D.576 – La gouverne de l’homme

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Par Roch Richer

Lors de la création de l’homme, il y a quelques six mille ans, Dieu lui donna le libre arbitre, c’est-à-dire, la liberté de choisir Sa voie, Sa conduite, Ses conseils. Pour ce faire, l’Éternel a accordé à Sa créature un esprit afin qu’elle possède la faculté de penser, de réfléchir, de raisonner. Mais cet esprit était limité et le domaine spirituel lui échappait. Or, telle était l’intention de Dieu, car Il voulait par la suite ajouter de Son propre Esprit à l’esprit humain pour que l’homme puisse avoir accès à la véritable connaissance.

« Mais ainsi qu’il est écrit [dans Ésaïe 64:4] : ce sont des choses que l’œil n’a point vues ; que l’oreille n’a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme [incapable de les saisir par son esprit charnel], lesquelles Dieu a préparées à ceux qui l’aiment. Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit. Car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu. Car qui est-ce des hommes qui sache les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même aussi nul n’a connu les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu. Or nous avons reçu non point l’esprit de ce monde, mais l’Esprit qui est de Dieu ; afin que nous connaissions les choses qui nous ont été données de Dieu ; lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne [par le seul moyen de son esprit charnel limité], mais avec celles qu’enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels [c’est-à-dire, nous qui avons le Saint-Esprit pouvons nous approprier la connaissance des choses spirituelles qui nous étaient auparavant inaccessibles]. Or l’homme animal [uniquement guidé par son esprit charnel] ne comprend point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont une folie [l’homme n’admet pas ne pas les comprendre ; dans sa vanité, il les qualifie simplement de folie, d’idiotie, d’ignorance, et il méprise ceux qui ont l’Esprit pour comprendre et les traite d’insensés, de fous] ; et il ne peut même les entendre [dans le sens de comprendre, de saisir], parce qu’elles se discernent spirituellement. Mais l’homme spirituel [possédant en lui l’Esprit de Dieu] discerne toutes choses, et il n’est jugé de personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur pour le pouvoir instruire ? mais nous, nous avons l’intention de Christ » (1 Corinthiens 2:9-16).

Ceux qui se proclament « sages » en ce monde croient que l’Évangile est une folie, tout simplement parce qu’ils ne le comprennent pas. Ils qualifient les croyants de rétrogrades parce que la vérité qui est révélée à ceux-ci se trouve au-dessus de la capacité d’entendement des dits sages.

« Où est le sage ? où est le Scribe ? où est le Disputeur de ce Siècle ? Dieu n’a-t-il pas manifesté la folie de la sagesse de ce monde ? Car puisqu’en la sapience de Dieu, le monde n’a point connu Dieu par la sagesse, le bon plaisir de Dieu a été de sauver les croyants par la folie de la prédication » (1 Corinthiens 1:20-21).

« Que personne ne s’abuse lui-même ; si quelqu’un d’entre vous croit être sage en ce monde, qu’il se rende fou [selon le monde], afin de devenir sage [selon Dieu]. Parce que la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu; car il est écrit [dans Job 5:13] : il surprend les sages en leur ruse. Et encore [dans Psaume 94:11] : le Seigneur connaît que les discours des sages sont vains » (1 Corinthiens 3:18-20).

Malgré tous ses efforts, l’homme est incapable par lui-même de connaître les vérités divines. Il a beau avoir recours à toute son intelligence pour philosopher sur les questions existentielles, il ne sait toujours pas quelle est son origine et quelle sera sa fin. Cependant, au fil du temps, depuis Adam et Ève, il lui a fallu se débrouiller pour vivre en société, qu’il organise la vie en commun. Heureusement, dès le départ, Dieu lui a donné des directives. Mais comme nous venons de le voir, l’homme se croit plus sage que Dieu et Ses directives lui semblent une folie.

De plus, Satan, le Diable, a toujours été dans les parages pour encourager sa rébellion et ses réticences face aux Paroles de Dieu. Le Démon a donc suggéré à l’homme toutes sortes de systèmes pour se gouverner. Mais au bout d’un certain temps, les choses se sont mises à aller si mal, et l’homme était devenu si corrompu, que Dieu déclencha Son Déluge pour mettre un terme à cette véritable folie.

Mais ne vous leurrez point : ce n’était nullement un échec de la part de Dieu. Cela faisait partie de Son Plan. Toutes les générations subséquentes, jusqu’à aujourd’hui, ont pu profiter de cet événement pour en tirer quelque leçon. Mais le cœur de l’homme étant ce qu’il est, nous en sommes rendus aujourd’hui au même point qu’à l’époque de Noé, car la fin est proche :

« Mais comme il en était aux jours de Noé, il en sera de même de l’avènement du Fils de l’homme » (Matthieu 24:37).

Au cours des derniers siècles, les hommes ont tenté de faire l’essai de toutes sortes de systèmes de gouvernement. Ils ont cependant toujours regardé derrière, les yeux fixés sur le système qu’avait voulu mettre en place Nemrod, fondateur de Babylone : une dictature sous un Ordre Mondial. Tous les hommes rassemblés sous un seul gouvernement totalitaire reniant la souveraineté de Dieu.

Après l’ascension du Christ et l’émergence de Son Église, il s’est installé une certaine stabilité grâce aux Écritures de Dieu qui se répandaient un peu partout. Les pays se sont formés, tant bien que mal, tiraillés par des conflits au sujet de conquêtes de territoires ou à cause de différends théologiques. Des royautés se sont élevées, des empires se sont succédés, des ententes furent établies.

De tous les systèmes imaginés par les hommes, la démocratie a semblé le moins déficient, offrant un certain degré de liberté au peuple. Mais à partir de l’an 1917, les choses se sont sérieusement détériorées. Des idées démoniaques ont surgi pour amener l’humanité vers un déclin graduel. Des hommes mal intentionnés sapent les fondements chrétiens de la société depuis des centaines d’années et la ruine va en s’accélérant.

Dans notre monde moderne, la démocratie est morte. Elle ne fait pas le jeu de l’élite mondiale au pouvoir parce que celle-ci n’en veut tout simplement pas. Elle s’apprête à installer un communisme à l’échelle mondiale. Alors, quand les politiciens modernes parlent de démocratie, ils en donnent une définition contrefaite afin que le peuple ne puisse se rendre compte du piège et qu’on le dirige, en vérité, vers un régime communiste totalitaire et dictatorial que ce peuple rejetterait s’il lui était proposé franchement.

Comprenons que dans la société actuelle, les gens honnêtes sont écartés de tout pouvoir, bien qu’il puisse survenir occasionnellement des accidents de parcours, comme l’émergence d’un Poutine ou d’un Trump. Mais alors, l’État profond a recours à toute sa malhonnêteté et tire toutes les ficelles pour truquer les élections ou fomenter de fausses guerres artificielles, à la face de la population aveugle, comme on en a été témoins lors des dernières élections américaines, canadiennes et françaises, et comme on le voit par le conflit en Ukraine.

Par ailleurs, Dieu n’élèvera pas « un homme de Dieu » à la tête d’aucun pays, car cela n’entre pas dans Son plan de salut. En ce moment, l’Éternel veut que l’homme au cou roide prouve une fois pour toutes qu’il est incapable de se gérer tout seul. Il permet donc, avec sans doute un brin d’humour, que Satan place ses propres hommes dans les postes gouvernementaux, des imbéciles qui ne savent pas distinguer entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux. Devant ce genre d’hommes et de femmes, le chrétien doit se montrer circonspect et prudent. Dans les églises pseudo-chrétiennes, les faux pasteurs sont bien prompts à sortir Romains 13 pour que les membres obéissent aveuglément aux autorités. Mais ces pasteurs, dirait-on, ne savent pas lire la Bible. Que dit le passage ?

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes » (vs 1-2).

La plupart du temps, les pasteurs s’arrêtent là et disent de manière péremptoire à leurs ouailles qu’elles doivent obéir à tous les décrets (souvent extraordinairement stupides) et les mandats obligatoires que régurgitent leurs gouvernements. Mais ne devraient-ils pas lire la suite où l’apôtre Paul élabore sur les conditions ?

« Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (v. 3).

Déjà, ici, nous avons un problème avec l’interprétation des pasteurs, car les autorités – les Puissances – se permettent de plus en plus de punir les gens qui veulent bien faire, c’est-à-dire, suivre les instructions divines. Les restrictions sont de plus en plus sévères contre ceux qui dénoncent l’homosexualité, le transgenrisme, l’avortement, la pédophilie, etc. Et l’on veut faire avaler aux gens des mensonges aussi grossiers que le « changement climatique », la pénurie d’énergie et autres bêtises. Récemment, l’on a adopté une loi américaine qui interdit de remettre en question la légitimité des élections, alors que les preuves de fraudes s’accumulent et deviennent criantes.

Depuis deux ans, les autorités poussent les gens à se faire injecter un produit si nocif qu’un nombre effarant de gens en meurent et encore plus subissent des séquelles irréparables ; et les médecins qui osent mettre leurs patients en garde risquent de perdre leur licence de pratique. Donc, aujourd’hui on doit craindre les « princes » pour de bonnes actions. Lisons la suite du passage.

« Car le Prince est le serviteur de Dieu pour ton bien… » (v. 4).

Voilà qui devrait éclairer les gens. Les chefs d’états que nous avons en ce moment partout dans le monde ne sont tout simplement pas des serviteurs de Dieu, quoique qu’il y en ait peut-être un ou deux qui croient en un Dieu. Pour la plupart, ce sont des psychopathes.

« …mais si tu fais le mal, crains… » (v. 4) Aux États-Unis, les juges démocrates financés par George Soros ne condamnent pas les malfaiteurs et ne les mettent pas en prison. Le mal demeure donc impuni et les récidivistes se multiplient. En plus, on définance la police.

« …parce qu’il ne porte point vainement l’épée, car il est le serviteur de Dieu, ordonné pour faire justice en punissant celui qui fait le mal » (v. 4).

De nos jours, c’est exactement le contraire qui se passe. Le système politique et judiciaire est tellement corrompu que les pires bandits de la société se trouvent au sommet de la hiérarchie du pouvoir. Les sorciers dominent. Ils détestent Dieu et les pasteurs voudraient qu’on leur obéisse sans questionner ? N’est-ce pas renier la faculté de penser que Dieu nous a accordée ? Voyons plutôt un autre passage écrit par l’apôtre Paul :

« Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du Démon. Car nous n’avons point à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:11-12).

Est-ce une contradiction de la part de Paul ? Bien sûr que non. Dans Romains 13, il parle de chefs d’état qui sont des serviteurs de Dieu, Ici, il parle de chefs d’états qui sont des serviteurs de Satan. Il nous faut savoir faire la différence afin de résister aux mauvais gouverneurs. Un grand nombre des chefs d’état d’aujourd’hui font partie de sociétés occultes où l’on adore Satan. Beaucoup sont des êtres pervers et dépravés qui pratiquent la sorcellerie, la pédophilie, le vol et le meurtre à grande échelle. Nous ne pouvons pas suivre ce genre d’hommes aveuglément.

Cette élite mondialiste, qui cherche à imposer un Nouvel Ordre, se doit d’être fort bien organisée afin d’œuvrer, premièrement dans la clandestinité et jusqu’au jour où il sera impossible au reste du monde de refuser de s’y conformer ; et alors, l’élite, dirigée par l’homme du péché, l’antichrist des temps de la fin, se montrera au grand jour et infligera sa dictature sans que le peuple puisse rien y faire. C’est inévitable, car prédit par les Écritures.

Pour y arriver, l’élite sataniste a recours à de nombreux organismes qu’elle a créés au fil des siècles – mais surtout au 20e siècle – afin d’assurer son pouvoir et répandre sa propagande dans toutes les sphères de la société. Parmi ces organisations, il y a les sociétés secrètes et il y a les puissantes agences de renseignement, ou services secrets. Certaines sont très importantes et exercent leur influence partout dans le monde : le Mossad israélien, les MI5 et MI6 britanniques, le FBI, la NSA et la CIA américains, etc. Entre autres tâches, ces agences ont la mission de mettre en place un peu partout dans le monde des gouvernements qui agissent en accord avec le programme mondialiste des dirigeants occultes non élus. Si les chefs d’état n’obéissent pas à l’agenda global, l’État profond occulte mobilise une agence de renseignement (souvent la CIA) qui va se rendre dans le pays pour déstabiliser le régime politique récalcitrant, provoquer de nouvelles élections (qu’elle s’arrange pour truquer) ou assassiner le chef d’état rebelle, puis elle installe au pouvoir un homme de paille de l’élite, préalablement endoctriné par des organismes comme le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab, le Groupe de Bilderberg, le Club de Rome, le Council of Foreign Relations, les Skull & Bones, ou toute autre société plus ou moins secrète.

L’outil principal et primordial de tout ce système, c’est… le mensonge !

Le mensonge érigé en système existe depuis la nuit des temps. Déjà le prophète Jérémie en était découragé, car il ne cessait d’en être témoin au sein de son peuple :

« Plût à Dieu que j’eusse au désert une cabane de voyageurs, j’abandonnerais mon peuple, et me retirerais d’avec eux ; car ils sont tous des adultères, et une troupe de perfides. Ils ont tendu leur langue, qui leur a été comme leur arc pour décocher le mensonge, et ils se sont renforcés dans la terre contre la fidélité, parce qu’ils sont allés de malice en malice, et ne m’ont point reconnu, dit l’Eternel. Gardez-vous chacun de son intime ami, et ne vous fiez à aucun frère ; car tout frère fait métier de supplanter, et tout intime ami va médisant. Et chacun se moque de son intime ami, et on ne parle point en vérité ; ils ont instruit leur langue à dire le mensonge, ils se tourmentent extrêmement pour mal faire. Ta demeure est au milieu de la tromperie ; ils refusent à cause de la tromperie de me reconnaître, dit l’Eternel … Leur langue est un trait décoché, elle profère des fraudes ; chacun a la paix dans sa bouche avec son intime ami, mais dans son intérieur il lui dresse des embûches » (Jérémie 9:2-6, 8).

Construites sur le mensonge, les agences de renseignement en ont fait leur outil de prédilection. De par leur nature, elles ne peuvent travailler ouvertement. Ce sont des espions, des agents secrets, habitués à leurrer, à tromper. Elles disent agir ainsi pour le bien commun, et elles présentent même le mensonge comme une nécessité, sous le faux prétexte de la sécurité nationale, ou pour épargner les sensibilités du peuple qui ne pourrait comprendre. Car, selon eux, tout le monde ne mérite pas d’avoir la vérité, car la vaste majorité serait, toujours selon eux, incapable de la supporter. Mais la réalité est tout autre. Ces agences, parrainées et financées par les oligarques mondialistes, poursuivent des agendas cachés et inavouables.

Nous devons vraiment reconnaître que nous vivons dans un monde de censure de la vérité. Car, avance-t-on, « toute vérité n’est pas bonne à dire ». On assume que la population générale est trop bête pour la saisir, l’analyser, la comprendre. Mais le but véritable est de cacher les actions mauvaises et perverses dont l’élite se rend coupable tous les jours.

Dans le monde actuel, si quelqu’un veut s’élever au-dessus de la masse et atteindre les hautes sphères de la société, il se sent poussé à recourir au mensonge et à toutes sortes de roublardises malfaisantes. Il doit obéir aux dictateurs de la Synagogue de Satan, sinon, il sera irrémédiablement écrasé. Les maîtres du pouvoir sont des adeptes inconditionnels des philosophies de Satan. À cet effet, ils sont devenus des menteurs compulsifs et pathologiques. Ils ne savent apparemment plus différencier le bien du mal, le vrai du faux. Beaucoup d’entre eux s’en fichent, d’ailleurs, car la vérité, au mieux, n’a pas d’importance à leurs yeux et, au pire, s’avère une menace qu’il faut combattre. Parce que, lorsque l’on œuvre dans les ténèbres afin de dissimuler les choses mauvaises que l’on fait, la lumière de la vérité fait mal aux yeux et dévoile les œuvres infructueuses.

Pendant ce temps, le peuple se laisse endormir par tous ces mensonges et se forge un idée complètement déformée du monde et de l’humanité, ne comprenant pas la tournure réelle des événements. L’humanité n’en sortira pas avant que Dieu ne vienne Lui-même la libérer. Alors seulement, l’homme verra ce qu’est la vraie puissance.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si, du jour au lendemain, le mensonge disparaissait ? si tous les gens ne disaient que la vérité à leur prochain ? La face de la terre en serait radicalement changée, les guerres n’auraient plus lieu, la confiance régnerait entre les pays, entre les citoyens, entre les membres d’un même foyer…

Or, le Plan de Dieu prévoit un pareil monde pour sa conclusion. Et ce n’est pas seulement le mensonge qui disparaîtra, mais également tous les travers humains. Ce monde-là est inaccessible à l’homme par sa propre force et par sa propre intelligence, mais il sera accessible par la grâce et la miséricorde de Dieu. Il l’est d’hors et déjà à tous ceux qui acceptent Son appel et font Sa volonté. Et alors que le joug de l’homme est pesant, celui de Dieu est léger.

Que le Seigneur vous garde.

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