Le vaccin Covid-19 : « l’Antichrist de tous les produits » – et Biden envoie les USA en guerre, pendant que le Congrès ne fait rien
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
18 janvier 2024
Pendant que la vaste majorité des pasteurs et des leaders évangéliques étaient en première ligne pour promouvoir le « vaccin » Covid-19 (et se faisaient payer par le gouvernement pour ce faire), je faisais partie d’un nombre extrêmement petit de pasteurs qui appelaient publiquement le narratif Covid pour ce qu’il était en réalité : un système antichrist. En fonction des effets mauvais et durables du narratif Covid, ce pourrait être le système antichrist le plus éhonté à avoir attaqué la Civilisation occidentale depuis ses débuts.
Bien sûr, les trois hommes les plus responsables de ce diabolique narratif Covid, Donald Trump, Anthony Fauci et Joe Biden, vivent dans le déni le plus complet que ce qu’ils ont lâché sur le monde était dangereux et mortel. Jusqu’à date, chacun de ces hommes se VANTE encore d’avoir été de grands serviteurs de l’humanité pour lui avoir imposé ce système satanique.
Évidemment, la plupart d’entre nous savons maintenant que toute l’affaire était entièrement frauduleuse. Tout, de la stupide règle de distanciation sociale de 2 mètres au port du masque obligatoire, des confinements forcés à la fermeture des écoles et des églises, de la fermeture des entreprises et des pertes d’emploi aux pères et mères âgés dans les foyers forcés de souffrir et de mourir seuls (parce qu’on interdisait à leurs proches de les visiter), au chaos économique, à la catastrophe scolaire, à l’inflation massive, aux coupures de fourniture, aux coupures de travailleurs, aux faillites bancaires, sans mentionner les dommages psychologiques, émotifs et spirituels que l’on a fait aux enfants et aux adolescents – desquels certains d’entre eux ne guériront JAMAIS – tout cela était de la fraude.
Or, le Ministre de la Santé de l’État de la Floride, a commandé l’arrêt complet de la distribution et de l’administration de la piqûre Covid. Il porte le nom de Dr Joseph Ladapo et il maintient que l’injection ARNmessager attaque et change l’ADN humain.
Comme l’a dit le Dr Ladapo dans une entrevue avec Tucker Carlson : « Notre ADN est un don que Dieu nous a fait. »
En vérité. Notre Créateur nous a donné notre ADN pour faire de nous ce que nous sommes biologiquement, émotionnellement, psychologiquement, etc. Penser que l’on a injecté au peuple américain une drogue expérimentale qui altère la vie et l’esprit, et qui altère probablement même la biologie, cela défie l’essence même de ce que la science médicale prétend représenter.
Nous savons que des millions de gens sont morts et ont subi des blessures sérieuses des symptômes de myocardite associés à la prise d’injection Covid. Nous savons également que ces symptômes nocifs et souvent fatals peuvent prendre des années avant de se manifester. Ce n’est même plus contestable.
Or, de courageux professionnels de la médecine, comme le Dr Lapado, nous disent maintenant que les injections Covid attaquent l’ADN humain et peuvent altérer le génome humain de façon permanente.
Dans sa conversation avec Tucker Carlson, le Dr Lapado fit une analyse similaire à celle que je fis dès le début du faux narratif Covid. Il dit (je paraphrase) que pratiquement tous les effets que le narratif Covid a eu sur l’humanité étaient malfaisants – même antichristes. Le Dr Lapado appelle l’injection Covid « l’antichrist de tous les produits ».
J’attire encore l’attention des lecteurs sur mon DVD contenant six messages à propos du système bestial appelé narratif Covid-19, intitulé The Rise of the Beast : Coronavirus And Antichrist (en anglais seulement).
Comme il est rafraîchissant d’entendre le Ministre de la Santé de la Floride dire fondamentalement la même chose que j’ai dite dès le début de cet assaut satanique contre nos libertés et notre manière de vivre, il y a presque quatre ans. Oui, il discute de la science impliquée, mais il n’a pas peur non plus d’identifier cette attaque comme étant de nature spirituelle, ce que j’affirmais depuis le commencement.
Merci, Dr Ladapo.
Le Congrès s’endort pendant que Biden fait la guerre au Yémen (par le Dr Ron Paul) :
Tard la semaine dernière, le Président Biden a commencé une nouvelle guerre américaine contre le minuscule pays du Yémen. Des vaisseaux de guerre et des avions de combat américains ont lancé plus de cent missiles sur le pays dans une escalade massive que, bizarrement, l’Administration déclare être une « dé-escalade » des tensions en Mer Rouge.
Amener les États-Unis en guerre sans une déclaration de guerre du Congrès est un crime grave contre la Constitution. Non seulement Biden n’a-t-il démontré aucun intérêt d’aller vers le Congrès pour obtenir une déclaration de guerre, mais il n’a même pas demandé une autorisation. Avec le partenaire junior fiable de Washington, le Royaume-Uni, Biden a attaqué le Yémen. Il semble que l’Administration américaine ait consulté davantage le gouvernement anglais que le Congrès américain concernant les attaques.
Mais ce n’est pas ce qu’il y a de pire. Loin de prendre action contre ce geste illégal de la part d’un président hors-contrôle, le corps du Congrès n’a même pas jugé bon de critiquer l’Administration. Au contraire, le leadership du Congrès des deux camps a en fait applaudi le Président Biden d’avoir violé si effrontément la loi américaine !
Le Président de la Chambre Mike Johnson a non seulement louangé le geste illégal, mais il a vivement conseillé au Président d’aller plus loin et d’affronter l’Iran. Il a dit : « Cette action des forces américaines et britanniques se fait attendre depuis longtemps et nous devons espérer que ces opérations indiquent un changement réel dans l’approche de l’Administration Biden contre l’Iran et ses mandataires qui se sont engagés à faire tant de mal et causent tant de ravages. »
À leur crédit, certains Membres du parti même de Biden ont rejoint une poignée de collègues républicains pour dénoncer un Président américain amenant le pays en guerre sans en avoir l’autorité. Le représentant de la Californie Ro Khanna fut un des premiers démocrates à critiquer le bellicisme de Biden, disant : « Les frappes du Président au Yémen sont inconstitutionnelles. Pendant plus d’un mois, il a consulté une coalition internationale pour les planifier, mais il n’est jamais venu chercher l’autorisation au Congrès, tel que l’exige l’Article 1 de la Constitution. »
Les Concepteurs de la Constitution ont donné le pouvoir de faire la guerre au Congrès parce qu’ils comprenaient que de laisser un tel pouvoir entre les mains d’une seule personne s’avérait la recette d’un désastre. Le rôle d’un Président est de présenter les arguments pour une déclaration de guerre. Le Congrès délibère et, soit qu’il autorise, soit qu’il refuse l’action proposée.
De toute évidence, Washington n’a pas appris les leçons d’Afghanistan, d’Irak, de Syrie et de toutes les autres interventions américaines manquées au cours des vingt dernières années. Pourquoi continuons-nous à perdre des guerres ? Parce que nous n’allons pas en guerre selon la Constitution américaine. Cette guerre-ci ne sera pas différente.
Les Houthis du Yémen ont résisté pendant des années aux attaques des Saoudis en employant les plus récents armements américains et ils ont pris le dessus. Jusqu’à date, ils n’ont pas ciblé les vaisseaux américains en Mer Rouge, mais seulement les bateaux allant ou provenant des ports israéliens. C’est ce qu’ils font en opposition à la destruction israélienne à Gaza. Bref, ça n’a jamais été notre guerre. Or maintenant, grâce à cette attaque, Biden en a fait notre guerre.
Donc, nous sommes devant le spectacle étrange et triste d’un Congrès endormi au volant pendant qu’un Secrétaire à la Défense lance des frappes militaires de son lit d’hôpital dans son service pour un président clairement pas en parfait état. Tout cela afin de poursuivre une politique qui n’a pas de sens et nous mène plus près d’une guerre majeure au Proche-Orient, guerre qui ne servira pas les intérêts nationaux des États-Unis, mais qui leur fera mal.
Amen, Dr Paul.
Comme je l’ai dit à répétition : il n’y a qu’UN seul parti à Washington, D.C. : le Parti de la guerre. On pourrait aussi l’appeler le Parti sioniste.
Mais si les guerroyeurs de Washington des deux partis politiques pensent pouvoir faciliter et manipuler une guerre majeure au Proche-Orient et que les États-Unis – sans mentionner Israël – en sortiront indemnes, ils vivent au Pays des Fantaisies.
Par guerre majeure, j’entends une guerre qui incite une quantité majeure d’états arabes qui s’uniront pour combattre. Même une alliance de quelques pays comme, disons, la Turquie, le Liban (les Forces de Défense Israéliennes ne peuvent même pas vaincre le Hezbollah dans une guerre totale), le Yémen et l’Iran serait trop pour ce que les États-Unis et Israël peuvent manœuvrer. Ajoutez le Pakistan, l’Égypte, la Jordanie, la Syrie, l’Irak et l’Arabie Saoudite (quoique je doute que la Maison corrompue de Saoude soit prête à risquer de perdre ses pots-de-vin de l’Oncle Sam) et même l’Oman, l’Éthiopie, l’Algérie, le Soudan et les Émirats Arabes Unis, et les conséquences pour les États-Unis seraient débilitantes dans une guerre qu’ils ne peuvent gagner et absolument catastrophiques pour Israël – peut-être même fatales.
Ajoutez à cela une guerre interne potentielle au sein des États-Unis via des centaines de milliers d’étrangers illégaux, célibataires et d’âge militaire ayant de fortes alliances avec les états arabes ci-mentionnés et que Joe Biden a délibérément importés dans notre pays (4 millions ou plus depuis qu’il est en poste) vers une force militaire déjà réduite, sous-préparée, sodomisée/transgenrée, et une guerre majeure au Proche-Orient pourrait facilement vouloir dire la FIN de l’hégémonie américaine au Proche-Orient et une Amérique significativement affaiblie et à la dérive.
La guerre d’Ukraine est déjà en train de détruire l’OTAN et l’hégémonie américaine en Europe. La Chine salive à l’idée d’un autre engagement militaire américain au Proche-Orient, car elle saisirait sans aucun doute l’opportunité de prendre avantage d’un Pentagone américain trop diversifié et trop confiant, et elle envahirait Taïwan.
Pensez-vous vraiment que les États-Unis puissent combattre efficacement sur trois fronts de guerre globale – ou, si la Corée du Nord décide que c’est le moment parfait pour envahir la Corée du Sud, sur quatre fronts ? L’Amérique n’a pas même gagné un seul front depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Nous avons combattu jusqu’à l’impasse en Corée ; nous avons perdu la guerre au Vietnam ; et nous avons perdu la guerre en Afghanistan. Nous avons même eu la queue entre les jambes en Somalie.
Comme l’a dit le Dr Paul :
Pourquoi continuons-nous à perdre des guerres ? Parce que nous ne sommes pas entrés en guerre selon la Constitution américaine. Cette guerre-ci ne sera pas différente.
Le Dr Paul frappe dans le mille, comme d’habitude.
Encore que l’escalade américaine dans une guerre au Proche-Orient pourrait être TRÈS différente en termes de conséquences pour l’Amérique. Et pour Israël, ce pourrait être sa destruction totale.
Quand des présidents américains sont aussi impopulaires que Joe Biden lorsqu’ils vont en élection nationale (bien qu’AUCUN président américain n’ait été aussi impopulaire que Joue Biden), ils font généralement l’une des deux choses suivantes : 1) ils démissionnent, ou 2) ils débutent une guerre.
Toute l’année précédente, l’on a spéculé à savoir si Biden allait démissionner. Jusqu’ici, cela semble improbable, ce qui nous laisse l’option 2 qui va sans doute se réaliser.
Biden a déjà démontré son appétit insatiable pour la guerre. Sa guerre en Ukraine est la Pièce exposée A de son désir de guerre. Son soutien et sa médiation personnelle dans la guerre à Gaza et maintenant sa volonté à commencer à étendre la guerre à tout le Proche-Orient sont le signal d’une année 2024 sanglante.
Mais ne vous découragez pas, mes amis. En facilitant la fin d’un paquet de mauvaises choses, un paquet de bonnes choses pourrait suivre. Lisez la récente lettre du Dr Paul Craig Roberts pour plus d’élaboration.
