L’aube d’une nouvelle année
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Janvier 2021
À chaque année, au premier janvier, des millions d’Américains ont en vue de s’améliorer en prenant des résolutions personnelles et en s’établissant des buts. Vous pouvez voir cela par les fenêtres de tous les lieux d’exercices à travers le pays. Ceux qui s’emploient à la bonne santé en faisant régulièrement de l’exercice sont forcés d’ajuster leur horaire pour éviter les foules qui s’en suivent. Toutefois, cela n’est pour eux qu’un embêtement mineur. Ils savent qu’en février ces guerriers qui foncent dans les séances d’entraînement auront abandonné en retournant à leurs vieilles habitudes.
Toutefois, ce janvier-ci ne sera pas comme ceux de mémoire récente. De nombreux gyms ont été fermés à cause d’un confinement draconien ordonné par les gouvernements locaux ou étatiques. Bien que jugé inconstitutionnel par les propriétaires commerciaux touchés, le public en général s’est à peine prononcé. « Nous devons pratiquer ces lignes de conduite au nom de la sécurité, » a-t-il comme mantra.
À mesure que s’accroit notre « sécurité », nos libertés rétrécissent. Ceux qui croient encore être libres en Amérique, vous devez vous réveiller et humer le café. Lentement, mais sûrement, nos libertés se sont érodées pour n’être qu’à deux doigts du néant.
Je me rappelle qu’enfant je marchais avec Papa jusqu’aux portes de l’aéroport en vue de son vol vers une destination déterminée par ses supérieurs des Forces aériennes des États-Unis. Notre famille avait l’habitude de se promener nonchalamment dans tout l’aéroport en attendant que son vol soit annoncé, en le regardant marcher vers la passerelle, puis voir son avion décoller.
Grâce au travail interne appelé 9/11, une grosse colonne de liberté fut enlevée des piliers de l’Amérique. Aujourd’hui, seuls ceux qui ont des billets peuvent se rendre jusqu’aux portes. Et ce après avoir passé par un contrôle de sécurité où l’on vérifie votre identité et votre carte d’embarquement. Une fois accepté, vous devez pratiquement vous déshabiller et passer dans une machine à rayon-x. Tous les bagages que vous transportez doivent aussi passer au rayon-x, testés pour fin de résidus d’explosifs avant qu’on vous les redonne pendant que vous vous rhabillez. Les accolades et les embrassades d’au revoir sont maintenant restreintes à la zone de chargement, et tout cela au nom de la sécurité.
Nous, les moutons, n’avons rien à penser de ces nouvelles « précautions ». Nos leaders ont nos meilleurs intérêts à cœur, n’est-ce pas ? Peu importe le fait que certains employés mécréants des aéroports sont reconnus pour partager des images des machines à scanner les corps. Ni le fait qu’aucun acte terroriste n’ait été contrecarré par ces procédures envahissantes. Au début, les reporters et les enquêteurs indépendants se mirent à tester l’efficacité de ces procédures, et ils finirent par être fortement désappointés.
Cette phase du grand plan étant complétée, il était temps de faire le pas suivant. Cet événement annonciateur arriva le 18 octobre 2019 à New York City. Tenu conjointement entre le Centre de Sécurité Sanitaire Johns Hopkins, le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Événement 201 s’avéra un exercice pandémique de haut niveau. Cet exercice servait à illustrer les domaines où les partenariats publics et privés seraient nécessaire en cas de pandémie sévère.
Ainsi que j’en ai fait la documentation dans des bulletins précédents et dans des émissions radiophoniques antérieures, cette pLandémie a été lancée sur une population sans méfiance en surgissant sur la scène en mars de 2020. La peur, répandue par les grands courants médiatiques sous la direction de l’élite, a agrippé le pays dans sa poigne d’acier. Un nombre croissant de mort a occupé la une des reportages de nouvelles. On a présenté des images d’hôpitaux remplis de médecins et d’infirmier(e)s désespérés essayant apparemment de traiter des milliers de patients. Des sacs mortuaires remplissaient les chariots que l’on acheminait vers les camions réfrigérés.
Les gouverneurs et les fonctionnaires locaux ou étatiques élus ont tous promulgué des ordres de confinement dans l’effort « d’aplatir la courbe » des infections qui, semblait-il, se répandait comme une traînée de poudre sur toute la planète. Au début de ces ordonnances, l’on nous a dit que deux semaines seraient probablement suffisantes pour reprendre le contrôle de la situation. Hélas, nous aplatissons la courbe depuis maintenant neuf mois.
Chose ironique ou non, cette pLandémie est survenue au moment même où l’économie américaine rebondissait. Des usines revenaient en Amérique, et avec elles des emplois dont nous avons grand besoin. Le chômage dans les communautés minoritaires connaissait des baisses record. Les transactions et les traités qui ne bénéficiaient pas à l’Amérique furent réécris. On remettait de l’avant le concept de « l’Amérique d’abord ». Est-ce que les accusations infructueuses contre le Président Donald Trump et son soutien croissant par la classe moyenne des travailleurs ont mis la puce à l’oreille de l’élite ?
Comme on dit, avec du recul, c’est 20/20. Il est toujours plus facile de discerner les motifs une fois que les dés sont jetés, et le temps est un allié, pas un handicap à la prise de décision. Mais avec l’Agenda 21 des Nations Unis pointant à l’horizon, on peut se demander ce qui va suivre.
Avec la soi-disant victoire électorale de Joe Biden en tant que prochain Président, un changement crucial semble venir, et il ne sera pas beau. La législation imminente de la Chambre des Représentants contrôlée par les démocrates met en lumière l’avenir sombre de notre pays. La Loi sur l’Égalité, ainsi que la Loi sur la Sensibilisation envers l’Antisémitisme — lesquelles j’ai discuté avec le révérend Ted Pike dans mon émission radio [Anti-Christian Legislation is Pouring Out of Congress (Une législation antichrétienne déferle du Congrès) disponible en format cassette ou CD] — sont des assauts directs contre les chrétiens. Si les démocrates peuvent mettre la main sur le Sénat en se sauvant avec la Géorgie, comme le dit le vieux dicton : « Katy, barre la porte à double tour ».
Il y a aussi, dans le pipeline de la destruction, le H.R. 5717, surnommé la Loi sur la Prévention de la Violence par les Armes et la Sécurité Communautaire. Si cet projet de loi législatif est adopté et signé en tant que loi, la structure de la réglementation gouvernementale va changer radicalement. Entre autres changements, le projet de loi propose ce qui suit :
- Il exige des individus qu’ils obtiennent un permis d’achat, d’acquisition ou de possession d’armes à feu ou de munitions [l’emphase est ajoutée] ;
- L’âge minimum des acheteurs d’armes à feu et de munitions passe de 18 à 21 ans ;
- Il établit de nouvelles exigences d’examens d’antécédents pour les transferts d’armes à feu entre parties privées ;
- Il exige que les agences de mise en application de la loi soient notifiées si un examen d’antécédents donne un résultat négatif ;
- Il crée un processus légal pour qu’un membre de famille ou de ménage puisse pétitionner à la cour pour qu’on enlève les armes à feu à un individu qui court le risque de commettre de la violence [la Loi Drapeau Rouge]
Ce projet de loi rendra également les armes à feu taxables à 30 % et les munitions (les cartouches et les balles) taxables à 50 %. Actuellement, les armes à feu et les munitions sont taxées à 10 %. De plus, l’on n’a pas besoin d’un permis pour acheter des munitions !
Quiconque a étudié l’histoire, même juste un peu, sait que la première étape d’une dictature totalitaire s’accomplit par le contrôle des armes. Après que cette mesure est prise, la liberté d’expression et de religion devient la cible suivante. Est-ce que le Plan – dont a si souvent parlé notre pasteur émérite Texe Marrs – fait des bonds de géant grâce à l’abêtissement des Américains ? Combien de temps reste-t-il avant que les camps de rééducation soient pleins de moutons dociles ? Est-ce que les vaccins planifiés pour le Covid-19 font partie de la « nouvelle normalité » de la dépopulation ?
Il y a un vieil adage que me disait mon père : « Si tu ne te tiens pas debout pour quelque chose, tu seras à genoux pour n’importe quoi ». Il est temps pour les chrétiens craignant Dieu et rachetés par Son sang de se tenir debout et de crier sur les toits ! Ce n’est pas une conspiration si c’est la vérité. Power of Prophecy crie la vérité depuis plus de trente ans. 2021 ne sera pas différent. Vous joindrez-vous à nous ?
***
Nous avons été avertis
En 2004, la Commission sur la Réforme des Élections Fédérale fut constituée par l’ancien Président Jimmy Carter et James A. Baker III (Secrétaire général et Secrétaire d’État sous les Présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush) pour examiner le processus électoral aux États-Unis. Organisation privée et bipartisane, la Commission assembla des leaders des deux partis, de même que des groupements civiques académiques et non partisans afin de maximiser l’accès et l’intégrité des votes. Il y avait 87 recommandations étalées dans un rapport de 91 pages. Mettre en œuvre toutes les suggestions aurait exigé une action du Congrès au coût de 1,35 milliards $. Le rapport demandait également une supervision professionnelle et étatique non partisane des élections. Voici certaines des autres recommandations :
- Développer un « système d’inscription au vote universel » dirigé par les états plutôt que par des juridictions locales ;
- Accroître l’effort d’inscription des électeurs par les états, y compris l’effort de permettre à des anciens détenus de voter sous certaines conditions.
- Créer une méthode d’identification photo uniforme pour assortir l’électeur à la liste électorale, tout en établissant plus de bureaux pour les électeurs sans permis de conduire afin qu’ils s’enregistrent plus facilement et acquièrent leur carte d’identification photo.
- Suite aux caucus en Iowa et aux primaires du New Hampshire dans les années d’élection présidentielles, les états devraient tenir quatre primaires et des caucus régionaux à la place des horaires actuels dans le but de réduire l’influence des états de l’est dans le choix de leurs candidats.
Si ces recommandations avaient été mises en place, nous ne serions peut-être pas dans la situation de fraude électorale que nous voyons présentement.
Avertis, mais bêtement désarmés
Reculons maintenant seize ans avant l’élection de 2020. D’abord, nous avons utilisé les machines à vote conçues par les Systèmes de Vote Dominion. Cette compagnie fut fondée en 2003 et sa mission était de fournir un système électronique de vote qui s’avérait avenant pour les progressistes. La compagnie ne marcha pas très bien jusqu’à ce que l’administration Obama arrive au pouvoir. Le dur effondrement du SEV (Système électronique de vote) mis en marché par la compagnie aux États-Unis arriva en août 2009.
- 40 % ES&S
- 30 % Diebold/Premier
- 20 % Sequoia/Smartmatic
- 10 % Hart Intercivic
- 0 % Dominion
Puis, moins d’un an plus tard, grâce à l’administration Obama :
- 50 % Dominion
- 40 % ES&S (qui fut restreint dans sa compagnie contre Dominion)
- 10 % Hart Intercivic
L’Administration Obama confisqua tous les actifs des systèmes électroniques de vote (logiciel, propriété intellectuelle, outils de manufacture, clientèle de base, etc.) Elle donna alors cette information à Dominion qui obtint en même temps plusieurs employés de Smartmatic – un Système Électronique de Vote dont les propriétaires sont à l’étranger – qui était relié à Hugo Chavez du Venezuela. Comme nous le savons tous, Chavez utilisa les machines de vote truquées pour gagner ses élections. Donc, comme vous pouvez le voir, le système n’était pas seulement partisan, mais hyper partisan en faveur du Parti démocrate. Il y aurait plus à dire sur les liens du Parti démocrate avec ses supporteurs prééminents aux États-Unis et outremer, mais nous n’entrerons pas ici dans les détails.
L’historique de Dominion
La Dominion Voting System Corp., qui a été fondée au Canada, acquit éventuellement les Systèmes de Vote Sequoia – faisant anciennement partie de la Smartamatic Corp. maintenant une compagnie basée au Royaume Uni. Le logiciel Dominion a été utilisé par 40 % des électeurs dans cette élection de 2020, principalement par les états et les commissions de vote démocrates. Aucune protection n’a été mise en place contre les renversements, les effacements ou la création de votes. En fait, le logiciel utilisé était saisi d’un algorithme qui permettait aux machines de vote d’ajuster le compte des bulletins de vote à partir de 22h30 heure de l’est. Le compte des bulletins de vote stoppa dans bon nombre d’états contestés. Le propre site internet de Dominion dit que le logiciel a été utilisé dans des états « chaudement disputés » comme le Michigan, la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. On l’a aussi employé dans les grands états « démocrates » comme la Californie, le New Jersey et New York. C’est courir après la fraude électorale.
La combine
Vous n’entendez pas la vérité sur les canaux des grands courants médiatiques, mais voici quelques informations fournies à propos des bulletins de vote frauduleux qui s’avèrent des bulletins photocopiés, des bulletins de personnes décédées ou d’électeurs non-résidents. Vous avez ci-dessous l’effondrement des états clés durement contestés et ce qui a eu lieu quand les bulletins ont été révisés.
Comme vous pouvez le voir, c’est plus de 1 200 000 votes qui auraient dû aller à notre Président Donald Trump.
Combattre la corruption
Il se tient des audiences législatives dans chacun de ces états grâce à des affidavits signés par des centaines de témoins déclarant des contradictions massives du vote et des fraudes ayant eu lieu. Chaque législature étatique a le droit, selon notre Constitution, de changer le soi-disant appel à la victoire de Biden en celui de la victoire de Trump si l’on juge qu’il y a suffisamment de preuves de fraude électorale. Bien sûr, il faudra certains hommes braves pour se rebiffer contre le système et redonner aux Américains leur vrai vote. Puissions-nous tous prier notre Dieu qu’Il bénisse l’Amérique.