Nancy Pelosi a fait de son mieux pour faire évaporer les enfants non-nés, éradiquer les armes à feu, étendre le gouvernement et promulguer la tyrannie – pourquoi ne pas finir en beauté et faire éclater la Troisième Guerre Mondiale ?
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
4 août 2022
De BeforeItsNews.com :
Pelosi est une idiote, mais elle n’est pas stupide. Elle sait qu’il y a des conséquences. Les Chinois ont clairement fait savoir qu’ils ne veulent pas que Pelosi aille à Taïwan. Les tensions sont déjà grande entre les États-Unis et la Chine, et ce voyage n’aidera sûrement pas.
Or, de toute évidence, il n’appartient pas à la Chine de dicter la politique et les actions des États-Unis. Mais comme le voyage d’Alcibiade au Péloponnèse, en l’an 418 av. J.-C., il n’y a absolument aucun bénéfice à ce que Pelosi aille à Taïwan.
L’économie des États-Unis est en chute libre. Les parents n’arrivent plus à trouver du lait maternisé à bébé, l’inflation fait rage. Les gens souffrent.
Qu’est-ce exactement que cette femme veut réussir à faire ? Sa visite à Taïwan va-t-elle, en quelque sorte, miraculeusement faire reculer l’inflation ? Le lait maternisé pour bébé va-t-il soudainement réapparaître sur les tablettes ?
Bien sûr que non. Alors, s’il n’y aucun bénéfice pour les Américains, pourquoi y aller ?
D’un autre côté, le voyage comporte un grand nombre de risques. La Chine ne veut pas avoir l’air faible, et quelles que soient les mesures de représailles qu’elle entreprendra, elles ne seront sans doute pas positives pour les États-Unis.
La réaction initiale de la Chine, il fallait s’y attendre, a été vive. Elle a déjà démarré des exercices militaires de combat, c’est-à-dire, avec des vraies armes et de vraies munitions, et elle a littéralement entouré Taïwan par la mer. Apparemment, ces exercices militaires vont comprendre des tests de missiles à proximité de la côte est de Taïwan.
Pendant ce temps-là, les États-Unis ont mis en position au moins deux vaisseaux de la marine et plusieurs jets de combat près de la côte est de Taïwan, augmentant ainsi la possibilité d’un conflit, ou même juste un accident.
Heureusement, il ne se passe rien de catastrophique. Mais encore une fois, quel est l’objet exact de ce voyage ? Il n’y a que des risques et aucun bénéfice… sauf celui de permettre à Pelosi de crâner devant les caméras avant qu’elle ne se retire l’an prochain.
On penserait que quelqu’un ayant des décennies d’expérience politique – une « experte » en diplomatie internationale – comprendrait une réalité aussi simple, et choisirait de manière rationnelle la ligne de conduite qui bénéficierait le plus à son pays. Mais c’est une proposition dérisoire.
Pelosi a à son compte des décennies de tromperie, de déloyauté, de couardise et d’arrogance. Elle est même méprisée par des membres éminents de son propre parti.
Pelosi n’est qu’un exemple parmi bien d’autres – une #mefirst (moi d’abord) hypocrite et égocentrique qui est devenue l’Alcibiade des temps modernes. Et elle entrera probablement dans l’histoire de la même façon qu’il l’a fait.
Veuillez lire tout l’article duquel cet extrait est tiré et vous comprendrez les références historiques.
Comme je le dis depuis le début de la guerre en Ukraine – qui est le catalyseur de tout le trouble qui se produit actuellement entre l’Est et l’Occident : la guerre en Ukraine n’a pas été décollée par les Russes en 2022. Elle a été lancée en 2014 par les États-Unis. La Russie s’est montrée plus que patiente d’avoir attendu huit ans pendant que le Donbass se transformait en incinérateur géant à cause de Zelensky et de sa foule de gangsters nazis et de ses monstres animalistiques.
Et toutes les sanctions économiques et les transferts de milliards de dollars des payeurs de taxe – sans mentionner les milliards de dollars en armes et munitions militaires – des États-Unis et de l’OTAN ont non seulement exacerbé, élargi et prolongé le conflit ukrainien, mais ils ont eu de SÉRIEUSES ramifications négatives sur les pays qui ont pris ces sanctions – y compris les États-Unis.
Joe Biden peut bien essayer de blâmer tant qu’il veut Poutine pour la récession en Amérique : le peuple américain sait que c’est Washington, D.C., et non pas Moscou, qui est responsable de notre malaise économique. Les Américains ne croient peut-être pas beaucoup ce que dit Poutine, mais ils ne croient à RIEN DU TOUT de ce que dit Biden.
Mais l’autre ramification sérieuse (pour les États-Unis), c’est que le conflit en Ukraine a créé une grande division entre l’Est et l’Occident comme rien d’autre ne l’a fait depuis la Guerre Froide. Et à ce point-ci, l’Est s’étend de manière exponentielle, tandis que l’Occident rétrécit au même rythme.
Donc, en plein milieu de toute cette pagaille, Pelosi choisit de narguer plus de la moitié de la planète et de se faire engluer au centre d’un champ de mine international.
Cela ne fait que renforcer ce que j’avais dit auparavant : tous les signes indiquent que le gouvernement des États-Unis à Washington, D.C., fait tout ce qu’il peut pour provoquer la Troisième Guerre Mondiale. Pratiquement tout ce que Washington fait s’épelle N-O-U-S V-O-U-L-O-N-S L-A G-U-E-R-R-E.
Mais est-ce que le peuple américain, lui, veut la Troisième Guerre Mondiale ? Il n’y a pas de doute que des faucons de guerre républicains comme Lindsey Graham la veulent. Et des sionistes chrétiens guerriers comme John Hagee aussi. Mais le peuple américain dans son ensemble veut-il la guerre ouverte contre la Russie et la Chine ? Pas du tout !
Mais depuis quand est-ce que ce que veut le peuple affecte-t-il quoi que ce soit que fait l’élite du pouvoir de Washington, D.C. ?
Et pour sortir du marécage domestique qu’ils ont créé, il n’y a absolument rien de mieux pour les bêtes de proie au sein de la Beltway que de démarrer une guerre. Non seulement la guerre enrichit-elle ses profiteurs ; elle retranche l’élite politique corrompue. Lorsqu’il y a une guerre en action, les gens oublient complètement jusqu’à quel point les serpents puants et sans âmes de Washington, D.C., les ont violés et pillés.
La guerre assure aux créatures écailleuses des rives du Potomac qu’elles peuvent commettre pratiquement n’importe quel crime – aussi mauvais et meurtrier soit-il – en toute impunité.
Comme le dit l’article ci-haut : « Heureusement, il ne se passe rien de catastrophique. »
Mais si rien de catastrophique n’est arrivé, ce n’est pas parce que Pelosi, Biden et le reste des mécréants de Washington, D.C., n’ont pas tout fait en leur pouvoir pour créer une catastrophe. Ça, c’est sûr.