Les grosses entreprises pharmaceutiques contrôlent-elles l’Amérique ?
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Février 2019
Par Jerry Barrett
Les gros profits l’emportent sur notre santé et notre bien-être
Grâce à leur flot de revenus abondant, les entreprises pharmaceutiques exercent un pouvoir immense – tant politique qu’économique – sur l’Amérique. Le surnom de « Big Pharma » s’avère une plaque de fabricant appropriée. Les onze plus grandes entreprises de Big Pharma ont généré des profits nets de près de trois-quarts de trillion de dollars en une seule décennie ! La majorité de ces entreprises se situent en Amérique et comprennent des noms que l’on connaît partout : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, Eli Lilly et Bristol Myers Squibb.
La prescription de médicaments pharmaceutiques dans le but de gérer la maladie chronique cause de sévères effets secondaires qui nuisent à la santé ou tuent. Pris entre la Big Pharma et son armée de médecins, un large pourcentage d’entre nous sommes devenus accros inconditionnels aux médicaments. Trois-quarts des citoyens américains de plus de cinquante ans prennent actuellement des médicaments sous prescription.
La prolifération de la pharmaceutique a poussé de nombreux docteurs à s’en remettre exclusivement aux compagnies de médicaments pour avoir l’information sur ce qu’ils prescrivent. Mal informés et mal équipés, les médecins d’aujourd’hui n’ont aucune idée des interactions dommageables que leurs médicaments ont sur leurs patients.
Toutefois, les adultes ne sont pas les seules victimes que vise Big Pharma. À la suite d’un programme créé par les Centres de Contrôle de la Maladie (CDC) et l’Administration de la Nourriture et des Médicaments (FDA), nos enfants ont reçu des vaccins dans lesquels on a ajouté du mercure ou de l’aluminium comme préservatifs. Depuis 1991, quand la CDC et la FDA recommandèrent que trois vaccins additionnels, avec préservatifs ajoutés, soient administrés à de très jeunes enfants, le nombre estimé de cas d’autisme est monté en flèche, de un cas sur 2 500 enfants à un cas sur quarante enfants aujourd’hui.
Au lieu de prévenir et de faire décroître la maladie, les vaccins ont trop souvent des effets opposés en accroissant la maladie de manière exponentielle et en causant des dommages irréversibles, et même la mort, chez des milliers de victimes inconscientes, et qui vivent surtout dans les pays du tiers-monde.
La Cour Suprême de l’Inde étudie présentement la possibilité d’accuser Bill Gates de nuisance criminelle envers un grand nombre de ses citoyens, spécialement des enfants estropiés ou tués par son programme global de vaccination. Un nombre croissant de critiques déclare que le véritable but visé par Gates est la réduction de la population.
Bill Gates a rencontré le Président Donald Trump à deux occasions, l’avisant de ne pas faire de recherches sur les mauvais effets des vaccins. Ceci malgré que Trump ait eu questionné la fréquence du planning de vaccination pour les enfants. Ce qui fait froid dans le dos, c’est qu’à son 2010 TED Talk, Gates aborda la question de la croissance démographique et déclara que les vaccins sont une méthode efficace de réduire la population.
Étant donné la controverse qu’engendrent les vaccins, pourquoi Gates ne souhaiterait-il pas une enquête indépendante sur leur sécurité ? Cela ne dissiperait-il pas toutes les « théories conspirationnistes » ? Les Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie américains (CDC) n’ont-ils pas fait enquête là-dessus ?
La réponse est oui, mais les informations ne leur ont pas plu. À cause de Big Pharma qui contrôle l’industrie de la santé, des résultats comme ceux découverts par la CDC sont sûrs de ne jamais voir le jour. Grâce à un dénonciateur au sein des installations de recherche de la CDC, nous savons maintenant que cette information fut récurée et altérée alors que les données factuelles ont été détruites. Heureusement, ce dénonciateur a gardé ses copies originales et les a partagées.
En 1986, Ronald Reagan a signé l’Acte de Loi National sur les Vaccins pour Enfants qui éliminait pratiquement toute responsabilité financière des fabricants de vaccins en rapport avec les préjudices physiques reliés aux vaccins. Robert F. Kennedy Jr apparut à l’émission de Tucker Carlson, sur Fox News, et expliqua que le régime de vaccination avait changé en 1989. Le Congrès avait donné « l’immunité légale complète » à toutes les compagnies de vaccins. M. Kennedy continua : « Peu importe le degré de toxicité des ingrédients ou s’il y avait des blessures extrêmes infligées à votre enfant, vous ne pouviez pas poursuivre » ces compagnies. Voilà pourquoi vous n’entendez jamais parler de poursuites en recours collectif contre Big Pharma.
Kennedy parla ensuite d’une étude récente qui avait été financée par le gouvernement danois et qui faisait l’examen de la sécurité du vaccin Tdap qui fut administré à des enfants africains. D’après ce rapport, ce vaccin – appuyé par Bill Gates – tue plus de gens que les maladies contre lesquelles il est censé protéger ! M. Kennedy expliqua :
« Pratiquement tous les enfants d’Afrique l’ont reçu. Ce qu’ils ont trouvé … ils ont fait une étude sur les vaccinés versus les non-vaccinés, ce qui n’a jamais été fait … ils en ont conclu que … ils ont dit que le vaccin tue plus de gens que la la diphtérie, la coqueluche et le tétanos combinés ensemble (et pour lesquels vaccine le Tdap). »
Jusqu’à quel point Big Pharma contrôle-t-elle le message ? D’abord, elle sponsorise les émissions de nouvelles des grands médias. Prétendument, le revenu total de publicité recueilli par ces émissions de nouvelles est de 70 %. C’est un énorme signal d’alerte sur la validité de ces émissions.
Big Pharma est aussi impliquée dans l’éducation des docteurs, tout comme les pots-de-vin et les ristournes payés aux médecins qui appuient leurs produits. Ils financent aussi l’éducation médicale des étudiants et des post-étudiants. Beaucoup de ces docteurs agissent en tant qu’experts médicaux au nom de Big Pharma sans révéler ce fait.
Un autre sous-produit de la collusion entre la CDC et Big Pharma est survenu en 2009 quand l’ancienne directrice de la CDC, la Dre Julie Gerberding, fut embauchée par Merck pour diriger son programme de développement de vaccins. Bien que beaucoup de gens au sein du mouvement anti-vaccination exprimèrent leur outrage face à ce conflit d’intérêts, aucune voix ne se fit entendre provenant des bulletins de nouvelles des grands courants médiatiques.
Le montant d’argent dépensé en pots-de-vin… euh… en lobbying auprès des fonctionnaires du gouvernement est absurde. Big Pharma a dépensé 2,7 milliards $ en lobbying de 1998 à 2013. Il y a également des preuves qui confirment qu’un effort concerté est apparu pour ruiner les sources alternatives de la santé. Si plus de gens étaient au courant des remèdes homéopathiques et les utilisaient, l’industrie de la santé se flétrirait et sa base de pouvoir serait détruite.
Power of Prophecy a le plaisir de vous offrir un exposé explosif intitulé Vaxxed: From Cover-up to Catastrophe. [Nous pourrions le traduire en français par Vaxxiné : de la dissimulation à la catastrophe.] Le très estimé Dr Andrew Wakefield, le premier à signaler, en 1998, que le vaccin MMR (la rougeole, les oreillons et la rubéole) pouvait causer l’autisme, dirige ce documentaire.
A cause de son rapport de 1998 publié dans The Lancet interrogeant le lien possible entre le vaccin MMR et l’autisme, et présentant le défi que nous avions besoin de plus de recherches, Big Pharma passa à l’offensive. Essentiellement, elle détruisit sa carrière médicale et a fait tout en son pouvoir pour le discréditer.
Heureusement, cela n’a pas dissuadé le Dr Wakefield de dénoncer les dangers que représente Big Pharma et sa vaccination. Assurez-vous de commander une copie de mon entrevue avec le Dr Wakefield [en anglais seulement].
Armez-vous de la connaissance. Faites-vous entendre. Contactez votre député et exigez que des recherches indépendantes et solides soient entreprises. La santé de vos enfants, de vos petits-enfants, du pays, du monde est en jeu.