Vous croyez sérieusement que les mêmes médias qui mentaient à propos du Covid disent maintenant la vérité concernant l’Ukraine ?

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Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 avril 2022

Pendant plus de deux ans, les médias de nouvelles ont menti à répétition à propos de la fausse pandémie de Covid. Pratiquement tout ce qu’ils nous ont dit était du mensonge en pleine face.

La précision des tests PCR était un mensonge flagrant. Le besoin de distanciation sociale était un mensonge flagrant. Le nombre de morts dues au Covid était un mensonge flagrant. Le besoin de masques était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les écoles et les églises était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les commerces était un mensonge flagrant. Le besoin de vaccination était un mensonge flagrant. La sécurité et l’efficacité des vaccins étaient un mensonge flagrant.

TOUT ce que l’on nous a dit à propos du Covid était un mensonge flagrant !

Or maintenant, les mêmes gens qui se sont réveillés face aux mensonges Covid régurgités par les mass-médias gobent tout le narratif des médias sur l’Ukraine.

Chaque fois que je vois tout l’establishment du pouvoir s’aligner en parfait accord, disant tous exactement la même chose et le répétant sans cesse encore et encore, JE SAIS que ce n’est rien d’autre que de la propagande. Avant même que je connaisse les joueurs, avant même que je connaisse les circonstances et les événements, JE SAIS que j’entends de la propagande.

Lorsque tous les réseaux de télévision, de CNN à FOX News, tous les lecteurs de nouvelles, de Joe Scarborough à Sean Hannity, toutes les têtes d’affiche d’Hollywood et du divertissement et tous les leaders évangéliques sionistes chrétiens régurgitent la même narration – et condamnent au feu de l’enfer tous ceux qui osent défier cette narration – JE SAIS que j’entends de la propagande.

En conséquence, je suis convaincu de tout mon être que tout ce que j’entends concernant l’Ukraine de la part de l’establishment n’est que pure propagande – un mensonge flagrant. Et oui, cela inclut les « nouvelles » à propos de Bucha.

Au fil des ans, j’en suis venu à apprécier et à respecter les analyses de l’ancien officier des renseignements de l’USMC, Scott Ritter. Il n’a pas peur de nager à contre-courant et de dire des vérités impopulaires. Il ne déçoit pas dans son analyse récente du « massacre de Bucha ».

« Dans la guerre, la vérité est la première victime. » Cette citation est attribuée à Eschyle, tragédien grec du 6e siècle av. J.-C., remarqué pour son « copieux usage de l’imagerie, de l’allusion mythique, de son langage grandiose, de jeux de mots et d’énigmes ». Il n’est que juste, par conséquent, que l’homme qui, le premier, a nommé le concept de propagande en temps de guerre en ces temps modernes verrait sa citation prendre vie dans l’Ukraine d’aujourd’hui. Le gouvernement de Kiev et leurs conseillers occidentaux en renseignements de guerre ont dû récupérer tous les mécanismes théâtraux d’Eschyle pour fabriquer une tragédie moderne dans la ville ukrainienne de Bucha qui illustre la notion de mensonge, non seulement comme sous-produit dérivé, mais aussi comme arme de guerre.

La source principale de la tragédie de Bucha est un enregistrement vidéo, pris par la Police Nationale ukrainienne, de l’un de leurs convois parcourant une rue dans la ville. Une douzaine de cadavres environ jonchent la chaussée, beaucoup ayant été apparemment ligotés. Cette vidéo est devenue virale, produisant une pandémie d’angoisse et de colère qui a balayé une grande partie du monde en captant l’attention des chefs d’état comme de la tête de l’Église catholique, causant ainsi une vague de condamnation et de scandale dirigée contre la Russie et son président, Vladimir Poutine. La relation de cause à effet entre la vidéo et la répercussion globale est claire – cette dernière ne pourrait exister sans la première.

Une des premières leçons d’objectivité, c’est de ralentir les choses pour s’assurer que le fait n’est pas obscurci par l’émotion. La vidéo de Bucha est troublante. La vidéo a été lancée dans sa forme présente, semble-t-il, avec l’intention expresse de produire un effet viscéral de « choc et de crainte » chez le téléspectateur. Si c’est vraiment le cas, alors ceux qui l’ont lancée – la Police Nationale ukrainienne – ont réussi au-delà de toutes leurs espérances les plus folles. Ou celles de leurs conseillers, comme c’est sans doute le cas.

Le lien entre les morts et l’armée russe a été établi immédiatement, sans aucune donnée de base pour le soutenir, et a par la suite fait écho dans tous les genres de médias – du grand courant médiatique comme des réseaux sociaux. Quiconque ose remettre en question la narration « la Russie a fait cela » a été conspué et minimisé comme étant un « compère des Russes », ou pire.

Que ces conclusions soient le sous-produit d’une hystérie de masse n’a rien à voir – pourquoi chercher à être objectif quand le narratif s’agence avec tous les stéréotypes qui ont été soigneusement assemblés à l’avance par les mêmes personnes qui répètent aujourd’hui l’histoire de Bucha. Le « pré-conditionnement » social d’un auditoire qui n’a pas l’habitude de la pensée critique est une étape essentielle pour amener cet auditoire à prendre tout ce qui lui est présenté pour acquis, peu importe jusqu’à quel point les faits de l’histoire mettent extrêmement sa crédibilité à rude épreuve. Et soyons clair – le narratif ukrainien des événements à Bucha semblent outrepasser la crédibilité.

La chronologie de la narration produit le premier drapeau rouge montrant que l’histoire propagée par l’Ukraine et répandue en Occident n’est pas ce qu’elle semble. C’est un fait établi que les troupes russes ont évacué Bucha le 30 mars. La Police Nationale ukrainienne a commencé à entrer dans Bucha le 31 mars, et ce même jour, le maire de Bucha a annoncé que la ville était entièrement sous le contrôle des fonctionnaires ukrainiens. En aucun moment n’a-t-il été sous-entendu, par le maire ou tout autre officiel ukrainien, une tuerie de masses entreprise par la Russie. L’enregistrement vidéo en question a été lancé par les autorités ukrainiennes le 2 avril ; il n’est pas certain si la vidéo a été prise plus tôt ou le même jour. Chose certaine, c’est que les images montrées dans la vidéo diffèrent nettement de la narration initiale donnée par le maire.

Un exemple de cette tactique qui se manifeste, c’est la réaction du Président américain, Joe Biden : « Vous avez vu ce qui s’est passé à Bucha, » explique-t-il en commentaire aux reporters, ajoutant que le Président russe Vladimir Poutine « est un criminel de guerre ». Biden a pris avantage de la crise à Bucha pour préconiser la livraison de plus d’armement en Ukraine. « Nous devons continuer à fournir à l’Ukraine des armes dont elle a besoin pour poursuivre le combat, » dit-il. « Et nous devons assembler tous les détails pour qu’il puisse y avoir un vrai procès pour crimes de guerre. »

Tout ça du président d’un pays qui a refusé de reconnaître la Cour Criminelle Internationale. Pour des raisons qui devraient être évidentes à quiconque veut appliquer quelque pensée critique.

Heureusement pour le Président Biden et le gouvernement ukrainien, le procureur-en-chef de la cour britannique, Karim Khan, a annoncé, au début de mars 2022, qu’il avait lancé une enquête sur les crimes de guerre allégués et les crimes contre l’humanité commis en Ukraine. Étant donné le profil élevé des allégations de Bucha, on imagine que Khan a expédié une équipe médico-légale pour prendre le contrôle de la scène de crime et superviser les autopsies sur les victimes de manière à établir l’heure de la mort, le mécanisme de la mort et à savoir si les victimes sont mortes à l’endroit où on les aurait trouvées ou si elles ont été déplacées là à partir d’un autre endroit.

Khan a aussi eu le pouvoir de diriger les entrevues avec la Police Nationale ukrainienne qui a un historique de relations étroites avec les membres de l’extrême droite ukrainienne, y compris l’infâme Bataillon Azov. S’avérerait d’un intérêt particulier toute enquête sur les ordres donnés à la police concernant le traitement des civils ukrainiens que l’on juge avoir collaboré avec l’armée russe durant son occupation à Bucha.

Le résultat d’une telle enquête entrerait fort probablement en conflit avec le narratif poursuivi par le gouvernement ukrainien et répandu en Occident par des médias et des politiciens complaisants. C’est la raison principale pour laquelle Khan n’est pas présentement sur le terrain à Bucha. On peut assumer que si et quand Khan aura éventuellement accès aux preuves concernant les tueries de Bucha, elles auront été manipulées par la Police Nationale ukrainienne à un point tel que désapprouver les allégations sera pratiquement impossible.

Les preuves de ce qui est arrivé à Bucha s’y trouvent, attendant qu’on les découvre. Malheureusement, cette vérité semble inopportune pour ceux qui sont en position de la poursuivre de manière agressive au moyen d’une enquête basée sur le médico-légal au site-même. S’il venait à arriver qu’émerge éventuellement le fait que la Police Nationale ukrainienne ait tué des civils ukrainiens pour le crime d’avoir collaboré avec les Russes lors de leur courte occupation de Bucha, et que les forces de la loi internationale soient amenées contre les vrais auteurs de ce crime, toute poursuite en justice véritable devrait inclure les gouvernements américain et britannique comme co-conspirateurs conscients dans toute accusation de crime.

Le SEUL espoir qu’a le président pantin ukrainien dans son désir de maintenir sa position en tant que gardien de la corruption de l’État Profond globaliste en Ukraine, c’est d’inciter assez de passion et d’émotion antirusse dans les pays occidentaux – particulièrement les États-Unis – pour les amener en confrontation directe avec la Russie pour la protection de l’Ukraine. L’histoire de Bucha serait le parfait faux drapeau pour accomplir cela. Et si Bucha ne marche pas, vous pouvez parier qu’il y en aura d’autres.

Comme je l’ai fait remarquer dans mon bulletin de la semaine dernière, plusieurs fidèles partisans de Liberty Fellowship qui vivent en Ukraine ou qui ont de la parenté vivant en Ukraine ont témoigné de ce que l’armée ukrainienne – spécialement le notoire Bataillon Azov – détruit ses propres villes et tue ses propres citoyens.

Et il n’est pas difficile de s’imaginer les motifs. Il y en a deux évidents : 1) L’armée ukrainienne prend sa revanche sur les citoyens ukrainiens qui se montrent loyaux et sympathiques envers la Russie et, 2) les forces ukrainiennes sèment la mort et la destruction afin de mettre tout le blâme sur la Russie et ainsi stimuler les États-Unis et l’OTAN à entrer en guerre contre la Russie.

Et peu importe ce que vous entendez de la part des médias menteurs et des leaders évangéliques crédules, le conflit en Ukraine n’est PAS un scénario où le bon gars affronte le mauvais gars. Loin de là ! Zelenski n’est pas George Washington, comme l’allèguent follement certains conservateurs. Il ressemble plus à Benedict Arnold.

Le gouvernement de l’Ukraine est profondément corrompu. C’est un vassal de l’État Profond pour laver l’argent sale, faire le trafic d’enfants, être une banque criminelle internationale, etc. Zelenski est un lèche-bottes sioniste de George Soros et de l’État Profond occidental.

Vous n’avez probablement pas entendu parler de l’élection en Hongrie – parce que les médias propagandistes ne veulent pas que vous en entendiez parler. Le Premier Ministre hongrois Victor Orban vient de remporter son quatrième mandat dimanche dernier.

Viktor Orban de Hongrie, fraîchement élu pour un quatrième mandat en tant que premier ministre, aux élections de dimanche, a dit que son parti est sorti victorieux en dépit des interférences de la part des forces de la gauche, à la maison, et des « opposants » autour du monde, en incluant le Président ukrainien Volodymyr Zelenski et l’activiste politique milliardaire George Soros.

« Nous nous rappellerons de cette victoire jusqu’à la fin de nos jours parce que nous avons eu à combattre contre une énorme quantité d’opposants. »

Ces forces comprenaient non seulement les partis d’opposition de la Hongrie, dit-il, mais aussi « les bureaucrates de Bruxelles, l’empire Soros – avec son argent – les mass-médias internationaux et à la fin même le Président ukrainien. Nous n’avons jamais eu autant d’opposants en même temps. »

« Le monde entier peut voir que notre marque de politiques chrétiennes démocratiques, conservatrices et patriotiques a gagné. »

Comme dévoués sionistes/globalistes, Zelenski et son bienfaiteur George Soros ont fait tout ce qu’ils ont pu pour défaire le Premier Ministre chrétien hongrois. Ils ont perdu, mais pas par faute d’avoir essayé.

Le respectable éducateur et écrivain chrétien Don Boys a écrit cette semaine :

George Soros, Klaus Schwab, Barack Obama, Bill Clinton et d’autres ont pris le leadership de l’agenda globaliste. Ces hommes ne sont simplement que des gauchistes radicaux, avides et maléfiques avec un programme d’extrême-gauche pour le monde, pas juste un pays. Ensemble, ils utilisent leur argent, leur influence et leur position pour produire un déséquilibre dans divers pays.

C’est exactement ça (sauf que je suggèrerais que des politiciens comme Obama et Clinton sont des laquais, pas des leaders). Alors, posez-vous la question : Pourquoi Soros. Schwab et le reste de la cabale globaliste SOUTIENNENT-ILS L’UKRAINE ?

Donc, félicitations à tous les conservateurs politiques et les évangéliques chrétiens qui applaudissent l’Ukraine : vous, George Soros et Klaus Schwab faites maintenant partie de la MÊME ÉQUIPE !

Cela ne veut pas du tout dire que Poutine et la Russie sont les « bons gars ». Cela signifie simplement que le peuple des États-Unis n’a aucune chance dans ce combat. Le problème, c’est que les vandales de l’État Profond à Washington, D.C., sont tout aussi corrompus que ceux du théâtre européen ; et si nous les laissons faire, ils nous traîneront tous dans la boue et la fange – et la mort et la destruction – de leurs machinations maléfiques.

Et si vous doutez encore de ce que je dis à propos de la bonne foi sioniste de Zelenski, l’homme vient juste de dire de but en blanc que l’Ukraine d’après-guerre sera un « gros Israël ». (Demandez aux Palestiniens ce que cela veut dire.)

L’ambassadeur israélien en Ukraine, Michael Brodsky, a dit à Haaretz, que « l’État juif a toujours été un modèle pour l’Ukraine ».

Ce n’est pas surprenant. Si les évangéliques n’avaient pas le cerveau aussi lavé par les doctrines diaboliques du sionisme chrétien, ils sauraient que l’Ukraine était jadis l’épicentre de l’Empire khazar, soit les ancêtres des Juifs ashkénazes qui sont devenus l’État sioniste d’Israël.

Allez-vous réellement continuer à avaler la propagande globaliste des mass-médias à propos de l’Ukraine ? Si oui, alors au moins ayez la cohérence d’arrêter de vous plaindre de l’État Profond, car quand vous vous laissez prendre aux mensonges des mass-médias, vous en venez à en faire partie.

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