Les élitistes transforment l’Amérique en Tour de Babel

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Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

1er septembre 2022

Il ne s’agit pas d’une hyperbole que de dire que les élitistes qui se trouvent derrière les tyrannies du Covid et de la Guerre sont en train de transformer l’Amérique en une Tour de Babel des temps modernes.

Quand je parle de l’Amérique, je ne parle pas du grand peuple américain aimant la Liberté et craignant Dieu et qui couvre ce territoire, je parle de la vaste majorité des leaders gouvernementaux de l’Amérique – particulièrement à Washington, D.C.

Ces bêtes, ressemblant aux bêtes voraces de l’Apocalypse, sont ivres de richesse et de pouvoir. Dans leur cœur, leur grande ambition est de transformer les États-Unis en système féodal géant où ils sont les propriétaires et les dirigeants et nous ne sommes que leurs serfs et leurs esclaves.

Au cours des quelques derniers mois, j’ai vu une croissance significative du nombre d’écrivains constitutionalistes/libertistes (chrétiens ou non) commençant à nous mettre en garde contre un écroulement imminent vers une période équivalente au Moyen-âge de l’histoire. Je ne sais pas si ces individus lisent ma chronique et écoutent mes messages, ou pas, mais il y a des années que je donne le même avertissement – même avant la tyrannie Covid.

Lorsque surviennent les écroulements nationaux, la chute arrive toujours à la vitesse de la lumière – l’ancienne Égypte, l’empire médo-perse, l’empire gréco-macédonien, l’Assyrie, Babylone, Israël et Juda, Rome (l’Occident et l’Orient), les Ottomans, l’Union soviétique, etc. Sans aucun doute, les germes de la chute de ces empires prirent du temps à pousser, mais quand vint la fin, elle arriva du jour au lendemain.

Les germes de l’écroulement de l’Amérique ont pris du temps à surgir. Je mettrais le coup de départ de notre fin autour de l’administration présidentielle d’Abraham Lincoln (1861-1865) pour pointer ensuite le Président Woodrow Wilson (1913-1921) qui accéléra la guerre de Lincoln contre le constitutionalisme américain. Mais la chute commença sérieusement à la suite de la Deuxième Guerre Mondiale avec l’administration présidentielle d’Harry Truman (1945-1953).

Truman fut le premier Président sioniste d’Amérique, puis tous les autres Présidents ont suivi – républicains et démocrates – en portant le flambeau de la tricherie sioniste. Mais c’est G. W. Bush qui a présenté à l’Amérique l’État de Surveillance policière. Et tous les Présidents depuis Bush on étendu ce cauchemar orwellien. La dernière extension des pouvoirs policiers fédéraux, c’est l’introduction de Biden d’une « armée permanente » de facto d’agents armés de l’IRS.

Mais chaque président ne construit que sur les blocs cimentés à leur place par l’administration le précédant. L’armée IRS de Biden est érigée sur le précédent de Trump de la confiscation Red Flag des armes à feu. Les dictats Covid de Biden furent autorisés sous la signature et le sceau de Donald J. Trump. Et tous les présidents depuis G. W. Bush sont coupables de tueries de masse et ont commis des crimes internationaux contre l’humanité. Et quant aux tueries de masse, Trump a coupé Biden, Obama et Bush par son atout.

Le déclin de l’Amérique s’est accentué depuis l’aube du 20e siècle et s’accélère de façon exponentielle depuis l’aube du 21e siècle. Mais la tyrannie Covid et la guerre subséquente en Ukraine sont probablement le double punch final qui couchera l’Amérique au tapis pour le compte.

Nous savons tous que si Biden devait être réélu et si les Démocrates maintenaient leur contrôle sur la Chambre et le Sénat, l’écroulement de l’Amérique serait inévitable – et imminent.

Trump est un cheval de Troie et l’a toujours été.

Le raid du FBI à Mar-a-lago pourrait bien être une attaque politique à la Gestapo contre Trump. Si tel est le cas, les Républicains n’ont qu’eux à blâmer. Tout le monde au GOP connaissait le caractère tyrannique de Merrick Garland, et après avoir stoppé son assignation à la Cour Suprême américaine, vingt Républicains du Sénat américain votèrent pour approuver l’assignation de Garland en tant que Procureur général des États-Unis – position qui est beaucoup plus dangereuse contre la Liberté que celle de juge au tribunal.

D’un autre côté, le nombre d’approbations en faveur de Trump a explosé. Si tout cela n’est que de la poudre aux yeux, et qu’aucune accusation n’est portée, il n’y aura personne au sein du GOP qui pourra défier Trump en vue de la candidature de 2024. Si Trump survit au raid, il sera assurément le candidat républicain en 2024 – et les Futuristes prophétiques vont associer Trump à toutes sortes de prophéties farfelues et bizarres.

Mais revenons à la question : Si Trump devait reprendre la présidence, il continuerait à vendre les libertés de l’Amérique comme il l’a fait dans son premier mandat quand il prenait fait et cause pour les lois de confiscation d’armes Red Flag et les vaccinations Covid – ce qu’il fait encore aujourd’hui – et les supporteurs de Trump continueraient toujours à regarder ailleurs, comme ils l’ont fait dans son premier terme.

Si Trump est éliminé de la compétition pour quelque raison que ce soit, Ron DeSantis de la Floride émergera probablement comme le candidat le plus fort à la Maison Blanche. Son principal atout est sa forte position anti obligations Covid. Et ce n’est pas une mince affaire.

Mais DeSantis n’a rien fait pour abroger, ou du moins refuser de mettre en vigueur la loi Red Flag de confiscation d’armes de l’État de la Floride, ce qui est extrêmement troublant. Et il est un autre vendu au sionisme qui a signé une loi draconienne anti-Premier Amendement interdisant la critique contre Israël dans les écoles et les collèges de la Floride.

Donc, DeSantis est un mélange d’un peu de tout.

Mais même si DeSantis devait remporter la candidature présidentielle d’une façon ou d’une autre et que le GOP prenait le contrôle des deux Chambres du Congrès (chose incertaine), l’écroulement de l’Amérique n’en serait pas stoppé. Le rythme serait ralenti, mais c’est un rythme puissant.

La tyrannie Covid et la tyrannie de la Guerre ont déjà fait le pire. L’hyperinflation et la récession économique de l’Amérique vont empirer en 2023, peu importe qui va gagner en novembre. L’Europe occidentale va sans doute vivre des coupures électriques, des rationnements alimentaires et de sérieux manques d’eau courante et de chauffage durant l’hiver, comme à la Deuxième Guerre Mondiale. Les gouvernements d’Europe occidentale pourraient basculer les uns après les autres.

Les États-Unis vont s’en tirer un peu mieux – mais pas beaucoup.

Notre économie va continuer à s’atrophier ; le marché du travail ne rebondira pas et pourrait même aller plus mal ; l’inflation va empirer, comme les pénuries ; il va y avoir une escalade de la criminalité et le gouvernement va utiliser tous ces éléments comme excuse pour devenir un monstre encore plus gros que ce qu’il est déjà maintenant.

Jusqu’à un certain point, une séparation au sein des États-Unis semble inévitable.

Beaucoup d’Américains friands de liberté prêchent la sécession depuis des décennies, mais je ne suis pas sûr que ce soit une option pour le moment présent. Le Texas est le seul État où existe pour l’instant un mouvement sécessionniste vraiment sérieux – et ce mouvement est loin d’être assez gros pour avoir une action déterminante sur les leaders de l’État pour qu’ils l’essaient. Et aucun autre État ne discute du sujet.

Mais cela ne veut pas dire que la séparation n’aura pas lieu. Je suis plus convaincu que jamais qu’elle AURA LIEU, et qu’il n’y a RIEN pour arrêter cela, parce que cette séparation sera naturelle, pas politique.

Les gouvernements ne peuvent exercer l’autorité qu’aussi longtemps que le Peuple y consent. Lorsque le Peuple (je veux dire, le Corps Politique) refuse de consentir, les gouvernements sont sans pouvoir. La force brute au niveau local est au mieux précaire. Rappelez-vous qu’en temps de bouleversement, l’on découvre que beaucoup d’agents de mise en application de la loi du gouvernement (militaires et civils) ont aussi le cœur friand de liberté et ne suivront pas longtemps un leadership inconstitutionnel et illégitime.

L’Amérique montre tous les signes de décadence des grands empires déchus de l’histoire. L’Amérique ne fera pas exception aux Lois de Dieu et de la nature. Les lois naturelles de décence générale, de noyaux familiaux forts, d’engagement national à la foi chrétienne, d’engagement envers les valeurs sociales communes, de respect pour l’héritage commun et d’engagement envers une langue commune essentielle à la survie d’une nation indépendante, TOUT CELA est démodé dans notre pays.

Il n’y a littéralement RIEN qui maintienne l’Amérique ensemble, aujourd’hui ; et les fondations et les murs sont déjà en train de s’écrouler. La Russie et la Chine ne sont pas aveugles ; ils voient l’Amérique qui se meurt. Ils savent que le temps ne joue PAS en faveur des États-Unis.

Etant une personne avec une perspective scripturaire et spirituelle, je crois que, comme pour toute nation, le sort de l’Amérique – quel qu’il soit – est entre les mains de Dieu. Ce qui veut dire que, finalement, ce sera pour son bien.

La souveraineté divine peut avoir permis aux forces du mal de faire tomber les puissances terrestres (parce que ces puissances terrestres ont pris position contre Dieu et Ses lois naturelles et révélées), mais Dieu rira toujours le dernier.

Comme l’a dit Joseph à ses frères qui le trahirent et le vendirent comme esclave à l’Égypte :

« Ce que vous aviez pensé en mal contre moi, Dieu l’a pensé en bien, pour faire selon ce que ce jour-ci le montre, afin de faire vivre un grand peuple » (Genèse 50:20).

Les élitistes en mal de pouvoir qui orchestrent les bouleversements de l’Amérique (nous connaissons tous leurs noms) ne l’emporteront PAS sur Dieu Tout-puissant. Quel que soit le mal qu’ils aient planifié pour l’Amérique, et quel que soit le mal qu’il leur sera permis d’infliger à l’Amérique, Dieu va l’utiliser pour le BIEN – et Il va éventuellement mettre ces antichrists et leur Tour de Babel en poussière.

Et viendront ensuite des jours meilleurs.

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