La Californie nous a donné un aperçu du… Nouveau supplice vert
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Octobre 2020
« Et vous ne souillerez point le pays où vous serez … Vous ne souillerez donc point le pays où vous allez demeurer »
Nombres 35:33-34
Depuis trois décennies, les médias contrôlés utilisent des tactiques alarmistes pour faire croire au changement climatique. L’on a été canalisé du soutien politique et des centaines de millions de dollars pour renforcer ce programme. Il s’agit d’un groupe de pseudo-scientifiques ressemblant à une secte.
Activiste environnemental bien connu et respecté, Michael Shellenberger a récemment fait des excuses écrites pour avoir perpétué ce canular. Forbes.com a publié son article, mais l’a rapidement supprimé et a censuré cet aveu révélateur. La raison pour laquelle Shellenberger est devenu honnête ? Le lavage de cerveau qui se produit chez nos enfants. Vingt pourcents des enfants britanniques interrogés ont admis avoir fait des cauchemars sur le changement climatique et la fin du monde.
De nombreux enfants traumatisés par cette propagande sont incapables de profiter du grand air. Ils n’apprécient plus la nature et ne comprennent plus son fonctionnement. Lorsque l’on considère l’ampleur du dilemme, on en arrive à la conclusion que, sans une compréhension de base, il ne peut y avoir de bonne gestion.
La prise de pouvoir du changement climatique
Comme ceux qui doutent de la véracité de l’Holocauste sont ridiculisés et catégorisés, de même ceux qui nient les soi-disant « experts » du changement climatique seront dénigrés en toute impunité. La secte verte réplique avec des attaques calomnieuses par le biais des marionnettes des médias contrôlés. L’endoctrinement de notre jeunesse monte en flèche, sans égard aux dégâts causés.
Les politiciens se sont accrochés à ce canular en vue d’une prise de pouvoir totale. La représentante Alexandra Ocasio-Cortez (D-NY) a proclamé haut et fort : « Le monde va prendre fin dans
douze ans si nous n’abordons pas le changement climatique ». Elle a fièrement lancé le « Nouvel Accord Vert » appuyé par George Soros.
Les études climatiques ont démontré des périodes de réchauffement et de refroidissement. C’est un cycle en constante évolution que l’homme ne contrôle pas. Ce qu’enseigne Genèse 8:22 devrait nous réconforter : « Mais tant que la terre sera, les semailles et les moissons, le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »
Malheureusement, certaines personnes affichent un complexe divin par lequel elles croient être plus intelligentes que notre Père céleste. Ces individus assoiffés de pouvoir obtiennent une tribune d’intimidation et exercent leur influence sur les autres pour qu’ils rejoignent leur secte. Cette pensée maladive se propage rapidement et, grâce au soutien financier adéquat, elle enveloppe la planète.
L’énergie renouvelable est une des expressions à la mode qu’emploient ces mystificateurs du climat. Ils considèrent que l’utilisation de la lumière du soleil, du vent, de la pluie, des marées, des vagues et de la chaleur géothermique va nous sauver des « combustibles fossiles ». Cependant, les effets potentiellement dangereux sont négligés par ces cinglés de l’environnement dans leur zèle à propager ce programme.
En réalité, il n’y a pas de système énergétique qui soit renouvelable. Les machines reposent sur l’extraction et le traitement continus des matières premières. Par exemple, jetez un coup d’œil sur une voiture électrique. À première vue, cela semble une excellente idée. Mais lorsqu’on examine le procédé requis pour créer cette voiture verte, le résultat final nous revient comme une gifle au visage. Les véhicules électriques produisent encore des gaz à effet de serre provenant de leurs freins, de leurs pneus et des usines qui les construisent. La batterie d’une voiture électrique a un poids ahurissant de mille livres [± 500 kilos].
Aux mines de terre rare de Jiangxi, en Chine, les mineurs creusent des trous de huit pieds [2m50] et versent du sulfite d’ammonium pour dissoudre l’argile. Cette boue est évacuée, soumise à plusieurs bains d’acide et ensuite cuite au four. Les minéraux rares restants sont utilisés dans les voitures électriques, tandis que les parties non utilisées, contaminées par des produits chimiques toxiques, sont remises dans l’environnement. À cause de la croissance de la demande en véhicules électriques, les minéraux de la planète menacent d’être épuisés en peu de temps.
On doit recharger les batteries de ces voitures. Est-ce aussi propre qu’une voiture à essence ? Les chiffres ne corroborent pas cette affirmation. Si l’électricité provient d’une centrale au charbon, chaque véhicule électrique émet environ quinze onces de CO2 pour chaque kilomètre parcouru, tandis qu’une voiture à essence n’en produit que trois.
De même, les batteries finissent par s’user. Nous avons tous fait l’expérience de ce bip strident à 2h00 du matin parce que la pile 9 volts du détecteur de fumée est tombée en panne. De nombreux éléments qui composent une batterie ne sont pas recyclables et se retrouvent donc dans nos décharges. Est-ce écologique ?
Éoliennes
Les éoliennes sont une autre source d’énergie renouvelable qui a gagné en popularité. Vous pouvez en voir des agglomérats sur des plateaux et des montagnes. Lorsque le vent souffle, les pales tournent en générant de l’électricité. En surface, cela semble une très bonne idée. Toutefois, certaines parties mécaniques s’usent avec le temps, et la force et la quantité de vent changent constamment.
Un défaut flagrant des éoliennes est son effet sur les oiseaux migrateurs. Approximativement 234 000 oiseaux se font tuer chaque année par les hélices. Les aigles et les faucons sont les espèces les plus touchées. Les chauves-souris arboricoles ont également vu leur population diminuer, et cela inquiète les scientifiques. Il y a eu des rapports ayant déclaré que ces turbines sont éteintes durant la période de migration, ne produisant ainsi aucune électricité.
Les pales de ces turbines s’allongent jusqu’à 230 pieds [70m] et pèsent en moyenne 36 tonnes. L’enlèvement des vieilles pales, ou celles qui sont cassées, pose un difficile problème de résolution. Il existe actuellement deux méthodes courantes d’élimination des aubes de turbines : les brûler ou les jeter dans une décharge. Plus de 720 000 tonnes de matériaux d’hélices devront être éliminées au cours des vingt prochaines années. Les aubes de turbines sont généralement fabriquées de verre composite ou de carbone. Contrairement à l’acier et au cuivre, ces matériaux ne sont pas aussi précieux une fois recyclés.
L’énergie solaire est la forme d’énergie renouvelable qui connaît la croissance la plus rapide. Son impact environnemental n’est pas aussi néfaste que les éoliennes et les barrages hydroélectriques. Néanmoins, le matériel finit par s’user et on doit en disposer. De nombreux types de panneaux solaires ne sont pas recyclables. La quantité de panneaux solaires usés pourrait constituer le double du total actuel des déchets plastiques mondiaux d’ici l’an 2050.
Le supplice vert de la Californie
La Californie s’est empressée de remplacer les sources d’énergie à combustibles fossiles par de l’énergie renouvelable en vue du Nouvel Accord Vert. En 2016, le Gouverneur d’alors, Jerry Brown, a signé un projet de loi présenté par une législature d’État dominée par les démocrates exigeant que l’État s’approvisionne à 100 % à l’énergie renouvelable avant 2045.
La Californie a donc abandonné ses formes de production d’énergie plus traditionnelles. Les centrales électriques utilisant le gaz naturel, abondant et fiable, ont été remplacées par des alternatives progressives. D’autres centrales au gaz devraient fermer dans les années à venir, et la Centrale nucléaire de San Onofre a également été fermée.
La Californie est sans doute l’État vert le plus ambitieux de l’Union. Par malheur pour ses résidents, le secteur des énergies renouvelables de Californie a surestimé la quantité qu’il pouvait fournir. On en a eu la flagrante démonstration pendant une longue vague de chaleur. Des pannes de courant déferlantes se sont produites, car la consommation d’énergie dépassait les ressources énergétiques disponibles.
Les autorités affirmèrent que le couvert nuageux entravait la capacité des fermes solaires à produire de l’électricité et que les vents étaient trop calmes pour produire de l’électricité au moyen de leurs turbines. Fait ironique, les médias de gauche attribuent la vague de chaleur et la crise énergétique au « changement climatique ».
Misère partagée du supplice vert
Cette misère partagée se présentera à tous les Américains si les démocrates prennent le contrôle de la Chambre, du Sénat et de la Maison Blanche. Les idéaux progressistes du Nouvel Accord Vert seront un supplice dans lequel nous devrons naviguer au quotidien. Notre pays reculera comme au temps où nous n’avions pas encore l’électricité.
Le Gouverneur Gavin Newson (D) a tragiquement réalisé que l’énergie renouvelable est une chimère. Il a été forcé d’admettre que l’État avait besoin de secours et d’assurance, car les sources d’énergie verte ne sont pas suffisamment fiables. La Californie est une expérience ratée ayant fait la preuve que cette idée progressiste est un Nouveau Supplice Vert.
L’on nous a assignés comme intendants de notre planète. Il nous appartient donc d’user d’un solide jugement et de raison, en ayant toujours conscience de ceux qui sont sous notre domination. Recherchez Son conseil.
Black Lives Matter et son lien occulte
En 2013, trois organisatrices radicales ont créé une volonté politique et un mouvement orientés vers les Noirs, appelé « Black Lives Matter ». Ce sont Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi.
Pour un peu d’histoire à leur sujet, disons que Patrisse Cullors est allé à sa première manifestation à l’âge de dix-sept ans. Alicia Garza, lesbienne, est membre d’Astraea, organisation LBGTQ. La signification du mot Astraea est « vierge de l’étoile », ce qui, dans la mythologie grecque, était la Déesse grecque.
Les treize principes directeurs de Black Lives Matter
- Justice réparatrice – Nous nous engageons à travailler collectivement, avec amour, courage et de manière vigoureuse pour la liberté et la justice envers les Noirs…
- Empathie – Nous nous engageons à pratiquer l’empathie : nous nous enjoignons des camarades dans l’intention d’apprendre d’eux et de nous connecter à leur contexte.
- Engagement dans l’amour – Nous nous engageons à incarner et à pratiquer la justice, la libération et la paix dans nos engagements les uns envers les autres.
- Diversité – Nous nous engageons à reconnaître, à respecter et à célébrer les différences et les points communs.
- Globalisme – Nous nous considérons comme faisant partie de la famille noire mondiale et nous sommes conscients des façons diverses qui nous enclavent ou nous privilégient comme Noirs qui existons dans différentes parties du monde.
- Affirmation queer – Nous nous engageons à encourager un réseau d’affirmation des queers. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise serrée de la pensée hétéronormative…
- Affirmation des transgenres – Nous nous engageons à adopter et à faire de la place aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils participent et dirigent…
- Valeur collective – Nous sommes guidés par le fait que toutes les vies des Noirs comptent, indépendamment de l’identité sexuelle réelle ou perçue, de l’identité de genre, de l’expression de genre, du statut économique, des capacités, du handicap, des croyances ou de l’incrédulité religieuses et du statut d’immigrant ou du lieu.
- Intergénérationnel – Nous nous engageons à encourager un réseau intergénérationnel et communautaire exempt d’âgisme…
- Familles noires – Nous nous engageons à démanteler la pratique patriarcale qui exige des mères qu’elles effectuent des « double quarts de travail » qui les obligent à materner en privé alors même qu’elles participent aux travaux de justice.
- Villages noirs – Nous nous engageons à rompre les exigences de la structure nucléique familiale prescrite en Occident en nous soutenant les uns les autres en tant que familles élargies et « villages » qui prennent collectivement soin les uns des autres et particulièrement de « nos » enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants s’y trouvent confortables.
- Noirs sans aucune excuse – Nous nous positionnons Noirs sans aucune excuse. En affirmant que « La Vie des Noirs Compte », nous n’avons pas besoin de nuancer notre position…
- Femmes noires – Nous nous engageons à bâtir un espace affirmant les femmes noires et qui soit exempt de sexisme, de misogynie et de centralité sur les hommes.
Je trouve assez révélateur qu’il existe treize principes directeurs pour cette organisation. Quand l’on considère le chiffre 13 et sa signification occulte, il est clair que cette secte est plongée dans les arts ténébreux.
L’occulte
Black Lives Matter est un mouvement spirituel, affirme la co-fondatrice Patrisse Cullors. Celle-ci a déclaré, dans une discussion sur le rôle de la spiritualité et de la prière au sein du mouvement Black Lives Matter, lors d’un programme du Musée Fowler de l’UCLA, que la pratique consistant à proclamer les noms des victimes dont ils prennent la défense dans les manifestations et les démonstrations est un moyen d’invoquer leurs esprits. « Il s’agit presque littéralement de ressusciter un esprit pour qu’il puisse œuvrer au travers de nous pour exécuter le travail que nous devons faire, » dit Cullors. Celle-ci touche aux traditions ouest-africaines qui se concentrent sur la mémoire des ancêtres.
Une grande partie du traitement du mouvement Black Lives Matter se concentre uniquement sur ses objectifs politiques et sociaux ; mais ce que les gens ne savent pas, et qui est pourtant à la vue de tous, c’est que Black Lives Matter est un mouvement profondément spirituel et imprégné d’occultisme. Les trois fondatrices et un grand nombre des leaders de chacun des seize chapitres de Black Lives Matter sont de fervents adorateurs de l’ancien paganisme africain qui est enracinée dans la sorcellerie et la divination. Pareil au vaudou où l’on évoque l’esprit des morts. De manière réaliste, nous pouvons les appeler des sorciers invoquant l’anarchie et la révolution par leurs chants scandés.
Scander des chants, c’est dire ou chanter de façon répétitive des mots ou des sons, souvent principalement sur un ou deux tons, ce qu’on appelle des tonalités de récitation. Le chant en cadence est utilisé depuis des siècles comme pratique spirituelle dans les cultures africaine, hawaïenne, amérindienne, assyrienne et d’autres cultures aborigènes. Cela ne vient pas de Dieu.
Les chants consistent en une grande quantité de répétitions de sous-expressions musicales, comme le chant qu’ils utilisent : « Les porcs dans une nappe, faites-les frire comme du bacon ! » Cela sert à inciter la violence contre nos cols bleus. Ils chantent aussi : « Nous sommes prêts ! » « Nous arrivons ! » encore et encore pour rallier leurs disciples à la violence.
La Bible dit, dans Matthieu 6:7 :
« Or quand vous priez, n’usez point de vaines redites, comme font les Païens ; car ils s’imaginent d’être exaucés en parlant beaucoup. »
Dans Éphésiens 5:6 :
« Que personne ne vous séduise par de vains discours, car à cause de ces choses la colère de Dieu vient sur les rebelles. »
Pensons-nous que cette organisation vient de Dieu ? Non, catégoriquement ! Comme chrétiens, il est temps que nous revêtions l’armure complète de Dieu.
En passant, George Soros a fait don à l’organisation de Black Live Matter de 33 millions $ cette année. Cela devrait nous en dire long…
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