D.092 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 7
6. Origine des « Juifs » actuels (prétendus ou autoproclamés tels)
Mon cher Docteur Goldstein, sans une connaissance complète et précise de l’origine et de l’histoire des « juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), il est tout à fait impossible pour vous, ou pour n’importe qui, de comprendre véritablement l’influence néfaste que le Talmud, et notamment la prière du Kol Nidre, ont exercée sur l’histoire du monde[1]. Ces deux facteurs très peu connus, sont respectivement le moyeu et les rayons, de cette grande roue qui déferle allègrement vers une domination complète de la planète. En revêtant le déguisement d’une religion soi-disant inoffensive, cette roue aura anéanti toute résistance dans un futur qui n’est pas éloigné.
Mon cher Docteur Goldstein, je pense que vous allez être aussi étonné que le furent les 150 millions de chrétiens de ce pays, lorsqu’il y a quelques années, j’ai électrisé la nation avec mes premières révélations sur l’origine et l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels). Ces révélations m’avaient coûté de nombreuses années de recherche. Et mes recherches établissent sans l’ombre d’un doute, et à l’opposé de la croyance généralement répandue chez les chrétiens, que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent à aucun moment de leur histoire les légendaires « dix tribus perdues d’Israël », comme ils se plaisent à le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement prouvé.
Des recherches implacables ont montré que les « Juifs » d’Europe orientale ne peuvent légitimement se réclamer d’un seul ancêtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant l’ère biblique. La recherche a également révélé que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent jamais des « Sémites », ne sont pas aujourd’hui des « Sémites », ni ne pourront jamais être considérés comme des « Sémites », même avec toute l’imagination qu’on voudra. Une enquête exhaustive rejette de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les « Juifs » d’Europe orientale sont « le peuple élu », suivant l’expression consacrée de nos prédicateurs. La recherche dénonce cette thèse comme la plus fantastique des fabrications de l’histoire[2].
Mon cher Docteur Goldstein, peut-être allez-vous pouvoir m’expliquer pourquoi, comment, et par qui, l’origine et l’histoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont été si bien cachées pendant tant de siècles ? Quelle mystérieuse force a été capable pendant une multitude de générations, de rayer les origines et l’histoire des Khazars de tous les livres d’histoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que l’histoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ? Faits historiques qui ont une relation certaine avec l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés). L’origine et l’histoire des Khazars et du royaume Khazar, l’origine et l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés), furent l’un des secrets les mieux gardés de l’histoire, jusqu’à ce qu’une large publicité en ait été faite par moi ces dernières années. Ne pensez-vous pas, mon cher Docteur Goldstein, qu’il est temps que toute l’affaire soit tirée au clair pour le public ?
Pendant l’année 1948, au Pentagone (Washington), j’avais l’occasion de m’adresser à une large assemblée d’officiers du plus haut rang de l’Armée des États Unis d’Amérique ; principalement des officiers de la branche G2 du service des Renseignements Militaires, qui travaillaient sur la situation géopolitique très explosive en Europe orientale et au Moyen-Orient. À l’époque comme d’ailleurs aujourd’hui encore, ces régions du monde étaient une menace potentielle pour la paix mondiale et pour la sécurité de notre nation. Je leur ai donc expliqué en détail l’origine des Khazars et celle de leur royaume médiéval qui était d’une taille considérable. Je pensais déjà à l’époque que sans une connaissance claire et détaillée de ce sujet, il n’est pas possible de comprendre ou d’évaluer correctement ce qui s’est mis en place dans le monde depuis 1917, l’année de la révolution bolchevique en Russie. La connaissance des Khazars est à la clé de ce problème.[3]
Vers la conclusion de ma conférence, un Lieutenant-Colonel qui s’était révélé très alerte, m’informa qu’il dirigeait le département d’histoire d’une des écoles d’enseignement supérieur les plus grandes et les plus réputées de tous les États-Unis ; il y enseignait l’histoire depuis déjà 16 ans. Il avait été récemment rappelé à Washington pour prolongation de son service dans les forces armées. À ma grande surprise, il m’informa qu’au cours de toute sa carrière de professeur d’histoire, il n’avait jamais entendu le mot « Khazar ». Cela peut vous donner une idée, mon cher Docteur Goldstein, de l’efficacité de cette mystérieuse puissance qui est parvenu à masquer l’origine et l’histoire des Khazars, afin de dissimuler au monde, et particulièrement aux chrétiens, l’origine véritable et l’histoire véritable des « Juifs » d’Europe orientale.
Entre le Xe et le XIIIe siècles, les Russes conquirent le royaume Khazar. Les Russes semblaient ainsi avoir mis fin, et pour toujours, à l’existence de ce royaume souverain de 1 300 000 kilomètres carrés[4] que les historiens nous déclarent ignorer… Les Russes semblaient ainsi avoir mis fin à ce Royaume des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), connu alors sous le nom du « Royaume de Khazarie ». Les historiens et les théologiens s’accordent maintenant pour dire que cette conquête fut à l’origine du changement dans la forme du Kol Nidre (effectué par Meir ben Samuel au XIe siècle), et de la décision adoptée par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) de ne pas rendre publique la loi de révocation par avance des serments.
Me témoignerez-vous de l’indulgence si je passe en revue aussi brièvement que je le puis l’histoire de l’émergence et de la disparition de cette nation ?
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[1] Il faut bien comprendre que cette prière fait quasiment du mensonge un devoir religieux. Et une telle morale peut donc se révéler d’une certaine efficacité (momentanément, espérons-le), comme lors des fausses promesses diplomatiques, des faux témoignages de masse, etc. Mais bien évidemment, l’efficacité d’un tel procédé ne vient pas de la grandeur, ou de l’intelligence de celui qui l’emploie ; car il est très facile d’être exceptionnellement rusé, quand on ne s’est donné que ce mode de relation. Et alors d’une génération sur l’autre, on atteint vite le génie à ce petit jeu, et sans efforts, il n’y a qu’à se laisser porter… Non, l’efficacité véritable de cette stratégie ne repose pas sur la grandeur de celui qui l’utilise, mais paradoxalement sur la grandeur de la victime. Cette victime qui a la décence, et la bonté naturelle de penser que l’autre, le prétendu ou autoproclamé tel, est comme lui, qu’il fonctionne comme lui, et qu’il accorde comme lui, un poids énorme à la parole donnée, et à la confiance accordée… Victime qui se laissera leurrer autant de fois que sa bonté parviendra à déborder sur sa confiance trahie, ou jusqu’au jour heureux où elle aura acquis la certitude que l’autre agit toujours consciemment, que l’autre la leurre toujours consciemment, et délibérément.
[2] Le révisionnisme ne se cantonne pas à la Seconde Guerre Mondiale, loin s’en faut. Si « le mensonge du siècle est celui des [CENSURÉ] à [CENSURÉ] », comme dit le [CENSURÉ] [CENSURÉ], le mensonge du millénaire semble bien être celui de l’origine hébraïque des Juifs, comme Benjamin Freedman va le montrer… Et le mensonge de toute l’histoire, est peut-être celui sur l’identité véritable des Israélites.
[3] Benjamin Freedman pense que la Révolution des soviets est la revanche que les Khazars ont enfin réussie à prendre sur les Russes, qui avaient détruit leur royaume au Moyen Âge. Quand on connaît le nombre de « Juifs » ashkénazes qui composèrent les premières instances dirigeantes de cette révolution, il n’y a plus l’ombre d’un doute à ce sujet. Un auteur russe qui nous est contemporain, Vladimir Stepin, a donné tous les détails de ce coup d’état dans : The Nature of Zionism, Moscou 1993. Nous espérons pouvoir le traduire un jour, car il est introuvable en librairie.
[4] Presque trois fois la surface de la France actuelle.