Les vaccins COVID-19 entravent le système immunitaire, mènent à des maladies plus sévères : Dr Robert Malone

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THE EPOCH TIMES

4 août 2022

Une étude provenant du Royaume-Uni démontre que les travailleurs de la santé qui ont reçu plusieurs vaccins de rappel COVID-19 après avoir été initialement infectés par la souche virale originale de Wuhan sont plus enclins à la réinfection chronique par le variant Omicron.

Cela pourrait permettre d’expliquer pourquoi les gens qui reçoivent plusieurs vaccins de rappel COVID-19 composent de plus en plus ceux qui se retrouvent à l’hôpital avec des symptômes sévères de COVID-19 se terminant souvent par la mort, a dit le scientiste et physicien, le Dr Robert Malone.

Dans une entrevue du 21 juillet à l’émission Crossroads d’EpochTV, Malone, inventeur de la technologie du vaccin ARN-messager, a dit que ce phénomène est le résultat d’un processus appelé « empreinte immunitaire » par laquelle l’exposition initiale à la souche virale peut empêcher le corps de produire assez d’anticorps neutralisants contre une nouvelle souche.

Il ajoute que ce processus est renforcé par de multiples inoculations.

« Partout dans le monde, nous voyons des séries de données qui démontrent que, malheureusement, les personnes qui meurent et celles qui sont hospitalisées se trouvent par une majorité écrasante celles qui sont fortement vaccinées, » dit-il. « Ce ne sont pas ceux qui ont une immunité naturelle. »

Des vaccins basés sur de vieilles souches

Les vaccins COVID-19 actuellement en circulation sont basés sur la souche Wuhan du virus du PCC (Parti Communiste Chinois), que l’on appelle aussi SARS-CoV-2 causant la maladie que l’on identifie aujourd’hui comme le COVID-19.

Un certain nombre de souches a émergé et est devenu dominant depuis que s’est répandue la souche Wuhan, y compris l’actuel variant dominant Omicron.

Le problème réside dans le fait que les vaccins COVID-19 n’utilisent qu’un seul des composants de tout le virus, qui est une pointe de protéine du virus original identifié à Wuhan, Cette souche de virus n’existe plus et ne circule plus dans la population, dit Malone.

Si un vaccin basé sur une souche virale maintenant défunte est administré à répétition, il forme le système immunitaire à se concentrer de plus en plus sur l’antigène livré par le vaccin et à négliger tout ce qui est légèrement différent, explique Malone, appelant ce phénomène empreinte immunitaire.

« La littérature sur l’empreinte immunitaire est indestructible, » dit Malone. « Article après article, après article, maintenant, dans les journaux revus par les pairs provenant des plus grands laboratoires du monde, en font la documentation. »

Le phénomène est connu depuis longtemps dans le domaine de la vaccination, dit le Dr Malone, mais le sujet est défendu, et les gens qui travaillent dans le domaine préfèrent ne pas en discuter, dit-il.

Immunité par le vaccin vs immunité naturelle

Des travailleurs de la santé du Royaume-Uni – dont beaucoup ont été infectés par le variant Wuhan du virus et qui ont également reçu de trois à quatre doses du vaccin COVID-19 – ont développé des contaminations chroniques répétées du variant Omicron, nous a dit Malone, citant un article publié dans le journal académique Science.

Un autre article publié dans Nature montre que l’évolution du virus ne provient pas de la population en général, mais plutôt des personnes immuno-compromises qui ont reçu de multiples doses de vaccin, dit Malone, et environ 30 % de la population entièrement vaccinée se retrouve avec des infections à répétition.

Cela va à l’encontre du narratif promulgué qui veut que ce soit les non-vaccinés qui mettent toute la population en danger, remarque Malone.

L’immunité naturelle à l’infection COVID-19 dure au moins quatorze mois, y compris l’immunité contre les souches Omicron, dit Malone, en citant un article scientifique du Qatar qui n’a pas encore été révisé par les pairs (pdf).

L’immunité induite par le vaccin cependant, ne dure qu’environ deux mois, ajoute-t-il.

Lorsque quelqu’un est infecté par le virus original, cette personne va générer une réaction immune qui comprend « toutes les sortes de protéines du virus », pourvu qu’il ou elle n’ait pas expérimenté trop d’empreinte immune, explique Malone.

« Le problème qu’il y a avec ces vaccins monovalents, ou vaccins à simple antigène, c’est qu’ils activent toute votre réaction immune contre une seule chose par opposition à tout le virus. Donc, tout ce que le virus a à faire, c’est, de manière génétique et par évolution, de modifier légèrement quelques bosses pour échapper à ça, » dit-il. « Et c’est exactement ce qui est arrivé avec l’Omicron. »

Ce qu’il y a de paradoxal, c’est que la plupart des pays aux économies émergeantes et au bas taux de vaccination ont également les taux les plus bas au monde de mortalité par le COVID-19, poursuit Malone.

« Il est probable que nous allons continuer à voir cette tendance, » dit-il.

Selon Our World in Data (Notre monde en données), seulement 1,4 % de la population d’Haïti a été vaccinée et le pays a enregistré 838 morts COVID-19, un taux de 73 morts par million d’habitants.

En Afrique du Sud, où 32 % de la population est vaccinée, il y a eu près de 102 000 morts, un taux de 1 717 morts par million d’habitants.

Au Royaume-Uni, 75 % de la population est vaccinée et plus de 184 000 personnes sont mortes, ce qui constitue un taux de 2 736 décès par million.

Et aux États-Unis, 67 % de la population est vaccinée et 1,03 million de gens sont morts du virus, soit un taux de 3 058 décès par million de gens.

D’autres problèmes causés par les vaccins

Malone souligne un problème avec les vaccins ARN-messager actuels.

Lorsqu’un vaccin est injecté dans le bras d’un patient, l’ARN du vaccin, qui est un ARN modifié, est censé ne durer qu’une couple d’heures, mais une étude de l’Université Stanford montre que « l’ARN reste pendant au moins 60 jours, » dit Malone.

Toutefois, le gouvernement ne tient compte que des réactions et des maladies vaccinales qui sont enregistrées par le Système de Rapport d’Événement Adverse Vaccinal (VAERS) à l’intérieur des deux premières semaines après la vaccination, même si le médicament est encore dans le corps deux mois après, dit Malone.

« L’ARN du vaccin produit plus de pointes de protéine que ne le fait l’infection naturelle, » dit-il. « Il est donc tout à fait sensé que nous voyions davantage d’effets adverses à cause de ces vaccins que ce que nous avons vu à cause de l’infection elle-même, parce que la pointe est une toxine. »

Le VAERS a été établi par les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies [CDC] et l’Administration des Aliments et des Médicaments [FDA] pour collecter et analyser les données concernant les effets adverses de la vaccination.

Le système se fie aux individus pour qu’ils envoient des rapports, et on ne s’attend pas à ce qu’il détermine si un problème de santé rapporté a été causé par un vaccin, mais il est « particulièrement utile pour détecter les modèles inhabituels et inattendus du reportage des effets adverses qui pourrait indiquer un possible problème de sécurité du vaccin, » selon le Département des Services de Santé Humaine.

Malone, qui est président et cofondateur de l’Alliance Internationale des Physiciens et des Scientistes Médicaux, dit que plus de 17 000 docteurs et scientifiques ont signé une déclaration disant de manière non équivoque que les vaccins génétiques doivent être retirés.

« Ces vaccins génétiques ne marchent pas, » dit-il.

 

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