La Grande Réinitialisation SPIRITUELLE

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Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

6 mai 2021

Il est pratiquement impossible de comprendre pleinement – encore moins d’articuler – la dévastation que le narratif falsifié du Covid a provoqué. La dévastation mondiale causée par le battage médiatique et l’hystérie du narratif Covid a été bien plus dangereuse et mortelle que le virus lui-même.

Plusieurs avocats réputés tentent de tenir Anthony (Heil Hitler) Fauci et ses semblables criminellement responsables d’avoir commis des crimes contre l’humanité par le moyen du narratif falsifié du Covid. Nous devrions tous prier pour que ces avocats réussissent, parce que ce sont exactement les crimes que Fauci et Compagnie (y compris Donald Trump et Joe Biden) ont commis.

Dans des articles précédents, j’ai abordé les calamités spirituelles causées par Fauci, dont la capitulation des églises face à l’esprit de peur en remplaçant l’institution divine de l’Église de Christ par une créature recroquevillée de César. J’ai discuté de l’impact préjudiciable du faux narratif du Covid sur l’économie américaine. J’ai parlé de la fermeture des entreprises et de la gigantesque perte d’emplois due au narratif falsifié du Covid. J’ai abordé l’écroulement du système de santé américain à cause du narratif faussé du Covid. Ad infinitum.

Mais il y a une autre conséquence désastreuse du narratif falsifié du Covid dont peu de gens parlent : La destruction de l’éthique de travail de l’Amérique.

Voici le rapport :

« Un des symptômes de la pandémie du Covid-19, qui a licencié des millions de “travailleurs non essentiels”, c’est de constater jusqu’à quel point le peuple américain est devenu dépendant des dépenses publiques – à tel point que 34 % des revenus proviennent de l’Oncle Sam.

« Si le sociologue allemand, Max Weber, remarqué pour son riche ouvrage de 1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, est exact dans ses assomptions que le travail individuel sert un but moral et spirituel, alors les États-Unis sont devenus un véritable nid d’iniquité. En effet, la croyance que la bienveillance du gouvernement va sortir l’Amérique de tous les fléaux – viraux, économiques et autres – porte tous les signes d’une secte dangereuse.

« Parmi toutes les énormes dépenses stimulantes du gouvernement pour compenser les ravages du Covid-19, un bondissant 34 % du revenu américain vient maintenant, non pas de la sueur de notre front, mais du gouffre sans fond des poches de l’Oncle Sam. Selon les dernières données de Revenus et Dépenses Personnels, qui fournit des statistiques sur les revenus subventionnés par le gouvernement tels que les chèques stimulants, les bénéfices de chômage, la sécurité sociale, etc., les subventions ont explosé pour atteindre un astronomique montant annualisé de 8,1 trillions $. C’est le double des 4,1 trillions $ de subventions calculées à partir de février, et cela a permis à l’administration de Joe Biden de se vanter d’une “vague record de revenus et de dépenses personnels”.

« Comme si cette mine d’or n’était pas assez gonflée, l’administration Biden planifie de passer par-dessus le Congrès et d’établir une croissance à long terme de l’aide alimentaire pour des dizaines de millions d’Américains.

« “Une révision du prétendu Plan Économe Alimentaire, commandé par Biden deux jours après sa mise en poste, pourrait déclencher un accroissement automatique des bénéfices dès le 1er octobre, un jour après l’expiration d’une hausse de 15 % des paiements de bons de nourriture que Biden a inclus dans son contrat global contre la Covid de 1,9 trillions $,” a rapporté Bloomberg.

« Citant James Ziliak, directeur du Centre de Recherche sur la Pauvreté à l’Université du Kentucky, Bloomberg a écrit que l’accroissement se chiffrerait “en gros à un ajout de 136 $ par mois au bénéfice maximum pour une famille de quatre, qui était de 680 $ avant l’accroissement temporaire relié à la pandémie.”

« À ce point-ci, il est aussi tentant de se demander pourquoi le gouvernement américain a opté pour promulguer une politique de la terre brûlée sans précédent en ce qui a trait à ses travailleurs et à l’économie qui sont confrontés au Covid-19. Après tout, pour la plupart des gens en santé âgés de moins de 60 ans, le taux de survie au coronavirus est d’environ 99 %. Selon une recherche de Hal Jenson, doyen de l’Université Michigan Ouest au Collège de médecine Homer Stryker M.D., les étapes sans précédent promulguées par le gouvernement américain pour compenser le Covid-19 “ont affecté défavorablement et de manière significative les hôpitaux plutôt que de les avoir soutenus, et l’impact global fut ‘d’aplatir l’économie’ au lieu de simplement ‘aplatir la courbe’.”

« Pourquoi des millions de travailleurs américains, inexplicablement étiquetés de façon cruelle de “non essentiels”, sont-ils forcés au désespoir économique au même moment où les grosses boîtes d’entreprises “essentielles” comme Wal-Mart et Amazon se sont rebiffées contre la tendance au confinement en récoltant ainsi une manne aux proportions épiques au profit de leurs propriétaires milliardaires ? Si quelque chose vient en contradiction avec “l’éthique de travail protestante”, c’est bien cela. Dans toute l’histoire, jamais un virus n’a mis à genou l’économie américaine, donc, il est bien difficile d’expliquer pourquoi le Covid-19 y est si bien parvenu.

« Peut-être une question plus pertinente serait toutefois : qu’arrive-t-il quand Oncle Sam éteint les lumières sur l’orgie monétaire et ordonne-t-il à tout le monde de se rhabiller et de retourner chez eux ? Découvrirons-nous que le programme massif d’intervention gouvernementale a éteint le fameux esprit capitaliste de l’Amérique qui a fourni l’étincelle d’ingéniosité entrepreneuriale aux hommes industrieux comme Henry Ford, les frères Wright et Thomas Edison ? Puisque les États-Unis sont au centre d’une massive expérience sociale et économique qui n’a jamais été entreprise auparavant, il est juste de poser la question.

« En inondant le peuple américain d’un flot ininterrompu d’argent gratuit, on l’entraîne dans une forme savante d’impuissance et de dépendance. »

Les virus grippaux du passé ont-ils fermé les églises du pays ? Ont-ils fermé 20 % des établissements alimentaires du pays ? Ont-ils fermé les écoles et les collèges du pays ? Ont-ils détruit des centaines de milliers d’entreprises privées et des millions d’emplois ? Ont-ils transformé l’industrie médicale en une tyrannie médicale dictatoriale ? Ont-ils fait un pharaon pharmaceutique d’un bureaucrate gouvernemental de 80 ans qui n’a pas travaillé en tant que médecin pratiquant depuis son stage à l’école de médecine ? Ont-ils transformé « la terre de l’homme libre et le foyer du brave » en un pays de couards et de marchands de la peur qui craignent de s’approcher de leurs prochains, de respirer le même air que leurs voisins ou même de regarder leurs voisins dans les yeux ? Et ont-ils complètement détruit l’éthique de travail du pays ?

Vous connaissez la réponse.

Une des raisons pour lesquelles vous ne pouvez trouver de munitions sur les étagères des magasins de sport dans tout le pays, c’est le manque de travailleurs compétents et compréhensifs.

Tous ceux qui pensent encore que le narratif du Covid n’est strictement qu’une question de santé sont vraiment dépourvus de la capacité de raisonner. (Et je suis gentil.)

Nous avons à faire face ici à une tentative forcée et concertée des totalitaristes du gouvernement, du grand courant médiatique, de l’industrie pharmaceutique et du Big Tech pour s’emparer du monde – et détruire la liberté dans le processus. Et les États-Unis sont le pivot du plan d’ensemble.

Dans toute l’Amérique, les entreprises coupent les heures de travail ou ferment pour de bon parce qu’elles ne peuvent trouver assez de main d’œuvre voulant faire le travail. Comme l’a déclaré le rapport précédent : « Le peuple américain… est entraîné dans une forme savante d’impuissance et de dépendance ».

Les personnes libres peuvent résister à tous les assauts, pourvu qu’elles aient la foi, la ténacité et la volonté de TRAVAILLER ENSEMBLE.

Et n’oubliez jamais (comme en fait allusion le rapport ci-dessus) que la volonté de travailler est en soi un élément spirituel significatif. Le travail est à la fois un don et une responsabilité qui nous sont donnés par notre Créateur. Dieu dit à Adam : « Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage, jusqu’à ce que tu retournes en la terre » (Genèse 3:19). L’apôtre Paul a dit : « Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange point aussi » (2 Thessaloniciens 3:10).

Or, les attitudes socialistes n’ont pas corrompu que la société, mais également l’Église. Regardez la condition de nos églises. Que voyez-vous ? Des congrégations paresseuses, égocentriques, renfermées sur elles-mêmes, charnelles et suffisantes. […]

La volonté du peuple, y compris le peuple chrétien, de rester à la maison et de vivre des allocations gouvernementales et de choisir de ne pas aller travailler – de choisir de ne pas être un fier membre de la société travaillant et productif – constitue un échec spirituel. Non, c’est plus que ça ; c’est un effondrement spirituel. Et cet écroulement spirituel est le résultat des chaires qui capitulent sous la peur.

Je le répète, à leur racine, les problèmes fondamentaux de l’Amérique sont des problèmes spirituels, pas des problèmes politiques, ce qui veut donc dire que les solutions à ces problèmes sont spirituelles, pas politiques.

Je suis convaincu que ce que nous voyons n’est pas une « grande réinitialisation » qu’essaient d’orchestrer les totalitaires se tapissant derrière le narratif falsifié du Covid, mais une « grande réinitialisation spirituelle » que Dieu Tout-puissant est en train d’accomplir.

Dans l’ensemble, l’église évangélique d’Amérique est aussi récidiviste et rétive que l’Israël de l’Ancien Testament.

Des organisations superficielles ont remplacé l’ordre spirituel ; l’attitude moralisatrice a remplacé la sanctification ; l’évangile de la prospérité a remplacé l’Évangile de saint Paul ; la couardise a remplacé le courage ; les bâtiments ont remplacé les batailles ; les programmes ont remplacé la pénitence ; les performances ont remplacé la prédication ; des fables ont remplacé la vérité ; la faiblesse a remplacé le travail ; le droit a remplacé l’éthique ; l’égoïsme a remplacé l’adoration envers notre Sauveur ; et l’amour pour le gouvernement a remplacé l’amour pour Dieu.

Le revivaliste du dix-neuvième siècle, Charles G. Finney, a dit ceci :

« S’il y a une décadence de la conscience, la chaire en est responsable. Si la presse publique manque de discernement moral, la chaire en est responsable. Si l’église est dégénérée et mondaine, la chaire en est responsable. Si le monde perd son intérêt pour la religion, la chaire en est responsable. Si Satan règne dans nos salles de législature, la chaire en est responsable. Si notre politique devient si corrompue que les fondements mêmes de notre gouvernement sont en train de se dissiper, la chaire en est responsable. »

Amen !

Comme résultat de cet effondrement massif de la prédication véridique et courageuse dans l’église institutionnalisé et organisée, Dieu permet que le fruit de la couardise croisse au sein de toute la société.

Le plan de Dieu : une « grande réinitialisation SPIRITUELLE ».

L’église institutionnelle est mise de côté. En majeure partie, elle est impotente et de peu d’importance – « non essentielle », je crois que c’est ce que pense l’église.

Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis – y compris deux siècles avant que le pays naisse – moins de la moitié de la population de la nation se déclare membre d’une église organisée ou même assiste à une réunion d’église organisée.

Nous sommes témoins de la mort de l’église institutionnalisée. Cela se fait attendre depuis longtemps.

Plus les chrétiens vont se tourner vers les organisations gouvernementales (les « églises » corporatives d’Amérique), plus il faudra de temps à Dieu pour amener la restauration spirituelle à notre patrie.

Les chaires et les églises de l’Amérique coloniale – les églises et les chaires qui conduisirent les colonies à un puissant réveil de la foi et de la liberté – étaient des chaires et des églises qui ne s’encombraient pas, ni ne se laissaient entraver par les chaînes de la dictée gouvernementale.

Avant que Dieu n’élève à nouveau cette voix courageuse et indépendante, Il doit enterrer les cadavres pourrissants des squelettes esclaves et silencieux de ces organisations gouvernementales anciennement connues sous le nom d’églises.

Oui, la conspiration du Covid a écrasé l’éthique de travail de notre pays. Mais ceci – comme tout ce qui est associé au faux narratif Covid – n’aurait pu survenir si les chaires de notre pays n’avaient pas abandonné la prédication intrépide et sans compromis de la Sainte Parole de Dieu.

Mais ne vous évanouissez pas, mes chers amis chrétiens : La grande réinitialisation spirituelle est commencée.

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