La pandémie Covid est-elle en réalité un EXERCICE top-secret du gouvernement ?
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
30 septembre 2021
Comme je l’ai dit dans mon article de la semaine dernière, la « crise » Covid est un canular depuis le début. Oubliez le lab Wuhan ; oubliez les faux tests PCR ; oubliez les faux comptes de décès Covid ; oubliez complètement tout le faux narratif Covid. Le SARS-COV-2 n’existe pas !
« Nous avons la preuve que des prélèvements isolés et purs du coronavirus Covid-19 n’existent pas : une source japonaise nous a fourni des réponses concernant les requêtes de Liberté d’Information démontrant que dix (10) pays, en plus de Pfizer elle-même, ne détiennent pas d’isolat du SARS-COV-2.
« Donc, le virus n’existe pas en réalité ; il n’existe que dans un programme d’ordinateur. Par exemple, jetons un coup d’œil dans l’article intitulé Syndrome respiratoire grave du coronavirus 2 de patient ayant une maladie de coronavirus, États-Unis, par Harcourt et autres, sur le site web des Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie (CDC). Sous l’entête Séquences entière du génome, les auteurs disent : “Nous avons conçu 37 paires de PCR emboîtés enjambant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus” (GenBank accession No. NC045512).
« Faisant la critique de cet article du CDC, le Dr Tom Cowan dit : “Pour moi, cette étape de génération par ordinateur constitue une fraude scientifique. Voici une équivalence : Un groupe de chercheur déclare avoir trouvé une licorne parce qu’ils ont trouvé un morceau de sabot, un poil de queue et un fragment de corne. Ils insèrent alors cette information dans un ordinateur et le programment pour recréer la licorne, et ils proclament ensuite que cette recréation par ordinateur est une vraie licorne.” (emphase ajoutée). »
Mais le narratif Covid n’est pas seulement une fraude scientifique ; il s’agit aussi d’une fraude gouvernementale à l’échelle mondiale.
GlobalResearch.ca couvre l’affaire.
« Une loi fédérale de 2019 souleva des inquiétudes à savoir que le gouvernement américain peut s’être engagé dans des “exercices” Covid-19 à grande échelle sans en alerter le public.
« Des articles antérieurs ont mentionné que, précédant la pandémie rapportée du Covid-19, le gouvernement fédéral des États-Unis avait entrepris des actions en rapport avec les lois gouvernant les pandémies, y compris les lois gouvernant les “manœuvres et exercices” de préparation aux pandémies.
« Cet article va se concentrer sur la Pandémie et l’État de Préparation Tous-risques et l’Acte d’innovation avancée de 2019, qui a été adopté par le Congrès et signé comme loi le 24 juin 2019 [par le Président Donald Trump], à peine quelques mois avant le Covid-19. Cette loi décrit les exigences pour la Stratégie de Sécurité Sanitaire Nationale 2019-2022.
« Dans la Loi américaine sur la Pandémie 2019 et d’autres lois et documents, l’on trouve un langage que l’on peut interpréter comme des indices potentiels montrant que le gouvernement américain peut avoir l’intention de se coordonner avec les gouvernements internationaux et autres entités afin de “convenir” d’une pandémie falsifiée ou un genre de “manœuvre” ou “d’exercice opérationnel” de pandémie mis à couvert.
« On peut voir cette information comme un soutien additionnel à l’affirmation que la pandémie Covid-19 soit sans doute falsifiée de façon partielle ou complète.
« La Loi sur la Pandémie étend l’autorité légale du gouvernement pour se préparer contre les pandémies.
« Un article précédent commenta brièvement la Pandémie et l’État de Préparation Tous-risques et l’Acte d’innovation avancée de 2019 (qu’on appellera désormais “la Loi 2019 sur la Pandémie”). Il pourrait y avoir davantage de choses dans cette Loi 2019 sur la Pandémie, dont l’autorité légale qu’elle octroie, et que l’on devrait discuter. Un résumé du gouvernement fédéral américain explique que la Loi 2019 sur la Pandémie :
« “…amende la Loi sur le Service de Santé Publique afin de construire sur l’œuvre que le Département américain des Services Humanitaires de la Santé a entrepris pour mettre de l’avant la sécurité nationale de la santé. Les amendements comprennent l’accroissement des autorités du Secrétaire [du Département des Services Humanitaires de la Santé], du Sous-secrétaire à la Préparation et aux Réactions [ASPR] et le Directeur des Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie (CDC) afin de se préparer et de réagir aux urgences de la santé publique. [l’emphase est ajoutée]
« Par conséquent, la Loi 2019 sur la Pandémie amende la Loi sur le Service de Santé Publique et élargit les autorités de plusieurs personnes et entités “afin de se préparer et de réagir aux urgences de la santé publique”. À part cela, le gouvernement américain explique que la Loi sur le Service de Santé Publique :
« “…constitue le fondement de l’autorité légale du HHS [le Département américain des Services Humanitaires de la Santé] pour réagir aux urgences de santé publique ; cela autorise le secrétaire du HHS à diriger toutes les réactions médicales et de santé publiques dans les urgences de santé publiques.”
« Il est alors important de garder en tête qu’il y a une autorité légale “afin de se préparer … aux urgences de la santé publique”; on mentionne cette autorité légale dans les lois américaines dont nous allons discuter dans cet article. Parmi ceux qui ont autorité légale “afin de se préparer … aux urgences de santé publique”, il y a le Sous-secrétaire à la Préparation et aux Réactions (ASPR).
« Il est aussi important de garder à l’esprit certaines distinctions : il y a des lois fédérales américaines qui régissent l’autorité légale du HHS, du CDC, de l’ASPR, du NIH, etc. pour se préparer et réagir aux pandémies. Puis, il y a des lois fédérales américaines qui exigent une Stratégie américaine pour la Sécurité de la Santé Nationale et qui décrivent les exigences nécessaires (“les provisions”) que l’on doit mettre dans le document de la Stratégie pour la Sécurité de la Santé Nationale..
« Et nous allons élaborer dans un moment la Stratégie de la Sécurité. Nationale 2019-2022 et le Plan de Réalisation incluant des provisions que l’on pourrait interpréter comme suggérant que de “convenir” d’une réaction face à un exercice pandémique planifié (une fausse pandémie potentielle) fait partie de la stratégie de préparation à la sécurité de la santé.
« La “préparation” pandémique peut être évaluée au moyen d’un “exercice gouvernemental sans préavis”.
« Une des parties de la loi américaine mentionnant les dispositions à mettre dans la Stratégie de Sécurité Nationale de la Santé se lit comme suit :
« “La Stratégie de Sécurité Nationale de la Santé comprendra des dispositions pour faire avancer … l’intégration de la santé publique et les capacités médicales et publiques avec les autres systèmes de premiers répondants, y compris par … l’évaluation périodique des états de préparation et les capacités de réaction au niveau fédéral, étatique, local ou tribal au moyen de manœuvres et d’exercices, incluant les manœuvres et les exercices afin d’assurer une capacité d’afflux médical lors d’événements sans préavis (emphase ajoutée ; la numérotation des paragraphes et les chiffres omis pour aider à la lecture).
« Il est intéressant de noter l’emploi de l’expression “sans préavis”. La formulation peut être interprétée pour vouloir dire des “exercices et des manœuvres” de pandémie cachés ou secrètes, puisque “sans préavis” signifie littéralement “pas de préavis” de manœuvre ou d’exercice.
« La loi ne spécifie pas si “sans préavis” se réfère à avant la manœuvre ou l’exercice ou à la fois avant et après la manœuvre ou l’exercice. Tel que la loi est écrite, il ne semble pas y avoir de préavis avant ou après que la manœuvre ou l’exercice opérationnel soit complété ; un exercice ou une manœuvre qui survient sans qu’on en informe ceux qui sont impliqués serait une manœuvre ou un exercice caché ou secret.
« Il y a une autre partie de la loi américaine que nous devrions garder en tête et c’est la loi qui donne autorité légale au Sous-secrétaire de l’État de Préparation et de Réaction (ASPR) au sein du Département des Services humanitaires de la Santé…
« “…d’exécuter des manœuvres et des exercices, en consultation avec le Département de la Sécurité du Territoire, le Département de la Défense, le Département des Affaires des Anciens Combattants, et d’autres départements et agences fédérales applicables si nécessaires et si appropriés, pour identifier, informer et aborder les vides et les politiques reliés à la préparation et aux réactions tout-risque en santé publique et médicale, incluant les exercices basés sur … des menaces identifiées pour lesquelles des contre-mesures sont disponibles et pour lesquelles aucune contre-mesure n’est disponible, et … des menaces inconnues pour lesquelles aucune contre-mesure n’est disponible (42 U,S, Code § 300hh-10, emphase ajoutée).
« Comme il est écrit ci-dessus, il apparaît que lorsque les lois américaines gouvernant la préparation pandémique mentionnent la “préparation” ou quelque chose de similaire, les lois impliquent apparemment que “des manœuvres et des exercices opérationnels” peuvent être convoqués pour évaluer de tels états de préparation.
Pour évaluer des états de préparation fédéraux et nationaux, on peut sous-entendre des “manœuvres et des exercices opérationnels”. Et, comme mentionné ci-haut, au moins plusieurs de ces manœuvres et de ces exercices peuvent être exécutés “sans préavis”.
S’il vous plaît, ne passez pas par-dessus le fait que Donald Trump fut le Président qui signa cette loi autorisant des manœuvres et des exercices pandémiques top-secrets, encore juste quelques mois avant que ne commence l’exercice Covid. Et il ne peut y avoir absolument aucun doute que de nombreux exécutifs de haut-niveau à la Maison Blanche, au Congrès, au CDC et dans de nombreux gouvernements étrangers savaient qu’il s’agissait d’un exercice.
Par exemple, le 20 mars 2020, dans une conférence de presse à la Maison Blanche, le Secrétaire d’État Mike Pompeo reconnut : « Nous sommes ici directement dans un exercice. »
Les lèche-bottes de Trump doivent se sortir de leur pollution nocturne (définition du Dictionnaire Encarta : 2) une idée ou une image trop optimiste et grandement irréaliste) au sujet de Trump et s’éveiller au fait que Donald Trump a été L’HOMME qui a lancé cette fraude médicale et cette tyrannie gouvernementale antichrist contre le monde. Observez :
- Donald Trump a signé en loi le projet sur les manœuvres et les exercices pandémiques top-secrets avant que ne commence le narratif Covid.
- Donald Trump a signé l’Ordre d’Urgence autorisant tous les confinements Covid, les fermetures, les mandats d’obligation, l’interdiction de voyager, la distribution du vaccin expérimental, les exigences de vaccination, etc.
Ignorer le rôle dominant joué par Trump en imposant ce narratif Covid antichrist sur le monde est le comble de l’ignorance, de la stupidité ou du déni – peut=être les trois.
Après dix-huit mois de cet exercice pandémique, nous savons maintenant que le but du jeu était l’implantation d’une marque antichriste de la bête, alias « les passeports vaccinaux ».
La part sur laquelle l’élite globale (y compris Bill Gates et Anthony Fauci) ne comptait pas, c’est le nombre de tous les récalcitrants qui refusent catégoriquement d’accepter leur tyrannie globale (pas grâce à nos « leaders chrétiens » évangéliques). Des millions de gens dans toute l’Europe – particulièrement en Italie, en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne – marchent dans les rues pour défier les obligations Covid.
Je me suis demandé quand ce défi arriverait dans les rues de l’Amérique. Eh bien, c’est arrivé, et il est temps :
« De grandes foules de manifestants se sont assemblées autour des sites de la Ville de New York, comme dans le nord de l’État, en exigeant que le gouvernement annule les ordres d’obligation vaccinale pour certaines catégories de travailleurs et le système de “passeport” implanté dans la Ville de New York.
« On a vu les protestataires marcher dans Manhattan, dans Staten Island et ailleurs dans la ville lundi après-midi et dans la soirée, et un reporter sur scène estima la foule à au moins 1 000 dans l’ancienne municipalité.
« On entendait les marcheurs scander : “Mon corps, mon choix ! » dans des séquences devenues virales – faisant écho au slogan des activistes pro-avortement – tout comme “Non veut dire non !” On en a vu d’autres qui portaient des bannières s’opposant aux “mandats médicaux” et aux “passeports digitaux” tout en exigeant “la liberté sanitaire maintenant”.
« D’autres démonstrations ont aussi surgi ailleurs dans l’État, comme à Rochester, où un groupement s’est réuni pour protester contre un mandat vaccinal pour les travailleurs de la santé à l’extérieur de l’Hôpital Strong Memorial. »
En plus, un pourcentage assez considérable de notre personnel militaire américain refuse de recevoir les injections Covid. Les estimations vont de trente à quarante pourcent d’entre eux.
Le narratif pourrait être un exercice pandémique top-secret du gouvernement, mais le combat pour la protection de nos libertés contre cet exercice antichrist n’est pas une manœuvre. C’EST LA RÉALITÉ !