D.115 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 11
Dans l’antre du diable
Onzième partie
59. Qui fut vraiment derrière les attaques du 11 septembre 2001
À plusieurs occasions, le gouvernement des U.S.A. a subventionné des agents provocateurs terroristes. Par exemple, il a été régulièrement rapporté que la CIA a subventionné Ousama Ben Laden au montant de trois milliards de dollars. Plusieurs diront que la CIA ne s’attendait certainement pas à ce qu’il se retourne contre nous et détruise le World Trade Center. Examinons cet argument.
Lorsque les États-Unis décidèrent de soutenir les partis moujahidin qui composaient la résistance alliée, l’aide américaine afflua irrésistiblement vers les trois éléments les plus inefficaces de la résistance. Ces trois éléments se trouvaient justement être les plus virulents partis anti-américains de l’alliance : le Hez-i-Islami (Parti islamique), conduit par Gulbaddin Hekmatyar ; le Jamiat-i-Islami (Société islamique), conduit par le professeur Burhanuddin Rabbani et son commandant militaire, Ahmed Shah Masood ; et le Ittehad Islami (Unité islamique), conduit par le professeur Abdul Rasul Sayyaf.[1]
Sibgratullah Mojadidi, leader religieux islamique respecté ayant été élu, par les Moujahidin, président du gouvernement afghan en exil, avertit les U.S.A. à plusieurs reprises de « l’erreur » qu’ils commettaient en subventionnant ces groupes. Il informa le gouvernement américain que Hekmatyar, assassinait ses propres alliés moudjahidin et collaborait avec les communistes. Ces révélations eurent pour résultat que le gouvernement américain adopta la position officielle de ne plus fournir d’aide à Hekmatyar. Kurt Lohbeck, observateur indépendant et auteur de Holy War, Unholy Victory : Eyewitness to the CIA’s Secret War in Afghanistan (Guerre sainte, victoire impie : témoin visuel de la guerre secrète de la CIA en Afghanistan), fut assuré par l’ambassadeur des États-Unis au Pakistan, Robert Oakley, en 1988, que toute l’aide donnée à Hekmatyar avait cessé. Un an plus tard, à une conférence de presse, Oakley déclara catégoriquement que toute aide donnée à Hekmatyar avait stoppé complètement. Cette annonce officielle du gouvernement américain était une supercherie. Une semaine après cette conférence de presse, Lohbeck suivit personnellement un convoi américain de 50 camions d’armes et d’approvisionnement parti de l’aéroport de Peshawar et allant directement au camp de Hekmatyar ![2] Il est clair que la CIA connaissait la nature du groupe qu’elle assistait et elle continua quand même.
En ayant ceci à l’esprit, concentrons-nous maintenant sur le Sheik Omar Abdul Rahman. Le Sheik Omar fut le leader du groupe terroriste derrière l’explosion de la bombe de 1993 dans le World Trade Center. Le plan d’Omar était de faire basculer une des tours sur l’autre pour qu’elles s’effondrent toutes les deux. Examinons l’étrange attitude de la CIA et du FBI à l’égard du Sheik Omar. Cela jettera un peu de lumière à savoir qui a été responsable de la destruction des deux tours, le 11 septembre 2001. Le Sheik Omar était un ecclésiastique islamique anti-américain qui plaidait en faveur d’une guerre sainte contre les Américains et les pays occidentaux. Sa haine des U.S.A. n’était un secret pour personne, il avait prêché ses sermons remplis d’une haine venimeuse dans des centres populaires de la Turquie, de l’Égypte, de l’Arabie Saoudite, du Pakistan, de l’Allemagne, de l’Angleterre et même des États-Unis.
Comment Omar est-il entré aux États-Unis ? Par le biais de la CIA, bien sûr. Un agent de la CIA à Khartoum, au Soudan, se fit passer pour un fonctionnaire du Consulat des États-Unis et obtint un visa pour le Sheik Omar. Huit mois après son arrivée en sol américain, son visa fut révoqué et il fut mis sur une liste de surveillance de l’INS pour être déporté. Néanmoins, le gouvernement américain lui donna par la suite une carte verte. Pire encore, le FBI savait que le groupe d’Omar planifiait l’explosion du World Trade Center. En novembre 1990, le FBI saisit 49 boîtes de documents dans l’appartement de El Sayyid Nosair, qui avait assassiné un militant juif, le rabbin Meir Kahane. Parmi le matériel saisi par le FBI, il y avait des photographies détaillées de célèbres buildings, y compris du World Trade Center, ainsi que des sermons du Sheik Omar exhortant ses disciples à « détruire les édifices du capitalisme ».[3]
Ce n’est pas tout ce que possédait le FBI. Il recevait aussi de l’information de l’intérieur. Emad A. Salem, garde du corps du Sheik Omar, était informateur pour le FBI.[4] Donc, le FBI fit preuve d’une incompétence curieusement bien synchronisée. Tel que rapporté à la Cour d’Appel américaine en Second Ressort, le FBI retira Salem de l’opération. Comme nous allons le voir plus loin, Salem fut retiré de l’enquête après que les bombes aient été construites.
« En juin 1992, El-Gabrowny fit une autre visite à Nosair en prison. Au retour, il informa Salem et Shinawy que Nosair voulait les voir. Salem témoigna que, lorsqu’ils lui rendirent visite, Nosair les réprimanda pour n’avoir pas procédé aux plans d’explosion des bombes et incita Shinawy à se procurer une fatwa d’Abdel Rahman approuvant l’explosion. Sur le chemin du retour, Shinawy dit à Salem que la planification de l’opération impliquait douze bombes. Shinawy expliqua aussi qu’ils auraient besoin de fusils au cas où ils rencontreraient des policiers durant le déploiement, indiquant aussi que sa source d’armes à feu était Hampton-El. Deux jours après, Salem se rendit à la demeure d’El-Gabrowny et y trouva Shinawy déjà là. Les trois tombèrent d’accord pour tenter de retenir une “planque sûre” pour construire les bombes, et El-Gabrowny s’engagea à obtenir des détonateurs d’Afghanistan. Quelques jours après, Shinawy convoqua Salem à la Mosquée Abu Bakr où il présenta Salem à Hampton-El. Salem et Shinawy expliquèrent à Hampton-El qu’ils fabriquaient des bombes, mais qu’ils avaient de la difficulté à se procurer des détonateurs. Hampton-El dit qu’il avait accès à des “bombes toutes prêtes” pour 900 $ à 1 000 $/pièce. Tr. 4932-33, 6485-86. Il offrit aussi à Salem de lui obtenir un pistolet. Quelques jours plus tard, Shinawy donna à Salem un pistolet provenant censément d’Hampton-El. Au début de juillet 1992, une rupture se produisit entre Salem et le FBI, et il fut accepté que l’enquête clandestine de Salem prendrait fin. »[5]
Il fut révélé durant le jugement qu’en plus de Salem, un espion égyptien se trouvait parmi les conspirateurs. Il n’est pas clair, selon l’opinion de la cour, à savoir s’il travaillait avec le FBI au moment de l’explosion, mais il serait certainement fort inhabituel qu’un agent d’espionnage du gouvernement ne travaille pas directement, soit avec le gouvernement égyptien, soit avec le gouvernement américain. Il témoigna contre les autres lors du jugement.
« À la fin de 1992, l’entraînement paramilitaire reprit, conduit par Siddig Ali et Hampton-El, dans les fins de semaines entre octobre 1992 et février 1993. Les accusés Amir, Fadil Abdelgani et Elhassan participèrent tous au camp d’entraînement, comme Abdo Haggag, un espion égyptien qui témoigna pour le Gouvernement pendant le jugement. »[6]
Voici un autre événement louche. Le groupe chercha à obtenir des détonateurs et des fusils d’un autre informateur du gouvernement travaillant pour le compte du Service de Renseignements de la Marine des États-Unis.[7] Il ne fut rien divulgué quant à savoir si les conspirateurs obtinrent réellement les détonateurs de lui. L’implication de l’informateur indique que le gouvernement était encore en position de stopper le complot et arrêter les conspirateurs, mais, mystérieusement, il ne le fit pas.
Après l’explosion, le FBI versa un million de dollars à Salem et le réengagea comme informateur. Il est tout à fait inhabituel que le gouvernement paie d’avance. En fait, on n’a presque jamais entendu parler de ce genre de paiement, spécialement à quelqu’un de nationalité étrangère qui pourrait tout simplement décamper du pays avec l’argent, sans remplir sa partie du contrat, pour qu’on ne le revoie plus. Le montant du paiement ainsi que les circonstances l’entourant suggèrent que le paiement était donc pour services déjà rendus. Apparemment, quelqu’un dans le gouvernement américain était très satisfait des performances de Salem avant l’explosion du World Trade Center.
Salem pensa probablement qu’il aurait pu se faire doubler, car il enregistra ses conversations avec le FBI après l’explosion. Dans un des enregistrements, on entend Salem reprocher au FBI d’avoir laissé l’explosion se produire, ce qui sous-entend que le FBI était en mesure de l’empêcher. Salem dit au New York Times que le FBI avait planifié de substituer une substance inerte à l’explosif et ensuite arrêter les poseurs de bombes pendant qu’ils essayaient de faire exploser le World Trade Center. Ce plan indique que le FBI était assez près de l’opération pour être impliqué dans la construction des bombes utilisées.
Comme le rapporta le Chicago Tribune, dans son édition du 15 décembre 1993, Salem a dit dans un enregistrement qu’il avait personnellement construit la bombe.[8] La construction de sa bombe a dû s’effectuer avant qu’il ne soit retiré de l’affaire. Si Salem avait été enlevé de l’affaire avant la construction de la bombe, comment le FBI eut pu espérer substituer de la poudre inerte à la place de l’explosif ? Avant de répondre à cette question, repassons les faits connus jusqu’ici : 1) Salem, travaillant clandestinement pour le FBI, construit une bombe pour des terroristes qui l’utiliseront pour faire sauter le World Trade Center ; 2) le FBI sait que la bombe a été construite et qu’elle est prête, mais il retire néanmoins Salem de l’affaire et perd ainsi sa seule possibilité de déjouer le bombardement ; 3) les terroristes font exploser le World Trade Center, tuent 6 personnes et en blessent 1 000 autres ; 4) le FBI saute dans l’action pour trouver les coupables, alors qu’il savait depuis le début qui ils étaient, son propre informateur ayant construit la bombe ; 5) le FBI paie son informateur un million de dollars, soi-disant pour retourner clandestinement les aider à découvrir les coupables dont l’identité était déjà connue du FBI. Vraiment très étrange ! Est-ce une incompétence incroyable ou une ruse tortueuse ?
Le plan de substitution était un projet qui sonnait faux. Personne possédant le moindre gros bon sens ne prendrait un tel risque avec la vie d’innocents citoyens. Selon la loi fédérale, faire partie d’une conspiration séditieuse est une félonie condamnant à au moins vingt ans de prison.[9] Les comploteurs s’étaient déjà faits conspirateurs bien avant l’explosion et ils auraient pu être arrêtés à tout moment sous cette charge. En fait, la conspiration séditieuse fut la première accusation dont les auteurs de l’explosion furent en fin de compte reconnus coupables.[10] Toutes les évidences nécessaires pour prouver cette inculpation étaient réunies avant l’explosion de la bombe. Il n’est pas essentiel que les conspirateurs complètent vraiment le crime qu’ils ont planifié commettre afin d’être coupables de conspiration. La conspiration n’est que l’entente de principe visant à commettre un crime, et le FBI possédait amplement de preuves d’un tel accord avant que la bombe n’explose. On présume que le FBI connaît la loi. Il aurait pu démanteler le groupe bien avant l’installation de la bombe. Le plan de substitution ressemble davantage à une histoire voilée pour expliquer pourquoi on a permis que se produise l’explosion alors qu’on pouvait de toute évidence la stopper. C’est la seule explication raisonnable aux actions du FBI.
C’est même plus étrange encore. Le FBI a dit à la presse qu’il était en mesure d’arrêter les coupables de l’explosion quand Mohammad Salameh se montra au bureau de location de camions pour laisser le dépôt du camion utilisé dans l’explosion. En fait, comme expliqué plus haut, le FBI possédait des renseignements de l’intérieur même du complot et savait déjà qui était derrière tout cela.
Mohammad Salameh, qui a été depuis condamné avec d’autres pour l’explosion, a allégué que le Mossad israélien était derrière l’affaire. Il soutint que Josie Hadas était la femme ayant tramé l’explosion.[11] Le numéro de téléphone qu’écrivit Salameh, quand il loua le camion, était au nom de Hadas. Le FBI déclara que Josie Hadas était un personnage fictif ; qu’elle n’avait jamais existé. Ce qui est cependant bizarre, c’est que des témoins l’ont vue de leurs yeux ; elle fut décrite à un journaliste comme « une femme arabe à l’apparence digne d’une mère et deux fois plus âgée que Salameh, qui déménagea à l’appartement avant Noël ».[12] D’autres la décrivirent comme une femme de ménage de 50 ans.[13] Si elle n’était qu’une simple femme de ménage, comment a-t-elle pu disparaître si facilement ? Pourquoi le FBI dit-il qu’elle n’existe pas, alors que des témoins l’ont vue ? Il est tout à fait possible que Salameh ait simplement voulu impliquer Israël en alléguant qu’Hadas était une Israélienne. Quand est-il arrivé avec cette information ? Il n’est pas réaliste de supposer qu’il l’a crue agente du Mossad à un moment donné, au cours du complot. Il y a des preuves qu’un certain Irakien qui quitta le groupe, Ramzi Yousef, était également un commettant du complot. Pourquoi Salameh ne l’a-t-il pas impliqué ? Apparemment, on n’a pas encore fait la lumière sur toute l’histoire. À la fin, nous devons nous demander cui bono (à qui profite le crime) ? La réponse est claire : Israël.
Les désastres du World Trade Center, celui de 1993 comme la tragédie de 2001, exhibent la marque indubitable des crocs des Sionistes jésuitiques. Ces Sionistes sont méchants et puissants, mais ils sont fous. « L’insensé a dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu. Ils se sont corrompus, ils ont commis des actions abominables » (Psaume 14:1, VO). Ces Sionistes impies organisent des catastrophes comme de mauvais magiciens. Toute leur existence est basée sur la dénégation de Dieu, mais du fait qu’ils ignorent inévitablement les lois inviolables de la nature de Dieu, leurs plans sont faciles à détecter. Ils laissent toujours une trace derrière eux pour ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.
Le 4 juillet 2001, deux mois avant l’attaque du World Trade Center du 11 septembre, Ousama Ben Laden s’envola pour Dibay à l’hôpital américain où il passa 10 jours pour subir une dialyse rénale. À cette époque, il était sous inculpation par le Gouvernement américain pour avoir ourdi l’explosion des ambassades des U.S.A. au Kenya et en Tanzanie, en 1998. Selon le journal français, Le Figaro, durant son séjour à l’hôpital, il fut visité par le chef de la station locale de la CIA et un autre agent de la CIA.[14] Ces divulgations nous sont parvenues des Renseignements français qui ont intérêt à révéler le lien CIA/Ben Laden afin d’empêcher les États-Unis d’étendre la guerre en Irak et ailleurs. C’est sans surprise que la CIA nia l’occurrence de l’événement et l’hôpital américain nia que Ben Laden ait jamais été un patient chez eux.
Où est Ben Laden, maintenant ? L’auteur fort respecté, Gordon Thomas, a écrit un bouquin intitulé Seeds of Fire (Semences de feu), dans lequel il déclare que Beijing [Pékin] a joué un rôle dans l’attaque du 11 septembre sur l’Amérique.[15] Thomas est un journaliste d’enquêtes d’Irlande et est l’auteur de 38 ouvrages. Il révèle dans son livre que, le 11 septembre 2001, le jour-même de l’attaque du WTC, un avion de transport en provenance de Beijing se posa à Kaboul. À bord, il y avait des officiers chinois de l’Armée de Libération du Peuple (ALP) et du Bureau chinois de la Sécurité d’État. La mission de la délégation chinoise était de signer un traité avec les Talibans, dont Ousama Ben Laden était le courtier, à ce qu’on a rapporté, et fournir aux Afghans la technologie des missiles de repérage, la fine pointe des communications et des systèmes de défense aérienne. Les Chinois avaient accès à pareille technologie grâce, d’abord et avant tout, à l’espionnage qu’ils exerçaient à l’encontre des États-Unis et comme résultat de la politique insensée du gouvernement américain d’accorder à la Chine communiste le plus favorable des statuts de nation commerçante. En retour de l’assistance chinoise, les Talibans ordonnèrent aux séparatistes musulmans de stopper leurs activités au nord-ouest de la Chine.
Après l’accord passé entre les Talibans et le Gouvernement communiste chinois, Ousama put s’envoler vers un abri sécuritaire à l’intérieur de la Chine rouge.[16] Immédiatement après les attaques du WTC, le directeur de la CIA, George Tenet, rencontra le Lieutenant Ahmed, chef du Service de Renseignements pakistanais qui mis Tenet au courant de la coopération Chine/Talibans.[17] Tenet informa immédiatement le Président George W. Bush du lien Chine/Taliban. Que fit Bush ? Le 28 décembre 2001, pendant que les Américains étaient préoccupés par le temps des fêtes, il accorda à la Chine « le statut de commerce normal permanent » ! Et il n’en avait pas fini ! Le 2 janvier 2002, Bush annonça qu’il relâchait l’étreinte des exportations de super ordinateurs des États-Unis, au plus grand profit de la Chine et de la Russie. C’est ce même George W. Bush qui avait déclaré, après l’attaque du 11 septembre : « À partir d’aujourd’hui, toute nation qui persiste à arborer et supporter le terrorisme sera considérée comme régime hostile par les États-Unis. »
Les gouvernements chinois et russes soutiennent les groupes terroristes islamiques depuis des décennies. Yasser Arafat est, en effet, une marionnette communiste. Dans un discours donné en 1982, Arafat déclara : « Nous comptons sur vous, camarades du Comité Central du Parti Communiste Soviétique et du bloc socialiste, pleins d’espérance, comme vers un ami (…) considérant la question de la libération et du progrès dans le monde. »[18] Arafat loua même les Soviétiques pour avoir envahi l’Afghanistan islamique ! En Afghanistan, les Talibans sont supportés par les Chinois, pendant que l’Alliance nord s’est alliée depuis longtemps avec les Russes. Tout leader islamique anti-communiste réellement indépendant est la cible d’un assassinat possible, ce fut le cas d’Abdul Hak.
La perpétuelle machine de propagande chinoise s’est révélée au grand jour dans les attaques du 11 septembre de New York et de Washington. Les Chinois ont produit des livres, des films et des jeux vidéos glorifiant les frappes en tant que coup humiliant contre les États-Unis, qu’ils décrivent comme une nation arrogante. Des disques vidéos remplis d’images corsées ainsi que de la musique d’opéra dramatique et même le thème de Jaws ont été lancés sur le marché chinois par le Gouvernement communiste à la suite des attaques. « Disque après disque, on constate l’imprimatur du Parti communiste qui contrôle les médias. Le DVD le plus populaire a été produit par l’Agence de Renseignements de Xinhua, la Télévision de Beijing et la Télévision Centrale de Chine. »[19] Sur un des vidéos, un commentateur déclare railleusement : « C’est l’Amérique que tout le monde voulait voir ! »[20]
L’Union soviétique, qui vota en faveur de l’établissement de l’état d’Israël et qui est depuis lors un grand supporteur d’Israël, a, semble-t-il, fait volte-face et soutient maintenant les terroristes islamiques déterminés à détruire Israël. Ce n’est qu’un exemple de la dialectique matérialiste du communisme à l’œuvre. Les communistes créent le poison et l’antidote dans le même laboratoire. Ils utilisent les attaques terroristes islamiques comme prétexte pour faire avancer le Sionisme. La façade de politique anti-israélite développée subséquemment dans les pays communistes n’a été que pour consommation publique. En fait, ce sont les mêmes forces sionistes qui ont inspiré et contrôlé tous les pays communistes, incluant la Chine communiste et le Russie communiste. Le communisme marxiste provient directement du Talmud. Bien que ça semble difficile à croire, c’est à vrai dire le même groupe de manipulateurs qui tire les ficelles du terrorisme islamique et des réactions de représailles des pays qui sont les cibles des attaques terroristes, y compris Israël et les États-Unis. Pendant tout ce temps, ces manipulateurs avancent petit à petit vers leur but sioniste de domination mondiale.
La guerre américaine contre le terrorisme au nord de l’Afghanistan, en réaction aux attaques du 11 septembre sur le WTC et le Pentagone, en est un exemple frappant. Les États-Unis boutèrent les forces talibanaises hors du nord de l’Afghanistan (en réalité, beaucoup de Talibans ont simplement changé d’allégeance pour s’attacher à l’Alliance du nord quand il fut devenu évident que les Talibans formaient l’équipe perdante). Les U.S.A. ont remis le contrôle du Nord de l’Afghanistan à l’Alliance du nord. Celle-ci a ensuite accueilli l’armée russe. Les Russes contrôlent maintenant la plus grande portion du Nord de l’Afghanistan. Les États-Unis ont fait le sale boulot et la Russie ramassent le butin. Et qui contrôle les Russes ? Les Juifs sionistes, évidemment. Comme vous voyez, étape par étape, ils atteignent leurs buts.
La preuve de la malfaisance gouvernementale orchestrée par les Juifs dans la destruction des tours, le 11 septembre, fait de plus en plus surface. Le Président George W. Bush déclara ce qui suit, lors de son discours donné le 10 novembre 2001 devant l’Assemblée générale de l’ONU : « Ne tolérons en aucun moment les outrageantes théories de conspiration concernant les attaques du 11 septembre — mensonges malicieux qui tentent d’éloigner le blâme des terroristes eux-mêmes, loin des coupables. »[21]
Pourquoi George W. Bush se soucie-t-il tant des discussions suggérant une conspiration ? La réponse apparaîtra clairement lorsque vous lirez le compte-rendu de Illarion Bykov et Jared Israel sur la chronologie des événements du 11 septembre, qui révèle la conduite suspecte de George Bush cette journée-là :
« La journaliste de l’Associated Press (AP), Sonya Ross, était l’un des reporters couvrant le voyage de Bush en Floride, le 11 septembre 2001. Mme Ross était en route pour l’École Booker, ou y était déjà, quand elle entendit la nouvelle du premier écrasement sur le World Trade Center : “Mon cellulaire se mit à sonner au moment où la file de voitures du Président Bush se rendait à l’école élémentaire Emma-E.-Booker, à Sarasota, en Floride. Un collègue rapporta qu’un avion s’était écrasé dans le World Trade Center à New York. Pas plus d’information. J’appelai le bureau de l’AP à Washington pour plus de détails. Même information peu abondante. Mais je savais que ce devait être sérieux. Je cherchai un fonctionnaire de la Maison Blanche pour lui poser des questions, mais personne n’était disponible abant 9h05.” Mme Ross cherchait un fonctionnaire de la Maison Blanche parce qu’elle savait que le personnel de Bush serait mieux informé que l’Associated Press.
« Le Président Bush n’est pas une personne ordinaire. Il voyage avec une équipe complète. Ces gens sont responsables de recevoir, de filtrer et de transmettre l’information administrative et militaire. Le chef d’équipe, Andrew Card, organise et coordonne les membres de cette équipe et communique avec le Président. En outre, Bush possède le Service Secret, responsable de sa sécurité. Les membres de cette équipe de support ont le meilleur équipement de communication au monde. Ils maintiennent le contact avec le cabinet de Bush, ou peuvent le joindre facilement, ainsi que le Centre de Commandement Militaire National (NMCC) au Pentagone, l’Administration de l’Aviation Fédérale (FAA) et les agents du Service Secret qui sont restés derrière, à la Maison Blanche, etc.
« Étant donné que le système d’information du Président est de loin plus étendu et sophistiqué que ce qui est accessible à un reporter, il semble plus que plausible que le temps que Mme Ross ait pu entendre parler du premier crash sur le WTC — c’est-à-dire, alors que la file de voitures de Bush se rendait à l’École élémentaire Booker — le Président connaissait déjà le tragique événement. Des sources publiques le confirment. Le journaliste d’ABC, John Cochran, voyageait avec le Président. Il rapporta, sur ABC TV, le mardi matin [il parle ici à Peter Jennings] : “Peter, comme vous le savez, le Président est ici en Floride pour parler d’éducation. Il est sorti de sa suite à l’hôtel ce matin et il était sur le point de quitter, quand les reporters virent le chef d’équipe de la Maison Blanche, Andy Card, lui murmurer à l’oreille. Le reporter demanda au Président ‘Savez-vous ce qui se passe à New York ?’ Il répondit qu’il le savait et qu’il aurait quelque chose à dire à ce sujet plus tard. Son premier événement de la journée se situait à une demi-heure, à l’école élémentaire de Sarasota, en Floride.” Donc, Bush connaissait le premier incident du WTC avant de quitter l’hôtel.
« Que savait-il [Bush] d’autre ? La réponse à cette question découle de ce qu’a révélé le Vice-président Richard Cheney, probablement de façon involontaire, à MEET THE PRESS, dimanche le 16 septembre. Même sans le reportage de John Cochran sur ABC, les commentaires de Cheney constituent la preuve qu’avant que le Président Bush se rende à l’école Booker, il savait qu’un avion avait été détourné et s’était écrasé sur une tour du WTC. Cheney parlait à un journaliste de MEET THE PRESS, Tim Russert, à propos de l’itinéraire du vol d’American Flight 77, qui frappa le Pentagone. Voici l’échange :
Vice-président Cheney : …tout ce que nous pouvons dire, c’est qu’il [le Vol 77 d’American Airlines] se rendait initialement à la Maison Blanche…
M. Russert : L’avion tourna réellement autour de la Maison Blanche ?
Vice-président Cheney : Il ne tourna pas autour, il fut dirigé dessus. Le Service Secret a un arrangement avec la FAA. Ils avaient ouvert les lignes après que le World Trade Center fut…
M. Russert : …suivi par radar.
Vice-président Cheney : Et quand il pénétra dans la zone dangereuse et qu’il sembla se diriger sur la Maison Blanche, c’est là qu’on m’agrippa et qu’on m’évacua vers le soubassement… (etc.)” [transcription de MEET THE PRESS].
« Il appert que Cheney a peut-être trahi le fait crucial que le Service Secret possède une ligne ouverte avec la FAA, puis, réalisant qu’il parlait trop, il stoppa sans compléter sa phrase. Mais s’il a vraiment trop parlé, il a stoppé trop tard. Il est évident que la phrase allait se terminer par le mot “frappé”, ou quelque chose du genre.
* * *
« Ainsi donc, au moment où le Vol numéro 11 d’American Airlines s’écrasa sur le World Trade Center, autour de 8h46, et plus vraisemblablement avant que cela n’arrive, le Service Secret savait ce que savait aussi la FAA. Or, que savait la FAA ? La FAA admit qu’à 8h20, elle “suspectait” que le Vol 11 d’American Airlines avait été pris en otage. Et, selon la version officielle diffusée le 14 septembre : “À 8h40 [la] FAA avise le NEADS [le Secteur Nord-est de la Défense Aérienne] de NORAD, le système de défense civil de l’armée, au sujet du Vol 11 [i.e., qu’il a été détourné].” Newsday, 23 septembre 2001.
« Donc, en se basant sur la version officielle, le Service Secret savait, à 8h40 ou avant, que le Vol 11 avait été pris en otage. Et, puisque la FAA suivait le Vol 11, comme le faisait le Centre de Commandement Militaire National, qui est avisé des détournements et a accès au radar dans tous les coins du pays, il est définitif qu’à 8h46 le Service Secret savait qu’un avion détourné s’était écrasé sur le World Trade Center.
« Ainsi, d’après la version officielle, avant que le Président n’entre dans l’École Booker, et même apparemment avant qu’il ne quitte l’hôtel, le Service Secret savait que, pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, des terroristes avaient attaqué le pays par les airs.
« Le Service Secret, qui emploie plus de 4 000 personnes, possède plusieurs responsabilités. La plus importante est de protéger le Président. Et sûrement qu’en premier, cela veut dire l’éloigner de tout danger inutile parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir. C’est spécialement vrai en ce qui a trait à certains dangers en particulier :
« Pendant la guerre froide, quand les agents de la sécurité avaient l’habitude de jouer à des simulations de guerre copiant les menaces terroristes contre la Maison Blanche, le seul problème insoluble était un avion commercial bourré d’explosifs prenant le chemin normal de son vol planifié à l’Aéroport National de Washington, puis déviant de son cap pour entamer un plongeon suicide sur la Maison Blanche » (TIME Magazine).
« Le Service Secret est depuis longtemps au courant qu’un des dangers les plus délicats qui se pose pour la sécurité est l’attaque suicide d’un avion commercial détourné provenant d’un aéroport des environs. Le jour où des avions seraient détournés à partir de différents aéroports et s’écraseraient sur des bâtiments, la première précaution de haute sécurité est d’éloigner le Président d’un rendez-vous annoncé publiquement dans un building près d’un aéroport. L’École Booker est à moins de 8 kilomètres de l’Aéroport International de Sarasota-Bradenton.[22]
Pourquoi permit-on au Président Bush de maintenir sa cédule et d’apparaître à l’école ? Peut-être connaissait-on les cibles visées et savait-on qu’il n’y avait pas de danger ? Comment puis-je me permettre d’avancer pareille hypothèse ? Examinons la conduite de Bush, cette journée-là. L’Associated Press rapporta ce qui suit, le 12 septembre : « À Sarasota, en Floride, Bush faisait la lecture à des enfants dans une classe, à 9h05, quand son chef du personnel, Andrew Card, lui murmura à l’oreille. Le visage du Président s’assombrit brièvement avant qu’il ne reprenne sa lecture. Il aborda la tragédie environ une demi-heure plus tard. »[23]
Avez-vous saisi ? Bush est maintenant mis au courant qu’un deuxième avion vient de s’écraser sur les tours du World Trade Center et il continue à faire la lecture à des enfants. Comme nous l’avons précédemment établi, il savait vraisemblablement qu’une première frappe était sans aucun doute le fait d’une attaque terroriste et, maintenant, cela est confirmé par un second avion frappant la deuxième tour, et il reprend la lecture d’une histoire à des enfants ! Pourquoi le Président des États-Unis ne prit-il pas immédiatement action ? La réponse n’arriva que deux mois plus tard, durant une réunion de la ville à Sarasota, en Floride, le 4 décembre 2001. Jetons directement un coup d’œil sur ce qu’il a dit, dans la transcription officielle sur le site Internet de la Maison Blanche : « Eh bien, Jordan, vous ne croiriez pas dans quel état je me trouvais quand j’ai entendu parler de l’attaque terroriste. J’étais en Floride. Et mon Chef du Personnel, Andy Card — en réalité, j’étais dans une classe d’école à parler d’un programme de lecture qui fonctionne. J’étais assis en dehors de la classe, en attendant d’entrer, et je vis un avion frapper la tour — de toute évidence, la télé était sur les lieux. Il m’est arrivé de voler moi-même et je me dis, eh bien, voilà un pilote terrible. J’ai dit que ç’avait dû être un accident horrible. Puis, je suis parti comme une flèche, car je n’avais pas beaucoup le temps de penser à cela. Et je me suis assis dans la classe, et Andy Card, mon Chef du Personnel, qui est assis ici, se rendit à moi et me dit : “Un deuxième avion a frappé la tour, l’Amérique est attaquée.” »[24]
George Bush a dit qu’il a vu à la télé le premier avion frapper la première tour. Quel vidéo regardait-il donc ? Aucun réseau de médias dans tout le pays ne posséda de vidéo du premier crash d’avion, disponible pour diffusion, avant plusieurs heures ; or, Bush pu voir le crash en dedans de quelques minutes. Les seules personnes pouvant avoir un vidéo aussi rapidement accessible auraient été celles qui savaient d’avance ce qui allait arriver et étaient prêtes à filmer. Par ailleurs, le Vice-président Cheney avait déclaré qu’ils possédaient une ligne directe avec la FAA qui avait soupçonné, à 8h20, que le premier avion était détourné et avait avisé la NORAD de la chose à 8h40. Le fait que l’avion avait été détourné fut confirmé lorsqu’il plongea dans la première tour du World Trade Center, à 8h46. Pourtant, le Président Bush, qui est lui-même pilote, et pendant qu’il regardait le film, eut une réaction bizarre : « Je me dis, eh bien, voilà un pilote terrible. J’ai dit que ç’avait dû être un accident horrible. » Il savait déjà que l’avion avait probablement été détourné parce que le Service Secret avait une ligne ouverte avec la FAA qui possédait, avant qu’il frappe la tour, l’information que l’avion avait été détourné. Or, en regardant l’avion piraté s’écraser sur la plus haute structure du monde de fabrication humaine, un jour clair avec libre visibilité à des milles à la ronde, il a dit : « voilà un pilote terrible » et, plus tard, « ça a dû être un horrible accident ! » Pas très crédible. Et ça empire lorsqu’on lui confie qu’un second avion s’est écrasé et que le chef du personnel lui dit explicitement « L’Amérique est attaquée, » il continue à lire une histoire aux enfants. Ce n’est pas là l’attitude d’un leader, c’est la conduite d’une marionnette qui prétend ne pas vraiment savoir ce qui est en train de se passer et qui attend des instructions sur ce qu’il doit faire ensuite. Il est tellement contrôlé et sa conscience est si endurcie que les plus horrifiantes attaques survenues sur notre grand pays ne l’ont même pas mis en phase. Rappelez-vous qu’avant qu’on lui parle du second crash, il avait vu un vidéo du premier écrasement et sa réaction avait été de ne rien faire regardant les questions de sécurité nationales. Puis, quand on l’avise du deuxième crash, il demeure imperturbable, et il continue sa lecture aux enfants, là où il l’avait laissée. Ce qu’il y a de plus étonnant et de plus révélateur dans tout cet épisode, c’est qu’il n’y a rien eu de tout cela dans les médias. Les maîtres marionnettistes contrôlent, non seulement Bush, ils contrôlent aussi les médias. On n’a posé aucune question au Président Bush à propos de sa conduite étrange ou de ses déclarations incroyables. Cela devrait donner au lecteur l’idée de l’ampleur du pouvoir et du contrôle exercé par les conspirateurs.
Ceux qui sont derrière la conspiration ont tellement le souci de garder le couvercle fermé sur les événements, que Bush et le Vice-président Cheney ont même fait du lobbying auprès des membres du Congrès pour qu’ils n’y regardent pas de trop près la cause de la tragédie du 11 septembre. La boiteuse excuse qu’a fournie Bush pour expliquer ses efforts lobbyistes, c’est qu’une enquête complète « enlèverait des ressources et du personnel aux efforts de guerre contre le terrorisme. »[25] Leurs efforts de lobbying sont, en réalité, une tentative transparente d’amener le Congrès à se prêter à une dissimulation.
Et le Congrès semble enclin à honorer la requête de Bush. Le Leader de la Majorité Sénatoriale, Tom Daschle, a promis qu’il « limiterait la portée et l’examen global de ce qui est arrivé ».[26] Ce que Daschle veut dire par là, c’est qu’il va s’assurer que l’on n’ira pas au fond de ce qui s’est réellement produit. Le congressiste Porter Goss et le Sénateur Bob Graham, qui sont chacun à la tête des comités de renseignements dans leurs Chambres de Congrès respectives, assurèrent tous deux le Président que l’enquête congressionnelle conjointe, commencée en février 2002, ne serait qu’une enquête de recherche progressive seulement. On ne verra qu’à amener les réformes gouvernementales réclamées. La question devient donc : comment peuvent-ils déterminer quelles doivent être les réformes sans d’abord comprendre ce qui a mal été ? La réponse évidente est qu’ils se fichent de trouver ce qui a mal été, parce qu’ils sont effrayés de ce qui pourrait en advenir, ou bien ils savent ce qui en adviendrait parce qu’ils sont impliqués jusqu’au cou. Essentiellement, le Président Bush, le Vice-président Cheney et les leaders congressistes se sont mis d’accord pour couvrir l’affaire.
Quelle est cette preuve que le Congrès et le Président essaient de cacher au public américain ? Pour commencer, six semaines avant la destruction du WTC, David Schippers, chef du conseil d’enquête dans la mise en accusation de Clinton, avait appris, par des agents du FBI, au Minnesota et à Chicago, qu’une attaque massive se préparait dans le bas de Manhattan. Schippers tenta d’avertir le Procureur général John Ashcroft. Cependant, des fonctionnaires du Département de la Justice repoussèrent les tentatives de Schippers de faire parvenir l’information à Ashcroft.[27] La raison pour laquelle Schippers essaya d’avertir Ashcroft directement était que les agents du FBI qu’il représentait étaient frustrés du manque d’actions prises par le FBI et le Département de la Justice lorsqu’ils remontèrent la chaîne de commandement pour essayer de stopper la menace évidente.
L’attaque planifiée était très bien connue au sein du FBI. Tel qu’expliqué par un des agents du FBI, on relève le haut degré de connaissance au sein du FBI par le fait que « en dedans de 24 heures [de l’attaque du WTC], le Bureau avait identifié environ 20 personnes et des photos furent envoyées aux médias. Évidemment, cette information était tout aussi accessible dans les dossiers, mais quelqu’un s’assoyait dessus. »[28]
Un des conspirateurs terroristes était déjà en détention avant l’attaque du 11 septembre. Zacarias Mousaui fut arrêté le 16 août 2001 par le FBI après qu’il eut essayé de recevoir un entraînement de vol de Jumbo Jet Boeing 747. Mousaui n’était pas la plus brillante lumière de ce chandelier de la terreur. Il proclama venir de France, mais quand l’instructeur de vol lui parla français, il ne comprit pas ce que l’instructeur lui disait. Il aborda avec les instructeurs de vol la question de la quantité d’essence transportée par un 747 et quel dommage cela ferait s’il percutait quelque chose. Mousaui ne se préoccupait pas de savoir comment décoller ou atterrir, il ne voulait qu’apprendre comment diriger l’avion. Il était si évident aux yeux des employés de l’école de vol que Mousaui était un pirate de l’air potentiel qu’ils appelèrent le FBI qui l’arrêta.
Quand l’Académie de vols internationaux de la Pan Am souleva avec la FAA des questions à propos d’un autre conspirateur vis-à-vis l’incapacité de Hani Hanjour de parler anglais, langage international de l’aviation, un représentant de la FAA s’assit en classe et observa Hanjour, et discuta avec l’école pour que quelqu’un lui serve de tuteur en anglais. Il s’avéra, toutefois, que Hanjour n’avait pas besoin d’habiletés linguistiques anglaises pour faire plonger le Vol 77 d’American Airlines dans le Pentagone.
Un bout de preuve que le Gouvernement américain et les médias juifs ne permettront jamais d’être diffusé, c’est le lien entre Israël et la destruction du WTC. Des témoins en colère rapportèrent avoir vu trois groupes d’hommes séparés, en trois endroits différents, célébrant pendant qu’ils regardaient l’attaque du World Trade Center, le 11 septembre 2001. On vit un des groupes célébrer à Union City. Les témoins rapportèrent les numéros de plaque à la police qui arrêta plus tard les hommes en question. Des témoins virent aussi trois hommes au Parc Liberty State, au New Jersey, en train de filmer l’attaque du World Trade Center. Après l’attaque, on vit les hommes pousser des hourras et sauter de joie. Ces hommes furent également arrêtés par la police plusieurs heures après l’attaque. Des sources proches de l’enquête déclarèrent qu’il apparut que les hommes étaient impliqués dans l’attentat et savaient d’avance le moment où il allait survenir. Des témoins virent un autre groupe de cinq personnes qui filmaient le gratte-ciel fumant de New York à partir du toit d’un autre building. Un voisin fut témoin qu’un des hommes poussait des cris de joie et de raillerie. Huit heures plus tard, ces hommes furent arrêtés et on les trouva en possession de cartes géographiques et d’autres preuves en lien avec l’attaque. Qui étaient ces hommes ? Ils étaient tous Israéliens ! Tous ces hommes étaient reliés à des compagnies de déménagement appartenant à Israël, sises à New York et au New Jersey.[29] Plus encore, on découvrit que ces Israéliens arrêtés étaient des agents du Mossad, et que les compagnies de déménagement étaient toutes des couvertures pour des opérations du Mossad.[30]
Les attestations d’une implication d’Israël dans les attaques du 11 septembre 2001 ne s’arrêtent pas là. Un communiqué de l’Administration de l’Aviation Fédérale (FAA), estampillé en date du 11 septembre 2001, a refait surface, donnant les détails spécifiques d’une fusillade survenue à bord du Vol 11 piraté de l’American Airlines qui avait décollé de l’Aéroport Logan de Boston et qui s’est écrasé dans la Tour nord du World Trade Center, le matin du 11 septembre 2001. Dans une partie pertinente, le communiqué de la FAA déclare : « L’Inspecteur principal de la Sécurité (PSI) de la FAA d’American Airlines a été avisé par Suzanne Clark du Bureau chef corporatif d’American Airlines qu’une préposée à bord du vol a contacté le Centre d’Opérations d’American Airlines et l’a informé qu’un passager occupant le siège 10B à tiré et tué le passager occupant le siège 9B (…) Le passager tué est Daniel Lewin, tiré par le passager Satam Al Suqami. On rapporte qu’un seul coup de feu a été tiré. »[31] La FAA a essayé d’expliquer que l’information du communiqué était erronée. Cependant, Steve Elson, ancien inspecteur de la sécurité d’aéroport de la FAA, a dit à World Net Daily qu’il connaît personnellement l’auteure du communiqué et qu’il a confiance en la précision du communiqué malgré les affirmations de la FAA disant qu’il est erroné. Il déclara que le communiqué fut remis en main propre à l’Administratrice de la FAA, Jane Garvey. Elson souligna que, en plus de sa connaissance personnelle de la compétence et de la véracité de l’auteure du communiqué, « [l]a spécificité de la formulation — le numéro de siège des passagers, qui a tiré sur qui et le tir d’une seule balle — rend l’erreur improbable. »[32] Réfléchissez-y, une préposée à bord du vol donne une information détaillée identifiant le nom de la victime, le tireur et où chacun était assis. Cela indique que la préposée au vol donnait avis d’un événement réel dont elle était probablement témoin visuel, ce n’était donc pas le fruit de son imagination.
Pourquoi le fait que l’un des pirates eut un pistolet est-il significatif ? Rappelez-vous que les attaques du 11 septembre étaient planifiées et orchestrées soigneusement. Les pirates n’auraient pris aucune chance que quiconque se fasse prendre dans les avions avant qu’ils ne décollent. Le pirate portant un revolver devait s’assurer de réussir à entrer dans l’avion avec ce revolver. Afin de pouvoir passer les détecteurs de métaux, il a dû recevoir de l’aide de la sécurité de l’aéroport. L’assistance de la sécurité de l’aéroport devait faire partie intégrante du plan. C’est pourquoi la FAA et les grands médias se soucient tellement de dissimuler le fait que les pirates possédaient des armes. La FAA et les médias ne veulent pas qu’on puisse faire le moindre lien entre les pirates et la compagnie de sécurité de chacun des aéroports. Parce que si la connexion se faisait, cela impliquerait Israël.
La sécurité de l’aéroport Logan de Boston fut fournie, le 11 septembre 2001, par la ICTS, au moyen de la filiale qui lui appartient entièrement, la Huntleigh USA Corp..[33] L’Aéroport Logan de Boston fut le point de départ du Vol 11 d’American Airlines qui s’écrasa sur la tour nord du World Trade Center, et du Vol 175 de la United Airlines qui se crasha dans la tour sud du WTC. Le site Internet de la ICTS révèle qu’elle a fourni la sécurité de l’Aéroport Dulles de Washington, lequel fut le point de décollage du Vol 77 d’American Airlines s’étant par la suite écrasé sur le Pentagone. Le site Internet de la ICTS révèle également que cette même ICTS a pourvu à la sécurité de l’Aéroport International de Newark, point de départ du Vol 93 de la United Airlines, quatrième avion détourné le 11 septembre et qui s’est écrasé dans le Comté de Somerset, en Pennsylvanie, au sud-est de Pittsburgh. Il est fort intéressant de constater que la ICTS fournit aussi la sécurité des aéroports de Moscou, de St-Pétersbourg et d’autres villes du bloc communiste d’Europe de l’Est.[34]
Quelle est l’importance de l’ICTS ? ICTS est une compagnie israélienne de sécurité, propriété de Ezra Harel et enregistrée aux Pays-Bas. D’après le site Internet de l’ICTS (International Consultants on Targeted Security – Conseillers Internationaux en Sécurité Ciblée) celle-ci « fut fondée en 1982 par un groupe sélect de gens d’affaires israéliens, anciens officiers et vétérans au commandement militaire des agences de sécurité et de renseignement du gouvernement, en tant que compagnie privée dédiée à la fourniture de services de sécurité. »[35] Bon nombre des membres du personnel de la ICTS sont d’anciens officiers du Shin Bet. Le Shin Bet est le service de contre-espionnage et de sécurité interne israélien. Richard Reid, le Britannique suspecté d’avoir tenté de faire sauter des explosifs dans sa chaussure, à bord d’un vol en direction des États-Unis, en décembre 2001, était parti de l’Aéroport de Ben Gurion, à Tel Aviv, Israël, avec escale à l’Aéroport Charles de Gaulle, à Paris, d’où il s’envola à bord du vol pour les États-Unis. C’est pendant le vol vers les U.S.A. qu’il fut appréhendé et qu’il tenta de faire sauter les explosifs dans sa chaussure. L’ICTS était responsable de la sécurité de l’Aéroport Charles de Gaulle, à Paris, et a fourni le logiciel du profil de pirate de l’air au Gouvernement israélien utilisé à l’Aéroport de Ben Gurion, à Tel Aviv, en Israël.
Donc, l’image devient plus claire à savoir comment les pirates pouvaient être sûrs d’embarquer à bord du Vol 11 d’American Airlines à l’Aéroport Logan de Boston avec un revolver. L’ICTS leur donna l’aide voulue. Il est curieux que les deux vols qui frappèrent les Tours du World Trade Center provenaient de l’Aéroport Logan. L’ICTS pourvut également à la sécurité des aéroports de décollage des deux autres vols piratés du 11 septembre 2001. Il est certainement possible qu’il y ait eu des armes passées en fraude dans les autres avions, grâce à l’aide de la ICTS et que ces faits ont été supprimés. Que l’ICTS, de son propre aveu, soit composé d’un « groupe sélect de gens d’affaires israéliens, anciens officiers et vétérans au commandement militaire des agences de sécurité et de renseignement du gouvernement, »[36] n’est qu’une preuve supplémentaire qui pointe Israël du doigt en tant que coupable derrière les attaques du 11 septembre 2001.
L’amour de l’argent est la racine de tous les maux (1 Timothée 6:10). Une des manières de déterminer qui est derrière une entreprise criminelle, c’est de suivre où va l’argent. On peut employer cette technique pour déterminer qui est derrière la destruction du World Trade Center. Vous vous demanderez peut-être comment quelqu’un a pu faire de l’argent avec la destruction du WTC ? C’est un genre d’investissement où les investisseurs peuvent faire de l’argent si du stock baisse de prix. Dans le cas des événements du 11 septembre 2001, où des jets de l’American Airlines et de la United Airlines furent détournés et dirigés sur le Pentagone et les Tours du World Trade Center, il y a eu certaines activités inhabituelles regardant l’achat de gros amas d’options de vente sur ces stocks. Des options de ventes sont des instruments d’investissement à haute puissance de levier qui grimpent de valeur lorsque le stock baisse de prix. En plus des achats massifs d’options de vente sur les United et American Airlines, il y eut également de vastes achats d’options de vente opérés sur les stocks de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie, qui occupaient chacun les 22e étages du World Trade Center. Comme l’espéraient les conspirateurs, après la destruction du World Trade Center, les prix de chaque stock mentionnés ci-haut chutèrent, rapportant des millions à ceux qui avaient acheté les options de vente.
Pour vous donner une idée de l’activité concernant ces options dans les quatre derniers jours précédant l’attaque du 11 septembre, 12 215 options de vente furent achetées sur le stock de Merrill Lynch. Le volume quotidien moyen d’options de vente sur le stock de Merrill Lynch, avant ces quatre jours, se montait à 252 options d’achat par jour. Ce fut donc une croissance de 1200 % du marché des options de vente, juste avant l’attaque. Par suite de la chute des prix du stock de Merrill Lynch, ces options de vente générèrent un profit approximatif de 5,5 millions $. Ces 5,5 M $ constituaient le profit touché sur le commerce des options de vente de Merrill Lynch seulement.
Ces commerces d’options de vente résultent du négoce d’individus qui possèdent des informations internes provenant de quelqu’un étroitement impliqué dans les détails de l’attaque. Non seulement connaissaient-ils la cible, le World Trade Center, mais ils savaient spécifiquement quelles compagnies aériennes seraient employées pour atteindre cette cible. Le San Francisco Chronicle est le seul journal du pays à avoir rapporté que des investisseurs devaient encore collecter plus de 2,5 M $ en profit qu’ils firent en négociant des options sur le stock de la United Airlines avant les attaques terroristes du 11 septembre. Les négociants n’osent pas se montrer maintenant, parce que le volumineux commerce d’options de vente indique de manière évidente une connaissance interne à propos des attaques. Apparemment, la suspension du commerce pendant les quatre jours suivant les attaques les mit dans l’impossibilité de réclamer rapidement leur prix avant que les enquêteurs ne pigent. Maintenant, il est trop tard pour qu’ils fassent des profits. S’ils s’étaient envolés avec 2,5 M $, cela aurait indiqué clairement qu’ils sont loin d’être innocents.
Comment ces affaires commerciales nous aident-elles à identifier qui est derrière les attaques ? Les enquêteurs ont découvert qu’une firme bancaire d’investissement, du nom de Alex Brown Inc., acheta un grand nombre des options de vente mentionnées plus haut sur le stock de la United Airlines. Alex Brown Inc. est la plus ancienne banque d’investissement d’Amérique. Le hic, c’est que A. B. « Buzzy » Krongard, le Directeur exécutif de l’Agence Centrale de Renseignements (CIA), est l’ancien Président de Alex Brown Inc..[37] Krongard fit quelques déclarations révélatrices dans un article récent du Washington Post. Il déclara que, si vous retournez aux origines de la CIA, durant la Deuxième Guerre Mondiale, au Bureau des Services Stratégiques (OSS), « tout l’OSS était ni plus ni moins que des banquiers et des avocats de Wall Street. »[38]
Ceux qui, dans le secret des événements, achetèrent les options de vente sur le stock de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie crurent miser sur une affaire certaine. Comment pouvaient-ils être si sûrs, alors, que les deux tours seraient détruites par les avions et que cela détruirait du même coup les bureaux de Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie ? Il y avait aussi la chance que les avions frappent les tours et des endroits que n’occupaient pas Morgan Stanley Dean Witter & Cie et Merrill Lynch & Cie. Il était loin d’être certain que les deux avions fassent assez de dommages pour que les deux tours s’écroulent. Le vaste amas d’options de ventes engagées suggère qu’ils considéraient l’écroulement des tours comme une chose certaine. Comment pouvaient-ils être aussi certains que les deux tours tombassent alors que l’architecte du WTC dessina les tours pour qu’elles survivent à de telles collisions ? La raison, c’est qu’ils savaient que la destruction des tours était préréglée grâce à des charges de démolition qui les jetèrent au sol sans coup férir. Des témoins visuels racontent avoir vu des bombes exploser à l’intérieur du World Trade Center avant que les Tours jumelles s’écroulent, mais leurs récits ont été complètement ignorés des grands réseaux de médias. Christopher Bollyn, reporter pour le compte de l’American Free Press, a écrit l’article qui suit concernant les récits de témoins visuels et auditifs des explosions causant l’écroulement des Tours du WTC.
« En dépit des nombreux témoins visuels et des experts, y compris des reporters de nouvelles sur la scène, qui entendirent et virent des explosions immédiatement avant l’écroulement du World Trade Center, on les a virtuellement fait passer sous silence dans le grand courant médiatique.
« Les téléspectateurs regardant les événements horribles du 11 septembre virent l’évidente occurence d’explosions avant l’écroulement des tours. Des images télévisées montrèrent ce qui apparut comme une énorme explosion survenant près du niveau du sol, à proximité du Salomon Brothers Building de 47 étages, connu sous le nom de WTC 7, avant l’écroulement de la première tour.
« Van Romero, expert en explosifs et ancien directeur du Centre de Recherches et d’Essais en Matériaux Énergétiques chez New Mexico Tech, dit, en parlant du 11 septembre : “J’ai pour opinion, en me basant sur les vidéos, qu’après que les avions eurent frappé le World Trade Center, il y a eu plusieurs dispositifs d’explosifs à l’intérieur des buildings qui causèrent l’écroulement des tours.”
« L’effondrement des structures ressemble aux implosions contrôlées utilisées pour démolir les vieilles structures et fut “trop méthodique pour être un coup de chance résultant de la collision des avions entrant dans les structures”, dit Romero à The Albuquerque Journal, quelques heures après l’attaque.
« Les implosions sont de violents affaissement par l’intérieur qui sont employées pour démolir les buildings dans les régions densément occupées, pour prévenir des dommages aux constructions environnantes. Des explosifs calculés avec précision sont placés sur les colonnes et les poutres stratégiques supportant le poids afin de causer un écroulement contrôlé.
« Les experts disent que les tours sont les buildings les plus difficiles à mettre au sol d’une façon contrôlée. Une tour a tendance à tomber comme un arbre, à moins que la direction de sa chute ne soit contrôlée par des charges directionnelles. Les tours du WTC tombèrent nettement, comme des “cheminées”, en croulant à l’intérieur des limites de leurs fondations.
« Les sceptiques disent que cela ne pouvait être arrivé par hasard et que cela a dû se produire en plaçant des charges internes stratégiquement et précisément situées. Des images de vidéo peuvent révéler ces charges internes précipitant la démolition contrôlée des tours et du WTC 7.
« Romero est Vice-président des Recherches à l’Institut des Mines et de la Technologie du Nouveau Mexique, qui fait l’étude du matériel explosif et des effets des explosions sur les buildings, les avions et autres structures ; il a fréquemment aidé aux enquêtes légales dans les attaques terroristes, souvent en mettant sur pied des explosions similaires pour en étudier les effets.
« Après avoir été touchées par les avions, les tours jumelles semblaient être stables. Puis, sans avertissement, à 9h58, la tour sud implosa verticalement en s’écroulant au sol, 53 minutes après avoir été frappée. À 10h28, soit 88 minutes après avoir été touchée, la tour nord s’affaissait.
« “Il serait difficile pour quelque chose provenant de l’avion de déclencher un événement comme celui-là,” dit Romero. Si ce sont des explosions qui causèrent l’écroulement des tours, “ce devait être une quantité relativement petite d’explosifs placés à des points stratégiques,” dit-il.
« “Une des choses pour lesquelles sont reconnus les terroristes, c’est une attaque de diversion suivie d’un second dispositif,” continue Romero. Les attaquants font partir une explosion initiale pour faire diversion, dans ce cas-ci, une collision des avions dans les tours qui amène le personnel d’urgence sur la scène, ensuite ils provoquent la seconde explosion.
« Dix jours après les attaques, à la suite des critiques formulées à l’endroit de ses remarques initiales, Romero fit volte-face dans son analyse de l’écroulement : “Le feu est certainement la cause de la chute du building,” dit-il au journal, le 21 septembre.
« Les tours jumelles furent frappées par des Boeing 767 transportant environ 23 000 gallons de fuel.
« Cependant, il y a une autre information qui donne crédit au premier scénario controversé de Romero.
« Un témoin visuel, dont le bureau est près du World Trade Center, dit à l’AFP qu’il était parmi une foule de gens sur la rue Church, à environ deux blocs et demi de la Tour sud, quand il vit “un certain nombre de brèves sources de lumière émises de l’intérieur du building, entre les 10e et 15e étages.” Il vit environ six de ces courts flashs, accompagnés d’un “craquement sourd” avant que la tour ne s’écroule. Chaque tour possédait six colonnes centrales de support.
« Un des premiers pompiers à être entrés dans la seconde tour sinistrée, Louie Cacchioli, 51 ans, dit au People Weekly, le 24 septembre : “Je faisais monter des pompiers dans l’ascenseur vers le 24e étage pour prendre position afin d’évacuer les travailleurs. Au dernier voyage, une bombe éclata. Nous pensons qu’il y avait des bombes d’installées dans le building.”
« Kim White, 32 ans, employée au 80e étage, rapporta avoir aussi entendu une explosion. “Tout d’un coup, le building a été soudainement secoué, puis, il a commencé à osciller. Nous ne savions pas ce qui se passait,” a-t-elle dit au People. Nous avons fait coucher les gens sur le sol dans les cages d’escalier (…) à ce moment-là, nous pensions qu’il s’agissait d’un feu (…) Nous avons descendu jusqu’au 74e étage (…) et il y a eu une autre explosion.”
« La théorie acceptée dit que les feux faisaient rage dans les tours, les colonnes centrales d’acier dans chaque building étaient chauffées à plus de 2 000 degrés Fahrenheit, faisant se tordre les piliers de support.
« Un chef ingénieur qui dessina les Tours du World Trade Center exprima son choc d’apprendre que les tours s’écroulèrent après avoir été frappées par des avions de passagers.
« “Je les ai dessinées pour qu’un 707 les frappe,” dit Lee Robertson, ingénieur de structure du projet. Le Boeing 707 a la capacité d’emmagasiner plus de 23 000 gallons de fuel, ce qui est comparable au 767 qui accueille 23 980 gallons.
« Un autre architecte du WTC, Aaron Swirski, demeure en Israël et parla à un poste de radio de Jérusalem, après l’attaque : “Il a été dessiné dans l’éventualité de résister à ce genre d’attaque,” dit-il.
« Hyman Brown, professeur en ingénierie civile à l’Université du Colorado et gérant de construction du World Trade Center, était confus en regardant les tours s’écrouler. “[Les tours] étaient conçues pour résister à presque n’importe quoi, y compris les ouragans, les grands vents, les bombardements et le crash d’un avion,” dit-il.
« Brown dit à l’AFP que, même si les buildings étaient dessinés pour résister à “une tempête de 150 ans” et l’impact d’un Boeing 707, la combustion de l’essence du jet à 2 000 degrés Fahrenheit a affaibli l’acier. Brown expliqua que la tour sud s’écroula en premier parce qu’elle avait été frappée plus bas et qu’il y avait plus de poids au-dessus du point d’impact.
« Brown affirma à l’AFP qu’il “n’achetait pas” la théorie selon laquelle l’implosion fut causée par les feux ayant exercé une succion de l’air des étages inférieurs, comme on a avancé.
« Le contracteur que l’on dit avoir été le premier à enlever les moellons restants sur la scène de l’écroulement du WTC, est une compagnie qui se spécialise dans la démolition scientifique de gros buildings, Controlled Demolition Inc. (CDI) de Baltimore, dirigée par Mark Loizeaux.
« CDI est le même contracteur qui a démoli et enlevé la carcasse du building Murrah bombardé de Oklahoma City, actions qui empêchèrent les enquêteurs indépendants de trouver des preuves d’indices suggérant qu’il y avait eu des bombes installées à l’intérieur du building.
« En février 2000, un grand jury fédéral inculpa Mark Loizeaux, Douglas Loizeaux et Controlled Demolition Inc. d’avoir faussement rapporté des contributions de campagne en demandant aux membres de leur famille et aux employés de la CDI de faire des dons à la campagne du Représentant Elijah E. Cummings (D-Md).
« Le Baltimore Sun rapporta que les allégations de contributions illégales survinrent entre 1996 et 1998. Les frères Loizeaux et la CDI furent acquittés en septembre 2000.
« Nettoyer les moellons estimés à 1,2 millions de tonnes va coûter autour de 7 milliards de dollars et va prendre plus d’un an.
« Le ramassage des débris s’est aussi avéré controversé. La police dit que certains morceaux de métal ont été détournés vers des ateliers civils privés plutôt que vers les dépôts de décharge où les enquêteurs examinent les moellons pour trouver les indices et les restes humains.
« Le second avion a presque manqué la Tour sud, n’en coupant qu’un coin. La plus grande quantité de son essence s’est consumé dans une explosion extérieure. Toutefois, ce building s’est écroulé le premier, longtemps avant la Tour nord où un avion similaire était pourtant entré en entier. »[39]
60. Agents provocateurs
La preuve commence peu à peu à surgir que le désastre du World Trade Center du 11 septembre 2001 était du travail interne. Il est clair qu’Israël a le plus à y gagner, et le désastre porte toutes les marques des agents provocateurs sionistes. S’il vous semble trop incroyable que des éléments du gouvernement américain puissent se trouver derrière le désastre du WTC, considérez « l’Opération Northwoods » de 1962. Dans son nouvel exposé sur l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) intitulé Body of Secrets, l’auteur James Bramford révéla qu’en 1962, tous les membres des Chefs d’Équipage Conjoints de l’Armée des États-Unis ourdirent un plan secret baptisé du nom de code « Opération Northwoods ». Le plan appelait le gouvernement américain à diriger des actions terroristes contre des Américains et à en blâmer Cuba, pour créer un sentiment populaire en faveur d’une invasion de Cuba.
Bramford fut en mesure d’obtenir un mémoire jadis top secret qui mettait en branle des plans spécifiques d’actions violentes de la part du gouvernement américain contre les citoyens des États-Unis, actions qui seraient mis sur le compte de Cuba comme « prétextes pouvant fournir la justification à une intervention armée américaine à Cuba. »[40] « L’Opération Northwoods » comprenait, entre autres, des plans pour abattre un avion de la CIA destiné à reproduire un vol de passager et annoncer que les forces cubaines l’avaient abattu ; faire sauter un bateau américain dans Guantanamo Bay et blâmer Cuba. Le plan déclare que « la liste des victimes dans les journaux américains provoquerait une avantageuse vague d’indignation nationale ». Le plan commandait le développement d’une campagne de terreur dans les régions de Miami et Washington, D.C.. Si le lecteur croit que ce genre de plan est trop irrationnel pour être vrai, allez voir la photocopie scannée en PDF du mémoire original « top secret » que vous retrouverez par le lien Internet dans la note de bas de page au bout de cette phrase et lisez-la vous-même.[41] Les Juifs ont depuis longtemps l’habitude d’employer des agents provocateurs. Le Colonel Jack Mohr explique les méthodes des Sionistes :
« Une grande partie des chrétiens américains n’arrivent pas à réaliser que la plupart des troubles publics, des grèves et de la confusion politique ne surviennent pas au hasard des petits matins de ciel bleu. Ils sont planifiés pour arriver tel quel. Il y a quelques années, la communauté juive de Skokie, en Illinois, fut lancée dans une frénésie totale par un groupe nazi qui sollicitait un permis pour parader à travers la ville. Rien ne fut jamais mentionné à la télévision nationale, ou dans les journaux, quand on découvrit que la “brute” qui paradait dans un uniforme nazi comme leader du groupe nazi était un jeune Juif de la Ligue de Défense des Juifs. Il a été prouvé que de nombreux incidents qualifiés d’anti-sémitisme vicieux, comme la profanation de synagogues et de cimetières juifs, avaient été commis par des brutes juives. C’est un des moyens qu’ils utilisent pour garder le petit Juif en ligne avec les ordres provenant de la Kehillah, et amadouer le public en général par la laideur de ce qu’on perpètre contre le noble Juif innocent. »[42]
Le Colonel Jack Mohr est un défenseur du mouvement Christian Identity. Ce mouvement enseigne que les vraies tribus d’Israël sont les anglo-saxons qui s’installèrent dans les Îles britanniques. Comme nous le soulignerons dans le chapitre suivant, cette doctrine est tout simplement fausse. Selon la Sainte Bible, il n’y a plus de distinction entre Juif et Gentil dans le plan de salut de Dieu. « Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ » (Galates 3:28, VM). L’auteur a inclus du matériel de Jack Mohr parce que son sommaire des faits historiques concernant la conspiration juive est exact.
Les Jésuites ont mis en œuvre un plan d’agitation civile aux États-Unis. Ils ont créé dans le même laboratoire le poison des malaises sociaux et l’antidote de la législation qui restreint les libertés. À chaque tour de vis, ils extraient un peu plus les libertés de l’Amérique. Les Jésuites inventèrent les mouvements pour les droits civils afin de faire passer des lois de « droits civils » qui, en réalité, remplacent les droits que Dieu nous a donnés, protégés par la Constitution, avec des privilèges établis de manière gouvernementale. De nombreux groupes radicaux mourraient dans l’œuf, ou ne seraient pas capables de survivre si ce n’était de quelque entreprise de petits larcins criminels pour amener la monnaie. Entrent alors en scène les banques membres de la Réserve Fédérale qui financent et soutiennent la plupart des groupements radicaux et contrôlent leurs agendas. Malcolm X découvrit que le KKK et la Nation d’Islam possédaient les mêmes trésoriers et il exposa ce fait publiquement. C’est pour cette raison qu’il fut assassiné.
Examinons les preuves. D’après les compte-rendus du FBI à Atlanta, le 28 janvier 1961, l’organisation raciste noire, la Nation d’Islam, rencontra les organisations racistes blanches, le Ku Klux Klan et le Parti Nazi d’Amérique. Malcolm X était dans l’assistance. Maintenant, ayez à l’esprit qu’à l’époque, Malcolm X considérait les blancs comme des « démons aux yeux bleus » et qu’il se réunissait pourtant avec les représentants des éléments blancs les plus racistes et violents. Pourquoi ? Pour planifier une stratégie de troubles raciaux dans le but de donner au gouvernement une bonne raison pour adopter davantage de lois restreignant les libertés.
Ces réunions ont été reconnues par les communistes eux-mêmes. Sur leur site Internet communiste du Parti Progressiste des Travailleurs, ils racontent les faits ci-haut mentionnés ; toutefois, les communistes tournèrent les faits de manière à ce qu’ils semblent être contre de telles activités, alors qu’en réalité, ils étaient, et sont encore, derrière ces groupes racistes. En étalant ces événements, ils ont révélé encore plus de preuves de leur dialectique hegélienne en action. En 1961, lors d’un ralliement de la Nation d’Islam, à Washington, D.C., le nazi américain George Lincoln Rockwell s’assit à la première rangée avec plusieurs douzaines de ses troupiers d’assaut. Quand vint le temps de la collecte, Rockwell s’écria : « George Lincoln Rockwell donne 20 $. » Il y eu tant d’applaudissements qui suivirent que Malcolm X fit cette remarque : « George Lincoln Rockwell, c’est la plus grosse ovation que tu aies jamais eue, non ? » En 1962, à l’annuel Jour du Sauveur de la Nation d’Islam, à Chicago, Rockwell était orateur invité. Il déclara : « Je pense que Elijah Muhammad est le Adolf Hitler de l’homme noir, » et il termina son discours en levant le bras et en criant « Heil Hitler ».[43]
En 1985, Tom Metzger, Grand Dragon du KKK de Californie, fut personnellement invité à assister à un ralliement de la Nation d’Islam, à Los Angeles, et il fit don de 100 $. Après coup, Metzger déclara que le KKK et la Nation d’Islam avaient passé une alliance et que « lui et d’autres organisations nationalistes blanches partageaient des renseignements avec l’organisation des Musulmans Noirs et qu’ils ont agi ainsi pendant un certain temps. »[44]
En octobre de 1985, les leaders de plusieurs organisations de suprématie blanche, comme les Nazis et le KKK, se réunirent dans une ferme à environ 80 kilomètres au nord-ouest de Détroit pour un « congrès unitaire », pendant lequel ils annoncèrent leur soutien à Louis Farrakan et l’organisation de suprématie noire Nation d’Islam.[45]
61. Contrôle juif des médias
On se demandera peut-être pourquoi cela n’a pas été étalé. La réponse, toute simple, c’est que les grands courants médiatiques sont complètement contrôlés par les Juifs sionistes et leurs acolytes. J. P. Morgan était un agent des grands intérêts bancaires internationaux juifs (Rothschild). Le 17 février 1917, le congressiste Oscar Callaway présenta les faits suivants devant le Congrès des États-Unis et qui expliquent les efforts couronnés de succès de la cabale de J. P. Morgan pour contrôler l’opinion publique afin d’engager les États-Unis dans la Première Guerre Mondiale.
M. Callaway : « Monsieur le Président, sous consentement unanime, j’insère ici dans les registres une déclaration démontrant l’association des journaux, ce qui explique leurs activités concernant cette guerre que vient d’aborder le gentleman de la Pennsylvanie. »
[M. Moore] : « En mars 1915, les intérêts J.P. Morgan, l’acier, la construction navale et la poudre, ainsi que leurs filiales, réunirent douze hommes haut placés dans le monde journalistique et les engagèrent pour qu’ils sélectionnent les journaux les plus influents aux États-Unis et un nombre suffisant parmi eux pour contrôler, de façon générale, la politique de la presse quotidienne américaine.
« Ces douze hommes résolurent le problème en sélectionnant 170 journaux, puis, par procédé d’élimination, ils commencèrent à ne retenir que ceux propres au dessein visant à contrôler la politique générale de la presse quotidienne dans tout le pays. Ils constatèrent qu’il n’était nécessaire que d’acheter le contrôle de 25 des plus grands journaux.
« Les 25 journaux furent acceptés d’un commun accord ; des émissaires furent envoyés pour acheter la politique nationale et internationale de ces journaux ; on aboutit à un accord ; la politique des journaux fut achetée sous forme de paiements mensuels ; un rédacteur en chef fut fourni à chaque journal pour superviser adéquatement et rédiger l’information regardant les questions d’alerte, de militarisme, de politique financière et tout autre chose de nature nationale ou internationale considérée comme vitale aux intérêts des acheteurs.
« Ce contrat existe en ce moment-même, et il est responsable des articles de nouvelles de la presse quotidienne du pays qui sont remplies de toutes sortes d’arguments d’alerte et de faux rapports sur la condition présente de l’Armée et la Marine des États-Unis et de la possibilité et la probabilité que les États-Unis soient attaqués par des ennemis étrangers.
« Cette politique comprend également la suppression de tout ce qui peut s’opposer aux désirs des intérêts servis. L’efficacité de ce plan s’est avéré concluante, vu le caractère de la substance véhiculée par la presse quotidienne dans tout le pays depuis mars 1915. Ils ont eu recours à tout ce qui était nécessaire pour faire commerce du sentiment public et manipuler le congrès national pour qu’il accorde des crédits extravagants et prodigues à l’Armée et à la Marine sous la fausse prétention que cela s’avère nécessaire. Leur argument tout fait est qu’il s’agit de “patriotisme”. Ils jouent sur tous les préjugés et toutes les passions du peuple américain. »[46]
Jusqu’à quel point les Jésuites et leurs compagnons de conspiration ont-ils réussi à contrôler l’opinion et la connaissance publiques ? Lisez et pleurez sur la triste vérité alors que John Swinton, ancien Chef du personnel du New York Times, explique l’état de la supposée presse libre aux États-Unis, dans une allocution donnée devant le Club de Presse de New York, en 1953.
« En date d’aujourd’hui dans l’histoire du monde, et en Amérique, la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Aucun de vous n’ose écrire son honnête opinion, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elle ne serait jamais publiée. Je suis payé à chaque semaine pour oblitérer mon honnête opinion du journal auquel je suis lié. D’autres parmi vous sont payés des salaires semblables pour des fins similaires, et quiconque serait assez fou pour écrire ses opinions honnêtes serait jeté à la rue, en quête d’un autre job. Si je permettais qu’apparaissent mes honnêtes opinions, ne serait-ce que dans un seul numéro de mon journal, mon emploi s’évanouirait dans les vingt-quatre heures. La besogne du journaliste, c’est de détruire la vérité ; carrément mentir ; pervertir ; diffamer ; se coucher aux pieds de mammon, vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie que ce toast en l’honneur d’une presse indépendante ! Nous sommes les instruments et les vassaux des richards en arrière-scène. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos capacités et nos vies sont entièrement la propriété de ces hommes-là. Nous sommes des prostitués intellectuels. »[47]
Non seulement les nouvelles sont-elles censurées, mais de nombreuses audiences ostensiblement opposées au gouvernement sont, en réalité, orchestrées pour s’accorder de prime abord avec un script cherchant à tromper le public américain. Par exemple, le Sénateur John Kerry (Parti démocrate, Massaschusetts) fut pris la main dans le sac à arranger un script pour le témoignage de fonctionnaires du Pentagone sur lesquels il était supposé enquêter. Il s’agissait, par l’issue de ce témoignage, de savoir si l’Agence de Renseignements de la Défense (DIA) était capable de confirmer que des photographies aériennes du Vietnam révélaient des signaux laissés par des prisonniers de guerre américains. Kerry essayait d’aider la DIA à démentir les observations, alors que ce qu’il donnait comme impression à la face du public, c’était de trouver la vérité sur les observations. La directrice du personnel de Kerry, Francis A. Zwenig, envoya un communiqué au Sénateur Kerry, le 6 octobre 1992, où elle lui dit : « Je travaille sur un script pour la DIA. » Quelques jours plus tard, les fonctionnaires de la DIA témoignèrent selon le script convenu.[48]
Le Sénateur dissimula volontairement la preuve que des prisonniers de guerre américains étaient vivants et encore gardés captifs au Vietnam en 1992, près de 20 ans après la fin de la guerre. Selon le Comité Sélect du Sénat sur les Affaires POWMIA, le 13 janvier 1993, l’Agence des Services conjoints de Survie, d’Évasion, de Résistance et de Libération (JSSA), quant à 1992, a confirmé des images satellites de 19 numéros de code d’authentification qui correspondent à des soldats américains reconnus pour être en captivité au Sud-est de l’Asie.[49]
Comme l’explique le Rapport du Sénat américain : « Pendant la guerre, les services militaires donnèrent à de nombreux pilotes, qui partirent combattre en mission individuelle, des numéros d’authentification pour les identifier par radio ou d’autres moyens, dans l’éventualité que leur avion soit abattu ou fasse un crash. Durant leur entraînement d’avant vol, on donna également aux pilotes des signaux de Libération et d’Évasion (E&E) à employer soit lors d’une évasion ou en tant que prisonnier de guerre pour faciliter leur éventuelle récupération. La plupart des pilotes reçurent l’entraînement sur les méthodes de construction de ces symboles E&E en situation de survie, avant d’être assignés au Vietnam. Les symboles E&E de même que les numéros d’authentification furent classés secrets. »[50]
Le Rapport sénatorial révèle que le Directeur Délégué du Centre d’Interprétation Photographique National, le Colonel (Ret.) Lorenzo W. Burroughs, atteste qu’il avait confirmé avec une confiance à 100 % que le code « GX 2527 » apparu, en juin 1992, sur une photographie satellite de la prison de Dong Mang (Dong Vai) au Vietnam, était le code de détresse d’un pilote américain qui fut censément disposé de manière à être vu par une reconnaissance satellite.[51] Une caractéristique unique à ce code de détresse particulier fut que le pilote qui l’avait laissé avait employé un seul X graphique ambulant que les équipages américains étaient entraînés à faire. Le Colonel Burroughs était d’opinion que le code était vieux de moins d’un an. Le Col. Burroughs est expert en analyse par imagerie satellite et fut parmi les premiers à utiliser nombre de méthodes employées aujourd’hui. « GX 2527 » a été identifié comme le code de détresse du Major Peter Richard Mathes des Forces de l’Air des États-Unis qui a été abattu au-dessus du Laos, en 1969.
Un autre code très net a été photographié, le 13 août 1992. La photo satellite démontre clairement « 72 TA 88 » avec les lettres « SEREX » en dessous.[52] TA était le code E&E de 1972. Il fut déterminé que le code correspondait au Lieutenant Colonel Henry M. Serex qui est sur la liste des disparus en mission.
Afin de balayer tout cela sous le tapis, le Pentagone devait réfuter le témoignage expert du Colonel Burroughs. Francis Zwenig dépista un homme ayant travaillé pour la compagnie Auto Metrics, un nommé Carroll Lucas. Sydney Schanberger, qui remporta le Prix Pulitzer pour son reportage sur l’holocauste cambodgien, écrivit un article dans le New York Newsday, le 4 janvier 1994. Schanberger découvrit le communiqué suivant de Zwenig à son patron, le Sénateur Kerry : « Il semble que Auto Metrics gonfle les factures pour les experts en imagerie — je travaille sur un script w/DIA. »[53]
Schanberger raconte les colloques suivants qui prouvent que Kerry, Zwenig et Lucas ont conspiré avec le Pentagone pour tromper le peuple américain en ce qui regarde la claire évidence que, au moins jusqu’en 1992, quand furent tenues les audiences sénatoriales, des soldats américains étaient encore vivants et détenus contre leur volonté comme prisonniers au sud-est de l’Asie. « [L]es documents du comité montrent que Lucas, même avant qu’il ait commencé l’examen de l’imagerie, dit à un membre du comité qu’il pensait que la plupart des symboles étaient des “canulars”. Le membre choqué composa immédiatement un “communiqué pour les archives” (…) Quelques jours plus tard, alors que Lucas avait à peine commencé à travaillé, il déclara à deux membres du personnel qu’il “aurait invalidé tous les symboles en-dedans de l’horaire désiré par le comité”. Un autre communiqué entra dans les archives. Lucas devait s’imaginer que le personnel du comité faisait partie au complet du trucage. »[54]
Nous avons ici l’évidence d’une collusion entre un sénateur et les mêmes gens qu’il est censé passer sous enquête, et cela afin de cacher le fait véridique que des Américains sont maintenus captifs dans le sud-est de l’Asie. Pendant tout ce temps, des soldats américains patriotes pourrissent dans des prisons étrangères. La triste vérité, dans tout ça, c’est que le Sénateur Kerry n’est qu’un des nombreux traîtres en position de pouvoir à Washington, D.C.. Ces auditions scénarisées se produisent régulièrement. Le crédule public américain gobe tout ça comme si c’était la réalité. Il ne possède aucun moyen de penser autrement, parce que la presse fait partie de l’opération frauduleuse.
Tous les Juifs ne sont pas de vils parasites cherchant à diriger le monde. Certains Juifs, en apprenant la vérité sur la vraie nature de la conspiration mondiale, se révoltent de dégoût. Benjamin H. Freedman était l’un de ces Juifs. Freedman est né en 1890. C’était un homme d’affaire juif qui avait réussi à New York City, ayant été, à un moment donné, principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. En 1945, il rompit avec la juiverie organisée. Il passa le reste de sa vie et le plus gros de sa fortune considérable à dévoiler la tyrannie juive qui avait enveloppé les États-Unis. « M. Freedman savait de quoi il parlait parce qu’il avait fait partie, aux niveaux les plus élevés, des organisations juives et des machinations juives visant à s’approprier le pouvoir sur notre nation. M. Freedman connut personnellement Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et John F. Kennedy, et bien d’autres des inspirateurs et des secoueurs de notre époque. »[55] Freedman révéla plusieurs détails internes de ce dont il eut connaissance concernant la taxe sur le revenu, la Réserve Fédérale et la Première Guerre Mondiale.
« [E]n 1916, à Londres, les Sionistes passèrent un marché avec le Cabinet de la Guerre britannique pour envoyer vos fils combattre en Europe. Le saviez-vous à ce moment-là ? Personne aux États-Unis ne le savait. On ne vous permit pas de le savoir. Qui le savait ? Le Président Wilson le savait. Le Colonel House le savait. D’autres initiés le savaient. Est-ce que je le savais ? J’avais une très bonne idée de ce qui se tramait : j’étais en liaison avec Henry Morgenthau Sr, dans la campagne de 1912, lorsque le Président Wilson fut élu, et on en parlait autour de la table. J’étais “l’homme de confiance” d’Henry Morgenthau Sr qui était directeur du comité des finances, et je faisais la liaison entre lui et Rollo Wells, le trésorier. Donc, j’étais assis à ces réunions avec le Président Wilson à la tête de la tablée, et tous les autres, et je les entendis marteler dans le cerveau du Président Wilson l’impôt graduel sur le revenu et ce qu’est devenu la Réserve Fédérale, et je les entendais l’endoctriner dans le mouvement sioniste. Justice Brandeis et le Président Wilson étaient comme les deux doigts de la main. Quant à déterminer ce qui se passait réellement, le Président Woodrow Wilson se montrait aussi incompétent qu’un nouveau-né. C’est comme ça qu’ils nous firent entrer dans le Première Guerre Mondiale, pendant que nous étions bien assoupis. Ils expédièrent nos garçons outre-mer pour qu’ils y soient massacrés. Dans quel but ? Pour que les Juifs puissent avoir la Palestine comme “commonwealth”. Ils vous ont si bien eus que vous ne savez plus où donner de la tête. »[56]
Freedman fit une révélation effrayante regardant le caractère des Juifs, et comment leur religion et leurs traditions talmudiques les rendaient uniquement susceptible de séduire et en faisaient des adeptes de la déloyauté et de la trahison contre toute nation de laquelle ils sont citoyens.
« Savez-vous ce que font les Juifs, le Jour des Expiations que vous pensez être si sacré pour eux ? J’en faisais partie. Ce n’est pas du ouï-dire. Je ne suis pas ici pour faire l’agitateur. Je vous donne des faits. Lorsque vous entrez, un Jour des Expiations, dans une synagogue, vous restez debout pour la première prière que vous récitez. C’est la seule prière pour laquelle vous demeurez debout. Vous répétez trois fois une courte prière qu’on appelle Kol Nidre. Dans cette prière, vous passez un accord avec Dieu Tout-Puissant disant que tout serment, tout vœu ou tout engagement que vous pourrez prendre ou faire durant les douze prochains mois seront nuls et non avenus. Le serment ne sera pas un serment ; le vœu ne sera pas un vœu ; l’engagement ne sera pas un engagement. Ils seront sans force ni effet. Et, en outre, le Talmud enseigne qu’à n’importe quel moment où vous faites un serment, un vœu ou un gage, vous devez vous rappeler la prière du Kol Nidre que vous avez récitée au Jour des Expiations, et vous serez exempt de les tenir ou les remplir. Jusqu’à quel point pouvez-vous vous en remettre à leur loyauté ? Autant que les Allemands s’en remirent à leur loyauté en 1916. Nous allons subir le même sort que les Allemands subirent, et pour les mêmes raisons. »[57]
Les Juifs exercent un contrôle quasi complet sur le gouvernement des États-Unis. Le colloque suivant qui eu lieu en octobre 2001, entre le Ministre des Affaires Étrangères israélien, Shimon Peres, et le Premier Ministre israélien, Ariel Sharon, révèle, de la bouche même des protagonistes, le pouvoir juif aux États-Unis.
« Selon la radio hébraïque israélienne Kol Yisrael, mercredi, Peres avertit Sharon que refuser de tenir compte des demandes américaines incessantes d’un cessez-le-feu avec les Palestiniens pourrait mettre en danger les intérêts israéliens et retourner les États-Unis contre nous. À ce moment-là, on rapporte que c’est un furieux Sharon qui se tourna en direction de Peres en disant : “Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique va faire ceci ou cela (…) Je vais vous clarifier les choses une bonne fois pour toutes : Ne vous occupez pas de la pression des Américains sur Israël. Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent.” La radio dit que Peres et d’autres ministres du cabinet mirent Sharon en garde de révéler en public ce qu’il venait de dire, car “cela nous occasionnerait des relations publiques désastreuses”. »[58]
Comment Ariel Sharon pouvait-il se montrer si sûr de son contrôle sur le gouvernement et le peuple des États-Unis ? En politique, le savoir, c’est le pouvoir. Si quelqu’un possède la connaissance secrète d’un fait embarrassant quelconque, cette connaissance peut être employée pour compromettre et contrôler des fonctionnaires du gouvernement, des leaders religieux, et quiconque est ciblé. Comment les Juifs ont-ils acquis une telle connaissance ? Comme l’a rapporté le site Internet de nouvelles What Really Happened, avant les attaques du 11 septembre, le FBI avait découvert la présence d’un large réseau d’espions à l’intérieur des États-Unis, dirigé par le gouvernement d’Israël. Faisant partie de ce réseau d’espionnage, il y a plusieurs compagnies de télécommunication subventionnées par le gouvernement israélien et opérant aux U.S.A. « Une de ces compagnies est Amdocs qui fournit de l’assistance annuaire et d’affichage à 90 % des compagnies téléphoniques des États-Unis. Le centre informatique principal d’affichage d’Amdocs est, en fait, en Israël et permet à ceux qui y ont accès de faire ce que les agences de renseignements appellent « de l’analyse de trafic » : le portrait des activités de quelqu’un basé sur un modèle de ceux qu’il appelle et quand il les appelle. Une autre compagnie israélienne de télécommunication s’appelle Comverse Infosys, qui sous-traite l’installation d’équipement de captage automatique des communications maintenant inséré dans tous les systèmes téléphoniques en Amérique. Comverse entretient ses propres connexions avec tout cet équipement de captage de communications téléphoniques, insistant pour dire que ce n’est que dans un but d’entretien. Cependant, Comverse a été citée comme la source la plus probable de fuites de renseignements concernant les appels téléphoniques par l’application de la loi qui fit dérailler plusieurs enquêtes, non seulement dans le domaine de l’espionnage, mais aussi la lutte contre la drogue. Or, Odigo est une autre compagnie israélienne de télécommunications ; elle fournit le plus gros du système de transmission de messages pour tous les services de « Messagerie Instantanée ». Deux heures avant les attaques contre les tours du World Trade Center, des employés d’Odigo en reçurent l’avertissement. Odigo a un bureau à deux pâtés de maisons de l’ancien emplacement du WTC. [59]
Souvenez-vous qu’Israël est un pays communiste en ligue avec d’autres pays communistes. Israël est l’ennemi des États-Unis. « Lorsque Jonathan Pollard vola nos secrets nucléaires (dont vos taxes ont payé le développement) et les envoya en Israël, celui-ci n’hésita pas à négocier ces secrets avec l’URSS en échange d’un accroissement des quotas d’immigration. Ce que ces faits impliquent, c’est que les milliards des dollars de nos taxes envoyés en Israël (…) ont servi à acheter et payer un monstrueux système de captage de communication téléphonique et de dépistage téléphonique qui peut épier n’importe quel appel téléphonique en Amérique. Même les appels de la Maison Blanche étaient ouverts à pareil captage téléphonique en écoutant à l’autre bout du fil de l’appel situé en dehors de la Maison Blanche elle-même. C’est vraiment arrivé. Le rapport de Ken Starr sur Whitewater décrit comment Bill Clinton informa Monica Lewinsky que leurs conversations téléphoniques sexuelles avaient été enregistrées. À la même époque, Clinton ordonna au FBI de cesser de chasser la taupinière israélienne connue pour opérer au sein de la Maison Blanche elle-même ! »[60]
« Nous avons donc ici une nation étrangère capable d’écouter quasiment toutes les conversations téléphoniques à volonté, en utilisant des prises qu’on ne peut retrouver parce qu’elles sont construites à l’intérieur du système téléphonique lui-même, et prête à utiliser l’information glanée de ces appels pour faire chanter les Américains et les amener vers toute action désirée. Ce pourrait être ce que voulait dire Ariel Sharon quand il déclara que le peuple juif contrôlait l’Amérique. Que les renseignements glanés de ces appels téléphoniques soient utilisés pour infléchir l’attitude de certains individus clés dans le gouvernement et les médias américains, on le voit dans la manière que le gouvernement et les médias ont manipulé ce scandale du plus vaste réseau d’espionnage jamais découvert à l’intérieur des États-Unis et de prises téléphoniques sur tous nos téléphones. Ils le minimisent. En réalité, “enterrer” serait un meilleur choix de mot. Seul Fox News, parmi tous les médias, a vraiment suivi le fil de l’histoire dans une diffusion en quatre parties et l’a mise sur son site Internet. Puis, sans explication, Fox News a effacé l’histoire de son site et ne l’a plus jamais mentionnée. CNN poursuivit en “Orwellisant” leur rapport d’un avertissement d’avance de deux heures des attaques sur le WTC envoyé à des employés de Odigo. Mais bien plus révélatrice est l’admission faite par un fonctionnaire gouvernemental, dans la première partie du reportage de Fox News, qu’une preuve évidente existait reliant les événements du 11 septembre, non pas aux musulmans arabes, mais à certains des quelques 200 espions israéliens et plus arrêtés avant et après le 11 septembre, mais cette preuve a été discrètement CLASSÉE (…) Les médias essaient d’enterrer l’histoire. Ils l’entravent, la contrecarrent, l’effacent de leurs sites Internet dans ce qui est une réelle réécriture orwellienne et glaciale de l’histoire. »[61]
À cause de l’immense puissance de nos ennemis, quel espoir de victoire pouvons-nous entretenir ? Dieu nous a donné la réponse. Dans toute guerre, vous devez être capable d’identifier l’ennemi et Dieu l’a fait pour nous. L’ennemi, c’est le diable lui-même, Satan. Une fois que l’ennemi est identifié, nous devons avoir une stratégie pour le défaire. Dieu nous a fourni une stratégie pour gagner. Cette guerre n’est pas charnelle, elle est spirituelle et, donc, nous devons revêtir toute l’armure de Dieu !
« Au reste, mes frères, fortifiez-vous en Notre Seigneur, et en la puissance de sa force. 11Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du Démon. 12Car nous n’avons point à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes. 13C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister au mauvais jour, et après avoir tout surmonté, demeurer fermes. 14Soyez donc fermes, ayant vos reins ceints de la vérité, et étant revêtus de la cuirasse de la justice. 15Et ayant les pieds chaussés de la préparation de l’Evangile de paix ; 16Prenant sur tout le bouclier de la foi, par lequel vous puissiez éteindre tous les dards enflammés du malin. 17Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. 18Priant en votre esprit par toutes sortes de prières et de supplications en tout temps, veillant à cela avec une entière persévérance, et priant pour tous les Saints. 19Et pour moi aussi, afin qu’il me soit donné de parler en toute liberté, et avec hardiesse, pour donner à connaître le mystère de l’Evangile » (Éphésiens 6:10-19, VM).
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[1] William Jasper, Islamic Extremists : U. S. – Financed, Enflamed, Seeking Revenge, The New American, 12 octobre 1998.
[2] Ibidem.
[3] William Norman Grigg, Enemies and “Assets”, The New American, 3 mars 1997.
[4] Ibidem.
[5] États-Unis versus Rahman, 189 F.3d 88, 106-07 (2d Cir. 1999).
[6] États-Unis versus Rahman, 189 F.3d 88, 107 (2d Cir. 1999).
[7] Ibidem, à 107.
[8] FBI’s Tipster Said He Built the N. Y. Bomb, Chicago Tribune, 15 décembre 1993.
[9] 18 U.S.C. § 2384.
[10] Voir États-Unis versus Rahman, 189 F.3d 88 (2d Cir. 1999).
[11] Russell Ben-Ali, Unlikely Friends, Newsday, 16 juin 1993.
[12] Gebe Martinez, Law Officers Tread Carefully into Bombing Suspect’s Past, Los Angeles Times, 7 mars 1993.
[13] Russell Ben-Ali, Unlikely Friends, Newsday, 16 juin 1993.
[14] http://www.guardian.co.uk/waronterror/story/0,1361,584444,00.html (tel qu’au 2 mars 2002).
[15] Lawrence Patterson, Bin Laden Rescued By Chinese Militairy, Criminal Politics, 1 janvier 2002.
[16] Ibidem.
[17] Ibidem, 2 janvier 2002.
[18] William Jasper, Terrorism’s True Roots, The New American, p. 12, 3 décembre 2001.
[19] http://news.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=%2Fnews%2F2001%2F11%2F04%2Fwchin04.xml (tel qu’au 3 mars 2002).
[20] Ibidem.
[21] William Norman Grigg, Did We Know What Was Coming, The New American, p. 10, 12, 11 mars 2002.
[22] http://www.emperors-clothes.com/indict/indict-3.htm#4 (tel qu’au 4 mars 2002).
[23] http://www.davidicke.com/icke/articles3/bushlies.html (tel qu’au 4 mars 2002).
[24] http://www.whitehouse.gov/news/releases/2001/12/20011204-17.html (tel qu’au 4 mars 2002).
[25] William Norman Grigg, Did We Know What Was Coming, The New American, p. 10, 14, 11 mars 2002.
[26] Ibidem.
[27] Ibidem, p. 10, 11.
[28] Ibidem.
[29] Christopher Bollyn, Suspected Israeli Agents Held By the FBI, American Free Press, 1 octobre 2001, http://worldcrossing.com/WebX?14@66.rj5EbyFu6NC^0@.eee90b0 (tel qu’au 5 octobre 2001).
[30] Five Israelis Witness 9-11 Events and Celebrate Joyously, Criminal Politics, p. 20, mars 2002.
[31] Paul Sperry, Hijacker Shot Passenger on Flight 11, World Net Daily, 27 février 2002. http://www.worldnetdaily.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=26626 (tel qu’au 11 mai 2002).
[32] Paul Sperry, FAA Covering up 9-11 Gun, Whistleblower Agent Says, http://www.worldnetdaily.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=26641 (tel qu’au 9 mai 2002).
[33] http://www.icts-int.com/# (tel qu’au 9 mai 2002). Voir également All the 9-11 Airports Serviced By One Israeli Company, http://www.whatreallyhappened.com/ICTS.html (tel qu’au 9 mai 2002).
[34] http://www.icts-int.com/# (tel qu’au 9 mai 2002).
[35] Ibidem.
[36] Ibidem.
[37] Michael C. Ruppert, Suppressed Details of Criminals Insider Trading Leads Directly Into the CIA’s Highest Ranks, http://globalresearch.ca/articles/RUP110A.html (tel qu’au 26 octobre 2001).
[38] Some Got Rich Off Tragedy, American Free Press, http://www.americanfreepress.net/10_22_01/Some_got_rich_off_Tragedy/some_got_rich_off_tragedy.html (tel qu’au 26 octobre 2001).
[39] Christopher Bollyn, Some Survivors Say “Bombs Exploded Inside WTC”, American Free Press, http://www.americanfreepress.net/10_22_01/Some_Survivors_Say_Bombs_Expl/some_survivors_say_bombs_expl.html (tel qu’au 27 octobre 2001).
[40] http://www.gwu.edu/~nsarchiv/news/20010430/doc1.pdf (tel qu’au 1 novembre 2001).
[41] Ibidem.
[42] Gordon “Jack” Mohr, The Talmudic Effect on Judeo-Christianity, http://www.christianbiblestudy.org/OPS/JM/jm0027c.htm (tel qu’au 19 septembre 2001).
[43] Chicago Free Weekly Reader, 11 avril 1986, http://www.plp.org/TheCommunist1/noi.html (5 octobre 2001).
[44] Nation of Islam Forges Links to Gangs, Radicals, Washington Times, 5 novembre 1985, http://www.plp.org/TheCommunist1/noi.html (tel qu’au 5 novembre 2001).
[45] Ibidem.
[46] Congressional Record 2947-2948 (9 février 1917), discours du Rép. Callaway, http://www.iahf.com/media.html (tel qu’au 3 octobre 2001).
[47] Eric John Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 465, 2001 (citant A U.S. Police Action : Operation Vampire Killer, pp. 18-19, 1992).
[48] Atlanta Journal-Constitution, Associated Press, Group Says Rigged MIA Hearing Memo Appear to Urge Debunking of Sightings, 24 novembre 1992.
[49] U.S Senate Select Committee Report on POWMIA Affairs, p. 203, 13 janvier 1993, tel que cité par Robert P. Thompson, Dissecting A Lie and the Case for the Life of U.S. Air Force Major Peter Richards Matthes “GX 2527”, janvier 1993 – novembre 1994. http://www.geocities.com/pentagon/2527/bobthom5.html (tel qu’au 23 février 2002).
[50] Ibidem.
[51] Ibidem.
[52] Robert P. Thompson, Dissecting A Lie and the Case for the Life of U.S. Air Force Major Peter Richards Matthes “GX 2527”, janvier 1993 – novembre 1994. http://www.geocities.com/pentagon/2527/bobthom5.html (tel qu’au 23 février 2002).
[53] Ibidem.
[54] Ibidem.
[55] http://www.antichristconspiracy.com/HTML%20Pages/Benjamin%20Freedman%20Speaks%20A%20Jewish%20Defactor%20Warns%20America.htm (tel qu’au 12/08/01).
[56] Ibidem.
[57] Ibidem.
[58] Ariel Sharon, “We Control America”, 3 octobre 2001, http://americandefenseleague.com/onaleash.htm (tel qu’au 21 avril 2002).
[59] The Israeli Spy Ring Scandal, http://www.whatreallyhappened.com/spyring.html (tel qu’au 9 mai 2002).
[60] Ibidem.
[61] Ibidem.