ne suis pas ici pour faire l’agitateur. Je vous donne des faits. Lorsque vous entrez, un Jour des Expiations, dans une synagogue, vous restez debout pour la première prière que vous récitez. C’est la seule prière pour laquelle vous demeurez debout. Vous répétez trois fois une courte prière qu’on appelle Kol Nidre. Dans cette prière, vous passez un accord avec Dieu Tout-Puissant disant que tout serment, tout vœu ou tout engagement que vous pourrez prendre ou faire durant les douze prochains mois seront nuls et non avenus. Le serment ne sera pas un serment ; le vœu ne sera pas un vœu ; l’engagement ne sera pas un engagement. Ils seront sans force ni effet. Et, en outre, le Talmud enseigne qu’à n’importe quel moment où vous faites un serment, un vœu ou un gage, vous devez vous rappeler la prière du Kol Nidre que vous avez récitée au Jour des Expiations, et vous serez exempts de les tenir ou les remplir. Jusqu’à quel point pouvez-vous vous en remettre à leur loyauté ? Autant que les Allemands s’en remirent à leur loyauté en 1916. Nous allons subir le même sort que les Allemands subirent, et pour les mêmes raisons. »

Ariel Sharon

Les Juifs exercent un contrôle quasi complet sur le gouvernement des États-Unis. Le colloque suivant, qui eu lieu en octobre 2001, entre le Ministre des Affaires Étrangères israélien, Shimon Peres, et le Premier Ministre israélien, Ariel Sharon, révèle, de la bouche même des protagonistes, le pouvoir juif aux États-Unis.

« Selon la radio hébraïque israélienne Kol Yisrael, mercredi, Peres avertit Sharon que refuser de tenir compte des demandes américaines incessantes d’un cessez-le-feu avec les Palestiniens pourrait mettre en danger les intérêts israéliens et retourner les États-Unis contre nous. À ce moment-là, on rapporte que c’est un Sharon furieux qui se tourna en direction de Peres en disant : “Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique va faire ceci ou cela (…) Je vais vous clarifier les choses une bonne fois pour toutes : ne vous occupez pas de la pression des Américains sur Israël. Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent.” La radio dit que Peres et d’autres ministres du cabinet mirent Sharon en garde de révéler en public ce qu’il venait de dire, car “cela nous occasionnerait des relations publiques désastreuses”. »

Comment Ariel Sharon pouvait-il se montrer si sûr de son contrôle sur le gouvernement et le peuple des États-Unis ? En politique, le savoir, c’est le pouvoir. Si quelqu’un possède la connaissance secrète d’un fait embarrassant quelconque, cette connaissance peut être employée pour compromettre et contrôler des fonctionnaires du gouvernement, des leaders religieux, et quiconque est ciblé. Comment les Juifs ont-ils acquis une telle connaissance ?

Comme l’a rapporté le site Internet de nouvelles What Really Happened, avant les attaques du 11 septembre, le FBI avait découvert la présence d’un large réseau d’espions à l’intérieur des États-Unis, dirigé par le gouvernement d’Israël. Faisant partie de ce réseau d’espionnage, il y a plusieurs compagnies de télécommunication subventionnées par le gouvernement israélien et opérant aux U.S.A. Une de ces compagnies est Amdocs qui fournit de l’assistance annuaire et d’affichage à 90 % des compagnies téléphoniques des États-Unis. Le centre informatique principal d’affichage d’Amdocs est, en fait, en Israël et permet à ceux qui y ont accès de faire ce que les agences de renseignements appellent « de l’analyse de trafic » : le portrait des activités de quelqu’un basé sur un modèle de ceux qu’il appelle et quand il les appelle. Une autre compagnie israélienne de télécommunication s’appelle Comverse Infosys, qui sous-traite l’installation d’équipement de captage automatique des communications maintenant inséré dans tous les systèmes téléphoniques en Amérique. Comverse entretient ses propres connexions avec tout cet équipement de captage de communications téléphoniques, insistant à dire que ce n’est que dans un but d’entretien. Cependant, Comverse a été citée comme la source la plus probable de fuites de renseignements concernant les appels téléphoniques par l’application de la loi qui fit dérailler plusieurs enquêtes, non seulement dans le domaine de l’espionnage, mais aussi la lutte contre la drogue. Or, Odigo, autre compagnie israélienne de télécommunications, fournit le plus gros du système de transmission de messages pour tous les services de « Messagerie Instantanée ». Deux heures avant les attaques contre les tours du World Trade Center, des employés d’Odigo en reçurent l’avertissement. Odigo a un bureau à deux pâtés de maisons de l’ancien emplacement du WTC.

Souvenez-vous qu’Israël est un pays communiste en ligue avec d’autres pays communistes. Au contraire des apparences, Israël est l’ennemi des Etats-Unis et en train d’en faire son esclave !

Le rapport de Ken Starr sur Whitewater décrit comment Bill Clinton informa Monica Lewinsky que leurs conversations téléphoniques sexuelles avaient été enregistrées. À la même époque, Clinton ordonna au FBI de cesser de chasser la taupinière israélienne connue pour opérer au sein de la Maison Blanche elle-même ! Clinton, à cause de ses faiblesses sexuelles, a subi le chantage des Israéliens sionistes.

Nous avons donc ici une nation étrangère capable d’écouter quasiment toutes les conversations téléphoniques à volonté, en utilisant des prises qu’on ne peut retracer parce qu’elles sont construites à l’intérieur même du système téléphonique, et prête à utiliser l’information glanée de ces appels pour faire chanter les Américains et les amener vers toute action désirée. Ce pourrait être ce que voulait dire Ariel Sharon quand il déclara que le peuple juif contrôlait l’Amérique. Que les renseignements glanés de ces appels téléphoniques soient utilisés pour infléchir l’attitude de certains individus-clés dans le gouvernement et les médias américains, on le voit dans la manière que le gouvernement et les médias ont manipulé ce scandale du plus vaste réseau d’espionnage jamais découvert à l’intérieur des États-Unis et de prises téléphoniques sur tous nos téléphones. Ils le minimisent. En réalité, « enterrer » serait un meilleur choix de mot. Seul Fox News, parmi tous les médias, a vraiment suivi le fil de l’histoire dans une diffusion en quatre parties et l’a mise sur son site Internet. Puis, sans explication, Fox News a effacé l’histoire de son site et ne l’a plus jamais mentionnée. CNN poursuivit en traitant de « conte d’Orwel » leur rapport mentionnant un avertissement que l’on avait envoyé deux heures avant les attaques sur le WTC à des employés de Odigo. Mais bien plus révélatrice est l’admission faite par un fonctionnaire gouvernemental, dans la première partie du reportage de Fox News, qu’une preuve évidente existait reliant les événements du 11 septembre, non pas aux musulmans arabes, mais à certains des quelques 200 espions israéliens et plus arrêtés avant et après le 11 septembre, mais cette preuve a été discrètement CLASSÉE (…) Les médias essaient d’enterrer l’histoire. Ils l’entravent, la contrecarrent, l’effacent de leurs sites Internet dans ce qui est une réelle réécriture orwellienne et glaciale de l’histoire. »

« Aujourd’hui un NOUVEL ORDRE MONDIAL est à naître, un monde très différent de celui que nous avons connu. »

Georges Bush sr

(11 septembre 1990, 11 ans avant le 11 septembre 2001)

« Nous sommes reconnaissants aux NY Times, Washington Post magazine et plusieurs autres, dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant presque 40 ans. Il aurait été impossible pour nous de développer nos plans pour le monde si nous avions été soumis à la lumière de la publicité durant ces années. »

David Rockefeller




D.173 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 10

 

par Guy Richer

Les Organisations les plus influentes

agissant dans l’Ombre

Les Jésuites sionistes fonctionnent depuis longtemps par la manipulation d’un réseau inextricable d’organismes qu’ils ont soigneusement et patiemment mis sur pied depuis des siècles afin de maîtriser toutes les facettes de la vie politique, économique, sociétale, culturelle et religieuse du monde entier. Nous vous proposons un survol des plus importantes.

 ____________________________________________________________________________________

Le “Council on Foreign Relations” (CFR) ou Conseil des Relations Étrangères

Fondé par la Round Table en 1921, on lui donne aussi le nom d’« establishment », de « gouvernement invisible » ou de « ministère Rockefeller des Affaires étrangères ». Cette organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des citoyens des États-Unis, compte parmi les plus influentes du pays.

Le CFR exerce, de nos jours, un contrôle étroit sur les nations occidentales, que ce soit de façon directe, parce qu’il est en relation avec des organisations du même genre, ou que ce soit par l’intermédiaire d’institutions, telle que la « Banque mondiale » qu’il préside.

Depuis sa création, tous les présidents des États-Unis, sauf Ronald Reagan, y étaient déjà membres avant leur élection. En revanche, le vice-président de Reagan, George Bush, était membre du CFR. Il en fut même le directeur en 1977. Le CFR est contrôlé par le syndicat Rockefeller et sert à concrétiser son but : la création d’un « Gouvernement mondial unique ».

Le groupe Bilderberg

 

Constitution :

Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution, en mai 1954, sous le nom de « Bilderberg Group », réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas, à l’hôtel Bilderberg (d’où son appellation), à Oosterbeek, en Hollande. Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d’universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s’appellent les Bilderbergers.

Objet officiel :

Construire l’unité occidentale contre l’expansion soviétique.

Fonctionnement secret :

Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte-rendu. La presse en est exclue et, d’ailleurs, il n’existe dans la salle aucune possibilité d’enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.

Instigateurs et participants :

Jusqu’en 1976, la présidence était exercée par le prince Bernhard de Lippe. Le scandale des pots-de-vin de Lockheed (dont la majorité des actions appartiennent à la Compagnie de Jésus — les Jésuites) et le « mea culpa » du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group ; mais l’organisation n’en poursuivit pas moins ses activités, son « patron » véritable n’étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller. Lorsqu’il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Commission Trilatérale. Il en est aujourd’hui le directeur pour l’Amérique, tout en présidant le C.F.R., organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).

Que complotent les participants ?

Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci font l’objet d’indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers. Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre Une main cachée dirige, les principaux sujets proposés au cours de ces discrètes délibérations :

—  les problèmes financiers internationaux ;

—  la liberté d’émigration et d’immigration ;

—  la libre circulation des produits sans entraves douanières ;

—  l’union économique internationale ;

—  la constitution d’une force de police internationale avec suppression des armées nationales ;

—  la création d’un Parlement international ;

—  la limitation de la souveraineté des états délégués à l’ONU ou à tout autre gouvernement supranational.

Comme on le voit, le processus conduit vers la constitution d’un Gouvernement mondial.

 La Commission Trilatérale

Constitution :

Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque les réformistes ou colombes du CFR et ceux des Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l’expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental : la Commission Trilatérale vit donc le jour l’année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l’Europe, autrement dit : le Tokyo Stock Exchange et la Cité de Londres. Étant d’origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 Est, 46e Rue, New York).

Objet officiel :

Construire une coopération politique et économique entre l’Europe Occidentale, l’Amérique du Nord et le Japon.

Fonctionnement secret :

Elle est semi-secrète, internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d’autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B’nai B’rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère : ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l’organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et des médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des États des hommes à elle et « d’infiltrer » les hautes sphères du monde occidental.

Instigateurs et participants :

Les instigateurs, qui en sont aussi les plus importants participants, sont :

David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger, etc.

photo

Relations avec les autres groupes secrets :

La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonniques mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu’ici à la Trilatérale d’agir dans l’ombre, si bien que rares sont ceux qui savent que cette mystérieuse société existe et qu’elle exerce un contrôle rigoureux sur les États et l’économie internationale par l’intermédiaire des affiliés qu’elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l’administration.

LA ROUND TABLE

La Round Table, ou « Table Ronde », vit le jour le 5 février 1909, fondée par Alfred Milner, à la suite des sept vœux formulés par un richissime diamantaire anglais, Cecil John Rhodes, Maître-maçon dans la franc-maçonnerie britannique, et qui aspirait à la création de cette société, car il considérait que la maçonnerie végétait et n’avançait pas les idées qu’il prônait. Les membres fondateurs de la Round Table furent, outre lord Alfred Milner, lord Esher, lord Nathan Rothschild, lord Arthur Balfour, ainsi que les écrivains Rudyard Kipling et H. G. Wells.

La structure de ce groupe était, comme les « SS » d’Hitler, calquée sur l’Ordre des Jésuites. Rien d’étonnant à cela, car l’Ordre, rappelons-le, avait main mise sur le système bancaire par l’intermédiaire de la Maison Rothschild. Or, Rhodes nomma Nathan Rothschild administrateur de sa fortune pour que, après son décès, celle-ci servit à la fondation de sa société secrète, la Round Table, avec l’aide d’Alfred Milner qui partageait le même but.

Ce but principal était de rétablir la domination de l’Empire britannique et d’étendre l’utilisation de la langue anglaise au monde entier. Pour ce faire, on devait commencer par ramener les Etats-Unis d’Amérique sous la tutelle du Commonwealth. Comme son mentor John Ruskin, Cecil Rhodes croyait que seule l’élite britannique pouvait et devait régir le monde pour le bien et le bonheur de l’humanité.

Une des façons que trouva Cecil Rhodes pour atteindre son but fut d’octroyer une colossale partie de sa fortune pour des bourses d’étude (The Rhodes Scholarships) à l’Université d’Oxford — où il avait été élève et où il était devenu franc-maçon — afin que l’on éduque une élite privilégiée dans le sens de ses tendances politiques mondialistes. Va sans dire que les boursiers de Rhodes sont triés sur le volet afin de bénéficier de ce supplément d’éducation et d’endoctrinement dont la facture est payée par la succession Cecil John Rhodes.

Peu après sa fondation, la Round Table devint l’appendice le plus puissant de la Fraternité maçonnique britannique. Ce groupe se reliait aux sionistes par la famille Rothschild, ainsi qu’aux familles américaines Morgan, Rockefeller, Schiff, Warburg, Guggenheim et Carnegie. Faisaient aussi partie de la branche américaine, le Colonel Edward Mandell House et Benjamin Strong, personnages très influents de la maçonnerie américaine.

Sont issus de la Round Table trois cellules de pouvoir importantes : le Royal Institute of International Affairs (RIIA), c’est-à-dire, l’Institut Royal des Affaires Internationales, organisé en 1919 à Londres ; le Council on Foreign Relations (CFR), c’est-à-dire, le Conseil des Relations Étrangères, organisé en 1921, à New York ; et l’Institute of Pacific Relations (IPR), c’est-à-dire, l’Institut des Relations au Pacifique, ou les douze pays ayant territoire dans ce que nous appelons aujourd’hui la Bordure du Pacifique, organisé en 1925. Alfred Milner fut aussi un des membres principaux du Comité des 300.

L’existence d’une Round Table américaine fut révélée dans The Anglo-American Establishment, par Carroll Quigley, professeur (maintenant décédé) à la Faculté des Services Étrangers, à l’Université de Georgetown (la plus importante université jésuite en Amérique), et mentor de l’ancien Président Bill Clinton.

La branche américaine de cette société secrète anglaise exerça le plus clair de son influence par l’intermédiaire de cinq journaux américains : le New York Times, le New York Herald Tribune, le Christian Science Monitor, le Washington Post, et le regretté Boston Evening Transcript. C’est grâce à cela que la Faculté d’Oxford, en Angleterre, patronnée par Cecil Rhodes, put accueillir chaque année, depuis 1904, 32 étudiants américains qui, devenus ainsi « érudits internationalistes », retournent aux Etats-Unis occuper des postes-clés dans les institutions et le gouvernement américains. On les retrouvent au Département d’État américain et dans la plupart des médias importants où ils ont, entre autres tâches, le devoir d’amoindrir l’importance de la puissance de l’Empire britannique qui s’affiche faussement comme affaibli.

Certains boursiers américains de la succession Rhodes ayant reçu leur formation spéciale d’Oxford, deviennent des membres parmi les plus prééminents dans les affaires des Nations Unies. L’ONU n’est qu’une excroissance du plan développé par Cecil Rhodes, le bâtisseur d’empire, et sa société secrète, la Round Table.

L’Institute for Advanced Study (IAS) qui est l’Institut des Hautes Études, pour lequel travaillèrent Robert Oppenheimer et Albert Einstein, est également issu de la Round Table. Les deux hommes construisirent plus tard, pour la IAS, la première bombe atomique.

Le Club de Rome

Le Club de Rome regroupe des membres de l’establishment international de 25 pays (soit une cinquantaine de personnes). Il fut créé par le clan Rockefeller (dans leur propriété privée à Bellago, en Italie). Ce sont eux qui le financent aujourd’hui encore.

Son but principal est aussi de créer un gouvernement mondial en s’appuyant sur l’élite. Il a, de plus, élaboré une religion unique mondiale et a fait croire dans les médias à une « crise de l’énergie » et à un surpeuplement de notre planète. D’après William Cooper (auteur du livre Behold a Pale Horse), le Club de Rome aurait développé le virus du SIDA (avec l’antidote correspondant, bien sûr) et l’aurait répandu dans les populations pour introduire le grand programme d’assainissement des races en vue du gouvernement mondial de l’élite.

La société secrète des Skull & Bones

Ses propres membres l’appellent the Order, (l’Ordre).

Beaucoup le connaissent depuis plus de 150 ans comme étant le Groupe local 322 d’une société secrète allemande. D’autres lui donnent le nom de Brotherhood of Death (Fraternité de la Mort). L’Ordre secret des Skull & Bones (traduction mot à mot : Crâne et Os) fut introduit par William Huntington Russel et Alfonso Taft à l’Université de Yale, en 1833. Russel, après avoir été en Allemagne où il fit des études en 1832, l’introduisit ensuite à Yale. En 1856, il fut incorporé au Russel Trust.

Cet ordre forme, entre autres, le noyau (l’élite) du CFR. Le noyau des Skull & Bones, à son tour, s’appelle la Jason Society.

Les pratiques de sorcellerie de la famille Bush

Depuis des générations, les membres masculins de la famille Bush sont diplômés de Yale et membres de la Société Skull & Bones. Le grand-père de George W. Bush, diplômé en 1917, fut un membre légendaire de la Société… Mais il y a eu d’autres Bush qui ont brillé dans cette Société, depuis le grand-oncle George Herbert Walker Jr, jusqu’aux cousins George Herbert Walker III et Ray Walker, en passant par l’oncle Jonathan Bush, sans oublier le propre père de George W., l’ancien Président George Bush.

Cette révélation est surprenante et inquiétante, car elle décrit une situation affreuse, celle où des générations successives sont liées dans des pratiques de sorcellerie. Dieu a parfaitement décrit cette situation dans la Bible, il y a près de 4 000 ans :

« Tu ne te prosterneras point devant elles [les idoles], et tu ne les serviras point ; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent. »

(Exode 20:5)

La plupart des chrétiens ne réalisent pas que Dieu fait ici référence aux péchés des ancêtres, notamment ceux de sorcellerie et de magie. Ce sont ces péchés qui sont aujourd’hui la cause principale du satanisme dans le monde. Tous les principaux membres des sociétés occultes proviennent de familles dont l’ascendance est sataniste depuis plusieurs générations.

Les familles les plus influentes aujourd’hui dans le monde sont les Rothschild, les Windsor, les Rockefeller, les Carnegie, les Ford, les Weyerhauser, les Roosevelt, les Taft, les Bundy et, bien sûr, les Bush.

Ainsi, les Présidents américains sont liés à la famille royale anglaise par des générations de praticiens de la sorcellerie ! Mais qu’en est-il de la famille Bush ? Trois générations de Bush ont été membres des Skull & Bones. George W. Bush a donc une lourde hérédité. Mais cette hérédité ne s’arrête pas là :

George Bush est le descendant de la treizième plus importante famille d’Illuminati. Sa famille est apparentée à la famille royale anglaise, et descend aussi des Mérovingiens.

Il n’est donc pas surprenant de voir des générations successives pratiquer le satanisme. C’est ainsi que les principaux dirigeants des sociétés occultes sont issus de familles anglaises ou européennes qui dominent le monde depuis trois siècles. La Grande-Bretagne est la patrie du satanisme et le centre mondial de générations de satanistes. Tous les satanistes savent depuis des générations que ceux qui règnent sur le Royaume-Uni doivent dépendre étroitement de la puissance de Satan. Cela explique pourquoi Cecil Rhodes et d’autres Chevaliers de la Table Ronde, comme les Rothschild, voulaient soumettre le monde entier à la Grande-Bretagne.

Si George W. Bush était réellement un chrétien né de nouveau, comme il le prétend, il n’aurait pas hésité à dénoncer et à répudier la Société Skull & Bones dans les termes les plus nets ! En outre, il n’aurait pas hésité à publier dans le monde entier le plan draconien mis au point par les Sociétés Secrètes pour dominer le monde, à commencer par la création artificielle de famines, de guerres et de maladies mortelles, jusqu’à la réduction planifiée des deux tiers de la population mondiale !

L’un des premiers actes de la présidence de George W. Bush aurait dû être d’ordonner que le billet de 1 dollar américain soit remplacé, pour que disparaissent les symboles maçonniques qui y figurent, en particulier la pyramide tronquée surmontée de l’œil de Lucifer !

George W. Bush n’a rien fait de tout cela. Pourtant, beaucoup de gens de l’extrême droite chrétienne continuent de penser qu’il est un bon chrétien digne de considération ! Toutefois, malgré ces fruits spirituels désastreux, George W. Bush continue de se faire respecter par la plupart des chrétiens, en prétendant être l’un d’entre eux. N’est-il pas temps d’étudier la question d’un peu plus près ? Un président dit « chrétien né de nouveau », recherchant n’importe quel prétexte pour faire la guerre, cela offre une contradiction des plus étranges, ne trouvez-vous pas ?

Hitler, membre du Groupe de Thulé, branche allemande de la Fraternité de la Mort, dont les Skull & Bones sont la branche américaine, était un adepte de la Magie Noire. Il nous semble nécessaire de définir d’abord en quoi consistent la Magie Noire et la Magie Blanche.

La plupart des adeptes du Nouvel-Âge n’emploieront pas ces expressions, en raison des associations d’idées négatives qu’elles véhiculent. Ils parleront plutôt de « sentier de droite », pour désigner la Magie Blanche, et du « sentier de gauche », pour désigner la Magie Noire. Les occultistes croient que les forces qui régissent l’Univers ont accordé aux hommes le libre-arbitre pour choisir s’ils emploieront les secrets et la puissance du monde occulte pour le Bien ou pour le Mal. Si l’on choisit d’employer des pouvoirs occultes pour le Bien, on suivra le « sentier de droite », et l’on sera un adepte de la Magie Blanche. Au contraire, si l’on choisit d’employer des pouvoirs occultes pour le Mal, on suivra le « sentier de gauche », et l’on sera un adepte de la Magie Noire.

Toute l’histoire de Harry Potter est fondée sur ce concept !

Quelle séduction !

Vous devez savoir que toute puissance occulte vient de Satan, et qu’il n’y a aucune différence entre la Magie Blanche et la Magie Noire. Tous ceux qui croient qu’il y a une différence sont séduits.

 Anton LeVey  Allister Crowley

                                                     

Dans sa « Bible satanique », Anton LaVey se moque de ceux qui croient qu’il y a une différence entre Magie Blanche et Magie Noire, et affirme que seuls les satanistes ont le courage de savoir qui ils servent réellement. Allister Crowley, considéré comme le plus grand sataniste d’Angleterre, disait de même.

Au début des années 30, les occultistes du monde entier étaient dans une grande joie, parce qu’ils attendaient la manifestation de leur Maître en 1933. La plupart des dirigeants du Nouvel-Âge, y compris Alice A. Bailey, pensaient qu’Adolf Hitler était ce Maître. Quand Hitler arriva au pouvoir, il choisit le svastika (la croix gammée) comme symbole national, mais il le disposa à l’envers, pour montrer à tous les occultistes du monde qu’il avait choisi le « sentier de gauche », celui du Mal. Les dirigeants du « sentier de droite » ont été soudain horrifiés. Ils se sont mis à proclamer que le Nouvel Ordre Mondial devait être institué pour le Bien, et non pour le Mal.

Très vite, il a fallu choisir si ce Nouvel Ordre Mondial tant attendu devait revêtir la forme « mauvaise » de la Magie Noire d’Adolf Hitler, ou la « bonne » forme de la Magie Blanche de Roosevelt et de Churchill ! Comme les occultistes des deux camps croient en la puissance exceptionnelle des « relations triangulaires », les principaux protagonistes de la Deuxième Guerre Mondiale se sont rapidement regroupés en deux « triangles » d’alliés : le Triangle Noir formé par l’Allemagne nazie, l’Italie et le Japon, contre le Triangle Blanc formé par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie. C’était la Magie Blanche qui luttait contre la Magie Noire !

Ainsi donc, toute l’Europe allait payer le prix de cet affrontement, à la fois par la guerre et par le génocide. Hitler a engagé une guerre qui allait être la plus destructrice de toute l’histoire de l’humanité, en accomplissant « d’incroyables ravages » ! Ses programmes d’extermination et de génocide allaient dépasser tout ce que le monde avait connu jusqu’alors en matière de planification et d’efficacité.

Le bilan de la Deuxième Guerre Mondiale se lit comme suit :

  • 18 200 000 soldats tués ;
  • 16 300 000 civils tués.

Lorsqu’on additionne les 18 000 000 de morts des Camps de la Mort d’Hitler, on réalise que plus de 54 millions de gens ont perdu la vie comme résultat des pratiques et des buts occultes du Nouvel Ordre Mondial de la branche allemande de la Fraternité de la Mort, le Groupe de Thulé. En langage de culte satanique, ces millions de personnes furent sacrifiées à l’autel du dieu Lucifer !

Ce n’est pas pour rien que la Bible nous dit que Dieu a en abomination TOUTES les formes de magie et d’occultisme, ce sont des voies qui conduisent à la mort !

Hitler a presque gagné la Deuxième Guerre Mondiale, mais le temps n’était pas encore venu, pour Dieu. Toutefois, plusieurs des effets secondaires de la Guerre ont servi à mettre en place le courant actuel vers un Nouvel Ordre Mondial.

Pour les conspirateurs occultistes, la magie est un moyen… non une fin.

Les Juifs kabbalistes et les Jésuites sont sans doute les plus grands adeptes de la magie noire et des messes noires. Mais, comme pour tous les satanistes, ces cérémonies ne leur servent que d’outils pour prendre contact avec leurs dieux (Satan et ses démons) qui se manifestent à eux en tant que leurs esprits guides. La fin visée par les conspirateurs est d’amener le gouvernement unique par lequel ils vont pouvoir s’assujettir ouvertement le peuple des Gentils et installer leur religion à Mystères babyloniens. C’est leur but suprême !

Bill Cooper, dans son bouquin « Behold A Pale Horse » (Voici, un cheval blanc), cite un document de la Société secrète des Bilderberg, un rejeton des Skull & Bones :

« Puisque la plupart des gens n’exerceront pas de restriction économique, nous devrons prendre le contrôle du monde par l’utilisation d’armes silencieuses économiques sous la forme d’une guerre silencieuse et réduire les dangereux niveaux de consommation du monde à un degré sécuritaire grâce au procédé de l’esclavage et du génocide bénévole. »

Comment peut-on croire que l’esclavage et le génocide puissent être bénévoles ? C’était pourtant la pensée précise d’Hitler quand il planifiait son Nouvel Ordre Mondial. Il voulait débarrasser le monde de tous les indésirables par une guerre volontaire. Nous avons vu tout à l’heure quel fut l’horrible résultat.

*             *            *




D.172 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 9

 

par Guy Richer

Les Illuminati

Adam Weishaupt, franc-maçon et professeur spécialisé dans l’enseignement canonique, avait officiellement renié le catholicisme pour embrasser l’idéologie luciférienne, pendant qu’il enseignait à l’université de Ingolstadt, en Bavière, dans les années 1770.

Weishaupt était juif et pratiquait, selon toute probabilité, la kabbale. II fut enseigné par un Jésuite haut placé, puis installé à la tête des llluminati de Bavière pour ressusciter les Jésuites qui venaient d’être abolis comme Ordre catholique, en 1773. Ses chefs jésuites passèrent des ententes avec la Maison Rothschild d’Angleterre en vue de la mainmise secrète des Jésuites sur les llluminati et, ainsi, de la franc-maçonnerie.

En 1776, la branche de Bavière fut inaugurée et on commença à tramer la Révolution française, début de la terrible vengeance des Jésuites sur l’Europe et spécialement la France et le Vatican. Résultat : 41 ans plus tard, les Jésuites, plus puissants que jamais, étaient réintégrés dans le catholicisme en tant qu’Ordre officiel et leur pouvoir ne fut plus menacé. II faut bien comprendre pourquoi les Jésuites sont importants aux yeux des Khazars talmudistes. C’est la porte par laquelle la kabbale est entrée dans le monde chrétien pour l’infiltrer. Dès le début, les Jésuites ont eu un rôle prédominent dans les affaires de « l’Église » (le Concile de Trente). En s’emparant ensuite des sociétés secrètes, les Juifs ont infiltré le côté protestant du christianisme. Aujourd’hui, ils se retrouvent partout dans le monde, dans toutes les sphères de la connaissance humaine.

Cet objectif exigeant patience et constance, visait la division des masses (les populations nommées goyim signifiant « bétail humain »), en camps opposés afin d’augmenter les tensions politiques, raciales, sociales, économiques et autres. Par la suite, ces camps devaient être armés, et un incident devait être provoqué pour les pousser à s’affronter et à s’affaiblir les uns les autres, tout en détruisant leurs gouvernements nationaux et leurs institutions religieuses.

Les llluminati existaient déjà depuis longtemps, avant l’époque de Weishaupt. Ce dernier fut seulement placé à la tête du chapitre de Bavière. Le créateur de la Compagnie de Jésus (les Jésuites), Ignace de Loyola, était juif espagnol et possiblement descendant direct de la famille royale des Khazars laquelle s’était exilée en Espagne après la déroute subie face aux Russes blancs. Avant de fonder les Jésuites (vers 1534), il était le chef de tous les llluminati en Espagne. Éventuellement, il se fit marrano ou « marrane » (juif converti au catholicisme), mais continua secrètement à pratiquer la kabbale et à suivre le Talmud. Lorsqu’il fonda les Jésuites, il rédigea les Instructions secrètes de la Compagnie de Jésus, livre dont les instructions étaient directement influencées de la Kabbale et du Talmud. Donc, rien de moins chrétien que les Jésuites !

Lorsque Adam Weishaupt reçut le mandat de réactiver les Illuminati en Bavière, il s’agissait, en réalité, de l’élite des Jésuites qui put ainsi agir sous une nouvelle couverture commode. Le système d’enseignement de la société était déjà sous la coupe des Jésuites qui possédaient de nombreux collèges et institutions, ce qui leur permettait de façonner le peuple et de sélectionner leurs descendants « moraux ». Rien d’étonnant à ce que l’on retrouve ce principe dans les Protocoles. Cette méthode était déjà bien éprouvée.

Le terme illuminatus (illuminati au pluriel) est dérivé du mot Lucifer, et signifie entre autres, « détenteur de lumière ». Utilisant le mensonge, Weishaupt recruta environ 2 000 adeptes auxquels il exposa son objectif qui était de mettre sur pied un GOUVERNEMENT MONDIAL. Ces hommes possédaient des facultés mentales supérieures, propres à leur permettre de gouverner le monde. Ce groupe d’élite de 2 000 personnes formées par Weishaupt à l’époque et devenues, sans s’en rendre compte pour la plupart, des agents jésuites, c’est-à-dire, de « robe courte » ou « coadjuteurs temporels », se composait des personnes les plus intelligentes dans les domaines des arts et lettres, de l’éducation, des sciences, de la finance et de l’industrie.

Le plan de Weishaupt exigeait que ses Illuminati suivent certaines prescriptions qui devaient les aider à réaliser leurs objectifs.

1. Utiliser la corruption monétaire afin d’obtenir le contrôle de personnes occupant des postes élevés à différents niveaux de tous les gouvernements et des autres champs de l’activité humaine. Une fois qu’une personne influente tombait sous l’emprise des Illuminati par le biais de mensonges et de supercheries, elle devait être gardée en esclavage par l’application d’un chantage politique ou autre, de menaces, de ruine financière, de scandale public, d’attaque physique, et même de mort, dirigés contre elle ou contre ses proches.

C’est là une méthode qui est encore utilisée régulièrement aujourd’hui puisque les dignes descendants et pratiquants de cette méthode sont les créatures mêmes des Juifs-Jésuites : CIA, FBI, NSA, Mossad, KGB, MI6, Interpol, etc.. Le système d’espionnage est répandu dans le monde entier comme une vaste toile d’araignée dans laquelle nous sommes tous autant de mouches.

2. Les Illuminati, installés dans les facultés des collèges et des universités, devaient recommander aux étudiants possédant des facultés mentales exceptionnelles et appartenant à des familles nobles ayant des tendances globalisatrices, de se diriger vers un entraînement spécial dans l’internationalisme. Cet entraînement devait se faire grâce aux bourses d’études octroyées à ceux qui avaient été choisis. Ils devaient être éduqués, endoctrinés, si l’on préfère, dans l’idée que seul un GOUVERNEMENT MONDIAL peut mettre fin aux guerres courantes et aux tribulations.

3. Les personnes influentes, prises sous le contrôle des Illuminati, et les étudiants spécialement éduqués et entraînés, devaient être utilisés comme agentures (agents espions infiltrés), et placés en arrière-scène, comme en avant-scène, de tous les gouvernements en tant qu’experts et spécialistes. De cette manière, il leur serait alors possible d’influencer les têtes dirigeantes et les amener à adopter des politiques qui pourraient, à long terme, servir les plans secrets des partisans d’un seul ordre mondial.

4. Les Illuminati devaient obtenir le contrôle de la presse et de toutes les agences qui distribuent de l’information au public. Les services de nouvelles et d’information devaient être biaisés de sorte que les goyim (le peuple) en arrivent à croire qu’un gouvernement mondial serait la seule et unique solution à tous leurs problèmes.

La stratégie employée par les Illuminati de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les Juifs sionistes et les Jésuites. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les Juifs sionistes disent s’être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d’un « Nouvel Ordre Mondial ». La stratégie employée par les Juifs sionistes, les Illuminati et les Jésuites est la même parce qu’ils partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes et poursuivent un but commun : l’établissement d’un Gouvernement mondial unique, avec Jérusalem et son Temple comme centre du pouvoir et trône de leur futur messie.

Voilà pourquoi les Jésuites, venant tout juste d’être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminati, ce qui s’avérait une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild.

Meyer Amschel, chef de la Maison des Rothschild, était un Juif allemand éduqué chez les rabbins, et prit plus tard le nom de Rothschild qui signifie « bouclier (ou écu) rouge ».

Amschel utilisa son immense fortune pour consolider les efforts révolutionnaires des Illuminati, dont, entre autres, la Révolution française. Un autre homme ayant contribué à l’établissement des Illuminati se nommait Jakob Frank, Juif polonais. Son nom de famille était originalement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d’Offenbach et c’était un leader de la kabbale juive secrète de l’époque. Il est à noter que la famille Rothschild actuelle est également à la tête du plan de reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, instrument indispensable pour l’intronisation du messie attendu par les sionistes, les sociétés secrètes, le Nouvel Âge, la majorité des religions païennes et autres adorateurs d’une forme ou l’autre que Satan emprunte pour se faire adorer. La famille Rothschild et le système bancaire international sont prêts à fournir tous les fonds nécessaires à l’accomplissement de cette dernière étape.

Mais revenons à notre étude des Illuminati. Les Jésuites assassinèrent le pape Clément XIV et, par les Illuminati, pillèrent ensuite le Vatican, s’emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde.

Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les Jésuites furent restaurés en tant qu’Ordre catholique par le pape Pie VII. Les Jésuites furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L’on doit comprendre que les Jésuites ne se fusionnent pas aux autres organisations, ils les absorbent ! Comme le Vatican qui l’apprit à la dure école, tous ceux qui s’allient aux Jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort, desquelles il n’y a aucune délivrance, sauf par le pouvoir de Dieu Tout-Puissant. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L’influence des Juifs, par l’intermédiaire des Jésuites au sein de l’Église catholique romaine, s’est manifestée dès le début dans la doctrine catholique. Le Concile de Trente fut orchestré par les Jésuites qui, d’anathème en anathème, attaquèrent la doctrine chrétienne.

Le contrôle des Juifs sur le Vatican est si complet que le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Certains ont interprété le document comme reniant le rôle rédempteur de Jésus. Or, par le biais de ses doctrines, l’Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Rien de surprenant à ce que cette doctrine « judéo-catholique » eut été rédigée par un Jésuite du nom de Albert Vanhoye.

Dans l’ancienne Palestine, les Juifs travaillèrent main dans la main avec les Romains pour crucifier le Christ. Aujourd’hui, les Juifs oeuvrent main dans la main avec l’Église catholique romaine dans leur effort commun pour diriger le monde en détruisant le vrai christianisme.

Dans Apocalypse 17:5, la grande prostituée est l’Église catholique romaine qui porte un nom sur le front, MYSTÈRE, BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES IMPUDIQUES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE. Notez que si elle est un mystère, elle est aussi étiquetée Babylone. Si elle est appelée Babylone, c’est qu’elle est babylonienne. Elle est un mystère parce que c’est une religion démoniaque antichrist qui est sortie de la Babylone païenne déguisée comme étant « la » religion chrétienne. L’étampe du christianisme a été apposée sur le paganisme babylonien pour qu’il se présente comme la religion à mystères que nous connaissons sous le nom d’Église catholique romaine.

Il est important de bien saisir qu’il existe un noyau babylonien commun au talmudisme, au jésuitisme, au catholicisme, à la franc-maçonnerie, au communisme, au nazisme et au sionisme. Ils sont tous issus de Babylone et sont tous antichrists. Voilà pourquoi, à la toute fin, ils auront fini par fusionner ensemble pour former le Nouvel Ordre Mondial ou, bibliquement parlant, Babylone la Grande, appelée la Mère des Impudiques et des Abominations de la Terre.

Le plan pour la domination du monde par Satan

« Au moment présent, le monde tremble dans l’attente de la plus grande catastrophe que la race humaine ait jamais connue, et cependant, les catholiques demeurent enfoncés dans une satisfaction insouciante » Pie XII (en 1951)

Philosophie du fonctionnement de la société vu au travers du prisme des Protocoles des Sages de Sion :

« Les catégories de personnes qui ne pourront pas entrer dans les moules, soit par choix de non-conformisme, soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société.

« Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total. On doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparant des parents.

« La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-même de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante.

« Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile, cependant, car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : « celui qui paie est celui qui donne le ton ».

Comment endormir le public face à l’attaque ?

« Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiètement de cette arme sur son mode de vie, jusqu’à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. »

Le Plan aux milles visages : l’enfer sur Terre

Les Protocoles des Sages de Sion, le Projet, le Plan à Long Terme, la Conspiration ; quel que soit le nom qu’on veuille lui donner, il s’agit d’une seule et même trame mise sur pied par un petit groupe d’hommes, immensément riches, extrêmement rusés, astucieux, possédant une extrême influence, et utilisant : l’or, les mensonges et les supercheries pour renverser et pervertir la race humaine. Ces organisations occultes utilisent la promesse de la richesse, de la luxure, des plaisirs charnels pour séduire, et attirer les hommes loin de Dieu dans le but de les subjuguer au pouvoir de Satan.

Il faut aujourd’hui vouloir demeurer parfaitement aveugle pour ne pas croire à la mise en place de ce plan, lorsqu’on en voit les paramètres démontrés de manière de plus en plus manifeste. Les détracteurs qui accusent les dénonciateurs de ce plan de crier « au loup » ont de plus en plus de difficulté à camoufler les ordures sous le grand tapis mondial. Elles débordent de partout. La vérité est destinée à se frayer un chemin à l’air libre ; le mensonge est destiné à s’évaporer.

  Jésuites/Juifs Khazars sionistes

Quant au Plan comme tel, quelques-uns des Articles de Morales et Dogmes d’Albert Pike, en 1871, suffisent pour nous donner une idée assez juste de la philosophie de base des sionistes. Ces Articles stipulent, entre autre :

  • Article XV, Paragraphe I: « Quand nous hériterons enfin de notre royaume à l’aide d’un coup d’état mondial amenant la chute morale et physique de toutes formes existantes de gouvernement, nous nous donnerons alors un contrôle global total contre lequel la rébellion ne pourra pas exister. »
  • Article II, Paragraphe 5: « À travers la Presse, nous avons acquis le Pouvoir d’influencer tout en demeurant dans l’ombre. »
  • Article X, Paragraphe 13: « Pour que notre Plan puisse produire des résultats, nous devrons organiser en notre faveur, les élections de Présidents que nous manipulerons par le chantage… Ainsi ils représenteront des agents de valeur pour l’accomplissement de nos plans… Nous devrons investir le Président du droit de déclarer “l’État des Mesures de Guerre”. Nous justifierons cette action en laissant savoir que le Président, en tant que Chef des Armées du pays, doit avoir ce plein pouvoir en cas de besoin pour la Défense de la nouvelle Constitution Républicaine, etc. »

Bill Clinton est plus jésuite que maçon. II a fait ses hautes études à l’Université de Georgetown, le plus puissant collège jésuite des États-Unis et possiblement du monde. Toutes les politiques américaines partent de là et y sont décidées. Ce collège est beaucoup plus puissant que le Sénat ou le Congrès.

Georgetown ne réfère qu’au Vatican, i.e., au Pape Noir, aujourd’hui le Jésuite général Peter-Hans Kolvenbach, et commande à Washington. Clinton consultait souvent ses « dirigeants » jésuites de qui il avait reçu son enseignement.

PDD *25 Presidential Directives Decisions

« Le Président Clinton a signé, en 1994, la reddition des 5 branches de l’Armée américaine sous le commandement des Nations Unies. (Violation directe de la Constitution américaine.)

« EXECUTIVE ORDERS »

« Le directeur du bureau de la Planification d’urgence (FEMA – Federal Emergency Management Agency) est autorisé à appliquer les Executive Orders (E.O.) en période de tensions internationales ou de crises financières. »

« …saisie de tous les médias de communication, de tous pouvoirs électriques, hydrocarbures (essence, propane, diesel, gaz naturel, charbon…), ressources minéralogiques (publiques et privées), de toutes les réserves et ressources alimentaires publiques et privées, toutes fermes et équipements de ferme, de tous types de transports, incluant autos, camions, ou tout véhicule que ce soit et le contrôle total de tous grands axes routiers, ports et voies de navigation, de tous civils pour travailler sous la supervision fédérale ; ceci inclut la séparation des familles et des enfants de leurs parents, de tous établissements de santé, éducation et bien-être (publics et privés). Toutes les personnes, aux États-Unis d’Amérique, devront obligatoirement s’enregistrer à un bureau de poste américain. Saisie de tous les aéronefs et aéroports (publics et privés).

« Autorisation de relocaliser par la force. Saisie de tous les chemins de fer, voies navigables et tous les complexes d’entreposage (publics et privés). Il est prévu qu’aucun service gouvernemental ne sera disponible pour au moins 5 mois. »

Continuons dans les articles de Morales et Dogmes.

Article I, Paragraphe 15 : « Notre pouvoir sera invincible parce qu’il demeurera invisible. Qui ou quoi est en position de renverser une force invisible ? Là réside notre force… »
Article V, Paragraphe 11 : « IL N’Y A RIEN DE PLUS DANGEREUX POUR NOTRE CAUSE QUE L’INITIATIVE PERSONNELLE ; ELLE PEUT NOUS FAIRE PLUS DE TORT QUE POURRAIENT NOUS EN FAIRE DES MILLIONS DE PERSONNES PARMI LESQUELLES NOUS AURIONS DÉJÀ SEMÉ LA DISCORDE. »

Le Nouvel Ordre Mondial amènera :

  • un gouvernement global totalitaire
  • une armée unique
  • une banque unique
  • une monnaie mondiale
  • et une religion unique, luciférienne

Manipulation de l’opinion publique en 6 étapes

Ces planificateurs du Nouvel Ordre Mondial ont mis au point un plan en six étapes qui leur permet de manipuler en douceur l’opinion publique, afin qu’elle change complètement son système de valeurs. Il faut que ce changement se réalise pour qu’ils puissent préparer le contexte favorable à la manifestation de ce gouvernement. Vous avez peut-être du mal à comprendre à quel point on vous manipule chaque jour. Après avoir pris connaissance de ce plan en six étapes, vous saurez reconnaître la manipulation et éviter qu’elle vous influence.

Etape 1 : Une pratique est jugée tellement scandaleuse qu’elle ne peut même pas être discutée en public. Toutefois, elle commence par être défendue par un expert respecté, qui en parle au cours d’un forum respectable.

Etape 2 : Le public est tout d’abord choqué, puis scandalisé.

Etape 3 : Le simple fait que cette pratique puisse faire l’objet d’une discussion publique devient le sujet d’un débat.

Etape 4 : Cette pratique scandaleuse continue de faire l’objet de nombreux débats publics, ce qui finit par émousser son caractère scandaleux.

Etape 5 : Les gens ne sont plus scandalisés par cette pratique.

Etape 6 : Comme le grand public n’est plus scandalisé, certains multiplient les prises de position modérées, en évitant les extrêmes. Une fois que cette pratique est admise, on parle à présent des moyens de la mettre en œuvre.

C’est une méthode très efficace pour obtenir des changements de valeurs et de comportements. Elle a été employée avec succès auprès de toute la population nord-américaine. Aujourd’hui, des millions de personnes sont en train de changer de valeurs et de comportements, dans un grand nombre de domaines. Ces changements sont essentiels pour instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Gardons soigneusement à l’esprit les étapes de cette méthode insidieuse, et passons en revue les nombreux domaines où elle est employée aujourd’hui pour éliminer les valeurs chrétiennes de notre société, et les remplacer par des valeurs païennes.

Exemples actuels de l’emploi de ce plan

—  Contrôle de la démographie en ayant recours à la mort.

—  Suicide et euthanasie.

—  Infanticides.

—  Destruction programmée de l’Afrique.

—  Transplantation et marché d’organes.

—  Avortement et collecte de tissus fœtaux. (Dans un récent article, en France, certains spécialistes médicaux ont commencé à approcher des femmes pour pouvoir s’approprier de leur fœtus vivant, en vue d’expériences médicales.)

—  Cannibalisme.

—  Contrôle de la démographie par la guerre et les conflits.

—  Le mouvement féministe.

—  Encouragement de l’homosexualité.

—  Les étapes sont en marche pour la pédophilie.

—  Le désarmement de la population.

—  Désensibilisation des individus, hommes et femmes, par la télévision, les dessins animés, la violence visuelle, des émissions au contenu ouvertement sexuel.

—  La radio plongeant dans le nihilisme, c’est-à-dire, une attitude négative envers la vie. Le suicide, qui est explicitement encouragé par le rock.

—  L’idée que l’homme n’est qu’une machine animale, rien de plus.

—  La violence et la rébellion.

—  Le sexe dépravé au cœur de la musique.

—  L’occultisme sous toutes ses formes et un culte ouvertement rendu à Satan.

—  Discrédit de tout ce qui touche au christianisme.

—  Destruction de toute morale.

—  Le meurtre.

—  Etc., etc.

Les manipulateurs, ayant prévu que se lèveraient des dénonciateurs qui chercheraient à éveiller la conscience des gens, ont pris soin d’accompagner précautionneusement leur propagande destructrice de l’idée que ces changements de valeurs sont normaux et même souhaitables dans une société qui « évolue ». Faites-en l’expérience et parlez à votre entourage d’un problème sociétal comme, par exemple, l’homosexualité. Remarquez comme on vous toisera de haut en vous disant :

« Mon vieux, nous sommes en 2004… Tes propos sont discriminatoires, il faudrait que tu évolues ! »

Voilà un signe certain que la manipulation a parfaitement fonctionné et que la personne est bien conditionnée, bien programmée.

*           *           *




D.171 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 8

 

par Guy Richer

Deuxième et Troisième Guerres Mondiales

DEUXIÈME GUERRE MONDIALE

Les Nazis, inspirés des Jésuites

L’Église catholique est comme une cinquième colonne dans chaque pays où elle est située. « Cinquième colonne » est un terme employé pour décrire un groupe envoyé pour amollir le pays qu’on veut envahir. Par exemple, dans la France de la Deuxième Guerre Mondiale, la cinquième colonne catholique, appelée…

« Action catholique », opéra au nom des nazis avant et pendant l’invasion allemande de la France. L’Action catholique fit la propagation du fascisme vis-à-vis du peuple pour que celui-ci l’accepte et ne résiste pas à l’invasion de l’Allemagne. Elle fut plutôt efficace… la France tomba en 30 jours ! Pierre Laval, comte du pape et président du gouvernement de Vichy, dit ce qui suit à la Radio nationale de France, le 2 janvier 1943 :

« Je souhaite la victoire de l’Allemagne. Il paraît étrange, n’est-ce pas, d’entendre le vaincu souhaiter la victoire du vainqueur. C’est que nous ne vivons pas une guerre comme les autres. Nous sommes dans une véritable guerre de religion ! Oui, une guerre de religion. »

L’Action catholique convainquit si efficacement les catholiques belges que le fascisme était une bonne chose que huit belges sur dix ayant collaboré avec les Nazis allemands étaient catholiques.

Le catholique romain Otto Strasser fut un des fondateurs du Parti nazi. Strasser révéla, dans son livre intitulé Hitler et moi, que l’infâme bouquin de propagande nazi Mein Kamf, censément écrit par Adolf Hitler, ne fut pas, en fait, rédigé par Hitler. D’après Strasser, Mein Kamf fut anonymement écrit pour Hitler par un prêtre jésuite du nom de Bernhardt Stempfle, sous l’évidente directive de von Ledochowsky, le Jésuite Général.

Hitler et ses nazis travaillèrent de concert avec le Vatican par l’intermédiaire des Jésuites. En 1933, l’Allemagne signa un concordat avec le Vatican.

Franz Von Papen, représentant d’Hitler à la signature du concordat, déclara que « les termes généraux du Concordat furent plus favorables que tous les autres accords similaires signés par le Vatican (…) le Chancelier Hitler me demanda d’assurer le secrétaire d’État papal (le cardinal Pacelli, qui devint plus tard le pape Pie XII) qu’il musellerait immédiatement le clan anticlérical. » Il y avait, à ce moment-là, 45 camps de concentration en Allemagne, détenant 40 000 prisonniers. Apparemment, une partie des accords voulaient qu’Hitler balaie les forces anti-vaticanes et Rome allait soutenir l’Allemagne nazie. Ce devait être une Inquisition des temps modernes.

Après être devenu le leader fasciste d’Italie, Mussolini prit note d’une réunion qu’il eut avec le pape Pie XI dans laquelle il citait le pape qui aurait dit :

« Je suis heureux que la compatibilité ait été rétablie entre le Parti fasciste et l’Action catholique. Mieux, les difficultés ont disparu pour les catholiques. Or, je ne vois, dans toute la doctrine fasciste — avec son affirmation des principes de l’ordre, de l’autorité et de la discipline — rien qui soit contraire aux conceptions catholiques. »

Après avoir signé le concordat avec l’Allemagne nazie, le pape Pie XI se mit à y réfléchir. Il vit la guerre se profiler à l’horizon et décida de dénoncer publiquement Hitler et Mussolini. Il s’arrangea pour rendre sa dénonciation publique le 12 février 1939, à la veille de la Deuxième Guerre Mondiale. Cela aurait eu un effet dévastateur sur les plans de conquête de l’Europe par les Allemands et les Italiens, parce qu’un tiers des Allemands étaient fervents catholiques, sans parler des millions d’autres catholiques partout en Europe. Toutefois, Pie XI devint soudainement très malade et mourut le 10 février 1939, moins de 48 heures avant qu’il ait prévu donner son discours public dénonçant le nazisme et le fascisme. Bon nombre croient que Pie XI a été empoisonné. Toutes les copies du discours que se proposait de donner Pie XI furent détruites dans les minutes précédant sa mort. Même le manuscrit original écrit de sa main disparut mystérieusement du bureau papal.

Le Secrétaire d’État du pape, le cardinal Pacelli, était une des personnes ayant libre accès à l’étude papale. Le cardinal Pacelli négocia le concordat avec l’Allemagne nazie et devint le successeur du pape Pie XI, sous le nom de pape Pie XII. Il fut un ardent supporteur des Nazis.

Si Pie XI, par la force des choses, et son continuateur Pie XII ne se départirent jamais de leur bienveillance pour le Führer qu’ils avaient aidé à élever au pouvoir, il faut reconnaître que celui-ci, de son côté, remplit exactement les conditions du pacte qui le liait au Vatican.

Les anticléricaux, qu’il avait expressément promis de « juguler », s’en allèrent rejoindre, dans les camps de concentration, les libéraux et les Juifs. Pour ceux-ci, on sait comment le chef du IIIe Reïch avait réglé leur sort : l’extermination totale de la race par le massacre pur et simple, quand on ne jugeait pas plus avantageux, avant de les « liquider », de les faire travailler jusqu’à extinction de leurs forces. En ce cas, la « solution finale» » était seulement différée.

Mais, voyons d’abord comment une personnalité particulièrement « autorisée », c’est-à-dire, Franco, chevalier de l’Ordre du Christ, a confirmé en termes exprès la collusion vaticano-nazie. Voici, d’après Réforme, ce que publiait la presse du dictateur espagnol, le 3 mai 1945, jour de la mort d’Hitler :

« Adolf Hitler, fils de l’Eglise catholique, est mort en défendant la Chrétienté. On comprendra donc que notre plume ne trouve pas de mots pour pleurer sa mort, alors qu’elle en avait tant trouvé pour exalter sa vie. Sur ses restes mortels se dresse sa figure morale victorieuse. Avec la palme du martyre, Dieu remet à Hitler les lauriers de la Victoire. »

Dans cet éloge funèbre du chef nazi, retentissant comme un défi aux alliés vainqueurs, c’est la voix même du Saint-Siège qui s’exprime sous le couvert de la presse franquiste. Autant dire un communiqué du Vatican, via Madrid.

Certes, le héros disparu avait bien mérité de l’Eglise romaine et on ne nous le cache pas. Il l’a servie avec fidélité : tous ceux que cette Eglise lui avait désignés comme ses adversaires en surent quelque chose. Du reste, ce bon « fils » n’hésitait pas à reconnaître ce qu’il devait à sa Très Sainte Mère, et tout particulièrement à ceux qui se sont institués ses soldats dans le monde.

Hitler modela l’organisation de son Parti nazi sur celle de l’Église catholique. D’ailleurs, il déclara :

« J’ai beaucoup appris de l’Ordre des Jésuites (…) Jusqu’à maintenant, il n’y a rien eu de plus grandiose sur terre que l’organisation hiérarchique (sic) de l’Église catholique. J’ai transposé une bonne part de cette organisation dans mon propre parti. Je vais vous dévoiler un secret (…) Je suis en train de fonder un Ordre (…) dans les “burgs” de mon ordre, nous allons susciter une jeunesse qui va faire trembler le monde. »

Hitler coupa court et expliqua qu’il ne pouvait en dire davantage. Il ne révéla pas l’identité de la redoutable organisation à ce moment-là. En fait, il se référait à la Schutzstaffel, plus connue en tant que les SS. Le général Walter Schellenberg, ancien chef du contre-espionnage allemand expliqua, après la guerre :

« L’organisation SS a été constituée par Himmler selon les principes de l’Ordre des Jésuites. Leur réglementation et les Exercices spirituels prescrits par Ignace de Loyola ont servi de modèle que Himmler tenta de copier exactement. »

Hitler, Goebbels, Himmler et beaucoup de membres de la vieille garde du Parti nazi étaient des catholiques romains. Nous devons souligner que chacun d’eux, comme une majorité du leadership nazi, avaient des ancêtres juifs. Pour un, Hitler, par une étrange ironie du sort, était le petit-fils du baron Rothschild, car le père d’Adolf, Alois Hitler, était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber et du baron de la plus célèbre famille juive ashkénaze du monde bancaire. Paradoxe qui finit par expliquer bien des choses.

Franz Von Papen, ancien chancelier d’Allemagne, chambellan secret du pape et ressort moteur du concordat entre l’Allemagne et le Vatican, a dit :

« Le Troisième Reich est le premier pouvoir mondial qui, non seulement reconnaît, mais met également en pratique les grands principes de la papauté. »

Qu’est-ce que les apôtres de l’obéissance aveugle, les Jésuites, ont écrit en regard du mouvement nazi ? Ils soulignèrent à chaque occasion la réalité voulant que le Mouvement nazi et le catholicisme romain soient une seule et même chose. Par exemple, le théologien jésuite Michaele Schamaus, dans L’Empire et l’Église, sa série d’études de 1933 sur le sujet, a dit ce qui suit :

« L’Empire et l’Église est une série d’écrits qui devrait aider l’érection du Troisième Reich, car il réunit un état national-socialiste au christianisme catholique (…) Le mouvement national-socialiste est une protestation des plus vigoureuses et massives contre l’esprit des 19e et 20e siècles (…) Un compromis entre la foi catholique et la pensée libérale est impossible (…) Rien n’est plus contraire au catholicisme que la démocratie (…) Le réveil de la signification de la “stricte autorité” ouvre à nouveau le chemin à la véritable interprétation de l’autorité ecclésiastique (…) La défiance contre la liberté se trouve dans la doctrine catholique du péché originel (…) Les commandements du national-socialisme et ceux de l’Église catholique ont les mêmes visées. »

Kurt Gerstein, membre clandestin de l’opposition évangélique contre Hitler, devint officier SS dans le but de découvrir le secret des camps d’extermination et de le dire au monde. Il apporta son rapport au représentant personnel du pape à Berlin. Quand l’attaché du pape s’aperçut pourquoi Gerstein voulait le voir, il refusa de le recevoir. Il était primordial que le Vatican cache son implication. Il ne pouvait se permettre que quelqu’un parcoure le monde en disant que le pape connaissait le génocide et qu’il demeurait quand même silencieux. Le pape n’avait pas besoin que Gerstein lui dise ce qui se passait en Allemagne. Il y avait des dizaines de milliers de prêtres dans toute l’Europe. Ils voyaient des maisons vidées, des villages entiers déportés. Ils entendaient les confessions des SS nazis catholiques, et des renseignements de première main étaient envoyés au Vatican par ses propres diplomates. Les prêtres catholiques, suivant les ordres reçus du Vatican, prenaient une part active dans l’extermination des Juifs.

Dans son ouvrage de 1937 appelé Grande Apologétique, l’abbé catholique Jean Vieujean déclare :

« Pour accepter l’Inquisition dans son principe, il suffit d’avoir une mentalité catholique, et c’est ce qui manque à beaucoup de chrétiens… L’Église catholique n’a pas de ces timidités. »

Que celui qui a des yeux voit au-travers de la pieuse façade de Rome. Que celui qui a de la sagesse comprenne le danger posé par Rome et les Jésuites.

L’Église catholique romaine ne change jamais !

La Troisième Guerre Mondiale

Les Juifs sionistes ont réussi à empêcher toute révélation au sujet de leur implication dans le projet d’un Nouvel Ordre Mondial communiste en attribuant à quiconque exposerait leurs efforts l’étiquette d’antisémite. Ce que peu comprennent, c’est que ceux qui proclament être l’objet d’antisémitisme ne sont pas Sémites du tout. Les Sémites sont ceux qui descendent de Sem, le fils aîné de Noé. La plupart des Juifs vivant en Israël et partout dans le monde, aujourd’hui, sont des Européens de l’est convertis à une religion qu’ils déclarent être du judaïsme, mais qui, en fait, est du talmudisme babylonien. Les Européens qui se convertirent ultérieurement à cette forme babylonienne de judaïsme sont connus sous le nom de Juifs ashkénazes, descendants du peuple des Khazars.

Le Dr Benjamin Freedman, ancien Juif qui, par la grâce de Dieu, s’est converti au christianisme, déclare que les Khazars étaient une nation païenne dont le culte religieux était un mélange de culte phallique et d’autres formes d’idolâtrie. Au 7e siècle, leur roi, Bulkan, choisit le talmudisme, que la plupart appellent maintenant judaïsme, comme religion d’état. Les Juifs Khazars sont aujourd’hui appelés « Yiddish ». Or, le yiddish est l’ancienne langue parlée par le peuple Khazar et n’a rien à voir avec l’hébreu. Dans l’Apocalypse, Dieu Se réfère à ces Juifs talmudiques ashkénazes comme des Juifs qui se disent Juifs, et qui n’en sont pas, mais qui sont plutôt la « synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9 ; 3:9).

Ces « fils d’Askénaz » modernes ne peuvent en aucune façon prétendre à la lignée sémite. Jamais n’ont-ils été de la descendance d’Abraham. Ce sont donc des Gentils, des païens et leur propre Talmud les condamne ! N’est-ce pas étrange ?

Les Juifs ashkénazes sionistes forment un peuple sans allégeance à aucune nation.[1] Leur objectif premier est de s’emparer du monde entier. Pour avoir une idée de l’infâme objectif de ces talmudistes, lisons la lettre qu’écrivit Baruch Levy à Karl Marx, en 1879 :

« Le peuple juif dans son entier sera son propre messie. Il achèvera sa domination mondiale par la dissolution des autres races, par l’abolition des frontières, l’annihilation de la monarchie et l’établissement d’une république mondiale dans laquelle les Juifs exerceront partout leur privilège de citoyenneté. Dans ce nouvel ordre mondial, les enfants d’Israël fourniront tous les dirigeants sans rencontrer d’opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république du monde tomberont sans difficulté dans les mains des Juifs. Il deviendra alors possible aux dirigeants juifs d’abolir la propriété privée et de faire partout usage des ressources de l’état. Ainsi, les promesses du Talmud seront accomplies, dans lesquelles il est dit que, lorsque le temps messianique sera venu, les Juifs auront tous les biens du monde entre leurs mains. »

À côté de ce que nous concoctent ces messieurs, les atrocités du 20e siècle apparaîtront comme de joyeuses rigolades. Le troisième millénaire promet d’être très mouvementé !

À force d’avoir déifié l’argent, nous sommes en passe d’en devenir les esclaves.

Les Protocoles des Sages de Sion sont l’œuvre des juifs sionistes kabbalistes, quoiqu’ils s’en défendent. Il s’agit seulement de déterminer s’ils le concoctèrent sous le couvert des Jésuites ou si ce sont directement des rabbins qui l’ont rédigé. Certains indices à l’intérieur même des Protocoles laissent sous-entendre que ce serait des Jésuites, mais cela revient au même, les Jésuites étant fondamentalement sionistes, kabbalistes et talmudistes. Car les Protocoles véhiculent l’esprit du Talmud et de la kabbale ; ils reprennent exactement les idées imprégnant cette Tradition maudite. Des écrits antérieurs aux Protocoles prouvent que ceux-ci proviennent des Khazars. Je reviendrai sur ce sujet pour apporter plus de précision un peu plus loin. Précisons, cependant, que ce ne sont pas tous les Juifs qui sont sionistes, loin de là.

Qu’est-ce que le sionisme ? C’est la tentative de réintégration de la diaspora juive dans un état israélien. Or, de nombreux Juifs, surtout parmi les orthodoxes, sont absolument contre un état israélien séculier. Leur compréhension de la Torah leur démontre qu’il ne doit pas y avoir d’effort de la part du peuple juif pour amener le royaume du Messie avant que Celui-ci revienne l’installer Lui-même. Donc, créer un état juif, c’est aller à l’encontre de la volonté divine. Toutefois, la majorité des sionistes ne sont pas judaïstes et pratiquent la kabbale, sous-produit du babylonisme prônant un Gouvernement mondial unique sous la dictature d’un messie humain.

En étudiant les plans sionistes du Nouvel Ordre Mondial, nous avons découvert qu’ils ne se contentent pas d’annoncer une guerre mondiale, mais qu’ils prévoient aussi toute une série de désastres qui doivent accompagner cette guerre :

–> Un embargo pétrolier de l’OPEP.
–> Un effondrement des économies mondiales.
–> Le terrorisme dans nos villes.
–> Des désastres naturels, y compris des épidémies, des famines et des tremblements de terre.
–> Des émeutes urbaines.
–> La confiscation des armes détenues par les particuliers.
–> L’introduction de troupes étrangères sur notre sol national, sans doute en raison de la destruction d’une bonne partie de nos forces militaires dans des conflits à l’étranger.
–> La suspension de nos libertés et de notre gouvernement constitutionnel.
–> La cession de notre souveraineté à une entité supranationale, ce qui peut présupposer l’assassinat de certains de nos dirigeants.

Cette Troisième Guerre Mondiale est déjà planifiée par le Nouvel Ordre Mondial. Il y a de nombreux « points chauds » en ce moment sur la terre impliquant des pays possédant l’arme nucléaire.

Nous commençons de plus en plus à voir à travers les mailles de cette toile d’araignée globale et nous comprenons aussi que ces conflits ont été créés artificiellement afin de nous mener à des étapes subséquentes.

_________________________________________________________________

[1] Les « Séfarades » descendent également des Khazars, mais de ceux qui fuirent la Khazarie, lors de l’invasion russe, en s’exilant principalement en Espagne. Ignace de Loyola, créateur des Jésuites, serait un descendant direct de la famille royale khazare qui s’y installa.




D.170 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 7

 

par Guy Richer

La Franc-maçonnerie

L’institution maçonnique doit son existence à une confrérie de maçons constructeurs qui voyageaient en Europe dès le 8e siècle. Ils se partageaient des secrets reliés à leur métier.

On ne retrouve la première trace du mot « franc-maçon » qu’en 1376, sous la forme anglaise freemason. Il faut voir dans le freemason un homme libre, (le préfixe free semble l’attester), un ouvrier hors du commun, bénéficiant de franchises accordées par l’église ou par les souverains, libre des obligations d’une corporation ou libre de naissance.

C’est en Grande-Bretagne, et surtout en Écosse, que l’on trouve, au début du 17e siècle, les premières traces de la franc-maçonnerie moderne, soit la transition entre une maçonnerie de métier à une maçonnerie de pensée. En 1702, la loge londonienne Saint.Paul édictait que « les privilèges de la maçonnerie ne sont plus désormais réservés seulement aux ouvriers constructeurs, mais, ainsi que cela se pratiquait déjà, ils seront étendus aux personnes de tous les états qui voudront y prendre part ». Commence alors l’histoire de la maçonnerie moderne, dite aussi symbolique.

Publiquement, cette société se présente comme une organisation philanthropique, c’est-à-dire, axée sur les bonnes œuvres et prônant des valeurs justes et morales. Mais, dans les faits, il en est tout autrement.

Dans le livre The Lost Keys of Freemasonery, Manly Palmer Hall, 33e degré (le plus élevé de la hiérarchie maçonnique du Rite écossais), révèle que : « L’ordre maçonnique n’est pas qu’une simple organisation sociale, mais elle est composée de tous ceux qui se sont liés ensemble pour apprendre et appliquer les principes du mysticisme et les rituels occultes ».

Les francs-maçons sont les druides contemporains, écrit Albert Churchward, un franc-maçon du 33e degré. William Hutchinson nous dit que la franc-maçonnerie a emprunté plus de doctrines et de cérémonies des druides qu’elle en a pris d’ailleurs. (Les druides anciens étaient des prêtres occultes qui adoraient plusieurs dieux, pratiquaient l’astrologie et, en définitive, offraient des sacrifices humains.)

Le vrai visage de la franc-maçonnerie n’est révélé qu’aux initiés de hauts niveaux. W. Wilmhurst, un haut dignitaire des Loges, nous écrit, dans The masonic initiation, page 42 : « Pour ceux qui ne désirent seulement qu’une organisation sociale agrémentée d’un peu de cérémonial pittoresque et fournissant une occasion de distraction ou de distinction personnelle, la maçonnerie ne sera jamais plus que la formalité qu’elle a toujours été et qu’elle est toujours pour beaucoup. Et eux-mêmes resteront toujours dans l’ignorance de sa signification, de son but et de ses grandes possibilités ».

Albert Pike, dans son livre Moral and Dogmas of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 819, écrit : « Une partie des symboles sont divulgués à l’initié, mais ce dernier est intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les comprenne. Leur véritable explication est réservée aux érudits, aux princes de la maçonnerie. » Il nous dit aussi dans ce livre, aux pages 744 et 745, qui fut préparé pour le conseil suprême du 33e degré de la juridiction sud des États-Unis :

« La Bible, avec toutes les allégories qu’elle contient, n’exprime que d’une manière incomplète et voilée, la science religieuse des Hébreux… La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux… »

Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la Kabbale et elles y retournent… Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles.

Kabbale ou cabale : C’est l’ensemble des traditions juives relatives à l’interprétation mystique de l’Ancien Testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux [Dictionnaire encyclopédique Hachette, 1980, p.176].

Selon un article intitulé Jung and Qabalah : Elle est la fondation sur laquelle l’astrologie, le tarot, l’alchimie, la numérologie, la mythologie et la magie se basent. C’est une science occulte qui prétend mettre ses adeptes en communication avec le monde des esprits.

Les Juifs qui pratiquent la kabbale veulent nous faire croire qu’il s’agit des enseignements oraux que Moïse aurait laissés derrière lui, parallèlement aux enseignements divins écrits sur le Mont Sinaï. Ces Enseignements oraux auraient été par la suite consignés par écrits dans des livres mystiques sous le nom de « Traditions ». En réalité, il est plutôt question des rites égyptiens récoltés lors du séjour d’Israël en Égypte. Ces enseignements furent incorporés à l’étude de la Torah (la Loi de Moïse) pour lui donner une interprétation remplie de mysticisme et d’ésotérisme, bien dans l’esprit de la Babylone païenne.

La Franc-maçonnerie : une religion

Dans Le Livre du Maître d’Oswald Wirth, nous lisons, à la page 22 : « Reste à savoir si la franc-maçonnerie est oui ou non une religion. Cesserait-elle d’en être une parce que les autels de ses temples sont consacrés au culte de la liberté, de la fraternité et de l’égalité ? Ayons le courage de nous dire religieux et de nous affirmer apôtres d’une religion plus sainte que toutes les autres. C’est ainsi que le premier effet de l’initiation est de purifier l’apprenti de toute mentalité chrétienne, s’il en a une… »

Albert Pike, pontife de la franc-maçonnerie universelle, franc-maçon au 33e degré, grand prêtre de l’église satanique, déclara le 14 juillet 1889 : « Ce que nous devons dire à la foule est que nous adorons un dieu, mais c’est un dieu que nous adorons sans superstition. A vous, grands inspecteurs généraux souverains, nous disons ceci pour que vous puissiez le répéter aux frères des 32e, 31e et 30e degré : la religion maçonnique devrait être par nous tous, initiés des hauts degrés, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne… Si Lucifer n’était pas dieu, est-ce qu’Adonaï (Jésus… le Dieu des chrétiens), calomnierait, c’est-à-dire, prendrait la peine de répandre des choses fausses et dangereuses sur son compte ? Oui, Lucifer est dieu… » Cette déclaration fut faite, à l’époque, aux vingt-trois conseils suprêmes du monde. Elle fait encore sursauter aujourd’hui, même des athées… !

Dans le Adelphi Quarterly (magazine Nouvel-Âge) No 3, 1992, page 7, il est écrit que la franc-maçonnerie a été formée comme une école de la fraternité luciférienne. Helena Petrovna Blavatsky, comme nous l’avons déjà mentionné, était une sataniste reconnue et fondatrice de la société théosophique. Elle, aussi bien que ses successeures Annie Besant et Alice Bailey, étaient toutes impliquées dans la franc-maçonnerie.

La secte des Témoins de Jéhovah a été fondée par un dénommé C. T. Russel, franc-maçon du 33e degré et Grand Maître dans la région de Chicago, en Illinois !

Il y a un siècle, une grande statue bâtie par un français du nom de Auguste Bartholdi fut placée dans le port de New York. On lui a donné le nom officiel de LA LIBERTÉ : LUMIÈRE DU MONDE.

Ce secret fut découvert le 4 juillet 1987, puisqu’il s’agit en fait d’un cadeau de la franc-maçonnerie française à la franc-maçonnerie américaine. La femme portant le flambeau est un symbole franc-maçonnique.

Le Général Albert Pike

Dans une circulaire franc-maçonnique, il est écrit, à propos de Pike : « Il n’y a pas d’homme plus pur et plus noble qui se soit tenu à l’autel de la franc-maçonnerie. Il fut le plus éminent maçon du monde ».

Sous la conduite directe des Jésuites, Pike a rédigé quelques-uns des rituels et il a réécrit les autres, du 4e au 33e degré. Pike a occupé la position de Pontif of Universal freemasonery (pontife de la franc-maçonnerie mondiale) et il a été à la tête des Illuminati durant les années 1870. Il fut grand prêtre de l’église satanique et l’un des fondateurs du Ku Klux Klan.

Il a été un héros confédéré de la Guerre civile américaine. Pike est considéré comme le plus important franc-maçon de tous les temps pour les raisons suivantes :

–> Il a été un génie reconnu.
–> Il parlait couramment 16 langues.
–> Il était diplômé de l’Université Harvard.
–> Il fut Général de Brigade au cours de la Guerre Civile.
–> Il connaissait parfaitement la cabale, ce système occulte du judaïsme, qui est au centre du Nouvel Ordre Mondial.

Lorsque Pike eut pris la tête de la Franc-Maçonnerie nord-américaine, il s’installa au « Temple de la Connaissance », à Washington, à treize (13) blocs au nord de la Maison Blanche, en ligne directe avec le grand obélisque maçonnique et Monument de Washington. Quand Andrew Johnson succéda à Abraham Lincoln, Pike eut ses entrées libres à la Maison Blanche, car Johnson était lui-même franc-maçon.

Ils eurent donc la voie libre pour mettre en application les ordres des Jésuites qu’avait reçus Albert Pike, concernant l’avenir de la Franc-Maçonnerie. Le fait qu’il était écouté par le Président des Etats-Unis a propulsé la Franc-Maçonnerie américaine en première ligne du pouvoir, pour la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Considérez les Présidents francs-maçons qui se sont succédés à cette époque :

–> Andrew Johnson (1865-1869).
–> James A. Garfield (1881).
–> William McKinley (1897-1901).
–> Theodore Roosevelt (1901-1909).
–> William Howard Taft (1909-1913).
–> Warren G. Harding (1921-1923).
–> Franklin D. Roosevelt (1933-1945).
–> Harry S. Truman (1945-1953).

Ainsi, tout au long de ces années cruciales entre la Guerre Civile et le début de la Guerre Froide, l’Amérique a été dirigée par des Présidents francs-maçons. Plus exactement, entre 1865 et 1953, période cruciale de 88 ans, les Présidents francs-maçons ont été au pouvoir pendant 44 ans ! Il faut que vous sachiez que les occultistes attachent une grande importance aux chiffres et aux nombres. Le nombre 11 est l’un des plus sacrés pour eux, ainsi que tous les multiples de 11. C’est l’une des raisons pour lesquelles les francs-maçons vénèrent le nombre 33, car il est égal à 11 fois 3, le chiffre de leur trinité.

En ce qui concerne la capacité des occultistes à atteindre leurs objectifs, vous devez vous rappeler simplement ceci :

Leur puissance est surnaturelle, certes, mais elle vient de Satan, qu’ils persistent à appeler de son ancien nom, Lucifer !

Comme la plupart des occultistes et selon la philosophie jésuitique, Albert Pike bénéficiait de l’aide des « esprits guides surnaturels », qui lui dispensaient la « Sagesse divine » et qui lui ont révélé comment mettre en place le Nouvel Ordre Mondial en s’harmonisant avec la Kabbale et le Talmud. Un « esprit guide » est un être surnaturel qui se révèle à ceux qui ont consacré leur vie à la pratique de l’occultisme. Vous devez réaliser que beaucoup de praticiens de la religion du Nouvel Âge ne considèrent pas du tout comme une mauvaise chose le fait d’avoir un esprit guide. En fait, ils vous diraient tous avec des cris d’enthousiasme qu’ils sont remplis de bonheur et de joie quand ils sont en relation avec leur esprit guide. Ils ne comprennent pas qu’ils ont été momentanément envoûtés par Satan, qui peut, comme ses démons, apparaître en Ange de Lumière, afin de les séduire.

Entre 1859 et 1871, Pike coucha sur papier les détails d’un plan militaire. Ce plan devait servir de base pour l’organisation de trois guerres mondiales et de trois révolutions majeures, qu’il considérait comme étant nécessaires pour faire aboutir la conspiration à son stade final dans le cours du 20e et 21e siècles.

Toutes ces sociétés secrètes s’entrecroisent et se ramifient, ayant les mêmes origines et buts occultes, puisqu’ayant le même esprit satanique. Les francs-maçons et les Illuminati en particulier, ont toujours travaillé en étroite collaboration vu que leurs dirigeants et créateurs sont les mêmes, soient : les juifs jésuites/sionistes/kabbalistes, etc.

Le plan de Pike pour provoquer les trois guerres et les trois révolutions mondiales était simple. Il requérait que le communisme, le nazisme et le sionisme politique, ainsi que d’autres mouvements internationaux soient organisés et utilisés pour fomenter les trois guerres globales et les trois révolutions majeures.

Ces « prophéties » de Pike ne se sont pas réalisées parce qu’il les avait eues dans une « vision » ; il les a prophétisées parce qu’il était au courant de leur planification et qu’il faisait partie des initiés à la kabbale. C’est là une nuance importante à apporter.

La Première Guerre Mondiale

Le rôle du Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale

La Première Guerre Mondiale a servi à atteindre plusieurs buts où les Jésuites, les Juifs sionistes, les francs-maçons et autres sociétés secrètes y ont tous trouvé leur compte.

Le pape, qui s’affiche comme un homme de paix, est, en réalité, un homme de guerre qui instigua la Première Guerre Mondiale. L’Église catholique romaine a toujours ressenti une haine viscérale envers l’Église orthodoxe de l’Est. La Serbie est un pays à prédominance orthodoxe.

Le pape Pie X, par le biais de ses diplomates, tenta de persuader l’Autriche/Hongrie de « punir » la Serbie. Lorsque l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche/Hongrie, héritier présumé du trône d’Autriche et de Hongrie, fut assassiné à Sarajevo par un étudiant macédonien, Gravillo Princip, le 28 juin 1914, le pape sauta sur l’opportunité pour pousser l’Empereur catholique, Francis Joseph d’Autriche/Hongrie, à déclarer la guerre à la Serbie. Le chargé d’affaires bavarois du Vatican, le baron Ritter, écrivit ce qui suit à son gouvernement :

« Le pape est d’accord pour que l’Autriche traite sévèrement la Serbie. Il n’a pas une grande opinion des armées russes et françaises et il est d’avis qu’elles ne seraient pas d’une grande efficacité dans une guerre contre l’Allemagne. Le cardinal-secrétaire d’État ne voit pas quand l’Autriche pourrait faire la guerre si elle ne se décide pas maintenant. »

Le 28 juillet 1914, 1’Autriche/Hongrie déclarait la guerre à la Serbie, ce qui plongea toute l’Europe dans la Première Guerre Mondiale. À cause du rôle joué par le Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale, les Alliés ne permirent pas sa présence à la table de conférence quand le traité de Versailles fut signé, en 1919. Il est intéressant de constater que ce fut l’Italie, le plus catholique des pays européens, qui insista pour que l’on exclut le Vatican. Par l’article XV du pacte de Londres du 26 avril 1915, qui définit la participation de l’Italie dans la guerre, le baron Sonino exigea que les alliés s’opposent à toute intervention du Vatican dans les accords de paix.

Pour ceux qui ne verraient pas la connexion entre le Vatican et la franc-maçonnerie, sachez qu’il existe au sein de cette dernière une série de degrés secrets dits « paladins » allant du 34e au 39e, et que Paul VI fut, à son époque, 39e degré paladin, donc chef de toute la maçonnerie mondiale. Étant donné qu’il devait obéissance au Pape Noir (le Jésuite Général), on en déduit inévitablement l’assujettissement complet de la maçonnerie au jésuitisme.

Le communisme catholique

Non seulement Rome initia-t-elle la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi l’instrument de la Révolution bolchevique. Bien que l’Église catholique s’opposât publiquement au communisme, elle l’aida financièrement de façon secrète et encouragea de toutes les manières possibles la révolution communiste en Russie. En avril 1917, Lénine et plusieurs de ses révolutionnaires-clés furent transportés à travers l’Allemagne dans un des tristement célèbres trains fermés, grâce aux fonds fournis par la famille jésuitique des Rockefeller. Diego Bergen, Allemand catholique romain formé à l’école de la Compagnie de Jésus, fut principalement responsable des arrangements du voyage de Lénine à travers l’Allemagne vers la Russie. Bergen devint plus tard ambassadeur de l’Allemagne au Vatican sous la République de Weimar et l’Allemagne d’Hitler.

Bien sûr, le Vatican s’attendait à être payé de retour pour son aide financière et logistique aux communistes. Entre 1917 et 1924, le Vatican entreprit des accords secrets avec Lénine, lesquels assuraient le soutien du Vatican aux communistes si ceux-ci supprimaient l’Église orthodoxe russe et faisaient de l’Église catholique la religion officielle de Russie. Les immenses richesses et possessions terriennes de l’Église orthodoxe devaient être transmises à l’Église catholique romaine dans leur totalité. En fin de compte, cependant, Lénine et ses successeurs dupèrent le Vatican en prenant son argent, mais en se rangeant du côté de l’Église orthodoxe. Cela fit évidemment des communistes russes les ennemis du Vatican.

Les bonzes du Vatican échouèrent à la Première Guerre Mondiale. Ce qu’ils ne purent accomplir dans la guerre, ils le réalisèrent par l’intrigue et la diplomatie. Le Vatican et les communistes travaillent à nouveau étroitement ensemble vers leur but ultime de domination mondiale. L’ancien jésuite Alberto Rivera découvrit que le Général Jésuite de son époque était maçon et communiste.

Le pape Jean-Paul II, communiste marxiste, a continué la progression entreprise par les papes Jean XXIII et Paul VI en direction d’un catholicisme marxiste. Quoique Paul VI ait cultivé des liens étroits avec Moscou, Jean-Paul II a choisi un communisme catholique plus indépendant de Moscou. C’est sa cassure avec Moscou qui a causé la tentative d’assassinat à son égard, le 13 mai 1981. Cela n’empêcha pas le Chœur de l’Armée rouge de se rendre au Vatican, le 16 octobre 2004, pour célébrer le 25e anniversaire du pontificat de Jean-Paul II…!

Wlodimir Ledochowski – Trente-sixième Jésuite Général de la Compagnie de Jésus 1915-1942

Au lendemain de la Première Guerre (1914-1918), le Général des Jésuites, Wlodimir Ledochowski (dit « le Rat »), le Pape Noir à cette époque, avait conçu un vaste plan pour la création, avec ou sans empereur Habsbourg, d’une fédération des nations catholiques de l’Europe centrale et orientale : Autriche, Slovaquie, Bohême, Pologne, Hongrie, Croatie, et aussi (et c’est capital) la Bavière.

Ce nouvel Empire central devait lutter sur deux fronts : à l’Est contre l’Union soviétique, à l’Ouest contre la Prusse, la Grande-Bretagne protestante et contre la France républicaine et laïque. À cette époque, Mgr Pacelli, futur Pie XII, était nonce à Munich, puis à Berlin, et intime du cardinal Faulhaber, principal collaborateur de Ledochowski. Le plan Ledochowski a été « le rêve de jeunesse de Pie XII ».




D.169 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 6

 

par Guy Richer

Deuxième Partie

Sociétés secrètes

 

Rose-croix

Chevaliers Templiers

 

Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi se devaient-elles d’être secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine de renseignements, car elle pose le fondement d’une bonne compréhension de toutes les sociétés secrètes. Auteur chrétien, Alexander Hislop publia un livre intitulé Les Deux Babylones : le culte papal.

Il déclara que les sociétés secrètes remontent au temps de Nemrod qui devint, après sa mort, le « premier des mortels déifiés ».

Qui était Nemrod ?

Quelques années à peine après le grand Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant s’éleva et de son sein sortit ce que l’on nomme aujourd’hui l’ancienne Babylone.

Son nom était Nemrod, puissant guerrier, et, par sa présence formidable, il en imposa sur l’ensemble de la race humaine.

Nemrod institua ouvertement un système satanique d’idolâtrie et beaucoup de gens s’assemblèrent autour de ce culte. À cette époque, le système religieux prédominant sur le monde était le culte rendu au Vrai Dieu Unique. Peu après que Nemrod eut établi sa religion « alternative », fondée sur l’idolâtrie et la sorcellerie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et Dieu Tout-Puissant le motiva à écarter Nemrod. Sem l’attaqua par voie militaire, le défit et le fit prisonnier. Sem exécuta Nemrod ainsi que bon nombre de ses prêtres et de ses disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nemrod fut dépecé en morceaux. Chacun de ces morceaux fut expédié de par tout le monde connu de l’époque afin de démontrer à tous que l’on ne tolérerait pas le culte à Satan par la sorcellerie et l’idolâtrie. Le monde en fut sauf de cette vague de mal.

Cependant, l’épouse de Nemrod, Sémiramis, et quelques prêtres survivants joignirent leurs forces pour créer une religion secrète clandestine. Ils déifièrent Nemrod, créant ainsi une contrefaçon du Vrai Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destinés à se répandre sur toute la terre. Les enseignements de ces « Mystères », comme on en vint à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes vers le même système de Nemrod de magie et d’idolâtrie que Sem avait anéanti avec tant de vigueur. Ce faux sentier était présenté de manière attrayante aux hommes à qui l’on promettait une connaissance cachée, en les séduisant par l’attrait qu’il y avait à garder cette connaissance secrète, et en les liant ensemble par de sévères serments ainsi que des signes et des poignées de main secrètes.

C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2 200 avant J.-C.. Donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire humaine ; elles se sont avérées littéralement l’église de Satan dès le commencement. Elles s’opposaient de façon absolue à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et s’étaient engagées à le détruire. Cet engagement envers la destruction du système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent trompeusement amenés à penser qu’en réalité, ils accomplissaient le « bien ». Est-ce pour cela que Dieu a donné l’avertissement suivant, dans Ésaïe 5:20 :

« Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal ; qui font des ténèbres la lumière, et de la lumière les ténèbres ; qui font l’amer doux, et le doux amer ! » ?

Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi qualifient le bien de Dieu de mal et le mal de Satan de bien.

Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans l’ombre et le demeurer. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles avaient tenté d’installer publiquement leurs organisations, les autorités dirigeantes les auraient arrêtées immédiatement pour trahison et les gens qui règlent leur vie sur les préceptes du système établi par Dieu auraient réclamé à grand cri leur arrestation et leur exécution. Donc, leurs desseins et leurs activités devaient être réalisés dans le plus grand secret. En outre, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir irait en s’accroissant s’ils demeuraient absolument dans l’ombre la plus opaque.

Par le biais des sociétés secrètes, on préserva jusqu’à nos jours le système satanique babylonien d’où surgira bientôt le dernier système antichrist qui essaiera d’anéantir le système de Dieu, comme le planifient les sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera envahi par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan.

Nous en sommes aujourd’hui très près ; ne nous surprenons donc pas de ce que Dieu identifie, dans le livre de l’Apocalypse, le système de l’Antichrist à « Mystère, Babylone » (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

Les membres des sociétés secrètes ne se sont toujours joints que sur invitation seulement, créant de cette manière une confrérie se considérant exclusive, séparée et supérieure au reste des gens de la société. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait un savoir temporel spirituel caché à n’être révélé qu’aux Initiés seulement, aux « Sages », comme ils se qualifient eux-mêmes. Ces Sages croyaient que leurs Mystères étaient hors de la portée intellectuelle du peuple, de la « vulgaire » masse des gens. En effet, cette arrogance était tellement répandue chez les Sages de ces sociétés secrètes qu’ils entamèrent le processus d’enseigner des faussetés aux gens du peuple, se réservant le « véritable savoir spirituel temporel » pour eux seuls. Ces hommes différaient en cela des faux enseignants religieux tels que Mahomet et Bouddha, qui tentaient de partager leur savoir avec la masse. Les sociétés secrètes sont allées très loin dans la dissimulation de leurs connaissances aux regards des gens du peuple.

Soyons clairs sur ce point : aucun adepte d’une société secrète ayant appris le savoir occulte n’eut le droit de révéler cette connaissance aux gens du peuple. La punition pour pareille révélation était la mort, la plus extrême et douloureuse possible.

Étant donné que chaque membre apprenait de terribles informations, qu’il avait promis de tenir absolument secrètes vis-à-vis toute personne n’étant pas membre, les adeptes commencèrent à développer deux personnalités distinctes. L’une de ces personnalités était du domaine public et l’autre demeurait extrêmement secrète. L’art de la duperie, même auprès des membres de la famille, était rapidement assimilé. La personne extérieure que voyaient ses congénères, par ses paroles et ses actions, était fort différente de la personne intérieure.

Nous passerons en revue, le plus chronologiquement possible, les principales sociétés secrètes avec un bref historique pour chacune en remontant jusqu’à aujourd’hui.

Vous serez assurément étonnés et désolés d’apprendre combien ces sociétés sont actives plus que jamais partout dans le monde, aujourd’hui même.

Vous devez savoir ces choses, car il s’agit directement du monde dans lequel nous vivons, ainsi que nos enfants. Leurs décisions ont une incidence directe sur notre quotidien. Vous allez apprendre de nombreuses choses que vous ne soupçonniez aucunement parce qu’elles vous ont été imposées de façon insidieuse et mensongère. Vous en avez déjà appris plusieurs dans la première partie de ce séminaire. Nous allons donc continuer en apprenant ce qui se cache réellement derrière les « écrans de fumée » et en découvrant la vérité sur les projets que ces sociétés secrètes sont en train de mettre en place sur la terre entière.

La Société secrète des Rose-croix

Cette organisation remonte à la plus haute antiquité égyptienne ; elle est en mesure de faire connaître une sagesse précieuse, communiquée jadis par des « maîtres » et transmise de génération en génération par des initiés. Parente de la Franc-maçonnerie, la Rose-croix serait plus ancienne que cette dernière. L’emblème de l’ordre est une croix portant en son centre une rose rouge. Il existe des « loges rosicruciennes » dans la plupart des pays du monde, de nombreuses publications rosicruciennes et une « Université Rose-croix Internationale ».

L’organisation se présente comme un mouvement fraternel et philosophique, mais non religieux. La page d’accueil du site www.rose-croix.org comporte cette devise : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers. »

Le rosicrucianisme implique toute une série d’initiations occultes, selon ses propres termes, il propose « un art de vivre pour le cœur et l’esprit », et promet à ses adeptes la connaissance des lois de l’univers et de la nature. Il leur promet aussi la pleine compréhension du sens de l’existence, l’éveil de leur créativité et de tout leur potentiel humain.

(Ce sont toutes des promesses que la Rose-croix est incapable de tenir, car la véritable connaissance ne s’y trouve pas. Ce sont des « savoirs d’homme », inspirés par Satan. Il s’agit donc d’un instrument de désinformation.)

Parmi les « membres illustres » qui auraient appartenu au mouvement, on trouve Pythagore, Platon, Aristote, Thomas d’Aquin, Copernic, Descartes, Leibnitz, Swedenborg, Balzac…

Le rosicrucianisme se destine à une petite élite, à des « initiés ».

Il enseigne que les êtres humains doivent passer par un grand nombre d’incarnations sur la terre pour parvenir enfin à être « absorbés en Dieu ». Ils parlent d’une « illumination », d’une fusion à jamais consciente dans le tout cosmique. Comme vous voyez, le « Nouvel Âge » n’a rien inventé ! Toutes ces idées tirent leur source des livres de la Kabbale (terme qui veut dire « tradition »). C’est pour cela que, à mesure que nous allons avancer, nous verrons une similitude des doctrines d’une société secrète à l’autre.

Le rosicrucianisme enseigne qu’il est possible, dans certains cas, de communiquer avec des êtres chers qui sont décédés, « à condition de nous élever vers eux, et de ne pas les faire descendre vers nous ». Ce ne serait plus, alors, du spiritisme.

La philosophie rosicrucienne recommande l’astrologie. Ses adeptes s’adonnent à la pratique de la « projection astrale », c’est-à-dire, la sortie du corps en esprit ; ils cultivent la « perception extra-sensorielle », la transmission de pensée, l’hypnotisme, l’alchimie, et bien d’autres techniques occultes. Tout cela se retrouvait déjà dans les enseignements millénaires de la kabbale juive qui découle, elle aussi, des traditions égyptiennes, elles-mêmes récipiendaires du « savoir babylonien ».

Depuis 1909, cet Ordre, qui a son siège principal en Californie, est dirigé par des Grands Maîtres et comprend divers degrés.

Au Québec, les groupes rose-croix existent en plusieurs milieux et se composent de plusieurs variétés.

Ce groupe affirme croire que nous avons en chacun de nous un grain divin — la rose — qui, pour s’épanouir, doit s’accrocher à la croix afin que l’Autre naisse… Par divers degrés d’initiation, nous pourrions, selon eux, équilibrer notre vie, l’harmoniser.

La Rose Croix est donc une digne descendante de l’esprit de Babylone et en porte le flambeau jusqu’à aujourd’hui.

Les Chevaliers Templiers

LA LIGNÉE DU SAINT-GRAÄL ET SES INFLUENCES SUR NOTRE MONDE !

La lignée du Saint-Graäl remonte au roi français Mérovée, 458 apr. J.-C., avec toute la lignée des rois d’Europe et même le pape Étienne IX, chef de l’Église catholique, au 11e siècle.

Charlemagne et Pépin III se diront mariés à des princesses mérovingiennes. Le roi français Philippe Auguste II, fils de Louis VII, capturera par la suite le duché d’Anjou et le transférera à la dynastie des Habsbourg qui prospérera à travers l’Europe.

Les croisades joueront alors un rôle majeur pour cette lignée royale. Les Français en mirent plusieurs sur pied, se donnant pour mission de libérer la Terre Sainte des Musulmans.

En l’an 1061 apr. J.-C., Geoffroy de Bouillon conquit Jérusalem. Il se déclara de la lignée de David et créa une société secrète nommée « l’Ordre de Sion », appelée aujourd’hui les « Prieurs de Sion ». Dans les années suivantes, Geoffroy de Bouillon et son groupe secret établirent des plans pour réaliser leurs objectifs.

En 1118, Hugues de Payns créa les « Chevaliers Templiers » qui élirent Beaudoin de Renauld, frère de Geoffroy, leur 1er Grand Maître. Ils adoptèrent le blason mérovingien comme emblème, symbolisé par une croix rouge.

Buts affichés des Chevaliers Templiers :

Premièrement, surveiller les routes de Jérusalem pour les pèlerins ! Ils se déclarèrent soumis au pape et à aucune autre autorité. Les « neuf » personnes, appelées les « pauvres chevaliers », se rendirent à Jérusalem et furent reçues dans les quartiers de Beaudoin.

Ces chevaliers y passèrent une dizaine d’années à une activité précise : ils creusèrent les alentours du Temple pour y découvrir les trésors du roi Salomon.

En 1953, un rouleau de cuivre, découvert près de la mer Morte, indiqua qu’un trésor de près de 138 tonnes d’or et d’argent y avait été englouti par les prêtres juifs, en l’an 70 apr. J.-C..

Ils revinrent donc en Europe avec les richesses de Salomon. Ils bâtirent des châteaux partout en Europe et devinrent les fameux gardiens du Graäl. Éblouis par la richesse et le pouvoir, ils se séparèrent bientôt de l’évêque de Rome et établirent leur propre loi !

Ils mirent sur pied un système bancaire à travers toute l’Europe et prêtèrent aux rois et aux gouvernements. Ils inventèrent un système de transfert d’or d’une ville à une autre, ou d’une banque à une autre simplement en écrivant une note sur un papier. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui un « chèque ».

LEUR VRAI BUT ÉTAIT LE CONTRÔLE MONÉTAIRE ET POLITIQUE AU NIVEAU MONDIAL.

Sentant la menace, les rois de France essayèrent alors de les détruire. Ils firent donc kidnapper le pape Boniface VIII et tuer son successeur Bénédicte XI et, en 1305, le roi Philippe Lebel, dit le « roi de fer », s’arrangea pour placer son propre candidat à la papauté, Clément V, évêque de Bordeaux.

Ensemble, ils organisèrent l’Inquisition et tentèrent de se débarrasser des mérovingiens et de s’enquérir des trésors.

Le 13 octobre 1307, tous les Templiers de France furent arrêtés, incluant leur Grand Maître, Jacques de Molay.

De Moley et Geoffroy de Charney (propriétaire du Suaire de Turin) moururent brûlés sur le bûcher !

Les Templiers français avaient un refuge en Écosse qui s’appelle aujourd’hui le « Rite Écossais ». Au temps de la Révolution française, on regardait les Templiers comme des architectes, des mages, des sages, de véritables surhommes ! On les considérait comme des héros, voire, des mystiques !

La mort de Jacques de Molay aux mains du roi Philippe ne fut jamais oubliée ! Durant la Révolution française, alors que la tête de Louis XVI roulait au bas de la guillotine, un homme s’approcha de l’échafaud, plongea sa main dans le sang du roi, la secoua autour de lui, et s’écria : « Jacques de Molay, tu es vengé ! ».

Les objectifs, les connaissances et l’esprit des Templiers se perpétuent encore de nos jours dans les loges maçonniques. Il existe même, aux Etats-Unis, une société appelée « Société Jacques-de-Molay » !

Les mormons et les maçons ont des rites issus des Templiers.

Helena Blavatsky parla de la sagesse des Templiers. (Helena Petrovna Blavatsky fut une sorcière avouée, maîtresse et prêtresse théosophique et instigatrice du mouvement Nouvel Âge moderne).

Adolf Hitler faisait partie d’une société secrète issue des Templiers et appelée « Groupe de Thulé » qui, plus tard, se transformera en « Parti Nazi ».

Au début appelés les « Prieurs de Sion », ils avaient trois buts :

a) acquérir les biens du monde ;

b) développer un Gouvernement Mondial ;

c) asseoir sur le trône un seul roi, avec la pensée mérovingienne.

En 1979, des reporters de la British Broadcasting Corporation (BBC) demandèrent à Pierre Chartrand de St-Clair, secrétaire général des Prieurs de Sion, si ceux-ci possédaient encore le trésor de Sion. Il répondit : « Il sera retourné à Jérusalem quand le temps sera venu !!! »




D.168 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 5

 

par Guy Richer

alternatives

 

LA DÉMOCRATIE CONTRACTUELLE

Les citoyens veulent le pouvoir de changer les choses.

LA DÉMOCRATIE REPRÉSENTATIVE

Rien, dans notre système politique actuel, n’oblige un politicien à remplir ses promesses. Un politicien peut dire n’importe quoi, avant, et faire n’importe quoi, après une élection. Ce qui a été dit n’a pas valeur de contrat. Est-ce bien ce qu’on a en tête quand on parle de démocratie : un mandat en blanc pour faire n’importe quoi ? Non, bien sûr, n’est-ce pas ? Eh bien, vous avez tort ! La réponse est « oui ». Dans une démocratie représentative, le gouvernement élu peut faire n’importe quoi.

UNE DÉMOCRATIE CONTRÔLÉE

Dans une démocratie contrôlée, les députés ne font pas ce que les électeurs voudraient qu’ils fassent, mais ce que leur parti leur dit de faire. Ce n’est pas un abus de confiance, ni de la fausse représentation, c’est la règle actuelle du jeu. Un député doit voter selon la ligne de son parti, sans quoi il en est exclu ; ce qui signifie qu’il ne sera sans doute pas réélu.

VERS LA DÉMOCRATIE CONTRACTUELLE

Dans la démocratie contractuelle, le rôle des partis, de leurs chefs et des députés est différent. La démocratie contractuelle est un effort ultime pour redonner à la politique une image d’honnêteté, d’efficacité et de démocratie réelle. Pour ce faire il faudrait :

  • que soit élu, dans chaque circonscription électorale, dès la prochaine élection générale, un député INDÉPENDANT qui ne sera au service d’aucun parti, mais qui se sera donné pour seule mission de représenter ses électeurs ;
  • que ces députés indépendants, majoritaires à l’Assemblée nationale, s’engagent à voter un amendement à la loi électorale distinguant pour l’avenir, comme aux États Unis, le pouvoir législatif (les députés) du pouvoir exécutif (le gouvernement), imposant à ce dernier l’obligation stricte de réaliser le programme sur la foi duquel il aura été élu ;
  • que, par la suite, l’Assemblée nationale décrète la tenue d’une élection générale pour désigner le futur Premier Ministre et son équipe (le gouvernement) au suffrage universel à deux tours comme en France ;
  • que le Premier Ministre élu et son équipe gouvernent le Québec sous le contrôle vigilant de l’Assemblée nationale, laquelle pourra les révoquer s’ils ne respectent pas leurs promesses.

EN SOMME

Au lieu de voter sur des promesses qui ne seront pas tenues, nous voterons pour des partis qui prendront l’engagement contractuel d’accomplir leur programme.

Au lieu de députés qui représentent des partis, nous élirons des députés indépendants qui représenteront leurs électeurs, et dont le mandat sera de vérifier si le Premier Ministre élu et son équipe (le gouvernement) respectent bien leur programme.

REDONNONS SA CRÉDIBILITÉ A UNE DÉMOCRATIE QUI N’A PLUS LA CONFIANCE DU PEUPLE !

Voilà pour la démocratie contractuelle. Allons-y maintenant avec la seconde alternative.

Pour mieux comprendre le Crédit Social

par Alain Pilote

Imprimer de l’argent… sans limites ?

Les banquiers internationaux craignent tellement l’application du Crédit Social, qui mettrait justement fin à leur contrôle de la vie économique, qu’ils ont tout essayé pour stopper sa progression dans les esprits. Alors, une des tactiques favorites des Financiers sera de falsifier ces principes et de les présenter d’une façon absurde et ridicule dans les médias, pour empêcher que davantage de gens y adhèrent.

Voici donc un résumé du vrai Crédit Social, basé sur les deux brochures de Louis Even, Qu’est-ce que le vrai Crédit Social ? et Une finance saine et efficace.

Comptabilité exacte

Tout d’abord, définissons les mots « crédit social » : au lieu d’avoir un argent créé par les banques, à intérêt, un crédit bancaire, on aurait un argent créé sans dette par la société, un crédit social. Le système du Crédit Social ne vise à rien d’autre qu’à faire de l’argent un reflet exact des réalités économiques. Il n’est donc aucunement question, dans le Crédit Social, d’émettre ou d’imprimer de l’argent n’importe comment, de façon irresponsable ou sans limites (comme se plaisent à le faire croire les Financiers), ou selon les caprices des politiciens au pouvoir. La vraie méthode proposée, la voici :

Le gouvernement nommerait une commission de comptables, un organisme indépendant appelé « Office National de Crédit », qui serait chargé d’établir une comptabilité exacte : l’argent serait émis au rythme de la production, et retiré de la circulation au rythme de la consommation. On aurait ainsi un équilibre constant entre la capacité de produire et la capacité de payer, entre les prix et le pouvoir d’achat.

Ce que les Bérets Blancs demandent, c’est que le gouvernement cesse d’emprunter des banques privées de l’argent qu’il peut créer lui-même sans intérêt, par sa banque centrale. Même le premier gouverneur de la Banque du Canada, Graham Towers, admettait, en 1939, devant un comité de la Chambre des Communes, que cela était parfaitement faisable, lorsqu’on lui demanda pourquoi un gouvernement devrait-il payer de l’intérêt pour de l’argent qu’il peut créer lui-même sans intérêt.

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la Banque du Canada a créé jusqu’à 50 % de l’argent du pays, sans inflation. Aujourd’hui, elle en crée moins de 2 %. Le reste, 98 %, est créé par les banques sous forme de prêts. Bien des gens ignorent ce fait, et ne savent pas que les banques privées, contrairement aux autres prêteurs, créent l’argent qu’elles prêtent, et qu’elles ne prêtent pas l’argent de leurs déposants.

Que l’argent soit créé par la Banque du Canada ou les banques privées, il faut bien qu’il soit créé quelque part. Il s’agit des mêmes chiffres, basés sur la même production du pays. La seule différence (et elle est de taille !), c’est que si le gouvernement emprunte de sa propre banque centrale, il n’encourt aucune dette.

100 dollars créés sans intérêt par la Banque centrale, ou 100 dollars créés avec intérêt par une banque privée : lequel des deux va créer de l’inflation ? Même un enfant de dix ans trouverait tout de suite la réponse : c’est celui qui est créé avec intérêt par la banque privée. L’inflation, c’est la hausse des prix causée par la hausse des coûts de production, et les intérêts à payer par les producteurs aux banques font partie de ces coûts.

Ce qui est tout à fait incroyable et contraire à la logique la plus élémentaire, c’est que les économistes disent que, pour arrêter l’inflation (la hausse des prix), il faut augmenter les taux d’intérêt, alors qu’au contraire, toute hausse des taux d’intérêt fait nécessairement augmenter les prix. Le système « farfelu », ce sont eux qui le préconisent, pas les créditistes de Vers Demain.

Mais le Crédit Social ne se limite pas seulement à une simple question de création d’argent. Il y a aussi le dividende, et l’escompte compensé.

Le dividende

Parce que les salaires ne suffisent pas pour acheter toute la production existante (les salaires ne forment qu’une partie des coûts de production de n’importe quel article), l’Office National de Crédit distribuerait à chaque citoyen un dividende mensuel, une somme d’argent pour combler le pouvoir d’achat, et pour assurer à chacun une part des biens du pays. Ce dividende serait basé sur les deux plus grands facteurs de la production moderne, l’héritage des richesses naturelles et des inventions des générations passées, tous deux dons gratuits de Dieu, qui appartiennent donc à tous. Ceux qui seraient employés dans la production recevraient encore leur salaire, mais tous, salariés comme non-salariés, recevraient le dividende.

La formule du dividende serait infiniment préférable au bien-être social, l’assurance-chômage et autres lois actuelles de sécurité sociale, car il ne serait pas pris dans les taxes de ceux qui travaillent, mais serait financé par de l’argent nouveau, créé par l’Office National de Crédit. Personne ne se ferait donc vivre par les taxes des contribuables ; ce serait un héritage dû à tous les citoyens du pays qui sont, pour ainsi dire, tous actionnaires de la compagnie Canada Limitée.

Et, contrairement au bien-être social, ce dividende serait sans enquête, il ne pénaliserait donc pas ceux qui veulent travailler. Loin d’être une incitation à la paresse, il permettrait aux gens de s’occuper dans l’activité de leur choix, celle où ils ont des talents. D’ailleurs, si les gens arrêtaient de travailler, le dividende baisserait automatiquement, puisqu’il est basé sur la production existante. Sans ce revenu non lié à l’emploi, le progrès devient non plus un allié de l’homme, mais une malédiction, puisqu’en éliminant le besoin de labeur humain, il fait perdre aux travailleurs leur seule source de revenu.

Finance des travaux publics

Comment se ferait le financement des services et travaux publics avec un tel système d’argent social ? Chaque fois que la population désirerait un nouveau projet public, le gouvernement ne se demanderait pas : « A-t-on l’argent ? », mais : « A-t-on les matériaux, les travailleurs pour le réaliser ? » Si oui, l’Office National de Crédit créerait automatiquement l’argent nécessaire pour financer cette production nouvelle.

Supposons, par exemple, que la population désire un nouveau pont, dont la construction coûte 50 millions $. L’Office National de Crédit crée donc 50 millions $ pour financer la construction de ce pont. Et puisque tout argent nouveau doit être retiré de la circulation lors de la consommation, ainsi l’argent créé pour la construction du pont devra être retiré de la circulation lors de la consommation de ce pont.

De quelle manière un pont peut-il être « consommé » ? Par usure ou dépréciation. Supposons que les ingénieurs qui ont construit ce pont prévoient qu’il durera 50 ans ; ce pont perdra donc un cinquantième de sa valeur à chaque année. Puisqu’il a coûté 50 millions $ à construire, il subira donc une dépréciation de 1 million $ par année. C’est donc un million de dollars qui devront être retirés de la circulation à chaque année, pendant 50 ans. Au bout de 50 ans, le pont sera complètement payé, sans un sou d’intérêt ni de dette.

Est-ce que ce retrait d’argent se fera par les taxes ? « Non, cela n’est nullement nécessaire, » dit Douglas, le concepteur du système du Crédit Social. « Il existe une autre méthode bien plus simple pour retirer cet argent de la circulation, celle de l’ajustement des prix (appelé aussi escompte compensé). »

D’ailleurs, sous un système de crédit social, les taxes diminueraient de façon drastique, et la plupart disparaîtraient tout simplement. Le juste principe à observer, c’est que les gens ne paient que pour ce qu’ils consomment. Par contre, il serait injuste de faire payer à la population de tout le pays des services qui ne sont offerts que dans une rue ou une municipalité, comme le service d’eau, d’égout ou de vidange ; ce sont ceux qui bénéficient de ces services qui auraient à payer la municipalité qui les fournit.

L’ajustement des prix

De quelle manière cet ajustement des prix fonctionnerait-il ? L’Office National de Crédit serait chargé de tenir une comptabilité exacte de l’actif et du passif de la nation, ce qui ne nécessiterait que deux colonnes : d’un côté, on inscrirait tout ce qui est produit dans le pays durant la période en question (l’actif), et de l’autre, tout ce qui est consommé (le passif). Le 1 million $ de dépréciation annuelle du pont, de l’exemple mentionné plus haut, serait donc inscrit dans la colonne « passif » ou « consommation », et ajouté à toutes les autres formes de consommation ou disparition de richesse durant l’année.

Douglas fait aussi remarquer que le vrai coût de la production, c’est la consommation. Dans l’exemple du pont, le prix comptable était de 50 millions $. Mais le prix réel du pont, c’est tout ce qu’il a fallu consommer pour le produire. S’il est impossible de déterminer pour un seul produit quel a été son prix réel, on peut, par contre, facilement savoir quel a été, durant une année, le prix réel de toute la production du pays : c’est tout ce qui a été consommé dans le pays durant la même période.

Ainsi, si les comptes nationaux du Canada montrent que, dans une année, la production privée, la production de biens consommables, a été de 500 milliards $, et que, pendant la même année, la consommation totale a été de 400 milliards $, cela veut dire que le Canada a été capable de produire pour une valeur de 500 milliards $ de produits et services, tout en ne dépensant, ou consommant, que pour une valeur de 400 milliards $. Autrement dit, cela démontre qu’il en a coûté réellement 400 milliards $ pour produire ce que la comptabilité des prix établit à 500 milliards $.

Le vrai prix de la production est donc de 400 milliards $. La population doit donc pouvoir obtenir le fruit de son travail, la production de 500 milliards $, en payant seulement 400 milliards $. Car il a été bien établi plus tôt que l’argent ne doit être retiré que selon la consommation : s’il s’est consommé pour 400 milliards $ de produits et services, on ne doit retirer de la circulation que 400 milliards $, ni plus ni moins.

Escompte sur les prix

Comment faire pour que les consommateurs canadiens puissent obtenir pour 500 milliards $ de produits et services tout en ne payant que 400 milliards $ ? C’est très simple, il suffit de baisser le prix de vente de tous les produits et services de 1/5, soit un escompte de 20 % : l’Office National de Crédit décrète donc un escompte de 20 % sur tous les prix de vente pendant le terme suivant. Par exemple, le client n’aura qu’à payer 400 dollars pour un article étiqueté 500 dollars.

Mais, s’il ne veut pas faire faillite, le marchand doit quand même récupérer 500 $ pour la vente de cet article, et non pas seulement 400 $, car ce prix de 500 $ inclut tous ses frais. C’est pourquoi on parle d’un escompte « compensé » : dans ce cas-ci, le marchand sera compensé par l’Office National de Crédit, qui lui enverra le 100 $ qui manque.

Pour chacune de ses ventes, le marchand n’aura qu’à présenter ses bordereaux de vente à l’Office National de Crédit, qui lui remboursera l’escompte accordé au client. Ainsi, personne n’est pénalisé : les consommateurs obtiennent les produits qui, sans cela, resteraient invendus, et les marchands récupèrent tous leurs frais.

Inflation impossible

Grâce à ce mécanisme de l’escompte sur les prix, toute inflation serait impossible : en effet, l’escompte fait baisser les prix. Et l’inflation, ce sont les prix qui montent. La meilleure manière d’empêcher les prix de monter, c’est de les faire baisser ! De plus, l’escompte sur les prix est exactement le contraire de la taxe de vente : au lieu de payer les produits plus chers par des taxes, les consommateurs les paient moins chers grâce à cet escompte. Qui pourrait s’en plaindre ?

On voit bien alors que ceux qui disent que le Crédit Social va faire de l’inflation, parlent à travers leur chapeau, car ils ignorent l’existence de l’escompte compensé. Bien sûr, s’il n’était question dans le Crédit Social que d’imprimer de l’argent et rien d’autre, les craintes de l’inflation seraient justifiées, mais justement, le Crédit Social possède une technique pour faire face à tout danger d’inflation.

Il existe trois principes de base dans le Crédit Social : 1) l’argent émis sans dette par le gouvernement, représentant de la société, selon la production, et retiré de la circulation selon la consommation ; 2) le dividende mensuel à tous les citoyens ; 3) l’escompte compensé. Les trois sont nécessaires ; c’est comme un trépied : enlevez un de ces trois principes, et le reste ne tient plus.

Toute cette technique du Crédit Social, telle qu’expliquée très brièvement, n’a qu’un but : financer la production des biens qui répondent aux besoins ; et financer la distribution de ces biens pour qu’ils atteignent les besoins. En examinant la circulation du crédit sur le schéma, on s’apercevra que l’argent ne s’accumule en aucun temps, qu’il ne fait que suivre le mouvement de la richesse, entrant en circulation au rythme de la production, et prenant la voie du retour vers sa source (l’Office National de Crédit) au rythme de la consommation (lorsque les produits sont achetés chez le marchand). En tout temps, l’argent demeure un reflet exact de la réalité : de l’argent apparaît lorsqu’un nouveau produit apparaît, et cet argent disparaît lorsque le produit disparaît (est consommé).

Où est l’inflation là-dedans, messieurs les soi-disant instruits ?

Tout cela ouvre des horizons et possibilités insoupçonnés.

* * *

Voilà pour le crédit social. Intéressant ! Ce système serait de loin plus profitable à la masse des gens que le système bancaire actuel.

Cependant, j’ai pour opinion personnelle que, la nature humaine étant ce qu’elle est, à plus ou moins longue échéance, les politiques préférentielles et la corruption viendraient inévitablement pourrir ces bonnes intentions pour nous ramener à une position semblable à l’actuelle. Ne dit-on pas : « là où il y a des hommes, il y a de l’hommerie » ?


CONCLUSION de la Première Partie

Pour en venir maintenant à certaines conclusions sur tout ce que nous avons vu jusqu’à présent dans cette première partie, nous constatons qu’il y a une collusion entre les banques et les politiciens pour soumettre le pays, par ce chantage, à un changement irréversible vers le globalisme.

L’économiste américain Henry Pasquet, questionné en rapport avec le remboursement de la dette des États-Unis a déclaré : « Non, pas quand vous ajoutez 1 milliard de dollars par jour. On ne peut plus continuer ! Nous avions une dette de moins d’un trillion de dollars en 1980. Maintenant elle est à 5 trillions ! C’est 5 fois plus en 15 ans ! Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que cela ne peut continuer ! »

Il déclara aussi, concernant les propriétaires de la FED : « C’est parfaitement exact, la Réserve Fédérale est une banque privée, une corporation à profit qui n’a aucune réserve pour supporter notre argent courant. »

Larry Bates fut 11 ans président d’une banque, membre du Tennessee House of Representatives, il fut aussi président du comité sur les banques et commerces ainsi qu’ex-professeur d’économie et auteur d’un best-seller appelé Le nouveau désordre économique.

Il a dit : « Je peux vous dire maintenant qu’il va y avoir un crash dont les proportions seront sans précédent. Un crash comme il ne s’en est jamais vu dans le pays. Le premier choc, c’est que plus de gens sont sur le point de perdre plus d’argent que jamais dans l’histoire, et le second choc, c’est l’incroyable quantité d’argent qui tombera dans les mains d’un nombre restreint d’individus. Voyez-vous, en période de crise économique, la richesse n’est pas détruite, mais plutôt transférée. »

Et lui aussi, à propos de la FED : « La Banque Fédérale de Réserve, même si elle ne fait pas partie du gouvernement fédéral, est vraiment plus puissante que le gouvernement fédéral. Elle est plus puissante que le président, le congrès ou les cours judiciaires.

« Plusieurs me défient à ce propos.

« Mais laissez-moi vous le prouver.

« La FED détermine les coûts moyens des paiements d’autos, de résidences, s’il y aura ou non du travail ! Je vous déclare qu’il s’agit d’un contrôle total ! La FED est la plus grande source de crédit du gouvernement des États-Unis.

« Qu’est-ce qu’un proverbe nous dit ? “Celui qui emprunte est l’esclave de celui qui prête” (Proverbes 22:7). ! »

Les anciens présidents américains, Lincoln, Jackson et Kennedy, ont tous trois procédé en vue de redonner le contrôle et la gérance de l’argent au gouvernement et ont aussitôt été assassinés !

La preuve est établie que les présidents Lincoln et Kennedy ont été assassinés par les Jésuites (voir l’Autobiographie de Charles Chiniquy et Les Assassins du Vatican, d’Eric Jon Phelps) pour diverses raisons, dont leur tentative de redonner au gouvernement le pouvoir de fabriquer sa monnaie. Qui niera le lien étroit existant entre les Jésuites et le système bancaire mondial ?

La famille Rothschild devint extrêmement riche par la pratique des réserves bancaires fractionnelles.

En 1850, elle était plus riche que tous les rois d’Europe réunis.

Les Rothschild sont les banquiers des Jésuites. Le Général Jésuite, soit le « pape noir » qui siège au Vatican, leur apprirent que les guerres était un moyen d’acquérir des richesses colossales, ils eurent donc à créer des guerres.

Vous en apprendrez beaucoup sur la Société des Jésuites dans la deuxième partie de ce séminaire. Vous verrez que les Jésuites et les Juifs sionistes sont inextricablement reliés et qu’ils sont au sommet de la pyramide du pouvoir mondial. Ils planifièrent :

—  La Révolution française de 1789.

—  La guerre de Sécession de 1861-65. (La Banque de Londres finançait les Nordistes, tandis que la Banque de Paris finançait les Sudistes. À noter que ces deux banques appartiennent à la famille Rothschild !)

—  La Révolution bolchevique de 1917.

Ils instiguèrent, grâce à leurs agents spéciaux :

—  La Première Guerre Mondiale par la mise à mort de l’archiduc François Ferdinand d’Autriche.

—  La Deuxième Guerre Mondiale en payant un homme du nom de…

…Adolf Hitler !

—  Pour bientôt, ils préparent la Troisième Guerre Mondiale.

La guerre est payante, extrêmement payante !

Les gouvernements empruntent aux banques pour payer les armements, les habits, les logements et tout ce qui est nécessaire à la guerre.

Il s’agit toujours de la manipulation du système monétaire d’une nation. Nous verrons de plus près cette collaboration étroite qu’il y a entre certaines familles et les sociétés secrètes dans la suite de ce séminaire.

« Laissez-moi émettre l’argent d’une nation et son contrôle et je me moque de quiconque fait ses lois…! »

Nathan Mayer de Rothschild

 

« Tout l’empire Rockefeller fut financé par les Rothschild. Aujourd’hui, les Rothschild sont propriétaires d’environ 53 % de la Banque Fédérale de Réserve des Étas-Unis. »

Eustache Mullins

 

« Il y a un seul pouvoir en Europe, et c’est celui des Rothschild ! »

Commentateur français du 19e siècle

 

« L’argent est le dieu de notre temps… et Rothschild est son prophète ! »

Heinrich Heine, poète

 

« Les banques peuvent créer l’argent ! Et celui qui contrôle le crédit d’une nation dirige aussi les politiques des gouvernements et tient dans le creux de ses mains la destinée des peuples. »

Réginald McKenna

(chancelier britannique)

 

Communiqué reçu de la maison d’investissement Rothschild, d’Angleterre, à une firme associée de New York :

« Les quelques-uns qui comprennent le système seront si intéressés, soit par ses profits, soit par ses faveurs, qu’ils ne nous apporteront aucune opposition. Alors que la grande majorité du peuple, mentalement incapable de comprendre, en portera le fardeau sans se plaindre. »

 

« Nous sommes sur le point d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une vraie crise majeure et la nation acceptera le NOUVEL ORDRE MONDIAL. »

David Rockefeller

(industriel américain et ancien vice-président des Etats-Unis)

 

« La Troisième Guerre Mondiale est déjà commencée. C’est une guerre silencieuse, mais pas moins sinistre pour autant. Cette guerre sert à abattre le Brésil, l’Amérique latine et pratiquement tout le Tiers-monde. Au lieu des soldats qui meurent, ce sont des enfants. C’est une guerre sur la dette du Tiers-monde, une guerre dont l’arme principale est l’intérêt sur l’argent ! Une arme plus mortelle que la bombe atomique, plus destructrice qu’un rayon laser. »

Prééminent politicien brésilien




D.167 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 4

 

par Guy Richer

Historique de la réserve fédérale américaine

Nous allons voir maintenant comment cette véritable conspiration a été mise au point, entre les banquiers et les politiciens, afin d’instaurer cet engrenage dans lequel toute l’économie nord-américaine est prise sans aucune possibilité de s’en libérer.

L’instauration de ce système, que l’on appelle « argent fractionnel » qui, partout où il a été imposé, a amené des économies d’esclavage pour les gouvernements et la population.

Nous pouvons, ici, parler littéralement d’une conspiration.

Ce compte-rendu est l’œuvre de Monsieur Edward Griffin, excellent conférencier. J’ai eu le plaisir d’assister au séminaire sur le sujet qui va suivre.

La créature de Jekyll Island :

Tout sur l’histoire des banques

Dans le livre La créature de l’île Jekyll, l’auteur, Edward Griffin, explique comment se servir du pouvoir et de l’argent pour contrôler les groupes et les institutions, en achetant l’autorité et l’emprise des gens qui les dominent. Ce procédé consiste à corrompre des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles et ainsi de suite. En fait, n’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Les acquéreurs, dont il est question dans cette leçon, ont beaucoup d’argent pour se procurer ce contrôle.

AVERTISSEMENT !

Vous êtes sur le point d’entrer dans une zone de réalité… Un endroit où la vérité est plus étrange que la fiction, où la connaissance est profonde, où les mythes sont détruits et les séductions étalées au grand jour. En ces lieux, vous découvrirez les vraies leçons d’histoire. En ces lieux, de vraies aventures de la vie vous dévoileront la nature cachée de l’homme. Si vous poursuivez votre écoute, vous ne pourrez plus jamais retourner dans la zone floue d’où vous venez.

Bienvenue dans la zone de réalité. Je m’appelle Ed Griffin et j’ai écrit un livre intitulé La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale.

Transportons-nous au premier siècle, dans un minuscule royaume appelé Fryggia, où un philosophe du nom d’Ethectate a déclaré qu’il existait quatre types d’apparences : les choses paraissent telles qu’elles sont ; elles ne paraissent pas telles qu’elles sont ; les choses sont ce qu’elles sont sans le paraître ; elles ne sont pas ce qu’elles sont et paraissent l’être. Cet homme aurait pu donner des cours bancaires et d’économie dans l’une de nos universités. Cela ne ressemble-t-il pas aux explications que l’on obtient en lisant les relevés de la Réserve fédérale ? Ethectate s’est servi d’un concept relativement simple et pourtant, lorsqu’il eut terminé son explication, personne ne comprenait toujours pas de quoi il parlait. Voilà ce à quoi nous devons faire face de nos jours avec les experts. Il cherchait seulement à dire que les apparences peuvent parfois être trompeuses. Il nous a tout de même donné un chemin à suivre, un thème.

S’il existe quelque chose de trompeur dans le monde, c’est bien le système de la Réserve fédérale. On peut le considérer comme le 4e type d’apparence qu’Ethectate décrivait comme suit : il n’est pas ce qu’il est et paraît l’être. Ma présentation portera sur ce thème.

La création du système de la Réserve fédérale (la Fed)…

Le titre du livre, La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale, en dit très long sur le contenu de ma présentation. L’île Jekyll existe vraiment. Elle se situe au large de la côte de Géorgie. Le système de la Réserve fédérale fut conçu sur cette île, en 1910, lors d’une réunion ultra secrète. Lorsque l’on opère en secret, cela signifie habituellement que l’on cache quelque chose. Tout ce dont je vous entretiendrai fut mis par écrit. En 1910, un petit groupe de millionnaires de New York, dont J. P. Morgan, William Rockefeller et leurs associés, possédait l’île Jekyll en totalité. Leurs familles venaient y passer les mois d’hiver. L’île servait de lieu de vacances et on l’appelait le Club de l’île Jekyll. Depuis, l’état de la Géorgie a acheté l’île. On y retrouve un pavillon où il y a une pièce spéciale. Sur la plaque de laiton fixée à la porte de cette salle, on peut lire : « Le système de la Réserve fédérale fut créé dans cette pièce ». On peut accéder à ces informations dans les bibliothèques.

En novembre 1910, le sénateur Nelson Aldrich envoya son train privé à une station de chemin de fer du New Jersey, tard le soir. Le train était prêt à le recevoir ainsi que six autres hommes qui venaient à la condition ultime de n’en souffler mot à personne. On leur avait demandé, par exemple, de se présenter à un moment précis et de ne pas souper ensemble le soir de leur départ. S’il advenait qu’ils arrivent au même moment, ils devaient prétendre qu’ils ne se connaissaient pas. Étant donné que ces hommes étaient bien connus, on leur avait dit d’éviter les journalistes. L’un d’entre eux a même traîné un fusil de chasse pour prétendre, si on le lui demandait, qu’il allait en voyage de chasse aux canards. Nous apprîmes plus tard, à travers sa biographie, qu’il n’avait jamais possédé d’arme à feu de sa vie. Il l’avait empruntée pour l’occasion. À bord du wagon, ils avaient reçu l’ordre de ne s’adresser l’un à l’autre que par leur prénom. Deux d’entre eux ont même utilisé des noms de code. La raison en était fort simple : le personnel de service à bord du train ne devait pas savoir qui ils étaient.

Le train privé voyagea pendant deux nuits et une journée, c’est-à-dire, un voyage de mille milles (1 600 km), jusqu’à ce qu’il arrive à une voie d’évitement située à Brunswick, Géorgie. À partir de là, ils prirent un traversier jusqu’à l’île Jekyll.

Pendant neuf jours, ils sont restés assis autour de la table du pavillon et ont éclairci tous les détails importants de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale. Lorsqu’ils eurent terminé, ils retournèrent à New York et, pendant un certain nombre d’années, nièrent la tenue d’une telle réunion. Ce n’est que lorsque le système de la Réserve fédérale fut fermement établi qu’ils commencèrent à parler ouvertement de ce qu’ils avaient fait. Plusieurs d’entre eux rédigèrent des livres et des articles de revues sur le sujet. Il nous est maintenant possible d’en apprendre davantage sur ce qui s’est passé.

Qui étaient ces hommes ?

Le sénateur Nelson Aldrich, chef de file républicain du Sénat (membre de la Commission monétaire nationale — ce comité spécial du Congrès, créé dans le but d’émettre des recommandations relatives à la réforme législative des opérations bancaires d’Amérique). Même à cette époque, les Américains s’inquiétaient de laisser tout le pouvoir financier entre les mains d’un petit groupe de banques et de sociétés de placement new-yorkaises. Ils l’appelaient la Fiducie Monétaire (ou Money Trust). Les citoyens voulaient mettre un terme à l’empire de cette dernière. Plusieurs politiciens ont été élus grâce à leur promesse d’aider à réaliser ce projet. D’ailleurs, l’un des objectifs de la Commission monétaire du sénateur Aldrich visait exactement à accomplir ce but. Toutefois, le sénateur entretenait une relation commerciale avec l’homme d’affaires J. P. Morgan (franc-maçon shriner).[1]

 Pierpoint Morgan  John D. Rockefeller


P. Morgan était le beau-père de John D. Rockefeller Jr et devint, par conséquent, le grand-père de Nelson Rockefeller, ancien gouverneur de l’État de New York et vice-président des États-Unis.

Le deuxième homme présent à la réunion se nommait Abraham Piat Andrews, le sous-secrétaire au Trésor américain. Plus tard, il devint membre du Congrès et fut, tout au long de sa carrière, un homme très influent au sein des milieux bancaires.

Le troisième homme s’appelait Frank Vanderlip, le président de la National Bank of New York, la plus grande et la plus puissante banque d’Amérique. Il représentait les intérêts financiers de William Rockefeller, frère de John D., et de la société d’investissement internationale Kuhn, Loeb & Company (banque juive-allemande). Henry Davison, l’associé principal de la J. P. Morgan Company, était présent. Charles Norton, le président de la First National Bank de New York, participait à cette réunion. Benjamin Strong, le directeur général de la J. P. Morgan’s Bankers Trust Company, y assistait également. Il en devint d’ailleurs le P.D.G., trois ans plus tard, suite à l’adoption de la Loi sur la Réserve fédérale.

Enfin, Paul Warburg prenait lui aussi part à la réunion. Il était probablement l’homme le plus important en ces lieux grâce à ses connaissances bancaires européennes. Juif-allemand de souche, il se fit éventuellement naturaliser citoyen américain. En plus d’être un partenaire de la Kuhn, Loeb & Company, il représentait également la dynastie bancaire Rothschild (famille juive faisant partie des Sages de Sion) en Angleterre et en France. De plus, il entretenait des liens étroits avec son frère Max, le directeur en chef du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas.

Paul Warburg était l’un des hommes les plus riches du monde. Ces sept hommes qui se trouvaient sur l’île Jekyll, en majorité juifs, représentaient à eux seuls en ce temps, directement et indirectement, approximativement un quart de la richesse planétaire globale.

Voici comment tout cela s’est vraiment déroulé. Frank Vanderlip affirma dans un article du Saturday Evening Post du 9 février 1935 : « Je ne crois pas exagérer en considérant notre expédition secrète sur l’île Jekyll comme une occasion en or de créer ce qui devint éventuellement le système de la Réserve fédérale, et ce, même si le mot d’ordre voulait que l’on garde ce fait le plus secret possible. Une fois installés à l’intérieur du train, nous avons commencé par respecter l’interdiction d’utiliser nos noms de famille respectifs. Nous nous adressions l’un envers l’autre en tant que Ben, Paul, Nelson et Abe. Davison et moi avions même poussé la mascarade jusqu’à abandonner nos prénoms. Davison prit le nom de Wilbur et j’empruntai le nom d’Orville, en l’honneur des deux frères Wright, les pionniers de l’aviation. Il se peut que les serviteurs et les employés du train aient reconnu un ou deux d’entre nous, mais ils ne nous connaissaient pas tous. Nos noms réunis auraient pu à eux seuls donner une toute autre portée à notre expédition, tant à Washington, qu’à la Bourse de New York ou même à Londres. Il ne fallait tout simplement pas que l’on nous découvre. » Pourquoi ?

Vanderlip donne une réponse à cette question dans le même article : « Éventer le secret du rassemblement de notre groupe en particulier et de nos travaux équivalait à anéantir toute chance que le Congrès vote la Loi sur le comportement des banques. » Pourquoi ? Parce que le but de cette loi consistait à mettre un terme à l’empire de la Fiducie monétaire et croyez-le ou non, cette loi avait été écrite par les membres mêmes de la Fiducie monétaire. C’est aussi simple que cela. Si le public avait eu connaissance de cette réunion, le système de la Réserve fédérale n’aurait jamais vu le jour. Comme si l’on demandait à un renard de construire un poulailler et d’y installer un système d’alarme ! Cette réunion devait avoir lieu dans le plus grand secret. Ni le grand public, ni le Congrès ne l’aurait acceptée. En d’autres termes, on créa la Réserve fédérale secrètement parce qu’elle aurait suscité trop de suspicion. De plus, d’autres raisons s’ajoutent à cela. Analysons la composition du groupe.

Ici, nous avons les Morgan, les Rockefeller, les Warburg et ainsi de suite, tous assis à discuter autour d’une table. Il se peut que vous vous demandiez ce qu’il y a de mal à cela. Eh bien, ce qui ne va pas, c’est que tous ces gens étaient des compétiteurs, des géants de la finance mondiale qui se battaient, non seulement à New York, mais également à Londres ou à Paris, entre autre. Les livres d’histoire décrivent cette époque américaine comme l’aube de la période du cartel. Une transition idéologique majeure s’opérait en affaires. Les grandes entreprises avaient pris de l’expansion au niveau de leur pouvoir d’action et de leur prospérité grâce à la concurrence permise par la libre entreprise. Cet état de fait conféra la supériorité aux États-Unis et lui permit de surpasser l’ordre mondial suranné. À partir de cet instant, les grandes entreprises transformèrent leur idéologie en monopole et évitèrent ainsi la concurrence. Pour reprendre les paroles de John D. Rockefeller père : « La concurrence est un péché. » Les dirigeants de ces entreprises consacrèrent leur vie à l’élimination de la concurrence, quel qu’en soit le prix. S’ils n’y parvenaient pas, ils l’achetaient ou, dans la mesure du possible, s’y associaient en un monopole partagé. C’est ce qu’on appelle un cartel.

Cette transition se produisit à cette période de l’histoire. Pendant les quinze années qui ont précédé le rassemblement sur l’île Jekyll, les groupes financiers de toutes les industries s’étaient progressivement associés en joint-ventures ou entreprises communes au lieu de concurrencer l’un contre l’autre. Ils s’étaient rendus compte que cela fonctionnait et l’ont apprécié.

Nous étudierons maintenant une deuxième réalisation ahurissante concernant la Réserve fédérale. Nous verrons d’ailleurs qu’il ne s’agit aucunement d’une organisation gouvernementale. Il s’agit d’un cartel ! Ils ont créé un cartel bancaire et l’ont rendu légal, conformément à la loi. Personne n’apprendra cela à l’école. Un troisième élément s’ajoute à cette histoire : ce cartel s’est associé au gouvernement.

Lorsque l’on forme un partenariat, toutes les parties doivent profiter de certains avantages. Qu’est-ce que le gouvernement gagne dans tout cela ? Examinons ensemble par quel mécanisme le gouvernement fédéral crée l’argent. Comment est-ce que l’argent voit le jour ? Nous devrions le demander au magicien Mandrake. Il pouvait créer quelque chose à partir de rien, puis le faire disparaître par la suite. N’essayez pas de comprendre. Voici comment cela se passe et je vous le présenterai le plus simplement possible.

De l’argent créé comme par magie…

Le Congrès a besoin d’argent et en quantité beaucoup plus importante que ce qu’il perçoit en impôts. Les impôts représentent une fraction de ce que le Congrès requiert pour fonctionner. Comment peut-il dépenser plus que ce qu’il touche en impôt ? Étudions son mode de fonctionnement… Supposons que le Congrès a besoin d’un milliard de dollars pour payer les dépenses du jour. Il s’adresse alors au Trésor et le trésorier-payeur général lui répond : « Vous devez blaguer ! Nous n’avons aucun argent disponible. Vous l’avez dépensé en entier durant les mois de février et mars. Tout ce que nous avons perçu en impôt est parti en fumée. » Le Congrès affirme qu’il le sait. Ils en arrivent à la conclusion qu’ils auraient dû puiser l’argent dans les fonds publics. Puis, le Congrès passe par l’imprimerie, non pas pour faire imprimer de l’argent, mais plutôt des certificats. De beaux billets où apparaissent, dans la partie supérieure, un aigle et la mention : Bon du Trésor des États-Unis (billet ou promesse, suivant la date d’échéance). En fait, ce sont des reconnaissances de dettes et le Congrès espère qu’elles inciteront les gens à prêter au gouvernement en retour. Plusieurs personnes le font parce qu’elles ont entendu dire qu’il s’agit de l’un des meilleurs investissements à faire. Gardez toujours ceci à l’esprit : le gouvernement vous fait croire que vous investissez, mais en réalité, vous lui prêtez de l’argent lorsque vous achetez ses valeurs. Il affirme qu’il s’agit du meilleur investissement possible parce qu’il est avalisé par la confiance et le crédit du gouvernement des États-Unis. Ce sont des billets équivalents aux obligations d’épargne du Canada. Cela signifie que le gouvernement s’engage solennellement à vous rendre votre argent avec des intérêts, même s’il doit vous prendre tout ce que vous possédez en impôt pour y arriver.

Puis, les représentants du Congrès et du Trésor se rendent ensemble jusqu’à l’immeuble de la Réserve fédérale. La Fed les attendait. Elle rédige immédiatement un chèque d’un milliard de dollars au Trésor des États-Unis. Qui a payé ce milliard de dollars ? La réponse : personne, il n’existe pas ! Il n’y a même pas de compte de chèques, seulement un livret. De l’argent instantané. Vous et moi irions en prison en agissant ainsi. Cependant, ils peuvent le faire parce que le Congrès le leur demande. Le gouvernement est impliqué dans ce partenariat pour cette même raison. Le gouvernement peut ainsi accéder instantanément au montant d’argent qu’il désire et au moment qu’il le souhaite, sans avoir besoin de demander l’approbation des contribuables sous forme d’impôt direct. Si le gouvernement s’adressait aux contribuables en disant qu’il avait besoin de l’argent et que, pour se faire, il devait augmenter leurs impôts de 3 000 $, ces derniers ne voteraient plus pour lui aux prochaines élections. Le gouvernement aime se servir du mécanisme de Mandrake parce qu’il peut ainsi obtenir de l’argent immédiatement sans que personne ne le sache. Le gouvernement fait partie de ce partenariat pour cette raison. Toutefois, on peut se demander pourquoi le cartel bancaire y participe également.

Le cartel bancaire est impliqué dans ce partenariat parce que le trésorier-payeur général prendra le chèque d’un milliard de dollars et le déposera dans le compte de chèques du gouvernement qui se trouve à la Réserve fédérale. À ce moment, l’ordinateur indiquera que le compte du gouvernement contient un milliard de dollars instantané. Cela signifie qu’à partir de cet instant, le gouvernement peut émettre des chèques gouvernementaux d’un montant égal. Prenez l’exemple d’un chèque de 100 $ libellé au nom d’un employé des postes. Cette personne ne croirait pas que cet argent n’existait pas deux jours plus tôt. D’ailleurs, elle ne s’en soucierait pas puisqu’elle peut le dépenser. L’argent se trouve maintenant ailleurs qu’à la Fed ou qu’entre les mains des partenaires du gouvernement, c’est-à-dire, du côté bancaire commercial. Le banquier se dirige alors vers la fenêtre des prêts et annonce : « Puis-je avoir votre attention, s.v.p. ? Nous avons de l’argent à prêter. » Maintenant, tout le monde est heureux et pourtant, chacun d’entre eux ressent de l’inquiétude face au maigre montant de 100 $. Alors, le banquier les rassure en disant de ne pas s’inquiéter parce qu’il peut leur prêter 900 $. Comment est-ce possible ? Comment est-ce que les banques peuvent prêter un montant de 900 $ alors que la somme déposée n’était que de 100 $ ?

Voici la réponse :

Le système de la Réserve fédérale exige des banques qu’elles gardent en réserve au moins 10 % des dépôts effectués. Elles doivent conserver 10 $ par tranche de 100 $ et prêter la différence, soit 90 $. Puis, dès qu’un citoyen emprunte ce 90 $ et le dépose dans son compte de chèques, le même cercle vicieux recommence et ainsi de suite. D’où venait tout cet argent ?

La réponse est la même : l’argent n’existait pas. Il est apparu au moment précis où quelqu’un fit l’emprunt. Rappelez-vous. L’argent créé à partir de rien et remis au gouvernement, a été dépensé par ce dernier pour réaliser ses projets. D’autre part, les banques n’ont pas dépensé l’argent créé à partir de rien pour elles, elles nous l’ont plutôt prêté afin que nous réalisions nos projets. Toutefois, elles perçoivent de l’intérêt sur ces prêts qui, en fin de compte, n’existent pas. Tous les citoyens aimeraient posséder un livret de chèques magiques comme celui-là et percevoir de l’intérêt sur les prêts ! C’est la raison pour laquelle le cartel bancaire est partenaire dans cette affaire. Tout cela est « légal ». On charge de l’intérêt sur rien. Cependant, le processus ne s’arrête pas là.

Quelles en sont les conséquences ? Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà. On peut comparer ce phénomène au principe du délaiement de la soupe. Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer. Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie. En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste, car en réalité, c’est la valeur des dollars qui diminue. Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’était pas créé à partir de rien, les prix resteraient fixes. Si nous avions vécu dans la Rome antique, nous aurions pu acheter, avec une pièce d’or d’une once, les vêtements de base (toge, sandales, et ainsi de suite). Que pouvons-nous acheter aujourd’hui avec cette même pièce d’or ? Il nous est possible d’entrer dans n’importe quelle mercerie pour homme et d’acheter un complet de bonne qualité, des souliers, une ceinture faite à la main et ainsi de suite. Le prix réel de ces articles s’est maintenu depuis des milliers d’années, lorsqu’on en parle en terme d’argent réel. Les billets de la Réserve fédérale nous permettent d’acheter de moins en moins d’articles parce qu’il y en a de plus en plus en circulation.

Nous avons perdu notre pouvoir d’achat. Qui est-ce qui le détient maintenant ? Ceux-là même qui se trouvaient à l’autre extrémité du tuyau, c’est-à-dire, le gouvernement (un milliard de dollars), puis ceux qui travaillent pour lui comme les entrepreneurs et les autres. Et qui dispose de l’argent qui provient des banques ? D’abord, les banques, puis les emprunteurs ? Non ! Parce que l’argent que vous avez emprunté aux banques, vous devez le leur rembourser en plus des intérêts. La banque s’empare de vos gains. Depuis la création de la Réserve fédérale, nous vivons dans un cycle économique en dents de scie. Si vous ne pouvez effectuer vos paiements, les banques vous prennent tout. C’est ce qui avait été prévu. Ceux qui profitent de votre perte et qui achètent le pouvoir sont le gouvernement et les cartels bancaires. [Ce système agit comme un siphon invisible. L’argent invisible qu’il émet par les emprunts doit être remboursé par de l’argent réel, résultat de la force de travail du pauvre emprunteur ! Éventuellement, tout l’argent réel devrait avoir été aspiré par les banques.]

Pour résumer la situation, voici la vérité au sujet de l’argent : soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire. Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût, c’est-à-dire, de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela dévalorise automatiquement les citoyens puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le capital. En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions[2]. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer le processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.

Le processus dont il est question est en fait une taxe. Qu’on l’appelle inflation ou autre, cela reste une taxe. Vous ne pouvez aucunement la contrôler, on vous l’arrache sans exonération, sans déduction. C’est la taxe la plus directe qui existe, bien plus que les impôts ou les taxes indirectes. D’ailleurs, elle touche encore plus fortement ceux qui peuvent le moins se permettre de la payer. Par conséquent, le système de la Réserve fédérale est l’auteur de la taxe la plus injuste qui soit. Cette taxe s’abat sur les gens qui gagnent un salaire fixe, les gens à la retraite ou quiconque a réussi à épargner de l’argent. Elle les assaille encore plus durement que ceux qui empruntent. Si vous ne deviez vous souvenir que d’un seul détail de ce cours, veuillez s’il vous plaît vous rappeler de celui-ci : l’inflation et la taxe ne font qu’un ! Voilà pourquoi ces deux groupes font partie du partenariat. Du côté gouvernemental, ils peuvent taxer les citoyens de n’importe quelle façon et à n’importe quel coût, sans que ceux-ci en aient la moindre idée. Du côté bancaire, ils peuvent percevoir des intérêts sur rien à perpétuité. Retournons à l’île Jekyll. L’idée a germé en ces lieux.

Un jeu de mot trompeur… 

Ce modèle de partenariat fut conçu en Europe, au 16e siècle. On l’expérimenta et le perfectionna éventuellement avec la formation de la Banque d’Angleterre, en 1694. À partir de cette date, tous les gouvernements européens ont utilisé ce mode de fonctionnement. Bien entendu, ils ne l’ont pas appelé le mécanisme de Mandrake, mais plutôt la Banque centrale. Amener ce procédé en Amérique exigeait qu’on le nomme différemment. Alors, après un long débat, ses créateurs, qui commencèrent par lui trouver le nom « Fédérale », parce que cela évoquait une opération gouvernementale, optèrent ensuite pour le mot « Réserve » afin que l’on croie à l’existence de réserves en un certain endroit. Enfin, ils ajoutèrent le mot « Système » parce qu’il semblait beaucoup plus important qu’il n’en a l’air aujourd’hui. Souvenez-vous de la première concentration new-yorkaise du pouvoir — ils devaient convaincre les Américains qu’ils créaient un système réunissant plusieurs banques et non une seule. Construire d’énormes édifices bancaires à travers le pays. Nous savons maintenant que ce que nous avons obtenu n’a rien de fédéral, que les réserves n’existent pas, qu’en réalité, le système ne répartit pas ses pouvoirs et que les Réserves fédérales ne sont pas des banques.

Ils ont monté cette brillante supercherie de toute pièce puis l’ont vendue aux Américains. La première ébauche du projet de loi sur la Réserve fédérale s’appelait la Loi Aldrich (the Aldrich Bill) parce que le sénateur Aldrich lui accordait son appui. Paul Warburg lui déconseilla toutefois d’agir ainsi parce qu’à son avis, le Congrès voterait contre ce projet de loi étant donné qu’on identifiait trop souvent Aldrich à de grandes entreprises. Toutefois, l’ego du sénateur Aldrich était tellement gonflé qu’il présenta tout de même le projet de loi Aldrich au Congrès. Warburg avait raison. Le Congrès refusa de l’accepter. Ce fut un contretemps mineur. Ils retirèrent alors le nom d’Aldrich du projet de loi et trouvèrent quelques démocrates millionnaires (le parti ami des petits contribuables) afin que ceux-ci y apportent leur appui. Ces hommes s’appelaient Carter Glass, de la Chambre des représentants, et le sénateur Owen, un banquier lui-même très respecté au sein du Sénat. Puis, on changea le nom du projet de loi pour Glass-Owen (the Glass-Owen Bill). Aldrich et Vanderlip commencèrent alors à répondre à des entrevues pour condamner le projet de loi… qu’ils avaient eux-mêmes écrit. Ils affirmaient que ce système ruinerait les banques et la nation. Le grand public se dit alors : « Si les grands banquiers ne sont pas en faveur de ce projet de loi, il doit alors s’agir d’un très bon système. »

Une grande escroquerie planifiée !

Il va sans dire que l’on comprenait parfaitement le fonctionnement de la psychologie de masse.

Comme dernier sujet de ce chapitre, nous aborderons le thème de l’usure. Qu’est-ce que l’usure ? Un intérêt de taux excessif. Autrefois, à l’époque biblique, on définissait usure en tant qu’intérêt sur un prêt. Aujourd’hui, cela signifie intérêt excessif sur un prêt. Thomas Edison disait que les gens qui ne contribuaient en rien à un projet, en récoltaient plus d’argent que ceux qui y investissaient tout le travail et les matériaux. Je me suis imaginé que sur le prix d’une maison de 100 000 $, 30 000 $ serviraient à payer les frais de l’architecte, le terrain, les permis, etc. Le reste de l’argent, soit 70 000 $, permettrait de payer les matériaux de construction et les travailleurs. J’ai supposé que l’acheteur irait à la banque pour déposer 20 % du montant total et faire un emprunt sur 30 ans à un taux d’intérêt de 10 %. En calculant tout cela, vous arriverez à la même conclusion que moi : l’acheteur payera plus de 172 741 $ en intérêts à la banque, comparativement aux 70 000 $ versés aux travailleurs. En d’autres termes, la banque gagnera 2,5 fois plus que les autres. Cet argent fut créé à partir de rien. Charger 172 741 $ d’intérêts sur rien est excessif. Il est temps de donner une nouvelle définition au mot usure : tout intérêt chargé sur tout prêt d’argent créé à partir de rien. Cet exemple de maison de 100 000 $ ne représente qu’un infime petit grain de sable dans le désert du Sahara. Vous devez multiplier ce procédé par toutes les maisons, tous les hôtels et les gratte-ciel, tous les avions à réaction, les automobiles, les usines, tous les entrepôts et sur toutes les fermes et leurs équipements de l’Amérique pour obtenir le montant que récoltent les banques. On parle ici d’une rivière de richesses non gagnées et flottant continuellement à l’intérieur du cartel bancaire qui est tellement éparpillé qu’il nous est impossible à imaginer. La somme totale dépasse tout entendement. Cet argent devrait revenir à ceux qui travaillent pour le produire et non à ceux qui ont monté un extraordinaire racket ! Où va cet argent ?

Lorsque l’on possède tout l’argent nécessaire pour s’offrir tous les petits plaisirs de la vie, que reste-t-il à acquérir ? Le pouvoir ! Les membres du cartel bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens. Ils achètent le monde avec ces argents. Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières. Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs. Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants. Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés. Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement. Ils ont acheté ces pays.

Ne vous est-il jamais arrivé de vous questionner sur ce qui se passe dans les bureaux de la Banque Mondiale et des Fonds Monétaires Internationaux ? Vous constaterez que le Congrès autorise de temps en temps un autre prêt ou un don de 100 milliards de dollars à un petit pays. Il affirme qu’il agit ainsi pour accroître le niveau de vie de ce dernier. Pouvez-vous le croire ? Si vous observez toutes les nations qui, au cours des dernières décennies, ont reçu de l’aide, pouvez-vous en trouver une seule dont le niveau de vie de ses citoyens ait augmenté ? Dans la plupart des cas, c’est tout le contraire. La raison est simple. L’argent ne servait pas à cela. On ne remet pas l’argent aux gens ni aux entreprises. On le donne plutôt aux politiciens et aux gouvernements pour consolider leurs mécanismes de contrôle des gens. Ils n’ont rien à faire du bien-être de leurs gens. Leur propre confort prime. L’idéologie ne veut rien dire pour eux. Le socialisme, le capitalisme, le communisme, le fascisme, n’ont aucune signification. Tout ce qu’ils désirent, c’est l’argent. Il est choquant de constater qu’en Amérique du Nord nous devons traiter avec les 2e et 3e générations de familles sur l’aide sociale. En plus, le système actuel a créé parmi les gouvernements du Tiers-monde, une deuxième et troisième génération d’assistés sociaux. Ils sont dépendants. Ils ne sauraient que faire sans cet argent. Ils sont maintenant en place dans l’ordre mondial.

Ce transfert de richesses au Tiers-monde, qui provient de l’Amérique, non seulement n’augmente pas leur niveau de vie, mais contribue également à diminuer le nôtre. Cela fait partie de la stratégie. Une nation vigoureuse n’est pas sujette à rendre sa souveraineté, mais une faible nation l’est. Si on peut faire fléchir l’Amérique, elle acceptera sûrement les mesures totalitaires des Nations Unies pour garder la paix ou les secours d’un système monétaire international. Le jeu ne s’appelle pas la richesse, mais LE POUVOIR.

Qu’allons-nous faire de cette créature ? Qu’allons-nous faire du Congrès ? Ils ont créé un monstre et peuvent l’abattre. Nous devons toutefois mettre le feu sous les sièges qu’occupent les membres du Congrès. Nous devons élire de nouveaux visages au Congrès. Par contre, les électeurs doivent être informés. Nous avons besoin d’une armée éducative sur place. La mauvaise nouvelle, c’est que nous manquons de temps. Le Nouvel Ordre Mondial se concrétise autour de nous. Une cour de justice mondiale, une autorité d’imposition mondiale, un système monétaire mondial, une armée mondiale. En ce moment, environ la moitié de l’armée des États-Unis fonctionne sous le commandement de dirigeants étrangers.

Il y a également une bonne nouvelle : nous pouvons encore y arriver. Il nous reste du temps. Nous sommes encore libres. Nous pouvons encore parler librement. Nous pouvons encore élire les représentants de notre choix. Rappelez-vous : notre liberté en dépend.

Merci !

(Fin de l’exposé de Monsieur Griffin)

*        *        *

La Fed ne produit aucune déclaration de revenus imposables, ni ne paye de taxes. Personne n’a jamais procédé à la vérification de ses comptes. Elle n’a jamais dressé le bilan de ses avoirs par le biais de formulaires gouvernementaux.

Il s’agit d’une organisation privée, fiduciaire par actions. La Fed ne représente pas le peuple des États-Unis d’Amérique !

Voici maintenant la liste des principaux actionnaires de la Banque du Canada et de la Banque Fédérale de Réserve :

ROTHSCHILD, Banque de Berlin :

ROTHSCHILD, Banque d’Angleterre :

LAZARD BROTHERS, Banque de Paris :

ISRAEL MOSES SEIFF, Banque d’Italie :

WARBURG, Banque de Hamburg d’Amsterdam :

LEHMAN BROTHERS, Banque de New York :

KUHN LEOB, Banque de New York :

CHASE MANHATAN, Banque de New-York :

GOLDMAN SACHS, Banque de New York :

« Oui, nous voulons posséder la terre entière… plus 5 % ! »

Alan Greenspan

(président de la Banque Fédérale de Réserve)

« L’opération bancaire (banking) a été conçue dans l’iniquité et est née dans le péché ! Les banquiers possèdent la terre ! Enlevez-leur, mais laissez-leur le droit de créer l’argent et en un tournemain, ils recréeront assez d’argent pour la racheter. Enlevez-leur ce pouvoir et des grandes fortunes comme la mienne disparaîtront. »

Sir Josiah Stamp

(Ex-président de la banque d’Angleterre,2e homme le plus riche de son époque)

« La Banque Fédérale de Réserve a volé aux Américains leur gouvernement. Elle contrôle tout, incluant les relations étrangères et elle fait ou démantèle les gouvernements selon sa volonté. »

Sénateur Louis T. McFadden

(ex-président, pendant 22 ans, de la Commission sur la monnaie et le système bancaire)

« L’Acte de la Banque Fédérale de Réserve donne assez de pouvoir à la Banque Fédérale de Réserve pour rendre le gouvernement incapable de protéger ses citoyens. »

Charles Lindberg Sr

« La Réserve Fédérale et ses banques privées sont l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait vues ! »

Sénateur Louis McFadden

Je dois vous spécifier que tout ce qui a été dit sur la Banque Fédérale de Réserve est identique pour la Banque du Canada. Mêmes propriétaires, même système, même escroquerie internationale.

Avant 1913, la plupart des Américains possédaient leurs propres terres. Ils détenaient le titre de souverains absolus de leur terre et propriétés, libres et dégagés du privilège d’un créancier sur leurs biens. Ils ne devaient pas rembourser de charges ou de prêts hypothécaires. Les hypothèques conventionnelles offertes par les banques, où le débiteur paie trois fois le prix de son emprunt durant 30 ans, n’existaient pas. Les propriétaires acquéraient des terres avec un acte de vente, les payaient avec de l’or ou de l’argent et recevaient le titre réel, légal ainsi que le droit de possession de leurs terres.

Pouvez-vous imaginer vivre sans dettes et financièrement indépendant sur votre propre terrain ou propriété que vous avez payé, libre et dégagé de toutes taxes, de règlements, de codes en bâtiments, de zonages et d’autres transgressions de vos droits et libertés ?

Dans une vraie république, les gens représentent le pouvoir souverain. Ils peuvent créer ou abolir les gouvernements et leurs institutions.

Dans une démocratie, un groupe élitaire d’individus se réunit pour produire une constitution ainsi que les pouvoirs qui s’y rattachent. Ils attribuent aux gens leurs droits et leur constitution.

Alors, si vous pensez que le gouvernement fonctionne à l’envers aujourd’hui, vous avez tout à fait raison !

Les buts visés par ce séminaire sont de vous ouvrir les yeux, l’intelligence et le cœur à la réalité de ce monde dans lequel nous vivons. Comprenez-moi bien : avoir de l’intelligence, c’est avoir de l’information, des connaissances qui nous donneront une ligne de pensée. C’est sortir de cette « victimisation » et de cette « programmation » ou « manipulation  collective » qui nous sont imposées par les dirigeants de notre pays.

Vous devez savoir ces choses ! C’est dans ce monde que nous vivons, nous et nos enfants !

Nous verrons plus loin les détails d’une stratégie en six (6) étapes permettant de manipuler l’opinion publique et de modifier un consensus général.

Les gens me demandent parfois s’il existe une conspiration. Je leur réponds : absolument ! Il existe sur cette planète une conspiration de l’ignorance et de la peur.

Qui contrôle actuellement 98 % des ressources mondiales incluant la terre, l’immobilier, les ressources naturelles, le capital, les médias, les industries, les sociétés à responsabilité limitée et les gouvernements nationaux ? D’où obtiennent-ils leur pouvoir et leur autorité ? Existe-t-il une conspiration visant à contrôler le monde entier ? Est-ce que les élites mondiales bénéficient de ce gouvernement mondial ? Comment les GATT, NAFTA et autres organismes commerciaux aident-ils les riches et puissants banquiers internationaux et détruisent-ils les économies du Tiers-monde ? Où va l’argent de vos impôts sur le revenu et que sert-il à payer ? Pourquoi l’armée américaine fonctionne-t-elle sous le commandement d’étrangers des Nations Unies, sous les ordres d’un commandant russe ? Pourquoi l’ancien président George Bush a-t-il impliqué les États-Unies dans la Guerre du Golf ? Pourquoi l’ancien président Ronald Reagan a-t-il interdit l’accès aux archives nationales pendant 50 ans ? Comment la faillite des États-Unis fédéraux affecte-t-elle la croissance économique ? Qu’est-ce que l’inflation et qui sont les vrais ennemis des États-Unis d’Amérique ? Pourquoi le gouvernement ment-t-il de manière chronique à ses propres citoyens ?

En somme, y a-t-il vraiment une conspiration ?

James P. Warburg témoigna en ces termes devant un comité des relations étrangères du sénat : « Nous devrons fonctionner selon un gouvernement mondial que nous le voulions ou non ! Nous devons maintenant savoir si celui-ci sera établi par consentement ou par conquête ! »

On a interdit l’accès aux enregistrements de ce comité pendant 75 ans. Nous devrions avoir la chance d’y jeter un oeil en 2025. Voilà ce qui reste du concept d’un gouvernement ouvert.

Que cachent-ils ?

Il existe des organismes internationaux qui masquent les vrais individus puissants qui contrôlent nos vies. Ce sont entre autres : l’Institut Royal des Affaires Internationales (qui regroupe toutes les associations internationales du barreau), le CFR, la Commission Trilatérale, les Bilderbergers, le Club de Rome, la Round Table et la Fraternité des Skull & Bones. Ces derniers sont des organismes d’individus grandement puissants et très ambitieux en ce qui a trait au contrôle du monde.

Mais surtout, il y a des sociétés dites secrètes qui travaillent activement dans l’ombre de nombreuses façades. Des sociétés comme les Rose-Croix, les Chevaliers Templiers, la Franc-Maçonnerie internationale, les Illuminati, les Chevaliers de Malte. Nous parlerons aussi des Juifs sionistes, adeptes du Talmud et de la kabbale. Vous apprendrez que l’ombre qui se cache derrière toutes ces terribles organisations n’est nulle autre que la Compagnie de Jésus, c’est-à-dire, l’Ordre des Jésuites, les descendants directs des Pharisiens, les enfants du Diable, et dont nous brosserons un portrait dans un article subséquent.

Avec tout ce que nous avons déjà partagé jusqu’ici, vous aurez sûrement compris que ceux qui possèdent l’argent détiennent le pouvoir.

Leur pouvoir fait en sorte que vous ignorez vos droits.

Celui qui ignore ses droits, agit comme n’ayant pas de droits !

Par exemple : Tous les êtres humains détiennent le droit de faire des affaires avec un autre de façon privée, sans que les règles gouvernementales n’interviennent ou n’interfèrent. Il s’agit d’une transaction privée entre nous. Cela n’implique aucune obligation ou taxe envers le corps gouvernemental. C’est votre droit inaliénable de contracter ou d’être contracté. Alors, quand vous entendez que le « travail au noir » c’est du vol, il ne s’agit là que de mensonges et de chasse aux sorcières afin de vous culpabiliser faussement devant un droit qui vous appartient et que rien ne peut vous enlever.

Ignorance : intimidation : peur : soumission : esclavage !

C’est là un schéma que l’on pourrait adapter facilement à plusieurs facettes de nos gouvernements.

Rappelez-vous aussi que les sociétés gouvernementales vous retracent partout, malgré les lois sur la vie privée. Cachez le plus d’information possible vous concernant, vis à vis les institutions financières. Quand vous aurez l’opportunité de transférer toutes vos affaires bancaires dans des paradis fiscaux, alors faites-le !

***

Maintenant, vous allez prendre connaissance de deux systèmes alternatifs qui pourraient, en théorie, améliorer grandement les conditions de vie de la population, s’ils étaient mis en place au lieu de ce chaos dans lequel nous vivons.

Examinons ces options qui nous montrent au moins qu’il y a des personnes qui ont à cœur d’améliorer le sort de leurs semblables.

______________________________________________________

[1] Lorsque les Jésuites furent expulsés de tous les pays catholiques d’Europe, il leur resta pour seuls refuges la Russie, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Ils s’envolèrent par milliers vers ce dernier pays pour y transporter leur guerre contre la Réforme sous la bannière de la tolérance américaine et la liberté de religion pour tous. Parmi eux se trouvaient les Morgan, les Roosevelt et les Roggenfelder allemands. On changea ultérieurement Roggenfelder pour « Rockefeller » afin de lui donner un air moins allemand et plus américain !

[2] Perte de la faculté de faire valoir un droit, par l’expiration d’un délai.




D.166 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 3

 

par Guy Richer

Système bancaire (dette) et argent comptable

Voici maintenant une conversation fictive entre deux clients d’une même banque qui saura bien, je crois, expliquer ce qu’on appelle « l’argent comptable » qui représente plus de 94 % de la masse monétaire en circulation. Nous pouvons aussi l’appeler « promesses de paiement en monnaie ayant cours légal ». En fait, c’est ce que tous les emprunteurs reçoivent lorsqu’ils empruntent à une banque privée.

— Avez-vous un compte en banque ?

— Oui. Oh ! Pas bien gros. Quelques centaines de dollars seulement.

— Vous en servez-vous quelque fois pour faire des paiements ?

— Oui, quand j’achète un article qui coûte cher, ou bien quand je fais venir de la marchandise de loin. Je signe un chèque. C’est bien commode.

— En effet, c’est tellement commode que plus de 90 % des transactions commerciales se règlent ainsi, par des chèques. Non pas les petits achats chez le marchand du coin ; mais les transactions des grossistes, des industriels, des compagnies de transport. Le chèque est le principal moyen de paiement aujourd’hui. Il laisse dans l’ombre, à une place minuscule, la monnaie de métal et de papier.

— Mais quand on fait un chèque, c’est la banque qui va payer pour le signataire. Pour chaque chèque signé, il faut donc autant d’argent de métal ou de papier que le banquier remettra au destinataire.

— Non pas, mon cher ! Il suffit d’un peu d’argent pour faire face à beaucoup de chèques. Ordinairement, le marchand à qui vous envoyez un chèque ne va pas demander au caissier de sa banque de lui donner de l’argent pour le montant du chèque. Il va simplement déposer le chèque. Le crédit de son compte augmentera d’autant ; et votre compte à vous sera débité d’autant.

« Puis ce marchand-là commandera du stock à ses fournisseurs ; il paiera lui aussi avec des chèques. Les fournisseurs déposeront les chèques reçus à leurs banques. Cette fois-là, ce sont les comptes des fournisseurs du marchand qui verront augmenter leur crédit, et c’est le compte du marchand qui sera débité du même montant.

« Dans toutes ces transactions-là, ce sont simplement des montants qui changent de place dans les comptes : débit dans un compte, crédit dans un autre.

« Dans l’ensemble, pour chaque 100 $ en argent de chèque, il n’y a pas plus de 10 $ en argent de métal ou de papier qui passe le guichet de la banque. C’est ce qui résulte des habitudes actuelles du commerce, et le banquier le sait bien. Cela permet aux banques de prêter 70 fois plus d’argent qu’elles en ont.

— Hein, que dites-vous là ? Comment un banquier pourrait-il prêter de l’argent qu’il n’a pas ?

— En créant l’argent qu’il prête. C’est ce que la banque fait couramment. Elle crée l’argent qu’elle prête ! Le banquier est essentiellement un créateur d’argent !

— C’est incompréhensible ! C’est incroyable !

— Vous m’avez dit que vous avez un petit compte de banque, mon ami. Votre compte est fait de vos épargnes, n’est-ce pas ?

— Oui, c’est de l’argent que j’ai porté et déposé à la banque.

— C’est bien. Mais il y a des gens qui ne portent pas d’argent à la banque, et qui sortent de la banque avec un compte bien plus gros que le vôtre.

— Je ne comprend pas.

— Non ? Il y a par exemple, M. Toupin, le manufacturier de votre ville. Il voulait agrandir son usine. Tout le monde approuvait son projet. Mais il lui manquait l’argent pour payer les matériaux, les constructeurs et la machinerie. Il calculait qu’avec 100 000 $ sous la main, il pouvait réaliser ses plans et, plus tard, avec une production et des ventes accrues, il rembourserait facilement les 100 000 $.

« Qu’a fait M. Toupin ? Il est allé à la banque. Il n’y a pas porté d’argent. Mais il en est sorti avec 100 000 $ à son compte.

— Je crois bien, car il a emprunté cette somme.

— C’est cela ! Mais c’est la manière dont la banque a fait le prêt qui est merveilleuse. Si vous étiez riche et que M. Toupin était venu emprunter les 100 000 $ de vous, il serait parti avec les 100 000 $, mais vous auriez 100 000 $ de moins. Tandis qu’avec la banque ça se passe autrement : M. Toupin sort avec 100 000 $ qu’il n’avait pas et la banque n’a pas un sous de moins.

— Vous ne me dites pas ?

— C’est pourtant bien vrai. Oh, on a demandé des garanties à M. Toupin. Il lui a fallu déposer des valeurs pour couvrir le prêt. Pas de l’argent, car il n’en avait pas puisqu’il venait en chercher. On lui a demandé des titres de propriété, tels que son commerce et sa résidence ainsi que son véhicule en garantie pour plus que la valeur de 100 000 $. Puis le gérant lui a signé un chèque de 100 000 $, et l’a envoyé au caissier.

« M. Toupin n’était pas pour demander 100 000 $ en argent de papier et emporter cette somme avec lui. Il a donc déposé ce chèque dans son compte et le montant de 100 000 $ a été inscrit à son crédit (comme quand vous, vous déposez vos épargnes). M. Toupin est sorti de la banque avec un crédit sur lequel il tire des chèques pour payer l’entrepreneur, à mesure que les travaux avancent. Mais, par la suite, il s’est engagé à retirer cet argent de la circulation afin de rembourser cet emprunt dans un an.

— Et vous dites que le banquier n’a pas un sou de moins qu’auparavant !

— Pour vous en convaincre, on pourrait en parler avec le gérant. C’est un de mes amis et il est assez franc avec moi. Il sait d’ailleurs que je suis au courant de l’emprunt de M. Toupin et il n’invoquera pas le secret professionnel.

(Conversation entre le banquier et les deux clients) :

— Monsieur le gérant, je viens vous taquiner comme j’en ai l’habitude, sur les affaires de banque.

— Encore des questions de crédit ?

— Justement. C’est pour le prêt de 100 000 $ que vous avez fait à M. Toupin. Voulez-vous dire à mon ami ce que vous avez prêté au juste à M. Toupin ?

— Ce qu’on prête toujours, mon ami, de l’argent !

— Assurément. Mais, dites-nous donc, où était cet argent avant que M. Toupin n’entre dans votre banque ?

— La question est absurde et vous le savez bien !

— Pas du tout ! M. Toupin entre ici sans argent en main et il en ressort avec 100 000 $, donc vous avez pris cet argent quelque part. Ainsi, il y a 100 000 $ de moins quelque part dans les coffres de votre banque ?

— Humm…

— Y a-t-il 100 000 $ de moins dans vos tiroirs ou dans votre voûte ?

— Allons donc, il n’a pas emporté de piastres avec lui. C’est un crédit dans son compte.

— Bon. Alors, d’autres comptes sont débités, diminués pour ce montant de 100 000 $, des comptes de vos clients ?

— Ridicule ! L’argent de nos clients est sacré ! Leurs comptes restent intacts, tant qu’eux-mêmes ne les débitent pas.

— Comment ? Ce n’est pas l’argent des déposants que les banques prêtent ?

— Mais si, mais non… Si, non… Oui d’une certaine manière, non de l’autre. On ne touche pas à leur argent ; cet argent est à eux. Mais ça nous permet de prêter de l’argent à des emprunteurs.

— Alors dites-moi, quel argent prêtez-vous ?

— De l’argent qui vient de la banque.

— Vous venez de me dire qu’il n’est pas sorti un sou de votre banque et pas un sou des déposants non plus. Et M. Toupin a quand même 100 000 $ qu’il n’a pas apporté avec lui et qu’il n’avait pas auparavant. Est-ce exact ?

— Je ne peux pas dire le contraire, c’est exact.

— Alors, ou étaient ces 100 000 $ avant que M. Toupin viennent à la banque ?

— Bien… ils n’étaient nulle part. Il fallait bien qu’il vienne les emprunter pour qu’ils soient là maintenant.

— Ils n’existaient pas auparavant ?

— Non.

— Alors, ils sont venus au monde au moment du prêt. La banque crée l’argent qu’elle prête, à partir de rien !

— Je n’aime pas tellement dire cela…

— Mais vos grands chefs le disent bien. Towers l’a dit quand il était gouverneur de la Banque du Canada. Eccles l’a dit lorsqu’il était à la tête du système bancaire des États-Unis. McKenna l’a dit, il y a déjà 50 ans, quand il était président de la plus grosse banque commerciale d’Angleterre et qu’il parlait à des banquiers lors d’une assemblée. Ne soyez donc pas scrupuleux, la banque crée l’argent qu’elle prête ! Il faut bien d’ailleurs que l’argent commence quelque part, n’est-ce pas ? Tous les gouvernements nous disent que ce ne sont pas eux qui font l’argent, ils se contentent de taxer. Les travailleurs, eux, se contentent de suer et les industriels se contentent de produire. Il ne sort jamais d’argent au bout de leurs machines ; mais il en sort au bout de la plume du banquier !

« On ne vous en veut pas, monsieur le gérant. On est même content que l’argent moderne soit si facile à faire. Mais ce qu’on n’aime pas, et ce n’est pas plus votre faute que la guerre n’est la faute du petit soldat, ce qu’on n’aime pas donc, c’est que le système bancaire se considère le propriétaire de l’argent ainsi créé, alors que cet argent est réellement la propriété de la société.

— Expliquez-moi cela.

— Brièvement, voici : sans l’existence d’une société productrice, avec une vie économique organisée, cet argent ne vaudrait rien. Les richesses du pays, ce sont les ressources naturelles, le travail de la population, les techniques de production, c’est tout cela qui confère de la valeur aux 100 000 $ sortis de votre encrier pour M. Toupin.

— Vous oubliez, mon cher ami, que M. Toupin a déposé des valeurs de tout premier ordre en garantie avant de pouvoir obtenir cet emprunt et c’est de cela que les 100 000 $ tirent leur valeur.

— Non, monsieur le gérant. Ces gages déposés par M. Toupin sont pour vous une garantie de remboursement, sinon vous raflez les valeurs mises en gage. Mais ne confondez pas garanties de l’emprunt avec valeur de l’argent. S’il n’y avait que ces garanties-là dans le pays, s’il n’y avait pas de production, pas de fermes, pas d’usines, pas de transport, pas de magasins, pas de vie économique, les 100 000 $ n’auraient aucune valeur monétaire, malgré toutes les garanties déposées par M. Toupin.

« C’est tout le pays, c’est toute la richesse du pays, c’est toute la population du pays qui donne de la valeur à l’argent, n’importe par quel organisme il est créé. Cet argent, à son origine, appartient donc, en réalité, à la population même du pays. Qu’il soit prêté à M. Toupin pour agrandir son usine, c’est très bien, mais c’est toute la population du pays qui doit en profiter. Au lieu de procurer des intérêts au banquier, le développement du pays doit procurer des dividendes à toute la population.

« Cet accaparement du crédit de la société par les institutions bancaires est la plus grande escroquerie de tous les temps et la plus solidement installée dans tous les pays civilisés. Sa force et son universalité ne la légitiment pas, elle ne font que la rendre plus odieuse.

« Toutes les dettes publiques, municipales, provinciales et nationales ont leur origine dans cette grande escroquerie. La population bâtit le pays et le système endette la population à mesure qu’elle bâtit.

« Les corps publics et les gouvernements font comme M. Toupin, ils empruntent et ils déposent en garantie des obligations, des hypothèques sur nos maisons, des promesses de taxer la population.

« Les gouvernements sont petits à côté des puissances de l’argent ! »

(Fin de la conversation entre les trois hommes.)

***

Le crédit, sous toutes ses formes, a été mis au point par les banques dans le but de mener la population à se soumettre à leur système. Cette forme d’endettement, car c’est exactement ce dont on parle ici, a pour but de produire des flots inimaginables d’argent en intérêt et le « temps » est alors le principal facteur qui fait accroître jour après jour les milliards de dollars qui alimentent ces flots.

À chaque fois que vous utilisez une forme de crédit quelconque, vous renforcez la poigne sur la corde du nœud coulant que vos débiteurs ont placé autour de votre cou, vous faisant miroiter la convoitise dans toutes ses séductions.

Le crédit a été inventé pour enrichir les banques en vous appauvrissant !

Le crédit est un mauvais concept !

Le crédit est dans votre vie une semence de gangrène menant vers l’endettement, la consolidation de dettes, la faillite, l’éclatement de la famille, la perte de l’estime de soi, la dépression, la diminution et même la disparition de la qualité de vie.

Encore et toujours pour le profit des banques !

Lorsque vous empruntez à la banque pour investir dans l’achat d’une maison ou dans l’immobilier, vous devez calculer le prix réel de ce que vous aurez payé, une fois votre hypothèque remboursée !

Vous ne vous êtes pas du tout enrichi !

Les banques, oui !

Le chemin de l’enrichissement se fait en plusieurs étapes.

Il faut premièrement payer ses dettes et éliminer, dans toute la mesure du possible, ses créanciers.

Libérer son actif. Augmenter son pouvoir d’achat.

Bâtir un capital qui sera investi en dehors de la juridiction du Canada, donc exempte d’impôt, qui servira par la suite à continuer à vous libérer financièrement et à élever votre qualité et votre niveau de vie.

Éliminez le crédit de votre vie sous toutes ses formes !

Vous ne serez plus, alors, l’esclave des créditeurs financiers. L’endettement fera dorénavant partie de votre passé et le restera !

Apprenez à vivre avec de nouveaux moyens, de nouveaux outils, des avoirs et non pas des crédits !

Il vous sera très agréable de vivre selon vos moyens lorsque vous aurez décuplé ces moyens.

Si vous persistez à vouloir essayer de vous enrichir en dedans de la juridiction du Canada, alors le seul moyen d’y parvenir est de vous ouvrir une banque.

Sinon, vous devez en sortir !

« Nous vivons dans notre pays une situation où, si un homme signe deux chèques de 100 $, alors qu’il ne possède que 100 $ dans son compte, il sera mis en prison pour félonie.

« Pourtant la même banque dans laquelle cet homme avait déposé ce 100 $ peut, elle, écrire des chèques du même montant, non pas 2 fois… ou 5 fois… pas 10 fois… ou 20 fois… mais bien jusqu’à 70 fois sans être punie !

« Nous pénaliserons un homme qui écrit deux chèques sur le montant d’un seul mais nous glorifierons le banquier qui écrit ses chèques 70 fois et nous l’envoyons au congrès !! »

Lieutenant-colonel Archibald Robert

(The most secret science)

 

« Le système bancaire moderne manufacture son argent à partir de rien ! C’est peut-être le plus grand tour de prestidigitation qui ait jamais été inventé ! »

Major L.B. Angus

(Conseiller financier dans : chute des obligations)

« Le pouvoir d’émettre l’argent devrait être retiré des banques et redonné au gouvernement à qui il appartient. »

Thomas Jefferson

« La jeunesse qui pourra résoudre la question de l’argent, fera plus pour le monde que tous les soldats professionnels de l’histoire. »

Henry Ford Sr.

Maintenant, je crois qu’avec cette conversation entre clients et gérant d’une banque, vous commencez à comprendre la véritable nature de l’argent qui circule ici au Canada. Certains faits ont été répétés de différentes façons afin que vous puissiez bien les comprendre.

Voyons maintenant ce qu’est exactement l’argent.

L’argent est une reconnaissance de dette !

C’est l’argent de tous les comptes bancaires, les vôtres, les miens, ceux des grands financiers ou l’argent qui est dans nos poches. C’est aussi votre reconnaissance de dette, ou la mienne, celle de quelqu’un d’autre, celle de nos gouvernements, ou celle de la Banque du Canada. Tout l’argent qui existe est une reconnaissance de dette, y compris les billets de banque et les espèces sonnantes.

Chaque fois que vous empruntez, la banque crée de l’argent comptable (scriptural). Chaque fois que vous remboursez une dette, la banque détruit de l’argent comptable.

Ceux qui proposent de rembourser la dette du gouvernement fédéral ou celles des gouvernements provinciaux, n’ont pas compris le principe ! Au niveau macroéconomique, rembourser une dette, c’est faire disparaître de l’argent qui servait au commerce des biens et services ; c’est retourner cet argent dormir dans les goussets de ceux qui capitalisent au lieu d’acheter.

Comment se porterait l’économie canadienne si on remboursait les 600 milliards $ que doit le gouvernement fédéral, les 100 milliards $ que doit le gouvernement du Québec, sans compter la somme des dettes accumulées par les autres provinces du Canada ?

En passant, il y a quelques années, Mme Pauline Marois, alors Ministre des finances du Québec, avait annoncé en grande pompe que son nouveau budget lui avait permis de donner la somme de 500 millions de dollars sur le capital du déficit. Fantastique, n’est-ce pas ? À ce rythme, le remboursement complet de la dette du Québec se ferait dans environ… 200 ans !?

Un 500 millions payé sur une dette que l’on ne pourra jamais rembourser au dépend de milliers de pauvres gens embourbés dans les urgences des hôpitaux.

Le problème n’est pas que l’argent proviennent des emprunts des gouvernements ! Mais que le créancier des gouvernements soit la Banque du Canada. Celle-ci, à la solde de l’industrie financière privée, refuse de financer entièrement les dépenses gouvernementales et laisse les créanciers privés multiplier les dettes publiques en intérêts composés sans produire de richesse, avec la permission du gouvernement fédéral ! Nos législateurs sont-ils aveugles ou complices ?

Comment produit-on l’argent ?

En empruntant !

Chaque fois que vous empruntez, la banque (s’entend ici les institutions financières) crée de l’argent comptable. Vous croyez que seule la Banque du Canada crée l’argent canadien ? C’est faux ! Il y en a qui croient encore que l’argent canadien est garanti par une réserve d’or de valeur équivalente. C’est encore faux !

Chaque fois qu’elles accordent un prêt, les banques privées, les Caisses populaires et toutes les institutions de crédit créent de l’argent. Chaque fois que les prêts sont remboursés, elles détruisent de l’argent, mais pas tout l’argent qu’elles ont créé.

Car l’institution financière a ajouté les frais d’intérêts à votre emprunt. Ainsi elle a créé de l’argent comptable (dette-intérêt) qui ne disparaîtra pas nécessairement quand vous rembourserez entièrement votre capital et intérêts. Votre dette de capital disparaîtra, votre dette d’intérêts disparaîtra pour vous, mais ne disparaîtra pas comme hypothèque sur la production collective. Les intérêts que vous aurez remboursés à la banque se retrouveront aux comptes de ses épargnants et de l’avoir de ses actionnaires. Cet argent (dette) ne disparaîtra pas tant que ceux-ci ne le dépenseront pas en achetant des biens et services d’un producteur et que celui-ci se servira de cet argent pour rembourser une dette.

Certains croient encore que le volume de la masse monétaire est basé sur l’or détenu par les banques centrales. Allez-y voir !

D’autres, y compris des économistes, croient que l’argent est créé uniquement sur l’augmentation du produit national ! C’est faux !

Tout emprunt, qu’il soit consenti à un producteur ou à un consommateur crée de l’argent comptable.

Les dettes d’intérêts ajoutés à l’emprunt initial créent aussi de l’argent comptable sans que le produit national n’augmente.

La plupart des gens croient que le terme « argent » englobe la monnaie, les billets de la Banque du Canada. Ces billets de banque sont simplement « de la monnaie ayant cours légal » et ils ne totalisent seulement que 28 milliards de dollars. Cette somme ne représente que 6 % de la masse monétaire canadienne évaluée à 445 milliards de dollars !

À remarquer que la dette seule du gouvernement fédéral canadien est de 600 milliards de dollars, alors que la masse monétaire canadienne est de 445 milliards, ce qui explique que toute dette n’est pas nécessairement de l’argent (outil d’échange) ; que l’argent produit par les dettes canadiennes (tous les emprunts privés et publics) disparaît systématiquement du revenu canadien en frais d’intérêts ; qu’il faudrait liquider toutes les richesses du Canada pour rembourser toutes les dettes privées et publiques des Canadiens.

Le Canada est l’un des trois seuls pays qui ont jugé à propos d’abolir les conditions de réserve pour les banques. Les deux autres pays sont la Grande-Bretagne et la Suisse. Même la Réserve Fédérale des Etats-Unis et la Bundesbank d’Allemagne ne se sont pas permis d’octroyer de telles subventions éhontées à leurs banques.

La liberté et la souveraineté financière ne sont pas des choses pour lesquelles on doit remplir un formulaire et obtenir une permission pour en jouir. C’est quelque chose d’unique qui peut vous appartenir. Ce sont des choses pour lesquelles vous devez prendre position dans votre vie. La tyrannie idéale est celle que les victimes s’infligent inconsciemment à elles-mêmes ! Les meilleurs esclaves sont d’ailleurs ceux qui s’asservissent eux-mêmes béatement et aveuglément.

L’une des plus astucieuses façons pour les prédateurs humains de conquérir leurs victimes les plus vigoureuses consiste à les convaincre inlassablement par de la propagande à l’effet qu’elles sont encore libres ! La plupart des gens croient qu’ils sont libres, alors qu’ils ne le sont pas. La plupart des gens pensent qu’ils vivent dans un pays libre, alors qu’il n’en est rien. La plupart des gens croient que nous vivons dans un système capitaliste de la libre entreprise, mais cela est loin d’être la vérité. Nous devons regarder autour et à l’intérieur de nous pour voir la réalité en face et défaire les fausses notions et les tromperies qui nous ont poussés à croire à quelque chose qui n’existe pas. De nos jours, la mentalité de « fatalité résignée », cet état d’esprit qui nous fait croire que les autres, en incluant l’état, nous doivent tout, est trop répandue dans notre monde. D’une façon ou d’une autre, dans notre dépendance, nous croyons que quelqu’un est supposé prendre soin de nous au lieu que nous prenions soin de nous-mêmes. Tout le monde veut vivre aux dépens de l’état, mais on oublie que l’état vit aux dépens de tous. Tous les gouvernements s’opposent à la liberté. Vos élus remplissent leur fonction pour leur propre bénéfice et non pour le vôtre. Vous est-il déjà arrivé de vous sentir non respecté par un bureaucrate ou un employé gouvernemental ? Vous êtes-vous déjà senti déshonoré, comme si vous n’étiez qu’une ressource pour le gouvernement ?

Vous savez que ce que je vous dis est vrai.

Cependant, ne croyez pas à mes paroles, ni à celles de personne. Vous devez penser et agir par vous-mêmes.

Pour maintenant, ne vous en faite pas… le meilleur, ou le pire, reste à venir !

Lorsque vous vous mettez à étudier, à scruter, à chercher et à fouiller les dessous de ce que les gouvernements veulent nous laisser voir, vous découvrez très rapidement que le panier est rempli de crabes, que le dessous des roches est bourré d’anguilles et que les ruelles sombres grouillent de rats bien engraissés !

Entre autres :

—    Que le gouvernement fédéral des États-Unis a fait faillite à plusieurs reprises depuis 1933, un fait qu’il a systématiquement caché aux Américains.

—    Que le Canada ne s’appartient plus, que nos parcs nationaux, les forêts, la propriété privée, les véhicules à moteur, les extraits de naissance, ainsi que les actifs des associations à but non lucratif et des sociétés à but lucratif ont été engagés comme nantissement de la dette fédérale.

« La croissance de la nation et toutes nos activités sont dans les mains de quelques hommes. »

Woodrow Wilson

(président des États-Unis, 1912-1920)