Le Plan de croissance intelligente de l’homme n’est pas le Plan de Dieu
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
février 2023
De la Tour de Babel au Développement durable
« Malheur à ceux qui joignent maison à maison, et qui approchent un champ de l’autre, jusques à ce qu’il n’y ait plus d’espace, et que vous vous rendiez seuls habitants du pays. L’Eternel des armées me fait entendre, disant : Si des maisons vastes ne sont réduites en désolation, et si les grandes et les belles maisons ne sont sans habitants ? »
Ésaïe 5:8-9
« Puis ils dirent : Or ça, bâtissons-nous une ville, et une tour de laquelle le sommet soit jusqu’aux cieux ; et acquérons-nous de la réputation, de peur que nous ne soyons dispersés sur toute la terre. Alors l’Eternel descendit pour voir la ville et la tour que les fils des hommes bâtissaient. Et l’Eternel dit : Voici, ce n’est qu’un seul et même peuple, ils ont un même langage, et ils commencent à travailler ; et maintenant rien ne les empêchera d’exécuter ce qu’ils ont projeté. Or ça, descendons, et confondons là leur langage, afin qu’ils n’entendent point le langage l’un de l’autre. Ainsi l’Eternel les dispersa de là par toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi son nom fut appelé Babel ; car l’Eternel y confondit le langage de toute la terre, et de là il les dispersa sur toute la terre. »
Genèse 11:4-9
Dans Genèse 2, nous apprenons que l’Éternel planta un jardin en Éden et y plaça l’homme. Une rivière sortait d’Éden pour arroser le jardin. Dieu commanda à Adam qu’il pouvait manger de tout arbre sauf un.
Un grand nombre de critiques de Sa Parole Sainte disent que ce n’est qu’un mythe. Ils ferment les yeux sur le fait que, dans ce simple enseignement, Dieu révélait une chose importante. Entouré d’arbres, de rivières et de créatures vivantes, il s’agissait d’un habitat parfait pour l’homme.
Des recherches ont montré que le contact avec la nature s’avère thérapeutique. On a documenté que les patients qui peuvent voir par leur fenêtre des arbres, des plans d’eau et des animaux recouvrent plus rapidement la santé que ceux qui ne peuvent voir que des murs et des bâtiments. Dans le numéro de septembre 2003 du American Journal of Public Health, des chercheurs ont observé ceci : « Un des cadres les plus efficace pour guérir de la fatigue d’attention implique l’environnement de la nature – l’exposition aux arbres, aux chutes d’eau, aux lacs, aux fleurs… »
Avant les années 1800, moins de deux pourcent de la population mondiale vivait dans les villes. Aujourd’hui, plus de quatre-vingt pourcent vivent entassés les uns sur les autres. Des experts ont prédit que cette tendance ne changera pas.
L’homme en sait plus
Après le Déluge, l’homme commença à construire des villes. L’architecture de ces anciennes cités promouvait la vanité humaine. Si nous ne l’avons pas oublié, l’homme décida de construire une énorme structure pour atteindre les cieux.
Un grand mur entourait un grand nombre de ces cités. Ces fortifications avaient pour but d’interdire l’accès aux animaux sauvages, de même qu’aux bandes de malfaiteurs qui maraudaient. Mais ils créèrent aussi des problèmes imprévus. La surpopulation, le bruit et l’hygiène publique en faisaient partie.
Au début des années 1990, le terme de « Croissance intelligente » fit partie du jargon des politiciens et des planificateurs de villes. La théorie était de créer un centre compact où l’on pouvait marcher et rouler à bicyclette pour éviter l’étalement urbain. Il y aurait des écoles de voisinage, un grand étalage d’options d’habitations et des centres d’achats commodes. On avait pour but de créer un sentiment de communauté.
Malheureusement, ces intellectuels ne pensaient pas aux conséquences qu’il y a à entasser un grand nombre de gens dans des buildings et dans des chaussées routières. Le nombre encombrant de véhicules menant à des bouchons de trafic, des trottoirs bourrés de piétons marchant épaules à épaules, des distractions telles que les panneaux d’affichage et autres signalisations conduisent à la fatigue mentale qui se traduit souvent en violence.
Combien de fois l’homme, dans sa vaine tentative d’atteindre le statut divin, n’a-t-il pas pris en considération les réactions négatives à ses idées ? Si ces planificateurs avaient suivi les principes bibliques, ils auraient reconnu le besoin d’avoir des espaces libres adéquats.
Quand la ville devint surpeuplée, les développeurs arrivèrent avec un autre plan brillant… les banlieues ! En créant des communautés dans des cadres ruraux – mais pas trop loin des villes – ils purent apaiser certains problèmes irritants tout en faisant fortune.
Malheureusement, ceux qui ne pouvaient se permettre de déménager dans les banlieues furent laissés derrière. Eventuellement, le déclin s’infiltra alors que les entreprises suivirent les masses ayant de l’argent à dépenser.
« Pas dans ma cour » – actions et réactions
Avec la dégradation régnant dans les régions urbaines, il y a des opportunistes cherchant à ramener les jours glorieux. Toutefois, ces idées brillantes ne sont pas toujours pour le meilleur intérêt de ceux qui sont laissés derrière par les masses en exode.
Il y a toujours des projets qui ne sont pas populaires auprès des citoyens, mais qui sont nécessaires au bien-être des gens. Que ce soit les installations d’eaux usées, les terrains d’enfouissement, les foyers pour les sans-abri, les éoliennes, etc., on doit bien les mettre quelque part.
Les rencontres de conseils municipaux où l’on discute de ces projets peuvent parfois devenir controversées et litigieuses. En fin de compte, comme nous le savons tous, ces projets ne sont jamais
installés dans le voisinage des riches. Les foules fortunées crieraient assurément : « Pas dans ma cour ! » D’où leur appellation de PDMC.
Ces gens-là croient que tout projet modifiant les peuples locaux devrait clairement leur bénéficier. Les PDMC travaillent à être propriétaires et on les a souvent décrit comme cherchant à garder leurs maisons à un prix élevé. Des recherches montrent que les conservateurs et les libéraux sont également susceptibles de s’opposer aux nouveaux développements mobiliers dans leurs localités.
L’Agenda 2030
Dix-sept buts ont été adoptés par toutes les nations membres de l’ONU en 2015. Cela faisait partie de l’Agenda 2030 en vue d’un Développement durable. Selon l’ONU, ces buts sont un appel à agir afin de mettre fin à la pauvreté, à protéger la planète et à améliorer la vie de chacun.
Pour accomplir ce programme, l’ONU a ciblé l’action locale qui va enchâsser les transitions requises dans ses politiques, son budget, ses institutions et les structures réglementaires de gouvernements, de villes et d’autorités locales.
De même, le monde universitaire a aidé et soutenu un programme pour concrétiser l’Agenda 2030. Par la propagande dirigée vers notre jeunesse, les médias contrôlés, les unions, le monde universitaire et bien d’autres, l’ONU cherche à générer un mouvement irrépressible faisant pression pour obtenir les transformations requises.
Essentiellement, les planificateurs de l’Agenda 2030 de l’ONU souhaitent créer une migration massive retournant dans les centres urbains. Ils envisagent des habitations empilées les unes sur les autres et cherchant à atteindre les cieux. Cela permettra à la « Mère Terre » de réclamer la majorité des terres et d’éviter ainsi le changement climatique.
Le Développement durable vs la Vérité biblique
À cause des crimes non réprimés et de la pollution – bruit, lumière et smog – cette option insalubre commencera à tomber dans l’oreille de sourds. Ces personnes éconduites ne connaissent pas les enseignements bibliques de Dieu. Ils sont consumés par le désir malsain de contrôler les masses.
Comme nous l’a enseigné Jésus :
« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance » (Jean 10:7-10).
En tant que chrétiens, non seulement avons-nous la commande de répandre l’Évangile de Jésus-Christ, mais aussi de « préparer au Seigneur un peuple bien disposé » (Luc 1:17). Nous devons tout faire en notre pouvoir pour dénoncer cet agenda maléfique et réveiller ceux qui sommeillent.
Bénédictions, malédictions et Alliance éternelle
Il y a encore des gens qui continuent à nous dire qu’ils ne sont pas d’accord avec la position de Texe au sujet des Juifs. Texe, nous et tous les autres qui dénonçons les mauvaises actions des Juifs, nous serons maudits, nous dit-on. Ce doit bien être vrai, n’est-ce pas ? Regardez le sort de Jean-Baptiste et de mon Sauveur Jésus-Christ – décapité et crucifié pour avoir appelé les Pharisiens, les scribes et les autres anciens une génération de vipères (Jean-Baptiste : Luc et Matthieu 4:17 ; et Jésus : Matthieu 12:34 et 23:33).
Les deux petits versets suivants dans la Genèse ont été réquisitionnés par ceux qui se nomment eux-mêmes Juifs et qui ont pris l’habitude de propager et de programmer un modèle de pensée chez les chrétiens et le monde pour démontrer leur supériorité. Et personne n’ose remettre en question leur narration afin de ne pas être qualifié « d’antisémite », être vilipendé et esquivé.
Autre examen de Genèse 12:2-3
« Et je te ferai devenir une grande nation, et te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras béni. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:2-3).
Je ne vois pas ici Dieu tendant le monde à Abram (pas encore Abraham) sur un plateau d’argent (le contrôle mondial et les biens). Il ne s’agit pas d’un discours d’encouragement de la part de Dieu pour relever l’estime de soi d’Abram. Il s’agit plutôt de démontrer jusqu’à quel point le nom d’Abraham en tant que patriarche d’un peuple/nation imprégné d’un commandement serait reconnu pour avoir été un témoin de Dieu. C’est un appel à l’action et au devoir ! Une responsabilité.
« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:3).
Encore ici, la plupart des gens appliquent des standards humains à ce verset. Je le comprends au niveau spirituel : que cela signifie que, si vous croyez et répandez le message de Dieu et Son témoignage (tel que livré à cette époque et maintenant dans la Nouvelle Alliance), vous êtes béni de Dieu, spirituellement parlant. Si vous entravez ou érigez des barrages devant l’œuvre que Dieu nous a appelés à faire, nous et Abraham – être un témoignage qui atteigne toutes les familles de la terre – vous serez maudit. La bénédiction, c’est la vie éternelle, et la malédiction, c’est la condamnation.
Une Alliance éternelle
« J’établirai donc mon alliance entre moi et toi, et entre ta postérité après toi en leurs âges, pour être une alliance perpétuelle ; afin que je te sois Dieu, et à ta postérité après toi. Et je te donnerai, et à ta postérité après toi, le pays où tu demeures comme étranger, savoir tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je leur serai Dieu. Dieu dit encore à Abraham : Tu garderas donc mon alliance, toi et ta postérité après toi en leurs âges. Et c’est ici mon alliance entre moi et vous, et entre ta postérité après toi, laquelle vous garderez, savoir que tout mâle d’entre vous sera circoncis. Et vous circoncirez la chair de votre prépuce; et cela sera pour signe de l’alliance entre moi et vous. Tout enfant mâle de huit jours sera circoncis parmi vous en vos générations, tant celui qui est né dans la maison, que l’esclave acheté par argent de tout étranger qui n’est point de ta race. On ne manquera donc point de circoncire celui qui est né dans ta maison, et celui qui est acheté de ton argent, et mon alliance sera en votre chair, pour être une alliance perpétuelle. Et le mâle incirconcis, la chair du prépuce duquel n’aura point été circoncise, sera retranché du milieu de ses peuples, parce qu’il aura violé mon alliance » (Genèse 17:7-14).
« Et toutes les nations de la terre seront bénies en ta semence, parce que tu as obéi à ma voix » (Genèse 22:18).
La Terre sainte
Est-il vraiment question de la terre poussiéreuse du Proche-Orient ? L’on nous a aussi programmés à croire ça. Pourquoi Dieu a-t-Il donné à Abraham et à sa descendance ce lotissement de terre – même, en possession éternelle ? (Joint à cette phrase de manière sacrée : « et je serai leur Dieu »). Je crois que c’était pour leur donner une place pour demeurer et se nourrir aussi bien que de leur garder Dieu à l’esprit et aider à mettre la population en garde contre l’influence des païens. Je crois que c’est la raison pour laquelle Dieu ordonnait parfois la destruction complète de tous les êtres vivants lorsqu’ils prenaient possession d’une région – afin de ne pas amener la corruption parmi Son peuple. Si la localisation géographique est si importante, est-ce que les Juifs habitant Israël aujourd’hui sont plus saints que ceux de la diaspora ? Pourquoi les Juifs ne se rendent-ils pas tous en Israël ? Questions idiotes parce que tout cela n’a toujours été qu’une affaire de cœur.
La Circoncision
La circoncision est un signe de l’alliance. La vraie circoncision est du cœur – pour ceux à qui Il sera leur Dieu.
Dieu a dit à Abraham de circoncire, non seulement ceux de sa propre famille, mais la chair de tout mâle qui vivait en sa maison : né dans sa demeure ou non, étranger ou ami : libre ou esclave ; de ne faire acception de personne. Voilà le témoignage de Dieu envers tous, sans égard à leur race. C’est Abraham partageant le témoignage de Dieu.
Jean-Baptiste rejette la race
« Faites des fruits convenables à la repentance, et ne vous mettez point à dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père ; car je vous dis, que Dieu peut faire naître, même de ces pierres, des enfants à Abraham » (Luc 3:8).
Jean rejeta simplement la valeur de la lignée sanguine, disant que Dieu pouvait en faire naître des pierres ? Des pierres, des roches ! Jean réduisit à rien leurs lignées sanguines et dit que les pierres pouvaient naître en tant qu’enfants d’Abraham. Comment Jean pouvait-il oser réduire leur lignée sanguine à une moindre valeur que les pierres ! Mais Jean savait à qui il faisait face – les scribes, les Pharisiens et ceux qui enseignaient les traditions des hommes (le Talmud) plutôt que le conseil de Dieu (la Torah/Bible).
Jean héla d’abord les Juifs parce que Dieu avait mis sur leurs épaules la responsabilité de montrer le chemin vers le Salut. Mais Jean inclut toutes les personnes autour de lui, illustrant par là qu’en croyant, leur témoignage de vie serait aussi un témoignage de leur cœur (Luc 3:10-14).
Jean poursuivit en disant que la cognée était déjà mise à la racine des faux adorateurs – cette génération de vipères – les scribes et les Pharisiens qui veulent avoir pour eux des bénédictions physiques et un salut facile, mais dont le manque de fruit spirituel rendait témoignage de leur dérogation à la bénédiction d’Abraham. Ces grands prêtres ne sont pas des témoins de Dieu et ont donc amenés la malédiction sur eux, et même sur ceux qui les suivent.
Conversation entre Jésus et les Pharisiens et les scribes
« Il dit aussi cette parabole à quelques-uns qui se confiaient en eux-mêmes d’être justes, et qui tenaient les autres pour rien » (Luc 18:9).
« Sur cela les Pharisiens et les Scribes l’interrogèrent, en disant : pourquoi tes Disciples ne se conduisent-ils pas selon la tradition des Anciens, mais prennent leur repas sans se laver les mains ? Et il leur répondit, et leur dit : certainement Esaïe a bien prophétisé de vous, hypocrites, comme il est écrit : ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes. Car en laissant le commandement de Dieu, vous retenez la tradition des hommes, savoir de laver les pots et les coupes, et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition » (Marc 7:5-9).
Jésus et Jean-Baptiste connaissaient tous deux le cœur des leaders religieux de l’époque – que les scribes et les Pharisiens avaient cessé depuis longtemps de suivre Dieu. Ceux-ci avaient le sentiment qu’on menaçait leur pouvoir. « Que se passera-t-il si le peuple retourne réellement vers Dieu et croit en Son Messie plutôt qu’aux doctrines et aux traditions des hommes ? »
Dans l’Évangile de Jean, au chapitre 7, Jésus « demeurait en Galilée, car il ne voulait point demeurer en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir … Le monde ne peut pas vous avoir en haine, mais il me hait : parce que je rends témoignage contre lui que ses œuvres sont mauvaises » (vs 1 et 7). Jésus savait que les Pharisiens Le haïssaient parce qu’Il prêchait le message de Son Père, ce qui exposait le leadership juif pour ce qu’il était – impie, égoïste et mauvais.
Alors comme aujourd’hui, la pression du pouvoir et du leadership juifs se faisait lourde, car « personne ne parlait franchement de Lui, à cause de la crainte qu’on avait des Juifs » (Jean 7:13).
Jean-Baptiste et Jésus furent-ils maudits selon Genèse 12:2-3 ? Le monde dirait que oui. Mais en tant que chrétienne qui croit en la Bible, je sais que tout le monde a besoin de Jésus – tout genou fléchira et tout le monde confessera que Jésus est le Seigneur. Ne devrions-nous pas tenter d’atteindre aussi les Juifs sans leur détourner les yeux ? J’ai choisi d’être messagère et témoin de Dieu et de mon Sauveur Jésus-Christ.
Enfin, si vous êtes encore un apologiste de ceux qui se disent Juifs, qu’en est-il d’Apocalypse 2:9 et 3:9 – ceux qui se disent Juifs mais n’en sont pas et qui mentent, et qui sont plutôt la Synagogue de Satan ? Leurs fruits témoignent-ils de notre Père, ou sont-ils des hypocrites, un peuple qui cache de la méchanceté sous un masque de vertue (nous avons Abraham pour père – leur sépulcre blanchi [Matthieu 23:27]) ?
« Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:29).