D.097 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 12
11. Les Juifs et les Chrétiens sont-ils des frères ?
Compte tenu de ce que nous savons maintenant, quel peut être le degré de sincérité de toutes les paroles mielleuses qu’on entend dans les « mouvements de fraternité entre les Juifs et les chrétiens », ou dans les « mouvements promouvant une communauté de foi entre les Juifs et les chrétiens » ? Ces mouvements qui pullulent littéralement, sont en train de dévaster toutes les nations. Si les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) qui sont dans ces mouvements, utilisent le Talmud comme règle de leurs activités politiques, économiques et sociales, quel peut être le degré de sincérité de tous les serments, les vœux ou les promesses qu’ils pourraient être amenés à faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de « fraternité » et de « communauté de foi », si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs parvenait à expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrétiens ou le christianisme. Au prix d’un grand nombre de millions de dollars, cette Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs est en revanche parvenu à expurger du Nouveau Testament, les passages que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) considéraient comme « une offense à leur foi ». Une grande partie des fonds nécessaires furent amenés par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Les Chrétiens devraient donc maintenant réunir eu aussi un petit pactole, afin d’expurger du Talmud les passages outrageant la foi chrétienne, car sinon, de tels mouvements de « fraternité » ou de « foi commune » ne servent qu’à tourner le christianisme en dérision. Et pendant qu’elle y est, la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourrait jeter un coup d’œil sur les millions de dollars investis aujourd’hui par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), pour s’assurer que le Talmud reste bien le seul axe des activités politiques, économiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires d’aujourd’hui et de demain. Car, violant les principes de base de toute « fraternité » et de toute « communauté de foi », les Juifs (prétendus ou autoproclamés) dépensent des millions de dollars chaque année, pour équiper des centres où le Talmud pourra être inculqué au plus profond du cerveau de leurs enfants. Ces quelques nouveaux articles ont été choisis parmi les centaines d’autres qui apparaissent quotidiennement dans les journaux du pays :
« Deux nouveaux Centres d’Enseignement Israélite, dont la construction a coûté 300 000 $, seront ouverts le mois prochain, ils pourront accueillir 1 000 étudiants pendant la semaine, et permettront également d’ouvrir une École du dimanche, cette annonce nous vient de l’association La Torah du Talmud. » [Herald Tribune de Chicago, 19/08/1950.]
« Le Département de l’École Yeshiva offre maintenant un programme complet d’anglais/hébreu, conforme à l’enseignement rabbinique. Les cours iront de la classe 1 jusqu’à la classe 5 (de 5 ans et demi jusqu’à 10 ans). La section Talmud–Torah de l’après midi a ouvert une nouvelle classe pour l’enseignement de base, elle reçoit les débutants comme les enfants qui sont déjà avancés dans l’étude. » [La Voix Juive, 18/09/1953.]
« UN RABBIN PARLE DU TALMUD AUX HOMMES DE PAIX. Le Docteur David Graubert président des rabbins de Bet Din, et professeur de littérature rabbinique à l’Université des Études Juives, va présenter la première de ses quatre conférences dont le thème général est : Le Monde du Talmud. » [Chicago Tribune, 59/10/1953.]
« LE MARYLAND[1] RECONNAÎT DES DEGRÉS UNIVERSITAIRES ET UN DIPLÔME DANS LA CONNAISSANCE DU TALMUD. Baltimore. Le Comité Fédéral d’Éducation du Maryland a autorisé le Nouveau Collège Rabbinique d’Israël à décerner une licence et un doctorat es Loi talmudique. » [La Voix Juive, 01/09/53.]
« DES COURS DE TALMUD À L’ANTENNE DEPUIS JÉRUSALEM. Les conférences sur le Talmud radiodiffusées chaque semaine en anglais seront bientôt disponibles sur cassettes dans tous les États-Unis et le Canada, la dépêche est tombée aujourd’hui. » [La Voix Juive de Californie, 11/01/1952.]
Mon cher Docteur Goldstein, vous vous souvenez sans doute d’avoir lu un peu plus haut une citation d’un des spécialistes les plus autorisés sur le Talmud, et selon laquelle : « le Juif moderne est un produit du Talmud. » Seriez-vous surpris d’apprendre qu’un bon nombre de chrétiens sont également le « produit du Talmud » ? Eh oui, les enseignements du Talmud sont acceptés par des chrétiens du plus haut échelon hiérarchique… Je n’aurais besoin que d’un seul exemple pour vous en persuader, celui du dernier Président des États-Unis d’Amérique. En 1951, on a offert pour la seconde fois au Président Truman[2], l’ensemble des 63 livres composant le Talmud. À cette occasion un journal rédigea l’article suivant :
« Monsieur Truman nous a remerciés pour les livres, et a déclaré qu’il était très content de les avoir, il a même ajouté le mot suivant : “Il y a quatre ans on m’a offert les mêmes, et j’ai pu en lire bien davantage que ce que les gens pensent”. Il nous a dit qu’il lisait beaucoup, et que le livre qu’il lisait le plus était le Talmud qui contient, nous a-t-il dit : “un bon paquet de raisonnements très sains, et une bonne philosophie de la vie !” ».
Ainsi, notre dernier Président nous dit qu’il tire bien des avantages de ce livre « qu’il lit le plus », et qui contient « un bon paquet de raisonnements très sains », ainsi « qu’une bonne philosophie de la vie »… Et plus récemment, alors qu’il était encore en fonction, les déclarations de notre dernier Président dénotent chez lui une connaissance véritable du Talmud ; toute personne qui connaît le Talmud pourra le discerner très vite. Mais notre dernier Président sait-il que Jésus-Christ n’avait pas le même sentiment que lui sur le Talmud ? Ce « bon paquet de raisonnements très sains », et cette « bonne philosophie de la vie », étaient en permanence dénoncés d’une manière des plus vives par Jésus-Christ, et en des termes non équivoques. Monsieur Truman va-t-il nous dire lui aussi, que le Talmud était cette « sorte de livre » de laquelle Jésus-Christ « tira les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » ?
Avant de quitter le sujet du Talmud, j’aimerais faire référence à l’analyse la plus authentique de toutes celles dont ce texte a été l’objet ; et je crois que vous devriez vous en procurer une copie, vous ne le regretterez pas. Le nom de l’ouvrage dont je vais parler est tout simplement : Le Talmud. Il a été écrit il y a presque un siècle par Arsène Darmesteter, un Français. En 1897 il a été traduit en anglais par la célèbre Henrietta Szold, et publié par la Société de Publications Israélites d’Amérique, à Philadelphie. Henrietta Szold était une enseignante de prestige, elle faisait partie des sionistes du début, et était l’une des « Juives » les plus remarquables de ce siècle (prétendues ou autoproclamées telles). La traduction par Henrietta Szold du livre d’Arsène Darmesteter est un classique. Vous ne comprendrez jamais le Talmud tant que vous ne l’aurez pas lu. Je vais en citer de courts extraits :
« Aujourd’hui le judaïsme trouve sa plus parfaite expression dans le Talmud ; ce livre n’a pas influencé le judaïsme d’une manière éloignée, le judaïsme n’en est pas non plus qu’un léger écho, mais le Talmud s’est incarné dans le judaïsme, et le judaïsme a pris forme dans le Talmud, passant ainsi de l’état d’abstraction à la réalité. L’étude du judaïsme est celle du Talmud, tout comme l’étude du Talmud est celle du judaïsme, (…) ce sont deux choses inséparables, mieux, ce sont une seule et même chose (…). Par conséquent, le Talmud est l’expression la plus complète de notre mouvement religieux, et ce code de prescriptions sans fin et de cérémonials minutieux, représente dans sa plus grande perfection le travail total de l’idée religieuse (…). Ce miracle s’est réalisé dans un livre : le Talmud (…). Le Talmud, en revanche, est composé de deux parties distinctes, la Mishna et la Gemara ; la première est le texte proprement dit, la seconde est le commentaire du texte (…). Par le terme Mishna, on désigne un recueil de décisions et de lois traditionnelles, comprenant TOUTES LES BRANCHES DE LA LÉGISLATION, QUE CE SOIT SUR LE PLAN CIVIL OU RELIGIEUX (…) ; ce code était le travail de plusieurs générations de Rabbins (…). Rien ne peut égaler l’importance du Talmud, si ce n’est l’ignorance qui prévaut à son sujet (…). Une seule page du Talmud peut contenir des passages rédigés en trois ou quatre langues différentes, ou plutôt, des passages rédigés en une seule langue fixée à différents niveaux de sa dégénérescence (…). Souvent, une Michna de cinq ou six lignes est suivie de cinquante ou soixante pages de commentaires (…). C’est la Loi dans toute son autorité ; elle constitue le dogme et le culte ; c’est l’élément fondamental du Talmud (…). L’étude quotidienne du Talmud qui, chez les Juifs, commence à l’âge de 10 ans, pour ne se terminer qu’avec la vie elle-même, constitue nécessairement une rude gymnastique pour l’esprit, grâce à laquelle celui-ci acquiert une subtilité et un flair incomparable (…) puisque le Talmud n’aspire qu’à une chose : devenir pour le judaïsme une sorte de “ corpus juris ecclesiastici ”. » (Souligné par nous[3].)
Les citations qui précèdent ont été tirées de ce traité qui visait principalement à édulcorer le Talmud. Malgré tout, en dépeignant une image bien gentille du Talmud, l’auteur n’a pas pu s’empêcher de mentionner également les faits que nous avons soulignés. Or venant d’une telle source, je me demande comment cet auteur peut penser que de telles déclarations puissent nous porter à avoir désormais bien de l’estime pour le Talmud.
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[1] Petit État américain de la côte Est.
[2] Truman est le président qui a ordonné sans nécessité militaire le largage de deux bombes atomiques sur le Japon, quatre mois après son élection.
[3] En capitale, dans le texte original.