Plus de tueries dans les zones sans fusils et plus de réaction inepte policière
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
2 juin 2022
Nous y voilà encore : un autre imbécile rendu fou (ou programmé ?) déambule dans une zone sans fusil, avec un fusil, et prend la vie de 19 écoliers et 2 enseignants. Et malgré une vingtaine de policiers postés autour et en dehors de la scène de crime – pendant qu’avait lieu la tuerie – ils ne se donnèrent pas la peine de stopper le méchant garçon avant une bonne heure.
Non seulement les policiers n’ont-ils pas essayé de prendre le tireur, mais ils ont arrêté, menotté et électrocuté au taseur les parents frénétiques qui essayaient de secourir leurs enfants.
Les officiers chargés de faire appliquer la loi à Uvalde, au Texas, ont refusé jeudi de commenter pourquoi les agents de police ne sont pas entrés dans l’école élémentaire, pendant une heure, pour tuer un tireur en série. Les parents accusent et la police locale et la police fédérale pour n’avoir « rien fait » dans le but de mettre fin au carnage, et d’avoir menotté ces parents qui essayaient eux-mêmes d’intervenir.
Gomez dit que dans les 40 minutes qu’il lui a fallu pour être au courant de la fusillade et se rendre en voiture à l’école, les officiers de police n’étaient pas entrés. Quand elle souleva ses inquiétudes aux marshals fédéraux, elle dit avoir été arrêtée et menottée pour être intervenue dans une enquête en cours. Après que la police locale eut convaincu les marshals de la laisser aller, Gomez dit qu’elle sauta la clôture de l’école et courut secourir ses deux enfants à l’intérieur.
Des vidéos partagées sur les médias sociaux montrent encore plus de parents qui, comme Gomez, plaidaient auprès des officiers de police pour qu’ils entrent dans l’école et sauvent leurs enfants.
Comme nous en avons rendu compte jeudi, de multiples rapports et des vidéos ont surgi au sujet de la réaction des forces de l’ordre, ou plutôt leur manque de réaction, concernant la fusillade de masse à l’école élémentaire Robb. Au lieu de se précipiter pour arrêter le tireur d’assassiner des écoliers à l’intérieur, les officiers de police ont érigé une barricade et un périmètre pour empêcher les parents d’essayer de sauver leurs propres enfants.
Pendant ce temps-là, le tueur a eu plus d’une heure pour en finir avec 19 écoliers et 2 enseignants qu’il a massacré dans l’enceinte.
Or, au fur et à mesure que les détails émergent, la réaction policière face à la situation semble encore plus dégoûtante. Selon les informations les plus récentes, le tireur a pu faire feu tout autour de l’école, à l’extérieur, pendant 12 minutes, sans obstruction et sans opposition de la part des forces de l’ordre, avant d’entrer dans l’école et de tuer les enfants.
D’après le déroulement du temps publié jeudi soir, le tireur a accidenté sa voiture à 11h28 et a commencé à tirer sur les gens de la foule à l’extérieur de l’école. À 11h40, il est entré sans obstacle à l’intérieur de l’école où il s’est mis à tuer des gens. La police n’est arrivée sur les lieux que 4 minutes après que le tireur eut pénétré dans l’école.
Lors de l’heure et cinq minutes suivantes, le tireur est demeuré à l’intérieur de l’école, sans être défié par les forces de l’ordre pendant que celles-ci attendaient à l’extérieur qu’une unité tactique de la Patrouille Frontalière se montre et le fasse sortir.
Pendant que la police cherchait gauchement à l’extérieur comment réagir, une foule de parents en colère exigea qu’on les laisse entrer afin de sauver leurs enfants. Comme le ferait tout parent, un grand nombre d’entre eux tentèrent de forcer le cordon policier pour entrer dans l’école, mais ils furent saisis à bras-le-corps, vaporisés de gaz poivré et même menottés.
Alors que des flics lourdement armés d’AR-15 et portant des gilets pare-balles se tournaient les pouces pendant qu’un tireur de masse assassinait des enfants à l’intérieur de l’école, Gomez – sans gilet pare-balle et sans aucune arme – sauta la clôture et se rua dans l’école.
Rassemblant plus de courage que n’importe quel des officiers de police devant l’école, Gomez parcourut les couloirs de l’École Élémentaire Robb, qui abritait un tireur, avant de trouver ses enfants et de les amener en vitesse en sécurité.
Non seulement les policiers n’ont-ils rien fait pour sauver la vie des victimes, mais ils ont refusé de laisser d’autres agences policières – particulièrement la Patrouille Frontalière – aller au secours des enfants.
Non seulement la police locale a-t-elle été lente à confronter le tireur qui a tué 19 enfants et deux adultes lors du massacre de jeudi dans une école du Texas, mais ils auraient également refusé de permettre à des agents fédéraux de confronter le bandit armé pendant près d’une heure après qu’ils soient arrivés sur les lieux.
Des agents spécialement équipés de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis, qui arrivèrent à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, entre 12h00 et 12h10, se virent interdire par la police locale d’ouvrir une brèche dans les salles de classe adjoignant celle dans laquelle le tireur s’était enfermé, jusqu’à environ 13h00, a rapporté le New York Times vendredi en citant des officiers fédéraux non identifiés.
« On nous a dit d’attendre, » a dit un officier de la Patrouille Frontalière, vendredi à Yahoo News. « On nous a dit d’attendre et d’attendre, et l’équipe voulait s’en aller. Mais vous devez comprendre, la Patrouille Frontalière n’est pas l’agence dirigeante, donc elle devait attendre, et maintenant voyez ce qui est arrivé. »
Un agent de la Patrouille Frontalière qui s’était rendu en vitesse à l’école pour secourir sa femme et sa fille (et d’autres) n’était même pas initialement sur les lieux. Il se faisait faire une coupe de cheveux chez un barbier quand sa femme – qui était à l’intérieur de l’école avec sa fille – lui envoya un texto.
Un agent de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis qui n’était pas en service se rua courageusement dans l’École Élémentaire Robb avec le fusil de chasse de son barbier et vint à la rescousse d’une douzaine d’enfants et sa fille après que sa femme l’eut texté pour lui dire qu’il y avait un tireur actif.
Jacob Albarado venait tout juste de s’assoir pour une coupe de cheveux quand il reçut le message horrifiant de sa femme, Trisha, enseignante de quatrième année à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, dit-il au New York Times.
« Il y a un tireur actif, » écrivit-elle. « Au secours, » texta-t-elle avant d’envoyer un effrayant « Je t’aime ».
Il bondit immédiatement de son siège, attrapa le fusil du barbier et partit en vitesse vers l’école.
Sa fille, écolière de deuxième année, était enfermée à l’intérieur d’une salle de bain pendant que sa femme se cachait sous les pupitres avec ses étudiants, rapporta le Times.
Il dit être entré par l’aile de l’école où il savait que se situait sa fille et, pendant qu’il la cherchait, il commença à « explorer toutes les classes de l’aile de sa fille. » dit-il au Times.
« Je suis tellement en colère, attristé et reconnaissant en même temps, Seul le temps va guérir leur douleur et, je l’espère, des changements seront apportés à toutes les écoles aux États-Unis, et les enseignants seront formés et on leur permettra d’amener l’ordre pour se protéger ainsi que leurs étudiants, » écrit-il.
Finalement, après que ce soit passé une heure et vingt minutes, une équipe tactique de la police fit sortir le tireur.
Il s’est passé en tout 80 minutes entre le moment où les policiers furent appelés à l’école, à 11h30, et le moment où l’équipe tactique est entrée dans les classes verrouillées et ont tué le tireur, à 12h50, a dit McCraw. L’équipe tactique a pu entrer en utilisant les clés du concierge, a-t-il ajouté.
En fin de compte, à 12h50, l’équipe tactique entra dans la salle de cours, tira et tua le suspect.
L’agent Albarado a donné à l’Amérique la solution à ces fusillades de série : permettre aux enseignants et aux employés d’école de porter leurs propres armes à feu de défense. Laissez un ou deux tueurs de masse se faire tirer par un employé d’école avant qu’il ne puisse exécuter ses intentions meurtrières et vous verrez ces fusillades prendre fin rapidement.
Mais ne comptez pas sur les législateurs pour faire quelque chose d’aussi raisonnable. Déjà, les républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et les démocrates Chuck Schumer et Richard Blumenthal tordent des bras au Congrès pour faire passer des lois Red Flag tyranniques.
Mais, comme c’est le cas dans chacune de ces fusillades de masse, il y a tellement de questions sans réponses que cela laisse sous-entendre qu’il y a ici à l’œuvre quelque chose de plus qu’un tireur dément solitaire.
Des questions comme : où un décrocheur scolaire sans emploi a-t-il pu obtenir de 4 000 $ à 6 000 $ afin d’acheter deux Daniel Defense AR-15 qui sont parmi les fusils AR les plus dispendieux sur le marché, et 1 500 cartouches ?
Une autre question : les officiers de police qui se tenaient dans les alentours et qui ne faisaient rien, sauf arrêter et menotter des parents affolés et en panique, ont participé à deux exercices de tireur actif juste deux mois auparavant. Donc, que leur a-t-on enseigné ? Leur a-t-on montré à se tenir debout tout autour et à ne rien faire pendant que 19 enfants et 2 enseignants se font massacrer dans le bâtiment scolaire ?
En voici une autre : Comment se fait-il que les officiers de police doivent utiliser une CLÉ pour déverrouiller une porte d’école afin d’entrer (après avoir attendu UNE HEURE) ? Il n’y a pas de porte que les flics ne peuvent pas briser quand ils le veulent réellement – et je veux dire DANS L’URGENCE !
Bien sûr, la plus grosse question est : qui a donné l’ordre du retrait ? Non, je ne veux pas dire le commandant de la police sur les lieux. Je veux dire, qui a vraiment donné l’ordre du retrait ?
Je croirai toujours qu’il se trouve quelques forces gouvernementales derrière chacune de ces fusillades de masse. Appelez-moi comme vous voulez. Il y a tout simplement trop de circonstances illogiques, inconscientes et presque impossibles entourant chacune de ces fusillades de masses pour penser autrement.
Les satanistes globalistes de l’État Profond des cavernes infestées de chauves-souris, pleines de sangsues et de cafards grouillants de Washington, D.C., ne cesseront pas tant qu’ils n’auront pas manipulé avec succès les politiciens sans colonne, conduits par leur ego et qui aiment l’argent pour les amener à tenter de désarmer complètement le peuple américain.
Notre cœur et nos prières vont aux familles de ces innocentes victimes.
La partie la plus tragique de toute cette affaire, c’est que les véritables vilains derrière ces fusillades de masse sont les politiciens et les juges qui ont rendu illégale que les honnêtes citoyens se défendent.
N’oubliez jamais cela !
De plus, la prochaine fois que l’on vous dira que des policiers vont venir vous protéger quand votre vie va être menacée par une personne folle, souvenez-vous seulement de cette vingtaine de flics stationnés tout autour à l’extérieur pendant qu’une seule personne folle tuait 21 personnes à l’intérieur.