FAIT ou FICTION : Qui dit la vérité ?
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Mars 2023
La vérité est devenue aujourd’hui une espèce en voie de disparition. Pour la chercher, l’on doit passer au crible toute la rhétorique disponible et la soupeser avec le gros bon sens et le discernement. Ceux dont nous avions confiance qu’ils nous fournissaient la vérité se sont évanouis dans la nature.
Lorsque j’étais garçon, mon père accueillait chaque soir Walter Cronkite à la maison. Sa voix transmettait à tous ceux qui le regardaient l’idée qu’il était le diffuseur de nouvelles le plus fiable du pays. Son expression de signature, « That’s the way it is… » (C’est ainsi que ça s’est passé…), semblait appuyer la notion qu’il était le diseur de vérité prééminent.
Avec le développement de l’Internet, les nouvelles et les ressources encyclopédiques ne se trouvent qu’à un clic. Toutefois, c’est là l’ennui. Parmi la multitude des sources de nouvelles, lesquelles sont fiables ?
Les engins de recherche Internet
Pour ceux qui utilisent un des nombreux engins de recherche pour fouiller un sujet, les médias contrôlés seront toujours parmi les dix premiers résultats Ce but est atteint de bien des façons. D’abord et avant tout, l’algorithme qui est programmé dans l’engin de recherche leur donne la priorité (Google, Yahoo, DuckDuckGo, etc.).
Le Dictionary.com définit l’algorithme comme suit : « un processus ou série de règles à suivre comme calcul ou autre opération de résolution de problèmes, particulièrement par un ordinateur ». Quand la majorité des engins de recherche emploient des programmeurs qui ont été endoctrinés dans une manière de penser libérale, ils vont laisser leur penchant prendre les devants.
Si vous recherchez « Nouvelles du Jour », les mêmes acteurs des médias contrôlés sont au sommet de la page : NBC News, Fox News, ABC News, NPR, CNN, Associated Press, USA Today, CBS News et le Washington Post étaient les neuf premiers dans une recherche Google que j’ai menée récemment. Des recherches démontrent que beaucoup de gens arrêtent de regarder après les cinq à dix premiers résultats qui apparaissent.
Deuxièmement, les engins de recherche acceptent les paiements des compagnies pour apparaître au sommet des pages de résultats de recherche. Un grand nombre de gens vont « cliquer » le premier résultat qui apparaît sans jamais se rendre compte qu’il s’agit d’une annonce. La soi-disant source « fiable » de nouvelles a payé pour avoir ce résultat.
Il ne devrait pas y avoir de scrupule envers ces entreprises gagnant de l’argent pour continuer à opérer, ou pour ceux qui paient pour ces services. On devrait toutefois porter la responsabilité carrément sur le chercheur qui n’est pas assez diligent pour s’assurer d’avoir la vérité qu’il recherche. Pour ceux qui exercent le discernement et le gros bon sens, il y a une mine d’or d’informations très utiles disponibles aux bouts de vos doigts.
Fournisseurs de vérité ?
Nous avons tous besoin d’argent pour subsister. On ne peut réfuter ce fait. Cependant, il y a ceux qui ne font que convoiter leur propre enrichissement. L’apôtre Paul nous en a avertis dans 1 Timothée 6:9-10 : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piège, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. »
Quelques hommes nous viennent rapidement en tête quand vient le temps de considérer les personnes les plus riches du monde : Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos et Elon Musk. Ces hommes sont toujours au sommet, ou proche du sommet, dans la liste des personnes les plus riches de Forbes.
Sans ordre particulier, examinons les manigances de cette élite. Nous n’irons pas en profondeur, mais assez pour que le présent auteur espère que cela vous amène à vous poser plus de questions et faire des recherches en quête de la vérité.
Jeff Bezos, propriétaire de WaPo et Amazon
Jeff Bezos est actuellement le propriétaire du Washington Post. Qu’il contrôle les opération journalières de ce géant des nouvelles n’a pas d’importance, mais cela porte à réfléchir et à méditer. Quelle meilleure manière de contrôler la narration ? Combien d’articles accablants seront imprimées concernant les conditions de travail risquées chez Amazon ? Combien d’exposés seront rédigés à propos de la participation de Bezos au Forum Économique Mondial ? AUCUN !
L’homme derrière le rideau
Avec ses Fondations de Société Ouverte, Soros peut répandre ses « gains » au moyen de ses efforts soi-disant philanthropiques. Cela lui permet de garder les mains nettes tout en achetant de l’influence et de propager sa vision d’un gouvernement mondial unique.
Les chercheurs du Centre de Recherche des Médias (CRM) ont trouvé qu’entre 2016 et 2020, Soros a craché au moins 131 millions $ pour influencer 253 groupes médiatiques. Imaginez combien d’histoires ont été touchées par cela et combien d’autres n’ont jamais été racontées ! On ne peut nier l’endoctrinement journalier de millions de personnes par ces points de vue tordus.
En suivant la piste de l’argent, le CRM révèle que des reporters, des présentateurs de nouvelles, des journalistes, des rédacteurs et des cadres attachés à ABC. CBS, NPR, Bloomberg News, Reuters et le New York Times – de même que bien d’autres exutoires – furent récompensés par les largesses de Soros. Un des très nombreux groupements de sa fondation a donné 2,7 millions $ au Comité de la Protection des Journalistes. Chez les membres de la direction, il y a Matthew Winkler, cofondateur de Bloomberg News, Christiane Amanpour de CNN et le présentateur à NBC News Lester Holt.
Qui vérifie les vérificateurs ?
Une autre source de nouvelles que le groupe Soros supporte, du moins en partie, c’est PolitiFact. Durant la présidence de Donald Trump, PolitiFact gagna en popularité chez les médias contrôlés. On publia beaucoup d’articles en donnant cette organisation comme référence comme fournisseur ultime de « faits ».
À l’insu de beaucoup de gens, le fait est que PolitiFact est un site web dirigé par un groupe de journalistes d’extrême gauche du Tampa Bay Times. La classification exacte de ce groupe devrait être « opération de propagande démocrate ».
Exemple typique : pendant la campagne de Barack Obama en 2008, PolitiFact évalua sa déclaration au sujet de l’ObamaCare disant que « si vous avez un plan santé que vous aimez, vous pouvez le conserver » comme étant VRAIE. Les experts du pays répandirent cette déclaration et cela eut évidemment un impact marqué sur le résultat de l’élection. En 2013, PolitiFact changea son évaluation sur la déclaration d’Obama et de VRAIE elle devint le « feu au pantalon », ce qui lui valu d’être « le mensonge de l’année 2013 ».
Une étude de 2013 du Centre des Affaires Médiatiques et Publiques de l’Université George Mason a découvert que PolitiFact déclare que les Républicains sont trois fois plus malhonnêtes que les Démocrates. Toute ma vie, j’ai trouvé que les politiciens en général – peu importe leur affiliation partisane – mentiront à quiconque en face d’eux pour conserver en fonction leur poste pépère. Comme je l’ai demandé bien des fois, combien de politiciens laisseriez-vous garder vos enfants ?
PolitiFact a été au centre de la plandémie. Ces vérificateurs « fiables » réfutaient ceux qui déclaraient que les « vaccins » Covid-19 ne marchaient pas. Il soutenait également comme un fait que ces « vaccins » avaient été testés proprement. Toute déclaration jetant un regard négatif sur la piqûre et ses effets était rejetée comme de la « désinformation ».
Le Babylon Bee offre une leçon de maître en satyre. Ses gros titres excentriques, ses articles et ses vidéos sont humoristiques et teintés d’un fond de vérité. Ceux qui lisent le Bee le font afin de pouvoir rire. De toute évidence, les gens de PolitiFact n’ont pas le sens de l’humour. Dans un post de 2017 sur son site web, le Babylon Bee déclara « Isis baisse les bras après l’appel passionné de Katy Perry de “Aimez, juste coexistez” ». Les gens très bien de PolitiFact y mirent l’étiquette de « feu dans le pantalon ».
Les dossiers de Twitter exposent des opérations vilaines
Lorsqu’Elon Musk a acheté le géant des médias sociaux Twitter, il fit vœu que la vérité serait à nouveau disséminée sur la plateforme. Un grand nombre de gauchistes devinrent fous furieux. Avec la sortie des Dossiers Twitter, nous savons maintenant pourquoi. Des centaines, sinon des milliers, d’individus qui avaient été bannis à vie ont reçu l’autorisation de revenir sur le forum. Si l’on exilait pas quelqu’un, on le mettait toutefois sur la liste noire et ses posts ne voyaient pas la lumière du jour.
Voici certaines des révélations alarmantes des Dossiers Twitter :
- L’équipe de Biden a envoyé des e-mails à Twitter demandant que l’on censure du contenu avant les élections de 2020.
- Twitter a banni dans l’ombre – à l’interne, on appelle cela « filtration de visibilité » – le contenu de professeurs d’université aux sentiments anti-confinement.
- Une fois qu’ils eurent banni le compte de Trump, les employés de Twitter devinrent ivres de pouvoir et discutèrent de ce qu’ils pourraient faire avec d’autres présidents.
- Des cadres de Twitter se vantèrent de leurs rencontres avec des agences fédérales.
- Yoël Roth (chef de l’équipe de Confiance & Sécurité de Twitter à l’époque) discuta du bannissement des « termes QAnon ».
- Le corps expéditionnaire du FBI centré sur les médias sociaux, nommé FTIF, créé à la veille des élections de 2016, atteint le nombre de 80 agents.
- Des agences comme le FBI et le DHS envoyèrent régulièrement du contenu de média social à Twitter à travers de multiples points d’entrée, pour donner l’alerte à la modération.
- Des agents du FBI demandèrent aux cadres de Twitter s’ils pouvaient inviter aux conférences des fonctionnaires de la CIA.
- D’autres compagnies de technologie, comme Facebook, Microsoft, Verizon, Reddit et même Pinterest, tinrent des rencontres régulières avec le gouvernement.
- Lorsque l’administration Biden entra en fonction, une de ses premières rencontres de requêtes avec des cadres de Twitter concernait le Covid. On devait se concentrer sur les « comptes des anti-vaxxeurs ».
La censure, c’est l’altération ou la suppression du droit de parole, du droit d’écrire, ou toute autre forme d’information en se basant sur l’opinion qu’un tel matériel est subversif, obscène, pornographique, politiquement inacceptable, ou nuisible d’une manière ou d’une autre envers le bien-être public. Lorsque le gouvernement fédéral usurpe l’autorité de la Constitution, il devrait y avoir de sévères conséquences pour ceux qui sont impliqués. Pourtant, les médias contrôlés ne se sont même pas préoccupé, ne serait-ce que pour la forme, de parler des Dossiers Twitter.
Facebook en collusion avec le régime Biden ?
Twitter n’a pas été la seule entreprise en collusion avec les leaders élus. L’Administration Biden se mit à contrôler Facebook et faire pression pour que l’on censure les posts reliés à la plandémie et jugés problématiques. Le Résident Biden déclara même que les plateformes de médias sociaux allaient « tuer des gens » s’ils refusaient de censurer les posts.
D’une manière qui donne froid dans le dos, un membre du Comité de Surveillance de Facebook, Helle Thorning Schmidt, déclara : « La libre expression n’est pas un droit humain absolu. » Dans l’histoire, des partisans de l’autorité restreignirent la liberté d’expression. Lénine, Staline, Castro et Mao nous viennent à l’esprit. Cette liste inclut-elle maintenant Joe Biden ?
Qui est en charge de la désinformation ?
Qui possédait l’autorité de qualifier des posts de « désinformation » ? Était-ce le CDC ? Vous rappelez-vous de son titulaire bureaucratique Rochelle Walensky ? Walensky voulait que nous fassions confiance à la science derrière les piqûres de thérapie génique, mais dit également que les hommes peuvent tomber enceints ! Était-ce Anthony F(r)audci, le « docteur de l’Amérique » ? Fauci employa de l’argent des payeurs de taxe pour financer de la recherche qui était « illégale » en Amérique à ce moment-là. Il a aussi proclamé cette affirmation célèbre : « Je représente la science ». Ou était-ce le Ministère de la Vérité créé par le Directeur de la Sécurité du Territoire de Biden, Alejandro Mayorkas ?
Après avoir amassé une grande quantité d’informations reliées à la plandémie, l’auteur-ci ne peut pas décliner clairement qui avait une telle autorité. Cependant, ce qui est douloureusement clair, c’est que rien de tout cela ne fut basé sur des faits, mais seulement sur des opinions.
Bill Gates à la rescousse
L’immunologiste et virologue notoire, mais avant tout l’homme-dieu Bill Gates – s’il vous plaît, comprenez l’ironie – semble avoir réponse à tout. Il se promène partout en jet privé pour parler de changement climatique et s’avère une publicité sur deux pattes pour le compte de l’industrie pharmaceutique depuis maintenant des années. Les talk-shows des médias contrôlés invitent cet homme pour parler de manière autoritaire sur un paquet de sujets.
En cette ère de déchaînement de « désinformation », Gates a une idée pour la combattre. Dans une entrevue avec Handelsblatt, un diffuseur médiatique allemand de nouvelles, Gates déclara que l’intelligence artificielle (IA) devrait être employée comme outil pour combattre la « désinformation digitale ».
Selon le CSU Global (particule de l’Université d’État du Colorado), « L’Intelligence Artificielle est une technologie qui permet aux machines et aux applications d’ordinateur d’imiter l’intelligence humaine, apprendre par l’expérience via le procédé itératif et l’entraînement algorithmique ». Je me questionne à savoir qui écrit les applications d’ordinateur et les algorithmes ? S’ils sont une partie intégrante de la façon de penser gauchiste, leur « code » ne pencherait-il pas vers ce spectre ?
Le contrôle de la narration
En mars de 2022, DirecTV annonça à ses abonnés que One America News (un diffuseur conservateur de nouvelles) serait enlevé de sa liste de collaborateurs. En janvier 2023, DirecTV coupa le signal de Newsmax, autre diffuseur conservateur. À ce moment-là, Newsmax s’avérait le quatrième canal de nouvelles à l’indice d’écoute le plus élevé du pays.
CNN subit aujouord’hui une baisse de cote d’écoute. Il a délesté un grand nombre de ses animateurs aux salaires les plus hauts et sa plateforme digitale, CNN+, a complètement été éliminée. Les Américains savent que ce réseau propage de la désinformation et l’évitent comme la peste. Or, DirecTV permet encore à ce réseau libéral d’en profiter tout en éliminant OAN et Newsmax.
En février 2021, la représentante Anna Eshoo (D-CA) et le représentant d’alors Jerry McNerney (D-CA) exigèrent des pourvoyeurs de câble et satellites télé d’expliquer leur rôle allégué dans « l’épandage de dangereuse désinformation » en supportant les réseaux conservateurs. Coïncidence ou pas, l’Administration Biden approuva la fusion de la division WarnerMedia d’AT&T avec Discovery peu après avoir laissé tomber OAN.
L’essence de la vérité
Les instructions de la Bible soulignent le chemin de la vérité. L’intention est de mener le peuple à Lui. Dieu désire que nous soyons un peuple de vérité. Dans Éphésiens 4:14-15, l’apôtre Paul a écrit : « Afin que nous ne soyons plus des enfants flottants, et emportés çà et là à tous vents de doctrine, par la tromperie des hommes, et par leur ruse à séduire artificieusement. Mais afin que suivant la vérité avec la charité, nous croissions en toutes choses en celui qui est le Chef, c’est-à-dire, Christ. »
Dans Philippiens 4:8 : « Au reste, mes frères, que toutes les choses qui sont véritables, toutes les choses qui sont vénérables, toutes les choses qui sont justes, toutes les choses qui sont pures, toutes les choses qui sont aimables, toutes les choses qui sont de bonne renommée, toutes celles où il y a quelque vertu et quelque louange, pensez à ces choses. »
La Parole de Dieu est vraie et nous pouvons croire à tout ce qu’Il fait. Dieu est l’essence de la vérité. Jésus nous a dit : « Je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14:6).