Un clairon marxiste appelle à l’autodestruction
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Mars 2021
Équité, diversité et inclusion
« Nous tenons ces Vérités pour évidentes en elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains Droits inaliénables, que parmi elles, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur… »
Déclaration d’Indépendance
« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout reptile qui rampe sur la terre. Dieu donc créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il les créa mâle et femelle. »
Genèse 1:26-27
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. Dieu ne créa qu’une seule race – la race humaine. Bien qu’il puisse y avoir différentes sortes de pigmentation sur leur peau, ce ne sont pas des races multiples. Nous sommes tous faits à l’image de Dieu. Il n’y en a pas qui soit inférieur aux autres. La croyance qu’il y ait d’autres races de gens est une construction mentale humaine, pas un fait biologique.
Le racisme est un préjudice que l’on retrouve dans le cœur de l’homme envers ceux qui sont différents de soi. L’on encourageait ce concept de haine dans les sociétés anciennes. Regardez comment les Juifs voient depuis longtemps les Gentils. Dans le Talmud babylonien, le rabbin Schneur Zalman, fondateur du Chabad-Loubavitch, a déclaré que : « Les âmes des Gentils sont d’un ordre complètement différent et inférieur. Ils sont totalement méchants, sans la moindre qualité de rédemption. »
Un chrétien ne peut être raciste
Pour les chrétiens, les écrits de l’apôtre Paul dans Galates 3:28 aurait dû faire cesser le racisme dans l’Église une fois pour toutes.
« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. »
Malheureusement, trop nombreux sont ceux qui ont ignoré cet enseignement et ont succombé aux idées et à la philosophie de ceux du monde. Paul nous a aussi mis en garde contre ce dilemme :
« Prenez garde que personne ne vous gagne par la philosophie, et par de vains raisonnements conformes à la tradition des hommes et aux éléments du monde et non point à la doctrine de Christ » (Colossiens 2:8).
Il y a de multiples versets à travers la Parole de Dieu nous enseignant à répétition que Dieu ne fait acception de personne. En voici quelques-uns :
« Alors Pierre prenant la parole, dit : en vérité je reconnais que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Actes 10:34).
« Parce que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Romains 2:11).
« Sachant que chacun, soit esclave, soit libre, recevra du Seigneur le bien qu’il aura fait. Et vous maîtres, faites envers eux la même chose, et modérez les menaces, sachant que le Seigneur et d’eux et de vous est au Ciel, et qu’il n’y a point en lui acception de personnes » (Éphésiens 6:8-9).
« Et si vous invoquez comme votre Père celui qui sans avoir égard à l’apparence des personnes, juge selon l’œuvre d’un chacun… » (1 Pierre 1:17).
Pas si vite, mes amis
Dans la société d’aujourd’hui, à cause de la culture « éveillée » formée par le Marxisme culturel, des termes comme Équité, Diversité et Inclusion se répandent à travers la conscience publique. Beaucoup de ces idéaux qu’épousent de soi-disant leaders semblent raisonnables et sincères. Assurément, nous souhaitons tous une meilleure façon de vivre pour nos voisins, n’est-ce pas ?
Équité
Ces manieurs de mots ont manipulé la conscience d’un grand nombre de gens par leurs onctueuses tournures de phrase. Par exemple, prenez le mot Équité. Au premier aspect, cela sonne comme égalité, n’est-ce pas ? Toutefois, équité signifie « possession » dans son usage le plus commun.
Dans la société américaine, chaque citoyen a une opportunité égale de réussir, sans tenir compte de l’âge, du genre, de la race, de la religion ou de l’affiliation politique. Les seules limites au succès sont les habiletés et les qualifications individuelles. Le Titre VI de la Loi sur les Droits Civiques de 1964 dit :
« Personne dans les États-Unis ne sera, pour raison de race, de couleur, ou d’origine nationale, exclu de participation à tout programme ou activité recevant de l’assistance financière fédérale, ni n’en sera refusé les bénéfices ou sujet à discrimination. »
Lorsque l’équité est vomie de la bouche de la foule des « éveillés », elle revêt une signification entièrement différente. Pour eux, elle veut dire démolir toutes les barrières structurelles qui entravent le chemin des résultats égaux. En outre, cette foule veut ajuster les partages pour donner à certains groupes d’identité des privilèges afin de s’atteler à ce qu’elle perçoit comme des déséquilibres.
Un bon exemple : Deux hommes décident de faire affaires ensemble. Chacun investit 1 000 $ pour débuter la compagnie. On les considère comme partenaires égaux, et subséquemment chacun tirera cinquante pourcent des parts de profit. L’équité entre dans l’équation quand un des partenaires réclame plus que cinquante pourcent des parts à cause de sa pigmentation de peau ou parce qu’il est démocrate.
Les libéraux appuient la redistribution des richesses afin de garantir à chaque Américain un revenu égal plutôt qu’une opportunité égale de succès. L’égalité n’est plus le but des progressistes.
Le terme « juste et équilibré » est maintenant associé aux gens bigots et biaisés dont les actions sont manifestement discriminatoires. Il n’est plus acceptable de montrer de la tolérance. L’on doit embrasser tous les aspects de ces groupes d’identité.
Diversité
Dans ma jeunesse, les professeurs de l’histoire civique et américaine parlaient de l’Amérique comme du grand « melting-pot ». On nous enseignait que les immigrants adopteraient les idéaux de liberté et d’opportunité, reconnaissants des occasions qui leur étaient offertes. À mesure qu’ils s’assimilaient à la culture américaine, certaines de leurs coutumes, de leurs traditions et de leurs nourritures furent introduites, habituellement pour l’enrichissement de la nation.
Aujourd’hui, la diversité est légiférée de manière à diviser la nation. Au lieu d’homogénéiser le pays, des groupes d’intérêts spéciaux sont classés sous le couvert de la diversité. Leur statut « spécial » est dressé contre les autres groupes, faisant croître la friction chez tous. Saul Alinsky savait que, pour ébranler notre pays jadis si grand par la destruction de nos institutions – la famille, l’église, l’école et le gouvernement – la diversité était l’arme de choix.
La diversité n’est pas ce qui a fait de l’Amérique un grand pays, ce sont les choses que nous avions en commun. L’importance de l’unité familiale était le noyau fondamental de notre société. Les valeurs du gros bon sens et la croyance en l’exceptionnalisme américain qui ont un impact sur tout le monde, peu importe la race, les croyances ou la couleur.
Comme une cale, la formation à la diversité – la Théorie Critique de la Race n’est qu’une des armes – s’est infiltrée dans nos systèmes éducatifs et s’insinue maintenant dans les salles de conseil et les entreprises à travers tout le pays. Par exemple, une des principales écoles indépendantes du pays a mené une « vérification de la diversité » pour déterminer jusqu’à quel point ses professeurs étaient « éveillés ».
Il y avait six catégories de diversité : identité raciale, identité religieuse, statut socioéconomique, structure familiale, identité sexuelle et statut d’invalidité. On demandait aux professeurs avec quelle efficacité ils transmettaient chaque sujet à leurs élèves. Le but est de « favoriser la compréhension de systèmes de pouvoir et d’encourager les étudiants à développer des outils d’équité et de justice ».
L’on définit la race comme une construction sociale utilisée pour rassembler les gens ensemble en relation avec le pouvoir et les privilèges. La famille est définie comme l’organisation qui compose une unité familiale. Ce n’est rien de plus qu’une idéologie d’extrême gauche pour diffamer le peuple blanc et élever le « peuple de couleur ».
Ces groupes de diversité font des millions de dollars en colportant de la propagande anti-blanche tout en déclarant combattre le racisme. Ils découragent également sans cesse tout sain débat sur les sujets sensibles, préférant fomenter encore plus de division au sein de notre société.
Les Pneus Goodyear et la Compagnie Rubber ont été dénoncés l’an dernier après avoir tenu une session de formation sur la diversité dans leurs usines de Topeka, au Kansas. Lors de la présentation, un employé a pris une photo d’une diapositive qui déclarait ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.
Goodyear a réagi après que l’image soit devenue virale sur les médias sociaux :
« Goodyear s’engage à mettre de l’avant un lieu de travail respectueux et inclusif … Dans cet engagement, nous permettons à nos associés d’exprimer leur soutien au sujet de l’injustice raciale et de toutes autres questions d’équité, mais nous demandons à ce qu’ils se restreignent dans leurs expressions sur le lieu de travail … comme tout autre forme similaire de plaidoyer qui sorte de la perspective des questions d’équité. »
Le double standard de ce communiqué de presse devrait enrager les masses. Mais Goodyear n’est pas seul à soutenir cette formation sur la diversité. Presque quatre-vingt-dix pourcent des compagnies du Fortune 500 ont des bureaux de la diversité épousant la manie de « l’équité, de la diversité et de l’inclusion ».
La nature de ces programmes entraînant la division est en provenance directe du manuel Règles pour les radicaux d’Alinsky. Ce qui était jadis vu comme une bénédiction pour notre pays a été transformée en « guerre civile » non déclarée dressant les voisins les uns contre les autres.
Inclusion
On décrit l’inclusion comme « un état bénéfique mutuel à la fois pour les communautés et les individus. » La société « éveillée » d’aujourd’hui exige que tout le monde soit inclus. En surface, cela semble une idée noble. Malheureusement, la liberté d’expression – protégée par le Premier Amendement de notre Constitution – ne signifie plus ce qu’elle voulait dire auparavant. Les expressions qui offensent et blessent les sentiments de quelqu’un ne devraient plus être permis, selon les « éveillés ». La censure abonde dans les médias sociaux à cause de ce système de croyance.
La turpitude morale n’est pas une excuse acceptable pour exclure une personne ou un groupe. Le christianisme, également protégé par le Premier Amendement, est devenu une cible principale, aujourd’hui. Les Progressistes du Congrès ont introduit une législation pour enlever les exemptions religieuses pour certaines des actions les plus blasphématoires que l’on puisse imaginer. Les portes se sont ouvertes après que la Cour Suprême eut « légiféré » chez les juges que l’on autorise le mariage de même sexe.
Les pasteurs tièdes ont été intimidés et refusent de condamner cette abomination. Vous ne les entendrez jamais prêcher ce que l’apôtre Paul a dit à propos de l’homosexualité :
« C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés aux convoitises de leurs propres cœurs, de sorte qu’ils se sont abandonnés à l’impureté déshonorant entre eux-mêmes leurs propres corps : eux qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature, en abandonnant le Créateur, qui est béni éternellement : Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à leurs affections infâmes ; car même les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en celui qui est contre la nature. Et les hommes tout de même laissant l’usage naturel de la femme, se sont embrasés en leur convoitise l’un envers l’autre, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense de leur erreur, telle qu’il fallait. Car comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, aussi Dieu les a livrés à un esprit dépourvu de tout jugement, pour commettre des choses qui ne sont nullement convenables. Etant remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malignité, pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de fraude, de mauvaises mœurs. Rapporteurs, médisants, haïssant Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de maux, rebelles à pères et à mères. Sans entendement, ne tenant point ce qu’ils ont promis, sans affection naturelle, gens qui jamais ne s’apaisent, sans miséricorde. Et qui, bien qu’ils aient connu le droit de Dieu, savoir, que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, ne les commettent pas seulement, mais encore ils favorisent ceux qui les commettent. » (Romains 1:24-32).
Votre délivrance approche
De toute ma vie, je n’ai jamais vu autant de haine et d’animosité qu’aujourd’hui. L’implantation de la rectitude politique dans nos institutions d’enseignement collégial est complétée. L’effet « dégoulinant » dans nos écoles élémentaires est presque terminé. Les automates à l’esprit contrôlé, produits à la chaîne par tout le système d’enseignement, prolifèrent dans toute l’industrie et remplissent les salles de conseil.
Les grands courants médiatiques – en conjonction avec les médias sociaux – sont les champions de la justice sociale. Leur portée a eu pour résultat une manne de convertis. En surface, l’équité, la diversité et l’inclusion semblent grandioses. Toutefois, lorsque l’on contemple la vraies signification de ces mots et la direction vers laquelle notre pays est poussé, est-ce surprenant que Dieu ait oublié notre nation ?
Aux yeux de Dieu, nous sommes tous égaux. Les chrétiens ont faim du plein conseil de Jésus, mais ils sont en manque grave parce que les enseignants refusent de le prêcher. Des versions abâtardies de la Parole de Dieu remplissent de nombreuses églises. L’apathie gagne les églises à mesure que la faim de Sa Parole décroît. Jésus nous rappelle que nous méritons tous un sort violent. On ne peut éviter cela qu’en se tournant avec repentir vers notre Dieu plein de miséricorde.
« …si vous ne vous repentez, vous périrez tous de la même manière » (Luc 13:3).