D.142 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-4
TROISIÈME PARTIE
(4)
Michelson et Morley
Le physicien Albert A. Michelson (1852-1931) et le chimiste E. W. Morley (1838-1923) imaginèrent un instrument unique pour mesurer ou comparer la vitesse de la lumière sous différents angles, alors que l’instrument en question était supposé filer dans l’espace puisqu’étant sur Terre. Ils n’essayaient pas de prouver que la Terre tourne. Ils suivaient le reste de l’establishment scientifique qui avait été emprisonné dans le modèle copernicien/newtonien depuis au moins une couple de centaines d’années, comme nous avons vu. Ils tentaient de prouver un point au sujet de la façon que la lumière agit quand sa source est en mouvement.
Michelson avait fabriqué et testé un « interféromètre » à Berlin, en 1881-1882. Son instrument donna comme résultat inattendu et inacceptable que la Terre ne bouge pas. Puis, en 1883, il accéda à une position d’enseignement à l’Institut Case de Cleveland, en Ohio, et continua à affiner son « interféromètre » qui s’obstina néanmoins à ne montrer aucun mouvement de la Terre. En 1887, avec Morley, il décrivit officiellement l’expérience et en donna les résultats. Hans Reichenbach rapporte ceci :
« …Mais peu importe la position où ils mirent leur instrument, et peu importe dans quelle direction la Terre tournait autour du soleil (i.e., dans quelle saison se trouvait la Terre), le résultat était toujours “nul”. C’est-à-dire que la vélocité de la lumière demeurait exactement la même dans toutes les directions. Ce résultat, annoncé en 1887, dérouta les scientistes… »[1]
Déroutés ? Que firent-ils, alors ? C’est ce que nous allons voir un peu plus tard, car jetons d’abord un coup d’œil sur le fonctionnement d’un « interféromètre ».
Regardons l’Illustration IV que voici.
Elle provient du livre de Reichenbach intitulé De Copernic à Einstein et nous sera fort utile.
Gardant en tête que cet auteur était un grand fan d’Einstein et qu’il soutenait entièrement le point de vue copernicien, notez son explication du diagramme et vous comprendrez ce qu’était supposé faire l’interféromètre et ce qu’il fit en réalité :
« …L’appareil consistait en deux barres de métal horizontales — AB et AC. En A, il y a une source de lumière dont les rayons sont envoyés vers B et C où ils se reflètent dans un miroir et reviennent vers A. Les lignes pointillées de l’illustration indiquent ce chemin ; pour une meilleure vue du processus, elles ont été dessinées en partie au bas des barres et en partie au-dessus, alors qu’en réalité elles poursuivent leur chemin dans l’axe exact de la barre. Voici la question : si les rayons quittent A simultanément, y retourneront-elles aussi simultanément ? Ce serait le cas si l’appareil et ses barres de métal demeuraient immobiles dans l’éther, car ainsi la vitesse de la lumière est égale dans les deux directions AB et AC »[2]
Or, était-ce le cas ? Est-ce que les rayons de lumière revinrent simultanément ? Oui. Cela signifie que les barres de métal reposaient sur une Terre immobile et pas sur une Terre qui orbitait à plus de 66 000 MPH (105 600 KM/H) autour du soleil. Maintenant, voyez comment le faux-fuyant copernicien reprend là où nous avons laissé :
« …Mais l’appareil demeure sur Terre et participe ainsi au mouvement de la Terre dans l’éther… »[3]
Donc, l’expérience démontra que la lumière revint simultanément des deux directions, ce qui voulait dire que la Terre ne bougeait pas. Mais, la réputation entière de l’establishment scientifique étant en jeu, elle devait être en mouvement ! L’on ne pouvait pas permettre aux rayons de lumière de revenir simultanément parce que la Terre était immobile. On devait trouver une autre explication, si folle et si non-scientifique soit-elle ! Hans continue :
« …Il s’en suit que la vélocité de la lumière doit être différente dans les deux directions. Un simple calcul le démontre : lorsque la Terre se déplace dans l’éther dans la direction AB, le rayon A-B-A doit revenir au point de départ un peu après le rayon A-C-A. »[4]
Ce devait être différent, mais ça ne l’était pas. Herr Reichenbach continue :
« Michelson était sûr, à l’époque, qu’il était possible de prouver le retour tardif du rayon ; après tout, sa méthode était assez exacte et il utilisait les meilleurs instruments optiques. L’arrivée tardive du rayon serait prouvée par le moyen de l’interférence, par l’apparition de bandes ombragées créées par la coïncidence de monts et vallées des deux courants d’ondes. Pourtant, cela eut pour surprenant résultat qu’aucune bande d’ombre n’apparut : il n’y eut pas de retardement du rayon… »[5] (l’emphase est nôtre)
C’était toujours simultané et la Terre ne bougeait toujours pas ! Les scientistes de partout dans le monde se grattaient la barbe et se toussotaient dans les mains, empreints à la panique nerveuse. Hans acquiesce :
« …ce résultat inattendu garda longtemps les scientistes dans une profonde perplexité… »[6]
Il leur fallait sortir de ce trouble. Et nous allons voir jusqu’à quel point peut conduire la folie de l’homme pour ne pas être forcé d’en conclure que la Bible constitue la vérité sur tous les sujets, y compris celui-ci. Mais, pour être bien sûrs que nous avons compris ce que voulait dire cette expérience, ajoutons-y la description de Dingle :
« …l’expérience de Michelson-Morley (…) se résumait ainsi : un rayon de lumière fut partagé en deux parties et envoyé, par des miroirs, le long de deux bras de matériau, égaux et mutuellement perpendiculaires. En revenant à leur point de départ, ils s’interféraient l’un l’autre, produisant un motif de franges sombres et lumineuses d’un genre qui est familier aux étudiants en optique. Considérez le cas où l’un des bras s’étend dans la direction du mouvement orbital de la Terre autour du soleil, selon le système copernicien universellement accepté et assumé par la mécanique newtonienne. À deux moments, distants de six mois, le mouvement serait de directions opposées, donc ainsi, d’après la théorie de l’électromagnétique de Maxwell-Lorentz, par laquelle la vélocité de la lumière est indépendante du mouvement de sa source, on peut facilement calculer que les franges observées devraient être en des positions différentes lors des deux moments. Or, en fait, les franges demeurèrent dans la même position tout le long de l’année. »[7]
Les franges constituent la clé ! Si la Terre tourne autour du soleil avec un des bras de l’interféromètre pointant dans la direction vers laquelle la Terre est supposée se déplacer à 29.6 km à la seconde, alors les franges lumineuses devraient être sur un côté. Six mois plus tard, la Terre serait de l’autre côté du soleil et allant dans la direction opposée et les franges devraient être sur le côté opposé !
Mais elles ne le furent pas ! Voilà donc une preuve très évidente que la Terre est stationnaire ! Et vous remarquerez que cette expérience fut exécutée sur une période de plusieurs années avant et après 1887 par divers scientistes de différents pays. Les rayons de lumière revinrent toujours simultanément dans les deux bras de l’interféromètre et les franges demeurèrent toujours sur le même côté toute l’année durant.
Les bozos de l’establishment scientifique avaient un problème, c’est bien clair ! Comme nous l’avons vu, ils étaient confondus. C’est-à-dire qu’ils étaient carrément étonnés, surpris, stupéfiés, abasourdis, désorientés, déroutés, troublés, ahuris, sidérés, choqués et assommés. L’affaire était sérieuse ! Tout le culte de l’idole de la « science » était en jeu ! Plus de trois siècles d’endoctrinement et de propagande soigneusement répandus avaient vaincu et enterré le récit biblique d’une Terre stationnaire. Le mur extérieur de la Bible clamant la Vérité avait été abattu par le sacerdoce scientifique du culte nouveau. Et ils étaient maintenant sur le point de mettre en pièce la deuxième ligne de défense avec leur bélier évolutionniste. Ce bélier était non seulement destiné à défaire et ensevelir le récit de la Création de l’homme fait à l’image de Dieu, mais tout le scénario créationniste établi dans la Bible. Plus de Création ; plus de Jardin d’Éden ; plus de Satan ; plus de tentation ; plus de chute ; plus besoin de Jésus pour racheter la condition déchue… Que restait-il au christianisme si ce n’est un ramassis de rituels et de traditions ?
Et pas de Déluge du temps de Noé, car cela expliquerait tous les fossiles, le charbon et le reste… Donc, l’enjeu était alors extrêmement élevé en regard de l’expérience Michelson-Morley. Imaginez ce qu’il peut être aujourd’hui ! Les chrétiens conduits par l’Esprit auraient pu s’unir et se rallier derrière le récit géocentrique de la Bible et employer l’interféromètre comme bâton pour chasser les idolâtres des murs du temple… et les évolutionnistes avec eux ! Ceux-ci ne possédaient à ce moment-là aucune preuve de l’évolution et n’en ont jamais trouvé depuis. Il n’y en a pas ! Tout cela est un tissu de mensonges de A à Z ! Et cela peut être démontré !
Mais le culte de la « science » ne fut pas arrêté par les résultats de Michelson. Il sortit de la trappe de l’interféromètre et poursuivit son abattage du mur de la Création, sauf une petite section qui nous reste aujourd’hui. C’est Albert Einstein qui les sortit du trou ! C’est ce petit prêtre scientifique inconnu qui devint soudainement le pape au sommet du culte de la « science ». Non seulement sortit-il l’establishment de la trappe de Michelson-Morley, mais il fit de manière à ce qu’il semblât que la menace du géocentrisme biblique ne puisse plus jamais se montrer le bout du nez.
Le général cinq étoiles de la « science faussement ainsi nommée » ! Dans la bataille spirituelle entre les Vérités de Dieu et les mensonges de Satan — que Dieu avait prévu et qu’Il va immanquablement gagner — Einstein a sans aucun doute réussi la plus grande tricherie qu’il ait été possible à un homme d’accomplir. Ce sont des paroles fortes contre le pape de l’establishment scientifique ! Mais avant de voir son cas, il nous faut encore passer en revue certains autres prêtres de ce sacerdoce de la « science » qui tentèrent de contourner les résultats de Michelson-Morley. Après tout, les « scientistes » furent estomaqués pendant plus de vingt ans entre le moment où l’on constata les résultats de l’expérience de Michelson-Morley, à Berlin, et le moment où Einstein arriva pour les secourir en 1905.
Qui étaient ces « prêtres » et quel genre d’explications offraient-ils comme sortie de trappe durant cette période de vingt ans ? Nous vous présentons :
George FitzGerald | Hendrik Antoon Lorentz | Jules-Henri Poincarré | James Clerk Maxwell |
Reichenbach parle de la période de perplexité de la communauté scientifique après que les résultats de l’expérience de Michelson-Morley eurent commencé à filtrer :
« Le premier homme à tenter une explication fut le Danois H. A. Lorentz. Il affirma que la barre AB avait raccourci en vertu du mouvement au travers de l’éther ; comme résultat, le chemin A-B-A raccourcit et le rayon revint aussi rapidement que l’autre rayon… »[8]
« …la barre … avait raccourci… » Eh oui, il leur fallait une façon quelconque d’expliquer pourquoi le rai de lumière revenait simultanément dans les deux barres de l’interféromètre ! Le rayon de lumière dans le bras, pointant en direction de la supposée orbite de la Terre autour du soleil, avait déjà un handicap de 105 600 km/h à surmonter avant de revenir sur ses pas. Ç’aurait dû le ralentir.
Mais il ne revint pas plus lentement ; il revint en même temps, démontrant qu’aucun mouvement ni rattrapage n’avait lieu. D’où dilemme pour l’establishment scientifique. Et, pour tenter de sauver l’idée du mouvement de la Terre, la solution de Lorentz était de dire que la vitesse de la Terre au travers de l’éther dans l’espace faisait en sorte que le bras de l’interféromètre, qui pointait en direction de la soi-disant orbite, raccourcissait. Donc, le rayon n’avait pas autant de chemin à parcourir et pouvait ainsi revenir simultanément, ce qui expliquait de cette façon les résultats de l’expérience de l’interféromètre.
En réalité, selon Dingle, FitzGerald eut la même idée avant Lorentz et on l’appela la « Contraction FitzGerald ».[9] Mais Dingle ajoute :
« …il n’y a pas ici de « Contraction FitzGerald » ; c’est plutôt l’expansion FitzGerald, car, selon cette explication-ci, ce n’est pas la barre longitudinale qui se contracte, mais la barre transversale qui s’étire — l’effet sur les franges demeurant les mêmes, bien sûr. »[10]
« …[C’est] un paradoxe [contradiction] au-delà de toute imagination, même celle de Dean Swift. [Le scientiste Eddington compara plus loin l’idée ] aux aventures de Gulliver à Lilliput et Alice au Pays des merveilles. »[11]
- C. Maxwell fut un autre scientiste fort estimé dont le travail joua un rôle clé dans cette période de panique, même s’il devait mourir en 1879. Il travailla principalement sur la théorie de l’électromécanique.[12]
« Maxwell fit de l’éther la base de sa théorie et le médium physique indispensable transportant la lumière et les ondes électriques. »[13]
Et l’« éther »…
« …n’était qu’un autre corps physique … qui pouvait servir de standard au reste et auquel l’on pouvait se référer pour le mouvement des corps matériels ordinaires. »[14]
Donc, l’« éther » fournissait un moyen de dire ce qui se mouvait. Voici l’idée :
« La vélocité d’un corps matériel au travers de l’éther pouvait se déterminer en mesurant sa vélocité en rapport avec la lumière ; car la lumière, selon la théorie de Maxwell, était un phénomène électromagnétique possédant une vélocité constante à travers l’éther… »[15]
Était-ce correct ? Notez ceci :
« …de délicates expériences fondées sur la théorie de Maxwell — dont la fameuse expérience de Michelson-Morley était la principale — échouèrent à détecter quelque différence que ce soit entre les vélocités, en rapport avec la lumière, des corps que l’on croyait en mouvement les uns par rapport aux autres… »[16]
Or, lorsque les idées de Maxwell furent mises au test, elles ne démontrèrent aucune Terre qui bouge et s’avérèrent ainsi inacceptables. Quelque chose devait disparaître et ce ne devait pas être le copernicisme ! Que firent-ils, alors ? Ils laissèrent tomber le concept de l’« éther » et gardèrent le reste. Mais nous venons de voir que l’« éther » était la base de l’idée de Maxwell et que c’était indispensable à sa théorie ! « Indispensable » ne veut-il pas dire qu’on ne peut s’en passer ?
Évidemment, mais rappelez-vous que nous sommes ici témoins du faux-fuyant copernicien en action. À chaque fois qu’un fait montre que la Terre ne tourne pas, l’establishment scientifique fait deux pas de côté, effectue un 180º et s’envole brusquement pour réapparaître de l’autre côté de la piste de danse, comme par magie. Michelson lui-même conduisait d’une agile pirouette, annonçant imperturbablement que…
« …L’hypothèse d’un éther stationnaire s’avère donc incorrect… »[17]
À tout événement, ils conservèrent le reste de l’idée de Maxwell, même si elle ne fonctionnait plus, étant donné que son indispensable base d’« éther » y avait été enlevée. Les physiciens Lorentz, Larmor et Poincaré retravaillèrent l’équation de Maxwell :
« Leur but était d’accommoder le résultat de Michelson-Morley et autres expériences similaires avec les exigences théoriques de l’équation de Maxwell… »[18]
Leurs nouvelles équations sans fondement s’appelèrent éventuellement « Transformation de Lorentz ».[19] Tous ces types-là tâtonnaient des mathématiques pour faire entrer la cheville carré dans le trou rond. Poincaré lui-même usa du mot « tâtonner » pour décrire leurs recherches d’équations qui leur permettraient de se débarrasser de la base des travaux de Maxwell, garder les travaux eux-mêmes et les appliquer à quelque chose — n’importe quoi ! — qui les amèneraient loin des résultats d’une Terre immobile. Comme le dit Dingle :
« …c’était la grimace sans le sourire fendu jusqu’aux oreilles. »[20]
Mais ils persistèrent quand même. La Transformation de Lorentz des équations de Maxwell fut plus tard acceptée comme fondamentale par Einstein et contribua directement à l’émergence du concept de la Relativité. Ainsi, l’on peut voir quelle solidité pouvait avoir ce dernier concept ! En 1900, Larmor révisa les résultats de « nombreuses expériences » qui…
« …pendant plus de deux siècles … avaient été effectuées pour détecter le mouvement et le repos absolus… »[21]
Donc, il y avait eu davantage d’expériences que celle de Michelson-Morley. Et même de nombreuses. Dans sa révision, Larmor nota que, au cours de ces deux cents ans :
« Des efforts avaient été faits pour détecter tout effet du mouvement absolu sur la lumière, sur sa dispersion et son interférence, sur la polarisation de la lumière et sa rotation dans certains cristaux… »[22]
Est-ce qu’un mouvement quelconque de la Terre fut révélé par une de ces expériences ? Pas du tout ! Larmor continue :
« Du reste, les effets du mouvement des charges électriques ou des aimants ne révélèrent aucun mouvement absolu… »[23]
Il semble que tout avait été fait, en 200 ans, pour tenter de prouver le mouvement de la Terre. Mais l’establishment scientifique s’était engagé dans une voie sans issue. Les « scientistes » avaient tous pris comme fait acquis que la Terre tournait et orbitait autour du soleil. Pourtant, deux cents ans d’expérimentation ne rapportait aucun mouvement, encore bien moins à plus de 105 600 km/h ! Ils s’arrangèrent pour ignorer et cacher les résultats de toutes ces expériences jusqu’à ce que l’appareil de Michelson-Morley leur donne une frousse bleue. Après quoi, ils se trouvèrent dans une vraie impasse. Lorentz et les autres trimaient dur, suaient vaillamment et saisissaient le moindre fétu de paille, si ténu soit-il, leur permettant de contourner la pure évidence expérimentale qui les fixait en pleine face. C’était un cercle vicieux. Ils étaient dans une passe difficile d’où il ne semblait y avoir aucune échappatoire. Puis, en 1904…
« …Poincaré postula son “principe de relativité”… »[24]
Ici, l’idée de fond, c’est que l’homme ne peut jamais trouver une manière de dire ce qui se meut dans l’espace et ce qui ne se meut pas. Peut-être avez-vous toujours pensé que c’était Einstein qui avait proféré l’idée de la « relativité ». Il en concocta une légèrement différente que celle de Poincaré. Einstein se rendit jusqu’à la ligne des buts avec sa version, grâce à la passe de Poincaré. Il pressa, pétrit, frictionna, étira et massa le mot « relativité » jusqu’à ce qu’il soit assez fort pour surpasser toutes les « preuves » à l’encontre d’une Terre immobile. Il donna naissance à un concept de relativité qui, non seulement offrait à l’establishment une façon d’échapper à la trappe Michelson-Morley et toutes les autres, mais qui incorporait une théorie qui promettait que l’establishment n’aurait plus à faire face à une autre trappe. Le Libérateur était arrivé.
Voyons donc, maintenant, ce qu’Albert a fait.
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[1] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe d’Einstein et les papiers d’Ives, (Old Greenwich, Conn., Devin-Adair Cie, éditeurs, 1979), p. 290.
[2] Ibidem, pp. 54, 55.
[3] Ibidem, p. 55.
[4] Ibidem.
[5] Ibidem.
[6] Ibidem.
[7] Herbert Dingle, La science à la croisée des chemins, (Londres : Martin Brian & O’Keefe, 1972), p. 161.
[8] Reichenbach, De copernic à Einstein, p. 55.
[9] Dingle, Croisée des chemins, pp. 162, 163.
[10] Ibidem, p. 164.
[11] Harold Nordenson, La relativité, le temps et la réalité, (George Allen Ltée, Londres, 1969), p. 153.
[12] Dingle, Croisée des chemins, p. 148.
[13] Ibidem.
[14] Ibidem.
[15] Ibidem.
[16] Ibidem.
[17] Ibidem.
[18] Hazelett & Turner, Ives Papers, p. 56.
[19] Dingle, Croisée des chemins, p. 165.
[20] Ibidem, p. 155.
[21] Hazelett & Turner, Ives Papers, p. 56.
[22] Ibidem.
[23] Ibidem, p. 57.
[24] Ibidem.