D.575 – La fête de Noël : chrétienne ou païenne ?

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Par Roch Richer

La majorité des églises faisant partie de la chrétienté observent la fête de Noël. Mais cela ne s’arrête pas là. Dans beaucoup d’autres religions, on fête également Noël, ou une fête équivalente, lors du 25 décembre ou autour de cette date. De plus, un grand nombre de gens se disant athées l’observent aussi tout en y excluant l’esprit religieux. Si l’on pose la question à savoir qu’elle est l’origine de Noël, la vaste majorité répondra qu’il s’agit de la commémoration de la naissance du Christ et que c’est une tradition qui fait partie intégrante de la chrétienté.

Mais ce faisant, les églises doivent s’expliquer sur un problème de taille. Car vous aurez beau scruter le Nouveau Testament de long en large, vous ne trouverez aucune mention d’une commémoration annuelle de la nativité de Jésus. Les Évangiles sont muets là-dessus, Jésus n’ayant donné aucun commandement en ce sens, et les apôtres n’en parlent d’aucune façon, soit dans les Actes, soit dans les épîtres.

Pendant les trois premiers siècles de son existence, l’Église chrétienne ne s’est pas occupée de célébrer l’anniversaire de la naissance de Jésus-Christ dont elle ignorait même la date. La première mention d’une célébration « chrétienne » un 25 décembre date de l’an 336 apr. J.-C., à Rome. Le christianisme devient ainsi à son tour un des cultes et religions de l’Empire romain célébrant une festivité pendant cette période de l’année. Pourquoi voulut-on soudainement fêter l’anniversaire de la naissance de Jésus alors qu’on en ignorait la date ? Et pourquoi le 25 décembre fut-il choisi ? N’aurait-on pas dû plutôt éviter cette date que l’on savait au centre d’une période de festivités répandues dans toutes les contrées que l’on voulait toucher par l’Évangile ? Ou bien, au contraire, n’était-ce pas exactement le but visé ?

Il est relativement connu que Noël vient peu de temps après le solstice d’hiver auquel elle est associée. Elle a graduellement pris la place des différentes fêtes du paganisme reliées à la renaissance du soleil, comme la fête germanique de Yule, la fête de Mithra, les Saturnales romaines, etc. On a substitué la nativité du Christ au culte romain du Sol Invictus, c’est-à-dire le Soleil Invaincu (la fête officielle du dies natalis solis invicti ou « jour de la naissance du soleil invaincu ») que l’on a extrait de son contexte païen pour lui donner une signification d’apparence chrétienne.

Et le prétexte, ou l’excuse, était déjà tout trouvé dans les Écritures où l’on voit que le Christ est présenté ainsi : « Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le Soleil de justice, et la santé sera dans ses rayons… » (Malachie 4:2). Par ailleurs, on lit ceci, dans 2 Pierre 1:19 : « Nous avons aussi la parole des Prophètes plus ferme, à laquelle vous faites bien d’être attentifs, comme à une chandelle qui a éclairé dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour ait commencé à luire, et que l’étoile du matin se soit levée dans vos cœurs. » Aussi, dans Apocalypse 2:28 : « …et je lui donnerai l’étoile du matin », que l’on retrouve plus loin, dans Apocalypse 22:16 : « Moi Jésus, j’ai envoyé mon Ange pour vous confirmer ces choses dans les Eglises. Je suis la racine et la postérité de David ; l’étoile brillante du matin. »

Le symbolisme utilisé par Jésus est simple : comme le soleil physique qui est l’étoile du matin venant éclairer le jour sur terre, Jésus est de même le soleil brillant spirituel qui vient éclairer nos cœurs pour leur apporter la lumière spirituelle de Son Évangile. Or, ces paroles divines viennent-elles justifier le « vernissage chrétien » que l’on a appliqué à toutes les festivités païennes entourant le solstice d’hiver et donc l’adoration du « Soleil invaincu » ?

Y a-t-il le moindre passage dans toutes les Écritures où Dieu agrée à ce que l’homme adapte le culte aux faux dieux à Son culte personnel ? Dieu Se réjouit-Il qu’on lui rende un culte par des rites païens ? On vous proposera sans doute comme argument, dans les églises pseudo-chrétiennes, que Dieu ne peut être en désaccord avec ces célébrations puisqu’on les fait en Son Nom et pour L’adorer. Ces membres d’églises le font avec un cœur bien intentionné, non ? Ils oublient ce que Dieu a dit :

« Le cœur est rusé, et désespérément malin par-dessus toutes choses ; qui le connaîtra ? » (Jérémie 17:9).

Pourtant, n’est-ce pas une bonne idée pour étendre l’évangélisation ?

« Il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont l’issue sont les voies de la mort » (Proverbes 14:12) et « il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont la fin sont les voies de la mort » (Proverbes 16:25).

Les raisonnements du cœur humain ne conduisent pas à la volonté de Dieu et ont parfois des conséquences très douloureuses. L’ancien peuple d’Israël en a souvent fait l’expérience et en a payé le prix. Mais la chrétienté moderne argue qu’elle n’est pas idolâtre comme l’étaient régulièrement les enfants d’Israël, « Par ces fêtes, nous adorons le vrai Dieu ! » s’écrit-elle.

Croyez-vous que le peuple d’Israël ne disait pas la même chose ? Relisez le récit biblique racontant comment les enfants d’Israël, voyant que Moïse était monté sur le mont Sinaï et s’y attardait longtemps, se sont persuadés les uns les autres, et même Aaron, de rendre culte à l’Éternel et à L’adorer en empruntant les rites et coutumes qu’ils avaient appris dans leur long séjour de 400 ans en Égypte. Repassez-en le récit dans Exode, au chapitre 32.

Maintenant, remarquez particulièrement les versets 3 à 5 : « Et incontinent tout le peuple mit en pièces les bagues d’or, qui étaient à leurs oreilles, et ils les apportèrent à Aaron, qui les ayant reçues de leurs mains, forma l’or avec un burin, et il en fit un Veau de fonte. Et ils dirent : ce sont ici tes dieux, ô Israël, qui t’ont fait monter du pays d’Egypte. Ce qu’Aaron ayant vu, il bâtit un autel devant le Veau ; et cria, en disant : demain il y aura une fête solennelle à l’Eternel. »

Oui, ce peuple avait le cou raide et l’esprit charnel, même Aaron. Moïse étant parti depuis trop longtemps, selon eux, le peuple prit sur lui de créer une fête à l’Éternel et de L’adorer à sa façon. Habitué aux rituels égyptiens, il voulut en « israéliser » certains pour les adapter à son culte personnel. Les enfants d’Israël se fabriquèrent donc une idole en l’honneur de Dieu. Tout en n’ayant aucune idée de quoi Il avait l’air. Mais c’est bien l’Éternel Dieu qu’ils voulaient adorer en se servant de cette idole. Et c’est bien à l’Éternel Dieu qu’ils voulaient célébrer une fête solennelle de leur cru. Leur perspective et leurs intentions n’avaient rien de différents de ceux qui fêtent aujourd’hui Noël en l’honneur de Jésus-Christ.

Que fut la réaction de Dieu ? Dit-Il à Moïse : « Vois comme ce peuple a bon cœur, il veut me faire une jolie fête pour m’adorer et il a même fondu un veau d’or pour me personnifier. N’est-ce pas charmant de leur part ? »

Loin de là ! Lisez plutôt Sa réaction, des versets 7 à 10 : « Alors l’Eternel dit à Moïse : va, descends ; car ton peuple que tu as fait monter du pays d’Egypte, s’est corrompu. Ils se sont bientôt détournés de la voie que je leur avais commandée [voir Exode 20:3-5], ils se sont fait un Veau de fonte, et se sont prosternés devant lui, et lui ont sacrifié, et ont dit : Ce sont ici tes dieux, ô Israël, qui t’ont fait monter du pays d’Egypte. L’Eternel dit encore à Moïse : j’ai regardé ce peuple, et voici, c’est un peuple de col roide. Or maintenant laisse-moi, et ma colère s’embrasera contre eux, et je les consumerai ; mais je te ferai devenir une grande nation. »

Prenez le temps d’y réfléchir. Croyez-vous que Dieu Se réjouisse de vous voir Le célébrer par une fête païenne qui était préalablement destinée aux démons, et que vous avez remodelé et raccommodé pour lui donner un air de sainteté ? Dieu Se contenterait-Il de vos restants ? Dieu est-Il le même hier et aujourd’hui ? Essentiellement, ce que se disaient les Israélites, à ce moment-là, ressemble en tout point à ce que disent bien des pseudo-chrétiens aujourd’hui : « Adorez Dieu à votre façon ; moi, j’adore Dieu à ma façon. » Est-ce bien la manière biblique de penser ? Ne devrait-on pas plutôt tenir compte de ce que Dieu nous enseigne sur la bonne façon de L’adorer ? C’est ce qui prime sur tout le reste.

Il s’agit d’une évidence qui devrait être acquise par tous les véritables chrétiens. Alors, qu’est-ce qui a bien pu pousser les ecclésiastiques du IIIe siècle à inventer une nouvelle mouture d’un vieux culte païen ? Que nous revienne donc cette parole prophétique de l’apôtre Paul comme dernier avertissement aux anciens de l’Église d’Éphèse qu’il savait ne plus devoir revoir après son départ :

« Car je sais qu’après mon départ il entrera parmi vous des loups très dangereux, qui n’épargneront point le troupeau. Et qu’il se lèvera d’entre vous-mêmes des hommes qui annonceront des doctrines corrompues dans la vue d’attirer des disciples après eux » (Actes 20:29-30). Et c’est exactement ce qui est arrivé par la suite au sein même du christianisme. Des hommes corrompus se sont élevés dans les congrégations, surtout celle de Rome, s’emparant du rang de pasteur, mais étant, en réalité, des ministres de Satan. Et par le moyen de Conciles, ils ont introduit dans la saine doctrine de Christ des concepts païens carrément sataniques pour détourner les croyants de la bonne compréhension du salut de Dieu pour les hommes.

Ces individus vaniteux voulaient s’attirer des disciples après eux. Car il s’agissait, ni plus ni moins, de cupides chefs d’entreprise qui avaient un produit à vendre à la plus vaste clientèle possible : de la religion. Ainsi, pour étendre leur marché, ils entamèrent une grande campagne de marketing visant à présenter aux territoires ciblés une version « christianisée » de leurs fêtes païennes.

Voici quelques citations de documents expliquant l’historique de ce plan marketing religieux :

« Bien avant l’apparition du christianisme, l’époque du solstice d’huver était déjà une période charnière de l’année, qui regroupait de nombreuses croyances païennes relatives à la fertilité, la maternité, la procréation et l’astronomie. Elle donnait donc lieu à de nombreuses manifestations. Ces traditions antiques ont de nombreux points de similitude avec la fête chrétienne. Les chrétiens ont ainsi progressivement réussi à s’approprier les cultures environnantes qui sont devenues partie prenante de leur identité et qui finalement ont évolué sous l’effet du syncrétisme et de la christianisation de la société antique, phénomène connu des historiens sous le nom d’interpretatio christiana (« interprétation chrétienne »). [Hervé Inglebert, Interpretatio christiana. Les mutations des savoirs, cosmographie, géographie, ethnographie, histoire, dans l’antiquité chrétienne, 30-630 après J.-C., Institut d’études augustiniennes, 2002, 632 p., tiré de Wikipédia.]

« Avant la christianisation de l’Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l’empereur romain Aurélien en 274, comme grande fête du culte de Sol Invictus (le soleil invaincu). Aurélien choisit ainsi une date proche du solstice d’hiver, correspondant au lendemain de la fin des traditionnelles Saturnales romaines, mais aussi au jour où la naissance de la divinité solaire Mithra est fêtée. Aurélien souhaite en effet unifier religieusement l’empire, en choisissant cette date il contente les adeptes de Sol Invictus et du culte de Mithra tout en plaçant la fête dans la continuité des festivités traditionnelles romaines. » [CNDP.fr/Musagora | Le culte de Sol Invictus | La crise du IIIe siècle : 270-275 Aurélien (http://www.cndp.fr/archive-musagora/merveilles/merveillesfr/colosse/sol.htm]

« À partir du règne d’Aurélien (270-275), les Romains fêtent officiellement Sol Invictus (le soleil invaincu) au moment du solstice d’hiver qui commençait la nouvelle année, annoncé par le rallongement des jours. Ce culte, qui reprend des aspects de la mythologie d’Apollon et du culte de Mithra, s’est répandu aux IVe et IIIe siècles av. J.-C. et se concluait par le sacrifice d’un taureau, le Sol Invictus correspondant à la naissance du jeune dieu solaire qui, reprenant les traditions mithraïques, était censé surgir d’un rocher ou d’une grotte sous la forme d’un jeune homme. » [Mithraism (http://www.iranicaonline.org/articles/mithraism)]

« Progressivement va apparaître le désir d’historiciser la naissance de Jésus-Christ. À partir du IVe siècle, une fête de la conception et de la naissance de Jésus-Christ, traduites par l’Épiphanie et Noël, va prendre place à côté des fêtes plus anciennes de Pâques et de la Pentecôte dans le calendrier liturgique chrétien en composition. Aussi au IVe siècle, la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël, principalement dans le but de la substituer aux fêtes païennes qui étaient d’usage à l’époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d’hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes lieu à la période du 25 décembre, “en leur donnant un sens nouveau”. Le document le plus ancien mentionnant une célébration chrétienne à cette date du 25 décembre est le Chronographe de 354 (faisant référence à des recensions remontant au moins à 336) » [Susan K. Roll, Toward the Origins of Christmas, Peeters Publishers, 1995, p. 85.]

« L’impression reste que, pour les chrétiens, les deux fêtes (le 25 décembre et le 6 janvier) s’ajoutent aux traditionnelles célébrations des Saturnales et des calendes. Au lieu de rompre avec les pratiques anciennes, la tentation est donc forte d’allonger la durée festive en lui consacrant près de quinze jours. » [Françoise Monfrin, « La fête des calendes de Janvier, entre Noël et Épiphanie », in La Nativité et le temps de Noël, études réunies par Jean-Paul Boyer et Gilles Dorival, Publications de l’Université de Provence, 2003, p. 117.]

« Il est donc possible que le choix du 25 décembre comme date commémorative de la naissance de Jésus-Christ, au IVe siècle, “ne répond pas à la préoccupation de neutraliser une fête païenne, mais plutôt à un soucis de profiter du symbolisme cosmique et de l’évidence du solstice pour tous les fidèles … Les Pères de l’Église auraient donc choisi le 25 décembre justement parce que cette date, pourtant riche de significations cosmiques, ne coïncidait pas avec une grande fête païenne”. » [Alain Cabantous, François Walter, Noël, une si longue histoire…, Payot, 2916, p. 18.]

« En 425, l’empereur d’Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël. Cette commémoration se répand progressivement en Gaule et en Orient. » [fête de Noël origine histoire jour de noel (cybercuré)

(http://catholique-nanterre.cef.fr/faq/fetes_noel_fete.htm)]

À mesure que l’Église catholique étend son territoire, elle adopte à chaque étape un nouveau rite qu’elle ajoute à sa panoplie :

« La fête de Noël continue progressivement à se répandre en Europe : fin du Ve siècle en Irlande, au VIIe siècle en Angleterre, au VIIIe siècle en Allemagne, au IXe siècle dans les pays scandinaves, aux IXe et Xe siècles dans les pays slaves. La fête s’inscrit dans le calendrier liturgique et implique une période de jeûne, l’Avent. Le gens décorent leur maison de houx et de verdure, ils s’habillent de neuf. En dehors de la messe de minuit qui marque le début de l’année liturgique, se multiplient des célébrations collectives (notamment la fête des Fous au cours de laquelle on élit le pape, l’évêque des fous, l’abbé des sots, personnages qui sont, pour une durée déterminée, rois de Noël), de nombreuses réjouissances (chants et danses, divers jeux de hasard ou d’adresse, notamment les dés) et de copieux repas (plats à base de bœuf ou d’oie engraissée). Les enfants, souvent costumés, forment des bandes de guisarts (déguisés en anciens français) qui vont de maison en maison, chanter et présenter leurs vœux, recevant en échange des fruits, gâteaux ou quelques pièces de monnaie. » [Claude Lévi-Strauss, « Le Père Noël supplicié », Les Temps Modernes, no 77, 1952, p. 1584 ; Jean Verdon, S’amuser au Moyen-âge, Tallandier, 1980, p. 47 ; Claude Lévi-Strauss, « Le Père Noël supplicié », Les Temps Modernes, no 77, 1952, p. 1587.]

Parmi les manifestations diaboliques qui ont surgi au fil des siècles au cœur de la fête de Noël, il y a un personnage devenu universel. La plupart des gens ne comprennent pas que cet être qu’ils admirent et élèvent n’est rien d’autre qu’une tentative de Satan pour détourner le cœur des hommes du Grand Dieu vers un autre dieu, qui n’est évidemment pas un dieu, mais Satan lui-même.

Ce faux dieu, on l’appelle le Père Noël, le joyeux vieil elfe. Oui, le Père Noël est censé être un elfe. Mais qu’est-ce qu’un « elfe » ? Selon le Dictionnaire américain Noah Webster de langue anglaise, un elfe est « un esprit troublant la nuit ; un fantôme, un sorcier ou une sorcière … un esprit merveilleux ; une fée, un gobelin … un esprit mauvais, un démon » [Noah Webster, American Dictionary of the English Language (1ière édition 1828) réédité par la Fondation pour une Éducation américaine chrétienne, San Francisco, Californie.] Nous devons en conclure que le bien-aimé Père Noël est un démon !

 On l’appelle également St.Nick, La tradition catholique romaine enseigne que le Père Noël est, en réalité, fondé sur le nom d’un évêque catholique romain qui se nommait Nicholas. Ainsi, on pourrait en venir à croire que Nick n’est qu’un diminutif de Nicholas. Cependant, l’occultisme et la sorcellerie recèlent de nombreux noms et des termes qui possèdent un double-sens. Un coup d’œil dans le dictionnaire nous informe que Nick se définit comme un esprit mauvais. En fait, l’expression Old Nick (le Vieux Nick) de la mythologie scandinave veut dire, en fait, « le démon ». Est-ce une simple coïncidence que l’on appelle le Père Noël « Old Nick » ?

Il est assez ironique de voir l’évolution du rituel de Noël par l’intermédiaire de ce Père Noël. Originalement, on a voulu remplacer la célébration des faux dieux en leur substituant le culte à l’Enfant-Jésus. Mais au fil des siècles, et surtout le dernier, on a graduellement remplacé le culte à l’Enfant-Jésus pour le remplacer par le Père Noël… un retour aux sources du paganisme, en quelque sorte.

L’homme, guidé par les élans de son cœur rusé et désespérément malin, a toujours cherché des raisons de désobéir à Dieu et à se donner prétexte, sous couvert de « bonnes intentions », non seulement de faire le mal, mais aussi de décider de ce qui est bien et de ce qui est mal. S’il croit en un Dieu, il veut pouvoir L’adorer à sa façon, non pas à la façon que Dieu lui commande. La célébration de Noël est un exemple clair de ce penchant humain contraire à la volonté divine.

En fait de rituels pour les croyants de la Nouvelle Alliance, Jésus-Christ ne nous a laissé que deux cérémonies à observer : la célébration annuelle de la Pâque et la cérémonie du baptême. Hors de ces deux observances, vous risquez de tomber dans le paganisme déguisé que Satan a inséré dans la chrétienté moderne.

Et il y aura des conséquences pour ceux qui savent, mais ne font pas la volonté de Dieu.

À vous de choisir.

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