D.553 – La Terre plate : une vérité biblique dans un monde instable

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« Il est le plus sage, celui qui connaît le mieux sa Bible et vit selon son enseignement. Il y a plus de science réelle dans la Bible, particulièrement dans la Genèse, Job, les Psaumes, les Proverbes, l’Ecclésiaste, Ésaïe et Ézéchiel que dans toutes les universités et tous les observatoires du monde. De grosses pépites de vraie connaissance y sont enfouies, mais elles doivent être recherchées dans un esprit respectueux, car « Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles » (Jacques 4:6). Notre Maître a dit : « je te célèbre, ô mon Père ! Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits enfants. Il est ainsi, ô mon Père ! parce que telle a été ta bonne volonté » (Matthieu 11:25-26). [Terra firma : La Terre n’est pas une planète, prouvé par l’Écriture, la raison et les faits, David Wardlaw Scott, p. 166.]

Ci-dessous, nous allons souligner certains des points qui ont conduit Scott à adhérer à la « Terre Plate ». Il ne s’agit absolument pas d’une liste exhaustive de preuves ou d’évidences. Cela devrait cependant suffire à encourager chacun à entreprendre une enquête honnête sur ce sujet des plus intrigants et importants.

Il n’est pas facile de se débarrasser d’une vie entière de conditionnement incessant et de propagande trompeuse, mais, par la grâce du Père, cela peut être réalisé. Nous prions pour que vous mettiez vos préjugés et vos présuppositions à la porte de l’enquête et que vous preniez le temps d’étudier ceci avec un esprit ouvert et un cœur honnête.

« La vérité ne craindra jamais l’enquête la plus complète. » [David Wardlaw Scott]

Incidemment, nous le concevons : suggérer que la Terre est plate semble fou. C’est exactement ce que nous pensions quand le sujet nous a été présenté. Ne voulant rien rejeter, cependant, sans une enquête approfondie, nous avons commencé à étudier la question avec prière, en promettant que nous serions fidèles au poids de la preuve, et que nous irions là où elle nous conduirait. Après plusieurs semaines et mois de recherches passionnées et d’études diligentes, nous avons maintenant la ferme conviction que c’est le modèle du « globe » qui est fou.

« Celui qui répond à quelque propos avant que de l’avoir ouï, c’est à lui une folie et une confusion » (Proverbes 18:16).

Les preuves bibliques soutenant une Terre plate stationnaire

La Terre est stationnaire :

  • « Vous tous les habitants de la terre tremblez, tout étonnés pour la présence de sa face ; car la terre habitable est affermie par lui, sans qu’elle soit ébranlée » (1 Chroniques 16:30).
  • « L’Eternel règne, il est revêtu de magnificence, l’Eternel est revêtu de force, il s’en est ceint ; aussi la terre habitable est affermie, tellement qu’elle ne sera point ébranlée » (Psaumes 93:1).
  • « Dites parmi les nations : l’Eternel règne ; même la terre habitable est affermie, et elle ne sera point ébranlée ; il jugera les peuples en équité » (Psaumes 96:10).
  • « Mon âme, bénis l’Eternel. Ô Eternel mon Dieu, tu es merveilleusement grand, tu es revêtu de majesté et de magnificence … Il a fondé la terre sur ses bases, tellement qu’elle ne sera point ébranlée à perpétuité » (Psaumes 104:1, 5).

La Terre et les corps célestes sont enclos par le firmament :

« Puis Dieu dit : Qu’il y ait une étendue [“firmament” (KJV), “voûte” (d’Olivétan] entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Dieu donc fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue, d’avec celles qui sont au-dessus de l’étendue, et il fut ainsi. Et Dieu nomma l’étendue [“firmament” (KJV)], cieux. Ainsi fut le soir, ainsi fut le matin ; ce fut le second jour » (Genèse 1:6-8, version David Martin).

Nous apprenons ici que Dieu a créé l’étendue des cieux en séparant « les eaux qui sont au-dessous de l’étendue [“firmament” (KJV)] d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. » On ne saurait être plus clair : il y a de l’eau à la fois au-dessous du firmament et au-dessus du firmament.

« Louez-le, vous cieux des cieux ; et vous eaux qui êtes sur les cieux » (Psaumes 148:4).

Selon Genèse 1:6-8, il y a de l’eau au-dessous du firmament (« étendue », David Martin) et au-dessus du firmament.

Le mot traduit par « firmament » dans la King James est ici le mot Strong n° H7549 :

H7549 – râqiya’

BDB (Brown-Driver-Briggs) Définition :

1) La surface étendue (le solide), étendue, le firmament

1a) étendue plate comme base, support

1b) firmament (de la voûte des cieux supportant les eaux du dessus)

1b1) considérée par les Hébreux comme solide et retenant les eaux du dessus

Notez que la définition BDB reconnaît que l’étendue du firmament se réfère à la « voûte des cieux supportant les eaux du dessus » et ajoute qu’elle était « considérée par les Hébreux comme solide et retenant les “eaux” du dessus. »

La racine du mot H7549 (râqiya’) est H7554 (râqa’) qui est défini par Strong comme :

« une racine primitive : frapper du pied (comme un signe de passion), par analogie “étendre” (par martelage), par implication “superposer” (avec de minces feuilles de métal) : battre, élargir, répandre (étaler, recouvrir pour plaquer), forger, étendre » [Concordance de Strong].

Il apparaît donc que le firmament qui retient les eaux du dessus, selon sont mot racine, est solide, comme s’il était martelé comme une feuille de métal.

Les Écritures poursuivent en déclarant que les corps célestes ont été placés à l’intérieur de ce firmament.

« Puis Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue [“firmament” (KJV)] des cieux, pour séparer la nuit d’avec le jour, et qui servent de signes pour les saisons, et pour les jours, et pour les années ; et qui soient pour luminaires dans l’étendue [“firmament” (KJV)] des cieux, afin d’éclairer la terre ; et il fut ainsi. Dieu donc fit deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour dominer sur le jour, et le moindre pour dominer sur la nuit ; il fit aussi les étoiles. Et Dieu les mit dans l’étendue [“firmament” (KJV)] des cieux pour éclairer la terre, et pour dominer sur le jour et sur la nuit, et pour séparer la lumière des ténèbres ; et Dieu vit que cela était bon » (Genèse 1:14-18).

L’Écriture déclare, en langage clair et simple, les faits suivants : (1) Il y a de l’eau à la fois au-dessous du firmament et au-dessus du firmament (Genèse 1:6-8). (2) Les corps célestes ont été placés à l’intérieur du firmament (Genèse 1:14-18).

 

Le firmament est de nature solide :

Dans le passage suivant, Élihu, dans sa conversation avec Job, confirme ce que nous avons déjà appris du récit de la création dans la Genèse, à savoir que le firmament qui sépare les eaux et abrite les corps célestes est solide. Notez qu’Élihu utilise H7554 (râqa’) le mot racine de firmament, qui signifie « par analogie, “étendre” (par martelage), par implication “superposer” (avec de minces feuilles de métal) : – battre, élargir, répandre (étaler, recouvrir pour plaquer), forger, étendre ».

« As-tu étendu [H7554 – “ râqa’ ”] avec lui les cieux, qui sont fermes comme un miroir de fonte ? » (Job 37:18).

Maintenant, examinons un passage clé souvent cité par ceux qui prônent le modèle du globe :

« C’est lui qui est assis au-dessus du cercle [H2329 – “chûg”] de la terre, Et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles ; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure » (Ésaïe 40:22, version Louis-Segond).

Le mot utilisé ici pour désigner « cercle » est H2329 – chûg. Il signifie littéralement « cercle, circuit ou boussole » et, par extension, peut se référer à la voûte des cieux. Il ne signifie pas « boule » ou « sphère ».

H2329 –chûg

BDB Définition :

  1. Cercle, circuit, compas
  2. (BDB) voûte (des cieux)

H2329 (chûg) n’indique en aucune façon une boule ou une sphère. Ésaïe, sous inspiration divine, a ici choisi son mot délibérément ; il ne lui manquait pas de mot pour « boule », comme on peut le voir clairement dans le passage suivant :

« Il te fera rouler fort vite comme une boule [H1754 – “dûr”] en un pays large et spacieux… » (Ésaïe 22:18).

En se référant à une boule, Ésaïe écrivit H1754 (dûr), pas H2329 (chûg). Ce sont des expressions mutuellement exclusives.

Il est important de noter ici que H2329 (chûg) peut se référer à « la voûte des cieux » qui, dans le contexte, semble l’application la plus appropriée de son utilisation dans ce passage. Regardons-le encore :

« C’est lui qui est assis au-dessus du cercle [H2329 – “chûg”] de la terre, Et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles ; Il étend les cieux [H8064 – shâmayim] comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure » (Ésaïe 40:22, version Louis-Segond).

Ce passage nous dit que Dieu est assis sur la voûte des cieux au-dessus de la Terre[1] et que, de Son point de vue, les habitants de la Terre apparaissent comme des sauterelles. Bien sûr, Dieu est omniprésent et n’a pas besoin de forcer Ses yeux pour voir les habitants de la Terre, mais le tableau qu’Ésaîe dépeint est très clair.

Ce passage nous dit aussi que Dieu étend le ciel [H8064 – shâmayim] comme une « toile » [rideau (KJV) ; voile (Ost)] et l’a déployé comme « une tente ». Le mot utilisé ici pour désigner « le ciel » [les cieux, (KJV, David Martin)] est le même mot utilisé dans Genèse pour identifier le firmament.

« Et Elohim nomma le firmament [H7564 – râqiya’], ciel [H8064 – shâmayim]. Et le soir et le matin furent le second jour » (Genèse 1:8, traduction de la KJV).

Ce qu’Ésaïe communique ainsi, c’est que Dieu le Père s’assoit sur le (ou au-dessus du) firmament qui est étendu au-dessus de la Terre comme une tente. (L’Écriture dit continuellement que Dieu étend les cieux, ou shâmayim : Psaumes 104:2 ; Job 9:8 ; Ésaïe 40:22 ; 42:5 ; 44:24 ; 45:12 ; 51:13 ; Jérémie 10:12 ; 51:15 ; Zacharie 12:1).

Ésaïe nous dit que Dieu le Père s’assied sur le (ou au-dessus du) firmament qu’Il étend sur la Terre comme « une toile » ou « une tente » (Ésaïe 40:22). Cette analogie n’aurait aucune sens dans le contexte d’un globe.

Dans le livre de Job, Éliphaz est d’accord avec cette interprétation, puisqu’il dit que Dieu marche sur le chûg (H2329), le même mot utilisé par Ésaïe pour désigner la voûte du ciel :

« Les nues sont pour lui un voile, et il ne voit rien ; il se promène sur la voûte [H2329 – chûg] des cieux [H8064 – shâmayim] » (Job 22:14).

La traduction littérale de J. P. Green de Job 22:14 : « et la voûte [h2329] – les cieux [H8064] – Il marche »

Éliphaz croyait clairement que Dieu habitait [habite] au zénith du firmament :

« Dieu n’habite-t-il pas au plus haut des cieux [H8064 – shâmayim] ? Regarde donc la hauteur des étoiles ; et combien elles sont élevées » (Job 22:12).

Dans son commentaire sur le récit de la Création, Salomon renforce ce que nous avons appris jusqu’ici de la plume de Moïse et de l’auteur de Job :

« Quand il disposait les cieux [H8064 – shâmayim; quand il traçait le cercle [H2329 – chûg] au-dessus des abîmes ; quand il affermissait les nuées d’en haut ; quand il serrait ferme les fontaines des abîmes ; quand il mettait son ordonnance touchant la mer, afin que les eaux ne passassent point ses bords ; quand il compassait les fondements de la terre » (Proverbes 8:27-29).

Ici encore, nous trouvons le même mot utilisé pour identifier le firmament, ou les cieux : chûg (H2329).

Dans le passage ci-dessus, Salomon reprend ce que Dieu a fait pendant la semaine de la Création (voir Genèse 1:2). Dans le contexte, il semble que Salomon parle spécifiquement de l’endroit où le firmament physique repose sur les profondeurs, car il dit clairement, après avoir parlé de l’agencement (la préparation – KJV) des cieux que le chûg (H2329) a été placé « au-dessus de l’abîme » (« sur la face des profondeurs » – KJV). Une autre interprétation très raisonnable est que Salomon, ici, se réfère au cercle extérieur de glace établi par Dieu pour contenir les mers, car il poursuit en disant que :

« Quand il mettait son ordonnance touchant la mer, afin que les eaux ne passassent point ses bords ; quand il compassait les fondements de la terre » (Proverbes 8:29). [Voir aussi : « Lorsqu’il a fixé une limite à la mer pour que l’eau n’en franchisse pas les bords, lorsqu’il a tracé les fondations de la terre » (Proverbes 8:29, S21).

« Louez-le, vous soleil et lune ; toutes les étoiles qui jetez de la lumière, louez-le. Louez-le, vous cieux des cieux ; et vous eaux qui êtes sur les cieux … Qu’ils louent le Nom de l’Eternel ; car son Nom seul est haut élevé ; sa Majesté est sur la terre, et sur les cieux » (Psaumes 148:3-4, 13).

Indépendamment de laquelle de ces interprétations nous nous réclamons, une chose est certaine : il n’est absolument nulle part laissé entendre que la terre est un globe. Toutes les références bibliques examinées jusqu’ici représentent irréfutablement une terre plate enclose par le firmament du ciel.

Examinons maintenant une vision remarquable consignée par le prophète Ézéchiel :

« Or il arriva en la trentième année, au cinquième jour du quatrième mois, comme j’étais parmi ceux qui avaient été transportés sur le fleuve de Kébar, que les cieux [H8064 – shâmayim] furent ouverts, et je vis des visions de Dieu … Je vis donc, et voici un vent de tempête qui venait de l’Aquilon, et une grosse nuée, et un feu s’entortillant ; et il y avait autour de la nuée une splendeur, et au milieu de la nuée paraissait comme la couleur du Hasmal, lorsqu’il sort du feu. Et du milieu de cette couleur de Hasmal paraissait une ressemblance de quatre animaux [créatures vivantes – KJV ; êtres vivants – BDS], et c’était ici leur forme; ils avaient la ressemblance d’un homme … Et la ressemblance de ce qui était au-dessus des têtes des animaux [créatures vivantes (KJV)], était une étendue [firmament (KJV) – H7549 râqîya’] semblable à la voir à un cristal dont l’état remplissait de respect, laquelle s’étendait sur leurs têtes par dessus. Et leurs ailes se tenaient droites au dessous de l’étendue [firmament (KJV) H7549 – râqîya’], l’une vers l’autre ; et ils avaient chacun deux ailes dont ils se couvraient, chacun, dis-je, en avait deux qui couvraient leurs corps. Puis j’ouïs le bruit que faisaient leurs ailes quand ils marchaient, qui était comme le bruit des grosses eaux, et comme le bruit du Tout-Puissant, un bruit éclatant comme le bruit d’une armée ; et quand ils s’arrêtaient, ils baissaient leurs ailes. Et lorsqu’en s’arrêtant ils baissaient leurs ailes, il se faisait un bruit au dessus de l’étendue [firmament (KJV) H7549 – râqîya’] qui était sur leurs têtes. Et au dessus de cette étendue [firmament (KJV) H7549 – râqîya’], qui était sur leurs têtes, il y avait la ressemblance d’un trône, qui était, à le voir, comme une pierre de saphir : et sur la ressemblance du trône il y avait une ressemblance, qui, à la voir, était comme un homme assis sur le trône. Et je vis comme la couleur du Hasmal, ressemblant à un feu, au dedans duquel il était tout à l’entour ; depuis la ressemblance de ses reins, et par-dessus ; et depuis la ressemblance de ses reins jusqu’en bas je vis comme qui verrait du feu, et il y avait une splendeur autour de lui. Et la splendeur qui se voyait autour de lui était comme l’arc qui se fait dans la nuée en un jour de pluie. C’est là la vision de la représentation de la gloire de l’Eternel ; laquelle ayant vue, je tombai sur ma face, et j’entendis une voix qui parlait » (Ézéchiel 1:1, 4-5, 22-28).

Ici, Ézéchiel nous dit :

  1. Les cieux [H8064- shâmayim] s’ouvrent (Ézéchiel 1:1).
  2. Un tourbillon de vent, une grosse nuée, une gerbe de feu qui répandait tout autour son éclat, venant du nord (Ézéchiel 1:4). Le « nord » dans le contexte ici, semble indiquer le zénith des cieux qui s’ouvrent à lui. Job est en accord avec cette compréhension : « Il étend le nord au-dessus de la place vide… » (Job 26:7, KJV traduction).
  3. De ce tourbillon de feu apparaissent quatre créatures vivantes (Ézéchiel 1:5).
  4. Après que les créatures vivantes soient apparues, Ézéchiel vit le firmament [H7549 –râqîya’] « qui s’étendait au-dessus de leurs têtes » (KJV traduction) ; « au-dessus de la tête de ces êtres vivants s’étendait quelque chose qui ressemblait à une étendue céleste et qui avait l’éclat éblouissant du cristal » (BDS) ; « Au-dessus de la tête des êtres vivants, la voûte céleste ressemblait à l’éclat d’un cristal » (S21). Ézéchiel compare le firmament à un « cristal resplendissant » (Ézéchiel 1:22). Le mot traduit par « cristal », ici, est H7140 (qerach) qui signifie « gelée, glaçon, glace, cristal de glace ». Cela suggère que l’eau au-dessus du firmament est gelée (ou du moins a l’apparence de la glace). C’est probablement ce que l’apôtre Jean a également vu dans sa vision : « Et au-devant du trône il y avait une mer de verre, semblable à du cristal ; et au milieu du trône et autour du trône quatre animaux, pleins d’yeux devant et derrière » (Apocalypse 4:6). Le mot grec traduit par « cristal » ici est krustallos (G2930) qui est « utilisé en grec classique pour la glace » (Vincent’s Word Studies). On pourrait en dire beaucoup plus à ce sujet, mais il n’est pas dans le champ de cette étude de creuser plus loin dans cette mine d’or particulière.
  5. Une voix se fit entendre du firmament [H7549 – râqîya] qui était au-dessus des créatures vivantes (Ézéchiel 1:25).
  6. Ézéchiel voit Dieu sur Son trône au-dessus du firmament [H7549 – râqîya] (Ézéchiel 1:26-28).

Ici, Ézéchiel a dépeint une image remarquablement vivante de Dieu assis en gloire sur Son trône au-dessus du firmament, qui lui apparaît comme un cristal de glace.

Le prophète confirme encore une fois cette image dans une autre vision :

« Puis je regardai, et voici dans l’étendue [le firmament (KJV) ; la voûte céleste (S21) H7549 – râqîya’] qui était sur la tête des Chérubins parut au-dessus d’eux comme une pierre de saphir, qui, à la voir, était semblable à un trône » (Ézéchiel 10:1).

Ésaïe, Éliphaz, Élihu et Ézéchiel conviennent que Dieu trône au-dessus d’un solide firmament. Il semble que la Terre soit littéralement le marchepied de Dieu :

« Ainsi a dit l’Eternel : les cieux sont mon trône, et la terre est le marchepied de mes pieds ; quelle maison me bâtiriez-vous, et quel serait le lieu de mon repos ? » (Ésaïe 66:1).

La Terre est plate :

Dans le livre de Job, nous trouvons un monologue fascinant et perspicace. Au chapitre 38, Dieu apparaît à Job et commence à l’interroger. Une des questions est particulièrement pertinente pour cette étude :

« As-tu compris toute l’étendue [H7338 – rachab] de la terre ? si tu l’as toute connue, montre-le » (Job 38:18).

Le mot « étendue », ici, est rachab (H7338) qui signifie « largeur, vaste ou large étendue » dans le Lexique BDB. Cela semble une question parfaitement légitime sur une Terre plate. Cela n’a aucun sens, cependant, dans le contexte d’une Terre sphérique.

Dans le livre de Daniel, les détails du rêve prophétique de Nébucadnetsar indiquent que la Terre est plate :

« Les visions donc de ma tête sur mon lit étaient telles. Voici, je voyais un arbre au milieu de la terre, la hauteur duquel était fort grande. Cet arbre était devenu grand et fort, son sommet touchait les cieux, et il se faisait voir jusqu’au bout de toute la terre »  (Daniel 4:10-11, Ostervald). « …et il se faisait voir jusqu’au bout de toute la terre » (FMAR). « …et on le voyait des extrémités de toute la terre » (LSG).

Nébucadnetsar dit qu’il rêve d’un arbre qui avait grandi si haut qu’on le voyait « des extrémités de toute la terre ». Bien que ce n’était qu’un rêve, c’est encore indicatif d’une Terre plate, car c’est possible uniquement sur une Terre plate. Ce concept serait une impossibilité absolue sur un globe.

Voyons maintenant quelques-unes des glorieuses descriptions du retour de notre Sauveur aimant :

« Et je regardai quand il eut ouvert le sixième sceau, et voici, il se fit un grand tremblement de terre, et le soleil devint noir comme un sac fait de poil, et la lune devint toute comme du sang. Et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsque le figuier étant agité par un grand vent, laisse tomber ses figues encore vertes. Et le ciel se retira comme un Livre qu’on roule ; et toutes les montagnes, et les îles furent remuées de leurs places. Et les Rois de la terre, les Princes, les riches, les capitaines, les puissants, tout esclave, et tout homme libre se cachèrent dans les cavernes, et entre les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : tombez sur nous, et cachez-nous de devant la face de celui qui est assis sur le trône, et de devant la colère de l’Agneau ; car la grande journée de sa colère est venue ; et qui est-ce qui pourra subsister ? » (Apocalypse 6:12-17, David Martin).

« Voici il vient avec les nuées, et tout œil le verra, et ceux même qui l’ont percé ; et toutes les Tribus de la terre se lamenteront devant lui ; oui, Amen » (Apocalypse 1:7, FMAR).

Selon Jean le révélateur :

  1. Les étoiles tomberont sur la terre (Apocalypse 6:13). Comme les autres prophètes qui ont exposé ce sujet, Jean ne croyait clairement pas que les étoiles étaient des corps gigantesques (beaucoup plus grands que la Terre) à des millions de kilomètres de là. Si tel était le cas, comme le prétend l’astronomie moderne, une seule étoile serait suffisante pour anéantir la Terre entière à son impact. Notez également : Jean nous dit que les étoiles « tombèrent » sur la Terre ; il ne dit pas que les étoiles « foncèrent » sur la Terre.
  2. Les cieux se retireront alors comme un « rouleau qu’on enroule (Apocalypse 6:14). Ceci est cohérent avec la représentation à maintes reprises des cieux par l’Écriture comme étant étendus comme un voile (un rideau, KJV) ou une tente. Cette description n’aurait aucun sens si la Terre était une sphère.
  3. Tout le monde sur la Terre verra alors Jésus venir en gloire (Apocalypse 1:7). Cela se comprend parfaitement sur une Terre plate, mais serait impossible si la Terre était une sphère.
  4. Les méchants et impénitents chercheront à se cacher loin de « la colère de l’Agneau » et loin de « la face de celui qui est assis sur le trône » (Apocalypse 6:15-16). Quand les cieux seront enroulés « comme un livre », les méchants verront la face de Celui qui est assis sur le trône au-dessus de la voûte du ciel, ou cercle [H2329 –chûg] de la terre (Ésaïe 49:22, LSG, S21, BDS) et chercheront à se cacher.
L’Écriture déclare qu’à la seconde venue de Jésus, les cieux se retireront « comme un livre qu’on roule., et que « tout œil Le verra » (Apocalypse 1:7 ; 6:12-17). Il nécessiterait beaucoup de conjecture et de manipulation pour mettre ces passages en harmonie avec le modèle du globe. Quand le ciel s’enroulera, les méchants verront Jésus sur Son trône et chercheront à se cacher de Son impressionnante et redoutable présence.

Ce sont les corps célestes qui se déplacent, pas la Terre

« Alors Josué parla à l’Eternel, le jour que l’Eternel livra l’Amorrhéen aux enfants d’Israël, et dit en la présence d’Israël : Soleil, arrête-toi sur Gabaon, et toi Lune, sur la vallée d’Ajalon. Et le soleil s’arrêta, et la lune aussi s’arrêta, jusqu’à ce que le peuple se fût vengé de ses ennemis. Ceci n’est-il pas écrit au Livre du Droiturier ? Le soleil donc s’arrêta au milieu des cieux et ne se hâta point de se coucher environ un jour entier » (Josué 10:12-13).

Le texte ne pourrait pas être plus clair : « Le soleil donc s’arrêta au milieu des cieux ». Josué ordonne au soleil et à la lune de rester immobiles dans les cieux. Il ne commande pas à la Terre d’arrêter de tourner. En tant qu’étudiants honnêtes de la Bible, nous devons reconnaître la clarté de ce passage. Jésus nous défend de tordre les Écritures pour être en accord avec la théorie humaine pseudo-scientifique copernicienne (centrée sur le soleil) qui contredit l’Écriture dès le début de la Genèse. La véritable science (vérifiable et observable) revendique la réalité de la Terre stationnaire.

Dans le livre d’Ésaïe, nous avons un témoignage inspiré de la façon dont Dieu a fait reculer le soleil dans le ciel, faisant revenir en arrière l’ombre du cadran solaire :

« Voici, je m’en vais faire retourner l’ombre des degrés par lesquels elle est descendue au cadran d’Achaz, de dix degrés en arrière avec le soleil ; et le soleil retourna de dix degrés par les degrés par lesquels il était descendu » (Ésaïe 38:8)

Ésaïe nous dit, en langage clair, que « le soleil retourna de dix degrés ». Il n’y a aucune question à ce sujet : Ésaïe croyait que c’était le soleil qui se déplaçait, pas la Terre.

Le roi David croyait aussi que c’était le soleil qui se déplaçait :

« Les cieux racontent la gloire du Dieu Fort, et l’étendue [le firmament (KJV) H7549 – râqîya’] donne à connaître l’ouvrage de ses mains. Un jour fournit en abondance de quoi parler à l’autre jour, et une nuit montre la science à l’autre nuit. Il n’y a point en eux de langage, il n’y a point de paroles ; toutefois leur voix est ouïe. Leur contour couvre toute la terre, et leur voix est allée jusqu’au bout du monde habitable. Il a posé en eux un pavillon pour le soleil ; tellement qu’il est semblable à un époux sortant de son cabinet nuptial ; il s’égaie comme un homme vaillant pour faire sa course. Son départ [ou « il se lève » H4261 – mowtsa : venir, partir de] est de l’un des bouts des cieux, et son tour [son circuit (KJV), sa course (LSG) H4261 – tekuwphah] se fait sur l’un et sur l’autre bout, et il n’y a rien qui se puisse mettre à couvert de sa chaleur. » (Psaumes 19:1-6).

Plus de vingt-cinq fois dans le livre de l’Ecclésiaste, Salomon utilise l’expression « sous le soleil » en se référant aux activités terrestres. Salomon croyait clairement que le soleil se déplaçait au-dessus de la Terre.

Dieu nous défend d’asservir le témoignage des prophètes aux théories des hommes errants et trompeurs.

Preuves empiriques soutenant la Terre plate :

Ci-dessous, nous allons brièvement aborder quelques-unes des preuves empiriques soutenant la Terre plate. Il ne s’agit en aucun cas d’une liste exhaustive. Ce n’est pas notre but ici d’examiner en détails ces points, car il y a déjà pléthore d’information disponible en ligne pour ceux qui sont honnêtement à la recherche de la vérité.

  • L’absence apparente de courbure : Si la Terre était une boule de 40 000 kilomètres de circonférence, comme le prétend la NASA, alors la surface des eaux devrait se courber vers le bas de 12,6 cm par kilomètre multiplié par le carré de la distance. Cela équivaudrait à ce qui devrait être un abaissement observable du sommet des objets distants. D’innombrables expériences ont été faites pour tester cela, mais toutes ont échoué, aucune n’ayant pu démontrer l’existence d’une courbure terrestre. L’eau est toujours parfaitement à niveau. Elle ne courbe pas.
  • Le fait que les géomètres, ingénieurs, architectes, officiers de marine, etc. ne tiennent pas compte de la courbure terrestre lorsqu’ils planifient leurs projets. (Bien que certains prétendent que plusieurs ponts ont été construits avec une courbure à l’esprit, l’erreur de cette suggestion devient évidente quand on se rend compte que l’eau sous le pont ne suit pas la courbure du pont. L’eau trouve toujours son propre niveau : elle ne se courbe pas.)
  • Le fait que les pilotes d’avion ne doivent pas continuellement faire baisser le nez de leurs avions pour les maintenir à la même altitude et les empêcher de s’envoler dans l’espace (ce qui serait absolument nécessaire s’ils volaient des centaines de kilomètres par heure autour d’une sphère).
  • Le fait que les rivières suivent le moindre chemin de résistance, mais se retrouvent dans de nombreuses parties du monde à s’écouler vers le haut sur ce qui serait de nombreux kilomètres de courbure (ex. : le Mississippi aurait à monter dix-sept kilomètres avant d’atteindre le golfe du Mexique).
  • Alors que l’on pensait autrefois que c’était la courbure de la Terre (ou de l’eau) qui faisait disparaître la coque des navires lorsqu’ils s’éloignaient de l’observateur, nous savons maintenant que cela est simplement dû à la « loi de la perspective ». Des navires entiers qui ont disparu à l’œil nu depuis longtemps peuvent facilement être ramenés en vue à l’aide d’un télescope ou d’un dispositif de grossissement similaire.
  • La gravité n’a jamais été prouvée : elle doit être acceptée par la foi pour adhérer au modèle du globe. La gravité est quelque chose que nous avons prise pour acquise comme vérité depuis que nous sommes enfants (parce que nous étions endoctrinés et avons subi un lavage de cerveau par le système « éducatif »), mais en réalité, cette théorie n’a aucun sens. Devons-nous vraiment croire qu’il existe une force magique appelée « gravité » qui est si incompréhensiblement forte qu’elle peut fixer des océans entiers à la Terre, mais qui ne peut pas contraindre le plus petit nuage de fumée ou même le plus petit insecte ailé ? Devons-nous vraiment croire que cette force imaginaire appelée « gravité » peut faire pleuvoir à l’envers ou faire croître les cultures sur les côtés ?… tout cela sans que nous en soyons conscients ? (Incidemment, ceux qui font la promotion de la théorie de la gravité disent aussi que la Terre tourne à 1 600 km/h, tout en voyageant autour du soleil à 100 000 km/h, et filant à travers l’univers à 700 000 km/h. Pourtant, vous ne sentez pas même le moindre indice ou soupçon de mouvement pendant que vous êtes assis à votre ordinateur en lisant cet article. C’est absurde.) La pseudoscience moderne dit fondamentalement ceci : « ignorez vos Bibles, vos sens, votre raison et toutes les données reproductibles, vérifiables et observables… et ayez aveuglément confiance en vos manuels scolaires. » Ceux qui sont en autorité dans le monde savent bien que « si vous dites un mensonge assez gros, et si vous le répétez souvent, on le croira » [Adolf Hitler]. Ne vous méprenez pas : l’Adversaire a un plan bien déterminé.

  • L’horizon s’élève toujours au niveau de l’œil de l’observateur (même en vol dans un avion à 10 000 mètres au-dessus de la Terre). Il n’y a jamais un endroit où l’observateur doit regarder vers le bas pour trouver l’horizon d’une sphère à la courbure supposée continue.
  • L’horizon apparaît toujours parfaitement plat.
  • Les difficultés enregistrées par les capitaines de navires ayant essayé de naviguer dans « l’hémisphère sud » en supposant que la Terre est une sphère. (Si la Terre était un globe, les lignes de longitude seraient de plus en plus serrées lorsque vous vous déplacez de l’équateur vers le soi-disant « pôle sud ». Sur la Terre plate, au contraire, les lignes de longitudes s’étendent continuellement en ligne droite du Pôle nord (centre) vers l’extérieur, ce qui signifie qu’elles s’élargissent lorsque vous vous déplacez vers le sud.)
  • Les rapports des explorateurs des années 1700 et 1800, estimant qu’ils avaient parcouru plus de 80 000 kilomètres en essayant de faire le tour de l’Antarctique qui est, en réalité, l’anneau de glace extérieur sur la Terre plate. (Par exemple : James Cook, James Clarke Ross, l’expédition britannique Challenger.) Gardez à l’esprit que, selon la NASA, le globe a seulement 40 000 kilomètres de circonférence.
  • Les routes de vol absurdes des avions de ligne commerciaux.
  • Le fait que les objets lointains, même quand la perspective les fait apparaître au-delà de l’horizon à l’œil nu, ne semblent pas se pencher au loin au vu de l’observateur (ce qui devrait être le cas s’ils sont au-delà du prétendu point de courbure sur une Terre ronde). Sur une Boule-Terre sous la force de la « gravité », les ballons à air chaud devraient sembler basculer vers l’arrière lorsqu’ils volent dans le ciel lointain en s’éloignant de l’observateur, rendant le fond de la nacelle de plus en plus visible.
  • Des rapports indiquant que l’Étoile polaire (l’étoile du pôle nord) a été observée jusqu’à 20° de latitude sud ; pourtant, la prétendue Étoile du « pôle sud » (Sigma Octantis) n’est pas toujours visible de chaque méridien, même à l’équateur (et d’autres anomalies visibles se rapportant à d’autres constellations).
  • Les configurations météorologiques et les courants océaniques ont beaucoup plus de sens sur la Terre plate.
  • Le fait que la NASA (une société secrète militarisée) n’a jamais produit une photographie réelle de la Terre et travaille continuellement à tromper…

La NASA admet ouvertement que les images sont créées avec des données informatiques : ce ne sont pas des photographies. À la question posée au visualiseur de données et concepteur graphique de la NASA, Robert Simmon : « Quelle est la chose la plus “cool” que vous ayez jamais faite dans le cadre de votre travail à Goddard ? », il a répondu :

Photo de Robert Simmon devant la Blue Marble. Crédit : NASA/W. Hrybyk

« La dernière fois que quelqu’un a pris une photo de l’orbite basse terrestre, qui montrait un hémisphère entier (une moitié de globe), ce fut en 1972, lors d’Apollo 17. Les satellites de la NASA EOS (Earth Observing System : Système d’observation de la Terre) ont été conçus pour donner un bilan de la santé de la Terre. En 2002, nous disposions finalement de données suffisantes pour faire un aperçu de la Terre entière, ce que nous avons fait. La partie difficile a été de créer une carte plate de la surface terrestre avec quatre mois de données satellitaires. Reto Stöckli, qui est maintenant à l’Office Fédérale Suisse de Météorologie et de Climatologie, a effectué une grande partie de ce travail. Puis, nous avons enveloppé la carte plate autour d’une boule. Mon rôle a été d’intégrer la surface, les nuages et les océans pour correspondre aux attentes des gens sur la façon dont la Terre se voit depuis l’espace. Cette boule est devenue la célèbre Blue Marble (Marbre bleu). J’étais satisfait d’elle, mais n’avais aucune idée de la manière dont elle se répandrait. Nous n’avions jamais pensé que cela deviendrait une icône. Je n’ai jamais pensé que je deviendrais « Monsieur Blue Marble ». Nous avons depuis mis à jour les cartes de base en augmentant la résolution et, pour 2004, nous avons fait une série de cartes mensuelles. »

(https://www.nasa.gov/centers/goddard/about/people/RSimmon.html)

Comment l’image Blue Marble de la Terre a-t-elle été créée ? Selon la NASA, une « carte plate a été créée » à partir de données « satellitaires » présumées, puis enveloppées « autour d’une boule » ! L’image a ensuite été retouchée pour « répondre aux attentes des gens sur la façon dont la Terre se voit depuis l’espace ».

« Malheur à ceux qui veulent aller plus loin que l’Eternel, pour cacher leur conseil, et dont les œuvres sont dans les ténèbres, et qui disent : qui nous voit, et qui nous aperçoit ? Ce que vous renversez ne sera-t-il pas réputé comme l’argile d’un potier ? même, l’ouvrage dira-t-il de celui qui l’a fait : il ne m’a point fait ? et la chose formée dira-t-elle de celui qui l’a formée ; il n’y entendait rien ? » (Ésaïe 29:15-16).

En qui as-tu confiance ? Les prophètes de Dieu ou la société secrète militarisée de la NASA ?

« Ainsi a dit l’Eternel : maudit soit l’homme qui se confie en l’homme, et qui fait de la chair son bras, et dont le cœur se retire de l’Eternel. Car il sera comme la bruyère en une lande, et il ne s’apercevra point quand le bien sera venu ; mais il demeurera au désert en des lieux secs, en une terre salée et inhabitable. Béni soit l’homme qui se confie en l’Eternel, et duquel l’Eternel est la confiance. Car il sera comme un arbre planté près des eaux, et qui étend ses racines le long d’une eau courante ; quand la chaleur viendra, il ne s’en apercevra point ; et sa feuille sera verte, il ne sera point en peine en l’année de la sécheresse, et ne cessera point de porter du fruit » (Jérémie 17:5-8).

[1] Les cieux [H8064 – shâmayim] s’ouvrirent. (Voir Ézéchiel 1:1.)

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