Qui allez-vous croire, moi ou vos yeux qui mentent ?
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Mars 2022
La vérité se présente en de nombreuses saveurs et toutes sortes de dimensions, ces jours-ci. Dans les années passées, les gens qui ne dirent pas la vérité étaient hélés et tenus responsables de leurs actions. Malheureusement, aujourd’hui, cela ne semble plus être le cas. Les manieurs de mots et les départements de relation publique ont fait apparaître des expressions afin d’amoindrir la sévérité de se faire appeler menteur dans le domaine public.
Andrew McCabe, ancien sous-directeur du FBI, a été dénoncé par l’Inspecteur général du Département de la Justice comme ayant « manqué de franchise » dans ses relations avec la presse et son patron. En fait, McCabe a menti sous serment quand on le questionna sur ses actions. Sa récompense ? L’Université George Mason l’a invité à se joindre à sa faculté à l’École Schar de la Politique et du Gouvernement en tant que Professeur Distingué en Visite.
Possibilité de démenti plausible
Le concept de possibilité de démenti plausible a été créé par la CIA au début des années 1960. Nul besoin de chercher plus loin que l’assassinat de John F. Kennedy pour le comprendre. Peut-être le plus gros coup jamais conçu et exécuté, un seul « pigeon » fut assigné à tomber pendant que les principaux joueurs derrière le plan remplissaient les halls du Congrès, la Maison Blanche et étaient en liberté au travers du public.
On a perfectionné le concept au sein du commerce et du spectre politique. Le « Gros Gars », le résident actuel du 1600 Pennsylvania Avenue à Washington, D.C., utilise son fils Hunter et son frère Jim pour s’enrichir. Même lorsque l’officier de la Marine à la retraite, Tony Bobulinski, confessa à l’hôte de Fox, Tucker Carlson, les liens financiers enchevêtrés et le trafic d’influence, pas une seule âme n’exigea d’enquête immédiate.
Alors Vice-président, Biden employa sa position et son pouvoir pour introduire Hunter dans le comité de directeurs de Burisma, une compagnie de gaz naturel d’Ukraine. Afin de s’assurer que l’argent allait continuer à entrer, on allègue que Joe força le gouvernement ukrainien à évincer Viktor Shokin comme procureur-en-chef. Shokin avait enquêté sur le propriétaire de Burisma concernant des évasions fiscales et du blanchiment d’argent.
Le résident Biden continue de proclamer son innocence, déclarant qu’il n’avait jamais parlé à son fils à propos des transactions d’affaire qu’Hunter a faites avec Burisma, de même que les entreprises chinoises. Toutefois, de l’information obtenue par le New York Post de l’ordinateur portable abandonné de Hunter montre que Joe a dîné avec la milliardaire russe Yelena Baturina, son mari Yury Luzhkov – ancien maire corrompu de Moscou – et Vadym Pozharskyi – cadre supérieur de Burisma au début de 2015.
Trafic d’initié
Le 4 avril 2012, le Président Barack Obama a signé la Loi STOCK – mettant fin au trafic d’initié des membres du Congrès. Prétendument, cette loi avait pour but d’empêcher les membres du Congrès et leur personnel de bénéficier d’informations internes et d’ainsi s’enrichir. Moins d’un an plus tard, cette loi fut étripée par la Maison Blanche. L’on ne permettait techniquement pas encore aux fonctionnaires élus de faire du commerce, mais le personnel et les employés pouvaient faire ce qui leur plaisait.
Nancy Pelosi est une des membres les plus riches du Congrès. Elle fut d’abord élue à la Chambre des Représentants en 1987. De toute évidence, Mme Pelosi a fort bien profité du trafic d’influence… eh bien… techniquement, c’est son mari, Paul, qui a ramassé le fric à la pelle. Paul a fait plus de 30 millions de dollars en échangeant des parts d’actions de Big Tech. Quand le consensus a commencé à se faire des deux côtés de l’aile parlementaire afin de limiter les membres et leurs époux dans leurs échanges d’actions, elle s’est mise à parler pour ne rien dire.
Madame la Porte-parole n’est pas la seule membre élue à avoir grossi sa richesse grâce au trafic d’influence. De nombreux membres de
la magistrature ont plongé les mains dans le panier aux œufs d’or. Une enquête du Wall Street Journal a découvert que 131 juges fédéraux ont surveillé des cas à la cour impliquant des compagnies dont eux ou leur famille possédaient des parts. Bien que l’on exige des membres du Congrès qu’ils rapportent leurs activités de transactions, les juges fédéraux en sont exemptés.
Notre boussole morale
Les fondateurs de notre pays sont venus en Amérique pour trouver la liberté religieuse. La Constitution, tout comme la Déclaration d’Indépendance, manifeste notre dépendance à Dieu. Malheureusement, notre délabrement moral a atteint le fond de l’abîme par son rapide déclin.
En 1962, le Juge de la Cour Suprême, Hugo Black, a statué contre le christianisme, en rendant inconstitutionnel de prier dans les écoles publiques. C’est ainsi que commença le déclin abrupt des standards moraux de notre République constitutionnelle. L’Humanisme séculier est devenu la religion dominante. Le non-respect des lois et l’anarchie ont suivi tout de suite après.
Les membres du Congrès ne jugent plus que leurs constituants soient importants. Une fois en poste, les attraits du pouvoir anéantissent tout jugement en faveur de l’amélioration des électeurs. On pourrait classer ces membres parmi les oligarques, alors que le reste d’entre nous sommes les esclaves de la plantation socialiste.
Ésaïe a prophétisé ce comportement :
« Malheur à ceux qui appellent le mal, bien, et le bien, mal ; qui font les ténèbres, lumière, et la lumière, ténèbres ; qui font l’amer, doux, et le doux, amer. Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et intelligents en se considérant eux-mêmes. Malheur à ceux qui sont puissants à boire le vin, et vaillants à avaler la cervoise ; qui justifient le méchant pour des présents, et qui ôtent à chacun des justes sa justice. C’est pourquoi comme le flambeau de feu consume le chaume, et la flamme consume la balle, ils seront ainsi consumés ; leur racine sera comme la pourriture, et leur fleur sera détruite comme la poussière, parce qu’ils ont rebuté la Loi de l’Eternel des armées, et rejeté par mépris la parole du Saint d’Israël. C’est pourquoi la colère de l’Eternel s’est embrasée contre son peuple, et il a étendu sa main sur lui, et l’a frappé ; et les montagnes en ont croulé, et leurs corps morts ont été mis en pièces au milieu des rues. Malgré tout cela il n’a point fait cesser sa colère, mais sa main est encore étendue » (Ésaïe 5:20-25).
Notre culture actuelle glorifie l’usage de la drogue, la promiscuité sexuelle et la violence dans les films et à la télévision. Œuvrant main dans la main, les médias sociaux et les propagandistes du grand courant médiatique continuent à creuser un fossé entre nous. La plandémie a accéléré la division de notre pays, comme la compassion envers nos compatriotes.
Un sondage Gallup de 2018 a révélé que les Américains constatent notre déclin au point où il en résulte une baisse record en ce qui a trait à la croyance que notre moralité est excellente ou bonne. De même, soixante-dix-sept pourcent des Américains ont le sentiment que nos valeurs ont empiré ! Quand on regarde les sujets de honte et de ridicule, l’avortement et l’homosexualité viennent en premier lieu. La poussée actuelle pour l’inclusion de ceux qui composent la communauté LGBTQ aggrave le déclin.
Il y a toutefois de l’espoir, mes amis. Il est encore temps de régler la vilenie qui s’insinue dans notre nation et de la réprimander comme étant l’œuvre de Satan. Il est écrit dans 2 Chroniques 7:14 :
« Et que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays. »
Jusqu’au moment où nous – pays jadis grand – tomberons sur nos genoux et demanderons à notre Seigneur et Sauveur de nous pardonner, nous vivrons un délabrement aux proportions épiques. Les vertus et la morale ne sont pas des principes naturels, on doit nous les enseigner. Exigez plus du pasteur derrière sont lutrin. L’unité familiale se doit de retourner à l’église.
Par Sandra Myers
« Donne-nous Barabbas »
Il n’y avait pas de logique à choisir Barabbas au lieu de Jésus. Pilate savait qu’il n’y avait pas de raison pouvant justifier la crucifixion de Jésus. Pilate fit même appel à la foule en lui demandant « qu’a-t-Il fait ? »
Même si les deux étaient des révolutionnaires, ils défendaient des pensées très différentes à propos du royaume et de la révolution. Les deux étaient radicaux, mais Pilate pensait que le choix serait évident. Le peuple choisirait assurément l’homme juste et non pas le violent voleur, cambrioleur et meurtrier. Mais le peuple, poussé et contrôlé sous l’incitation de leurs influenceurs, choisit de ne pas suivre Dieu. Ils voulaient conquérir et créer leur propre royaume sur terre. Ils choisirent les ténèbres plutôt que la Lumière. Et, dans l’espoir de tranquilliser le tumulte qui se tramait, Pilate se lava les mains et donna au peuple ce qu’il voulait.
Le peuple américain, même de nombreux chrétiens, se font embobiner par des politiques incitant à la violence et qui fonctionnent à l’émotion. La rhétorique vide qui promet des subventions gratuites, des réformes sociales et l’équité est une réalité tordue et éloigne un trop grand nombre de gens des valeurs bibliques – les valeurs mêmes sur lesquelles notre pays a été fondé.
Maintenant comme jadis, choisir Barabbas, le faux Jésus, c’est le symbole du royaume construit ici sur terre par les hommes de pouvoir et d’influence. Barabbas était présenté comme un homme puissant prêt à faire n’importe quoi pour acquérir du pouvoir et du contrôle afin de dénouer les liens des oppresseurs, les Romains. D’un autre côté, Jésus était le symbole qui s’élève au-dessus des enseignements des traditions des hommes et s’avérait donc une menace directe contre le Sanhédrin qui voulait contrôler le peuple.
Les Américains deviendront-ils un peuple voulant vraiment se faire mentir et adopter des illusions ? Si un peuple est si facilement influencé par le monde, comme il sera d’autant plus facile de tromper les gens dans le futur avec l’émergence de la bête ! C’est le même type de gens qui choisirent Barabbas au lieu de Jésus-Christ.
Rothschild, Soros, Gates, Zuckerberg, Bezos, Carnegie, Mellon, Schwab et d’autres – nos influenceurs des temps modernes – haïssent la Vérité et la Lumière aussi. Ils offrent leur type de Barabbas – ils donnent de l’argent aux causes marxistes avec des promesses vides de liberté contre l’oppression tout en ayant le même but final : la conquête et leur propre royaume sur terre.
Plusieurs exemples évidents de manipulation émotive utilisée pour inciter les foules à crier : « Donne-nous Barabbas » se retrouvent dans les groupements et les mouvements tels que Black Lives Matter et les émeutes, les vols et les incendies qui s’en suivent, ainsi que l’enseignement de la Théorie Critique Raciale. Habiter Wall Street, la folie Covid, le changement climatique, l’identité de genre, le mouvement #Me Too, et les programmes sociaux « gratuits » sont d’autres diversions, pour n’en nommer que quelques-uns, employées à distraire les gens de la justice. Ils font miroiter tellement de causes devant nous qu’il n’y a sûrement plus de place pour notre Sauveur (espèrent-ils).
Vous, mes frères et sœurs dans le Seigneur, comprenez la grande importance de résister aux attraits émotifs et à la persuasion des choix que l’on fait miroiter devant nous tous : Barabbas ou Jésus. Mais il n’en tient qu’à nous de contacter nos voisins perplexes, nos amis, notre famille et notre jeunesse. Nous devons les aider à voir au-delà du chantage émotionnel et du tirage de leurs ficelles, et les aider à se fonder sur la Vérité.
La Vérité est la Vérité et l’on ne peut pas la détruire. Les choses peuvent sembler obscures quand des hommes appellent le mal, bien, et le bien, mal, mais la Vérité et la Lumière finissent toujours par remporter. La question se pose toutefois à savoir combien de temps serons-nous esclaves avant que les gens se tournent vers Dieu en tant que notre véritable Rédempteur ?
Notre pays bien-aimé dépend de ce que nous verrons au travers de la rhétorique et de l’assaut émotif. Plus que cela, les âmes de nos bien-aimés reposent dans la balance. Contribuons à ce qu’ils voient la sagesse qu’il y a à choisir notre vrai Roi, Jésus, au lieu du faux roi de ce monde, Barabbas.
Quelques citations
« Il n’y a que deux théories principales de gouvernement dans le monde. Une repose sur la justice, l’autre repose sur la force. L’une fait appel à la raison, l’autre fait appel au glaive. L’une est illustrée par la république, l’autre est représentée par un despotisme. »
Calvin Coolidge, 15 octobre 1924
« L’homme a oublié Dieu, c’est pourquoi ceci arrive, » fut la réaction de Soljenitsyne quand on le questionna à propos du déclin de la culture moderne et du règne de terreur de Staline. En 1974, Soljenitsyne donna cet avertissement : « Je prie l’Amérique qu’elle se montre plus soigneuse dans sa confiance. Empêchez que ceux qui utilisent faussement le combat pour la paix et la justice sociale vous conduisent dans la mauvaise voie. Ils tentent de vous affaiblir … de désarmer votre pays fort et magnifique face à cette menace effrayante – menace que l’on n’a jamais vue auparavant dans l’histoire du monde. Nous ne pouvons que tendre avec détermination vers la main chaleureuse de Dieu, Lequel nous avons rejeté de manière si imprudente, remplis de confiance en soi. »
« L’état, c’est dieu qui marche sur terre … Nous devons adorer l’état … L’état ne reconnaît aucune autorité que la sienne propre … ne reconnaît aucune règle abstraite du bien et du mal … Toute la valeur qu’un être humain possède, il ne la possède que par l’état. »
Georg Wilhelm Friedrich Hegel
(Karl Marx était un membre des Jeunes Hégéliens)
« La signification de la paix, c’est l’absence d’opposition au socialisme. »
Karl Marx
« “Le problème n’est jamais le problème. Le problème est toujours la révolution”. En d’autres mots … les droits civils, les droits de la femme ou une pandémie – ce n’est jamais le vrai problème ; ces causes ne sont que les instruments d’une cause plus grande qui est le pouvoir. »
Étudiants d’une Société Démocratique (SDS), groupement de jeunesse radicale établi aux États-Unis en 1959